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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Mar 23 Fév - 21:55
wayne everden and noah rodriguez ft kenna la bombass
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
j'aurais voulu ce genre de réveils tout les jours. j'avais laisser tant de gens à qui je tenais tellement en amérique. quand j'avais décider de venir vivre ici définitivement je me doutais que ce serait difficile, mais mes premières semaines de retour au mexique avaient été pires que tout. en plus de me sentir mal dans mon propre pays j'étais enceinte et j'avais dû subir les nausées et autres petits inconvénients d'avoir un petit être qui grandit en nous. enfin bref, le fait est que deux de mes américains se trouvaient sur le pas de ma porte et qu'un immense sourire sur mon visage représentait exactement à quel point j'étais heureuse de cela. donc, la question évidente, noah nous demandait comment wayne et moi nous connaissions. hum. un peu étrange à expliquer, wayne et moi échangions un regard, du genre "on lui lâche la bombe ou non" ? "bah en fait, on couchait ensemble." mh, non. évidemment que non. je haussait alors les épaules et après quelques secondes je lâchait simplement : « huum, on était.. potes avec les même.. gens. » j'ajoutait un sourire en coin. puis, pour ne pas qu'il pose d'avantages de questions puisque je savais que noah allait chercher plus loin, je les avait invités à entrer. j'avais probablement fait une erreur en prenant cette décision, mais ils étaient mes amis et je ne voulait pas être impolie. après tout, ils venaient d'arriver au mexique et le climat ici était vraiment très chaud, encore plus qu'en californie ils auraient bien besoin de fraîcheur et de boire quelque chose. nous nous étions installés dans la cuisine, j'avais sortie des bières fraîches du frigo et leurs avaient servit. j'étais heureuse d'entendre qu'ils allaient bien, leurs insouciance me faisait réaliser que ma vie de célibataire sans enfant me manquait vraiment beaucoup. désormais j'avais une vie très différente de celle que j'avais pu avoir aux states, j'étais mère de famille, épouse. d'ailleurs, il l'apprendraient bien assez tôt puisque luke venait de rentrer de nouveau de la maison. aussi tôt, la réaction de noah me fit me lever du tabouret de bar où j'étais perchée pour me placer entre les deux là. luke était aussi surpris que noah et c'était automatiquement approcher de lui les poings serrés. je levait les mains en l'air et les plaquaient sur le torse de mon mari. en espagnol, je lui demandait de se calmer, il ne me regardait pas et la colère pouvait se lire dans ses yeux. j'attrapais sa nuque pour le forcer à me regarder et me répéttais. il soupirait, et je me tournais vers noah. je me pinçait un peu les lèvres. « c'est chez lui, noah. » avouais-je alors simplement. je savais qu'il allait probablement me détester à cet instant, mais je ne pouvait pas lui mentir, ça aurait été difficile. « quand je suis partie, je t'ai dis que c'était pour être avec ma famille.. il est ma famille. » je lançait un regard à wayne à son tour, mh. j'avais aussi oublier de parler de luke à wayne avant de partir. mais bon, je savais que lui ne le prendrait pas aussi mal puisque nous étions de simple amis. des amis qui couchaient ensemble, certes, mais rien que des amis. « s'il te plaît, calme toi. » lançais-je en reposant les yeux sur mon meilleur ami.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Mer 24 Fév - 1:00
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
C’était complètement dingue. Quelles étaient les probabilités que l’inconnue se révélait être McKenna Mitchell ? Fille qui, comme par hasard, était passé de nombreuses fois dans mon lit… Voir pas que dans ma chambre en particulier. Il fallait bien évidemment que Noah ait un passé avec elle. Après Nessa, voilà que c’était au tour de la bombe mexicaine. Je comprenais qu’en tant que mec nous n’avions pas cette manie que les femmes avaient de raconter chaque détail de sa vie privée mais quand même… Ça commençait à faire beaucoup. J’allais finir par penser que nous avions un sacré problème de communication. Mais aussi, que nous avions les mêmes goûts en matière de femmes et de chair. Une preuve de plus finalement que mon meilleur ami et moi-même étions destinés à nous entendre. Quoi que j’aurais préféré que nous évitions de nous taper les mêmes meufs mais bon… Il valait mieux que je cesse de faire trotter cette pensée dans ma tête.
