Mon appartement était maintenant trop grand pour nous deux, bientôt trois et puis trop de souvenirs y étaient pour moi, comme pour elle. Du coup, pour lui faire plaisir j'avais cherché des appartements douillets, qui nous ressemblaient bien partout dans Miami. Non loin, je trouvais un appartement qui lui avait plu sur papier. Pour lui faire encore une surprise par dessus tout, j'avais emménagé tout l'appartement sans elle, quand elle était en cours, en secret. Cet appartement était original, avec des pièces lumineuses et spacieuses. Il avait quelque chose de très cosy qui ressemblait beaucoup à Maeva. Il comportait une belle terrasse et un accès à un jardin privé, où les chiens pourraient se défouler comme il faut. Il comportait une grande chambre parentale avec dressing et salle de bain, une chambre enfant avec salle de bain et deux chambres d'amis. Il y avait un bureau pour ne plus que mes dessins ne trainent partout dans le salon. J'avais fais un espace avec une fausse cheminée pour les soir où Maeva en aurait besoin, une grand bibliothèque magnifique, un écran plat dans le mur, une beau et grand canapé avec des tapis douillets et une cuisine ouverte américaine et une vraie salle à manger. J'étais très satisfait du résultat. J'avais ajouté quelques photos de nous, de mes frères et soeurs, d'elle enfant. Ce soir, j'allais la chercher après ses cours afin de l'y emmener. Tout était là bas de toute façon et l'ancien appartement était rendu. Je faisais comme si de rien était, prenant la nouvelle route de notre chez nous. Elle devait se poser un tout tas de questions quand je me garais devant la nouvelle résidence que nous allions habiter. « après vous madame. » lui dis-je lui ouvrant la porte de la voiture. Nous étions au rez-de-chaussée - pas d'escaliers ou d'ascenseur qui pourraient l'appeurer. J'ouvrais la porte de l'appartement « Bienvenue chez toi mon ange. » je la laissais voir un peu autour d'elle, je la regardais. Elle était magnifique. Puis je la tirais contre moi, lui souriant. « tu es belle mon amour... » lui soufflais-je avant de kidnapper ses lèvres dans un baiser très fougueux. Je voulais baptiser l'appartement, quoi de plus normal?

