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 Capitale de l'amour, capitale de la mode.

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(#)Sujet: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Dim 6 Sep - 21:36

       
Alaël
       
       
Paris, tu nous ouvres ton coeur.
       
Cela faisait une semaine que j'étais avec Alayna. Une semaine que j'avais entre-ouvert mon coeur pour y laisser paraître une once d'humanité, c'est-à-dire des sentiments. Je ne suis pas le genre de mec qui a toujours cherché à avoir une nana à ses pieds, à lui raconter des bobards et à vivre milles aventures à raconter autour d'une table de poker. Je suis plutôt le genre de mec qui a toujours été sincère en disant qu'il ne se passerait jamais rien après une partie de jambes en l'air, et qu'elle partirait ou je partirais dès que ce serait fini. Pas de dodo ensemble, ou quoique ce soit. En dehors de ça, je n'ai jamais touché une fille, et encore moins par amour. Mes frères et soeurs étaient les seuls à avoir une petite preuve du fait que je pouvais aimer. Ils sont les seuls qui pourraient dire à voix haute que j'ai un coeur, si seulement on pouvait les croire.

Eh oui, le gros dur d'Enaël Tate a trouvé la femme qui l'a fait craquer. La femme qui lui a sourit et qui l'a conquis. La femme qui lui a fait tourner la tête, la femme pour qu'il ferait tout. Il y avait quelqu'un d'étranger, et féminine, à sa famille, qui avait réussit à ressortir des sentiments du coeur de pierre que j'ai. J'ai pourtant lutté, ne pas regarder ses lèvres, ne pas remarquer son parfum, ni sa façon de rire, de se tenir, de me toucher, de baisser les yeux, dont le vent passe dans ses cheveux, combien elle est maladroite, modeste, adorable, talentueuse, douce. Et pourquoi, ça m'ait tombé dessus. J'avais remarqué tout cela, et en un rien de temps, c'était fini. Je commençais à connaître ce que "sentiments" voulait dire et ça me faisait peur. J'ai fui un moment avant de craquer et d'enfin vouloir comprendre ce qui m'arrivait. Et voilà.

Après une semaine, nous étions toujours en colocation. Elle ne dormait pas toujours avec moi, car malgré que nous essayions chacun de mener une vie de couple petit à petit, nous voulions garder une part d'intimité. Personnellement, j'ai toujours eu besoin de mon espace personnel, étant très réservé. J'ai une carapace dont il est difficile de me défaire de si tôt. Du coup, c'est ainsi. On mange ensemble quand nous ne travaillions pas, on se fait quelques soirées dans les mêmes conditions. On est chacun chez soi, sans que l'autre vienne pour autant trop piétiner sur le territoire de l'autre. Cette situation m'allait bien pour le moment.

Néanmoins, je pris une semaine de congé. En effet, je savais qu'elle le ferait aussi pour faire une pause entre la fin de l'été et la rentrée. Du coup, en cachette, je prenais les mêmes jours de repos et je lui préparais une petite surprise. Ma toute première surprise en tant que "petit ami". J'avais envie de lui faire changer les idées, qu'elle voit autre chose un moment. Je savais que ce n'était pas simple. On a tous les deux notre passé, et nous aimons le fuir. C'est dans cette optique que je préparais ma petite surprise. Depuis deux jours, je n'arrêtais pas de mettre des indices de ma surprise un peu partout.. Je lui aie fais un petit déjeuner typiquement français un jour. J'apprenais à dire quelques mots en français et je lui disais pour rire parfois. J'allais lui acheter de la baguette au possible. Des petits détails comme ça, juste pour me faire kiffer quoi. Parce qu'elle, elle ne comprendrait rien jusqu'au dernier moment. En effet, le matin de notre premier jour de congé, je me réveillais bien avant elle et j'allais faire nos affaires en cachette. Je m'introduisais dans sa chambre, je lui déposais des affaires pour le jour-même et j'emballais ce qu'il fallait. Je l'avais beaucoup observée pour savoir qu'elle ne manquerait de rien. J'envoyais nos bagages à l'aéroport et j'allais la réveiller. Je préparais un petit déjeuner de luxe. Un croissant, un thé, une rose à la Belle et la Bête un peu et un petit bout de papier-glacé plié en deux. Quand elle l'ouvrira, elle verra écrit en lettres calligraphiée "Paris" et un dessin fait par moi-même de la tour Eiffel. Je l'embrassais tout doucement sur le front pour la réveiller, caressant sa joue. Alayna, réveilles-toi.. soufflais-je. J'étais prêt à aller avec elle dans la ville qu'on dit de l'"amour" et aussi, j'y avais pensé.. de la mode. Rien que pour elle. Je voulais lui offrir une semaine de rêve avant de reprendre nos vies normales. Pour commencer quelque chose d'inédit, quelque chose que ni elle ni moi ne connaissions, l'amour.

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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Mar 8 Sep - 11:07
Les jours passent et aux côtés d'Enaël ne se ressemblent pas, ils étaient tous particuliers, avec de nouvelles sensations, de nouvelles découvertes de l'autre, je savais que jamais entre nous il n'aurait de routine, car on pourrait toujours se dévoiler, on pourrait toujours surprendre l'autre également, et j'aimais cela, notre couple  était spéciale, unique, heureusement parce que si il aurait pu être avec une autre et faire la même chose je pense qu'il ne serait pas tombé sous mon charme et l'inverse était réciproque, il était si différent, si beau, si enivrant, qu'il attiserait ma flamme encore et encore, pour la faire davantage plus puissante, qu'elle rayonne avec ardeur. Je ne savais pas où tout cela me mènerait mais je me laissais porter par le bout de chemin que l'on écrivait ensemble, non sans la peur au ventre, car je savais bien que la vie peut basculer à tous moment , la preuve aujourd'hui, il avait la place la plus importante dans mon cœur aussi bien en taille, qu'en affectif. Il avait su me comprendre, du moindre dans les plus grands lignes, il avait su me poser, apaiser mes peurs,, il avait su me prendre exactement comme il fallait, ne voulait pas imposer quelque chose, mais bien construire quelque chose ensemble , par envie, par amour, par tendresse envers l'autre.

Enaël faisait ressortir le meilleur chez moi, et les souffrances du passé ne devenaient plus  que de vieux souvenirs qui s'éloignaient plus le temps avançaient. Il avait changé ma vie en un sens, moi qui ne croyait pas que l'on pouvait trouver une personne qui nous comble de joie , de bonheur, et qui peut être présente, autrement qu'en amitié, il m'avait démontré le contraire, il m'avait fait comprendre ce que ma mère me racontait étant enfant était vrai, et que l'amertume, et la pierre assignée à mon cœur devait s'ébrécher, tout cela n'était du qu'à mon père, et il ne devait pas me servir d'exemple, ce modèle désastreux de couple, de famille, je ne devais pas m'y fier, je devais me créer ma propre vision des choses, et avec Enaël c'est ce que je faisais au fond de moi je le savais, il m'aidait à croire en moi, en lui, en nous, et même à ce mot si compliqué et si rare qu'est l'amour. Quelle fille aurait pu résister à ce sourire, ce charme, ce rire qui remplis le cœur de bonnes choses, ce regard envoûtant, cette silhouette plus qu'enviable, sa manière d'être maladroite, sa façon de pencher la tête, de me prendre dans ses bras, la manière dont il me dépose un baiser dans le front, ou qu'il m'embrasse dans le cou, sa manière qu'il a de faire en sorte que je le désire, tout, j'appréciais tout, jusqu'à ses plaisanteries.. Il avait fait de moi une femme accomplie, un bouton de rose éclos, et qui grandissait avec aisance dans cette vie  si souvent injuste, ce monde si dévastateur. Il était mon bouclier, mon arme secrète, il était mon héros, celui qui a réalisé l'impossible sous mes yeux, il m'a fait tombé amoureuse de son être , de son aisance, de sa prestance, de sa personne, de son âme. Avec lui tout semblant compliqué et simple  à la fois c'est ce paradoxe qui était délectable chaque jour, sa présence, être à ses côtés, partagés ces instants qui continuent de forger celle que je suis vraiment , ce que nous sommes.

