Etre à une vingtaine de jours de l'accouchement est assez effrayant je dois l'avouer. Entrer dans l'inconnu fait peur puis les doutes sont de plus en plus présent à savoir si je serais une bonne mère, si j'arriverai à gérer, si j'arriverai à reconnaître ses pleures puis le plus important si elle m'aimera. Je sais que c'est idiot comme réflexion mais, j'ai cette peur en moi que je n'arrive pas à effacer malgré les mots de Zach, Madi et Aly... Il faut que je me change les idées puis il faut aussi que je vois si Zach est prêt pour le grand moment c'est pourquoi j'ai eue une idée des plus brillantes ! Bon, il va sans doute me tuer mais soit, ça va me changer les idées pendant quelques heures. Depuis quelques temps, il est souvent dans la chambre du bébé à tout préparer se bornant à me crier dessus si je veux faire quelque chose. J'ai beau lui dire que je ne suis pas en sucre et que je vais bien mais, il en démord pas alors à quoi bon insister ? Puis, il est là à réaliser chacun de mes caprices sans broncher ce qui est j'avoue assez plaisant. C'est donc installer devant les fourneaux que je décide de mettre mon plan à exécution. D'un coup, je lâche la poêle sur le sol poussant un petit cris mais assez audible pour qu'il l'entende. Zaaaaaaaaaaaaaaaaach ! C'est le moment ! criais-je en simulant la douleur des contractions. Ouais bon, vu comme ça j'avoue que c'est sadique mais c'est le mot qui englobe notre couple de toute façon. Au moins, je saurais si il est prêt à gérer l'urgences pour quand le moment sera venu.


   

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

 

Encore une vingtaine de jours, encore un peu et notre fille pointera le bout de son nez. Liséa me hurlera dessus, car elle est en train d’accoucher dans notre salon ou pire encore. J’étais en mode stress depuis maintenant une petite semaine, car les bébés décident quand ils veulent montrer leurs nez, alors on avait beau devoir attendre encore vingt jour si elle avait décidé de sortir dans une semaine elle le fera. Je n’avais pas la peur d’être papa, j’avais peur qu’il arrive quelque chose à Liséa et à notre fille. Surtout que depuis un moment j’organisais le mariage avec Liséa, beaucoup était maintenant au courant. Elle aimait bien montrer sa bague en plus de son ventre rond qui la rendait toujours aussi sexy. Enfin j’étais souvent cloitré dans la chambre du bébé afin qu’elle soit parfaite sous l’indication de ma femme et lui hurlais dessus quand elle voulait faire un truc qui pourrait lui faire quelque chose. Cela la faisait bougonner un peu, mais elle n’avait pas à en faire qu’à sa tête.

Je suis dans la chambre du bébé et là je l’entends hurler le moment, j’arrive en trombe dans la cuisine « genre le moment maintenant, tout de suite dans l’immédiat » Au vu de son regard cela n’était pas une farce sadique. Je dérape et me dirige dans la chambre pour attraper le sac que j’avais déjà préparé afin de revenir dans la cuisine « on peut y aller je pense… » Je fouille mes poches « les clefs de a voiture c’est toi qui les as ? » Où sont ces foutu clef quand on en a besoin. Je vais dans l’entrée en courant pour fouillé le bol où on mettait nos clef rien « elles sont où merde » Je la regarde se tenir le ventre « je vais les trouvé, respire toi… » Je glisse et manque de me fracasser contre le mur, heureusement les réflexes sont présent.



