Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Je ne pensais pas que ça me dérangerait de rassembler les trucs d'Alexie. Chaque petite chose me la rappelait facilement! Elle avait laissé des morceaux de vêtements autant différents qui soit... en passant par des sous-vêtements. Je pris la peine de plier le tout et je rajoutai des trucs comme les fameux jeux qu'elle m'avait offerts et qu'elle n'avait pas pris en sortant de chez moi la dernière fois. Ce n'est pas vrai que j'allais garder ces jeux si elle ne voulait plus me voir. Ça avait été déjà trop aimable à elle de mes les offrir, voilà pourquoi je ne pouvais pas profiter de ce cadeau. Quelque chose me disait que je ne le méritais tout simplement pas. En plus de ça, je lui avais crié dessus la dernière fois et j'avais pas été très gentil non plus. J'avais des remords pour ce qui s'était passé et je me doutais bien qu'Alexie n'acceptera pas facilement mes excuses. Je le savais bien trop que ça allait se terminer comme ça, elle voulait plus... Elle voulait qu'on soit un couple. Concevoir cette idée me faisait tellement peur, elle n'avait même pas idée. Elle serait déçue de moi au final et j'imaginais déjà que ça ferait comme avec Victoria. Je conduisis chez Alexie, il était pas loin de 19h00, je me demandais si elle avait attendu après moi toute la journée. J'espérais que non quand même. Je ne lui avais pas donné d'heure où je passerai. Au pire, si elle n'était pas là, je laisserai le carton devant sa porte. Ma jambe allait mieux, mais pour me déplacer, je devais encore avoir une canne. Je me stationnai aux côtés de la voiture d'Alexie et je sortis de mon véhicule pour prendre le carton d'une main et de l'autre ma canne. Je sonnai à sa porte et attendit quelques secondes avant qu'elle ne m'ouvre la porte. Je détestais ce quartier! Ce n'était vraiment pas sécuritaire et surtout que les voisins avait une tendance à trop épier à mon avis. D'ailleurs sa voisine me parla en espagnol, mais je ne compris pas grand chose. Je préférais l'ignorer.

- Salut!

Elle ouvrit plus grandement la porte pour que je passe et je rentrai donc dans son petit appartement pour déposer la boîte sur la table de la cuisine. En déposant le carton, je compris vite que je n'avais pas grand chose à dire à Alexie. Mais bon, je pense que je lui devais quand même des excuses.

- Ça va? commençai-je tout bonnement en m'appuyant sur ma canne sur le tapis d'entrée. Je voulais aussi m'excuser pour ce que je t'ai dit qui t'a blessé et je voulais aussi m'excuser pour mon attitude de merde... Tu n'auras qu'à me dire combien ça t'a coûté pour ton téléphone je vais te rembourser.

J'avais pris une petite voix plutôt douce pour faire mes excuses parce que cette fois-ci j'étais calme. Après tout, c'est moi qui était en tort... comme ça avait été avec Victoria. Je me revoyais trop. Cependant, j'avais eu beau m'excuser une centaine de fois, ça n'avait pas suffit. Quand on joue les cons, on doit assumer les conséquences. Alexie pensait que je ne tenais pas à elle, mais c'était faux. J'avais pensé à elle à tous les jours depuis son départ de mon appartement... Mais elle avait raison! Je ne lui montrai pas que j'étais intéressé par elle ou que je tenais à elle. Pourquoi? Je ne sais pas, j'avais peur que ça devienne trop sérieux, je pense nous deux. Je regardai la jolie rousse devant moi tout en espérant qu'elle ne se fâche plus après moi.

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

C’était aujourd’hui que Nate avait prévu passer. Même si je passais la journée à l’appartement à rien faire… j’étais stressée de le voir passer. Je l’avais involontairement attendu toute la journée car bon, je n’avais rien d’autre à faire. À part travailler pour Hannah, je ne faisais rien de ma vie. À la fin de mes journées, je rentrais chez moi déprimer et pleurer dans mon lit devant netflix. La peine d’amour typique de la pauvre fille. Bien qu’il s’agisse de deux situations complètement différentes, j’avais autant de peine que lorsque j’avais laissé Ryan après avoir appris qu’il me trompait. C’est vers 19h qu’on sonna à la pote. Pour l’occasion, j’avais enlevé mon pyjama pour mettre des vêtements normaux. Je ne voulais pas qu’il sache que ça m’affectais À CE POINT. Et puis… si je me faisais belle… je voulais qu’à l’intérieur ça lui fasse un petit pincement et que je lui fasse comprendre : TIENS! C’EST ÇA QUE TU MANQUES MON PETIT MAUDIT. Oui, j’étais légèrement exaspérante. J’ouvris la porte pour le faire entrer. Il me salua… je le fis en retour sans rien répondre sur le fait si j’allais bien ou pas. Ça ne servait à rien de répondre, il savait que j’allais mal… Je le laissai me redonner une boite avec mes trucs. Ça concrétisait encore plus le truc et ça faisait vraiment mal.

