Des retrouvailles en tête à tête.

FEAT. Alysse

J'étais comme déconnecté du monde, Alysse était si proche de mon visage que je pouvais sentir l'air sortir de son nez. C'était vraiment un moment très bizarre mais j'aimais être là, et je n'aurais aimé être nul part d'autre ce soir a vrai dire. J'avais passé un très bon début de soirée, avec un repas au top en compagnie d'une très jolie jeune femme avec qui le courant passait bien.

Toujours assis sur le banc, le baisé n'était pas loin d'être échangé, mais la pluie vint s'en mêler, et donc nous avions été coupés dans notre élan, j'aurais pu rester assis ici, moi qui aime la pluie, mais Alysse en avait décider autrement. Elle m'avait attrapé la main afin de m'entrainer sous un arbre pour nous abriter de l'eau. Nous étions tremper, ma chemise me collait au corps laissant apparaitre mes atouts masculins. Elle était toute mouillé, et je dois avouer qu'elle était encore plus attirante avec son beau sourire.

A présent sous l'arbre, j'étais a deux doigts de l'embrasser, mais la pris finalement sur mon épaule comme un sac, afin de l'emmener sur la plage l'endroit que je préfère, et en plus sous la pluie, rien ne mieux. << Haaaaa James !! Qu'est ce que tu fais !!! >> criait elle dans mes oreilles. Je riais au éclats, tout en tenant bien contre moi pour ne pas qu'elle tombe, je n'avais pas envie de finir ma soirée a l'hôpital. " J'adore la pluie ! " Lui dis-je entre deux rires. Je sentais des coups dans mon dos, cela me faisais encore plus rire car elle essayait de se débattre mais sans arriver a ses fins.

La pluie avait toujours eu une place dans ma vie, j'adore entendre la pluie claquer sur le sol, j'adore l'odeur de la pluie sur le sol chaud, j'adore la pluie, car en général les gens ne l'aime pas, et donc, tu peux être seul sous la pluie sans que personne ne te bouscule. C'est l'endroit idéal pour passer une bon moment seul. Je voulais faire partager a Alysse mon amour de la pluie. je pense qu'elle avait compris que la pluie ne me dérangeais absolument pas, bien au contraire.

Sans s'en rendre compte, je nous avais fais arriver sur la plage, qui était devenu déserte a cause de la pluie. On pouvait entendre le vent et l'eau s'agiter, c'était vraiment très agréable. A peine posé au sol, Alysse se mit a me chatouiller, et je suis très sensible a ça, je déteste ça, je me laissa donc faire, sans aucunes défenses, je m'écroula au sol, entrainant la jeune femme avec moi.

A présent allongés sur le sable, je fermais les yeux un instant appréciant les gouttes de pluies tomber sur mon visage. Je mis quelques minutes avant de me redresser avec l'aide de mon avant bras. J'avais passé ma tête au dessus de la sienne, dégageant son visage de ces cheveux. Une main sur son ventre, je déposais alors délicatement mes lèvres sur les siennes. J'avais vraiment peur que ça soit une erreur, et qu'elle allait me repousser car après tout, nous nous connaissions que depuis peu de temps. Et je n'étais que le frère de sa meilleure amie. Mais cette idée me sortie de l'esprit quand je sentis ses mains passer dans ma nuque afin de me rendre un baisé. La pression de ses mains derrière mon cou, était faite pour que je m'approche un peu plus d'elle, sentant alors sa poitrine contre mon torse.

Je sentis son corps de relever, je me décalais alors instinctivement, sans pour autant lâcher ces lèvres. Je me redressais donc à mon tour me mettant a genoux pour être face à elle. Je sentais le vent essayant de nous traverser. Mais rien n'y pouvait nous étions collés. Je sentais ces bras m'enlacer, comme si elle voulait s'agripper a moi pour ne pas être emporter par le vent. Le baisé devint plus fougueux, restant toujours très romantique, très sensuelle. Le monde avait comme arrêté de tourner. Nous étions coupé du reste. Je n'avais pas ressentis ce bien être depuis longtemps, ce sentiment que rien d'autre ne compte, que rien ne pouvait arriver. Je remontais doucement mes mains le long de son dos afin de m'arrêter a ses cheveux, passant mes mains alors dedans.