   

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A peine avais-je débiter ces mots qu'il se précipite vers moi alors que je continue de jouer la comédie répondant donc négativement de la tête sans répondre à sa question avec des mots sachant que ça le stresserait encore plus si je lui hurlais dessus. Pourtant une question me traverse l'esprit. Pourquoi je ne culpabilise pas de le rendre chèvre comme ça ? Ah oui ! Parce que je suis une vraie peste et que j'adore ça ! Bordel, j'ai envie de rire quand je le vois s'agiter comme ça encore plus quand il manque de se casser la gueule mais malgré tout je garde mon sérieux voulant aller jusqu'au bout pour voir comment il va gérer tout ça. Ce sont les miennes et je doute que je puisse rentrée avec mon ventre dans ma Lamborghini Campbell ! lui lançais-je en le fixant d'un regard noir. J'avoue que là je me dis que j'ai vraiment des dons d'actrice sans vouloir m'envoyer des fleurs bien sûr. Il n'y a pas à dire je m'amuse comme une folle et pourtant je dois vraiment le pousser dans ses retranchements pour voir jusqu'où il arrivera à tenir. Doucement, je penche la tête sur le côté en soupirant. Je...je trouve plus mes putains de chaussures et il est hors de question que j'aille sans et surtout sans être maquillée comme il le faut donc tu vas devoir m'aider avant qu'on parte parce que tout ça c'est ta faute l'oublie pas ! lâchais-je acerbe. Putain, je devrais vraiment changer d'orientation professionnelle moi. C'est donc adossée contre le mur de la cuisine que je le regarde ce démener pour me satisfaire alors que moi je jouis pleinement de la situation.


   

FICHE PAR STILLNOTGINGER.

 

Bon les clefs était les sienne et j’avoue que dans la voiture elle ne rentrera pas, il fallait celle de la rover. Où sont les clefs du tout terrain merde « Je sais que tu rentreras pas dedans Campbell. » En plus je me faisais presque engueuler, où va le monde. Pourquoi notre fille décide de se montrer plus de vingt jours avant le terme. Les contractions devaient être forte vu son humeur massacrante. J’avais failli tomber, mais je m’étais rattrapé de justesse. Le sac à langer avec elle, on n’avait pas besoin de rassembler des affaires pour elle, car tout était déjà dedans. Une fois devant elle, les clefs en main elle me lance qu’elle n’avait pas ses chaussures et qu’elle n’irait pas sans. Elle se fiche de moi là, elle pense à ses chaussure et à se maquiller pour aller accoucher et genre ma faute « tu déconne là ? Tu veux te maquiller alors que tu es en train d’accoucher… » J’en perdais les mots là puis ma faute elle est gentille elle. Je cours vers notre chambre afin de prendre son nécessaire à maquillage, chopant ses chaussures au passage. J’attrape une chaise et l’aide à s’asseoir « tu vas me rendre chèvre en continuant Mme Cambpell. » Je lui mets ses chaussure à ses pieds pour qu’elle les enfile et met le nécessaire sur la table « bon on te maquille vite fait, je n’aimerais pas que tu accouche de notre fille dans la voiture hein. »  Je lui file le rouge à lèvre et son crayon pour les yeux, ainsi que le mascara pour lui en mettre un peu. Je la regarde en pleine panique alors que les contractions devaient venir de plus en plus. J’attrape le sac et lui tend la main « allons-y maintenant chérie. » Je réfléchis « mes papier ? J’en ai fait quoi ? » Je pose le sac la laissant sur la chaise et fonce dans la chambre, fis une glissade pour me cogner au mur afin de rentrer dans la chambre afin de fouiller mon jeans de la veille pour récupérer mes papiers.



   

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Bon j'avoue que si j'étais à sa place j'aurais pété un boulon mais bon comme à chaque fois je lui lance que c'est sa faute et généralement il abandonne et fait ce dont j'ai envie sans dire un mot même si je sais qu'au fond il doit me traiter de peste chieuse et surtout étant la pire des emmerdeuses même si il m'aime comme un fou. Alors que mes chaussures sont mise, je prends mon temps pour me maquiller alors qu'il est là à paniquer pour ses papiers. C'est pas parce que je suis enceinte que je dois être moche le jour de mon accouchement mon amour. lui dis-je calmement. Le suivant du regard je ne dis rien l'entendant se cogner à nouveau ce qui me fit pouffer de rire. C'est à ce moment qu'une envie de glace me prend. Tout en prenant mon temps, je me lève et je vais dans le congélateur prendre ma glace au trois chocolats où j'y ajoute du coulis de framboise, du beurre de cacahuète, de la chantilly et quelques granulés multicolores comme quand j'étais petites. C'est en dégustant ma super glace que je vais le rejoindre dans la chambre en le regardant faire comme si tout était normal. Tu les as trouvé ? lui demandais-je naturellement comme si je lui demander le temps qu'il allait faire demain. Mes jambes me faisant un mal de chien, je file m'asseoir sur le lit et m'y installe toujours en le regardant faire. Tu me dis quand tu as fini hein ? finis-je par lâcher en fourrant ma cuillère dans la bouche. Bah quoi ? C'est encore mieux d'être au premier plant tout en se faisant plaisir non ?