J'avais peur cependant que notre romance débutant et notre colocation également, nous n'allions pas nous heurter à un problème, à quelque chose de difficile pour nous deux, mais finalement on empiétait pas sur l'intimité de l'autre tant que cela, notre couple, notre colocation trouvaient leur place petit  à petit, c'est vrai que dormir avec lui serait un luxe que j'aimerais me permettre mais nous aurions le temps d'en décider dans les jours à venir, le dialogue était une de nos forces également, même si on ne trouvait pas toujours comment le dire, on finissait par se comprendre tout de même. Je pense aussi ce qui jouait également une part importante de cette réussite pour le moment dans notre nouveau couple, c'était la confiance, le temps , l'entente mais surtout le fait que l'on tienne infiniment à l'autre, que pour l'autre, pour ne pas le perdre, on arrivait à faire des efforts. J'avais beau rentrer des jours fatiguée de boulot et lui aussi, on ne répondait pas une mauvaise humeurs sur l'autre, parfois on pouvait être ronchon , mais on s'avait très vite se faire pardonner mutuellement.  Puis avec deux caractère comme les nôtres, c'est tout ou rien , et je préférais le tout , tant qu'à faire. Puis depuis peu, je profitais de ses nouvelles attentions envers moi en tant que couple , et cela me plaisait vraiment, je me sentais une princesse parfois, et ça faisait du bien clairement.

Ce matin là, je dormais paisiblement sachant que pour une fois je ne devais pas me lever de bonnes heures pour aller au travail , je profitais pour récupérer ces heures effectuées. Je rattrapais , je faisais ma cure de sommeil. Je sentais une présence, et des lèvres effleurer mon front, une main touchant ma joue, avec tendresse, et amour. Il me réveillait en douceur, comme l'homme parfait qu'il était à mes yeux. Sa voix remplie de douceur juste pour ma personne, me fit esquissait un doux sourire amoureux , car oui je l'aimais d'un amour enflammé. Je rêve encore n'est ce pas ? .. Dis je d'une voix douce et délicate, soufflait un peu comme lui. Quel belle vision en cette bonne matinée. Ajoutais je le regardant avec passion, me demandant quand même si je nageais pas en plein rêve, c'est vrai que cela était plutôt mignon, adorable, tellement craquant de sa part, j'aimais ces attentions insensées, parce qu'elles étaient pas si souvent présentes, donc je profitais au maximum dès qu'il le faisait et surtout je valorisais cela, parce que je sais que c'était des efforts pour moi et ça me touchait vraiment. Il me tendis ensuite le plateau alors que je me redressais, oui , fallait que je me réveille, il avait pris tellement soin au détail que je me demandais ce que cela pouvait cacher, si c'était une simple envie ou quelque chose de plus travaillé et pensé. Je pris soin de sentir d'abord la rose, puis je m'attaquais au petit déjeuné, je le regardais tandis qu'il ne me quittait pas des yeux , je me disais qu'il attendait une certaine réaction de ma part. Mais je te remercie Enaël. Que d'attention, je me sens une femme importante à tes yeux dis donc. Lui rétorquais je avec malice toujours touchée par tout cela. Ce n'est qu'un instant plus tard que je remarquais le papier et que je m'en saisissais. Je le regardais troublée, et aussi curieuse, avec un air interrogatif , je me demandais bien ce que cela pouvait signifier cette mise en scène.

Je ne tardais pas à le savoir, ouvrant d'un geste délicat le papier plié, je pouvais lire sur le papier Paris, même si mes yeux s'étaient posés eux sur le dessin, je reconnais l''empreinte d'Enaël,  car il avait une certaine manière de dessiner, depuis que je l'avais vu sur mon visage, je pense que cela m'avait profondément marquée. J'arquais les sourcils, cela voulait vraiment dire ce que je pensais. Je le regardais en souriant en coin, j'attendais de pouvoir lire la réponse dans son regard sans un mot, je pense qu'à ce moment précis mon regard devait être plus amoureux, plus attentionné, plus révélateur de ce que cette belle surprise pouvait signifiait dans mon esprit et dans mon cœur. Tu viens par ici que je t'embrasse Enael le meilleur homme du monde Tate. Lui mentionnais je d'une manière flatteuse et enjôleuse. Je voulais le remercier par un baiser tendre et intense, je voulais qu'il comprenne que cela me faisait vraiment plaisir, sans pour autant trop m'éclaffer après tout je venais de me lever il me fallait un temps avant de pouvoir sautiller et montrer ma joie. Vient déjeuner avec moi , je te veux à côté de moi. Ajoutais ne pouvant enlever ce sourire satisfaire sur mes lèvres, il n'avait pas finis de me surprendre ça non. Et je me sentais comme le cœur léger, prête pour de nouvelles aventures à vivre à ses côtés, Cet homme me faisait littéralement rêver, et je pense que je devais faire en sorte d'être sur de le garder auprès de moi, il était exceptionnel, unique, presque irréel. Mais j'y pense. Dis je un peu paniquée. Il faut que je prépare mes bagages, il faut que j'oublis rien, faut que j'active. Poursuivis je un peu affolée finalement, Enaël cette réaction le faisait bien rire car il avait déjà tout préparer, alors ça l'amuser bien de me voir soudainement emballée, et impatience, prête à battre un record de vitesse pour partir plus vite avec lui. Arrête de sourire de cette manière, pourquoi te moques tu donc monsieur ? Lui demandais je soulevant un de mes sourcils, tout de même amusée par la situation.
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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Mer 9 Sep - 19:14

       
Alaël
       
       
Paris, tu nous ouvres ton coeur.
       
J'ai décidé de faire une surprise à ma première et incroyable petite amie. Déjà que je ne pensais pas qu'un jour ça arriverait, alors lui offrir un voyage.. Quelques mois plus tôt j'en aurais limite ri. Pourtant, j'étais bien là à tout préparer pour ce voyage pendant qu'elle dormait encore. Je faisais sa valise après l'avoir bien observée pendant des semaines. J'avais parlé français et fais des références toute la semaine dernière. J'envoyais nos valises à l'aéroport et je faisais un petit déjeuner typiquement français. Je n'arrivais pas à croire ce que je pouvais faire pour elle, comment je voulais lui changer les idées, la rendre simplement heureuse. J'y allais, je fonçais, je n'arrêtais plus.

J'allais dans sa chambre lui déposer le petit déjeuner et la réveillée. Elle se réveilla donc et ouvrit ses beaux yeux, soufflant une phrase qui me fit sourire. Je caressais sa joue. Je la laissais se réveiller tranquillement, je me reculais un peu pour qu'elle voit et me remercie pour le petit déjeuner. Je me doutais qu'elle ne verrait pas tout de suite le mot, mais je la regardais sans la lâcher des yeux. Je souriais, elle était vraiment super jolie. Limite pendant un moment, je ne pensais plus à la surprise que j'avais mis tant de temps à faire. Je ne me contentais que de la regarder, toujours aussi parfaite même au réveil. Elle me zyeutait de côté. Je pense qu'elle se doutait que je cachais quelque chose, alors que je ne pensais plus du tout à ça.

