you can't understand love without knowing her

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Ce matin, je quittais Camélia après qu'on se soit faites toutes les deux un début de confessions. Tout cela était énorme pour moi. Je n'avais pas ressenti tout cela depuis bien longtemps, et de cette force là, je dirais jamais. Du coup, je n'arrive pas à y voir clair et je lui propose qu'on laisse passer la journée pour en rediscuter plus tard. Après tout, nous avons toutes les deux un job respectifs qui occupe notre journée avant que l'on soit arrivé toutes les deux à se rencontrer.
La journée passait au boulot et je ne voyais pas le bout. Je ne pensais qu'à elle, elle me manquait. je m'empêchais d'avoir des nouvelles d'elle. Je m'empêchais de lui envoyer un sms ou de l'appeler. En fait, j'avais peur qu'en la laissant réfléchir elle s'éloigne de moi. J'appelais mon assistante et je lui demandais un service qu'elle fit évidemment. Je me regardais dans la glace énorme de l'ascenseur. Mon long manteau tout chaud ouvert sur une robe près du corps, mon chignon haut effet décoiffé, mon rouge à lèvre parfait, vernis parfait, mes escarpins et mon sac bandouillère couleur moutarde. Je soufflais et je sortais de l'immeuble. Vers la fin de journée, j'arrivais au salon de tatouage où la collègue de Camélia me recevait. « J'ai rendez-vous avec Melle Dewith. » lui dis-je un sourire en coin aux lèvres alors que cette dernière apparaissait. J'avais demandé à mon assistante de prendre rendez-vous pour moi, le dernier rendez-vous possible avec elle pour pouvoir lui faire une surprise et peut-être pouvoir encore passer du temps en sa compagnie. Je m'approchais d'elle. « Je suis le dernier rendez-vous de la journée.. Dites moi mademoiselle que je peux vous kidnapper une seconde fois. » soufflais-je alors pour que seule elle m'entende, un sourire aux lèvres. La revoir était un soulagement, je ne pouvais que sourire et être heureuse à cet instant précis.

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J’y avais pensé toute la journée. C’est vrai ce n’est pas dans mes habitudes de ressentir ce genre de chose et surtout je ne m’attendais pas à avoir ce genre de situation avec Prunille. C’était pas ça la règle, ce n’était pas comme ça que cela devait se passer à la base. Ce qui s’est passé ce matin m’est resté dans la tête toute la journée malgré mes efforts à penser à autre chose. Impossible, ça met tout bonnement impossible. Ses mots résonnent en moi, dans ma tête, et me rendent complétement dingue. Je n’ai qu’une envie, que la journée se finisse pour que je la retrouve, son visage, son sourire, sa peau, ses lèvres. Sentir son odeur et me blottir contre elle, la seule dont j’ai envie en ce moment précis. Malgré les confidences d’hier, je me rends bien compte qu’on ne connait rien l’une de l’autre. Surtout, elle de moi. Après tout, il ne vaut mieux pas. Quoi que, je suis sûre qu’elle n’est pas mieux dans le genre. Les clients défilent et à chaque fois mes yeux se posent sur l’horloge. Je crois que le temps n’est jamais passé aussi lentement que ce jour, ça n’en finit pas.
Fn de journée, l’heure de bientôt la retrouver et de mettre fin à se supplice, celui d’être éloignée d’elle. Je sors de la cabine de tatouage, essuyant mes mains pleines d’encres sur mon jeans. Habillée d’un pantalon à trou effet slim, mes converses blanches, une chemise à carreaux rouge. Mes cheveux relevés en chignon décoiffé orné d’un bandana rouge en guise de cerf tête. L’oppose de Prunille. L’opposé de cette belle femme qui apparait devant moi comme par magie. Un sourire se dessine immédiatement sur mes lèvres. Je suis le dernier rendez-vous de la journée.. Dites-moi mademoiselle que je peux vous kidnapper une seconde fois. Dit-elle dans un murmure. Je l’attrape alors pour l’emmener dans la pièce à côté. « Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. » Dis-je alors que mes lèvres viennent se poser timidement sur les siennes. « Ca a été ta journée ? Je meurs de faim. Tu veux aller manger un bout après ? Enfin faudrait que je me change quand même. » Dis-je en montrant ma tenue d’un geste de la main. Je me dirige alors vers le lavabo pour essayer de laver mes mains au maximum et faire partir cette encre, même si je sais que je suis bonne pour plusieurs jours.

