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 you take me down, spin me around (jordan)

 :: sujets et autres

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(#)Sujet: you take me down, spin me around (jordan)  |   Dim 24 Jan - 22:02

 

i just got that feeling sugar
 



J'aimais deux choses à l'université. La première, c'était mes études. Je ne regrettais pas une seule seconde de les avoir commencées et surtout, d'avoir choisi le droit. L'année dernière encore j'étais loin de m'imaginer un jour fouler les couloirs de la fac comme je le faisais maintenant. Je n'avais jamais aimé les cours et je ne comptais pas faire d'études supérieurs. Et surtout, je n'aurais choisi la même voie que mon père pour rien au monde. Et pourtant, j'étais là, élève en première année de droit, sérieuse, studieuse, prête à tout pour réussir ses examens et avec un seul objectif en tête, devenir avocate de la défense. Incroyable à quel point une balle dans le ventre et un mois dans le coma peuvent vous changer une personne. La deuxième chose que j'adorais ici, et sûrement plus encore que mes études, était Jordan Bradford, notre délicieux directeur d'université. Vingt-six ans, pompier volontaire et à la tête du Miami Beach College, il n'avait rien à envier à personne. Mon cours de droit constitutionnel venait tout juste de s'achever. Il était midi, et j'avais faim. Et pas d'une faim ordinaire, non. La seule personne capable de combler cet appétit tout particulier s'avérait justement être Jordan. La sonnerie avait à peine ressentie que j'avais remballé rapidement mes affaires et dévalé les marches de l'amphi quatre par quatre. Je connais le chemin de son bureau sur le bout des doigts. Je savais que ce que nous faisions était interdit, mais à vrai dire, je m'en fichais. Jordan était avant tout mon ami, et ce bien avant qu'il ne devienne ce qu'il était aujourd'hui. Et honnêtement, je n'avais aucun remords. Qui me disait qu'il ne faisait pas pareil avec d'autres étudiantes ?

Arrivée dans l'aile administrative, je tournai à la droite. J'accélérai le pas. Je n'aimais pas trop traîner par ici, craignant que certains membres du corps administratif remarquent ma présence. D'un côté, cet aspect interdit rendait le tout beaucoup plus excitant, et c'était presque si je goûtais cette peur avec délectation. J'attendis un instant que sa secrétaire, une vieille prune qui devait avoir pas loin des soixante-dix balais et qui m'avait déjà prise en train de rôder dans le coin, ait le dos tourné pour passer. J'arrivais enfin devant la lourde porte d'ébène où une plaque en or indiquait l'identité de Jordan. Je toquai trois petits coups rapides, notre signe de distinction. La porte s'ouvrit, et je me retrouvais nez à nez avec mon meilleur ami. Je lui souris. Il était toujours aussi séduisant, même quand il se devait d'arborer le look sérieux de proviseur. Je devais admettre que j'avais rarement vu d'homme plus sexy que lui. « Vous me laissez entrer, monsieur le directeur...? » fis-je d'une voix taquine tout en pénétrant dans la pièce. Je fermai doucement la porte derrière moi, et me rapprochai de lui. « Comment va le plus beau, aujourd'hui ? » demandai-je.
C O D E © W H A T S E R N A M E .

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(#)Sujet: Re: you take me down, spin me around (jordan)  |   Lun 8 Fév - 16:12
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Comme tous les matins, je me suis concentré sur l’administratif. Je me suis organisé de la sorte pour pouvoir aller faire mon sport l’après-midi. Je ne suis pas le genre de directeur qui aime rester derrière son bureau toute la journée. Ce que j’aime, c’est le contact. Etre présent sur le campus est important et ce n’est pas pour rien que je coach également l’équipe de football de l’université. C’est mon truc le sport et ça, personne ne pourra jamais me le retirer.