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Mes cours devenaient de plus en plus difficile à suivre. Entre la fatigue, les désagréments de la grossesse et l'inquiétude permanente de refaire une crise je n'arrivais pas vraiment à me concentrer. A la fac tout mes amis savaient à présent que j'étais enceinte, j'aurais eu du mal à leur cacher plus longtemps car mon ventre commençait doucement à s'arrondir. En mettant des vêtements ample cela ne se voyait pas mais si les vêtements me collait à la peau on le distinguait très bien. A la fin de la journée j'étais exténuée, mes pieds me faisaient un mal de chien et je commençais à avoir mal au dos mais Ena me fit une belle surprise en venant me chercher juste devant la fac. Heureuse de ne pas rentrer à pied je l'embrassais une fois montée dans la voiture et il démarra. Le problème c'est qu'il ne prit pas la direction de l'appartement. Comment pouvais je lui dire que ce soir je n'avais pas envie de sortir, que je voulais juste rentrer pour me reposer. Je ne savais pas ou il m'emmenait mais quand il s'arrêta je regardais autour de moi. Pas un restaurant, pas un café, n'y même de magasin au alentour, juste une magnifique résidence que j'avais déjà vu quelque part. Ena m'ouvrit la porte en parfait gentleman et c'est la que ça me revint. C'était la résidence ou se trouvait l'appartement qu'il m'avait fait voir en photo. Nous allions surement le visité et j'en étais très contente. Pas que je n'aimais pas son appartement, mais il me rappelait trop de mauvais souvenirs. Nous arrivions donc devant une porte et apparemment c'était celui ci mais comment cela ce faisait il qu' Ena avait déjà les clefs ? Lorsqu'il ouvrit la porte il me souhaita la bienvenue chez nous et je le regardais incrédule. Ça ne pouvait pas être possible... Hier encore il me disait qu'il n'avait pas réussit à avoir de créneau pour le visiter et la il m'annonçait qu'on habitait officiellement ici. Mon regard se posa autour de moi, regardant ce lieu que je découvrais pour la première fois. Je reconnaissais bien nos meubles, nos photos et même les chiens étaient déjà la à faire les fous dans le salon. Je me tournais vers Ena mais avant de pouvoir ouvrir la bouche il m'attira à lui et m'embrassa avec une telle passion que mon cœur s'arrêta un instant de battre. Je répondis à son baiser, effleurant sa langue de la mienne avant qu'il ne me colle contre le mur. Je dus mettre fin à ce contact pour reprendre ma respiration car Ena m'avait pris au dépourvue. « Tu n'es qu'un vilain petit cachotier » lui dis je en entrelaçant mes doigts avec les siens. En croisant son regard je pouvais y lire le désir qui le consumait, cette étincelle qu'il avait dans les yeux lorsqu'il avait envie de moi sauf qu'avant ça j'avais envie de faire le tour de notre nouveau chez nous. « Tu me fais visiter ? » Ena m'entraîna alors dans la pièce principal et j'écarquillais les yeux tellement c'était beau. On aurait dit un petit nid douillet et je m'y sentais déjà comme chez moi. Il y avait même une fausse cheminée et une terrasse, quoi de mieux ? Après avoir fait le tour de la pièce principale Ena m'entraîna vers les chambres. Les deux premières étaient très simple mais spacieuses, surement des chambres d'amis. La troisième était toute mignonne et le papier peint faisait penser à une chambre d'enfant. C'est ici que dormirait notre petit bout, ne restait plus qu'à acheter les meubles... Il avait gardait le meilleur pour la fin et me fit entrer dans ce qui ressemblait plus à une suite qu'à une chambre. Lentement je m'avançais au milieu de la pièce avant de m’apercevoir qu'il y avait une salle de bain et un dressing rien que pour nous...  Nous allions être bien ici, tout les trois. Je posais mes mains sur mon ventre avant de me tourner vers Ena, le sourire jusqu'aux oreilles. « C'est magnifique, je ne pouvais pas rêver mieux pour notre famille... » dis je en m'approchant de lui. J'avais vraiment envie de lui montrer à quel point je l'aimais mais mon ventre me rappela à l'ordre et me fis rire. « Avant de baptiser cette chambre et le reste de l'appartement on pourrait baptiser la cuisine ? Je meurs de faim... » Et puis cela me permettrait de me reposer un peu avant car j'étais debout depuis sept heure ce matin et j'avais mal partout.

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J'avais décidé de faire une big surprise à Maëva. J'allais la chercher en cours ce soir mais je ne prenais pas la route de l'appartement. Je sentais qu'elle s'agitait à ne pas reconnaître la route. En effet, je l'emmenais dans ce nouvel appartement qui lui avais autant qu'à moi tapé dans l'oeil, dans une belle résidence de Miami au rez-de-chaussée avec terrasse et jardin. J'avais tout aménagé pour qu'elle s'y sente chez elle. Je la connaissais assez pour savoir créer une ambiance qui la fera tout de suite sentir chez elle. En effet, ma surprise a l'air de lui plaire. Moi, j'ai juste envie de baptisé l'appartement, j'avoue. J'ai vraiment vraiment envie d'elle ce soir. Peut-être que d'avoir passé toute la journée à préparer notre nid douillet, ça m'a donné des idées. Mais elle n'a pas l'air de cet avis, elle veut voir l'appartement. Je le comprends, elle ne savait pas encore tout ce qu'il comprenait après tout. Je lui faisais visiter pièce par pièce, la laissant s'approprier les lieux. Une fois dans notre suite parentale, elle se retournait vers moi le sourire aux lèvres, mains sur son ventre. Elle avait vraiment l'air bien. Je souriais aussi, du coup. « il y a des sécurités sur toutes les prises pour le bébé et puis il y a des babyphones dans toutes les pièces, histoire d'entendre si quelque chose ne va pas dans n'importe quelle pièce de l'appartement, même dehors. » lui dis-je prenant la main pour l'emmener dans la cuisine. Je faisais péter une bouteille de... mousseux sans alcool. « je me suis dis que pour l'occasion.. » dis-je alors l'embrassant sur le front, la servant et me servant réchauffant des bouchée à la reine et les crudités que j'avais préparé pour ce soir. Puis j'allais ouvrir la porte de la terrasse, d'où les chiens entrèrent. « ils sont déjà chez eux » dis-je à Maëva en souriant. Je venais m'asseoir pour manger avec elle. « sinon ta journée mon amour? » lui demandais-je alors, me sentant parfaitement chez moi. Je mangeais alors l'écoutant. Puis je rangeais. J'allais la prendre dans mes bras et l'embrasser. « je crois que tes hormones c'est contagieux j'ai envie de toi depuis que je suis levé ce matin » lui soufflais-je alors doucement, nez contre nez

