(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Mar 16 Juin - 20:00
Je stressais ayant peur que malgré qu'il prenne une douche, il recommence à boire dès que j'aurais quitté sa demeure. Je voulais pas qu'il le refasse une fois que je ne serais plus là, je voulais vraiment l'aider à passer à autre chose. Puis surtout peut importe ce qu'il attendait lui, je savais que je voulais toujours être la pour le soutenir. Même s'il revenait sur ses paroles. Il m'embrassa langoureusement et je devais avouer que ce geste avait eu le don de me faire sourire, après tout ses lèvres ça faisant tellement longtemps que je ne les avais pas retrouvés, et j'avais juste envie de nicher ma tête dans son cou pour sentir à nouveau son odeur s'emparait de moi. Je prolongeais alors son baiser avec passion et intensité. Ce n'était peut être qu'un seul baiser que l'on venait de s'échanger mais c'était un baiser qui avait son importance à mes yeux, parce que j'avais peur que plus jamais cela ne se reproduise et j'étais soulagé qu'on en avait envie tous les deux. Mais après cela il me posa une question qui eut le don de me faire revenir à la dure réalité, oui j'avais vu un garçon, un seul.. de peur, peur de le perdre, peur de tomber dans ses bras, peur de tomber sous le charme de Maël et peur que jamais il ne revienne, peur qu'il s'en fiche de moi, peur de me détruire pour un homme alors que je m'étais jurer de jamais accorder trop d'importance à un seul d'entre eux. Et je me voyais pas tellement dire à Maël que je ressentais plus que de l'amitié à son égard, que y'avait quelque chose qui était venu même si c'était récent et nouveau tant que je tombais pas éperdument ce n'était pas grave de ne pas le dire concrètement. Tu les penses vraiment toujours ? Lui répliquais je instinctivement je voulais être sur d'avoir vraiment bien compris et d'avoir bien entendu également. Je l'écoutais ensuite me parler de ces difficultés qu'il rencontrait en ce moment et j'aurais du revenir plus tôt dans sa vie, au moins j'aurais pu essayer de faire quelque chose pour lui, pour arriver à ce qu'il ne se torture pas l'esprit au point de se saouler chaque jour. Je m'en voulais, parce qu'il était une personne qui avait une grande place dans ma vie finalement... Alors j'aurais aimé être là pour le serrer contre moi, pour l'aider à trouver ses réponses, mais je l'avais pas fais et j'avais des remords, je n'avais pensé qu'à moi, à ma petite personne, juste parce que j'avais jamais ressentis cela avant, et j'étais vraiment une idiote, je l'avais abandonné au moment où il avait été le plus vulnérable. Je t'aiderais, maintenant je suis là, si tu veux je t'écoute, je t'aide à trouver des réponses, Maël je serais toujours là pour t'aider tu sais. Lui énonçais je simplement d'une voix douce et délicate. Il m'entoura de ses bras, et déposé u tendre baiser sur mes lèvres qui étaient heureuses de retrouver le parfum somptueux des siennes. Il passa ses mains sur mon corps, au moment où il les déposa je frissonnais fortement, j'avais perdue l'habitude de les avoir, et en même temps ça me faisait toujours cet effet de frissons , comme un électrochoc, une sensation de bien être comme si c'était naturel que ce soit lui et pas un autre qui puisse me toucher... Le frisson ultime comme d'autres pourraient dire. Ca faisait du bien d'entendre que je lui avais manqué parce que comme j'avais pu lui dire il m'avait obsédé durant tous ses jours loin de lui. Je passais ma tête dans son cou, et je pouvais sentir son odeur, je l'avais presque oubliée, j'avais besoin qu'elle prenne possession, sentir toute son essence en moi. Il caressait doucement mes cheveux, je la regardais tellement gênée de ce que j'avais fais. Je voulais juste oublier ça , je voulais juste lui dire que je pensais seulement à lui qu'il était vraiment le seul mais c'était trop dur. Tu as pas à t'excuser tu allais mal..j'aurais du revenir plus tôt.. et tu m'as tant manqué Maël...Lui avouais je me demandant comment j'avais fais pour réussir à être loin de lui tout ce temps...
