Je lui faisais part de mon envie d'être toujours à ses côtés, plus le temps passait et plus j'avais du mal à le laisser partir: Du moindre tant qu'on s'embrassait. Tant qu'on était aussi proches , plus que des amis. Puis avec ce rêve, je n'avais pas envie de le laisser me quitter. J'avais peur, peur qu'il rencontre une autre femme en faite. Maintenant ça me tétanisait, je serais incapable de le voir avec une autre femme. Je me réveillais avec comme première pensée son visage, ce qui me motivait à ouvrir les yeux et le voir devant moi dos à la mer. J'allais donc le rejoindre afin de retrouver cette connexion qui nous liée l'un à l'autre, le prenant dans mes bras, les passant autour de ses hanches. Je déposais un beau et doux baiser sur la joue; en guise de retrouvailles et d'une nouvelle journée à ses côtés. On se retrouvait très vite à l'eau, cela me faisait rire, il me proposait d'aller faire de la plongée, et j'avais envie de découvrir encore de nouvelles choses étant soif de découvertes, de voir les coins de la nature qui sont magnifiques. Je trouvais cette idée passionnante, et cela changeait des sorties habituelles alors c'était à ma convenance.
Sur la route on prit tout de même le temps de prendre un petit quelque chose afin de ne pas avoir le ventre vide. Je grignotais plutôt , je n'étais pas une très grande mangeuse le matin. Enfin sauf si cela a été préparer maison et avec amour, là ça pouvait m'ouvrir l'appétit au contraire. J'attendais qu'il me confirme que les réservations étaient bien faites et que les places ne manquaient pas. Il arriva avec le sourire aux lèvres, je savais alors que c'était dans la poche. Je lui rendais alors immédiatement son sourire, et j'allais le rejoindre, filant avec lui, enthousiaste, pressée, d'apprendre de nouvelles choses et vivre de jolies aventures avec lui. On devait s'équiper pour aller sur le bateau, alors je suivais les instructions de mon beau Enaël. Il m'expliquait ensuite comment faire pour la plongée, il y avait pas tellement de choses à retenir, néanmoins elles semblaient importantes, et je voulais être sérieuses pour notre sécurité à tout les deux. Nous descendions ensuite dans l'eau tout deux, et j'étais ébahis par tout ce que je voyais, je regardais tout avec des yeux d'enfants, je touchais une étoile de mer pour la première fois de ma vie, je caressais un dauphin, c'était fou, complètement et tout cela je le devais à lui. Il me demandait si tout cela me plaisait, si j'aimais avoir fais de la plongée, pour la première fois que j'essayais. Je lui répondis un peu sur l'amour reparlant d'une soirée où on avait regardé flash mais il n'avait pas l'air d'avoir apprécier mon humour cette fois ci. Il restait bien silencieux, trop silencieux à mon goût. Mais cela ne dura qu'un court moment, car je m'emparais de ces lèvres avec passion, je la doublais d'intensité, en passant ma main sur sa nuque, je l'embrassais comme on ne l'avait pas encore fais. Ses lèvres me rendait folle, je voulais être contre lui, je le désirais plus que tout, je sentais que mon cœur appréciait cela, il me le réclamait dès que je me trouvais près de lui comme à ce moment là.
Après cela je ne quittais plus ses lèvres, je le prolongeais allant dans l'eau avec lui, ayant imaginer ce moment une fois remontait sur le bateau, à présent je suivais mon cœur, il était mon seul guide. Et grâce à ses commandes je vivais un autre moment merveilleux à ses côtés. Nos peaux se touchèrent, se rencontrèrent dans l'eau pour la première fois, je sentais tout mon corps être enivré par cet homme dont je tombais follement amoureuse. Il savait dégagé des palpitations dans tout mon corps, le sentant frémir de toute part. Nous remontions ensuite, enfin plutôt lui retrouvait la surface, je me retrouvais seule, vers le fond de l'eau. J'essayais de ne pas paniquer mais c'était plus facile à dire qu'à faire, il fallait l'avouer. Je tentais de m'en délier toute seule, j'y parvenais sous aucun moyen, je commençais à avoir du mal à respirer, et à avoir la vision trouble. Ce qui se passait en suite je ne le voyais pas j'avais juste aperçu une silhouette qui ressemblait à la sculpture du corps d'Enaël, je l'avais surement admirer pour la reconnaitre, il était parfait, trop séduisant. Je sentais mon corps partir doucement.. Et quand j'ouvris les yeux de nouveau, j'étais saine et sauve sur le bateau. Il me tapait dans le dos, et je recrachais l'eau que j'avais inhalée. Je me retournais vers lui , essayant d'inspirer, expirer, pour rétablir pour rythme cardiaque. Il me prit contre lui, j'avais eu peur, vraiment, j'étais affolée, je me réfugiée dans ses bras pour me sentir en sécurité, les larmes aux yeux. Je ... je crois ... que ça va .. oui.... Tentais je de lui dire essayant de retrouver mon souffle. Je souris à sa réflexion , je trouvais qu'elle était bien cherchée. Flash.. où le héros de plein de jolies jeunes femmes, Alors que toi tu es seulement mien, que demander de mieux ? Lui retournais je en souriant légèrement ayant encore du mal à retrouver un équilibre. Il captura mes lèvres m'offrant un dernier baiser en cette matinée, ce qui me fis sourire, et je dis contre ses lèvres : Et ce n'est pas lui qui a le droit de m'embrasser de cette manière. Ajoutais je attirée irrésistiblement par lui. Ariel quitte la mer pour Eric. Lui répondis je pour répondre à sa remarque en lui adressant un sourire radieux. Il me relevait face à lui car je n'en avais pas encore la force, il me faisait récupérer. Si c'est ça, j'espère que tu te battrais pour moi. Lui confiais je comme souhait. Je lui souriais tendrement.