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La surprise était vraiment de taille mais j'aurais dut m'en douter avec Ena. Comme la fois ou il m'avais emmené en Russie pour notre première St Valentin. Il m'expliqua ensuite que les sécurités pour enfant étaient déjà toutes installées, ainsi que les babyphones et intérieurement je ne pouvais m'empêcher de sourire. Il avait peut être peur de devenir père, de ne pas savoir quoi faire, en tout cas pour le moment il se comportait déjà comme un papa poule. Glissant sa main dans la mienne il m'entraîna dans la cuisine pour y déboucher une bouteille de mousseux sans alcool afin de fêter notre déménagement et notre nouvelle vie dans ce superbe appartement. Ena fit réchauffer les plats avant de laisser entrer les chiens, heureux comme jamais. Au moins Rose n'aurait plus à me suivre à chaque fois que j'allais dans la salle de bain à présent. Le repas fut servit et lorsque je m'installais à la table de la salle à manger je ne pus m'empêcher de soupirer de bonheur. Mon dos et mes pieds me faisaient un mal de chien, sans parler de mon ventre qui me tirer légèrement. Comme un parfait petit ami Ena me demanda comment c'était passé ma journée mais si je lui avouait vraiment que j'avais mal partout je serais forcé d'aller au lit, hors ce n'était pas du tout mon intention. « Très longue, la prochaine fois qu'on a un cours en amphithéâtre fait moi penser qu'il faut que je sèche... » Les sièges des amphi étaient tellement peut confortable que même si j'avais voulu dormir je n'y serais jamais arrivée. Les bouchées étaient excellente et quand on eut terminés le repas Ena débarrassa la table avant de m'aider à me lever pour me prendre dans ses bras. Ce qu'il dit me fit rire car oui normalement ça devrait être moi la femme enceinte, celle qui ne pouvait contenir ses pulsions sexuelles mais apparemment Ena aussi subissait les effets de la grossesse. Nos lèvres n'étaient qu'à quelques millimètres l'une de l'autre et je pouvais sentir son souffle chaud caresser ma peau. « La prochaine fois rejoins moi en cours, je suis sur qu'on pourrait se trouver un endroit tranquille... » Il y avait tellement d'endroit inoccupé dans cette université qu'on aurait put se trouver une pièce rien que pour nous deux. Je chassais ce fantasme de mes pensées et croisait le regard remplit de désir d' Ena. J'aimais me sentir désirer, aimer, surtout aux yeux de celui que j'aimais le plus au monde, plus que ma propre vie. « Et si on allait prendre un bain ? J'ai mes jambes qui me font un mal de chien » Un bon bain chaud me détendrais mais surtout ferait bien grimper la température, surtout que je savais comment réagissait Ena une fois nos corps entrelaçait dans l'eau chaude.