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Sam 20 Juin - 18:03
Il est vrai que j'avais était au plus mal.. Mais je n'avais voulu le partager avec personne.. Je voulais vivre cette peine seul.. Je n'étais pas du genre à partager ma peine avec les autres! Après tout, chacun à ces propres malheurs déjà, je ne voyais pas la peine d'en rajouter.. Il est vrai également que j'aurais quand même aimer avoir du soutien dans cette période sombre de ma vie, le soutien de Alayna plus particulièrement. Evidemment qu'elle n'avait pas pu me soutenir puisque je ne lui avais pas dit tout ce qui m'arrivait.. Alors je ne pouvais m'en vouloir qu'à moi même.. Enfin, le fait est que aujourd'hui elle était là, et que je pouvais me confier à présent comme je le désirais.. Pour l'instant je n'en avais pas envie, j'étais surtout heureux de la revoir enfin.. Je lui avais tout de même demander si elle n'avait pas vu d'autres hommes que moi depuis que nous ne nous étions vu.. Elle me dit que non, et j'espérais bien que ce sois vrai, enfin s'était légèrement confus dans mon esprit.. Elle me demanda à son tour si moi je pensais toujours les paroles que je lui avais dit, il était évident que oui! Bien sûr que je pense toujours ce que j'ai dit, ne t'en fais même pas pour sa.. Elle poursuivit ensuite qu'elle était là pour moi, qu'elle me soutiendrait et qu'elle serait toujours là pour m'aider.. Je ne pus m'empêcher de sourire sous ces paroles.. Elle était vraiment trop douce avec moi et si gentil que je ne pensais pas que cela pouvait être réel.. Elle ne devait pas être réelle pour être si parfaite. Je l'embrassa à nouveau caressant ces longs cheveux à la couleur de feu.. Elle était vraiment très belle, plus je la voyais et plus je la trouvais magnifique.. Je l'embrassais de plus en plus passionnément.. Elle m'avait tellement manqué.. Elle enchaîna me disant que je n'avais pas à m'excuser que j'allais qu'elle aurait dû revenir plus tôt.. --- Alors là non, c'est en aucun ta faute.. Je n'ai pas donner de nouvelles et n'importe quels autres personnes auraient réagis comme toi, et moi le premier, alors s'il te plaît, ne t'en veux pas. Je lui fis un sourire qui venait confirmer mes paroles sur le fait que je ne lui en voulait pas, loin de là.. Je la regardais avec splendeur et j'explorais chacun des traits qui ornés son visage.. Elle était d'une beauté pure et naturelle qui m'empêchait de lui résister.. Je passa délicatement ma main le long de son visage et m'empara de ces lèvres une fois de plus.. Mais mon baiser se faisait à présent plus langoureux et révélateur de ce que je voulais d'elle à présent.. Alors que nous étions tout deux allongés l'un à côté de l'autre s'embrassant de plus en plus intensément, je passa tendrement ma main sous son haut, caressant furtivement les courbes de son corps..
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Dim 21 Juin - 10:40
Je commençais à m'en vouloir de ne pas être venue plus tôt , de n'avoir pensée qu'à moi, seulement à ma petite personne car je pensais qu'il avait changé d'avis, et juste par fierté je n'avais su faire le premier pas en sa direction. C'était devenu trop lourd à porté, son absence, tellement que j'en avais parlé à un garçon à qui je me confiais, je savais que lui aussi n'avait connu aucune relation sérieuse et que donc ce serait plus facile de lui parler pour ne pas être juger, et aussi pour ressortir avec une leçon de moral sur le fait que si je le laissais partir (Maël) alors je m'en voudrais toute ma vie. Je n'avais pas envie ni le besoin d'entendre cela. Mais n'ayant aucune tentative de sa part non plus, je me refermais tellement aux autres qu'il était plus que temps que je l'affronte pour dire ce que je pensais et lui ce qu'il pensait également. Ca avait été plutôt compliqué au début, surtout lorsque je vis qu'il était saoule et le fait qu'il me repousse je n'allais surement lui donner la tâche facile, car je n'étais pas du genre à obéir ou quoi ce soit. Alors j'avais insister c'était dans mon caractère d'être têtue et n'en faire qu'à ma tête. Il s'était finalement plus ou moins repris et cela me faisait chaud au coeur, je préférais le voir ainsi. Il revient de sa douche et ne pu s'empêcher de me demander si j'avais vu d'autres hommes. Qu'est ce que j'en avais à faire moi ? Je voulais seulement qu'il me revienne et ça n'a pas été le cas, du coup j'étais prête à si je le croisais lui lancer des atrocités au visage, mais au vue des circonstances je jouais la carte de l'amitié souhaitant