Voilà près de quinze jours que j'ai accouché et je peux le dire haut et fort ce n'est pas le paradis ! Déjà on marche comme un canard ensuite il y a cette putain de brûlure en dessous qui te donne envie de vivre dans la baignoire jour et nuit sans oublier les contractions qui sont encore là et puis la montée de lait. Alors là pourquoi il monte à chaque fois qu'elle pousse un cri c'est la question à un million c'est juste incompréhensible ! Par contre Meylina fait ses nuits depuis le premier jour enfin quand elle a pas faim. Bon, je savais pas qu'en lui donnant un bain vers vingt heure puis son biberon ça la ferait dormir toute sa nuit jusqu'au lendemain six heures. Un autre truc me fait rire dormir en même temps que son enfant. Hum...et mon ménage il se fait tout seul ou quoi ? Alors oui, je dors le plus que je peux quoique avec Mary Poppins aka Zach Campbell, je n'ai pas vraiment à m'inquiéter pour la petite. Monsieur est scotcher à la petite presque poster dans sa chambre à attendre qu'elle se réveil ou qu'elle fasse dans sa couche. J'aime ma fille mais là, il abuse au point de complètement oublier que j'existe. Encore avant hier, on était au lit tranquillement en plein après midi dans un début de câlin enfin quand je dis câlin c'est juste pour lui mais bon, c'est l'un de nos moments intimes qu'il a foutu à la poubelle tout simplement parce que la petite a fait un petit bruit et cette même nuit il a fini par s'endormir dans le rocking-chair avec la petite dans ses bras ou il l'amène dormir avec nous. Ça il l'a fait une fois pas deux ! Mon dieu ! Si il savait qu'on a inventé un truc pour que les pères puissent allaiter les enfants en prenant le lait de la mère quand elles sont pas là je suis certaine qu'il en voudrait un ! Même si on ne peut pas faire l'amour, j'ai envie de nous retrouver et passer un moment avec lui c'est pourquoi j'ai demandé à Aly de prendre la petite pour la journée ça bien sûr Zach l'ignore. C'est dans le silence que je prépare le petit sac de Meylina alors qu'il est avec elle dans notre chambre à lui chanter une berceuse. Parfois, j'ai vraiment l'impression qu'il me vole ma place...le jour où ça va exploser, je sans que ça va faire très mal.

   

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Cela faisait maintenant quinze jours que Liséa avait accouchés de notre princesse. Beaucoup d’heure de travail et de souffrance pour la plus extraordinaire des femmes qui a donné vie a une fille des plus parfaites. Oui j’étais des plus heureux en ce moment à être entouré des deux femmes de ma vie. Liséa avait encore des petits soucis post-accouchement ce qui la rendait un peu grognon, mais elle restait la plus sexy à mes yeux. A notre étonnement, Meylina fis presque entièrement ses nuits, là pour le coup je ne comprenais pas, mais la technique qu’on avait trouvé pour le bain et le biberon marchait à merveille ce qui nous permettait de dormir afin d’être en forme, je laissais Liséa plus dormir afin qu’elle se repose, ayant pris des vacances pour m’occuper de notre fille autant qu’elle pouvait le faire.

Une chose m’avait agréablement surpris d’ailleurs, c’est que la peur d’être un mauvais père, que je puisse copier ce que mon père m’avait fait étant jeune, cela s’était envolé quand j’eu Meylina dans les bras. Toute ma peur s’était envolée et je dois dire que j’étais devenu un papa poule en fait. J’étais pire que Liséa au point de la surveiller constamment et l’avoir toujours avec moi. Sans me rendre compte je délaissais ma femme au profit de notre fille, je ne savais pas comment l’expliquer, mais j’avais ce besoin d’être constamment auprès d’elle comme si on risquait de me l’enlever ou qu’il arrive un truc si je n’étais pas présent. On ne se faisait plus trop de câlin avec Liséa, car dès que j’entendais un bruit je stoppais tout pour aller la voir. Je l’ai même emmené dormir avec nous, mais Liséa a pas aimer et je ne compris pas cette réaction. C’était notre fille, ensuite il m’est arrivé de dormir avec elle sur le fauteuil ou autres. Je suis actuellement dans le salon pour faire dormir notre princesse en lui chantant une berceuse que je n’avais fait rien que pour elle. Je la sens ne plus bouger signe qu’elle s’endormait. Je me lève et vais rejoindre Liséa, la trouvant en train de faire son petit sac à langer « pourquoi tu fais le sac de la petite ? On sort quelque part tous les trois ? » Je me posais des questions-là surtout qu’elle m’avait rien dit ce matin ni hier.