La pluie vint alors s'arrêter, laissant place de nouveau au étoiles et dégageant la lune qui éclairait parfaitement la plage. Nous relevions alors tous les deux la tête, séparant nos lèvres. Nous nous sommes mis a rire bêtement. << Que vient-il de se passer... James.. je, je me sens bien..si bien et ce baisé... Ce baiser était magique.>> Elle disait ces quelques mots en passant l'une de ces mains dans mes cheveux. Je sentais alors une drôle de sensation, un frisson me traverser tout le corps. Je levais alors mes mains avec un regard d'enfant, puis je me mis a rire de nouveau. Je ne savais pas quoi lui répondre. Est ce un baiser d'amour, d'amitié ou simplement le vin nous montant trop a la tête... Quoi qu'il en soit, j'avais vraiment envie de recommencer, ces lèvres étaient si douces, si tendre, si tout. Je voulais de nouveau ressentir ce que j'avais ressentis lors de ce premier baiser, je voulais toucher sa peau, embrasser son cou. Mais quelque chose me dérangeais, la situation avec ma sœur. " Peu importe ce que c'était, j'ai beaucoup apprécié, et j'aimerais recommencer si tu le permet." Lui dis-je.

Elle n'eut pas le temps de répondre, car j'avais pris sa tête entre mes mains très délicatement, redéposant mes lèvres contre les siennes. Je me mis a rire contre ces lèvres " Je crois qu'on va attraper une bronchite ou un truc du genre." Dis-je contre ces lèvres. " Peu importe, je suis super bien là avec toi." Avouais-je a la jeune femme droit dans les yeux, lèvres contre lèvres.

Des retrouvailles en tête à tête.

FEAT. Alysse

Qui l'aurais cru.. Alysse et moi, ce baisé, ce moment rien que nous deux ? Ce matin en me levant, je n'aurais jamais pu imaginer ce qu'il allait se passer durant cette soirée. Je n'imaginais pas non plus cette facette d'Alysse.

Nous étions là tous les deux sur la plage, nos vêtements trempés par la pluie. Le vent nous donnait la chaire de poule mais rien n'y faisait, nous n'arrivions pas a nous quitter, a s'éparer nos corps froid et pourtant si chaud a l'intérieur. Alysse n'était qu'une amie enfin une connaissance, une amie de ma sœur, alors pourquoi je ressentais des papillons dans le ventre ? Pourquoi je n'avais qu'une envie, de la prendre dans mes bras pour la protéger du monde ? Tant de questions dans ma tête. Mais je n'avais pas envie de me prendre la tête, surtout à ce moment là. J'étais comme un gamin a ce moment là, je n'avais plus envie de quitter ces lèvres, la passion m'emportait. Mais la pluie vint briser ce baisé si intense. Heureusement dois-je dire?

Je repris sa tête délicatement entre mes mains afin de l'embrasser de nouveau, je voulais ressentir de nouveau cette adrénaline. Seulement, il commençait a faire froid, et je sentais la peau de la jeune femme frigorifier, je ne voulais pas qu'elle tombe malade bêtement à cause d'un baisé. C'est alors que près de ses lèvres, je lui dis que même si on allait attrapé une bronchite ou un truc du genre, je m'en fichais car le plus important c'était d'être avec elle.

<< Oui.. On devrait y aller.. avant de mourir de froid..>> me dit elle toujours les lèvres collées aux miennes. Je remontais mes mains le long de son dos, et les redescendait, je fis ça quelque instants pour essayer de la réchauffer mais rien n'y faisais car nous étions mouillés jusqu'aux os. " Oui, tu as raison, je ne voudrais pas que tu tombe malade par ma faute." Dis-je en caressant doucement l'une de ces épaules avec mes doigt mouillés.

Elle me proposait alors d'aller chez elle. << Allez viens, on est pas loin de chez moi>> me dit-elle en prenant ma main afin que l'on se relève. Une fois debout, je sentis ses doigts s'entrelacer aux miens. C'était si romantique, si beau, si irréel qu'on pourrait se croire dans un rêve. " Allons-y beauté." Dis-je en riant.
Je trouvais la situation de plus en plus étrange, c'était bizarre, nous n'étions pas un couple, loin de là, mais les gens dans les rues auraient pu y croire, mains dans la mains, le sourire aux lèvres.