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[size=14]Je viens lui faire la surprise de venir à la fin de son service, ayant pris un faux rendez-vous avec la complicité de ma secrétaire de bureau. J'arrivais donc, après m'être retouchée un peu rapidement pour elle, à sa boutique en fin de journée. Je n'avais pas pu attendre, je n'avais pas pu penser à autre chose qu'à elle de toute façon, donc il avait bien fallu que je fasse tout ça. Je fus ravie de la voir apparaître, un sourire s'afficha sur mon visage. Elle me montra du plaisir à ma venue et m'attira dans une autre pièce, posant ses lèvres contre les miennes. La douceur des siennes m'avaient énormément manqué, déjà. Je souris alors qu'elle me proposait rapidement d'aller manger un bout, enfin dès qu'elle serait changée. Je n'avais même pas vu, dis donc! J'étais tellement obnubilée par son visage que je n'avais pas vu qu'elle avait de l'encre un peu partout. Je posais ma main sous son menton pour tourner sa tête vers moi. « Tu es parfaite.. » lui soufflais-je en lui adressant un beau sourire. Puis je la laissais se débarbouiller. J'aurais voulu l'aider mais je crois que j'aurais fais pire! « On a qu'à passer chez toi puis aller manger un bout quelque part ensuite.. Comme ça je verrais où tu habites.. » dis-je avec un regard coquin pour la faire rire, levant mes sourcils. Evidemment, je voulais voir où elle habitait et son intérieur surtout. L'intérieur d'un habitat en dit souvent beaucoup sur quelqu'un et, Camélia et moi apprenions à nous connaître. « Tu voudrais manger quoi? Un truc vite fait genre pizza ou bar à pâtes? Tu as faim tu me diras, c'est peut-être le mieux! » dis-je en riant doucement. Je m'approchais d'elle, allant caresser ses épaules à travers sa chemise puis allant dans son cou. J'allais lui souffler à l'oreille : « Sinon on va tranquillement chez toi, tu me fais visiter la cuisine et pendant que tu prends une bonne douche et que tu te changes, je te fais un bon petit plat rien que pour toi.. » soufflais-je avec envie avant de me reculer doucement en souriant.

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J’étais surprise de voir Prunille au salon de tatouage, il faut dire que je ne m’attendais pas à la voir elle mais bien un client qui veut se faire tatouer son chien sur le bras ou encore le nom de son amant sur la fesse. J’étais contente, car cela voulait aussi dire que ma journée est officiellement finie et que je peux enfin souffler et penser à la soirée qui va bientôt débuter en compagnie de ma déesse. Je lui proposer d’aller manger un bout car je dois dire que je n’ai pas eu le temps de prendre ma pause ce qui fait que j’ai presque rien mangé sur ma journée et ça commence à faire long. Elle attrape alors mon menton pour tourner ma tête vers elle. Tu es parfaite… Je ne peux m’empêcher de lui sourire tendrement. J'aime entendre ce genre de réflexion sortir de sa bouche. Quand c’est le cas, je n’ai qu’une envie, la prendre dans mes bras et de l’embrasser le plus tendrement possible. Je ressens cet élan … D’amour. Oui, c’est ça. Je commence à me laver les mains pour retirer l’encre qui se dessinait sur la paume de mes mains. On a qu'à passer chez toi puis aller manger un bout quelque part ensuite... Comme ça je verrais où tu habites…C’est vrai qu’elle n’est jamais venue chez moi. J’avais peut-être de l’appréhension, comme si ça pouvait officialiser quelque chose qu’elle rentre dans ma bulle, mon univers. Je suis un peu hésitante mais après tout je trouve que c’est une bonne idée, j’avais bien passé cette nuit chez elle alors pourquoi pas inverser les rôles maintenant. Tu voudrais manger quoi? Un truc vite fait genre pizza ou bar à pâtes? Tu as faim tu me diras, c'est peut-être le mieux! Elle s’approche alors, prenant place derrière moi. Ses mains sur mes épaules, sin souffle dans ma nuque. Frisson garantit. Sinon on va tranquillement chez toi, tu me fais visiter la cuisine et pendant que tu prends une bonne douche et que tu te changes, je te fais un bon petit plat rien que pour toi.. je suis sure qu’elle cuisine très bien. « On peut aller chez moi, effectivement. Ca à l’air de te tenir à cœur alors pourquoi pas. Pour ce qui est du repas, je ne doute pas de tes talents de cuisinière mais je n’ai absolument rien chez moi. Je suis adepte des livraisons en tout genre, je ne cuisine jamais. Mes placards sont vides. J’opterai donc pour une pizza … Qu’est-ce que tu en penses ? » Dis-je en me tournant vers elle.