Bref, comment nous nous connaissions ? Merde, petit moment de bug. Mentir ou dire la vérité ? Ça sentait les problèmes à pleins nez ! Je tenais à mes vacances, je n’avais vraiment pas la tête à ça. Un coup d’œil vers la jeune femme suffisait pour que celle-ci ne me comprenne. Je pense que nous étions du même avis et elle confirma mes pensées dans la seconde en lui affirmant que nous avions des potes en commun. Ahhhh, une des raisons qui font que j’appréciais cette femme. Symbiose totale et aucune de prise de tête. Si seulement la gent féminine pouvait en prendre un peu plus de graines. Ou peut-être pensais-je cela uniquement car nous étions amis avant tout ? Qui me disait qu’en tant que petite amie elle n’était pas aussi chiante que les autres ? Bon, stop, hors sujet. On s’en branlait de toute manière.
L’instant d’après nous étions tranquillement posé dans sa cuisine. Nous rattrapions le temps perdu, et autant dire que lui apprendre que j’avais désormais un fils l’avait mis dans un état de choc total. Je pense que j’aurais réagi pareil un an plus tôt, si on m’avait fait voir l’avenir. J’en avais d’ailleurs profité pour lui demander des nouvelles de son fils, mais ce dernier était à l’école, ce qui me décevait quelque peu. De retour dans le moment présent, j’amenais le goulot de la bière à mes lèvres lorsqu’un homme débarquait dans la pièce. Kenna se levait automatiquement, et je connaissais assez bien mon meilleur pote pour savoir que le sang venait de lui monter à la tête. La suite allait être intéressante. Je continuais de boire la bière, sans broncher. Seul mon sourcil gauche c’était arqué, signe de ma curiosité soudaine. C’est son chez lui, c’est ma famille… Il me fallut quelques secondes pour réaliser ou la brunette voulait en venir. Je la regardais quelque peu surpris, et croisais son regard. Lorsqu’elle avait quitté Miami, c’était une mère célibataire très débrouillarde, elle n’avait jamais donné l’impression d’être le genre de femme à se marier… M’enfin, les gens changeaient. J’en étais la preuve, j’étais papa. Ouais, je me répétais souvent, mais il fallait que je me l’imprime dans le cerveau. J’étais père, j’avais un fils, une famille. Putain, une année entière n’allait pas me suffire pour m’habituer à mon nouveau statut. Bref, je restais toujours silencieux, mais jetais un coup d’œil à Noah. Je ne comprenais pas trop sa réaction, ces trois la devaient certainement avoir un passé en commun, je n’allais pas tarder à en apprendre davantage à mon avis. Je regardais la table rapidement, dommage qu’il n’y avait pas de cacahuète, j’allais devoir me contenter d’observer la scène qui se déroulait devant moi avec ma bière à moitié vide. J'apportais d'ailleurs celle-ci à ma bouche afin d'y prendre une bonne gorgée.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Jeu 25 Fév - 13:56
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
Je demandais à Kenna et Wayne comment ils se connaissaient, parce que je ne les ai jamais vus ensemble, et pourtant on en a fait des soirées Wayne et moi. « Huum, on était.. potes avec les même.. gens. » dit-elle avec son petit sourire. J'arquais un sourcil, voyant bien qu'un truc n'était pas dit, puis je haussais les épaules l'air perplexe. Elle nous laissait ensuite entrer et nous nous installions dans la cuisine, elle nous offrait ensuite des bières, comme quoi elle nous connaissait bien. Nous discutions un peu de tout et de rien, rattrapant simplement le temps perdu, elle nous parlait de son fils Ben qui se trouvait à l'école, je ne l'ai pas vu beaucoup ce petit, mais c'était un gamin adorable. Soudain quelqu'un entrait dans la maison et lorsque je croisais le regard de cette personne, mon corps tout entier se tendit, ma mâchoire se crispait et mon poing serrait la