Cinq minutes a peine, et nous étions arrivés a son domicile. Nous étions dans l'entrée de l'immeuble. On ne savait pas pourquoi mais nous rions bêtement, le vin était vraiment pas une bonne chose. Un couple entraient alors quelques minutes après nous, ils nous dévisageait c'était asse drôle, je sentis un coup de coude dans mon bras. Je regardais alors Alysse et éclat de rire. Les deux individus devaient nous prendre pour des fous, et des jeunes petits cons.

Nous arrivons enfin dans son appartement, au septième étage. La jeune femme déposait alors ces affaires sur le buffet, je pris soin de fermer la porte derrière moi. C'était la première fois que je venais chez elle. C'est plutôt mignon, un vrai foyer de femme. Ca sentait bon son parfum, c'était très agréable. Elle entrait alors dans son salon qui était ouvert sur une cuisine américaine. Je la suivais regardant tout autour de moi, curieux de découvrir son cocon.

Une fois la lumière allumée, je sentis son regard se poser sur moi, je la regardais a mon tour, et je vis qu'elle détournais son regard pour ne pas croiser le mien, elle avait l'air gêner pourquoi ? Dans le noir tout est plus simple, moins effrayant. A la lumière tout est différent, on ne peut plus se cacher. << Je vais te.. te chercher une serviette, tu peux mettre tes affaires mouillé par terre. Je vais les mettre au sèche linge, d'accord, donc.. heu, déshabille-toi.. Heu.. enfin je veux dire.. Merde>> dit-elle en se cachant avec ses mains. Je me mis a rire à mon tour gêné par sa proposition. Je ne savais pas trop quoi faire, si je devais faire ce qu'elle avait demander ou fuir comme un gamin de peur de gâcher notre amitié ou quoi que ce soit.

Mais au final, j'étais bien, et je voulais profité de ce moment. Alors effectivement, je retirais ma chemise, mes chaussures et chaussettes et pour finir mon pantalon, je restais donc en boxer. C'était un peu gênant de ce retrouver quasiment nu chez une fille que je ne connais que très peu au finale.
J'attendais son retour accoudé au bar qui s'éparait la cuisine du salon. Je ne la vis donc pas revenir récupérer mes vêtements. Elle les avait prit sans un bruit, comme une petite souris.

Quand elle réapparue dans le salon, je me tournais légèrement, face à elle. Je n'avais pas vu le peignoir poser sur le fauteuil. Je la vis habillé d'un petit short et d'un pull large, laissant apparaître son épaule. Je dois avoué qu'elle était vraiment très sexy dans cette tenue. Elle était belle au naturel.

<< Tu.. tu veux quelque chose.. Enfin, à boire je veux dire.. quelque chose à boire ?>> me dit-elle, d'une voix timide. C'étais plutôt drôle de la voire comme ça avec moi, comme une enfant, ne sachant pas par où commencer. " Donnes moi ce que tu veux." Lui dis-je à mon tour toujours accompagné d'un sourire. " Je suppose que le peignoir est pour moi ?" Demandais-je alors.

Je ne voulais pas la mettre mal à l'aise, mais je dois avouer que je pensais qu'a l'embrasser de nouveau, mais c'était trop précipité, je ne voulais pas qu'elle pense que je n'étais qu'un chaud lapin. Je ne voulais pas qu'elle soit déçu, encore une fois par un homme. Alors je ne la quittais pas du regard, tout en enfilant le peignoir, je le fermais avec la ceinture, je laissais un espace pour laisser entrevoir mon torse. " Tu es très jolie dans cette tenue." Lui dis-je pour la flatter.

Des retrouvailles en tête à tête.

FEAT. Alysse

Arrivés chez elle, j'étais comme intimidé, c'est vrai, je n'avais jamais été chez une femme depuis le départ de Joy. Je n'avais eu que des coucheries d'une soir et une ou deux fois, rien de plus, mais là, ce soir, c'était très différent. Je ne voulais pas lui faire de mal, je voulais passer une bonne soirée cela faisait longtemps. J'étais vraiment bien avec Alysse, tout avait l'air si simple. En un seul regard je pouvais comprendre ce qu'elle voulait, le son de sa voix me faisais immédiatement sourire, et son regard me désarmait, elle me faisait complètement fondre. Je n'avais pas ressentis ça depuis longtemps.

La lumière de l'appartement nous montraient sous nos apparences dénudés, j'étais simplement en boxer, c'était un peu gênant, mais j'étais plutôt fière de mon corps, j'en prenais soin. C'est vrai que je suis quelqu'un qui aime plaire, et en général je plais, et les femmes ne me résiste pas. Enfin, a l'époque j'étais un coureur de jupons, seulement depuis la naissance de mon fils, je m'étais calmer, et devenu plus responsable.