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[size=14]Je l'avais rejoins au boulot, directement, prenant la place d'un dernier client potentiel. Bon certes c'était êut-être abusé parce que peut-être que quelqu'un d'autre aurait voulu ce rendez-vous, mais dans le genre égoïste des fois.. je peux être assez forte. Oui, je n'avais pensé qu'à moi et à revoir ma belle Camélia dans la journée. Ce que nous avions vécu le matin-même avait été assez fort pour que j'y pense toute la journée. De toute façon, même si nous ne nous étions pas avoué l'une à l'autre que nous avions dépassé les limites, j'aurais tout de même penser à elle toute la journée. Elle m'embrassait en me tirant à elle alors qu'elle s'apercevait de mon petit tour. Je souriais. Cela me faisait du bien, en réalité, de l'avoir près de moi à nouveau. C'était comme si je retrouvais une partie de moi qui me manquait avant ça. J'allais lui caresser l'épaule, le peu de peau nue qui s'offrait à moi. Puis, d'une façon sensuelle, je lui proposais de lui faire un bon plat pendant qu'elle serait sous la douche. Puis elle changea un peu la proposition pour dire qu'on pouvait se commander un truc chez elle. Elle pensait que je tenais à aller chez elle. J'avais un peu l'impression qu'elle se sentait obligée, et ce n'était pas du tout ce que je voulais qu'elle ressente. « Oh ce n'est pas que ça me tient à coeur d'aller chez toi c'est que tu as dis vouloir te changer.. Enfin si évidemment ce serait cool de voir ton chez toi mais, je ne veux pas t'obliger à m'inviter chez toi. » lui dis-je sincèrement. Je lui souris. Je caressais sa joue. « On y va? » lui dis-je alors très enthousiaste. Nous allions chez elle. A peine arrivées, je la laissais se diriger vers la salle de bain et je fis un tour du propriétaire. Je trouvais ça formidable de voir l'intérieur de chez quelqu'un. Tout de suite, on apprenait des choses. Je prenais le téléphone pour commander à domicile des pizzas en même temps que j'observais l'intérieur de chez elle. Je continuais après l'appel. Puis, je m'approchais de la salle de bain. Je n'entendais plus l'eau couler. J'ouvrais la porte doucement. Elle était de dos, sa serviette autour d'elle. Je souris. Je m'approchais pour me mettre derrière elle, je prenais doucement ses cheveux mouillés pour les mettre sur l'autre épaule. J'embrassais son cou. Je lui soufflais ensuite : « Mmmh désolé mais te savoir dans cette pièce seule, propre et nue ça m'a trop tentée...On peut faire quoi dans la demi-heure de livraison tu penses..? » soufflais-je alors pleine de sous-entendu.

