Katarzyna Daniels-Poliakov

I'm untouchable darkness, a dirty black river to get you through this. In the mouth of madness, down in the darkness

Caractère

Kata _ On dit de moi que je suis une personne complètement impulsive. Je ne démentirai pas. Mais quand on dit de moi qu’un jour a force d’en faire qu’à ma tête, la culpabilité me rongera, alors là je démentis complètement. Pour se sentir coupable, il faut une conscience : tout ce que je n’ai pas. Rare son les fois ou je regrette d’avoir fait quelque chose. Pourquoi regretté ? Après tout le regret c’est pour les faibles et tout ce que je ne suis pas, c’est faible. On dit de moi que je suis atteinte d’une telle folie qu’un hôpital psychiatrique ne peut plus rien faire pour moi. Je ne démentirai pas. Je pense être trop tombé sur la tête étant petite et avoir pris trop de coup. Ou peut être qu’à force de boire, fumer et me droguer je suis dans un délire la plus part du temps. De toute façon c’est mon problème. On dit aussi de moi que je suis tellement m’en-foutiste que le ciel pourrait me tomber sur la tête. Je ne démentirais toujours pas parce que je sais qu’ils ont raison. Mais ne voyant pas que mes défauts. Derrière mes airs de petite garce arrogante et déterminé je suis, certes pas un ange, mais quelqu’un de bien. Enfin je pense. Je suis très souvent optimiste, surtout quand il ne s’agit pas de moi, mais je suis aussi quelqu’un qui peut, quand je le veux vraiment, sensible et attentionné. Je suis complètement indépendante et n’aime pas qu’on me dise ce que je dois faire aujourd'hui ou non. L’autorité et moi ça fait quinze maintenant. Je n’aime pas qu’on prenne mes affaire, je suis assez possessif en faites, mais j’ai le sens du partage quand je suis de bonne humeur. Il en faut beaucoup pour me déstabiliser ou me faire pleurer. Si tu me cherches, tu ne tarderas pas à me trouver. Je ne suis pas du genre à me laisser faire, mais vous me direz qui l’est ?! La sagesse ? C’est une vertu que je n’ai pas, tout comme la patience. Ce que je veux, je le veux maintenant et sans discutions. J’ai souvent tendance à oublier que je ne suis pas le centre du monde, mais ce n’est qu’un détail. Il faut savoir trouvé les bons mots pour pas que je parte ou quart de tour car quand je m’énerve, je n’ai pas tellement envie qu’on me calme. Je suis bagarreuse et un peu garçon manqué sur le bord. Je suis du genre a frapper puis ensuite parler, si la personne peut encore parlé. Faute de pas avoir grandis dans un environnement saint, je sais m'occupais de moi comme une grande. Ce que j'aime faire ? Pas grand chose. Cela dépend de mon humeur du moment...mais la plus part du temps, à mes heures perdu je prend des photos de tout et n'importe quoi ou je peins. J'aime la photographie et les photos, ce que va de paire évidement ! Ça m'apaise et je sais pas comment, cela m'aide à retrouver mes idée claire. Tout comme la peinture. D'ailleurs j'en ai fait mon métier. A part la photographie et la peinture, j'aime beaucoup la fête. Comme la plus part des gens de mon âge je pense. Je dis la plus part, car il existe encore certains cas assez étrange parmi nous...Enfin bref. Pour en revenir à moi, non je suis pas le centre du monde, enfin là si puisque on est dans « mon monde », je suis une fêtard invétérée ! C'est pas ma faute, je suis née comme ça. En même temps ma mère, de son vivant, me disait tout le temps que j'étais déjà entrain de danser dans son ventre des que moindre son passé près d'elle, de nous. Si on oublie mon goût prononcé pour les fêtes alcoolisé, pour tout ce qui n'est pas l'égalisé et le danger, je pense qu'on peut dire que je suis tout sauf un fille ordinaire. Mais que voulez vous ? L'habitude ne fait pas partis de mon vocabulaire, tout comme l'ennuie, la solitude, et le pardon. Ais-je oublié de vous dire que j'étais rancunière ? Et bien maintenant c'est fait !

Inconnu _ Katarzyna Poliakov ? Ouais je la connais...mais vite fait. Tout ce que je sais d'elle c'est qu'elle a une jolie gueule, que son père est un trafiquant d'arme et qu'il faut pas la cherché. Sérieusement on raconte que c'est le diable en personne. Elle est plutôt grande, surtout qu'elle est toujours en talons haut et porte souvent à peine de bout de tissu pour cacher son corps. Elle est sexy et bien foutue et elle le sait. D'ailleurs c'est pour ça qu'elle sent sert souvent. Son sourire est hypnotique et son rire aromatique, juste en la regardant on voit bien qu'elle a des origines d'Europe de l'est. On dit d'elle qu'il faut un rien pour qu'elle s'énerve et pète les plombs, mais pour la faire pleuré c'est un autre histoire. Apparemment elle avait castré un homme car il lui avait mis la main aux fesses. Pour tout les russes des États-Unis, c'est une vraie légende, surtout pour nos filles. Beaucoup d'entre elle l'adore et veulent lui ressemblait, mais vous savez elles y sont loin. Kata dégage cette chaleur...non en faite elle est imposante, charismatique. Quand elle entre dans un endroit, tout les regards se tourne vers elle. Elle pourrait vous faire avouez vos pire secret juste en vous souriant, si c'est pas flippant ça ! Une vraie Diablesse !