Après s'être changer, et avoir retirer ses vêtements mouillés, elle revint vers moi dans le salon, habillé d'un simple pull large laissant apparaitre son épaule dénuder, montrant qu'elle ne portait aucun soutien gorge. Elle m'attirais vraiment, elle était très jolie au naturel, je n'aime pas les femmes trop refaite, trop maquillé, trop tout, je préfère les femmes simples, et elle l'était, enfin c'est ce qu'elle laissait paraître.

Elle m'avait proposer de boire quelques chose, et je lui avais répondu qu'elle pouvait me servir ce qu'elle voulait. C'était un peu a double sens. Je voulais effectivement quelque chose à boire, mais que si elle voulait plus, je n'étais pas contre. Elle pouvait prendre cette réponse comme elle le voulait. Je n'allais pas lui sauter dessus non plus, mais l'envie était présente.

Je ne cessais de la regarder, je ne pouvais pas la lâcher du regard, comme hypnotisé par sa beauté et son caractère. Je voyais bien qu'elle avait l'air gêner face à moi. Elle ne savait pas trop comment réagir. Nous étions comme deux enfants, ne savant pas quoi faire. Après avoir remarqué le peignoir, je lui demandais si c'était effectivement pour moi. Elle hochait simplement la tête en guise de réponse. Je l'enfilais alors, le laissant un crant ouvert, laissant apparaître un chouilla mes pectoraux. Nous étions là, face à face, ne sachant pas quoi dire. Elle détournait mon regard sans cesse. J'avais fais part de mon sentiment, lui disant que je la trouvait très jolie dans cette petit tenue. << C'est un vieux pull..>> me dit-elle en tirant nerveusement sur celui ci. " Peu importe, tu es très jolie, j'ai le droit de te complimenter ?" Dis-je toujours le sourire aux lèvres. Je voulais peut être inconsciemment la séduire et la charmer.

Je m'étais collé dos au bar afin d'être face à elle, toujours la regardant de haut en bas. Elle s'approchait de moi doucement, trainant les pieds, se mordant la lèvre inférieur, et remettant sa mèche correctement. Je sentais l'envie monter de plus en plus quand elle déposait l'une de ces main contre ma peau, sur mon torse, elle pouvait sentir mon cœur battre de plus en plus fort a son toucher. Elle levait doucement la tête vers moi, et moi baissant la tête afin d'être très proches de ces lèvres. << J'ai envie de t'embrasser...>> me dit-elle. Je regardais son épaule dénudé, son cou, pour enfin redéposer mes yeux dans les siens. J'en avais vraiment envie aussi, mais elle se séparait de moi en disant << Je... je crois que j'ai besoin d'un peu plus de courage...>> Je la regardait s'éloigner de moi, sans rien dire. Elle allait dans le frigo et sortie une bouteille de vodka. Je ne suis pourtant pas du genre à boire sans raison, surtout que j'avais déjà pas mal bu de vin et ça me montait déjà a la tête. Mais je me laissa tenté par un petit verre de vodka. << Un petit verre ? >>, je souris accoudé au bar. " Aller, vas pour un verre " Dis-je avec un léger rire. Je pris le shooter qu'elle me tendait. " Merci princesse" Dis-je avec un sourire. Ce mot était sortit tout seul, ça venait vraiment du cœur. Ni une ni deux, j'avalais le verre d'une traite, et le reposais sur le bar.

Elle n'avait pas réussi a m'embrasser quelques minutes avant, alors moi, j'allais le faire, j'en avais envie, elle aussi, alors pourquoi se priver ? Nous étions deux adultes consentants. Je m'approchais alors d'elle, la fixant. Plus j'avançais, plus elle reculait, sauf qu'elle fut arrêter par le comptoir, je caressais alors doucement sa joue droite avec le revers de ma main, puis je descendis ma caresse le long de son épaule dénudé. << Je..je vais éteindre la lumière, d..d'accord ? >> dit-elle d'une voix timide. Je n'eu pas le temps de lui répondre qu'elle s'était faufiler, afin d'aller éteindre la lumière.