le soutenir dans cette période difficile. Cependant une question me brûlait les lèvres et me trottait dans la tête, pensait -il toujours les mots que l'on s'était échangé à notre dernière rencontre datant de plusieurs semaines? Jamais besoin de le savoir et d'en avoir le coeur net. Il me répondit que je ne devais pas m'en faire pour ça mais au vue de ce qu'il avait dit précédemment ça ressemblait à quelque chose d'un couple ou autre ; " je t'aime beaucoup" , " mon poussin" c'était un surnom qu'on se donnait déjà depuis longtemps pour notre amitié et je t'aime beaucoup tous le monde sait que ça aussi ça en est également mais rien d'autre, alors je me braquais un peu , normal. J'étais perdue sur ce que je voulais et également sur ce que lui voulait. Je lui affirmais que je serais toujours là pour lui et c'était la vérité peut importe ce qu'il se passerait je le serais , on était amis avant tout et ça je ne l'oubliais pas je le gardais bien en tête. Il captura de nouveau mes lèvres dans un baiser tendre au départ, qui devait plus passionné et intense au fur et à mesure qu'on le faisait duré et qu'on recommencé, en même temps je n'avais plus envie de quitter ses lèvres, ça m'avait plus que manqué. Il passait sa main dans mes cheveux et je souriais bêtement en gardant nos lèvres scellées l'une à l'autre. Bien entendu entre deux on prenait le temps de respirer. Le but c'était pas d'étouffer l'autre. Je repris ensuite la parole mettant fin à ce bon moment que l'on partageait. Il tenait à s'excuser mais je voyais les choses d'une tout autre manière je lui faisais comprendre que s'il allait mal je pouvais être un minimum compréhensif et que je le blâmerais surement pas pour ses agissements. Je soufflais lentement avant de reprendre la parole. Certes. Mais si tu savais mon état par mon entourage et que tu savais que ça n'avait rien à avoir avec nous, je suis sure que tu serais venu... Lâchais je en disant mon point de vue, tout simplement. Il me souriait et je le faisais également en retour. Son beau sourire, lui aussi j'étais heureuse de le retrouver. J'adorais le regard qu'il me portait à ce moment là je le regardais perdue plongeant mon regard dans le sien, qui m'embarquer loin d'ici. Il caressa doucement mon visage et attrapa de nouveau mes lèvres pour mon plus grand bonheur. Nos langues s'était cherchées et retrouvées. C'est dans ces moments là que je voudrais que le temps s'arrête mais quand je sentais sa main me toucher furtivement, et que mon corps était parcouru de frissons comme à chaque contact avec sa peau. Je me disais que je pouvais pas aller plus loin, pas après ce que j'avais fais. Même si on était pas ensemble et qu'on se voyait plus, ce n'était pas une raison, je respectais trop Maël pour continuer ainsi.. et même si j'avais essayer de lui dire et qu'il n'avait pas compris je me devais de lui affirmer de plus belle, même si j'avais un pincement au coeur et que je savais que cela pouvait tout détruire entre nous, je voulais qu'il sache tout et ne rien lui cacher, de toute manière je ne pouvais commencer quelque chose basé sur des mensonges, alors amitié ou plus, sans savoir fallait que je lui dise. Maël je peux pas ...Lui dis je délicatement , d'une voix hésitante. Maël je peux pas aller plus loin, pas comme ça... Ajoutais je la voix qui tremblait de plus en plus. Maël j'ai essayé de te dire pour le garçon.. J'essayais de poursuivre mais ma voix se fragilisait et se cassait petit à petit. Je m'en fou de ce garçon Maël, mais je t'ai dis, j'ai vu un garçon une seule fois. Ce n'est arrivait qu'une fois. Parce que je pensais que nous deux il n'y avait aucune chance , comme tu ne venais pas me retrouver... Je suis désolée.. Peut importe ce qui se passera ou ce que tu me diras , mais je préfère encore qu'on reste amis, car maintenant je sais que y'aura rien d'autre, vu que tu m'as appelé "mon poussin" et que tu m'as " je t'aime beaucoup" des phrases types qu'on se dit qu'entre amis de toute manière, mais j'ai pas envie de te perdre Maël , j'ai pas envie que tu sortes de ma vie.. je veux que tu en fasses partie, je peux te perdre dans un sens car de toute manière y'avait rien entre nous je me suis faite de fausses idées mais dans l'autre j'en serais pas capable, car ce n'est pas comme si je ressentais rien pour toi alors je veux quand même te voir encore, je pourrais pas faire sans toi ... .Finis je par avouer me mettant en position assise , tentant de toujours tenir son regard, malgré la difficulté de l'affronter.