Je me relevais avec son aide, je parvenais à me mettre debout, et c'est ainsi qu'il me proposait d'apprendre à conduire le bateau, je le regardais en coin me demandant s'il était sérieux et apparemment c'était le cas, alors je me disais que cela pouvait être sympathique à faire. Je le suivais , il posa sa main sur la mienne , afin de m'aider à faire aller le bateau pour le diriger. Il savait faire beaucoup de choses cela m'impressionnait, il m'impressionnait, il était plein de ressources. Han mais c'est toi qui me dirige, je veux pas faire d'accident, au secours super héros. Lui répondis je pleine d'adrénaline, j'adorais ce moment. Je ressentais les éléments de l'eau nous conduire, en nous faisant flotter, on se déplaçait au rythme des vagues , c'était encore un instant magique avec lui. J'adorais ma vie depuis ce jour où on avait échangé notre première étreinte et je me disais qu'un jour ça allait surement s'arrêter alors que je vivais un rêve éveillé. Je nous laissais porter par les flots. La brise dans mes cheveux et son corps contre le mien, j'étais au paradis.
Non , je me trompais , le reste était très bien aussi, là c'était l'apothéose, sentir ses lèvres dans mon cou, je m'accrochais au guidon, sentant ce frisson de bien être parcourir chaque partielle de mon corps. Il me retournais ensuite afin que je lui faisais face. Il était là face à moi, beau comme un dieu. Je me mordillais légèrement la lèvre inférieure, sentant cette chaleur naître dans mon bas ventre. T'es trop craquant Enaël.. tellement... Lui répondis je ne bougeant pas, la respiration saccadée. Le contemplant . Je ne répondais pas à sa question suivante, mon cerveau était incapable pour le moment de la prendre en compte même s'il l'avait entendu. Je posa ma main droite sur sa joue gauche étant face à lui. Je capturais ses lèvres avec passion fougue. Je mis ma jambe droite à la hauteur de sa hanche gauche afin qu'il me porte, il me touchait la jambe, puis me souleva, me plaquant contre le guidon du bateau, mes fesses assises dessus. Il gardait ma jambe fermement dans sa main. Je l'embrassais plus amoureusement, passionnément. Je lui mordillais la lèvre inférieure à la fin de baiser poussée par l'envie qui me consumait, cette flamme ardente dans mon corps qu'il venait d'allumer. Je me sentais m'enflammer littéralement. J'en ai envie, tellement envie..Susurrais je sensuellement contre ses lèvres,dans un soupir de plaisir, caressant sa joue puis ses lèvres savoureuses, délectables, électrisantes. Je passais ma main sous son haut, touchant furtivement son torse. Mes mains tremblaient dessinant ses abdominaux. Je le tenais du regard, sentant mon corps s'embrasait davantage. C'était intense, attractif, foudroyant. Je l'embrassais violemment , je le désirais, je le voulais la maintenant, de suite. Après la fin de ce baiser, je le regardais perdue, reculant mon visage du sien, je le pris entre mes mains, baissant le regard, puis dis d'une voix basse mais passionnée: Je peux pas, je peux pas faire ça, je peux pas te faire ça ... Je me laissais descendre du guidon, ayant les larmes aux yeux, j'étais folle de lui, il me faisait tourner la tête, je voulais tellement aller plus loin que je m'en voulais de penser à cela. Ca me démangeais plus que tout, fallait que je le touche, que je l'embrasse. C'était plus fort que moi. Je courais , à perdre haleine. Je courais en direction de la première cabine qui venait à mon encontre. Je me sentais mal, j'avais le cœur déchiré. Je me rendais compte que je venais de tomber amoureuse de cet homme, que je l'aimais. Je pouvais pas lui faire cela, je le respectais trop, et surtout je l'aimais. Oh ça oui je l'aimais, c'était fort, c'était puissant, et ça me rendait dingue, tellement dingue, que je faisais n'importe quoi, je savais plus ce que je faisais. Je voulais être sienne, cela m'était impossible. Alors j'avais mal dans la