après un coup de fil passer a Andy pour qu’il loue une petite camionnette pour le déménagement. Je finis le dernier carton et allant me doucher bas oui je n’avais pas tellement envie de puer la sueur devant mon mec.puis j attendit son arrivé.l embrassant des sa sortie de la camionnette.

t imagine pas comment je suis impatient chaton. En faite la pomme sans m en rendre compte je l’avais mis dans un des cartons. Comme quoi je suis d'une maladresse de fou

dis-je riant puis commençant à charger refusant q u il porte les plus lourds

puis si j'ai mal au dos massera mes muscles endolorie

lui dis-je avec un clin d œil nous roulions jusqu’à chez lui avant de décharger je voulais voir l’appart y entrant je fus stupéfiais

wohh, mais je vais me perdre la dedans, déjà que je suis petit je suis uen vrais petite souris la dedans .

Aussitôt raccroché, Andy se jeta sur un numéro afin de louer une camionnette dans l'heure. Si les responsables de camionnettes n'appréciaient pas les locations de dernière minute, ces derniers n'y virent aucun inconvénient lorsque Andy leur promit un petit bonus sur le prix. Il s'en contrefichait, il n'était pas à cela près, et il n'avait guère l'intention de laisser Aramis le rembourser.
Une fois en possession de la fameuse automobile à déménagement, le brun fonça au point de rendez-vous. Comme à son habitude, Aramis l'accueillit chaleureusement, à peine eut-il posé le pied à terre. Il embrassa son amour en retour avec légèreté, et gloussa gentiment à sa petite aventure fruitée :

-Cette maladresse contribue à ton charme.. !

Répondit-il, souriant, tout en caressant la joue du brun avant de claquer des mains pour se reprendre. Les cartons les attendaient, ce n'était pas le moment de succomber. C'était parti ! Andy attrapa des sacs et petits cartons éparpillés un peu partout, de manière à les charger. Il tenta de se diriger vers un carton semblant plus volumineux mais Aramis le devança, comme pour lui épargner une trop lourde charge. Il jugea cette attention adorable, et la force physique était loin d'être le terrain fétiche de l'étudiant chétif : "puis si j'ai mal au dos massera mes muscles endolorie"

-Tu aurais pu me laisser t'aider.. ! Et au fond, j'espère que tu auras mal au dos, afin que je puisse m'occuper de toi  !

Enfin, les cartons encaissés dans l'arrière de la camionnette, Andy claqua les portes et grimpa du côté conducteur pendant qu'Aramis s'installa également. Il lui adressa un fin sourire avant de démarrer, afin de lui transmettre sa joie envers cette vie qui les attendait. La route fut étrangement silencieuse, les deux hommes étant bien trop excités à l'idée d'habiter ensemble, très certainement. Puis, ils descendirent, et avant d'entreprendre de décharger la camionnette, Andy décida tout d'abord de jouer les guides touristiques au sein de son gigantesque appartement. Il pénétra dans les lieux, fier de faire connaître à Aramis son sanctuaire clean et précieux :[/b][/b] "wohh, mais je vais me perdre la dedans, déjà que je suis petit je suis uen vrais petite souris la dedans ".

-Va falloir t'y faire parce que désormais, c'est ici que tu résides..

good vibes.

Oh, mais ne t'en fais pas, je vais vite mis faire et puis je te tiendrais la main et si je me perds, tu me retrouveras

Lui dis-je avec un doux sourire, lui faisait un bisou dans le cou puis on redescendit commencer a déchargé les cartons. Je devais avouer que porté les plus lourdes étais en quelque sorte pour prouver mon chéri que je pouvais être fort que je serais le protéger. De toute façon pour toucher a Andy, il faudra me passer sur le corps. Tu touches à Andy, ces directions l hôpital avec nez en sang

Doucement chérie hein ne prend pas des choses trop lourdes, tiennes regarde celui-là, c'est mes nœuds papillon

Après une petite heure tous les  cartons furent montés, on remercia le chauffeur enfin, nous nous retrouvions tous les deux. Après mettre fait une petite douche rapide histoire de pas sentir la sueur avec un petit coup de parfum au passage. Je remis mon jean mes revenants torse nus exposant ma musculature à mon chéri

Je ne serais pas contre ce petit massage, j’avoue que tes mon mains corps est une chose que j'attends depuis un bon moment

La réplique du bouclé amusa le petit bourgeois, de plus en plus épanoui à l'idée de vivre avec son âme soeur. Bien qu'en réalité, son esprit n'en avait toujours pas pris conscience. Il capterait sans doute qu'Aramis est bel et bien là après au moins un mois de relation. Andy espérait de tout son coeur qu'ils se supporteront, on ne savait jamais. Peut-être qu'après tout ce temps, Aramis avait changé et qu'Andy ne s'en était pas encore rendu compte... Mais ce n'était guère le moment d'obscurcir son esprit avec de telles pensées, et heureusement le baiser que déposa Aramis dans le cou d'Andy le ramena à lui. Les cartons n'allaient pas s'amener tout seul sur leurs petites papattes.