bière que j'avais dans les mains. Je me levais systématiquement lorsque Luke s'approchait tout aussi crisper que moi, Kenna tentait de le calmer, puis elle se tournait vers moi. « c'est chez lui, noah. » me dit-elle simplement comme si tout était normal. Wayne au milieu ne devait probablement rien comprendre, mais pour l'instant j'étais trop occupé à vouloir tuer ce type, maintenant. - QUOI ? Lâchais-je alors ahuri. « Quand je suis partie, je t'ai dis que c'était pour être avec ma famille.. il est ma famille. » ajoute-t-elle en regardant Wayne qui observait la scène, essayant de comprendre quelque chose. « s'il te plaît, calme toi. » dit-elle en me regardant à nouveau. - Tu t'fou de ma gueule Kenna! C'pas possible…Comment tu peux faire ça à ton frère ? PUTAIN KENNA ! Il était là quand Thym est mort ! Il a rien fait pour empêcher son pote de tirer sur ton frère. Lâchais-je prêt à exploser. Thym j'le considérais comme un frère aussi, en fait à l'époque la seule famille que j'avais c'était les Mitchell, alors voir qu'aujourd'hui Kenna est avec le type qui a en quelque sorte causer la mort de son frère, ça me met hors de moi, et il suffit de m'entendre parler pour le comprendre, les seules fois où je m'exprime en espagnol c'est quand je suis dans une colère monstre. - Et j'me calmerait quand t'auras viré ce fils de p*te de chez toi ! Criais-je alors en le pointant du doigt, le regard noir. A ces parole Luke s'avança, serrant un peu plus les poings et criant des mots en espagnol, je lui répondais dans la même langue tout en m'avançant, je contournais Kenna et coller mon poing dans la figure de Luke, ça fait du bien, mais pas assez, il m'en collait une à son tour et je lui rendais une nouvelle fois et vice versa, seulement cette fois je ne me retenais pas et le ruais de coups. Ce sont les cris de Kenna qui me hurlait d'arrêter qui me stoppait, je me redressais serrant les poings, je savais qu'elle ne le lâcherais pas et ça me tuait. - Tu sais quoi ? Reste avec ce connard si tu veux, mais tu m'oublie ! Lâchais-je alors en me dirigeant vers la porte, valait mieux que je me casse maintenant sinon j'allais le tuer, j'étais prêt à le faire à nouveau s'il le fallait.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Dim 28 Fév - 22:59
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
La situation avait si vite dégénéré. Un moment nous parlions tranquillement telle une vieille bande de potes, et l’instant d’après voilà que deux mâles aux poings serrés et au torse gonflé se faisaient face. D’après mon expérience, j’étais certain que d’une seconde à l’autre, le premier coup allait marquer le début du round. Kenna était dangereusement proche des deux hommes, mais au moindre souci j’étais prêt à intervenir. Ce n’est pas parce que je ne me levais pas de ma chaise, et paraissais peut-être désintéressé en continuant de boire ma bière, que je n’étais pas à l’affût. En effet, de mon point de vue, toute cette histoire ne me concernait pas. Ils avaient manifestement un passé tous ensemble, un passé dont je ne figurais pas. De ce fait, c’était normal, voir même logique que je n’interfère pas dans leur histoire. Sauf en cas de nécessité.
Noah avait l’air fou de rage, et ça ne tardait pas à se ressentir lorsqu’il gueulait auprès de la jeune femme. Ce qui d’ailleurs, m’en apprenait davantage sur leur passé en commun. Ça paraissait compliqué, et j’aurais probablement réagi de la même façon si j’apprenais que la sœur de mon meilleur ami était mariée avec un pote de son meurtrier. J’aurais été déçu, c’était un coup de massue pour Noah. Mais je ne jugeais pas Kenna pour autant, nous ne connaissions pas les circonstances qui avaient produit ce résultat. Et puis, j’étais mal placé pour juger les gens, et encore moins mes proches.