La lumière de la lune qui éclairait le salon, donnait une ambiance très romantique et sensuelle. Après avoir éteins la lumière, je vis sa silhouette contre le mur, ne bougeant plus. Avait-elle changé d'avis ? Je soupirais un bon coup, j'allais aller l'embrasser de nouveau, et ne plus la lâcher, mais c'est finalement elle qui vint vers moi. J'allais lui dire que je ne lui demandais rien, que nous pouvions arrêter là, mais je n'avais pas eu le temps de dire quoi que ce soit, elle s'était agrippé a moi, déposant ces lèvres contre les miennes, je ne pouvais pas la repousser, je prolongeais alors le baisé si sensuel et fougueux.

Les questions qui tournaient dans ma tête étaient de nouveaux présentes, j'avais peur de ce qui pouvait se passer entre nous; je ne voulais pas qu'elle souffre, je ne voulais pas qu'elle soit malheureuse, je lui voulais que du bien. Je m'étais attaché si rapidement que ça en était effrayant. Je la sentait qui reculait afin e de nous amener au cœur du salon, je n'avais pas lâché ces lèvres si douces. << James.. si tu ne veux pas.. Arrêtes moi, mais.. Je t'en prie ne dit rien.>> avait-elle dit après s'être séparer de mes lèvres. " Tout va très bien, c'est parfait" Lui dis-je en l'embrassant doucement dans le creux de son cou.

Elle écartait ses mains afin de faire tomber le peignoir que je venais d'enfiler. Je me retrouvait alors en boxer de nouveau, face à elle qui était encore vêtu de son pull et de son short. Je l'entourais de mes bras musclés, en la serrant contre ma peau encore fraiche de notre séjour sous la pluie. Elle m'embrassait une nouvelle fois, et chaque baisés étaient différents, si intense et sensuel les uns que les autres. Le désir montait de plus en plus. Elle me tirait doucement par la main afin de nous amener au canapé. Mais elle trébuchait et nous tombions sur le canapé, je me retrouvais alors au dessus d'elle. Je m'appuyais sur mes bras afin de ne pas l'écraser. << Désolée, je suis... maladroite ce soir.>> me dit-elle, je lui souris et ris par la suite. " Je trouve ça encore plus attirant." Dis-je. Cette fille me faisais vraiment rire, elle était enfant et en même temps très femme fatale, très sexy, bref, une femme parfaite ?

Lèvres contre lèvres, elle se redresse doucement, je me redresse moi aussi, afin de la laisser s'assoir a califourchon sur moi. Je dépose timidement mes mains sur ces hanches. Elle détache ces cheveux blond, ils tombent sur ces épaules. Je glisse mes mains sous son pull en laine, caressant son dos. << Embrasse-moi encore James.. Je t'en prie, embrasse-moi>> . Je la regarde dans les yeux, et lui souris. Ce moment est si intense qu'il en ait presque effrayant. " A vos ordres jolie demoiselle." Lui répondis-je avant de prendre sa tête entre mes mains et de l'attirer vers moi. J'attrape ces lèvres et l'embrasse très langoureusement, je passe mes mains dans ces cheveux encore humide. Je sens l'excitation monter, elle me plait, j'ai vraiment envie d'elle. Ce n'est pas que du sexe entre nous, enfin c'st l'impression que j'en ai, il y a autre chose, quelque chose de sensuel et une attirance inévitable.

Je l'embrasse par la suite dans le cou, a plusieurs reprise, je sens ces doigt passer dans mes cheveux et appuyant ma tête contre elle. Son parfum est si doux et si fleuris. Sa peau est si douce, que mes mains se baladent sur son corps. Je caresse ensuite doucement ses jambes nues et remonte jusqu'à son short. Je passe mes mains entre elle et moi, et déboutonne son short doucement, sans la brusquer. Je passe mes mains alors sous son pull afin de caresser son ventre, je les passe ensuite au niveau du bas de son dos, et la tire vers moi, afin que nos deux corps ne se quitte plus.
Le moment était très surprenant, mais si magique et si intense et je ne voudrais être nul par d'autre que sur ce canapé, avec elle. Plus rien n'avait d'importance. J'étais seulement bien.
" J'ai très envie de toi tu sais..." Dis-je rapidement au creux de son oreille.

Des retrouvailles en tête à tête.

FEAT. Alysse

L'instant était critique, j'étais sur le point de coucher enfin de passer la nuit avec une femme, une si belle femme, si sexy, si attirante, si existante. C'était comme nouveau pour moi, je n'avais pas ressentis ce désir depuis si longtemps, cette chaleur qui traversais mon corps a chacune de ces caresses, de ces sourires.

