Eliam Caldas-Moore

j'ai l'vertige quand j'pense à toute la route qui m'reste à accomplir

Caractère

Qu'est-ce t'as à m'regardé comme ça, hein? Tu sais j'suis comme toi, j'ai deux yeux, un nez, une tête, une bouche et j'respire comme toi. Ouais peut-être j'suis plus l'Eliam d'avant, quoi tu t'rapelles plus? T'sais le tout gentil, qui fait pas d'gaffes.. bon, ok, certes, qui a dé-vriller quand il était ado mais qu'il a comprit la leçon maintenant, qui trouve que l'amour bah c'est parfait pour former une famille parfaite et de pouvoir être un jour un papa exemplaire. Bah il a comprit maintenant le Eliam, il a comprit que l'amour pouvait partir du jour au lendemain sans prévenir, comme retirer un sparadrap d'un coup ça fait mal hein? Bah c'est ce qu'on ressent et pendant toute une vie au fond. Maintenant, t'sais quoi? J'm'en fou, fou de l'amour, j'veux plus souffrir t'as comprit? Plus. Alors maintenant si tu veux de moi, ça va être difficile.. Ou pas, tu sais si t'as un joli minois et une jolie silhouette.. ça peut faire l'affaire. Tu m'trouveras plus dans les rues des petits bouges, nah, dans les quartiers banals maintenant, et quoi pas, dans le secteur qui craint? La nuit, j'serai plus dans les soirées tranquilles, nah, les boites de nuit son devenue mes meilleures amies. Ah ouais, et le petit Eliam aussi pas trop bagarreur qui se faisait petit avant? Bah il a grandit et il a prit goût à la rage, donc essaye une fois mais une fois d'le frapper mais t'es mort.
Ouais Eliam a changé l'ami.

crackle bones

Derrière l'écran

Histoire

on s'rappelle de moi ? nah j'crois pas, 3 mois d'silence c'normal. donc, j'm'appelle Eliam Caldas-Moore, j'ai 22 pîges, la première fois que j'suis arrivé ici j'avais.. 21 pîges. ouais. et j'suis partit. non crois-moi j'suis pas partie pour rien, attend, j'avais une vie parfaite: j'allais être en couple avec Hannah, j'avais des bons potes comme ma meilleure amie Aloysia que j'oublierai jamais, un job parfait.. mais pas la famille, faut croire que quand j'suis pas à leur côté ça va jamais.