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J'avais très envie d'elle. Depuis que j'étais allé la chercher d'ailleurs. Je l'emmenais dans notre nouvel appartement et lui faisais visiter. Moi, je n'avais envie que de la prendre contre moi et de lui faire savoir combien je l'aimais. Elle semblait fatiguée, et peut-être que je devrais faire passer mes envies. Elle me demandait de manger alors je lui servis un beau repas, sans alcool et tout bon pour elle. Je lui demandais comment s'était passé sa journée en cours. Elle me fit rire en me répondant. Je souris. Elle était adorable. Je la regardais amoureusement pendant qu'elle parlait. Je lui souris et je vins la prendre dans mes bras, l'embrasser et lui faire part de mes envies habituellement de femme enceinte, donc d'elle. Je la fis rire doucement et puis elle reprit le sujet de son université de manière coquine. « mmmh excellente idée » lui dis-je alors en l'embrassant à nouveau. « la prochaine fois je viendrais directement te kidnapper à la porte de ton cours. » lui soufflais-je alors. Et puis, elle me demandait pour aller prendre un bain. Je levais un sourcil, intéressé. « tu en as des bonnes idées.. » ajoutais-je l'emmenant dans notre salle de bain et faisant couler le bain. j'allais lui voler des baisers en attendant. Puis, je la regardais et puis profitant de la buée sur les miroirs, j'écrivis "I LOVE YOU" avec le doigt avant de la regarder. Je l'embrassais à nouveau retirant ses vêtements et les miens pour aller nous glisser dans l'eau chaude et moussante. Je la prenais contre moi, la serrant tendrement. Je lui moussais la peau avec la boule de bain et avec mes lèvres aussi parfois, embrassant son cou, ses épaules, ses bras. Je caressais ensuite son ventre et puis ses jambes. « mmmh j'ai une petite amie parfaite » lui soufflais-je dans l'oreille. « tu veux aller te coucher? » lui soufflais-je alors, ayant vu qu'elle était fatiguée.

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Ena m'entraîna dans la salle de bain, notre salle de bain car maintenant on avait une salle de bain juste collé à notre chambre. Il s'occupa de tout, de faire couler l'eau, de mettre du bain moussant et quand il se tourna vers moi il inscrivit ces trois petits mots que j'adorais. Avec un petit sourire j'écrivis juste en dessous de son message "ME TOO" car oui je l'aimais, à un point que je ne pouvais même pas l'expliquer. Une fois le bain prêt Ena retira ses vêtements puis les miens, comme si je ne pouvais pas le faire moi même. J'étais peut être enceinte mais je pouvais encore me débrouiller seule. Je compris juste après que c'était simplement parce qu'il était pressé, à croire que j'avais un effet vraiment surprenant sur lui. L'eau chaude me fit le plus grand bien et quand il m'attira à lui je me laissais faire, profitant de ce moment de relaxation. Ena me caressa le corps d'une façon tellement sensuelle que le désir commençait à monter en moi, chassant peut à peut la fatigue qui s'était accumulé au fil de la journée. Lorsqu'il me proposa d'aller se coucher je pris sa main pour l'emmener au niveau de mon intimité. « J'ai une autre idée en tête si tu vois ce que je veux dire... » lui murmurais je en lui embrassant le cou. J'étais collé à lui, mon dos plaquait contre son torse et je pus alors sentir sa virilité se réveiller, venant se coller à mon bassin. « Un peut de tenue quand même » lui dis en lui faisant les gros yeux avant d'éclater de rire. A croire que j'avais un tel pouvoir de séduction sur lui qu'avec de simple mot j'arrivais à réveiller le "mini Ena". Pas si mini que ça quand même... Je me retournais alors, me trouvant à genoux devant lui, toujours dans ce bain. Il avait une vue imprenable sur ma poitrine mais la mousse ainsi que l'eau cachait tout ce qui se trouvait en dessous de mon nombril. Je me penchais alors sur, embrassant chaque partie de son cou avant de remonter jusqu'à son oreille et de redescendre jusqu'à ses lèvres pendant que mes doigts s'enroulaient lentement autour de son sexe. Il voulut poser ses mains sur moi mais de ma main libre je lui attrapais le poignet, un sourire malicieux sur les lèvres. « Non non, on ne touche qu'avec les yeux » lui soufflais en l'embrassant doucement sur les lèvres. J'avais envie de jouer, pourquoi je ne sais pas mais j'avais envie de le torturer un peu à ma manière. « Fais moi pensé d'acheter des menottes la prochaine fois... » Je l'imaginais déjà attaché au lit et rien que d'y penser un frisson me traversa le corps.