   

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Elle allait me rendre chèvre à vouloir ses chaussures, se maquiller comme si cela était important qu’elle soit belle alors qu’elle l’est déjà pour moi et encore plus, mais non elle a besoin de se maquiller pour aller accoucher. Genre le bébé va avoir peur de voir sa mère sans maquillage ou le médecin va avoir envie de vomir en la voyant sans son crayon autour des yeux. Enfin je me rends compte que je n’avais pas mes papiers dans mes poches. J’avais dû les laisser dans mon jeans d’hier, quand elle me sort que ce n’est pas parce qu’elle enceinte qu’elle doit être moche lors de son accouchement « c’est vrai que le médecin sera ravis de te voir maquiller quand il te fera accoucher… » Je cours à la chambre pour essayer de trouver mes papier, me cognant contre le mur, une petite douleur à l’épaule se fait sentir. Je l’entends ouvrir le congélateur et me demande ce qu’elle fait alors que je farfouille mes affaires pour trouver mes affaires.

Je l’entends arriver dans la chambre avec sa glace, non elle se fout de moi ? Je croyais qu’elle était en pleine contraction et elle mange de la glace me demandant si je les ai trouvés « Non je les trouve pas… Je croyais les avoir laissés dans mon jeans d’hier… » Elle s’assoit sur le lit en train de manger sa glace, je passe devant elle pour voir dans mon blouson « trouvé » lui hurlais-je depuis l’entrée. Je la rejoins « bon tu n’as pas fini avec ta glace, tu accouche je te signale. On croirait que tu passes une commande chez le marchand de lingerie là » J’ai les clefs dans la poche, mes papiers, le sac dans l’entrée « on a tous maintenant, alors viens qu’on y aille avant que tu accouche. » Je viens près d’elle et passe ma main dans le creux de ses reins pour la diriger vers l’entrée.



   

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Est-ce qu'un jour j'arriverais à ne plus le faire chier comme je le fais depuis notre première rencontre ? J'en doute fortement ! Si cela devait arriver ça voudrait dire que notre couple est mort parce que c'est notre mode de fonctionnement même si beaucoup on du mal à le comprendre c'est comme ça qu'est notre couple et jamais il ne changera du moins j'aime à le penser. Je le vois chercher, je le laisse faire sans rien dire alors que je déguste ma glace l'air de rien. Bon, quand je lui dirais toute la vérité il va me tuer mais pas grave il en rigolera plus tard ou pas. Juste cette pensée me donne envie d'éclate de rire mais, je tiens bien pour le moment alors qu'il vient s'asseoir à côté de moi me poussant à sortir du lit afin d'aller à l'hôpital. C'est tout naturellement que je prends mon téléphone arrêtant le chronomètre devant lui. Hum...dix-sept minutes dix-neuf secondes et des poussières...je suis certaine que tu peux faire mieux mon amour. lui dis-je en déposant un baiser sur sa joue avant de me lever pour aller dans le salon mettre le début de ma série que j'avais mis sur pause juste pour pouvoir faire ce petit jeu que je vais bien sur réitérer un peu plus tard dans la soirée ou voir même la nuit qui sait ? Quoi ? Bien sur que j'en suis capable ! Puis, il faut bien le tester dans toutes les situations non ? Sinon comment je vais pouvoir dormir tranquille si je suis pas certaine qu'il va pouvoir assurer sans aucun problème face à toutes les situations ?