« Je ne veux pas que tu me rembourses quoi que ce soit Nate… »

Encore une fois, c’était on orgueil qui parlait. Depuis quand est-ce que j’acceptais l’argent des gens aussi? Jamais de la vie! Il ne fallait pas me parler de ma payer quoi que ce soit… de me rendre un service monétaire, je refuserais à chaque fois. On pouvait dire que j’avais une tête dure oui. Ce que me dit le jeune homme devant moi me fit un petit pincement au cœur. Au moins, il avait l’amabilité de reconnaître ses torts… c’était déjà beaucoup mais malheureusement pas suffisant.

« Et oui, même si ça me fait mal tout ça, c’est à moi à me faire à l’idée et à l’accepter. Toi, tu peux au moins avoir le mérite d’avoir été honnête envers moi. Je ne pourrai jamais te reprocher ça même si tes actions dépassaient souvent ta parole. »

Ce que je voulais dire par là… était qu’il avait beau m’avoir dit à plusieurs reprises qu’il ne voulait pas être en couple, la manière dont il agissait avec moi m’avais souvent fait douter du contraire. Peut-être aussi que c’était moi qui se faisait des idées car je n’avais jamais eu de relation comme ça auparavant. Notre conversation fut interrompue par ma sœur qui sortait de sa chambre avec un sac à dos sur le dos. Elle passa près de nous et l’espace d’un moment, je fus heureuse qu’elle ne dise rien. Elle savait ce qui se passait… et je lui avais dit que lorsque Nate allait passer, j’aimerais qu’elle quitte pour un petit moment. Elle n’avait pas caché qu’elle me trouvait stupide d’accepter de le voir, d’ouvrir la porte. Selon elle, il aurait été préférable de juste, laisser mes trucs devant la porte.

« Tiens, c’est monsieur connard. » lâcha-t-elle avant d’enfiler ses souliers.

Je lui fis de gros yeux, j’avais pensé trop vite… elle avait vraiment une grande gueule.

« Bye Clarke… »

Et elle, elle souriait car elle se trouvait drôle. Elle me regarda avant de fermer la porte derrière elle. Je soupirai en secouant la tête, exaspérée. Puis, en regardant la boite sur la table, je me rappelai que j’avais également quelque chose pour lui.

« J’ai aussi un sac avec tes trucs dans ma chambre… »

Puis, je tournai les talons pour me rendre à ma chambre cherché ce fameux sac sur mon lit. En me tournant, Nate était dans l’encadrement de la porte. Il aurait très pu m’attendre dans l’entrée aussi. Je m’approchai de lui pour lui redonner son sac, un peu mal à l’aise. Il y avait des t-shirt à lui que j’avais longtemps utilisés comme pyjama. Lorsqu’il ouvrit le sac pour voir l’intérieur et constater qu’il y avait également les fameuses menottes de Vegas et l’huile à massage j’ajoutai en détournant le regard :

« Je les avais dans ma valise après Vegas. Tu peux en faire ce que tu veux… c’était à toi donc je me voyais mal les jeter. »

Et oui, je m’étais dit qu’on aurait pu les utiliser un jour de nouveau mais là, c’était à oublier.

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Bien entendu Alexie n'allait sans doute pas bien c'est pourquoi elle préféra éviter me répondre. C'était normal, je lui avais fait beaucoup de mal à mon avis. Je voulais lui rembourser son téléphone et bien entendu, elle préféra faire sa fière et me dire qu'elle ne voulait pas que je paie. C'était ridicule, je lui avais brisé son téléphone et ça valait au moins 150$ de réparation. Je savais bien qu'elle n'avait pas beaucoup d'argent même si elle avait commencé un nouveau travail. Je lui fis mes excuses pour ce que je lui avais dit, mais je ne m'attendais pas à ce qu'elle me pardonne pour tout ça. J'avais surement dépasser les limites! Puis, j'entendis une porte claquer et comme si c'était pas déjà assez gênant comme ça, je vis la soeur d'Alexie se pointer et me traiter de connard. J'avais roulé les yeux un instant. Sa soeur me détestait depuis toujours et je pouvais dire que c'était réciproque. Je ne savais pas trop c'était quoi son problème, mais j'imagine que c'était le fait que je ne voulais pas être son beau frère... et heureusement.

- Salut Clarke, toujours aussi charmante!