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Même si j'avais très envie d'elle, j'avais remarqué plus tôt qu'elle était très fatiguée de sa journée alors j'étais prêt à mettre de côté mon envie pour qu'elle se repose. Elle en avait besoin, après tout. Mais elle changea vite d'avis. Elle me serra contre elle et mis ma main vers son sexe. Elle m'embrassa dans le cou. J'étais étonné mais j'aimais ça. Je la laissais faire, me laissant faire clairement. Elle se collait à moi, je sentais mon sexe se coller contre elle et qu'elle le sente. Elle fit une remarque là dessus et ris, je l'accompagnais. Elle se retournait vers moi, m'embrassa dans le cou puis l'oreille et les lèvres. Elle prit mon sexe entre ses mains et je lâchais un râle. Je lui souris et j'allais approcher mes mains vers elle pour m'y mettre à mon tour mais elle vint attraper mon poignet. Je la regardais. Je souris alors de côté imaginant la scène qu'elle me proposait. « coquine » lui soufflais-je alors la laissant m'empêcher d'y mettre mes mains. Je la regardais, son corps était si beau, là tout près de moi. J'avais envie d'elle. C'était horrible de ne pas pouvoir la toucher, mais excitant, frustrant. « j'aime tes idées soudaines » lui soufflais-je alors d'une voix rauque de désirs.

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Je me sentais tellement bien, ici avec Ena que je me surprenais moi même d'avoir de telles envies. Peut être était ce dut à la grossesse ou juste au fait que j'avais envie de le faire un peu languir, faire monter le désir encore plus... Je pouvais entendre à sa voix qu'il était réceptif à ce genre de chose et mon esprit créateur ce mit en marche. Pas besoin de menotte, on avait tout ce qu'il fallait dans la chambre. Je l'embrassais tendrement avant de prendre du gel douche pour le savonner, parcourant sa peau de mes doigts. C'était tellement bon de pouvoir le toucher ainsi mais j'avais une autre envie encore plus délicieuse alors une fois lavé nous sortions tout les deux de la salle de bain, enveloppé dans des serviettes. « C'est mes envies que tu aimes ou mes hormones ? » lui murmurais je à l'oreille avant de le pousser pour qu'il s'allonge sur le lit. Avant de le rejoindre sur le lit je pris deux de mes foulards dans notre nouveau dressing puis je m'installais sur lui à califourchon en me mordillant la lèvre. « Ce qui va suivre va te plaire alors » dis je en tendant le foulard devant lui. Je n'avais jamais fais ça mais mon désir était tel que je ne suivais que mes pulsions. Une de mes mains emprisonna celle d'Ena avant de la faire glisser juste au dessus de sa tête. Le foulard était parfait pour remplacer les menottes et au moins ça le lui ferais pas mal. Je fis de même avec la deuxième et quand je me redressais j'avais les joues légèrement en feu, me rendant compte de ce que j'étais entrain de faire. J'étais entrain de jouer avec lui, avec son désir mais bizarrement j'aimais ça... Ena était étendu nu devant moi, sa virilité à son maximum et le fait de savoir qu'il ne pouvait pas bouger me faisait sourire. « Tu aimes toujours ? » Lentement je me penchais sur lui, embrassant son torse avant de me perdre dans son cou, ma main glissant jusque son sexe bien dressé. A voir il appréciait toujours autant alors sans rompre le contact de ma bouche contre son corps je descendais doucement jusqu'à son membre afin de le prendre entre mes lèvres. Je le voyais tirer sur les foulards au rythme de mes mouvements sans pouvoir sans défaire alors après l'avoir torturer un peu je remonter jusqu'à ses mains pour le libérer. « J'espère que tu te souviendras de notre première nuit dans notre nouveau chez nous... » lui soufflais je avant de l'embrasser tendrement, collant mon corps contre le sien pour lui faire comprendre que j'avais envie de lui là maintenant.