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Dim 21 Juin - 16:17
J'étais avec Alayna sur mon lit, j'avais essayer de lui dire tant bien que mal ce que je ressentais pour elle.. Je sais que je n'étais pas le plus doué, mais j'essayais tout de même de faire avec... Alors que nous étions encore tout les deux allongés sur le lit, je commençais à la couvrir de baiser en devenant de plus en plus entreprenant avec elle.. Mais là, elle me repoussa.. Comment dire que je ne comprenais pas son geste... Jusqu'à ce qu'elle se mette à parler.. Apparemment lorsque je lui avais demander si elle avait vu un autre homme et qu'elle m'avait répondu oui qu'elle en avait vu un, Blake, moi je pensais que les deux étaient la même personne. Mais vu ce qu'elle venait de me dire, je compris bien que l'homme qu'elle avait vu et Blake étaient deux personnes bien différentes.. Je la laissais donc parler, et je pus finir par comprendre qu'elle avait bien plus loin que je n'aurais pu l'imaginer avec ce jeune homme.. Je me leva alors en colère, s'était évident que je n'allais pas bien le prendre du tout! Elle me dis qu'elle pouvait me perdre mais qu'elle ne pourrait perdre notre amitié.. Qu'elle voulait quand même me voir et qu'elle ne pourrait pas faire sans moi.. La blague pensais-je! Je me mis à rire mais de colère! Il est évident qu'il ne se passera plus rien entre nous Alayna c'est clair! Je pensais que tu serais la seule personne qui serait incapable de me faire du mal et de se foutre de moi mais apparemment j'ai clairement fait une erreur de jugement à ton sujet. Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi, ni sentimentalement, ni amicalement. Sa me répugne! Pars de chez moi, tu me dégoûte! Comme quoi on ne peut avoir vraiment confiance en personne! J'étais vraiment en colère, je savais ma réaction peut être excessive, et s'était aussi la trahison de trop, même si les autres ne venaient pas d'elle.. Je m'étais toujours jurer de ne pas tomber amoureux de qui qui ce soit, parce que c'est inutile et que sa fait souffrir et j'avais bien raison, j'aurais mieux fait de rester sur mes convictions que de faire un effort avec toi et surtout pour toi! J'aurais mieux fait de rester le connard que j'étais avec les filles, t'es comme toute les autres en faite! J'étais tellement déçu que sur le coup j'étais devenu quelques peu méchants.. Et je ne voulais pas aller au delà avec elle parce que quelques parts je l'aimerais toujours.. Je la fis se lever et la poussa délicatement vers la sortie, je n'allais pas être violent dans les gestes avec elle! Je n'étais pas con à ce point! Mais je voulais qu'elle parte. Une fois arrivée devant la porte d'entrée, j'ouvris celle ci. Je ne veux plus jamais te revoir Alayna.. Et je referma la porte.. J'avais dit tout cela sans même lui laisser le temps de s'exprimer. Ma déception n'aurait jamais pu être pire qu'a cette instant..
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Dim 21 Juin - 17:08
C'était un des moments que si j'avais pu faire sans j'aurais bien voulu, mais fallait que je l'affronte à un moment ou à un autre, et je pouvais pas faire semblant avec Maël; il contient bien trop à mes yeux pour que je lui mente, lui cache quelque chose, alors que je ne lui étais pas indifférente. C'est sur que je lui montrais pas vraiment combien je tenais à lui, mais il me semblait qu'il le savait et depuis peu, ce que je ressentais changé, je savais que ce serait dur de rester seulement amie avec lui après ce que l'on avait vécu à deux reprises, mais après ce que j'allais lui annoncer je ne m'attendais pas à un miracle, ou un pardon de sa part, c'était sur, et je voulais encore moins qu'il est pitié. Néanmoins je lui déballais tout et surtout combien il m'était précieux. Il m'écoutait mais il était clair que ce fut très net d'entrée de jeu car il devenait en colère ça se ressentait et peu importe si je me moquais pas de lui, peu importe ce que je pouvais éprouvais à son égard il s'en moquait complètement, et il ne le prenait d'ailleurs même pas en compte, je parlais à un mur, je comprenais en même temps pourquoi lorsque je lui avais dis ce que j'avais fais il avait fermé les oreilles pour tout le reste et il n'était plus capable de m'écouter et dans son cas j'aurais surement réagis de la même façon donc je ne pouvais pas le blâmer mais s'il pouvait au moins me laisser une chance de lui expliquer qu'il était ce que j'avais de plus cher....Rien que le début m'attristais rien qu'à savoir qu'il ne voulait plus rien avec moi , en même temps je m'y attendais ...Mais la suite me prit vraiment aux tripes, dire que je me foutais de lui, que je lui faisais du mal et que j'en avais rien à foutre, c'était bien loin d'être le cas, sinon j'aurais pas attendu qu'il vienne me voir durant toutes ses semaines, et je serais plutôt passer à autre chose, je n'aurais pas pensé à lui sans cesse comme je l'avais fais, et surtout je n'aurais rien attendu de sa part, au moins le message était bien passé. Mais