Elle mit ses souliers avant de partir de l'appartement. Au moins, elle n'allait pas s'éterniser! Moi non plus, mais bon... Alexie me dit ensuite qu'elle avait aussi des trucs qui m'appartenait. Je me rappelait pas d'avoir laissé quoi que ce soit chez elle... mais bon. Je la suivi jusqu'à sa chambre et restai en retrait. Je jetai un coup d'oeil une dernière fois à sa chambre, son lit était défait  et je pouvais voir sa manette de console trainer sur le lit. C'était plus difficile que je ne l'aurais pensé de regarder sa chambre. Elle me tendit le sac et je l'ouvris aussitôt pour y voir les menottes. Je les sortis du sac pour lui montrer. Ça me rappelait vraiment Las Vegas!

- J'ai déjà une paire de menottes, je te les laisse.

Je m'avançai dans sa chambre pour les déposer sur sa commode. De toute façon, je ne sais pas trop ce que je ferai d'une paire de menottes en plus. Je me retournai alors en figeant sur place... C'était comme si mon corps refusait de sortir. Alexie me regarda et je dirais que ça devenait un peu gênant. Elle était tellement joli et je sentais tout mon corps être attirer vers elle. Je me rapprochai un peu plus d'elle et me risquai à demander une question qui me trottait constamment en tête.

- Je te manque un peu, au moins?

Je pense que j'avais besoin de savoir parce que je ne pouvais pas croire que je me faisais jeter comme ça. Normalement, c'est moi qui jetait, pas les filles. Je me sentais d'ailleurs un peu perdu de vivre ça. J'avais envie de poser mes lèvres sur les siennes pour essayer de la faire changer d'avis, mais je ne pouvais pas me le permettre sans sa permission cette fois. Je risquai de recevoir une gifle en pleine figure.

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Suite au départ de ma sœur, je m’étais rendu jusqu’à ma chambre pour récupérer un sac avec des t-shirts que j’avais lavé à Nate ainsi que des trucs qu’on avait utilisé ensemble à Vegas. C’était un peu bizarre comme situation, surtout qu’il m’informa qu’il en avait déjà des menottes. Toutefois, l’huile de massage au chocolat l’intéressât toujours. Il allait pouvoir impressionner ses nouvelles conquêtes avec! Il posa les menottes sur le dessus de mon étagère. Je n’ajoutai rien mais je me disais que j’allais les jeter car je ne voulais pas les garder.  

« Pour l’huile, oublie pas que ça fait un sacré dégât sur les draps. »

Oui, je faisais exprès avec mes petits commentaires. Comme si je ne savais pas qu’il allait recommencer à baiser à gauche et à droite. C’était d’ailleurs déjà commencé son affaire maintenant qu’il allait un peu mieux. Les tonnes de fille sur son téléphone allaient s’extasier et lui, il avait un sacré buffet à sa disposition! Il n’allait pas rester affamé longtemps. Nate s’approcha de moi encore plus. Je restais immobile, encore plus suite à la question qu’il me posa. Est-ce que je lui manquais? Pourquoi est-ce qu’il posait cette question stupide? J’étais amoureuse de lui… c’était clair que je m’ennuyais de lui bon sang! Ça n’allait pas être une semaine qui allait changer ça. J’allais avoir besoin de beaucoup plus de temps pour passer par-dessus cette histoire.

« Disons que tu m’avais déjà donné un bon mois de pratique. » répondis-je tas-au-tac au le regardant droit dans les yeux. « Tu connais la réponse Nate et ça nous avance pas plus si c’est le cas ou non. »

Oui, il me manquait… je pensais continuellement à lui! Mais ça, je n’allais pas lui dire que ça le rendrait bien trop fier. Il avait besoin de comprendre que j’en avais réellement marre de son comportement et je n’allais pas lui donner la satisfaction d’avoir toujours une quelconque emprise sur moi-même si c’était le cas. Le voir ainsi devant moi était plus que douloureux. Je me répétais qu’il ne suffisait que de quelques pas pour me retrouver dans ses bras et même d’ici, je pouvais sentir son parfum. J’étais ridicule. J’étais beaucoup trop faible face à lui. Je ne comprenais pas pourquoi il restait debout devant moi à me regarder sans rien dire. Est-ce qu’il attendait que j’ajoute quelque chose? Techniquement… ça serait le temps pour lui de partir et maintenant nous n’allions plus avoir de raison de se revoir.

« En tout cas… merci de t’être déplacé pour venir me porter mes trucs. J’apprécie. » Je pointai quelque peu sa jambe. Il avait troqué les béquilles pour une canne et il pouvait maintenant s’appuyer sur sa jambe ce qu’il avait du mal à faire il y a une semaine. « Tu peux conduire maintenant… c’est cool… ça l’air d’aller mieux. Tranquillement, tu vas pouvoir reprendre ta petite routine. »

Travailler, s’entrainer, sortir dans les bars… draguer, baiser. À cette pensée, je croisai les bras en soupirant. Juste de l’imaginer de nouveau avec d’autres filles alors qu’il avait été uniquement à moi pendant un certain temps… eh bien c’était douloureux.