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L. Prunille Wexforth a écrit:: i understand what love is with you
[size=14]Elle est devenue un peu comme mon héroïne. Une drogue, j’étais petit à petit devenue dépendante d’elle. Malgré que je ne le voulais pas, oh non je ne veux pas dépendre de quelqu’un, je ne veux pas que cette personne monopolise mon esprit et mes pensées. Mais je n’avais pas le choix, je suis prise au piège. Je dois faire face à ce bonheur naissant et surtout à cet amour débordant. Moi dont les couples amoureux m’ont toujours foutu la gerbe, les rôles sont inversés. C’est arrivé sans que je m’en rendre compte, c’est pas que je suis tombée amoureuse d’elle doucement non. Mais d’un coup, comme lorsqu’on allume la lumière pendant la nuit et que ça fait mal aux yeux parce que on a pas su mettre sa main devant son visage. On le sent pas venir.
Oh ce n'est pas que ça me tient à coeur d'aller chez toi c'est que tu as dis vouloir te changer.. Enfin si évidemment ce serait cool de voir ton chez toi mais, je ne veux pas t'obliger à m'inviter chez toi. Je lui souris alors en essayant de la rassurer sur le fait que je me suis mal exprimée et que ça ne me dérange pas qu’on passe la soirée chez moi, que du contraire.
Je ne sais pas ce qu’elle pensait de moi mais généralement l’endroit où l’on vit nous reflète. Je ne lui ai jamais dis – je le paraissais sûrement pas – mais je suis riche, très riche. Du moins ma famille qui a toujours fait en sorte que je ne manque de rien. Et cet appartement en étant la preuve. Je m’excuse pour me diriger directement dans la salle de bain la laissant regarder un peu ce qu’elle veut. Après tout, je n’ai rien à cacher. Je prends vite ma douche, je ne suis pas du genre à rester des heures sous l’eau chaude, je trouve que c’est une perte de temps. Je ne l’ai pas entendu rentrer mais voilà que Prunille est juste derrière moi. Sa main se dirige vers mes cheveux, les mettant sur le côté de ma nuque. Ses lèvres se déposent dans mon cou ce qui me procure directement un frisson. « Mmmh désolé mais te savoir dans cette pièce seule, propre et nue ça m'a trop tentée...On peut faire quoi dans la demi-heure de livraison tu penses..? » « En une demi-heure ? Beaucoup de chose. » Dis-je dans un léger sourire alors que je laisse tomber ma serviette sur le sol. Je me retourne alors de sorte de lui faire face. « Est-ce que tu … voudrais dormir à la maison cette nuit ? » Dis-je alors que mes yeux se plantent dans les siens.

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Nous arrivions chez elle et je commandais la pizza pendant qu'elle filait sous la douche. Je fis ensuite le tour du propriétaire. Son appartement montrait une aisance financière. Je n'avais jamais trop imaginé la situation financière de Camélia, ce n'était pas la première chose qui m'intéressait. Certes j'ai certaines facilités personnellement, mais je ne suis pas odieuse. Je regardais partout autour de moi, apprenant à connaître l'espace, à me l'approprier. Je déteste être mal à l'aise, alors cette visite m'aide. Surtout que sachant qu'elle avait une situation aussi aisée que la mienne me rassurait. Quand je lui avais passé ce peignoir en soie, j'avais eu l'impression de faire étalage de ma richesse. Mais finalement, elle avait plutôt l'habitude de pouvoir s'offrir ce genre de chose si elle le voulait. Cela me rassurait un peu. J'allais dans la salle de bain alors qu'elle sortait de la douche bien chaude et j'allais lui poser les cheveux sur le côté et je lui soufflais des mots doux à l'oreille. Elle me répondit que nous pouvions en faire beaucoup en une demi-heure. Je souris de côté en lui caressant la joue alors qu'elle se tournait vers moi. Je pris son visage entre ma main. Là, elle me demandait de rester dormir là. Je fronçais rapidement des sourcils, étonnée. Je sais bien que le matin même nous avions parlé que nous pensions l'une à l'autre sans cesse et que nous tenions l'une à l'autre. M'enfin, je ne m'attendais pas du tout à ce qu'elle me demande une chose pareille. J'oubliais presque qu'elle était nue devant moi. « Oh heu.. bien sûr rien ne me rendrait plus heureuse que de t'avoir pour moi toute la nuit... » dis-je reprenant mon esprit. Je descendais ma main sur son épaule, son bras nue, sa hanche. Je l'attirais contre moi. « Que cette demi-heure commence.. » soufflais-je en la serrant contre moi et je posais les lèvres contre les siennes. Je passais ma main dans ses cheveux en allant la claquer contre un mur. Je l'embrassais et j'entourais ses jambes autour de mes hanches. J'allais vers sa chambre que j'avais repéré et je la posais sur ce lit. Je descendais mes lèvres dans son cou, sur sa poitrine. J'embrassais sa poitrine comme une folle avant de descendre sur son ventre parfait, puis j'allais poser mes lèvres sur sa partie intime. J'aimais l'entendre gémir, l'entendre aimer ce que je lui fais. Je remontais ensuite mes baisers allant la regarder dans les yeux. « Qu'est-ce que tu es belle... » lui dis-je alors dans un souffle.