ça me faisait mal de l'attendre, j'avais l'impression que mon coeur ne supportait tout ces mots, et qu'il voulait se rebeller, en faite je pense que j'aurais voulu crier, mais le son ne sortait même pas , je restais stoïque, froide en apparence comme si j'étais capable de tous encaisser alors que ce n'était pas le cas, mais j'étais incapable de me laisser m' effondrer devant quelqu'un. Et s'il avait cette vision de moi c'est sur qu'il ne méritait aucunement mes larmes, alors je les ravalais avec fierté. Puis sa deuxième tirade me donnait envie de l'insulter Comment pouvait il dire qu'il s'agissait d'effort et surtout pour moi, s'il voulait vraiment aller plus loin que de l'amitié fallait le faire avant tout pour lui. Je pensais qu'il s'avait ce qu'il voulait et en faite j'étais déçue car non, et en faite il assumait pas du tout l'échange de la dernière fois, ce qui me faisait croire que je devais également tirer un trait sur les hommes. Mais quand il me dit que j'étais comme les autres je me mordis un bon coup la lèvre pour saigner légèrement, afin de penser à autre chose qui me faisait mal pour ne pas être déstabilisée. Il me poussait jusqu'à la porte et je pensais pas qu'il arriverait jusque là sans même discuter , il me décevait finalement . Je restais alors poser contre la porte, je ne savais pas trop si ça servait que je reste, si ça en valait finalement la peine, je pensais que notre amitié pourrait tout surmonter, mais apparemment je me trompais aussi sur le sujet. Au vu de l'heure je restais près de la route, debout, j'attendis un taxi , une voiture fallait que je rentre et j'avais froid en plus de cela; vu que je portais des choses assez petites. J'en avais gros sur le coeur, et je pensais même pas que ça pourrait m'affecter, mais en même temps, on avait toujours été proche en amitié et c'est surement ça qui jouait , car je pouvais pas avoir des sentiments plus forts que je voulais le croire, impossible. J'envoyais alors un message à Maël: " je n'avais aucunement l'intention de te faire du mal... et je me suis pas foutu de toi par contre toi tu as voulu me faire croire que tu pouvais avoir autre chose que de l'amitié à mon égard et tu as bien joué , parce que j'avais fini par le croire . Tu es et tu resteras la personne la plus importante à mes yeux. On se connait depuis si longtemps. Fais pas des efforts pour une fille, fais les pour toi. Finalement ce n'était qu'un jeu, alors pourquoi l'as tu pris si mal. Je jouais plus avec toi, je voulais poser les armes. Tu vois Alayna naïve ben c'est la dernière fois. J'aurais voulu qu'on se côtoie encore, j'aurais voulu te garder dans ma vie, tant pis. Si tu penses que je vais endosser tous les tords tu te trompes, moi je voulais juste que tu me confirmes ce que tu voulais. Mais comme ce n'était que mensonge, alors bonne continuation Maël, mais tu sais les chemins finissent toujours pas se recroiser. Bisous poussin, moi je t'oublierais jamais." Je regardais mon portable durant des minutes entières et je finis tout de même par l'envoyer...
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Dim 21 Juin - 17:45
J'étais abasourdi par les révélations de Alayna.. En même temps il ne fallait pas oublier que j'étais aussi toujours sous l'effet de l'alcool.. Avec tout ce que j'avais ingurgité, il était évident que nous ne s'étaient pas évaporés en si peu de temps..! Mais le mélange d'alcool et de colère faisait de moi une personne peut gentil et délicate. J'étais tellement énervé que j'entra dans un monologue sans même lui laisser le temps d'en placer une.. Je la reconduis par la suite à la sortie et une fois qu'elle fut dehors, je ne lui adressa ni paroles, ni regards et je ferma la porte! Je partis alors en direction mon bar et me sortit une bouteille, que je mis ni une ni deux à ouvrir, et je repris de plus belles la plus grandes passions qui m'accompagnait depuis peu; l'alcool! J'étais alors affalé sur celui ci à descendre une bouteille de whisky lorsque je sentis mon téléphone vibrait contre le marbre du bar... Je regarda alors, et vit apparaître poussin.. Je ne pris pas la peine d'ouvrir de suite le message.. Mais au bout de quelques minutes, je finis tout de même par le lire.. Au départ je ne voulais pas y répondre.. mais je finis par me décider... " Je ne veux plus rien avoir à faire avec toi.. arrête de m'envoyer des messages, j'ai pas besoin de quelqu'un comme toi finalement...". Je jeta ensuite mon téléphone sur le sol, qui se décomposa en plusieurs morceaux.. J'avais tellement mal au coeur, ce qu'elle venait de me dire me briser littéralement le coeur! Je continuais à boire à outrance.. Je ne voulais plus la voir, et je ne voulais plus voir personnes à vrai dire.. Je me mis à ma grande surprise à pleurer.. J'étais vraiment blessé au plus profond de moi.. Je lui en voulais tellement, s'était la première fois de ma vie que j'éprouvais un chagrin aussi immense que celui ci.. Mais je ne voulais pas qu'elle le sache, oh non je ne le voulais pas...