Bref, les insultes volaient et la langue avait viré à l'espagnol. Je possédais des notions de cette dernière, juste assez pour pouvoir me démerder tout seul au Mexique. C’est ici-même que j’avais appris mes connaissances, lors de mon premier séjour dans le pays c’est à peine si j’avais réussi à dire bonjour. Quoi qu'il en soit, suivre la conversation m’était un peu plus compliqué désormais. Cependant, ce n’était pas vraiment handicapant en soi, la seconde d’après Noah lança son poing dans la gueule de l’autre type. J’étais satisfait, il fallait toujours éviter de prendre le premier coup au risque d’être sonné et de ne pas avoir le temps de répliquer que votre adversaire vous avait déjà enchaîné de droite. Je terminais ma bière tandis que mon regard vaguait de gauche à droite. Évidemment, Kenna était en panique et gueulait après eux, et je décidais finalement de ne pas intervenir puisque c’est Noah qui avait pris le dessus. Le mari de la jeune femme était au sol, le visage en sang. Je ne sais pas comment mon meilleur pote avait fait pour s’arrêter aussi net dans cette altercation, mais j’étais admiratif. Les rôles inversés j’aurais probablement envoyé ce mec à l’hôpital. Tu sais quoi ? Reste avec ce connard si tu veux, mais tu m'oublie ! Je me levais enfin, alors que Noah avait déjà disparu de la pièce. Je regardais d'un air compatissant la jeune femme. « T’inquiète pas pour ça, c’est la colère qui parlait… Prend soins de toi Mitchell, ça m’a fait plaisir de te revoir. » Je m’approchais de cette dernière et lui déposais un baiser sur le front. Je jetais un dernier coup d’œil à son mari qui était dans les vapes, puis déguerpissais de la maison en rejoignant mon pote dans la voiture. Je démarrais immédiatement, ne voulant pas voir les flics débarquer et quittais les lieux à toute vitesse en faisant crisper les pneus. Je restais silencieux tout le long du trajet jusqu’à la villa, je me doutais qu’étant énervé, papoter n’était pas ce dont il avait envie. En tout cas, pour ma part, lorsque j’étais dans cet état, il valait mieux me laisser tranquille un moment. Quelques minutes plus tard, et l’immense grille face à nous s’ouvrait pour nous laisser le passage, après avoir monté quelques dizaines de mètres une pente en zigzag, enfin, la villa et surtout ce paysage de carte postale s’offrait à nous. Je coupais le moteur dans la cours de notre demeure, sortais de la voiture et prenais mes affaires. « Tu veux en parler ? » demandais-je. Ce n'est pas comme si on pouvait effacer l'heure qui venait de passer.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Mar 1 Mar - 20:09
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
En voyant Luke j'avais exploser, je n'arrivais pas à comprendre comment Kenna pouvait vivre avec ce type, ce même type qui faisait parti du gang qui a tuer son frère ! Ok il a peut-être pas appuyer sur la détente, mais il était bien content ce soir-là, je revois encore sa sale gueule lorsque son pote à tirer. On s'envoyait des insultes en espagnol et je finis par craquer en lui envoyant le premier coup, il répliqua et nous nous donnions des coups pendant plusieurs minutes sous les cris de Kenna qui nous suppliait d'arrêter. Je ne sais pas par quel miracle, je me stoppais net au dessus de lui, je me redressais le regard remplis de haine, j'étais prêt à tuer ce mec, je ne sais pas ce qui me retiens de le faire là, maintenant, mais je pourrais très bien en être capable si on repasse par là pendant notre séjour ou si je le croise. Je regardais Kenna avec rage en lui lançant qu'elle reste avec ce type si elle le voulait, mais qu'il fallait qu'elle m'oublie, je me dirigeais vers la porte d'entrée pour quitter cette baraque sur le champs avant de faire une connerie. J'avais complètement, c'est pas possible autrement. Juste avant que Thym meurt, il m'as fait promettre de veiller sur sa sœur et de prendre soin d'elle, je lui ai fais cette putain de promesse et aujourd'hui je me rends compte que j'ai merdé… complètement et encore plus quand j'ai finis par couché avec elle avant son départ pour le Mexique, j'aurais dû lui balancer ça à l'autre con, j'aurais aimé voir sa tête. Wayne me rejoignais dans la voiture quelques minutes plus tard et démarrait sur le champs pour quitter cet endroit. J'appréciais son attitude, ne pas me poser 36 milles questions à propos de ce qu'il vient de se passer, il sait très bien que dans ces moments-là, il faut laisser le temps