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Je ne pensais pas que me trouver dans sa chambre serait aussi difficile pour moi. Même que garder contrôle c'était à peine possible tellement j'avais envie d'elle. Alexie me laissa lui donner les menottes et je regardai l'huile dans mon sac, je n'étais pas certain que j'allais m'en servir, surtout qu'Alexie me rappela que ça faisait des dégâts. Effectivement, je m'en rappelais très bien. J'aurais qu'à la jeter une fois chez moi. Je ne savais pas trop pourquoi elle me disait ça d'abord, elle aimait tourner le couteau dans la plaie ou quoi? Je ne pu m'empêcher de lui demander maintenant si je lui manquais... Malheureusement, elle le prit mal et ne répondit pas directement à ma question en me rappelant que pendant 1 mois je ne m'étais pas vraiment forcé pour la voir. Je soupirai lourdement. C'était agaçant de la voir me parler comme ça, en même temps je le méritais. Je pense que c'était bel et bien fini. J'aurais cru qu'on aurait pu se dire au revoir une bonne fois pour toute de la bonne façon. Elle me parla alors de ma jambe et du fait que j'allais reprendre ma petite routine tranquillement.

- OUais, mais ça va pas assez vite à mon goût... Je ne voulais pas parler de ça avec elle. Alexie... repris-je un instant, elle posa ses yeux sur moi et je ne savais pas si ce que j'allais dire allait être déplacé ou pas pour elle. J'aurais cru... bien... tu sais, qu'on se quitte pas comme ça, on ne peut pas.... une dernière fois?

Je mourrais de désir pour elle et j'espérais qu'elle veule bien me céder ça. Après tout, on avait l'intention de se lâcher une bonne fois pour tout. Je me mordis la lèvre inférieure avant de me dire que c'était crissement une idée de con. Je secouai alors négativement la tête et je passai à côté d'Alexie pour me rendre dans l'embrasure de la porte.

- Oublie...

Je crois que je me faisais de faux espoirs. C'était dingue, c'était comme si je ne savais pas ce que je voulais. J'avais recommencer à bouger et je dirais que ma libido était dans le tapis. Je pense que mes hormones ne se contrôlaient tout simplement pas devant Alexie et je pense que le mieux c'était de partir et de l'oublier complètement pour me soulager autrement.

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Sa jambe n’allait pas assez vite à son goût. C’était bien vrai… avec Monsieur Wilson, il fallait que tout soit comme il le voulait, de la façon qu’il le voulait. Les conciliations et devoir prendre sur lui, ce n’était pas dans ses habitudes… ni même dans ses capacités. Pourtant, je compris rapidement qu’il n’avait pas envie de discuter avec moi. Il lâcha mon nom en me fixant dans les yeux. Pourquoi est-ce que même sa manière de dire mon prénom en me regardant comme ça me revira tout l’intérieur. Ce ne fut pas tout, mon cœur fit un bond énorme en entendant sa proposition. Il ne disait pas les choses concrètement mais ça ne servait à rien je savais où il voulait en venir. Il voulait qu’on couche ensemble une dernière fois avant que ça soit réellement terminé. Ce n’était pas la première fois que j’entendais ce genre de chose. Mes amies l’avaient fait des fins de relation. J’avais toujours cru que ce n’était pas une bonne idée mais maintenant que j’en étais confronté… disons que je considérais plus la chose qu’il ne le faudrait. Surtout sachant que je n’avais rien fait depuis beaucoup trop longtemps et que je m’étais promis que la prochaine fois que je coucherais avec quelqu’un… ça voudrait dire quelque chose. J’avais figé à sa question, j’étais incapable de lui répondre concrètement quelque chose. C’était tout simplement impossible pour moi. Je soupirai puis… au moment où j’ouvris la bouche... Nate passa à mes côtés en disant d’oublier ce qu’il venait de dire. Est-ce qu’il regrettait? Ou bien il ne voulait pas avoir l’air bizarre? Il pensait surement que je le trouverais con… mais pour moi… ça voulait dire quelque chose et tout mon être me crait que j’en avais de besoin.

« Arrête-toi! »

Je m’étais empressée et me diriger à mon tour vers la porte et avant même qu’il la franchise, je poussai cette dernière qui claqua un peu trop fort à mon gout. Nathaniel se tourna vers moi, l’air surpris par mon geste. Je restai près de lui… mes yeux faisaient aller-retour entre ses yeux et ses lèvres avant que je ne les ferme complètement.

« Une dernière fois…. Ensuite c’est terminé pour de bon. » dis-je en ouvrant les yeux de nouveau.