C'est ça qui me rappela qu'elle n'avait pas encore vu le petit carton. Enfin, elle le regarda et l'ouvrit. Là, ses yeux étincelèrent. Je souris de plus belle, voyant cette lumière sans ses yeux. Elle me demanda de venir l'embrasser, ce que je fis. J'en mourrais d'envie de toute façon. Puis, elle me demanda de petit déjeuner avec elle. J'allais me lever pour aller prendre de quoi petit déjeuner avec elle mais elle fit une réflexion qui me fit rire. Elle me demanda aussitôt pourquoi je me moquais d'elle. Je me rapprochais d'elle à nouveau l'embrassant sur la joue. Tu ne crois pas que j'ai déjà tout prévu..? Tu as une heure pour petit déjeuner et t'habiller, j'ai préparé ta tenue là au bout du lit. Tu as oublié que tu as dis "meilleure homme du monde" ou bien..? lui dis-je avec humour en souriant avant de retourner dans la cuisine. J'allais rechercher un café et un croissant je revins avec elle manger comme elle le désirait.

Je la laissais aller dans la salle de bain. J'allais moi-même m'habiller de façon un peu plus classe sans trop en faire et puis ensuite je nous conduisais à l'aéroport. Là, nos bagages étaient déjà en soute, on vint me prévenir. Les employés traitaient Alayna comme une princesse, tout était parfait. Nous étions dans la classe la plus chère de l'avion, avec des employés français. J'y étais pas allé de main morte. On peut regarder un film sur la tablette pendant le trajet si tu veux. dis-je alors qu'on nous menait dans la première classe. Je l'embrassais alors que nous étions installés.

A l'arrivée, on envoyait nos bagages directement à l'hôtel afin qu'elle en ait la surprise à la fin et nous pouvions sortir faire un tour tranquillement dans Paris avec la voiture que j'avais loué avec le chauffeur français avec qui nous accueillait à l'aéroport. Il nous emmena directement près de la Tour Eiffel, le Trocadéro, les Champs Élysées, le Pont des Arts. Je n'avais qu'à appeler le chauffeur pour qu'il apparaisse. Dans la voiture, je tenais la main d'Alayna alors qu'elle regardait autour d'elle. Nous sortions de la voiture. Tu veux commencer par quoi? lui demandais-je alors me rapprochant d'elle.


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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Sam 12 Sep - 13:12


Je le regardais penchant la tête sur le côté , c'est vrai, comment cela se faisait il que je n'y avais pas pensé plus tôt, Enaël allait toujours à fond dans ses idées, et pas à moitié, il était surprenant, et intelligent. Il pensait à tout, dans les moindre détails, du moindre c'est ce que je ressentais au travers du dessin de moi qu'il avait réalisé. Il était perfectionniste, et c'était une des grandes qualités qu'il possédait. Non je ne l'ai pas oublié mais on en reparlera dans d'ici quelques temps, on verra si tu me fais toujours autant rêver, et là je pourrais dire que tu es parfait. Lui répliquais je amusée qu'il retienne ce morceau de phrase en particulier. C'est vrai que c'était une surprise immense, et que ça valait bien mieux que tous ces couples qui se font souvent des attentions et qu'au final ne sont pas capables de reconnaitre ce qu'ils ont, moi j'avais les yeux grands ouverts, et le cœur à l'amande. Je l'attendais afin de déjeuner ensemble, avant de devoir courir me préparer en vitesse, je ne voulais surtout pas nous mettre en retard, alors qu'il avait tout prévu juste pour moi, je n'arrivais d'ailleurs toujours pas à y croire, mais c'était fabuleux. Je ne savais comment le remercier, j'avais juste envie de l'embrasser encore,...lui montrer combien cela m'avait profondément touchée, et qu'il avait visé en plein cœur.

Je m'attelais à aller à la salle de bain , pour m'empresser de me faire divine, pour paraitre rayonnante et en beauté auprès de mon cher et tendre. Je voulais qu'il me trouve radieuse et que je sois toujours sa belle et sublime princesse, après tout il le méritait , mais avec cette surprise encore plus. Je le suivis ensuite jusque l'aéroport, il avait même déjà fait parvenir nos bagages, il m'impressionnait vraiment et je savais que ce n'était pas près de terminer, car le voyage ne faisait que commencer. Je ne savais pour le moment plus où donner de la tête, car tout le monde était courtois avec moi. A l'intérieur , il me proposa de regarder un film tout deux afin que cela passe plus rapidement, surtout qu'il me connaissait , et que pour ce genre de chose j'étais impatience d'ouvrir le papier cadeau pour voir le cadeau, ben ça me faisait un peu cette effet là, une hâte d'arriver à bon port, pour consommer , pour commencer à user le cadeau offert avec amour de sa part, et surtout l'utiliser avec délicatesse, je ne voulais pas que cette merveilleuse surprise je la gâche, non il n'y avait aucun soucis à se faire, je prendrais soin de cela. Eh bien qu'as tu dans ta tablette comme films ? Comme ça ensuite je te propose deux ou trois que je veux et on prend un qu'on veut regarder tous les deux , ça te va , comme deal ? Lui proposais je en souriant délicatement. Il m'embrassa, et je prolongeais bien évidement, ce somptueux baiser qui me donnait à nouveau le sourire, tandis que je me poussais vers lui afin de pouvoir regarder la tablette alors qu'il allait me dire le nom des films mais j'aimais bien le taquiner un peu, à le pousser avec mes fesses; d'un petit coup de bassin.

Le film passant, on arrivait très vite, sans que je n'ai le temps de le réaliser, dans ses bras, le temps passait toujours à une vitesse folle, il fallait sans douter. Il avait loué une voiture, franchement je m'en remettais pas, j'étais émerveillé devant tant d'initiatives de sa part, mes yeux luisaient pour la beauté de cette ville mais aussi pour cet homme qui me rendait folle de lui et qui faisait en sorte qu'à cet instant je sois heureuse, que je me sente importante, une femme comblée, comprise, et aimée. Dans le taxi, il me prit par la main, et je sentais que ma vie prenait un nouveau tournent comme si rien que par ce geste, je me disais que ce voyage serait inoubliable, et surtout je pourrais enfin penser à nous, oui , nous, rien qu'en y pensant je souriais à nouveau, il me faisait changer, il me donnait une raison de me lever de matin, de bosser dur, de vouloir être ambitieuse. uhm.. Je me mise à réfléchir à sa question, je voulais réaliser quelque chose d'incroyable. La tour Eiffel en première, car c'est ce qui faut faire absolument à Paris, enfin faudra pas oublier d'aller au magasin Disney non plus ! Lui dis je alors en lui souriant angéliquement. Il ordonna au conducteur du taxi de nous amener à la tour Eiffel, mon regard était profond, et révéler toute la gratitude que j'éprouvais à son égard, et aussi de l'amour, pour une fois qu'on était loin de tous réellement tous les deux, je voulais pas nous en privé, néanmoins je me mise très vite à regarder par la fenêtre parce que je voyais toutes les lumières, les grands boulevards, et j'étais comme une enfant, les yeux brillants, émerveillée par tout.