de ce calmer. Nous arrivions quelques minutes plus tard devant un immense portail qui s'ouvrait à notre venue, nous passions une pente avec quelques virages avant d'arriver devant une villa complètement démente. « Tu veux en parler ? » demandait mon meilleur pote en garant la voiture devant l'entrée. - Franchement y'a pas grand-chose à dire, à part que j'ai été trop con ! Répondis-je alors en mettant ma casquette et sortant de la voiture. - Désolé pour tout ce merdier d'ailleurs… on venait juste de dire qu'aucunes meufs viendrait perturbé ces vacances et qu'est-ce que j'fais moi ? J'débarque chez la seule meuf qui peut perturbé tout ça. Lançais-je en agitant les bras pour désigner la villa comme ce 'tout ça'. - Maintenant il me faut juste un bédo et une bière pour éjecté toute cette merde ! Lâchais-je alors en riant. - Ptain bro ! T'as assurer pour la villa ! Lâchais-je avec un grand sourire.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Ven 18 Mar - 21:21
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
« Franchement y'a pas grand-chose à dire, à part que j'ai été trop con ! » Je doutais fortement que mon meilleur pote vienne de remettre son comportement en question. Il parlait probablement du fait d’avoir fait confiance à Kenna, ou de l’histoire dans son ensemble. Il s’excusait ensuite pour le merdier qu’il avait causé quelques minutes auparavant. Il est vrai que nos vacances avaient commencé d’une manière que je n’avais pas anticipé. Les femmes nous causaient énormément de problèmes à Miami, et manifestement, nous ne pouvions pas les éviter ici non plus. Même si le cas de Kenna était assez différent et exceptionnel. Dans tous les cas je ne lui en voulais pas. Sa réaction avait été légitime. Même s’il avait certainement mis la bombe mexicaine dans un sacré pétrin. Mais je n’avais pas peur pour elle. La jeune femme savait se démerder. Pour ce qui était de leur amitié, je pense que Noah tenait suffisamment à la brunette pour arranger la situation après avoir décoléré. Même si c’était des mois plus tard. « T’excuse pas, tu pouvais pas prévoir. Et puis si ça peut t’rassurer, j’aurais réagi pareil à ta place. » Je pouffais à ses dires. Il est clair que l’idée d’un bédo et d’une bière était plus que tentante. Il me félicita ensuite pour la villa. Mon sourire redoublait d’intensité, je la regardais comme si c’était la première fois que je la voyais. « Merci bro ! Et t’as pas encore vu l’intérieur ! » ajoutais-je en déposant mon regard sur celui-ci. « Allez on va pas rester 150 ans devant comme des cons, j’ai envie d'ce bédo et de cette bière moi maintenant. » dis-je en tapotant l’épaule de Noah.
(...)
J’ouvrais avec peine mes paupières avant de me rendre compte qu’une seule de ces dernières n’arrivait à s’ouvrir, et que je ne voyais donc que de l’œil droit. La tête complètement penchée en avant, j’étais dans les vapes comme jamais je ne l’avais été. Ma vision était floue tout comme mon esprit. Je n’arrivais pas à rassembler mes pensées, mes souvenirs. Mon cerveau était comme atrophié. À croire qu’une lobotomie venait d’être pratiqué sur ma personne. La douleur était omniprésente dans mon corps. Je ne ressentais que ça, elle me bloquait la respiration, je m’entendais suffoquer, et la chaleur extrême n’arrangeait pas la situation. C’est lorsque je cherchais à bouger mes bras, que j’eus comme un choc électrique, à moins que ce fut un moment de panique, je n’en savais rien. Quoi qu'il en soit, j’avais relevé la tête et remarquais que mes poignets étaient attachés à une chaîne reliée au plafond. Les bras en l’air, les pieds qui ne touchaient pratiquement pas le sol. D’ailleurs ce même sol était recouvert d’une bâche. Cette dernière était recouverte de sang, telle que sa transparence avait presque disparu. J’en rajoutais d’ailleurs une couche en crachant soudainement le sang qui baignait à l’intérieur de ma bouche. Je tentais de me libérer de ces chaines, en vain. La douleur était indescriptible, elle me tiraillait de l’intérieur comme de l’extérieur. Je peinais à prendre appui au sol, j’en profitais pour regarder autour de nous, j'avais l'impression d'être dans une sorte d’entrepôt abandonné et à moins de divaguer complètement, je crus entendre des voix d’hommes au loin. Puis j’apercevais Noah. Il n’avait pas été épargné non plus. J’avais beau creuser ma mémoire, c’était le blackout total. Je n’avais absolument aucune idée de ce qu’il c’était passé, de comment nous nous étions trouvé là. « Putain d'merde, c’est quoi cette galère… Yo... mec... Noah ! » chuchotais-je.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Dim 20 Mar - 18:32