Je pris son visage à deux mains pour l’attirer vers moi et je l’embrassai aussitôt. Ça me faisait terriblement mal… mais après tout ce temps d’attente… ça me faisait aussi beaucoup de bien. Je sentis ses mains se poser sur mes hanches pour glisser tout doucement sous mon chandail au même endroit. Je devais me concentrer sur les actions... et non pas les sentiments que je pouvais ressentir par ce contact… mon cœur battait à vive allure mais ça… non plus, je ne devais pas en prendre considération. Je devais me bloquer et pourtant, c’était si difficile car je l’aimais tellement! Mon dos s’accota contre la porte de ma chambre. Je décollai mes lèvres des siennes une demi-seconde tout en détachant son pantalon.

« Maintenant, ne dit plus rien… »

Je ne voulais pas qu’il gâche le moment. Je ne faisais pas ça pour lui… je faisais ça pour moi. Au moins, je n’allais plus avoir l’impression que cette relation s’était terminé en suspens. On avait commencé le tout en couchant ensemble pour ma première fois... on allait donc terminer le tout de la même façon.

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Moi et mes idées débiles, j'avais cru qu'Alexie serait partante pour qu'on fasse ça encore une fois ensemble pour se dire vraiment au revoir, mais après avoir dit mes mots, ça sonnait tellement mal dans ma bouche, je m'en voulais encore c'est pourquoi j'avais dit d'oublier ce que je venais de dire. Malgré tout, Alexie se pointa devant sa porte pour la fermer et elle se retourna pour me faire face. J'imaginais le pire. Elle devait se dire que j'étais encore plus dégueulasse qu'avant. Puis, contre toute attente, elle me dit qu'elle voulait bien que ça soit une dernière fois. Mon coeur s'emballa aussitôt dans ma poitrine. Je lâchai alors le sac et ma canne de chacune de mes mains, laissant un bruit derrière eux. C'était comme si j'étais dans un rêve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes et je ne pu lui remettre son baiser avec passion, je dois dire qu'il ne fallait pas grand chose pour m'enflammer en ce moment même. Hé hop en 2 secondes, je me sentais déjà à l'étroit dans mon pantalon. Je continuai à l'embrasser fougueusement et nous primes appui contre la porte de sa chambre pendant qu'elle s'occupa de mon pantalon. "T'es sûre?" Aussitôt, elle me dit de me taire ce qui me surpris un peu sur le coup, mais elle avait raison... pas de parole, juste des gestes, après tout c'est ce que nous avions besoin. Je ne perdis pas de temps non plus pour lui retirer son chandail et l'entraîner vers le lit. Ma bouche était incapable de la quitter, il fallait que ça se termine bien, je voulais goûter chaque parcelle de sa peau pour me garder le tout en mémoire. Mon pantalon et mon t-shirt avaient disparu et pour ce qui était d'Alexie, il me restait à lui enlever son jean. Une fois arrivé au lit, je la déposai tout doucement, mais je déboutonnai son bouton pour lui faire perdre son jean une bonne fois pour toute. Ce qu'elle pouvait être sexy en sous-vêtements, c'était fou, mais elle l'était encore plus toute nue.

Je libérai donc ses seins de son soutien-gorge pour suçoter ses mamelons tandis que ses mains étaient en train de me faire du bien sous la ceinture... Ouffff. L'excitation montait beaucoup trop vite... Je ne sais pas, mais il fallait calmer la cadence. Je ne voulais pas gâcher le tout. Je fis glisser mon boxers à mes chevilles et je lui retirai sa culotte par la même occasion, voilà, nous étions tous les deux unis pour la dernière fois comme ça et je dois dire que ça me faisait tout drôle. C'était différent, voire douloureux. Je soufflai un peu... Il fallait qu'Alexie me lâche un peu et j'avais la solution parfaite pour ça. Ma bouche descendit le long de son nombril, glissa vers son pubis et finalement je terminai mon chemin à son intimité qui était pour moi bien humide. Je me délectai de son nectar bien chaud, ce que ça m'avait manqué, tout me plaisait d'elle et je trouvais bien excitant de pouvoir jouer là. Je pouvais entendre Alexie respirer de plus en plus fort pendant qu'elle agrippa un instant mes cheveux, je forçai plus quand elle me dit qu'elle allait jouir, parce que mon but c'était ça. Je sentis son corps se crisper et elle lâcha un long gémissement. Si c'était la dernière fois au moins elle n'oublierait pas et elle aura apprécié. Il lui fallait du bon sexe et je voulais être à la hauteur. Pendant ce temps, mon ami avait pu rester au calme, mais je ne sais pas combien de temps il allait pouvoir tenir bon. Il était faible fasse à Alexie... et encore plus parce que ça faisait trop longtemps qu’il n'était pas sortit de sa cachette. Ma langue s'arrêta de jouer, il lui fallait du temps pour se remettre avant de se remettre en selle. C'était ça les femmes... Alexie.