je t'avais promis qu'un jour tu te rappellerai de nos têtes, je n'étais pas prêt de me taire.
j'étais dans l'lit, celui d'Hannah, on venait de passer une nuit parfaite. Normalement ça devait pas c'terminer comme ça, j'étais juste là pour bouffer mais c'est partit en couille. On a fini dans l'lit, sans manger du coup. Elle était sur mon torse et mon bras contre son dos entrain de le caresser. J'avais un sourire ce jour-là, j'm'en souvient. ouais parce que les sourires aujourd'hui c'rare. Maintenant pour que j'aie un sourire faut que j'me mette en danger genre des plans foireux qui donne de l'adrénaline tu vois, qui te prouve que t'es un vrai mec pas une baletringue. Ouais j'ai changé de rôle, je joue le méchant maintenant, enfin semi-méchant car j'me suis toujours dit qu'il y avait pire que moi, et plus le gentil. Mon portable sonna et je sortit du lit et enfila un boxer qui était juste sur la table de nuit. J'prend mon portable et sors de la chambre. Hallô? d'une voix pas vraiment rassuré. Bah ouais, quand son père appelle alors qu'il n'a jamais son fils depuis qu'il est partit, mais excuse-moi, j'ai l'droit de flipper un coup. Rejoint moi, prend un avion vite démerde-toi. Maman est dans l'coma et là, les larmes commençaient à faire surface, pour l'avant dernière fois. J'ai tellement honte d'avouer, à l'heure d'aujourd'hui que j'ai pu pleuré. J'rentre dans la chambre, me rhabille vite fait et dépose un tendre bisou sur les lèvres d'Hannah en lui chuchotant désolé Hannah.. et partit pour ne plus jamais revenir pendant trois moi. J'prend la voiture et fonce à l'aéroport. Ma mère? Mais c'est tout pour moi. Elle m'a toujours encouragé en tout alors qu'en vrai j'étais légèrement dyslexique mais c'est grâce à elle que j'ai pu y faire face. J'passe tout l'trajet dans l'avion à stressé, les yeux à la limite des larmes tout en me passant les mains dans les cheveux, t'sais mon petit tic là. J'descend de l'avion et cours voir mon père. Elle va bien? il baissa la tête et posa sa main sur mon épaule. désolé fils.. mais ça se passe pas comme les médecins auraient voulut.. Elle est toujours plongé dans le comas je le regarda avec des grands yeux, rouges, irrités par les larmes. Il n’emmena par le bras dans un taxis avec lui à ses côtés, en direction de l’hôpital. c'était tendu. Bah ouais tu crois quoi, trois mois d'silence quand même. Mais j'entra quand même droit dans l'but. Comment elle a atterrit dans un comas? continuant de regarder la vitre de la voiture de mon côté, la voix en rage cette fois-ci. euh.. C'est simple. Elle est allée faire les courses, puis elle a heurté un camion.. Qui arrivait en face d'elle. Elle a eu de la chance. d'une voix pas vraiment rassuré. Je le regarda en rage DE LA CHANCE? T'APPELLE CA D'LA CHANCE? ELLE EST DANS L'COMA HEIN. il soupira, désespéré. T'as raison. et on est repartit dans un grand scilence. C'vrai ça sert à rien d'crier. A vrai dire j'sais pas comment j'ai trouvé c't'énergie pour gueuler. On arrive dans l'hopital et on rentra dans la chambre. Je serra mes lèvres et laissa enfuir une larme. Entre tout ses fils, ses machines elle était là, dans son lit entrain de dormir.. même si on peut croire qu'elle est morte, mais la machine faisait des "bip, bip" et ça m'rassurais. Le médecin entra et me serra la main. Bonjour, tu dois être Eliam non? je serra la main et jeta un regard à mon père. Comment il connait mon prénom? Mon père m'a parlé de vous. Merci d'être là, votre mère en a besoins. mon père parta de la chambre, à la demande du médecin. Vous savez comment elle en est arrivée à là? je lui fait signe que oui de la tête. Oui, elle a heurté un camion effectivement, je voulais vous parler à propos de la suite pour votre mère. il me demanda de m'assoir. J'm'assois. Elle va s'en sortir? stressé. je voulais vous parler de ça.. Elle.. Elle a reçu un plus gros coup qu'on aurait pensé alors.. allez droit au but il regarda ma mère et me regarda d'un air désolé On est pas vraiment optimiste pour votre mère.. Si elle ne se réveille pas avant deux/trois semaines, on a l'ordre de la débrancher.. je regarda ma mère, les yeux pleins de larmes en faisant un signe de tête. ok.. merci. en sortant en claquant la porte fortement. Je tourna dans le couloir essaynt de me calmer, donnant de méchants coups de pieds sur les objets. Je rejettais tout ceux qui me demanda de me calmer. Pendant deux heures j'étais comme ça puis, j'me calma à un moment, miraculeusement. Je posa mes deux mains sur la fenêtre regardant la pluie tomber. ça va fils? je le regarda, les yeux en rage et tourna la tête face à la fenêtre. j'me souviens.. Ta mère a toujours cru en toi. je le regarda et il continua en regardant, à son tour la vitre. quand je regardais les petits qui eux, avaient le même âge que toi et qui savaient déjà marcher et toi, tu marchais encore à quatres pattes il émetta un petit rire avant de reprendre elle me disait "je m'en fou, qu'il prenne son temps, un jour, il courrira vers sa destinée, les autres on s'en fiche" puis il me regarda les yeux pleins de larmes. puis tu l'as fait, t'as marché mais toi, tu ne faisait pas que de marcher, tu courrais en plus je commence à pleuré et tu sais vers où tu as courut la première fois? il posa sa main sur mon bras. Tu as courut vers ta mère, Eliam, c'était ta destinée je m'écroula dans ses bras en pleure. elle me manque déjà.. à moi aussi fils, à moi aussi.

Madame Caldas-Moore a été débranché il y a une semaine, monsieur lui, continua sa vie dans son métier, pensant que ça allait arrêté son chagrin et le fils lui, commence à trainé avec la racaille et à faire des coups foireux.

plus de sang sur vos mains d'un conscient que n'en n'aura le désespéré, qui a prit les armes, pour sortir de son désespoir.