crackle bones

Derrière l'écran

Histoire

Assise sur du béton froid et dur, tu fermes les yeux, le dos bien droit, attendant que les secondes passe. Tu ne sais pas depuis combien de temps tu es là, mais tu espères seulement que cela va passer vite. Ta mère te manque, ta vie te manque, parce que l'as tu ne vis plus tu survies. Ou plutôt tu te contentes de ne pas mourir. Au point où tu en es, tu te dis même que la Russie te manque alors que tu l'as quitté tu avais à peine trois ans. Mais tu ne sais pourquoi, tu te dis que tout doit être meilleure qu'ici, assise dans cette sombre pièce froid sur du béton. Tu hais ton père et son éducation pourris. Tu hais ce pays. Tu hais encore plus ta vie. Tu aimerais te rebellais, crier au monde entier que tu es désespérer, mais tu ne dis rien. A croire que ton père t'a bien éduqué. Et quel éducation : ton père est un criminel russe qui est dans le trafique d'arme, après l’assassinat de ta mère, ton père était encore plus froid et encore plus parano à penser que tout le monde en avait après lui et sa famille ; du coup il t'a fait suivre un entraînement digne du KGB à seulement sept ans. Il t'a volé ton enfance et a fait de toi une machine de guerre. Pourtant, entre les entraînements d'auto-défense et ceux de toute les langues possible et imaginable, tu n'as qu'un rêve : celui d'être artiste. Oui tu parais froide -parce qu'on te le demande-, oui tu parais dur et insensible -mais ce n'est qu'une façade-, au fond tu veux simplement être toi-même. Mais qui es-tu ? Ça, c'est la question. Tu n'es pas du genre a avoir des amis, l'école à la maison depuis ton enfance ne te permet pas de faire des rencontres, et ceux que tu peux considérer comme amis sont tes gardes du corps, de gros bras un peu vulgaire et un peu trop protecteur. La porte finis par s'ouvrir, une violente lumière s’immisce dans la pièce en t'aveuglant. « 120 heures ! C'est beaucoup mieux que la dernière fois ! Mais maintenant ton père à ta première missions ma grande ! »

« Aujourd'hui c'est un grand jour ma fille. Tu vas mettre tout ta formation en œuvre. Pour le moment tu seras mon agent dormant, tu vas juste infiltré une université et quand tu devras passer à l'action, je te ferais signe. Il n'y a pas d'erreur possible. Tu n'as pas été entraîné pour échouer. Tu es ma fille, tu es une Poliakov ! Tu peux disposer maintenant Katarzyna ! » Tu te répétais ce discours dans ta tête pendant tout le trajet en voiture vers ta nouvelle vie. Enfin, tu vas pouvoir faire des rencontres, faire ta vie comme tu le souhaite. Finis les longues journées déjà planifié : pas de père, pas de garde du corps, pas de trafiquant d'armer, bref adieu ton ancienne vie ! Tu sais que ton père sera toujours là, impossible pour toi d'échapper à son œil de lynx, mais tu te sens quand même libre. La preuve, tu décides d'étudier l'art et la photographie au lieu du management des organisations. Au début plutôt timide, tu as su rapidement te faire des amis et peut-être pas les mieux d'ailleurs : tu as vécu ta première cuite, tu as fumé pour la première fois -et pas que du tabac- et pris tes premières substances illicites. Mais tu as aussi vécu ton premier amour. Son nom ? Nathan Fitzduncan-Daniels, un beau brun ténébreux aux yeux à faire fondre. Et c'est d'ailleurs ce que tu as fais : tu l'as rencontré, tu avais dix-neuf ans, dans un bar alors que tu étais avec tes amis. Après avoir renversé ton verre dessus, plus rejet de ta part et quelque mois, tu finis par céder. En même temps, comment résister ? Comme le dis un vieux gars, le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder ! Un an plus tard, vous voilà marié ! C'était peut-être rapide, mais c'était sincère et réelle. Peut-être même un peu trop ! Vous étiez fusionnelle et de fusionnelle vous êtes passé à passionnelle : des cries, des pleures, de la jalousie, et puis tes problèmes de drogue … c'est rapidement devenu un enfer. Et puis, ton ancienne vie t'a rattrapé, ton père t'as retrouvé. Il a appris l’existence de Nathan, votre mariage et surtout ta nouvelle vie d'artiste peintre et photographe. Il a voulu te récupérer évidement, mais tu t'es affirmé en lui disant non. Alors il a menacé de tuer Nathan. Dépassé, fragile, ne sachant plus quoi faire, en rajoutant tout ses problèmes de drogue, elle décide de quitter Nathan. Le deal, c'était tu lâchais Nathan et ton père ne le tué pas. De toute façon, entre vous ça devenait trop compliqué, trop dur, c'était plus une vie mais vous vous aimiez tellement. Alors tu montes tout un plan avec ton meilleur ami mais aussi le frère adoptif de ton mari Hayden. Tu connais Nathan par cœur et tu sais qu'il peut pardonner beaucoup -comme ton addiction à la drogue dur- mais pas l'infidélité. Alors après une énième crise, tu te retrouve à l’hôpital et avant que ton mari revienne, tu laisses une lettre à son frère, lui disant que tout était finis : tu veux divorcer, tu ne l'aimes plus et que de toute façon ça n'aurait jamais marché puisque tu couché depuis quelque temps avec ton patron. Tu laisses une simple lettre, mais une lettre qui lui sauve la vie !

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