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Est-ce que j’étais sûr? Pas le moindrement… mais est-ce que j’allais quand même le faire? Absolument! Sur le moment, je ressentais le besoin de le faire. J’avais le sentiment que j’allais regretter par la suite mais je n’y pensais pas. Je voulais pouvoir profiter de son corps une dernière fois. Pouvoir le sentir tout contre moi avant que ça ne soit complètement fini. J’avais réagis sur un coup de tête puis je me laissai complètement aller. Contre la porte, on s’embrassait… j’avais détaché son pantalon… on n’allait pas s’arrêter là. On avait tous les deux envie de continuer et à partir du moment où on s’était embrassé… nos deux corps s’était collés l’un contre l’autre et c’était maintenant impossible de les séparer. On s’embrassant toujours, nous avions rejoint le lit dans le but de se déshabiller mutuellement. Je sentais que je perdais complètement le contrôle de mes actes. J’étais complètement à sa merci et ça me plaisait… ça me plaisait comme à chaque fois.

Je laissai Nate m’embrasser à sa guise, retirant mon soutien-gorge, il prit mes seins en bouche. J’avais fermé les yeux en le laissant faire. Mes mains s’étaient tout naturellement posé à l’intérieur de son boxer pour caresser son sexe déjà bien gonflé. Comment est-ce que j’allais faire maintenant que je me privais de ça? Je ne voulais même pas y penser car j’étais devenue tellement accro… que j’allais perdre les pédales à coup sûr! Je continuai à toucher Nate lors que nous nous embrassions toujours. Du moins, jusqu’à ce que le policier ne décide de faire descendre ses baisers jusqu’à mon ventre… puis jusqu’à l’intérieur de mes cuisses. OH MY GOD…. J’écarquillai les cuisses encore plus pour lui donner tout le loisir de s’y amuser. Ma main posé dans ses cheveux… je le regardai s’exécuter… c’était foutrement beaucoup trop chaud. Je laissai des sons de satisfaction sortir de ma bouche puis, je lui soufflai : « j’y suis… » Nate continua jusqu’à ma pousser jusqu’au bord du gouffre. Je lâchai un long gémissement, mon corps se crispa pour ensuite se relâcher complètement. Ma respiration était courte… je soufflai un bout coup en regardant Nate revenir vers moi. Je me passai une main sur le visage. J’avais déjà bien chaud. Je courrais après ma respiration.

Nate me parsema de baiser et cette petite attention me fit plus de mal qu’autre chose. Je trouvais ça mignon… et je ne voulais pas qu’il le soit car ça me faisait juste plus de mal qu’autre chose. J’avais donc tourné la tête pour qu’il ne s’arrête puis, je me redressai pour lui faire signe de se coucher. Il s’exécuta et je ne perdis pas de temps pour me mettre à califourchon sur lui, prenant son sexe dans ma main, je le dirigeai jusqu’à mon intimité pour me faire pénétrer tout doucement. Je poussai un long soupir de soulagement. ENFIN!!!!!! « Dis-moi si t’as mal. » Il ne fallait quand même pas oublier que sa jambe était sensible. Je commençai mon déhanchement bien doucement. Les mains de Nate posées à mes fesses, il mettait du sien en soulevant son bassin. J’avais du mal à croire que ça arrivait vraiment après tout ce temps… mais aussi que ça arrivait alors qu’on avait complètement mit fin à notre semblant de relation. Le sentir me remplir complètement de la sorte me faisait perdre la tête. Je m’étais penchée vers lui pour l’embrasser et l’espace d’un moment, en continuant toujours nos va-et-vient mon regard se perdit dans le sien. Je ne voulais pas oublier ce moment car c’était notre dernier. À cette pensée, je m’arrêtai pour l’embrasser plus fortement, ma langue venant à la rencontre de la sienne, c’était limite vulgaire mais on était seuls donc on pouvait tout se permettre. C'était puissant c'était fort... c'était passionné. Ça avait beau être complètement notre genre, tout ça avait un arrière gout différent... probablement l'arrière gout des adieux. Puis d’un coup, la position changea. Je me retrouvai le dos contre le matelas, Nate complètement par-dessus moi. Il me pénétra de nouveau, j’échappai ce même soupire de bien être que plus tôt. Son rythme étant beaucoup plus rapide, beaucoup plus intense que le mien, mon foutu lit se remit à  faire le même bruit que la dernière fois mais là… on s’en moquait. On dérangeait personne… on était seuls dans l’appartement. D’ailleurs, je ne me gênai pas non plus pour laisser entendre mon plaisir. Je n’étais pas une criarde mais disons que là… ça faisait tellement longtemps que j’attendais… et j’avais bien l’intention que ça allait être la dernière fois avant un bon moment donc je me laissai complètement aller dans nos ébats. Ma bouche dans son cou, je le mordillai, je le suçotai tandis que mes mains s’agrippaient à ses fesses. C’était tellement bon… je voulais pas du tout que ça se termine, et pourtant!