   

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Beaucoup ne comprenne pas notre couple et notre amour, mais c’est un amour très puissant. On avait avancé si vite qu’on pourrait croire qu’on pourrait s’écraser. Entre le bébé et le mariage alors que cela ne faisait pas longtemps qu’on était ensemble, mais le destin en a décidé ainsi et j’en suis plus qu’heureux. J’étais vraiment paniqué je ne voulais pas qu’elle commence à accoucher dans la voiture ou bien autres part. Je l’aidais à sortir de la chambre afin qu’on se dirige vers la porte d’entrée où se trouvait le sac et prêt pour le départ. Je la vois prendre son téléphone et elle me dit un temps, je ne compris pas tout de suite quand elle vient me déposer un baiser sur la joue et la revois partir vers le salon pour se mettre devant une série. Je m’approche d’elle « chérie et le bébé ? Il vient ou pas ? » Je la regarde encore une fois, les contractions semblait s’être arrêté, mais donc elle s’est foutu de ma gueule là où je rêve. Je remets sa série sur pause « tu m’explique là mon cœur c’est quoi ton explication pour cette fausse alerte ? » Je croise les bras devant elle avec mon regard mauvais. Restant devant elle ayant presque l’air supérieur, attendant qu’elle m’explique un peu le pourquoi de cette fausse alerte. Elle avait de la chance d’être enceinte sinon je l’engueulerais aussi sec, mais je n’y arriverais sans doute pas. En tout cas je n’étais pas content de m’être fais rouler dans la farine alors que j’attends la naissance depuis longtemps.

Je finis par décider de ne pas l’écouter, je me tourne et me dirige vers la cuisine afin de me prendre un café, elle avait fait un truc que j’ai pas du tout appréciait, comment je pourrais la croire quand cela arrivera vraiment à présent. Notre relation est basée sur cela, mais bon il s’agissait de notre fille là et elle s’en sert pour me faire chier.




   

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Installée devant ma série, je secoue la tête pour répondre à sa question avec un petit sourire aux lèvres. Par contre, je ne pensais pas qu'il le prendrait comme ça en fait je pensais qu'il allait crier parce que je lui avais fait peur mais qu'en suite il viendrait me taquiner puis qu'on ferait l'amour mais rien de tout ça, il a quitté la pièce sans que j'ai le temps de lui répondre. Soupirant, je pose ma glace sur la table basse me levant du mieux que je peux pour aller le voir. Il sait que je n'aurais pas fait ça pour une raison quelconque qu'il y a forcément un but dans tout ça et pourtant je le retrouve dans la cuisine buvant un café l'air énervé. Mon amour...tu es vraiment vraiment fâché ? lui demandais-je en faisant une petite moue inquiète. Tu sais, j'ai pas fait ça en passant à mal...je...je voulais juste voir si tu étais prêt au cas où... ajoutais-je en prenant sa tasse de café que je pose sur le bar pour prendre délicatement ses mains dans les miennes. Je peux accoucher d'un moment à l'autre et ça me fait peur même très peur...je voulais juste être certaine que peut importe la situation tu serais opérationnel. lui dis-je en le regardant dans les yeux pour lui prouver à quel point je suis sincère. J'espère vraiment qu'il ne m'en voudra pas et qu'il me pardonnera pour ça surtout que sans le vouloir les larmes commencent à me monter et quand j'arrive à ce moment là il est difficile de me calmer, je deviens une vraie fontaine. Merci les hormones !

Deux jours plus tard, 4h56 du matin.