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Je ne sais pas pourquoi j’avais ressenti cet élan de panique quand Prunille m’avait proposé de manger chez moi. Peut-être que j’avais peur que notre couple devient concret, que notre amour soit révélé au grand jour et que cette passion que nous avons entre nous, petit à petit, s’évanouisse. Car je pense que c’est réellement une crainte chez moi, que cette fantaisie, cette folie, cette envie, cette attirance ne devienne qu’éphémère et que nous ressemblions simplement à un couple, banale, rien de plus. J’avais peur aussi de m’attacher, qu’elle me laisse tomber un jour ou l’autre et que ma peine soit trop grande pour que je puisse le supporter. Peur de sentir mon cœur se briser dans ma poitrine, peur de voir ces larmes couler et de sentir mes joues me brûler. Elles qui n’ont plus fait leur apparition depuis bien longtemps. Je ne me suis jamais permis de m’attacher toujours pour les mêmes raisons. Mais avec Prunille c’est différent puisque malgré les limites que je me suis mise, je n’arrive pas à m’empêcher de ressentir ces choses. Ça prend possession de mon corps, de mon esprit, de mon cœur, ça m’envahit. Comme des mauvaises herbes.
Seulement je devais affronter tout ça, affronter mes sentiments et surtout les assumer. Alors je me retourne pour lui faire face et je lui demande si cette nuit, elle voulait dormir chez moi. Après tout j’avais bien dormi chez elle la nuit passée pourquoi pas l’inverse. Elle parut assez étonnée de ma demande et j’espérais de out cœur qu’elle n’allait pas la refuser. Mais je devais rester de marbre, lui montrer que ça n’allait pas m’atteindre si elle préférait rentrer chez elle. Mais à mon plus grand soulagement elle accepta et un sourire s’installa sur mes lèvres. Depuis ce matin, alors que je me suis réveillée à ses côtés, je me suis vite rendue compte que le sexe n’a plus réellement une place importante entre nous. Que rien que le fait de la voir dormir, ou juste de ‘lavoir à mes côtés me rend complétement heureuse, autant qu’une partie de jambe en l’air. Notre relation est maintenant passée à un autre stade. Ses mains parcouraient mon corps nu et je n’avais qu’une envie, lui sauter dessus. Elle a toujours cet art de me mettre dans tous mes états et de perdre le contrôle de mon corps. Mes lèvres scellent les siennes d’un baiser, baiser tendre, sensuel pour finir dans une forme plus langoureuse. Contre le mur, mes jambes viennent doucement s’enrouler autour de ses hanches, comme une danse. Nous voyageâmes jusque ma chambre, nous retrouvant sur le lit. Ses baisers se déposèrent sur ma peau légèrement humide, se déposant sur mes parties intimes, soupire, gémissement. Sa bouche remonte vers mon visage, me complimentant dans un souffle. Mes mains se déposent sur son visage, l’encerclant comme une caresse. « Toi aussi bébé, tu es d’une beauté incomparable, je pense que j’ai une chance inouïe de t’avoir à mes côtés. J'aimerai t'avoir éternellement à mes côtés. » J’étais surprise moi-même par ce qui avait franchi mes lèvres mais plutôt fière d’avoir pu mettre quelques mots sur mes sentiments. Une façon détournée de lui dire à combien je tiens à elle.

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» I love you once i love you twice i love you more than beans and rice ♥ Alex
» You know i love the player and you love the game - (m) AU CHOIX
» too hard to understand
» Let's understand what's going on!
» Different DNA... they don't understand you

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