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

J'avais beaucoup de difficulté à croire que c'était la dernière fois que nous allions vivre un moment comme celui-ci. Tout mon corps était brûlant de désir pour cette jolie rousse et je dois dire que j'aurais bien aimé effacé le dernier mois pour nous éviter d'en arriver là. Il était bien trop tard et je savais qu'Alexie ne pourrait plus faire abstraction de ses sentiments pour moi. J'avais du mal à réaliser qu'est-ce qui s'était passé. J'avais sans doute pris trop pour acquis la jeune femme et maintenant il nous restait que nous quitter. Il ne fallait pas qu'elle croit que ça ne me faisait rien parce que ce n'était pas vrai, j'étais déçu et j'étais aussi triste parce que je savais qu'elle me manquerait beaucoup... Et je savais aussi qu'une fille comme elle n'allait pas rester seule longtemps non plus. J'avais besoin de la sentir contre moi, dans mes bras, lui faire l'amour une dernière fois pour ressentir cet état d'ivresse qui me fait sentir si bien. Notre meilleure communication a toujours été le sexe et je m'étais risqué à en demander une dernière fois à Alexie et contre toute attente, elle avait accepté. Peut-être qu'elle en avait besoin autant que moi, je ne sais pas, mais je voulais vivre ce moment à son maximum.  Mes lèvres avait goûté son intimité, mais maintenant c'était son corps que je dévorais entièrement. Des baisers laissés sur sa peau de porcelaine. Elle me demanda de me coucher sur le dos pour venir s'installer sur moi, je savais que ce n'était qu'une question de temps avant de faire le grand saut et c'était oh combien plaisant lors que mon sexe la pénétra entièrement. Elle s'inquiéta un instant pour ma jambe, mais je lui gratifia que tout allait bien.

- Ça va... t'en fait pas pour moi!

À tout les deux ça nous fit un grand bien de nous retrouver dans cette position. Ça faisait trop longtemps que je n'avais pas goûté au sexe avec une fille. C'est Alexie qui mena la barque pendant un instant en se déhanchant sur moi et je ne pu que l'encourager et ainsi faire grimper le plaisir petit à petit. Elle était tellement belle comme ça, j'aimais beaucoup observer son corps dans toute sa splendeur. Le rythme augmentait, mais je n,avais pas assez d'emprise c'est pourquoi je me retirai un instant d'elle pour échanger la position avec elle. Je replongai à nouveau, on allait avoir chaud, ça je pouvais le garantir. Le rythme s'accéléra de plus en plus, les mains d'Alexie se cramponnèrent à mes fesses et mes coups de bassins la firent gémirent de plus en plus. Mon souffle était plus fort, je n'allais pas tenir longtemps comme ça. Puis, quand elle poussa la note ultime, je me vidai complètement en elle tout en diminuant la cadence. Ce fut une explosion de bien être qui venait d'être exprimé de nous deux à mon avis. J'avais chaud de partout. Afin de l'éviter de l'écraser, je me couchai sur le côté pour récupérer mon souffle tout doucement. Ça avait été trop bon, j'avais même du mal à le réaliser. Je voulu poser mes lèvres sur son visage, mais je savais que je ne pouvais pas faire ça.... Je ne pouvais plus lui offrir ces petits gestes d'affection, car je risquais de la blesser à nouveau. Mon coeur battait fort dans ma poitrine et je n'arrivais toujours pas à croire que j'allais partir maintenant que c'était fait. Je ne pouvais pas m'éterniser dans son lit non plus, je me sentais rejeté et c'était bien la première fois que ressentais ça. Je ne savais pas quoi lui dire non plus, je n'aimais pas ce sentiment d'adieu qui se tramait. Je me glissai donc sur le côté pour essayer de trouver mon boxer.

- J'ai bien aimé passer du temps avec toi, chaque moment, crois-moi.

Il fallait au moins qu'elle me croit! Je trouvai alors ma paire de boxer et je n'avais pas perdu de temps pour cacher ma nudité avec elle. Puis, je trouvai mon pantalon et mon t-shirt que je remis également. Alexie resta au lit... me dévoilant son dos nu, c'était difficile de la regarder en ce moment même. Nous nous quittions pour de bon, c'était fini, elle voulait passer à autre chose.

- J'espère qu'on aura la chance de se revoir quand même... de la façon que tu le voudras.

Était-ce possible? J'en savais rien, mais j'aimais mieux ça que n'avoir rien du tout avec elle. Je saisissait maintenant que j'avais gaffé et que j'aurais dû être plus aimable avec elle. Ce n'était pas n'importe qu'elle fille que j'avais ramassé dans un bar, c'était Alexie et je lui avais moi-même demandé d'être exclusive. Tout ça m'aura permis de comprendre beaucoup de choses, mais encore une fois tout était compliqué, je ne voulais pas d'une relation sérieuse...