C'est une horrible douleur qui me réveil en sursaut. Je regarde à côté de moi Zach dormant comme un bébé et bien profondément. La douleur devient de plus en plus fort mais, je ne dis rien serrant juste le drap à côté de moi. Putain de merde ! criais-je sans m'en rendre compte. N'ayant plus le choix, je secoue Zach légèrement alors qu'une douleur refait violemment surface c'est alors que je serre aussi violemment son bras sans m'en rendre compte. Putain, je dois pas accoucher avant une quinzaine de jours c'est pas le moment merde ! dis-je en serrant les dents. Putain, Aly avait raison, j'aurais dû serrer les cuisses au moment voulu. Cette pensée malgré la douleur me fait rire. Malgré tout, je sais que le moment est venu. Nous allons enfin accueillir notre petite princesse. Rien que cette pensée me donne le courage d'affronter tout ça. C'est donc l'excitation de voir ma petite princesse qui prend le pas sur mes peurs. Ma seule pensée en ce moment c'est que dans quelques heures j'aurais ma petite merveille dans mes bras c'est le plus important pour moi à ce moment précis.


   

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J’étais pas vraiment heureux de cette mauvaise blague qu’elle avait pu me faire. Je voulais lui crier dessus, mais j’en étais incapable, car elle pouvait nous entendre et je ne voulais pas qu’elle m’entende hurler. Je ne voulais pas qu’elle soit effrayée par son père en ouvrant pour la première fois ses petits yeux. J’avais donc quitté la pièce pour me servir un café, je savais qu’elle avait réalisé ça pour me tester, savoir si je m’étais relâcher. Je ne me suis jamais relâcher, même pas une seconde. Je dormais comme un bébé la nuit, car toutes ses demandes me tuaient. Elle s’approche de moi, me demandant si j’étais fâché : « non pas fâché, mais irrité plutôt… » Alors qu’elle faisait sa petite moue. Je la regarde alors qu’elle disait ce que je savais déjà « je sais que c’était pour voir, mais j’étais vraiment paniqué, vraiment… » Alors qu’elle prend ma tasse de café pour tenir mes mains. Je l’écoute et la regarde « je suis opérationnel depuis déjà une semaine… tu as même déjà un sac de vêtement dans le coffre, des affaires pour elles dans chaque voiture… » Je la regarde et viens l’embrasser alors que je voyais les larmes monter dans ses yeux.

Deux jours plus tard, 4h56 du matin.

Je dormais profondément, rêvant d’une petite fille dans mes bras, qui avait attrapé mon doigt. Liséa pas loin dans la cuisine qui préparé le biberon, me disant que c’était l’heure et surtout que je devais vérifier la chaleur du lait. Je n’étais pas idiot, je savais bien qu’il fallait vérifier. J’avais décidé de prendre un congé à la fac afin de m’occuper de ma princesse. Je me sentais secouer, mais cette sensation était étrange. Je fins par ouvrir les yeux « hum… laisse-moi dormir, je ferais ce que tu veux demain… » Je me tourne pour la regarder et la voit tordu de douleur « qu’est ce qui se passe ? C’est l’heure c’est ça ? Elle arrive… » Je saute de mon lit pour prendre le sac, des fringues pour elle. Les clefs de voiture et m’empêtre les pieds pour tomber devant le lit. Je me relève et lui met un gilet sur le dos, lui fais enfiler un legging et ses chaussures afin qu’elle n’ait pas froid.

Six jours plus tard, 14h30 de l’après-midi

« Chérie, tu préfères quoi le rose bonbon ou alors le rose normal pour son premier habit quand elle sera là ? » Je la regarde alors qu’elle était sur le lit, un bol de glace dans les mains. Je m’approche d’elle doucement et viens poser une main sur son ventre, elle n’avait toujours pas accouché. Selon le médecin tout dépendait du bébé certains sont à l’heure, d’autres en avance ou bien en retard. Etant si bien dans le ventre de leurs mamans, aucun ne veut sortir. « J’ai mis tes affaires de la voiture et le 4x4 est toujours devant le garage, je suis vraiment opérationnel, alors ne me refait pas le même coup qu’il y a deux semaine surtout, là je serais vraiment fâché… » Je viens lui embrasser la joue « tu as de la glace sur la lèvres » je m’approche d’elle et l’embrasse tendrement « encore du chocolat… » Je souris et l’embrasse encore « c’est encore meilleurs quand c’est sur toi… » Reculant un peu afin de voir son visage et son ventre gros comme un ballon, je caresse sa joue puis viens écouter notre princesse.





   

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