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Dim 21 Juin - 18:03
J'avais décidé d'envoyer un message à Maël après ses longs monologues je ne pouvais pas lui laisser sans aucune réponse, cela me faisait vraiment de la peine la vision actuelle qu'il avait de moi, de plus elle était fausse, et j'espérais réellement qu'il me percevait autrement. J'attendais dehors dans le froid, et je commençais un peu à avoir peur car aucune voitures ne passaient, c'est bien la première fois que personne ne sort le soir ou rentre tard du boulot c'était bien ma veine. Je reçus finalement un message de ce beau brun dont j'avais tellement peur d'être éprise. Et quand je le lisais que je compris que tout était bel et bien terminé. Alors je ne voulais pas insister, je le laissais se calmer et peut être un jour on se croiserait après tout. La vie ne peut pas faire si mal les choses. Puis une heure passait et j'étais toujours dehors gelée. Je m'étais recroquevillée sur un banc. Et je finis par aller devant la porte de chez Maël j'allais mourir de froid sinon, et puis je pensais à lui, et je pouvais pas laisser les choses se finir ainsi. Je tapais à la porte, plusieurs fois je sonnais,, je criais après lui et ensuite avec aucune réponse de sa part de sa voix ou d'un geste, que j'enfonçais la porte d'abord avec le bras et je me dis très mal d'ailleurs, mais ce n'était rien comparé au fait que je saigne de la lèvre et que j'avais mal psychologiquement parlant. J'essayais ensuite avec le pied et ce fut plus concluant, au bout de plusieurs reprises vu la force que j'avais .. Maël je peux pas partir comme ça .. M'exclamais je gelée, et mon corps qui tremblait. Je ne savais combien il avait bu mais il était assis au sol près du bar, et il semblait être dans un sacré état, je ne savais même plus si il m'entendait. Alors je réfléchissais même pas je courrais en sa direction. Maël, Maël si tu m'entends parles, dis quelques choses ou fais un geste . Lui suppliais je étant vraiment inquiète pour lui. Maël , mon Maël je t'en pris, insultes moi même si tu le désires, j'ai peur pour toi . Ajoutais je alors en le gifflant plusieurs fois pour avoir une réaction. Je tapais alors contre son torse je lui en voulais tellement d'avoir recommencer une fois dehors, j'avais mal oui , je sentais que ça brûlait à l'intérieur , que ça me montait, oui j'avais si peur pour lui, que je faisais naître quelques larmes sur mon visages, qui venaient perlées sur mes joues pour venir mourir en se heurtant à mes lèvres abîmées par le froid et par le saignement, cela me faisait grimacer d'ailleurs car ça me faisait quand même mal. Je colla mon visage contre le sien, front contre front, et prenant son visage entre mes mains. Maël tu peux pas me faire ça, dis quelque chose, je veux juste que tu parles .. Dis je d'une voix faible étouffée par les larmes. Je suis désolée pour tout .. Soufflais je à son oreille.
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Dim 21 Juin - 18:36
Une fois la bouteille en main et le téléphone éclatait contre le sol, je me laissa glisser afin d'être assis.. Je buvais sans cesse et ne pensais plus qu'a la trahison de Alayna.. J'étais tellement énervé.. Je ne voulais plus jamais la voir.. Cela faisait maintenant un moment qu'elle était partis et moi j'étais toujours sur le sol, assis, la bouteille vide au trois quarts. Lorsque j'entendis un claquement contre la porte, je ne me leva même pas pensant à une petite tempête de vent à l'extérieur.. Puis j'entendais encore et encore tapait, mais sans me lever. La porte s'ouvra, je me demanda bien qui cela pouvait être. Et la je vis Alayna apparaître devant, je fus plutôt surpris, et pas forcément en bien.. Elle me dit qu'elle ne pouvait pas partir comme sa.. Elle me demandait si je l'entendais, il était évident que s'était le cas, mais je ne voulais pas lui répondre, tout simplement.. Elle me dit qu'elle était désolée pour tout, et j'espérais bien qu'elle l'était! Moi le mec volage n'était pas aller voir ailleurs, et elle, la fille si gentille qui l'avait fait! Le monde à l'envers, je ne vois pas quoi dire d'autres! J'ai pas envie de te parler Alayna.. Dis-je sans même la regarder.. Je ne veux plus te parler, ni te voir.. J'étais amoureux de toi, t'entends ce que je te dis.. Comment ta pu faire sa... Je releva la tête pour la regarder.. Elle pleurait, ces lèvres étaient abîmés et elles saignaient.. Sur ces joues coulaient des larmes.. Je ne savais pas comment réagir.. Je la voyais tremblait de froid.. Elle avait du rester un long moment dehors.. Je fixa alors son regard, j'avais aussi pleurer.. Je la trouvais tellement belle.. Elle était habiller court et je la désirait tellement fort.. Je ne pouvais pas cacher mes sentiments et mon désir à son égard.. Malgré tout ce qui s'était passer.. Ne dis rien s'il te plait.. Ne dis rien... Je me releva et la pris dans mes bras pour la porter.. Je me rendis jusqu'au canapé.. Je l'allongea sur celui ci.. Je remonta doucement sa jupe et retira son bas de sous vêtements... Je la regardais avec désir... Je la voulais fort et tout de suite surtout... Je retira également mon bas de sous vêtements vu que moi je n'étais seulement vêtu que d'un boxer... Je pris ces jambes afin de les enrouler autour de mon corps et je la pénétra tendrement... Je commença des mouvements de plus en plus intense... Je t'aime.. je lâcha sa comme un cheveu sur la soupe mais je le pensais réellement.. Je t'aime poussin... Je m'allongea complètement sur elle et l'embrassa langoureusement.. Elle était magnifique, comme toujours... Je retira ces jambes d'autour de mon corps, et posa mes mains sur ces cuisses pour entreprendre des mouvements plus intenses.. J'étais amoureux d'elle, elle le savait à présent.. Me quitte plus.. Lâchais-je dans un râle de plaisir.. Jamais j'en avais pris autant d'ailleurs..