   

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Je n'avais aucune idée de comment il allait prendre le fait que la petite passerait l'après midi chez Aly. Bon, elle ne pouvait pas encore sortir vu qu'elle n'a que quelques semaines mais elle sortait juste pour aller d'une voiture à une autre pour ensuite se réfugier chez Aly donc aucun danger. Alors que je finis son sac, Zach arrive en me demandant si on allait se balader ensemble. Je ferme le sac de la petite puis le regarde en croisant les bras. Non, elle va chez Aly pour la journée. lui dis-je en allant dans la cuisine prendre le lait que j'avais tiré exprès. Après avoir tout mis dans le sac, je vais voir ma fille alors que Zach est sur mes talons. Commence pas à faire une crise ! On a besoin de parler et je doute que NOTRE fille doive entendre ça. ajoutais-je sur un ton sec. Viens voir maman mon coeur... murmurais-je pour ne pas réveiller ma petite princesse afin de lui mettre son manteau de la reine des neiges que j'avais acheté quelques jours avant l'accouchement à la petite. Je sais qu'il va mal prendre le fait que je ne l'ai pas consulter avant mais là j'en ai marre qu'il décide tout ce qui concerne la petite sans m'en parler et puis c'est aussi ma fille quoi qu'il en dise.

   

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Je ne comprenais pas pourquoi elle préparait son sac alors je lui demande si on allait faire une sortit en famille, après tout cela fais que deux semaine elle est encore fragile, alors on la sort pas trop attendant qu’elle soit plus forte afin qu’elle fasse face au froid. C’était qu’une petite poupée encore, je la vois fermer le sac et elle me répond qu’elle va chez Aly pour la journée, comment ça chez Aly ? Mais elle m’a rien dit hier ni ce matin, pourquoi elle va chez Aly ? Alors qu’elle part dans la cuisine chercher le biberon « pourquoi tu l’envoie chez Aly sans même me le dire ? » Je la suivais de prêt afin de comprendre ce qui se passait, elle me dit de pas faire de crise et qu’on devait parler, mais de quoi ? Et elle accentue sur notre fille, je ne comprenais pas vraiment. Je la laisse la prendre quand elle vient me l’arracher des bras afin de lui enfiler son manteau reine des neiges. Je ne comprends pas vraiment « pas faire de crise, mais pourquoi elle part ? Elle est trop petite encore pour sortir dans ce froid et qui chantera sa berceuse pour sa sieste hein ? » Je croise les bras alors qu’elle continue, les regardant attentivement « Aly sait tous les truc qui font qu’elle dorme bien ? Quel doudou il lui faut pour pas qu’elle pleure ? » Je n’étais pas d’accord je ne voulais pas être séparé de ma fille, cela serait une torture pour moi.


   

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Alors que je dépose de petits baisers ici et là à Mey', il commence à me sortir toutes sortes de conneries qui font monter la rage en moi. Putain ! Il est sérieux là ? Il ose vraiment me sortir tout ce baratin ? Une fois la petite prête, je la pose dans son lit que MONSIEUR avait installer dans le salon puis, je vais me planter devant lui vraiment furieuse. Non Aly ne sait pas mais moi SA MÈRE, je sais ce dont ma fille a besoin pour dormir et des berceuses il y a en des tonnes Zachary ! lâchais-je un octave plus haut que je ne l'aurais voulu. Il va vraiment me rendre dingue si il continue comme ça. A croire que tu es le seul à savoir ce qui est bien pour notre fille et je suis certaine que si tu pouvais lui donner le sein tu le ferais sans hésitation m'envoyant par la même occasion dans les oubliettes. crachais-je vraiment furieuse. Je le bouscule pour aller dans la cuisine pour me faire un thé. Soit je m'occupe les mains ou je le frappe et je préfère m'occuper les mains parce que là c'est la limite de ce que je peux encore accepter.