Arrivée à la tour Eiffel, je demandais de monter tout en haut, la vue devait être des plus magnifiques. Alors pour que tout soit comme je le souhaite, et que mon bonheur n'avait pas de prix, il m'emmenait tout en haut, on zigzaguait un peu car il y avait pas mal de monde, mais cela me faisait rire de voir la détermination d'Enaël , qui aujourd'hui aurait fait tout pour moi, pour mon plus grand plaisir. Il ne laissait au hasard, mais je n'en profitais pas pour autant, heureusement, je pense que les plus beaux moments sont ceux qui fait plaisir aux deux. Il nous trouve un emplacement près du bord, où nous avions un paysage des plus beaux, je regardais la ville, ses lumières, c'était vraiment magique. Je regardais en bas, et je sentais que dans mon ventre, ça faisait déjà son effet, j'avais peur d'avoir le tournis, je me reculais alors prenant les mains d'Enaël, pour m'entourer de ses bras, et rester contre lui, mirant la vue des plus belles façons qu'il soit finalement. C'était peut être un petit geste d'affection mais pour moi c'était déjà beaucoup. Je le regardais ensuite l'espace d'un instant, il avait l'air d'apprécier également les bienfaits de l'air sur nos visages, la douceur de notre enlacement, et la beauté de panorama. Je caressais d'un petit geste sa joue à l'aide de mon index afin qu'il se tourne en ma direction, me regardant, je lui souriais instinctivement. Et toi tu aimerais faire quoi, parce que moi à part les boutiques, les monuments, comme l'arc de triomphe, le musée du Louvre, Le château de Versailles... enfin que des choses qu'on doit faire avant de partir, mais j'ai aussi envie de passer des moments plus tranquille avec toi si tu le veux bien . Lui exprimais comme souhaits pour la suite de notre aventure à Paris, je me voyais bien manger tout deux et pour une fois dans un restaurant, fin pas forcément un grand , même une brasserie cela m'irait bien, je ne voulais pas non plus que ce voyage soit excessif car je ne voulais pas lui coûter trop cher non plus, je n'étais pas une femme qui voyait l'argent forcément, et puis s'il le souhaitait je pouvais même payer pour moi ou pour nous deux, on pouvait très bien partager les dépenses...
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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Sam 12 Sep - 19:31

       
Alaël
       
       
Paris, tu nous ouvres ton coeur.
       
Elle choisit de commencer par la Tour Eiffel. Nous y allions. Je voulais que tout soit parfait, j'étais prêt à tout pour la rendre heureuse. Cela semblait la faire rire d'ailleurs, je la voyais me regarder et ricaner. Je lui tirais la langue pour rire en serrant sa main. Nous allions vivement vers la Tour Eiffel. Alayna était émerveillée, regardait partout. Nous montions tout là haut ensemble. Là, nous voyions tout Paris. C'était magnifique, je dois avouer. Encore plus beau que le vent fouettait nos visages de manière à ce que je reçoive le parfum d'Alayna dans les narines alors que je regardais la ville de l'amour. Elle se recula dans mes bras d'un seul coup. Evidemment, je ne la repoussais pas, bien au contraire. Elle enroula elle-même mes bras autour d'elle sans que je ne puisse le faire. J'appréciais, je la serrais contre moi. Elle me caressa la joue, alors que j'étais hypnotisé par la ville. Je la regardais en souriant, comme un automatisme, un réflexe. Moi, je veux juste te voir heureuse. On a qu'à aller manger dans une petite brasserie française puis on marchera sur les champs Élysées. Ou alors on fera du bateau sur la Seine. Je veux surtout faire Versailles parce que je trouve ça magnifique puis c'est l'Histoire de France. Je suis ici surtout pour toi ma chérie. lui dis-je en caressant sa joue, remettant une mèche de cheveux en place.

Nous descendions doucement, car elle avait le vertige. Au bout d'un moment je m'arrêtais, je la regardais. Je m'avançais et je la pris sur mon dos pour descendre, en riant. Ainsi, elle n'aurait peut-être plus peur du vide. Une fois en bas, je la fis descendre doucement de mon dos et repris sa main pour aller vers le Trocadéro et trouver une brasserie plus loin. Là, on prit une table et je commandais des plats typiquement français, m'asseyant au français que j'avais appris a priori. Bonjour. Nous voudrions deux gratins dauphinois s'il vous plait, merci. C'était totalement bancale et drôle, même le serveur avait souri. Je fis une grimace quand il était parti. Te moque pas repris-je en anglais à Alayna. Nous prenions deux verres de champagne, j'avais repris l'anglais, désespéré. C'était une brasserie certes mais plutôt classe. Tu veux faire ta gourmande et prendre un dessert? demandais-je en riant. Pendant que je lui demandais, un homme qui faisait du violon passait et un autre habillé de la même manière qui chantait en français proposa une rose à Alayna, que je lui payais. C'était super, une bonne ambiance, on se sent chez nous. Je souriais, c'était bizarre de se sentir aussi accueilli quelque part, je n'étais pas habitué à tant de gentillesse.

Après le dessert, nous allions vers la Seine où je louais un bateau qui arriverait plus tard. Je regardais Alayna, une idée derrière la tête. Il faut qu'on se trouve ce qu'il faut pour être vraiment cool sur le bateau. Genre une marinière pour mec, et toi une jolie robe de française et un chapeau tu sais? De vrais français sur la Seine! T'en dis quoi? dis-je partant dans un délire complètement fou. Il y avait quelques boutiques dans le coin où on trouverait notre bonheur. Je l'entrainais dans ces boutiques où je me prenais une marinière vite fait et la laissais choisir une belle robe de française et un chapeau. Tout lui allait, j'étais vraiment fou d'elle. Je payais et nous demandions de les passer tout de suite. La vendeuse ne refusait pas le moins du monde et nous laissa nous changer. Elle fit même une photo avec la tablette. Nous la regardions. Tu as vu, un vrai couple français. dis-je en riant. Je l’emmenais au bateau qui avait beaucoup de charme à la française. Elle montait, je la laissais s'installer sur les coussins installés là, le soleil battait son comble. Elle était trop belle, on aurait dit une mannequin pour une pub de parfum. Je souriais. Je la prenais en photo. J'aurais voulu la dessiner là en fait. Je le ferais dans la semaine je pense. J'imprimais cette image dans la tête. Nous voguions sur la Seine et découvrions Paris par l'eau. C'est magnifique, hein? dis-je en souriant. J'avais commandé des sandwichs français et pâtisserie pour manger sur le bateau.



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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Mar 15 Sep - 21:33
La première idée sur laquelle je m'arrêtais était de visiter la tour Eiffel, car c'était le monument le plus renommé de Paris et que d'un autre côté la vie, l'ambiance n'était pas seulement touristique mais aussi pour les couples. Il régnait quelque chose dans l'atmosphère qui me faisait me rapprocher naturellement d'Enaël, même si cela nous changeait tout les deux , je savais l'apprécier également, au contraire, c'était plaisante aussi de se retrouver de cette manière, de découvrir autre chose de l'autre, un côté plus doux, tendre. Il me faisait rire, et j'aimais qu'il produise toujours cet effet sur moi, il était intrépide, personne ne l'arrêterait dans qu'il ne parviendra à son objectif, il était obstiné, et aurait fait tout pour que rien ne puisse empêcher ce qu'il avait en tête de se réaliser, rien n'était trop beaux pour moi aujourd'hui et je sentais que mon cœur s'enflammait pour lui. Arrêtes de tirer la langue après tu sais très bien où elle atterrit. Lui clamais je en riant de bon cœur avec lui.