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(#)Sujet: Re: Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi... | Dim 21 Juin - 20:09
Plus il répondait pas pour m'envoyer au diable et au plus je voulais ouvrir cette fichue porte qui nous séparait. Peut être que cela ne lui faisait rien je n'étais pas là pour voir de toute manière sa réaction mais au moins apaisée un minimum les choses, afin de discuter tout les deux et de pas partir si en colère l'un envers l'autre on avait eu une dispute aussi violente et c'est dur à encaisser tout de même, je pouvais faire la fière, je pouvais faire la forte il n'empêche qu'il compterait toujours beaucoup pour moi. Alors je finis par avoir le dernier mot avec la porte après de nombreuses reprises pitoyables d'ailleurs comme essai, mais je tentais un peu le tout pour le tout, je n'étais pas un homme, et j'avais la force que je pouvais , on est pas tous super musclé dans la vie. N'empêche que je parvenais à mes fins et la le voir au sol, ça me faisait mal, parce que c'était lui, parce que nous étions amis, parce qu'il comptait de plus en plus, malgré le fait qu'on plaisante entre nous. Et je le voir comme ça , ça me brisait intérieurement, je préférais encore qu'on m'achève moi, car il représentait un être cher. Le plus dur aussi à entendre c'était ses mots qu'il aiguisait comme un couteau, il pouvait me mettre des coups de poignards autant qu"il voulait dans mon coeur, il y aurait toujours une place qui lui sera attribué même avec affaibli. L'entendre parlait me soulagea quand même il avait pas fais d'excès grand ciel c'était déjà ça, pas d'imprudence. Peut importe tant que tu peux parler je peux te laisser . Je voulais m'assurer que tout allait bien quand je t'ai vu ainsi, j'avais peur que tu es trop bu quand je suis rentrée, j'aurais pas pu de voir aller à l'hôpital, ça m'aurait détruit..Lui répliquais je en le regardant même si lui préférait fuir mon regard. Je voulais plus entendre ses mots "plus" comme si je pouvais ni plus le revoir , lui parler, le serrer contre moi impossible, trop dur à imaginer, comme si je pouvais le laisser partir sans même essayer de sauver notre amitié, comme si , comme si je n'avais jamais rien ressenti pour lui il s'y méprenait . Plus je pensais de temps avec lui et plus j'avais peur de craquer réellement pour lui, et surtout le jeu j'en pouvais plus je voulais juste que ce soit sincère y'avait pas à l'expliquer c'était comme ça . Il me dit alors qu'il était amoureux et qu'il comprenait pas comment j'avais pu lui faire cela à lui. Ce n'était pas comme si après tout je ressentais quelque chose pour lui , pas comme si il m'attirait sans que je puisse me contrôler, pas comme si j'aimais l'embrasser, pas comme si je n'avais jamais aimé de ma vie, et que pour une fois je voulais essayer d'être avec quelque pour construire quelque chose. J'avais été une seule fois en couple, et je ressentais rien de chez rien pour cet homme, et les autres je m'en foutais je jouais avec eux, mais Maël c'était toujours sincère j'avais lutter pour succomber, mais à un moment la tentation est trop forte surtout si elle est des deux côtés. Je m'étais laissé trop aller et je voulais pas qu'il brise ma carapace, il l'avait déjà suffisamment entaillée. Et la le mot était , était de trop, parce que ça voulait dire que ce n'était pas actuel. Je sentis mon coeur se pinçait, et cette douleur faisait plus mal que les précédentes. Tu étais .. donc tu ne l'es plus, tu dois surement être soulagé. Lui répondis je les dents serrées, j'arrive pas à sortir les mots, parce que ça m'affecter, comment d'ailleurs cela me faisait de l'effet puisque je ne savais même pas ce qu'était l'amour ou du moindre je le prétendais et le refoulait. Je..c'était pas voulu, oh Maël je voulais tellement que tu me reviennes.. Lâchais je d'une voix fragile et si peu sure de moi contrairement à d'habitude. Le voir ainsi et être si dur alors que je voulais l'apaiser ça me déchirait tant que le voir dans cet état me fis pleurer légèrement alors que je gardais toujours tout en moi, que je contrôlais mes émotions, mais là je pouvais pas le