Code by Fremione.

Alexie Anderson & Nathaniel Wilson

Tout était sous contrôle pour la jambe de Nate, je n’avais pas à m’en faire avec ça… mais c’était plus fort que moi. Je ne voulais pas le blesser davantage. Je compris que bien qu’il avait du mal à marcher encore, il était en parfait comprendre de sa jambe lorsqu’il inversa les positions pour prendre le contrôle de nos ébats. Nos deux corps s’harmonisaient tellement bien pour cette dernière fois que j’avais du mal à croire que c’était réellement terminé entre nous deux. C’était tellement bon que j’avais l’impression que la vie me disait que je ne pouvais pas mettre fin à ce qu’on avait lui et moi. Et pourtant, j’étais tombée amoureux de cet idiot… Je pourrais prendre la grande responsabilité de la fin de notre « relation » mais il était tout aussi responsable que moi pour la simple et bonne raison qu’il m’avait donné des faux espoirs. Il avait fait trop son lover avec moi. Peut-être qu’il était ainsi avec toutes les filles… mais moi, ça m’avait charmé plus qu’il ne l’avait fallu il faut croire. Et dire que moi, je disais continuellement que j’allais avoir du mal à tomber amoureuse de nouveau… car j’avais beaucoup de mal à faire confiance depuis mon histoire avec Ryan. BREF. C’était encore une petite histoire d’amour qui tournait au drame dans mon cas et je perdais de plus en plus espoir en tout ça. Est-ce que notre génération était rendue sans attache ou bien il y avait encore quelque part des gars qui souhaitaient aimer et se faire aimer en retour… ? Si oui… il fallait me dire où ça se trouvait car je n’en connaissais pas un!

C’est dans cette position que nous atteignîmes le point du non-retour. Un tout complètement dingue qui nous propulsa jusqu’au 7ième ciel. À bout de souffle, je regardai le plafond lorsque Nate se retira de moi pour faire de même de son côté. J’eus envie de me caler immédiatement dans ses bras mais je ne le pouvais pas. Je me tournai simplement sur le dos en le regardant se lever pour s’habiller. C’était tellement froid… je sentais réellement le vide m’envahir. Notre petit nuage venait de se dissoudre et il fallait maintenant faire face à la réalité. Nathaniel me dit qu’il avait apprécié chaque moment avec moi.

« On a des beaux souvenirs ensemble. »

En gros, moi aussi j’avais beaucoup apprécié tout ce qu’on avait fait. Notre voyage de pêche, Disney, lorsqu’il était venu me voir à Londres, Vegas… nos soirées de jeux vidéos, les petits matins sur son balcon. J’eus aussitôt le cœur bien gros. Je me redressai dans le lit pour me pencher vers le bout de ce dernier où mon short de pyjama et ma camisole s’y trouvait. J’enfilai le tout en restant toujours assise dans mon lit puis lorsque Nate eut terminé de s’habiller, je fronçai les sourcils et il remarqua bien vite ma réaction.

« Approche-toi. » Nate s’approcha donc doucement du lit pour s’asseoir sur le bord de ce dernier. Je lui fis tourner la tête vers la droite en posant mes doigts à son cou. J’avais bien vu… c’était bien un suçon. « Pardon.»

Il avait dû comprendre ce que j’avais fait. Ça arrivait très rarement. Simplement une fois à Londres et heureusement, dans les deux cas… il n’avait pas à travaille dans les jours suivants. Disons qu’un policier avec un suçon dans le cou, ce n’est pas très crédible. J’enlevai alors ma main en croisant son regard, je penchai la tête vers le côté en soupirant. C’était difficile de le laisser partir, surtout après ce qu’on venait de faire. Je n’arrivais toutefois pas encore à regretter…

« Ça va peut-être paraître étrange de te proposer ça… même que ça semble complètement ironique mais j’ai pas envie de t’enlever complètement de ma vie non plus. Oui pour le moment, j’ai besoin de faire le point sur certaines choses… de prendre le temps de ravaler ma peine mais j’pense sérieusement qu’on pourrait rester amis toi et moi. Du moins, on peut toujours essayer… je ne sais pas ce que ça peut donner… mais on s’entendait super bien avant qu’on commence à coucher ensemble et peut-être qu’on serait en mesure de pouvoir retrouver ça… non? »

Bien qu’on avait une attirance forte l’un envers l’autre. Voir même, une attirance assez incontrôlable. Bien qu’on s’était jamais retenu de se sauter dessus là… avec de nouvelles bases, peut-être que ça changerait la mise. On ne perdait rien d’essayer.

Code by Fremione.