Bridgestone se dirigea vers la camionnette où il tenta de tirer un carton qui semblait peser trois tonnes, mais qu'avait-il mis dedans encore ? Du plomb ?! Mais son bel et tendre accourut aussitôt à sa rescousse : " Doucement chérie hein ne prend pas des choses trop lourdes, tiennes regarde celui-là, c'est mes nœuds papillon " . Sans discuter, il se jeta sur le carton en question avec l'enthousiasme d'un enfant, honoré de porter les mythiques noeuds papillons de son chéri. Il les monta là-haut, fier comme une obélisque. Puis, il redescendit, répétant ce geste à plusieurs reprises jusqu'à ce que tous les cartons soient montés en haut.

Aramis se glissa dans la douche en mode furtif, sans qu'Andy n'eut le temps de capter. Ce dernier s'était laissé tomber en ange sur le lit, exténué après tant d'effort. Ce ne fut qu'en entendant subitement l'eau couler qu'Andy se rappela de la présence de son beau, qui se trouvait présentement sous la douche. Andy ne put s'empêcher d'imaginer l'eau ruisseler sur le sublime corps de son homme. Il s'en mordit la lèvre tant l'image qui lui apparaissait était enivrante. Puis, une porte s'ouvrit, suivit d'une voix et d'un corps de Dieu : "Je ne serais pas contre ce petit massage, j’avoue que tes mon mains corps est une chose que j'attends depuis un bon moment". Redressé en tailleur sur le lit, Andy contempla le canon de beauté qui se pavanait sous ses yeux étoilés et désireux. A la demande de son homme, il tapota le lit pour lui faire comprendre de poser ses fesses ici.

C’est sur que cela faisais un peu peur de vivre a deux mais , je pence que tous cela se passera bien il faut simplement ne pas être jaloux maladif et ce faire confiance . Bref je fit donc mon petit effet vus son regard , je pence que si un regard pouvais dépuceler je serais déjà plus vierge . Je souris n'asseyant a coté de lui. Je me demande si je devais lui parler de ma virginité avant ou après le massage je devais avoué que cela était un poids dont je voulais me débarrassé.

Alors on commence par le torse ou le dos chaton

je décida d'en parler qu'en cela viendra naturellement, néanmoins javais une légère angoisse en moi . Je l’embrassa pour me faire sortir cette angoisse et juste profité de lui

Andy s'amusait à envelopper de tendresse le beau de son regard de biche coquinette : " Alors on commence par le torse ou le dos chaton " . Mieux valait commencer par le classique du massage ; le dos. Le torse était tellement plus sensuel et intime qu'il signifiait une étape supérieure. Non, démarrer par le début semblait bien plus logique, surtout pour un homme qui vraisemblablement possédait toujours sa virginité. Ne pas le brusquer, y aller doucement pour le mettre en confiance :

-Le dos.. ! .. Mais allez, viens t'étendre ici.. Je ne vais pas te manger ! Ou du moins, pas tout de suite...

Reprit-il en tapotant avec un peu plus d'insistance, souriant en coin afin d'attirer ce fils de Dieu sur son lit. Sa magnificence éblouissait le regard d'Andy qui finirait par perdre la vue tant son éclat était scintillant.

Oh bas si tu veux grignoter un bout de moi, je ne suis pas contre tu me dire si j'ai bon goût. Si ça trouve juste un vrai délice pour le cannibale

Dis en riant et me retournant après l'avoir embrassé en mordillant un peu ça lèvre. Bas oui, j'ai beau être complexé par ma virginité, je ne suis pas ignorant des choses de la vie tout de même. Je pouvais même être assez porté sur la chose ; je peux vous dire que si je ne changeais pas demain pendant que je me masturbais, je suis certain que j'aurais un bras plus musclé que l'autre. Enfin bref, ce qui m’avait toujours manqué, c’était les « préliminaires » en quelque sorte, de la sensualité ? Bref passer de l'imaginaire au réel. Je me positionnai donc sur le dos, mettant des jeans serrés mon popotin étais clairement bien mise en valeur et donc mon Andy avait une très belle vus. Je peux me demandais sil, il se mettrait à califourchon.

En fait, tu aimes mon jean, je sais que ça fait un peu cliché pour un gay, mais j'aime bien que mes fesses soi bien mouler, alors les baggys très peu pour moi

-Ne t'en fais pas, je compte bien te goûter.. De toutes les manières possibles, mais chaque chose en son temps..

Son petit mordillage déclencha une furtive excitation qui ne demandait qu'à être assouvie. Il patienta jusqu'à ce que le jeune homme au fessier généreux soit positionné. De plus, ce pantalon le mettait terriblement en valeur, Andy se rinçait l'oeil, littéralement. Sans perdre plus de temps, il claque son popotin à la fois dur mais rebondi et se plaça à califourchon dessus, il était confortablement installé. Il attrapa l'huile à massage qui trônait sur la table de chevet, se penchant en avant, quitte à écrasé Aramis l'espace de quelques secondes. Finalement, il mit le liquide dans ses mains et les frotta entre elles avant de venir caresser avec plus ou moins de fermeté son dos. Sentir les muscles et ses nerfs mouvaient sous ses mains le faisait frémir : "En fait, tu aimes mon jean, je sais que ça fait un peu cliché pour un gay, mais j'aime bien que mes fesses soi bien mouler, alors les baggys très peu pour moi "

-Ton jean est parfait, tu es parfait...

Lui susurra-t-il à l'oreille, se penchant de nouveau en avant juste pour lui répondre cela, tout souriant .