   

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Je la regarde elle était belle à venir embrasser Mey partout, mais cela m’empêche pas de mal prendre ce qu’elle venait de me dire, je lui explique alors mes raison de m’inquiéter si Aly prenait notre fille. Elle va la déposer dans son lit que j’avais mis dans le salon pour qu’elle fasse sa sieste, je devrais mettre le parc plutôt comme ça le lit retournera dans sa chambre. Elle me regarde furieuse, ça sentait pas bon, code rouge là. Elle accentue sur sa mère, bah oui elle sait et heureusement et les berceuse c’est différent, elle s’endort que sur celle que je lui chante « j’ai jamais que tu ne savais pas ce dont elle avait besoin et tu sais très bien qu’elle s’endort sur celle que je lui chante, elle est habitué à nos voix seulement… » Elle était trop en colère et sa raison n’était plus vraiment là.  Elle repend en disant que j’étais seul à savoir pour le bien de notre fille, elle a tort sur ce point. Lui donner le sein ? Erk non quand même pas, déjà que je n’approuve pas qu’elle lui donne en public trouvant cela un peu gênant. Attend comment ça à l’oubliette. Je la vois partir vers la cuisine elle semblait vraiment en rogne « chérie attend… » Je la rejoins et lui attrape la main pour la coller contre moi. Je passe une main dans ses cheveux « en aucun cas je pourrais te replacer auprès de Mey, tu m’entends tu es celle qui est la plus proche de notre fille, car tu l’as porté, tu as un lien indestructible avec elle et j’en suis jaloux, car je sais qu’un jour elle m’aimera pas… je l’ai vu entre ma sœur et mon père et j’ai peur que ça fasse pareil… » Je mets mon visage contre son cou « je ne veux pas qu’elle me voit comme un mauvais père qui s’occupe pas d’elle… alors oui je me l’accapare, car tu me rends heureux de m’avoir donné ce cadeau…. Je suis désolé mon cœur… Je suis juste le contraire de ce que je croyais être, moi qui avait peur… » Je viens embrasser son cou doucement.


   

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J'en avais vraiment marre qu'il se conduise comme si il était à la fois le père et la mère et je compte bien lui faire comprendre. Doucement, il s'approche et passe ses mains dans mes cheveux puis il a commencé à nicher son visage dans mon cou. J'arrive pas à faire comme si et passer au dessus de ça. Sans dire un mot, je me décale pour aller préparer mon thé, une bonne excuse pour m'éloigner de lui. Après avoir bu une gorgée , je me tourne vers lui  en me posant contre le plan de travail. Arrête tes conneries ! Tu ne te vois pas agir ! dis-je en posant ma tasse sur le plan de travail à côté de moi. Tu es en train de me voler ma fille Zach ! Je sais que tu l'aimes plus que tout au monde tout comme moi mais tu pousses beaucoup trop  depuis sa naissance. enchaînais-je sur le même ton. Sans dire un mot, je lui prends la main pour l'emmener dans la chambre de notre fille. Quand je suis rentrée, j'avais tout ranger et j'avais pris mes habitudes pour me faciliter la tâche surtout la nuit et toi, tu as tout changer sans même m'en parler ! Tu as changé la marque du talque ou encore la crème pour ses fesses pire l'autre jour je t'ai vu lui changer sa couche alors que je venais de le faire sous prétexte qu'elle était mal mise alors qu'elle était très bien mise. Tu as jeté une des grenouillère que j'avais acheté sous prétexte qu'elle était trop serrée pour elle, tu relaves ses vêtements comme si je savais pas faire de lessive pour ma propre fille alors que je lui ai acheté  la meilleure lessive au monde exprès pour elle anti-allergique et j'en passe. Dormir avec nous là ça a été la limite Zach ! Déjà ce n'est pas bon pour elle ensuite pour nous. Je te parle, elle fait un petit bruit même un pet et tu lâches tout pour courir près d'elle et la prendre à bras. Bordel Zach, elle va devenir infernal à toujours la prendre comme tu le fais dès qu'elle fait le moindre bruit. Tu te rends compte que hier tu me l'as reprise des bras en me disant que je savais pas comment l'endormir ? En lui disant qu'il y a que son papa qui sait comment faire et bordel arrête de dire que plus tard elle ne t'aimera plu parce que c'est faux et tu le sais mais c'est pas là le pire Zach...tu es en train de me voler ma fille et le comble là dedans c'est que tu en es arriver à me faire croire que je suis totalement inutile pire à me faire douter de mes capacités à être une bonne mère... finis-je par lâcher. Je quitte la pièce sans un mot de plus pour aller me réfugier dans le salon près de Mey' sans lui laisser le temps de dire un mot les larmes aux yeux. Il fallait vraiment que ça sorte avant que je ne finisse par commencer à le détester pour m'éloigner de ma fille et de nous comme il est en train de faire.