J'observais autour de moi, j'aimais bien cette ville gaie, remplie de couleurs, je trouvais les environs magnifiques. Tout en haut ,je regardais de tous les côtés, voulant voir le panorama en entier tout était si beau, luxueux, impressionnant. Je me sentais si petite à cette hauteur. Oui si petite que j'en avais le vertige et finis dans les bras de mon tendre amour mon aimé, mon amant, mon homme. J'enroulais ses bras protecteurs autour de moi , je me sentais rassurée, et surtout si bien que j'aurais pu y rester des heures, si je le pouvais, mais le reste des aventures à Paris, elles, n'attendaient pas. Je restais cependant un temps comme ceci, voulait gravé cet instant dans ma mémoire , posant ma tête contre la sienne, contemplant la vue que nous était offerte.
Je lui caressais ensuite la joue par instinct, ce rapprochement me donnait plus envie de lui montrer mon affection et comme on dormait toujours pas ensemble ce n'était pas plus mal d'avoir des moments comme celui ci ça comblait mon manque d'affections et le besoin que j'avais envers lui d'avoir de la tendresse et de l'amour par moment, et comme ils étaient naturels, et aussi pour faire plaisir à soi et à l'autre je les trouvais encore plus spéciaux. Me voir heureuse ? Enaël serait il en train de craquer pour une jolie rousse ? Me plaisais je à lui dire en ayant le regard qui s'illuminait comme si cela devait une évidence seulement maintenant que je lui plaisais sincèrement, comme si j'aimais terriblement cela encore plus qu'auparavant pour la simple et bonne raison qu'il devait de plus en plus cher à mon cœur. Tu sembles autant emballé que moi, et puis pour une fois on a toute notre temps pour être ensemble parce que entre nos boulots ce n'est pas si simple malheureusement et je suis pour passer plus de temps avec toi et en profiter un maximum. Lui confiais je en souriant , esquissant un sourire radieux sur les lèvres. Puis c'est surtout son "ma chérie" qui me plaisait, c'était une des seules fois qu'il m'appelait ainsi, et je sentais alors mon cœur tambourinait contre ma poitrine, faire des loopings tellement il était heureux, et s'en donnait à cœur joie. Ces mots accompagnés d'un geste, était un souvenir merveilleux à venir ajouter aux autres que l'on avait déjà vécu tout deux .

Puis il m'accompagnait pour descendre , choisissant de me rassurer et de bien me tenir pour ne pas que j'ai. Et ses bras m'entourant j'aurais du en profiter avant , pensais je en moi même. Voyant que je grimaçais tout de même pour ne plus m' y faire penser il me prit sur son dos , au début cela me donnait encore plus le vertige, car j'avais peur qu'il me lâche ou que je ne tombe. Je riais finalement de le voir prendre des initiatives telles que celle ci . Je lui tapais légèrement sur les fesses pour qu'il aille plus vite comme si c'était un cheval et cela me faisait passer le temps que l'on descende et je ne m'étais aperçus de rien, il était doué je devais l'avouer. On empruntait les rues, jusqu'à trouver de quoi se sustenter. Assis à a la table, il se mit à prendre un accent français ou du moindre il tentait de le prendre enfin de commander dans la langue de Molière. Je souriais puis je retenais mon rire portant ma main sur mes lèvres, pour tenter de le contenir, mais j'avais vraiment envie de le faire, c'était dingue et en même temps son accent était très sexy, je devais bien avouer que cela lui allait bien ! Je me moque pas je souris de tes prouesses, je ne savais pas que tu étais bilingue. Le taquinais je en battant des cils pour l'amadouer en même temps avec mon charme fou, féminin, de déesse.

Il dépensait sans compter , et j'avais peur, moi aussi je voulais lui faire plaisir, je n'abuserais de sa gentillesse à mon égard. Oui j'aimerais bien tu me connais j'aime le sucré, comme tes lèvres. Lui dis je en souriant laissant apparaitre mes jolies et douces fossette. Je sais pas une île flottante, ou une glace, je ne connais pas les desserts français et je ne parle pas trop bien non plus je parle petit nègre en français , alors je veux bien que tu m'aides petite ange. Lui proposais en lui souriant radieusement. Puis on entendait dans l'air une douce mélodie enivrante, comme un air d'amour qui venait nous envahir notre atmosphère , Enaël me paya une rose, je le pris alors la main, je ne sais pas ce qui se passait mais je sentais que mes yeux luisaient pour lui, et mon cœur s'emballait follement chantant la chanson de l'amour au rythme qui se régulait sur celui d'Enaël.

Le dessert était gourmande et je m'étais jamais autant régalée, c'était délicieux, et Enaël avait visé fort, je ne pensais pas que la suite pouvait être aussi spectaculaire, mas je n'étais pas au bout de mes surprises. Je suis d'accord pour la belle robe, mais le chapeau, ne fait pas trop cliché ? sinon je peux prendre aussi une baguette de pain tu sais chéri. Lui répondis je en le taquinant, le sourire , aux lèvres mais je trouvais cela mignon comme idée. Puis je suis partante pour faire des folies, et te suivre comme toujours. Ajoutais je emballais mais songeuse sur ce que cela pourrait bien donner. On faisait plusieurs boutiques, jusqu'à trouver une qui nous plaisait bien, où on trouvait pas mal de choses intéressantes. Il semblait tellement aimer se plier à ce délire qu'il m'emportait avec lui dans son tourbillon de folie. Je tapais la pause, me baladant en tenant d'une main le bas de ma robe comme une princesse, en me déhanchant légèrement comme une petite danse que j'effectuais gracieusement. Puis je me rapprochais de mon petit ami, le prenant par le bras, la dame tenant le magasin prit une photo de nous deux. Tu penses sincèrement qu'on peut nous prendre pour des français ? Lui demandais un sourire en coin des lèvres. Il nous prendrait peut être pour des touristes fous , oui, plutôt, et je riais avec lui à l'unisson, il était complètement dingue, mais j'aimais cette folie chez lui. Puis il m'emmenait voguer, naviguer sur les eaux, me réservant une ballade un peu romantique , mignonne, mais avec nous tout deux tout était différent, jamais dans l'excès mais passionné, naturel. Je regardais l'horizon et quand je me retournais les cheveux dans le vent, il me prit sur le vif, et je souris ensuite, un peu rougissante, remettant une mèche de cheveux en place. Il me demandait ce que je pensais de cette ville, qui avait comme un goût délicat, parfumé d'amour. Et bien je trouve que le paysage est sublime, et aussi je ne l'avais jamais vu de cette manière comme quoi parfois voir les choses sous un autre angle peut être encore plus parfait qu'on le pense. Oui ma réflexion pouvait aussi être valable pour nous deux, je nous avais encore jamais vu aussi proche.. et je profitais de ces instants de bonheur avant de devoir revenir à la dure réalité ensuite.

Tu sais ce que j'aimerais faire ? Lui dis je regardant les rayons du soleil se reflétait dans l'eau puis regardant ses yeux, le regard perçant reflétant toutes ses couleurs, c'était magique. J'ai envie de lancer en l'air des lanternes, tu trouveras surement cela stupide, mais au soir quand le soleil se couchent les envoyer dans le ciel, cela doit surement être merveilleux, et beau à regarder. Lui confiais je en rougissant de nouveau légèrement. Je le regardais j'avais envie de lui faire plaisir comme il venait de le faire tout le long du voyage. Tu souhaites maintenant voir le chateau de versailles, ça doit être immense, gigantesque, et la décoration doit être digne d'une princesse, j'ai peur de me perdre, la dedans, mais ça doit créer de beaux souvenirs, néanmoins je ne suis pas sure que l'on puisse prendre de photos. Lui clamais je afin que lui aussi prenne plaisir à cette balade amoureuse. Tu vas surement me prendre pour une folle mais puisqu'on est à Paris pourquoi on passerait pas aussi au parc disney, ou ce genre de chose, pas très loin, ou alors même si tu vas envie on peut découvrir plusieurs ville, en plusieurs jours, ça peut être aussi très bien à faire , rien que toi et moi, et l'aventure, ça nous lierait surement d'une certaine manière. Lui proposais je en lui souriant tendrement.