poitrine comme si on me poignardait le cœur. Cette douleur, me faisait un tel mal, que j'avais l'impression que mon cœur lâchait. Je me laissais tomber contre la porte que je venais de refermer derrière moi. J'avais du mal à respirer. Je soufflais encore, je tentais de rétablir ma respiration; les pulsations de mon cœur s’enchaînaient à une allure déferlante. J'en pouvais plus, j'avais envie d'hurler de douleur, je me pliais en deux. Puis je mettais ma tête en arrière , chaque position me semblait inconfortable . Je restais là de longues minutes, et je ne voulais pas qu' Enaël s'inquiète plus longuement. Alors j'allais le rejoindre , une fois que j'arrivais à respirer d'une manière qui se rapprochait de mes pulsations au quotidien. Fallait que je prenne soin de mon cœur, ce n'était pas le moment de faiblir. Je fis finalement face à Enaël. Du basket ? Du mini golf ? parc d'attraction? Je ne sais pas quelque chose qui change les esprits et libère de l'énergie, ça peut être bien pour nous deux. Ah moins , que tu veuilles que je rentre, et je comprendrais également. Lui suggérais je essayant de paraître calme et j'attendais sa réponse, ça allait être dur, de lutter contre les émotions que j'éprouvais mais je le faisais pour lui, si je ne pouvais pas le voir, alors j'en mourais surement de chagrin, je serais prête à tout pour cet homme, j'en avais la conviction.
I’ve tried to make this life my own, to find myself, I’ve searched alone. To let love go and let it in, I found it burning like a sin. I’ve worked it out, but learned it hard, it’s sad inside and life is out. Till I won’t settle down and watch either way.
Alayna & Enaël
Après ce petit accident de la mer, il fallait que je trouve un moyen qu'elle n'ait jamais peur. C'est comme un accident de voiture finalement, une fois fait, on a peur de reprendre le volant, il faut se faire face et se forcer à continuer à faire comme si rien ne s'était passé. C'était le même système ici, lorsque je l'emmenais contrôler le bateau. J'avais mes mains sur les siennes afin qu'elle n'ait pas peur de nous faire chavirer non plus, mais de sorte qu'elle comprenne qu'on a un peu le contrôle sur la mer, même si parfois elle nous fait faux bonds. J'avais mes mains ainsi posées sur les siennes, j'aimais ce contact encore une fois, qui m'envahissait de toute part. Je sentais l'odeur de ses magnifiques cheveux roux avec le vent, et je sentais mon corps tellement proche du sien que ça en devenait addictif. Être si près rendait la chose encore plus compliquée, je ne pouvais résister. Je posais donc mes lèvres sur son cou, qui m'avait fait de l'oeil un long moment. Le contact de mes lèvres sur sa peau se faisait naturellement, comme si elles avaient été faites pour se rencontrer ainsi. Sa peau était divine, douce, parfaite.
Dans l'élan, alors que je remarquais que de toute façon nous devions être en ligne droite, je la retournais vers moi. Je voulais la voir, la voir des cheveux aux orteils, la contempler. C'était un ange, voilà. Un ange tombé du ciel et ses yeux somptueux, ses cheveux incroyables, son corps de déesse grecque. Tout cela était fait pour m'attirer à elle, comme une drogue, c'était exactement ça. Une drogue qui me faisait oublier toutes les autres et pourtant, qui était là, dont j'avais besoin et dont je voulais me délecter. Une drogue infinie. Là tout de suite, je voulais la faire mienne, je voulais que le monde entier sache qu'une beauté pareille était mienne, que personne d'autre que moi pouvait poser une main sur elle, la regarder comme je le fais. Je m'emparais d'elle malgré moi, malgré tout ce que j'ai fais jusque là pour éviter ça. Je m'imprégnais d'Alayna, la sentant dans ma peau, dans les battements du muscle de ma poitrine, et même dans ce qu'elle me faisait ressentir sexuellement. J'avais envie de son corps, envie de la rendre heureuse, de toutes les façons imaginable.