   

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Elle avait raison j’en faisais trop, je ne savais pas comment expliquer réellement ce comportement. Je comprenais qu’elle en ait marre et me hurle dessus. Je comprenais qu’elle voulait avoir une après-midi rien que tous les deux. Je faisais pas mal de chose qu’elle pouvait mal prendre. Je pensais qu’en m’excusant elle allait passer, mais quand je niche mon visage dans son cou, elle se décale et va chercher son thé et me dit d’arrêter mes conneries. Je lui vole sa fille, mais en quoi ? Oui je prends conscience que je pousse. Elle avait un ton élevé et elle prend ma main pour m’emmenant dans la chambre de Mey, expliquant qu’elle avait rangé les choses pour avoir ses habitudes et j’avais tout déranger sans lui en parlant. Oui c’est vrai, j’ai aussi changé le talque, oui apparemment c’est mauvais celui-là, ça pourrait irriter ses fesses. Le pire était sa couche apparemment… je ne savais pas quoi dire là en fait. La grenouillère n’a pas été jeté je l’ai mise au garage vu qu’elle était vraiment trop petite. Bon là à l’écouter j’abuser vraiment surtout la lessive et par contre le fait que je ne comprenais pas c’était pourquoi elle n’avait pas aimé qu’elle dorme avec nous. J’étais un papa trop gâteau alors, le contraire que j’aurais pensait en fait. Quand elle dit par contre que je lui faisais comprendre que je la rendais inutile cela me fit mal qu’elle pense cela. Elle était une excellente mère, elle était parfaite.

Je la vois partir de la chambre là j’avoue que je ne savais pas trop comment réagir. Je quitte la pièce et la prend dans mes bras « je suis désolé mon cœur… désolé de te faire douter… de te prendre ta fille comme je le fais… je vais m’améliorer et devenir moins papa poule afin que tu puisses vraiment sentir que t’es une mère parfaite et tout ce qui va avec. Je la retourne voyant qu’elle avait les larmes aux yeux et passe mes mains sur ses joues « nous sommes des parents et nous faisons tous à deux… Je te propose d’avoir des moments avec ta fille, je sortirais comme je faisais avant ou pourquoi pas que tu fasses une journée fille avec Aly et notre princesse. Je ferais plus la même erreur, j’ai compris maintenant. Maintenant tu vas m’écouter, tu as toute les qualités pour être mère et tu es la mère la plus merveilleuse qui soit. Tu es la mère de ma fille et ensemble on la rendra extraordinaire tout comme tu l’es toi. A chaque fois que je la regarde c’est toi que je vois… J’espère que tu me pardonneras tout ce que j’ai pu faire et je ferais attention. Je pense qu’il faudrait que j’aille faire une balade afin de te laisser un peu seule avec elle, ça te ferait du bien. » J’ai compris que je faisais tout le contraire de mon père ce qui pourrait avoir le même effet que de n’avoir aucun parent sur qui compter.