voir souffrir, ni le voir au plus mal, il était mon Maël ,ma petite bouille, mon complément. Il me regarda ensuite et ne voulait plus que j'ajoute aucun mot. Il se releva, et me pris dans ses bras en me portant, je me blottis alors tout contre lui, nichant ma tête dans son cou, je voulais plus qu'il me lâche j'avais trop peur qu'il me repousse à nouveau. Il s'arrêtait au niveau du canapé. Il m'allongea et venait lui aussi, je le sentais relevé ma jupe mais je m'attendais à rien du tout je le fixais , admirant chaque trait de son visage, il était vraiment craquant cet homme... pensais je alors qu'il ôta son dernier vêtement sur son corps . Le voir dévêtu, revoir son corps, faisait montait très vite la température à l'intérieur de mon corps, c'était comme si il venait de m'enflammé en un seul geste, c'était dur de ne pas vouloir le toucher , sentir sa peau, son odeur, redécouvrir tout son être en entier. Je tenais son regard, lui entourant ses hanches avec mes jambes, il me pénétra, et je fermais alors les yeux, je pensais que je rêvais c'est cela, j'étais en plein rêve et le réveil serait dur, je me suis endormie sur le banc c'est ça ? J'ouvris de nouveau les yeux et je ressentais énormément de plaisir qu'il me procurait avec ses vas et viens je regardais son visage avec tendresse, si c'était bien lui, j'avais si peur de le dégoûter, qu'il me voit comme une fille sale, sans la moindre importance, et Après son premier je t'aime, je me sentais comme revivre, libérer de toutes pensées obscures, je ne pu m'empêcher de porter mes lèvres aux siennes, venir les capturer et lui donner un baiser que je ne lui avais encore jamais fais, doux, intense, passionné, mélangé aux sentiments que je commençais à développer à son égard. Je libérais ensuite ses lèvres, rougissant légèrement, et là il me redis les deux mots que j'aimais vraiment entendre de sa bouche. Il s'allongea sur moi et m'embrassa langoureusement , baiser que je prolongeais avec fougue car il me donnait vraiment beaucoup envie de lui. Une fois descellées , je lui dis dans un souffle tendre : tu reviendras pas dessus cette fois ci ... Mon Maël, tu le feras plus n'est ce pas .. Mes mains trouvèrent très rapidement le chemin de son corps et je le caressais sensuellement, je m'imprégnais à nouveau de son corps et je voulais le graver sur le mien, pour ne jamais pu l'oublier aucun trait, chaque courbe, chaque partielle, je voulais tout retenir, jusqu'à son odeur. Je voulais lui dire que moi c'était que de l'amitié et que je ne voulais d'ailleurs plus de l'amitié avec lui, mais chez moi les mots bloqué, pourquoi était ce si compliqué? pourquoi ne pouvais pas lui dire ce que je pensais? j'avais peur de m'attacher à lui, surement parce que mon père avait le con avec ma mère, j'avais peur, peur que cette relation me détruise alors que j'aurais ouvert mon coeur, je pouvais pas, pas maintenant, et pourtant je sentais que je commençais à tomber vers lui.. il était si troublant. Je poussais de longs gémissements, mon bassin roulait de lui même, je le contrôlais déjà plus il ne répondait plus qu'au mouvement de son corps . Tous mes sens étaient en émoi. Il entrepris des mouvements plus intense, je lui mordis alors légèrement le cou de plaisir. Je l'embrassais sensuellement et voluptueusement, ça me piquaient les lèvres mais je m'en fichais je voulais juste le retrouver. Laisses moi dormir avec toi cette nuit.. Lâchais je entre deux jouissements, plus nous avions de relations sexuelles et plus je prenais de plaisir. Il était le seul à me provoquer autant de bien. J'échangeais alors nos positions, le tenant par les hanches pour ensuite faire de profonds, larges, et plus forts coups de bassins. Je frottais ma poitrine contre son torse, puis le reste de mon corps allongeait contre le sien se mélangeait au sien, je voulais graver également mon corps sur le sien.. Certes rien n'était réglé mais je ne voulais pas en parler maintenant et surement pas gâcher ce moment dans nous voulions tous les deux.
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Je sais pas pourquoi mais tous les chemins que je suis mènent à toi...