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
Nous quittions le quartier de Kenna légèrement sur les nerfs pour ma part, du coup nous restions silencieux pendant le trajet et j'appréciais le fait que Wayne ne pose pas de questions, du moins pas tout de suite. De toute façon, il me connaît très bien, il sait pourquoi j'ai réagis comme ça. Une fois arrivés à la villa, je m'excusais d'avoir un peu bousillé notre début de vacances. « T'excuse pas, tu pouvais pas prévoir. Et puis si ça peut t'rassurer, j'aurais réagi pareil à ta place. » Dit-il avant de rire à ma suggestion suivante. - Non mais franchement je les comprendrais jamais ! Bon dieu de bonnes femmes ! Lâchais-je alors en sortant de la voiture. Lorsque je remarquais la splendide villa qui se dressait devant nous, j'en restais sur le cul un court instant. « Merci bro ! Et t'as pas encore vu l'intérieure ! » lance-t-il pour me mettre un peu plus l'eau à la bouche, un grand sourire s'affichait alors sur mon visage, à partir de ce moment, adieu les soucis. « Allez on va pas rester 150 ans devant comme des cons, j'ai envie d'ce bédo et de cette bière moi maintenant. » lance-t-il en s'avançant vers la villa après avoir récupérer ses affaires dans le coffre. Je lui emboîtait le pas et nous rentrions pour commencer les vrais vacances.
deux semaines plus tard,
J'avais mal partout, du bout de mes orteils jusqu'au bout de mes cheveux, j'avais mal mais à la fois j'étais tout engourdis. J'ouvrais péniblement mes yeux, ma vision était complètement fou, ça ressemblait un peu comme les fois où je me prenais une sacrée murge, mais c'était à la fois différent. Je ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passait. Il faisait chaud aussi, très chaud. J'entendais des voix, mais je n'arrivais pas à comprendre de quoi il s'agissait, tout était embrouiller dans mon putain de cerveau. Ma vision s'éclaircissait et je remarquais alors une bâche sous mes pieds, il ne me fallut pas 30 ans pour comprendre de quoi il s'agissait.. entre autre. La voix de mon meilleur ami me sortait de tout ce merdier de pensées qui s'accumulait dans ma tête. « Putain d'merde, c'est quoi cette galère.. Yo.. mec.. Noah ! » chuchotait-il. - C'est quoi c'merdier putain ! Dis-je sur le même ton que lui en levant la tête pour voir mes mains attachées au dessus de ma tête. Je bougeais les poignets pour essayer de me défaire, mais c'était trop serrer, beaucoup trop. Mais qu'est-ce qu'on a foutu bordel pour atterrir là ? Pourquoi je ne me rappelle de rien ? Je commençais à m'agiter ce qui interpellait les mecs dans l'autre pièce qui discutait. Eh merde ! Ils entraient dans la pièce et je remarquais que c'était des mexicains, certains bien vêtus, d'autres habiller normalement. Et à ce moment-là, je ne savais pas quoi faire, j'étais complètement paumé. En temps normal, je serais probablement capable de me sortir d'une situation pareille, mais là, étant donner que je n'avais aucuns souvenirs de ce qui c'était passer et bien je n'avais aucun moyens de nous sortir de là. - Putain bro, il s'est passé quoi ? J'suis dans les vapes totale ! Lâchais-je alors sans faire attention aux autres mecs.
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Mar 5 Avr - 21:46
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
Quelques secondes plus tard, et c’était au tour de mon meilleur ami de reprendre connaissance. Tout comme je l’avais fait quelques minutes avant lui, il se débattait avec les chaines, et paraissait complètement paumé. Je tournais le regard, assez déçu, réalisant qu’il n’allait certainement pas pouvoir m’aider à éclaircir la situation. Putain, c’était dingue quand même. J’en avais eu des blackouts dans ma vie suite à de grosse cuite, mais une comme celle-là, c’était du jamais vu ! Je ne savais même pas quel putain de jour il était. Je devais bien l’avouer, je flippais un peu. Si à la limite je savais ce que nous avions fait pour en arriver là… Disons que ça aurait pu être moins troublant. Toutefois ce qui m’inquiétait le plus, c’est que je ne savais pas à qui nous avions affaire. Jusqu’où ces gars la pouvaient aller. Même si être suspendu comme une putain de carcasse, sous une bâche m’en donnait une idée approximative. Ça craignait un max pour nos belles gueules.