Jamais je n'aurais passer me retrouver là, maintenant. Alors qu'elle me retirait lentement le peignoir qu'elle m'avait gentiment prêter afin de me couvrir, je ne cessais de la reluquer. Je n'aurais pas été habillé longtemps. Les caresses sur mon tors, m'existait doucement, je sentais la pression monter, la chaleur monter. Face à elle quasiment nu, muni d'un simple boxer, j'étais a présent vulnérable, plus rien ne pouvait me cacher, je devais être simplement moi à présent.

J'avais une envie folle qu'elle se retrouve nue aussi, mais je ne voulais rien précipité, tout était tellement bon que je voulais profité de chacun de ces baisés, de ces sourires. Je ne cessais de l'embrasser dans le cou, sur la joue, sur ses lèvres, je sentis sa main enlacer la mienne afin de me tirer contre elle, afin que l'on se retrouve sur le canapé, seulement, maladroite, elle nous fit littéralement tomber, et je me retrouve au dessus d'elle. Je ne vois que des ombres, l'ombre de son visages, quelque traits si pure et si doux grâce a la lumière de la lune. Je sens ses yeux plongés dans les miens, je perds alors tout contrôle, je ne peux retenir l'excitation. Cette femme c'est y faire.
Elle me pousse doucement afin de se mettre a califourchon sur moi, que j'aime la voir prendre le contrôle. Elle s'est ce qu'elle veut, et c'est très intéressant. J'aime pourtant avoir le dessus, mais face ç elle, je ne sais quoi faire, je suis désemparer, et puis, ça ne fait pas de mal de se laisser faire. Délicatement, je déposais mes mains sur ces hanches, la tirant de plus en plus contre moi, pour la sentir a travers mon boxer.

Elle fit glisser son short le long de ces jambes, ces si belles jambes, longues et fines, douces aussi. Je laisse mes mains parcourir son corps pour me retrouver sous son pull. Ce pull qui gâche tout, qui me sépare encore de son buste, de sa poitrine. Je n'attends qu'une chose, de pouvoir embrasser celle ci, de me perdre dans ces baisés.
Je prends sa tête entre mes mains et l'embrasse de plus en plus langoureusement. Je passe mon pousse sur sa bouche humide, je passe doucement le long de ces lèvres, que je m'empresse de ré embrasser.

Elle se dandine sur moi, laissant l'excitation venir doucement, ces mouvements contre moi, la chaleur de son corps et ces lèvres parcourant mon torse. On ne peut pas éviter l'inévitable, une bosse se forme alors sous mon boxer. La machine est en route, on ne peut plus revenir en arrière. Elle embrasse mon torse descendant jusqu'à mon boxer, qu'elle embrasse également, tout en passant sa main dessus, elle a réussi a me rendre dingue, je suis tout à elle ce soir. << Moi aussi James.. et je m'offre à toi. Fais de moi ce que tu veux.. la nuit nous appartiens.>> me dit-elle sensuellement. Cette phrase surprenante, me laissait croire qu'elle ne se prenait que pour un objet, alors que non, c'était une femme si magnifique et intelligente, que je ne pouvais pas laisser passer ça. Je ne voulais pas qu'elle soit comme avec les autres, je voulais qu'elle soit différente avec moi, pas que du sexe, de la tendresse, de la chaleur.

Son pull, son pull je voulais lui arraché sauvagement, afin de n'avoir plus aucunes barrière entre nous. Comme si nous étions connecté, je la vis passer ces mains au bas de son pull, et le remonte délicatement, laissant entrevoir son ventre, puis doucement sa poitrine, je suis son pull de près avec mes mains, caressant son corps, je m'arrête a sa poitrine quelques instants, et l'aide a retirer ce bout de laine qui nous sépare. Elle replace ensuite ces cheveux sur l'une de ces épaules. Elle roule ces hanches contre moi afin de faire monter l'excitation encore plus qu'elle ne l'ai déjà. Elle se met a genoux sur le canapé, montant sa poitrine au niveau de mon visage, je plonge alors le nez dedans, et l'embrasse sensuellement, avant de remonter a son cou. Les baisés de plus en plus intenses ne cesse de s'enchaîner, comme si nous étions des aimants, attirés l'un vers l'autre.