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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Mer 16 Sep - 14:59

       
Alaël
       
       
Paris, tu nous ouvres ton coeur.
       
Je la regardais, tandis qu'elle était là sur ce bateau. Nous venions de rire un peu à nous prendre pour des français - bien sûr, personne ne nous prendrait jamais au sérieux. On peut voir à des kilomètres que nous sommes américains. Mais les français ne sont pas du genre à se foutre de touristes comme nous, on ne fait que s'amuser. Je l'admire, ses cheveux roux étincelants avec la lumière du soleil et de l'eau. Elle souriait, regardant autour d'elle. Elle finit par se rendre compte que je la regardais et elle se fit plus petite. Cela me fit rire. Je lui demandais ce qu'elle en pensait. Maintenant que je m'étais ridiculisé à essayer de parler français, que nous étions allé tout en haut de la Tour Eiffel, être ici à naviguer sur la Seine pouvait donner un angle nouveau à sa vision de la ville romantique. Puis, valait mieux qu'elle profite de ce genre de voyage car ce n'est pas tous les jours que je serais aussi attentionné et attentif. Elle le savait. Elle savait que j'avais mes humeurs et que ce n'était que parce que nous étions dans un endroit inconnu et que tous les deux que j'agissais comme le plus possessif limite des amoureux. Etre toujours comme ça, ce n'était pas possible pour moi. J'aimais la laisser vivre d'elle même, pour ne pas qu'elle se retrouve perdue si un jour je tourne au vinaigre. Je ne voulais pas l'entraîner dans le gouffre béant contre lequel je lutte tant. Je voulais la protéger de ça, la protéger de moi.

On pourra faire tout cela, oui, pourquoi pas. Allons à Versailles en bateau, très chère. dis-je en riant en naviguant jusqu'où je pouvais et là nous prenions une voiture pour aller jusque Versailles. Nous ne payons pas, car c'est gratuit pour les moins de vingt cinq ans. Nous nous retrouvions face à ce palais de glaces, somptueux. L'Histoire de France est vraiment une chose splendide, qui m'a inspiré pas mal de dessin. Je pense que je me serais plu à cette époque-là. lui dis-je en souriant. Tu imagines Sir Tate offrant une danse à Dame Mayer dans sa belle robe endimanchée? Je riais à ma propre imagination. Ça sonne un peu anglais, va falloir refaire ça mais dans une salle de balle à Londres. renchéris-je en riant. Nous visitions tout le château. A l'extérieur, les fontaines fonctionnaient. C'était un spectacle époustouflant. Je proposais à Alayna de la prendre en photo, là, dans ce paysage idyllique. J'avoue que je ne suis pas très photo alors, ce n'était pas naturel pour moi de lui en proposer une en ma présence. Elle toute seule, dans ce jardin luxueux et magnifique, c'était juste parfait. Elle brillait parmi toutes ces fleurs et cette eau. Une princesse. Je ne pouvais pas croire que ce que je ressentais rien qu'en la regardant m'avait amené ici, à Paris pour une petite semaine. Mais si, j'étais bien là avec elle, à Versailles, à parler Cour et Ballet. Incroyable. Nous nous promenions comme cela pendant quelques heures. C'était trop beau pour avoir la notion du temps.

Quand le soleil commençait à se coucher, je nous re-dirigeais vers le bateau sur la Seine. Là, la nuit commençait à tomber et la Tour Eiffel illuminait le paysage. C'était à tomber par terre. Une belle journée qui se finissait en beauté. Et encore, tout n'était pas fini. Je la regardais elle, puis la Tour Eiffel. Je souriais, comme un idiot, de la voir si éblouie. Moi-même, j'étais ébloui mais plutôt par son bonheur. Après cela, la voiture revint nous chercher pour nous mener dans l'hôtel parisien que j'avais réservé. Un bel hôtel typique haussmannien que je n'avais pas pu refuser. Un portier nous ouvrit les portes, j'allais voir l'accueil pour la clef de notre chambre et nos bagages. J'essayais encore le français, ce qui fit encore rire l'employé. Il m'indiqua que nos bagages étaient déjà dans notre chambre à nous attendre et me donna simplement la clef de notre chambre. Je m'en saisis, le remerciais. Je me retournais vers Alayna. Je la prenais par la hanche tendrement pour la mener à l'ascenseur afin de trouver notre chambre. Elle était somptueuse, avec une belle vue sur tout Paris. Elle regardait cette dernière, je la pris dans mes bras par derrière, et je la fis se retourner vers moi. Je la regardais un moment avant de l'embrasser tendrement et de la serrer contre moi, comme j'en avais rêvé depuis un bon moment. Je nous reculais vers le lit.


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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Dim 20 Sep - 0:11
J'en profitais pour admirer la vue que l'on avait depuis la fenêtre, je sentais la légère brise, je voyais le soleil teinté d'orange et de rouge et je trouvais cela magnifique , avec le ciel légèrement rosée, puis toutes ces lumières allumées la nuit rendez cette ville enchanteresse. Je me sentais comme aux pays des merveilles avec une joli robe, et prince parfait que rêver de mieux ? parfois la vie était si belle, si sublime que je voulais en savourer la moindre saveur comme la maintenant aux côté d'Enaël, ses bras m'enlaçant tendrement et amoureusement à la fois. Il fit en sorte de me tourner afin que je lui fasse face, le bas de ma robe se soulevant à mon demi tour. Il me porte un baiser sur mes lèvres rouges, onctueuses et sucrées. Je déversais dans ce baiser l'amour que je lui portais malgré le fait que jamais je ne lui prononçais ces mots. Je me retrouvais ensuite tout contre lui à la fin de ses baisers et c'était non loin de me déplaire. M'entraînant avec lui , je me retrouvais contre lui alors qu'il était assis sur le lit, toujours debout. Je passais une jambe de chaque côté, afin de pouvoir me tenir à genoux devant lui ayant une posture qui me rendait plus grande que lui comme si je pouvais contrôler la situation à mon avantage. Je lui rendais un baiser plus sensuel tout contre ses lèvres, appuyant légèrement contre celle ci pour le rendre plus intense, passant ma main dans ses cheveux m'accrochant doucement plus les serrant doucement dans ma main, je l'embrassais finalement avec plus de fougue et langoureusement à la fois.

Je l'attisais vers moi en même temps que je me relevais , le serrant près de moi , je passais mes mains froides sur son torse chaud, brûlant et cela me faisait frémir intérieurement. Je l'emmenais vers la salle de bain , m'arrêtant d'abord vers le premier meuble , afin de lui ôter son haut qui m'empêcher d'être en contact direct avec sa peau, et ce sentiment de bien être, de frisson ultime me manquait plus que tout. Il fallait que je puisse avec la mienne caressait la sienne, que nos corps fusionne et frissonne ensemble au diapason. J'enlève également le mien, enfin de sentir cette osmose quand je recolle ma poitrine contre son torse, ce qui me fit pousser un léger soupir de plaisir, j'aimais ce contact si particulier l'appelle de mon corps désirant la sien tout entier, le découvrir de nouveau sous tout les angles, le dessinant, le parcourant des mes mains expertes, dans des caresses sensuelles, intenses, et passionnées. Il me prit alors la jambe contre ses hanches afin de me porter et me poser sur le meuble et je l'embrassais alors dans le cou , semant des baisers envieux, descendant sur le début de son torse. Mes mains descendirent jusqu'à son pantalon le titillant avec l'index touchant sa peau au niveau du haut de son bas de sous vêtements, descendant ensuite légèrement en dessous pour lui grimper la température interne de son corps de dieu grec.