Le bruit des chaines ne tardait pas à attirer les fils de pute d’à côté. Des Mexicains, évidemment, tatouages par ci, bagues par là... Il ne fallait pas être devin pour comprendre qu’ils étaient de la mafia. Comment dire autrement si ce n’est que nous étions dans la merde ? Mais genre une grosse merde, une montagne de merde même ! Je n’avais jamais été assez con, stupide et imprudent pour me mettre à dos la Mafia mexicaine. Ou aucune autre mafia d'ailleurs ! Pourquoi maintenant ? Qu’avions nous foutu BORDEL ? Mon cerveau qui était auparavant dans les vapes, marchait désormais à toute allure. Je regardais Noah et m’excitais un peu dû à la panique. « Il s’est passé quoi ? » répétais-je en haussant la voix. « J’en sais rien mec ! À toi d'me le dire ! C’est toi le Mexicain, fait le putain d’interprète ! » lançais-je en grimaçant. La douleur était atroce et elle ne faisait que de se multiplier lorsque j’haussais la voix. J'essayais de me redresser comme je le pouvais et soupirais en voyant les hommes s'approcher.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Jeu 7 Avr - 19:20
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
Pourquoi j'ai mal partout putain ? Pourquoi je me rappelle d'absolument rien de ce qui a pu ce passer pour que nous atterrissions là comme deux cons ? Deux cons suspendu au dessus d'une bâche qui n'est certainement pas là pour faire jolie ! Putain de bordel de merde ! Je ne vais pas mentir, je flippe ma race, comme jamais j'ai flipper, du moins pas depuis très longtemps. Si j'arrivais à me rappeler ne serait-ce qu'un petit bout de truc, n'importe quoi qui pourrait m'éclairer sur notre situation actuelle ça serait pas mal, mais rien, rien de chez rien putain. Je commençais à m'agiter en entendant des voix dans l'autre pièce, des Mexicains, évidemment et des mafieux en plus, génial ! Je demandais à Wayne ce qu'il c'était passé tout en essayant de rester calme. « Il s'est passé quoi ? J'en sais rien mec ! A toi d'me le dire ! C'est toi le Mexicain, fait le putain d'interprète ! » lance-t-il en grimaçant, à en juger sa réponse, il est dans le même état que moi. Je secoue alors la tête pour essayer de me concentrer sur les mecs qui entrent dans la pièce en nous regardant comme s'ils allaient nous buter, bah tiens, je crois bien que c'est ce qu'ils s'apprêtent à faire. Concentre toi Rodriguez ! Allez ! Je me redresse alors et les regarde un à un et finit par leur demander ce qui nous veulent, autant demander les choses directement. L'un d'eux se met à rire et les autres suivent peu de temps après. Ok ! J'ai rien dis de drôle mais c'est pas grave. – vous allez nous dire c'qu'on fou là putain de merde ! Lâchais-je alors en m'agitant malgré la douleur que je ressentais partout dans mon putain de corps. Ils se mirent alors à nous parler en espagnol, probablement pour nous expliquer le pourquoi du comment, alors je me concentrais sur leur paroles pour traduire à Wayne. - Euh d'après eux, on leur a voler de la coke et du fric et je sais pas quoi d'autre, putain j'comprends rien ! Pourquoi on s'rappelle de rien merde ! Lâchais-je alors à mon meilleur ami. - Pourquoi on leur aurait voler de la coke alors que t'avais amener ton matos ? Surtout qu'ils parlent de 10 kilos putain ! Lançais-je alors n'en revenant pas moi-même. - Bro, j'veux pas te faire flipper, mais faut qu'on sorte de là, je sais pas comment, mais faut qu'on s'tire ! Lui dis-je alors en essayant de garder un semblant de calme dans ma voix, parce que je savais très bien ce qui allait se passer à partir de maintenant et ça n'allait pas être joli à voir. L'un d'eux s'approche de Wayne tandis que le patron me regarde en me demandant en espagnol toujours où était la came. - J'en sais rien putain ! Lui lançais-je. Et sans que je n'ai le temps de venir voir quoi que ce soit, le mec près de Wayne le frappait et voyant que je ne répondais toujours pas à sa question dont j'ignorais toujours la réponse il continuait. - Hijo de putaaa !!!!! J'te dis qu'on sait pas où elle est ta putain de came !!! Criais-je pour qu'il arrête de frapper mon meilleur pote.