ça fait quatre heures que j'cogite comme un lion dans c'te foutu cage. où j'suis? en garde à vue figure-toi, ouais, on m'a choppé en train de taggué sur le mur d'la police. ouais le gentil, adorable et poli petit evan est devenue, quand son père est revenu à la maison, un vrai loup en ragé, violant et surtout, tellement perturbé par la relation de mes parents, qu'en vrai j'sais même pas c'que sais qu'l'amour. monsieur caldas-moore, suivez-moi je tends mes poignets l'air soûlé. j'en ai l'habitude, il ouvre le grillage et m'attache comme si j'étais un vrai lion dangereux, mais remarque, j'aime quand on m'prend pour quelqu'un de dangereux, comme ça, j'me sens pas un mec ordinaire. il m'attache les poignets avec les menottes et m'emmène dans la salle d'interrogatoire. ça doit faire l'cinquième de l'année, c'un record et encore, l'année n'est pas finie. j'pose mes coudes sur la table et baisse la tête, passant mes mains derrières ma tête. au bout de quelques minutes, la porte s'ouvre ainsi qu'la lumière. j'lève la tête par réflexe, c'est toujours un p'tit jeu pour moi découvrir qui va m'interroger: pascal? celui qui a déjà fait des coups comme moi et qui m'connais bien alors qui m'laisse filer en douce. paul? le lieutenant du commissariat super autoritaire, mais qu'j'aime bien me foutre d'sa gueule car il arrête pas d'cracher d'partout. ou mon père? ouais mon père, ah excuse j't'ai pas dit: mon père est le commissaire du commissariat et ouais, j'pas d'chance mais remarque, quand j'ai eu d'la chance dans ma vie?  jamais, rien, que dalle. e.. eliam? je ricana et croisa les bras en mode détendue. eh nah papa, ça fait plaisir! comment tu vas? il ferma la porte, assez stressé oh ! dis-je en rigolant, puis j'ouvra les bras avec un grand sourire enlève toi l'ballet du cul merde, on s'détend, t'es super stressé là il me regarda avec un regard noir. il croit qu'il m'fait peur c'mec? il en faudra bien plus pour m'impressionner. c'pas son p'tit regard de merde qui va m'faire chialer d'peur. je le regarda d'un air taquin parle correctement eliam, t'es pas dans ta rue là je perds mon sourire et il continua merde quoi, eliam, t'étais pas comme ça avant, tu m'fais vraiment honte en haussant la voix, j'le regarda avec un grand sourire, ça l'agace et j'aime ça. ma rue comme tu dis, c'est mon deuxième chez moi il s'approcha d'moi et s'assois sur la table oulah c'est dangereux ça, tu vas la casser fait gaffe frère en rigolant. il me décolla une claque j'suis pas ton frère. je tourna la tête, serra les dents et les poings. il sait que j'suis un sang chaud, pourquoi il m'a frappé? j'me lève brusquement et il sursauta. je m'approcha d'lui, le regard plein de rage, j'le vois, il a peur comme pas possible, mais monsieur l'montre pas. bah oui, malheureusement, j'tiens d'lui. bah alors, monsieur le policier, il a peur de son fils? enfin si j'peux dire fils en le tenant par l'col de la chemise, j'le sens il tremble, il me regarde dans les yeux, j'sais pas comment il fait pour m'regarder dans les yeux c'mec, il c'est comporté en vrai crapule la mort d'maman et il ose me regarder comment tu peux encore me regarder dans les yeux, hein? j'le lâcha et commença à tourner autour de la pièce. il m'a chauffé ce con et lui-même sait qu'on va régler nos comptes là. que tu le veuilles ou non, j'reste ton père je protesta directement en haussant la voix non, t'es rien pour moi, plus rien, j'ai honte de t'avoir comme père j'avais envie d'le taper, mais il a raison, c'mon père et j'toucherai jamais un membre de ma famille, surement parc' que ma mère en fait partie. mais putain eliam, t'étais pas comme ça avant je souris de rire nerveusement ouais, et tu t'étonnes pourquoi en plus? il soupira pourquoi tu rends tout compliqué eliam? je m'approcha de lui à grands pas ah mais.. parce que c'moi qui est voulut ça? en le toisant du regard. oui, il te suffisait juste d'accepter nah mais t'as vu c'que tu m'demandes là? d'accepter que tu as oublié maman direct après son enterrement en couchant avec la voisine, tu m'dis de t'accepter? tu t'fou d'ma gueule? maman n'aurait jamais fait ça merde, t'es qu'une merde. je m'approcha de son visage ecoute-moi bien, rien ne sera comme avant maintenant, t'as cassé notre famille alors qu'elle était fragile. plus rien ne sera comme avant, sale chien. Plutôt mourir que de refaire une vie avec toi, d'accord? en serrant les dents. il me fait un signe de la tête pour dire qu'il avait comprit. sinon, j'suis là parce que j'ai tagué sur votre mur. enfin, y'a juste une lettre c'bon c'pas la mort, si? mon père soupira va-y sort.. je me lève de la chaise et posa ma main sur la poignée pour ouvrir la porte. ouais j'étais et ils étaient tellement habitués de ma venue que je savais où était la sortie dans c'bâtiment. mais eliam.. la prochaine fois t'y passera en taule.. je pivota ma tête vers lui. y'aura pas d'prochaine fois j'ouvris la porte et partit.

Eliam est donc partit du pays pour retrouvé son ancienne vie. Mais avant, il est passé sur la tombe de sa mère un bon moment.

Voilà, j'suis de retour. On m'en veut pas trop?

crackle bones