   

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Alors que je vais me réfugier dans le salon, il arrive et me prend dans ses bras. Je l'écoute s'excuser et j'avoue y avoir été un peu fort mais, il fallait vraiment que ça sorte. Je le laisse parler et je vois qu'il est sincère et qu'il a compris qu'il m'a vraiment blesser ça c'est le principal. Je ne te demande pas de partir et de me laisser seule avec elle juste qu'on se mette d'accord sur les choses importantes et que tu arrête de courir à chaque fois qu'elle fait le moindre bruit. Je l'aime tout autant que toi mais si tu continues comme ça elle va vite comprendre qu'on va la prendre à bras et elle va être impossible... Je comprends que tu aies envie de la tenir dans tes bras mais pour notre bien et le sien il faut que tu arrêtes et puis j'aimerais reprendre ma place de mère d'accord ? lui demandais-je plus calmement que tout à l'heure. Je reste dans ses bras cette fois j'en ai vraiment besoin en ce moment. Doucement, j'enroule mes bras autour de sa nuque plongeant mon regard dans le sien. C'est quand la dernière fois que tu m'as donné un vrai baiser ? J'ai l'impression que même si on ne peut pas faire l'amour pour le moment je ne t'attire plus. lui avouais-je à demi mot. Je crois qu'au fond de moi j'ai peur du moment où l'on pourra retrouver une vie sexuel qu'il reprenne ses mauvaises habitudes et que ça finisse par nous séparer. J'ignore si je dois lui en parler maintenant ou attendre de voir ce que ça donnera au moment voulu enfin bref, on verra sans doute ça dans un mois.

   

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Comme elle l’a dit j’allais trop loin, lui faisant sentir qu’elle faisait mal les choses. De lui faire sentir qu’elle pouvait être comme une mauvaise mère. Hors cela n’était pas le cas loin de là. Elle était fabuleuse, elle s’en occupait bien, c’est moi le problème et j’en avais conscience maintenant. Je devrais prendre plus sur moi, être moins au aguets et plus m’occuper de ma femme maintenant. Oui car le mariage a enfin une date. Je l’avais dans mes bras et je savais que faire tout cela l’avait blessé. Elle ne s’enlève pas cette fois, mes excuses ont été acceptées et j’étais content qu’elle les accepte et ne décide pas d’être fâché pendant un temps indéterminé. Je lui dis que je lui laisserais du temps avec notre fille, mais cela n’était pas ce qu’elle voulait. On était des parents, on prenait les décisions à deux et nous moi de mon cotés. Je la regarde toujours alors qu’elle m’explique qu’elle me comprend. Je ne voulais pas qu’elle ait une sensation de perdre sa place de mère, en aucun cas je pourrais faire les deux c’est trop fatiguant. Elle se retourne et vient enrouler ma nuque de ses bras, plongeant nos deux regards l’un dans l’eau. Puis elle me pose une question que je ne m’y attendais pas et surtout le fait qu’elle dise que je ne l’attire plus. Je m’approche de son visage et viens épouser ses lèvres des miennes pour l’embrasser, tout d’abord en douceur, puis intensifiant le baiser de plus en plus, venant la coller complétement contre moi, rendant ce baiser très langoureux. Mes mains entour sa taille et là j’arrête de l’embrasser « tu vas être ma femme, je suis à toi depuis le début. Tu m’as toujours attiré et j’ai toujours fantasmé sur toi, même ce jour-là sur la plage pendant que tu faisais ton yoga et je suis en manque. On pourrait je te ferais l’amour tout de suite chérie… » Je reviens l’embrasser doucement puis caresse ses cheveux « je t’aime chérie et ça n’en doute pas une seconde et la chose à laquelle tu ne dois absolument pas douter c’est que tu ma peste super sexy et je suis ton chieur frisé… » Je ricane un petit peu.



   

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