Elle rompt alors un énième baisé, me laissant le goût de sa salive sur mes lèvres. Elle descend sur canapé, me tirant par la main, on se retrouve de nouveau collé par nos corps si chauds. Elle m'attire alors dans un couloir sombre, que l'on se cogne dans pleins d'objets, les laissant tomber au sol. Je la plaque alors contre le mur du couloir, laissant une main remonter le long de sa jambe. J'avais très envie d'elle toute suite, et ça pouvait se voir a la taille de mon membre existé.

Je la porte délicatement, la collant contre moi, ne voulant plus la lâcher, d'un coup de main, je retire tous les objets qui se trouvaient sur le petit meuble et je l'assoie sur le buffet du couloir, ses jambes entour mon bassin, je ne peux m'empêcher de caresser sa douce poitrine. Je la fit redescendre afin qu'elle me mène a sa chambre.

Arrivée dans la pièce, nous tombèrent sur le lit, moi au dessus d'elle, je n'ai qu'une envie c'est de lui retirer le reste de ses sous vêtement. Je sens son corps se coller au mien a chaque baiser, a chaque caresse. La situation devient de plus en plus hot, ma respiration s'accélère a chacun de ces mouvements, de petits gémissements sortent de ma bouche, montrant le plaisir que je ressens face à elle.

Elle se redresse doucement, je me place de part et d'autre de ces cuisses, a genoux, ne voulant pas l'écraser, je ne cesse de l'admirer, son corps si parfait. Je la rallonge brusquement, et embrassant son cou avec fougue, je descends doucement le long de sa poitrine, puis embrasse doucement son ventre si doux, je m'approche de ce petit morceau de tissu sur me sépare de son intimité, si humide par l'excitation. Je remonte doucement, me frottant a son corps, faisant glisser mes mains sur tout son corps. Je la sens s'agripper à moi, laissant pénétrer son ongles dans mon dos. Ce qui est certains c'est que j'aurais encore la trace le lendemain tellement elle m'avait griffer fort.

Elle me poussa sauvagement, afin de se retrouver sur moi, je lui souris, car elle avait l'air d'apprécier ce moment. " Il suffisait de demander si tu voulais être au dessus" Dis-je sur le ton de l'amusement. Elle se mit a rire doucement, continuant ces mouvements contre mon boxer qui ne cessait de se tendre. Mes mains parcourraient sans cesse son corps de femme. Ces baisés le long de mon corps, me rendaient complètement fou, j'étais au max. Sa main sur mon membre dur, ce là me rendait incontrôlable. << Dis-moi ce que tu veux James... Dis-le moi. Dis-moi ce que tu veux que je te fasses...>> me dit-elle alors qu'elle se trouvait non loin de mon boxer. Je ne répondis rien, car j'étais pris dans le mouvement. " Rien, je ne veux que ton corps, je te veux toi." Dis-je la remontant doucement le long de mon corps afin de reprendre possession de ces lèvres. Je ne voulais rien de particulier, la douceur de sa peau et la chaleur de celle ci, me convenait parfaitement pour le moment. L'excitation était si présente que je ne pouvais pas, plus attendre. Elle était au dessus de moi, alors je passe l'une de mes mains en dessous de son petit bas de sous vêtements, caressant ses fesses tout en faisait pression pour qu'elle sente a quel point j'étais existé. Avec mon autre main je descend doucement mon boxer laissant apparaître mes bijoux de famille, elle le fis glisser le long de mes jambes avec son pieds, caressant mon entre-jambes.

Tout doucement, je lui retire le dernier morceau de tissu qui me sépare d'elle. Elle s'allonge sur moi, nos deux corps l'un sur l'autre, on peut sentir la chaleur monter. Je nous fais alors basculer, pour me retrouver de nouveau au dessus d'elle. Je me colle et me frotte a son corps pour faire monter la pression, et le désir, je veux lui faire du bien, qu'elle se sente aimer au moins une fois, au moins une nuit. Qu'elle se laisse aller, qu'elle ne réponde plus d'elle; Je met des petits coups de bassin qu'elle sente le désir que je ressentais pour elle a ce moment là. Je ne cesse de l'embrasser. Nos deux respirations en décaler, font que nos bustes ce touchent sans cesse, je sens sa poitrine contre mon torse, plus rien n'est contrôler. Le moment tant attendu est sur le point d'être réaliser, mais j'attends encore un peu, le signe qu'elle est d'accord, qu'elle me laisse entrer en elle, je n'attends que le signe. Je sens ces mains posées sur mon postérieur, elle ne cesse de me caresser, ce qui me rend de plus en plus fou, l'excitation est au maximum. La bombe est prête a exploser, il ne suffi que d'un geste pour que le feu d'artifice pète.