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Dans la salle de bain, Maëva faisait monter la température. Elle voulait jouer avec le feu et moi, j'aimais ça. Je la laissais faire, commençant à tendre vers un désir de frustration, de tentation que j'appréciais. J'aimais qu'elle se laisse tenter par des choses qui lui plaisait, qu'elle ne les garde pas enfouis en elle et les laisse mijoter comme ça. J'aimais qu'elle prenne confiance, qu'elle fasse ce qu'elle avait en tête sans trop réfléchir. Je lui faisais remarquer et elle me fit rire. « Les deux » lui répondis-je alors qu'on sortait du bain, dans nos serviettes. A peine sec elle me fit tomber sur le lit sans attendre et attrapa deux foulards. Je levais un sourcil, étonné en bien évidemment. Malgré l'absence de menottes dans nos accessoires, elle allait s'en tirer avec deux foulards. Pourquoi pas, c'était certainement plus agréable que des bouts de ferrailles de toute façon. Je commence à me dire qu'il faudra que j'aille chercher des menottes en soie ou quelque chose du genre plus tard. Je la laisse faire en attendant, alors qu'elle m'attachait main après main, me laissant à sa merci. Je souriais, même si c'était super frustrant de ne rien pouvoir faire alors qu'elle était là sur moi à me couvrir de baisers. Je ne pouvais même pas toucher sa peau douce. Je frissonnais de frustration et à la fois ça m'excitait encore plus. C'était horriblement bon. J'essayais de me débattre, de m'en défaire en vain alors qu'elle prenait mon sexe en bouche. Je la regardais, laissais échapper des râles. « C'est horrible mais c'est bon.. » lui avouais-je alors qu'elle remontait pour me délivrer. Je lui souris alors qu'elle me disait qu'elle espérait que j'avais aimé cette première nuit ensemble dans cet appartement. « Oh oui. » lui dis-je. Une fois libéré, je l'attrapais et la fit tomber sur le lit, sous moi. Sans attendre, j'attrapais ses lèvres dans un baiser fou et je lui fis l'amour comme je l'aimais, c'est à dire comme un fou.

J'amenais sa machine directement une fois fini et puis je la pris dans mes bras, l'embrassant sur le front. « Je t'aime mon ange, dors bien. » dis-je la serrant doucement contre moi.

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Le moment était vraiment parfait et c'est essoufflée et fatiguée que je me laissais allée dans les bras d'Ena. Ma libido était vraiment à fond en ce moment, merci la grossesse. C'était surement le seul point positif car en ce qui concerne les nausées et le mal de dos je m'en serais bien passé. Ena me serra contre lui tout en allumant la télé et c'est ainsi que je m'endormais dans notre nouvelle chambre. Je ne réaliserais surement que demain que nous avions déménageais, ce soir j'avais eu d'autres idées en tête. Le lendemain matin j'avais encore l'esprit embrumé quand j'ouvris les yeux. Il faisait déjà clair et en voyant le réveille je m'aperçus qu'il était déjà neuf heure passé. J'aurais dus aller en cours, surtout que je n'avais que la matinée mais il était trop tard et puis j'avais envie de profiter de ce nouveau chez nous avec Ena. Ce dernier dormais encore, pas étonnant après la nuit qu'on avait eut. Lentement je me glissais hors des couvertures pour ne pas le réveiller et aller lui préparer son petit déjeuner. Les chiens vinrent me dire bonjour à leur manière puis retournèrent jouer. Ce qui était agréable c'est qu'il y avait juste à ouvrir une porte pour les laisser sortir, plus besoin de les sortir à 7h au matin quand ils avaient une grosse envie. Pendant que le café coulait je sortis dehors, admirais notre petit coin d'extérieur pendant que les chiens gambadaient joyeusement dans l'herbe. Il faisait déjà très chaud, pas étonnant à Miami mais je devais rentrer pour finir ce que j'avais commencé. Sur un plateau je posais donc une tasse de café, des pancakes que j'avais préparé toute seule comme une grande et un grand verre de jus de fruit. Doucement j'entrais dans la chambre et je posais le plateau sur la table de chevet avant de me glisser contre Ena pour le réveiller tendrement, l'embrassant dans le cou. « Réveille toi ma marmotte... » lui soufflais je à l'oreille avant d'ouvrir légèrement le rideau pour laisser entrer un peu de soleil. Alors qu'il ouvrait les yeux je m'installais contre la tête de lit, prenant un pancake que je mis dans ma bouche avant de poser le plateau sur les jambes d'Ena. « Bon appétit mon amour » lui dis je avec un grand sourire. Les chiens nous rejoignirent dans la chambre et discrètement je leur donné un morceau de pancake à chacun. « Je suis allais voir notre jardin, c'est vraiment beau, mais tu crois qu'aujourd'hui on pourrait aller faire les magasins ? J'aimerais bien l'aménageais un peu... » J'avais toujours rêvé d'avoir un hamac pour me détendre, un barbecue voir même une piscine mais dans l'ancien appartement c'était impossible, nous n'avions pas d'extérieur.

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