Je me redressais pour descendre après ces baisers plus sauvages , plus révélateur de mon envie qui ne faisait que s'accroître au fur et à mesure de nos étreintes voluptueuses, et suaves. Je le prenais par la main , le faisait avancer vers la salle de bain. Arrivée à la porte, je le fis zipper ma robe, puis la laissa glisser le long de mes jambes doucement, lentement, d'une manière sexy , où elle épousait parfaitement les formes de mon corps avant de s'échouer sur le sol. Je fis ensuite face à lui et lui retirait son pantalon afin de pénétrer en sous vêtements dans la pièce d'eau. Je referme la porte à l'aide de mon pied , et d'un coup de hanche sec, net. Je regarde Enaël avec un regard ténébreux et plein d'envies, je passe mes bras autour de son cou, et l'embrasse furtivement afin de relâcher la pression , et de le faire patienter, un peu avant de reprendre des baisers plus passionnés sur son torse, qui me fait monter ma tension artérielle. Puis je m'abaisse jusqu'à son bas de sous vêtement que je retire d'une manière sexy à l'aide de mes dents. Puis je m'en vais vers la douche et retire la dernière couche de vêtements qui couvre mon corps. Je le laisse pénétrer avec moi dans la douche et là je l'allume, laissant l'eau ruisselait sur ma poitrine lentement puis sur le reste de mon corps... chaque partielle de mon corps le réclame et brûle de désir pour lui...
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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Dim 20 Sep - 12:32

       
Alaël
       
       
Paris, tu nous ouvres ton coeur.
       
Elle répondait à mon baiser comme à mes attentes. Elle entoura mes hanches de ses jambes, étant plus haute que moi, elle m'embrassa langoureusement. Elle passait ses mains dans mes cheveux, les attrapant. Je la tenais dans le bas de son dos afin qu'elle ne tombe pas sous nos mouvements déjà fous. Je la serrais aussi ainsi contre moi. Nous échangions un baiser fou, qui montait déjà la température.

Ensuite, elle me fit me lever. Nos lèvres étaient toujours collées l'une contre l'autre, dansant ensemble, se laissant aller l'une avec l'autre. Nous arrivions vers un premier meuble et elle n'attendait pas pour passer ses mains sous mon tee shirt. Ses mains étaient froides, c'était plaisant. Son contact me rendait toujours un peu fou. Elle retira mon tee shirt, je me laissais faire. Puis je reprenais ses lèvres et la soulevais sur le meuble, jambes autour de mes hanches. Elle pouvait ainsi retirer ses chaussures. Je la tenais maintenant par les cheveux, mettant un côté sauvage à notre échange. Elle descendit, descendant ses baisers sur ma peau. Ses lèvres étaient chaudes et tendres, les parcelles touchées brulaient sous son contact. Elle arriva au pantalon, allant attiser mon envie physique. Je souris. Elle me tira par la main ensuite pour me mener jusqu'à la salle de bain, où elle retira sa robe d'une manière sexy. Je levais un sourcil, amusé et excité. Elle retira mon pantalon afin d'entrer dans la pièce en sous vêtement tout deux. Puis elle me regarde avant de venir entourer ses bras autour de mon cou et m'embrasser encore, laissant le suspens prendre de la place entre nos envies. Je la serrais contre moi, sa peau contre la mienne me faisait vibrer. Elle descendit une nouvelle fois ses baisers sur mon torse pour aller retirer avec les dents mon boxer. Elle m'amusait encore. Je la laissais faire. Une fois fini, je voulais retirer ce qu'il restait sur elle mais elle s'éloigna vers la douche, le faisant elle-même. Je la regardais, je l'admirais. Sa peau douce et blanche qui m'attirait à elle, je voulais l'embrasser, la caresser, en faire mienne. Ses cheveux roux caressaient son corps en me narguant.

Elle entra dans la douche me laissant y aller, elle alluma l'eau alors que j'entrais derrière elle et fermais les portes de derrière. Avant qu'elle ne se retourne, je la prenais contre moi, la caressant en la tenant contre moi. Je caressais son ventre plat, je passais sur le côté pour aller vers ses cuisses, je frôlais ses fesses, son sexe, je caressais le contour de ses seins pour la faire frémir. Je la tenais de l'autre main, par la hanche contre moi, pour qu'elle sente mon propre corps contre le sien, et mon propre sexe. J'allais la tenir par le cou pour qu'elle le laisse tomber, ainsi j'embrassais ce cou somptueux, ses cheveux caressaient mon épaule, l'eau coulait sur son corps et je le voyais, c'était digne d'une oeuvre d'art. Je continuais en même temps de la caresser, cette fois-ci j'allais entourer son sein gauche de ma paume de main, le caressant. Ensuite, avec un doigt, je descendais le long de ses courbes et allais caresser ainsi son sexe qui n'attendait que moi. Puis, je la fis se retourner et la claquais sans lui faire mal contre le mur de la douche, l'eau était sur moi à présent. J'allais attraper ses lèvres dans un baiser fou, passant mes mains dans ses cheveux mouillés, tenant sa fesse d'une main. Mais vite, je la fis se retourner contre ce mur, j'allais embrasser son dos de tout son long, et j'arrivais aux fesses. Je les mordillais aux endroits sensibles. Puis, j'attrapais sa hanche de la main gauche pour qu'elle se courbe et que je puisse petit à petit arriver avec ma langue contre son sexe, et avec mon doigt jouer avec son clitoris. Je le faisais une bonne vingtaine de minutes. Je la fis se retourner et continuais dix minutes mais exclusivement de la langue, tenant un de ses seins entre ma main. Puis je remontais mes baisers, passant par ses seins, un de ses tétons, pour retourner à ses lèvres qui avaient aimé ça.

Je la soulevais à nouveau sans problèmes pour qu'elle entoure ses jambes autour de mes hanches. Le tenant sous les fesses, je caressais une nouvelle fois son sexe, alors que le mien était tout près. Je le titillais ensuite avant de le passer en elle avec un deuxième doigt. Je fis des va et vient. Je me vengeais du suspens qu'elle m'avait mis juste avant. Je savais qu'elle sentait mon sexe dur contre sa jambe, qu'elle le désirait. Après un long instant, j'arrêtais l'eau de la douche, je ne la lâchais pas évidemment, j'ouvrais les portes, celle de la salle d'eau, je filais sur le lit, j'enfilais un préservatif et je la prenais sans plus attendre. Je l'embrassais sur les lèvres, dans le cou, je lui mordillais le lobe de l'oreille, lui donnant des coups de rein, entendant ses cris, gémissant moi-même. Je lui faisais l'amour avec tout ce que je ressentais pour elle à cet instant précis. Je me disais que putin elle est trop belle. Je me disais que je ne méritais pas une femme pareille et pourtant, elle est bien là, et il faut que je la garde. Tout ça dans cet acte précieux et sauvage.