Même si j'ai peur de ce qui pourrait se passer au lever du jour, je n'avais qu'une envie a ce moment là, j'avais envie d'elle, simplement d'elle. De me sentir revivre, simplement être un homme face à une femme et non plus un simple jeune papa célibataire.

Des retrouvailles en tête à tête.

FEAT. Alysse

La nuit avait été complètement dingue, je n'avais pas passé une telle nuit depuis des lustres. Si tendre et si torride à la fois. C'était vraiment une nuit fabuleuse, nos deux corps étaient tellement en harmonie et si synchronisé, qu'on auraient pu croire que nous étions un couple unis. Or, non pas du tout, nous étions amis enfin peut être plus sans être amoureux, enfin non.

J'avais vraiment tout donné, je lui avais donné mon corps et mon âme cette nuit ci. Je m'étais totalement ouvert et découvert. Je n'aurais jamais pu imaginer pouvoir passer une soirée et une nuit avec une femme depuis le départ de la mère de mon fils. C'était ci différent avec elle. Je voulais la protéger, lui faire du bien, la rendre heureuse, pas comme un frère, par comme un petit ami, comme un homme envers une femme qu'il désire.

D'après ces gémissements voir ces cris, j'avais réussis a lui donner du bon temps. J'en avais pris également, j'avais vraiment pris mon pied. Lèvres contre lèvres, c'est avec un souffle immense et un cris ultime que nous atteignons le point G.

On se laissaient tomber sur le lit, relâchant toute pression. Ma tête contre sa poitrine, je pouvais sentir son cœur battre la chamade et sa respiration complètement extrême. Je restais un instant encore en elle. J'y étais bien, je ne voulais pas que cette nuit se termine et que la réalité nous saute a la tête. Je ne voulais pas, je ne voulais pas redevenir un simple père. Le temps d'une nuit j'avais ressenti la tendresse et l'amour qu'il me manquait tant.

Quelques instants après, je regardais Alysse dans les yeux, avant de me retirer de son corps et m'installais a ces côtés. << C'était... magique..>> dit-elle les yeux vers le plafond. Je tournais alors ma tête vers elle et souris. " C'était parfait tu veux dire." Dis-je en plaisantant avant qu'elle ne me dise qu'elle allait prendre une douche. Elle se pencha sur moi et déposais un baisé sur mon front. " Hé attends une minute" Dis-je en lui attrapant le bras alors qu'elle commençait a sortir du lit. Je la tirait légèrement vers moi, elle se laissait faire, et je pris sa tête doucement entre mes mains et l'embrassais doucement et tendrement. Une fois le baiser rompu je lui dis doucement avec un léger sourire charmeur. " Tu peux y aller maintenant."

Durant sa douche, j'étais aller jeter le préservatif dans une poubelle de la cuisine, avant de me réinstaller dans le lit. Je serais bien aller la retrouver sous la douche, mais je ne voulais pas être trop envahissant. Je me couchais alors dans le lit, j'attendais qu'elle revienne afin de lui dire au revoir, mais je finis par m'endormir. Je sentis un drap se déposer sur moi. Je sentis son corps près de moi, je souris alors, et la pris dans mes bras afin qu'elle pose sa tête sur mon torse pour qu'elle s'endorme et qu'elle se sente en sécurité dans mes bras.

C'est la lumière du soleil qui vint taper sur mon visage qui me fit ouvrir les yeux au petit matin. Je me tournais alors vers la jeune femme qui me regardait. Je la sentais ailleurs comme déconnecter du monde. Le monde n'avait donc pas cesser de tourner durant cette nuit si magique.. Il fallait revenir a la réalité, la dure réalité. " Bonjour beauté" Lui dis-je accompagné d'un sourire. " Ca va ?" Lui demandais-je en caressant doucement la joue avec mon pouce. Je voyais bien que ça n'allait pas. J'étais comme connecté avec elle. J'arrivais a lire en elle, sans un mot prononcé. Je ressentais le besoin de la protéger, elle avait l'air tellement triste ce matin.