acidbrain
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(#)Sujet: Re: mexico here we go ! ft wayne | Lun 9 Mai - 20:52
wayne everden and noah rodriguez
« J'ai toujours dis que je vivais 500 pour 500 mètres... et je crois que c'est pour ça qu'on était comme deux frères... parce que toi aussi... Peu importe où tu es... que ce soit à 500 mètres ou à l'autre bout du monde, tu seras toujours près de moi et tu seras toujours mon frère. »
Je leur aurais bien foutu mon poing dans leur gueule à ces fils de pute histoire de leur faire ravaler leur sourire. Sérieux, j’avais vraiment la haine. J’avais l’impression que de les voir face à face avaient décuplé mes nerfs qui étaient auparavant masqués par la douleur. Je gigotais comme une limace, voulant à tout prix me libérer de ces chaines, mes poignets me faisaient un mal de chien, je tirais avec le peu de force qu’il me restait, mais rien n’y faisait. Noah parlait en espagnol avec nos ravisseurs, et me faisait rapidement le résumé. On leur avait volé de la coke et du fric ? Voir d’autre chose encore ? J’hallucinais. On n'avait pas pu être aussi con, surtout que côté drogue on avait ramené tout ce qu’il nous fallait. J’étais terriblement confus, et paniqué. En effet, je réalisais qu’on parlait de dizaines de kilos de cocaïne voler, on était vraiment cuit. Je n’avais aucune idée d’où pouvait être caché ce que nous avions volé. À la villa peut-être ? Ils avaient probablement déjà dû la fouiller. Putain, on était mort. Mon meilleur pote paraissait être du même avis que moi puisqu’il affirmait que nous devions trouver un moyen de nous barrer. Je n’étais on ne peut plus d’accord, mais comment ? C’était plus facile à dire qu’à faire. On était attaché comme des porcs, et bien amoché. Je ne savais même pas si je pouvais marcher. Au bout d’un moment, l’un des mecs se rapprocha de moi. À la façon dont il a eu de monter les manches de sa chemise, je savais immédiatement que j’allais en prendre dans la gueule. Aussitôt dit aussitôt fait, après que le boss s’entretenait avec Noah, l’enculé face à moi m’envoyait un poing dans les côtes et autant dire que ça faisait un mal de chien. Ma respiration se coupait, je suffoquais quelques secondes qui me parut une éternité avant d’enfin pouvoir respirer à nouveau. Je toussotais, et avant même de pouvoir relever la tête, me mangeais un autre coup.
Une bonne demi-heure s’était écoulé. Les mafieux nous laissaient manifestement un moment de répit. Ou c’était l’heure de bouffer allez savoir. Je venais de me faire tabasser une énième fois. Lors de mon réveil j’avais pensé avoir atteint le summum de la douleur et bien j’avais tort. Je luttais pour ne pas tomber dans l’inconscience. J’étais dans les vapes, et un filet de sang s’échappait de ma bouche tandis que je comatais à moitié. Il me fallut deux bonnes minutes avant de me rendre compte que Noah venait de me libérer de mes chaines. Je m’étais affalé immédiatement au sol, mais ce dernier me relevait rapidement. « Que... Comment ? » bafouillais-je en faisant de mon mieux pour retrouver mes esprits. Ce dernier me montrait son pouce, qui était manifestement brisé vu la façon dont il se barrait de côté. Je ne cherchais pas plus loin, prenant appuie sur mon meilleur ami, nous quittions discrètement l’entrepôt. Par miracle, qui n’en était pas un finalement puisqu’il avait surement dû la fouiller, la voiture de Noah était face à nous. J’allais me poser du côté passager, et remarquais du mouvement dans le hangar. N’ayant pas les clés, Noah s’affairait à allumer le contact avec les câbles sous le volant. « Grouille toi mec, ils débarquent ! » dis-je avec difficulté. Je n’aurais jamais pensé être aussi soulagé d’entendre le moteur rugir, nous réussissions à prendre la route sous les coups de feu qui s’abattaient sur la caisse.