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(#)Sujet: Re: Capitale de l'amour, capitale de la mode.  |   Lun 5 Oct - 20:30
La beauté de la ville, l'enchantement de voyager, toute cette ambiance me rendait aimante, douce, attirée d'autant plus par mon bien aimé. J'avais envie de porter mes lèvres sur les siennes, afin de les capturer comme jamais je ne l'avais encore fais sentant mon cœur s'emballait dans une allure folle , vive, passionnée, montrant la rage de l'amour que je lui porte au fond de moi sans pourtant pouvoir trouver les mots à mettre dessus, néanmoins je savais que j'avais le temps de lui dire, j'avais toute une vie pour le faire, pour le dire à ma façon au moment opportun pour moi. Je devais alors entreprenante afin de succomber à l'envie qui venait me prendre tout entière. Je le tenais par les cheveux , faisant ressortir le désir si prononçait à l'intérieur de mon être. Je me sentais embrasser par cette flamme volcanique qui voulait me consumer, et me submerger. Il fallait que je réagisse que j'assouvisse l'envie qui démangeait , qui me dévorait si ardemment. Je sentais le brasier d'Enaël prendre également de l'ampleur au fut et à mesure que nos corps se répondaient et se cherchaient, voulant cette proximité intime qu'ils aiment tant tous deux, comme deux amants éperdument épris de l'autre qui voulaient se plaire et ne faire plus qu'un.

J'entrepris pour nous échauffer et nous mettre dans l'ambiance de lever et de me suivre, marcher dans mes pas, afin que par mon regard, par mes déplacements, il sente que je suis enivré par lui, et ô combien je le désire et souhaite le faire patienter pour que l'envie soit à son apogée. Je me trémoussais , faisant des pas sensuels, arborant une démarche suave, élégante. Nos baisers devenaient plus intenses, plus envieux , plus sensuels aussi. Se positionne sur le meuble, en relevant un peu sa robe laissant apparaitre ses jolies jambes dénudées. Jouant sensuellement avec elles, je l'attisais vers moi afin de pouvoir passer mes mains sous son haut. Mes jambes retrouvèrent leur place autour de ses hanches. Je sentais son corps se posaient contre le mien et ce contact me réchauffait à l'intérieur , je sentais que chaque bout de peau touchant la sienne, devenaient instantanément ardent comme s' il allumait la fièvre en moi. Je sentais mon sang bouillir au contact de mes lèvres qui effleuraient sa peau de pêche. Je voulais agrémenter cette envie chez lui, le poussée en être dingue d'envie, de souhaiter mon corps plus que tout autre chose à ce moment présent. Et pour cela, je le touchais , le caressais au niveau du pantalon, jouant avec son boxer, je le titillais pour ressentir son intimité dans son pantalon gonfler.

Nous continuions notre périples sur les eaux de l'amour et de la luxure. Notre chemin trouva sa fin près de la salle de bain, où je me délectais de chacun de ses regards enjôleurs, de son attitude de proximité. Je me retirer alors une couche de vêtements, laissant cette dernière trouvait place sur le sol après sa chute lente, voluptueuse. Je me saisissais ensuite de son pantalon, afin d'entrée dans la pièce d'eau où je ne pu m'empêcher d'user de nouveau de mes charmes afin de pouvoir obtenir ce dont j'avais tellement envie, lui, son essence, son âme, son corps éperdu dans la fusion, dans l'embrasement de nos deux corps voulant s'abandonner 'l'un à l'autre à en perdre le souffle, à se confondre, à ne plus savoir si je suis lui ou s'il est moi, être un nous . La folie me reprenait alors qu'une petite pause pour échanger des regards envoûtants fut marquée, je l'embrassais à en perdre la tête. Il me rendait complètement folle, il faisait naitre un brasier puissant digne d'un volcan en éruption.: Jamais aucun homme n'aurait pu me mettre dans un tel état auparavant et lui il y arrivait à chaque fois aisément , comme si cela était naturel que mon corps réponde ainsi aux mouvements du sien, comme si rien d'autre n'avait d'importance que le fait que j'aime qu'il me désire de cette manière. Il me serra tout contre lui, je ressentais pleins de papillons dans le ventre, des petits partielles de bien être qui me picorait le ventre, puis s'échapper dans tous mon corps entier.

Cette sensation qui m'électrisait, et me faisait vivrait, entraînait des pulsions qui étaient bien plus fortes que moi, je déposais alors mes lèvres sur son torse, et descendis jusqu'à son boxer que je finis par retirer soigneusement avec mes dents, du à l'envie qui me guidait, je ne me contrôlais plus, il avait le pouvoir sur moi, sur tout ce que j'étais et j'étais à l'amande, mes gestes ne souhaitant que mettre son corps en alerte, et lui faire un effet que seul moi pouvait avoir sur lui. J'entrais dans la douche afin de passer l'eau sur mon corps, la laisser couler sur moi pour qu'elle puisse sublimer mon corps, en ruisselant lentement contre celui ci. Il me colla à son ce corps divin, le contact de ses mains sur mon corps me faisait toujours autant frémir.. et faisait augmenter la température de mon corps qui fondait sous ses caresses esquisses. sentir son entrejambe dur contre mon corps ne m'aidait pas à calmer cette tension artérielle qui grimpait. Je sentais mon souffle devenir plus court, sous son corps brûlant qui réchauffait chacune des parcelles de ma peau. Mon cou se dégagea et je me cambrais légèrement en arrière afin de laisser la place à Enaël pour laisser un chemin à ses lèvres. Ses mains me faisaient ressentir des sensations plus qu'agréables, intenses, enivrantes. Ses mains franchissent les frontières et me faisaient m'abandonner aux délices interdits, me faisait connaitre l'extase, me procurant énormément de plaisir.

Puis la température augmentait d'un cran, me laissant plaquer contre la paroi de la douche. Ses lèvres trouvèrent les miennes dans un baiser passionné, tumultueux, renversant, comme je les aime, intense, voluptueux, plus sauvage. Le reste ne me laissa également pas de marbre loin de là, je sentais mon intimité réclamait la sienne, et brûlait d'envie, il m'excitait tant, sachant parfaitement à quel endroit me titiller, ou me caresser, et maîtriser très bien mon corps, qui l'appelait, crier après son être, le voulait entière enfin d'assouvir cette envie qui devenait de plus en plus difficile à contrôler tant il me chauffait et me mettais en transe. Je sentais mon intimité tellement mouiller que je voulais le sentir au plus profond de moi même. Ses jeux de langue m'émoustillait davantage et je me sentais frustrer de ne pas pouvoir agir pour mieux l'avoir tout contre moi afin de sentir son corps fusionnait avec le mien. Après m'avoir littéralement transportée sous ces sensations folles, j'avais juste envie de me libérer de cette envie qui prenait place au sein de moi même comme une émulsions d'envies puissantes qui avaient raison de moi. Je devais le toucher, le caresser et l'embrasser, je ne pouvais plus attendre, j'étais à bout, complètement ivre de désir à son égard. Il m'emporta avec lui vers lui et je sentais que cette tension sexuelle entre nous deux avait atteint le point culminant. Il se saisissait du préservatif à portée, nos baisers devenaient plus envieux, notre désir étant poussé à l'extrême. J'appréciais et savourais chacune des ses attentions envers moi . Il me rendait folle, complètement dédiée à lui. Mon cœur haletant contre ma poitrine s'intensifiait sous les coups de reins, et les mouvements de bassins que j'effectuais, comme s'il voulait suivre le rythme fou de cette danse endiablée de nos deux corps qui s'épousaient à merveille.

Je griffais son dos avec une passion débordante. Je lui mordillais le lobe de l'oreille, puis j'embrassais son cou sensuellement avant de revenir à ses lèvres divines et savoureuses , d'une onctuosité incomparable. Pour suivre sur ce rythme fou que l'on avait entrepris je roulais des hanches, me cambrant en arrière pour mieux en apprécier chaque instant, chaque mouvement qui passait par le bas de mon corps pour remonter, me transportant vers les cieux, les sommets.
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