Elle posa sa main sur ma joue et m'embrassa. Une nouvelle fois, ce baiser était sauvage, dur et pourtant pleins de tendresses. C'était ce qui faisait que j'aimais tant l'embrasser. Je n'avais jamais ressenti ça, ça ne m'avait jamais pris les tripes comme ça, jamais fait perdre la tête comme elle arrive si facilement à le faire. Elle lança sa jambe que j'attrapais contre ma hanche, continuant à l'embrasser comme un fou. Je la plaquais contre la barre et ce que j'avais imaginé devenait réalité malgré moi. Nous en avions envie tous les deux, le feu se consumait de plus en plus. Je ne pouvais plus m'arrêter, et pourtant il le fallait. Je ne pouvais pas faire ça. Elle souffla contre mes lèvres qu'elle avait envie de moi et ces mots résonnèrent partout en moi, repoussant encore plus mon recul. Tout devenait plus fou, le baiser était fougueux au possible, nos corps étaient au plus proches possible. Elle passa ses mains sous mon tee shirt et je la sentais trembler. Mes pensées de m'arrêter là revinrent alors, sentant une certaine faiblesse chez elle. Je ne devais pas lui faire mal, que ce soit physiquement que moralement. Je ne pouvais pas faire ça. Pourtant je m'estimais être le seul à pouvoir, je ne pouvais pas imaginer un autre homme la toucher, cette idée me rendait fou de rage. Je la voulais pour moi, mais je ne pouvais pas. Je ne pouvais pas lui faire endurer un homme tel que moi. Mais, elle anticipa. Elle arrêta tout. Elle se recula, glissa de la barre en soufflant qu'elle ne pouvait pas faire ça. J'avais le souffle court, toutes mes pensées s'étaient entrechoquées, je ne savais plus où j'étais, j'avais dû mal à me rendre compte que c'était elle qui avait mis fin à ce moment agité.
Elle s'en alla en courant, je ne me retournais pas pour l'empêcher de partir ou quoique ce soit, je la laissais aller prendre l'air, parce que je ressentais exactement la même chose qu'elle. Je ne pouvais pas lui faire ça. Je regardais dans le vide, toutes mes émotions entremêlées avaient crées des larmes au bord de mes yeux, qui bien sûr ne couleraient pas. Je ne savais plus où j'étais, je revoyais des tas d'images. Je me prenais la tête dans les main, ne supportant plus d'être ainsi tiraillé. Je souffrais, je souffrais entre deux bords, je revoyais tout ça entre, d'un côté l'aimer comme un fou, la prendre dans mes bras, l'embrasser, la désirer, la faire rire, la rendre heureuse, dormir avec elle, et puis de l'autre je revoyais l'Enaël perturbé, je me revoyais en prison, fumant ma dose,faisant face à des voyous, je me revoyais tuer les deux hommes, et je ne pouvais pas imaginer Alayna au milieu de tout ça. J'étais toxique. J'étais comme l'envie de fumer, irrésistible mais toxique. Mais on pouvait faire face. Je ne pouvais pas la laisser prendre cette addiction. Comme je devais me défaire de l'Enaël mauvais, je devais l'en défaire, elle. Je fermais fort les yeux alors que j'entendais des pas qui revenaient vers moi. Je les analysais, les sentant normaux, elle marchait comme d'habitude, je l'imaginais sans me retourner, et bon dieu qu'elle est belle. Je me retournais vers elle, toujours les larmes aux yeux. Je déglutissais pendant qu'elle m'énonçait ce qu'elle voudrait faire. Elle voulait se changer les idées, elle pensait que ce serait bon pour tous les deux, ce qui n'était pas faux. Le seul truc dont j'étais certain et pourtant qui était idiot, c'est que nous ne devions pas le faire ensemble. J'avais l'intime conviction qu'il fallait qu'elle se détache de moi. Je la regardais alors, attristé mais pourtant très sincère, avec ma voix grave quand je me force à dire quelque chose que je ne veux pourtant pas. « Je pense qu'il vaudrait mieux qu'on aille chacun de notre côté pour aujourd'hui.. Tu as raison, on a besoin de se changer les idées tous les deux.. Mais c'est de l'autre dont on doit se changer les idées donc.. Je vais te raccompagner. » Je me retournais à cette phrase dont je ne voulais pas le sens. Parce que c'était dur de devoir l'éloigner, ça faisait mal, oui j'avais mal, moi Enaël Tate j'avais mal d'éloigner quelqu'un de moi. C'était horrible, ça faisait comme un trou béant dans ma poitrine et je criais de l'intérieur, ça brulait comme des enfers. Mais j'y arrivais, nous arrivions à bon port et sans un mot, je la raccompagnais chez elle.