Face à mon ordinateur, je n’attendais qu’une chose : la pause repas. D’ailleurs, c’est l’heure. Et sans aucune hésitation, je m’étais donc levé avant de déboutonner légèrement ma chemise puisqu’il fessait une chaleur à crever. J’ai hâte d’être chez moi pour la retirer même si, Edward, mon stupide colocataire, n’aime pas que j’exhibe mon corps. Surement par complexe. « Je vais me prendre des sushis. Murmurais-je à moi-même en avançant vers la porte pour l’ouvrir. « Véronica, je m’en vais chercher mon déjeuner. Je vous ramène quelque chose ? » Lui proposais-je alors en affichant un léger sourire sur mon visage. Véronica est une excellente secrétaire. Sans elle, mon travail ne serait peut-être pas aussi ordonné. Elle fait du bon boulot, nos rapports sont excellent. Je me dois donc d’être un supérieur excellent. « J’aimerai une crème glacée à la pistache monsieur le proviseur. Il fait terriblement chaud ici. Répondit naturellement la jeune femme en continuant de taper sur son clavier avant de déposer son regard sur moi. «  C’est noté. Une crème glacée à la pistache. » Terminais-je finalement en lui faisant un clin d’œil.

Pas à pas, je marchais sur le campus en regardant à droite et à gauche. Il n’y a pas si longtemps que ça, je passais du temps à marcher sur l’allée grecque. Je faisais même parti de la confrérie Omega Chi Delta. D’ailleurs, il m’arrive d’assister aux événements en tant que membre ancien. Je fais même profiter mes frères OCD lorsque j’ai quelques opportunités. Une fraternité, au même titre qu’une sororité, ce n’est pas simplement un endroit pour faire la fête, dormir et vivre sa scolarité. C’est également un réseau de contact.

En revenant, après avoir acheté mon déjeuner et le dessert de ma secrétaire, je m’étais permis d’observer ces jolies étudiantes qui marchaient devant moi. J’avais bien envie de ça. Une relation sexuelle. Je n’étais pas en manque, je suis sexuellement actif mais disons que ma dernière relation sexuelle remonte à quelques jours. C’était en compagnie de deux filles. Une lesbienne et une bisexuelle, Camélia et Kelly. C’était un moment que je ne comptais pas oublier, c’était un beau moment. Je m’étais bien amusé mais l’effet que cela m’a promulgué est passé. J’ai besoin de ce sport-là. L’envie est bien trop grande aujourd’hui.

En arrivant devant mon bureau, Véronica n’était plus là. J’avais donc déposé le sac contenant la crème glacée sur son bureau avant d’entrer dans le mien et de déposer mon sac composé de sushi et autres délices sur le mien. Cependant, lorsque mes fesses furent posés sur le fauteuil, j’entendis frapper à la porte. Automatiquement, mon corps s’était levé et dirigé vers la porte. Seulement, j’entendis deux nouveaux coups. C’était elle. Impossible que je me trompe. C’était elle. C’est notre code et quand elle vient de cette façon, c’est qu’elle a une idée en tête. Un désir enfuie qu’elle compte bien assouvir. Il serait même dangereux de l’en empêcher. Ma meilleure amie est comme ça. C’est dans son caractère. Une vraie lionne. Par conséquent, je n’ai pas le choix d’être un lion. Mais pas n’importe quel lion, un lion féroce.

Vêtue d’un pantalon à pince, de chaussure classe et d’une chemise noir, j’ouvris la porte à l’aide de ma main. C’était bien elle. Mon radar ne s’était pas trompé. Mon regard se déplaçait le long de son corps. Comme toujours, sa tenue me charme. Plus encore, elle m’envoûte. Et ce visage… Il me donne bien des idées. Je ressens à présent cette électricité, cette chose qui parcourt mon corps. « Après vous mademoiselle. » Dis-je d’une voix amusé avant de la laisser entrer. La porte se ferma assez rapidement lorsque ma main la poussa avant de tourner le loquet. Réflexe nature lorsqu’elle est en ma présence. D’ailleurs, son corps s’était soudainement rapproché du mien et cette proximité détendait tous mes muscles. Je sentais son parfum d’ici et si nous étions tous les deux, deux personnages dessin animé, je serai capable d’apercevoir le parcourt de son odeur. Je verrai cette jolie substance se déplacer. «  Très bien. Et cette charmante étudiante, comment va-t-elle ? » Murmurais-je en déposant l’une de mes mains derrière son dos afin de la prendre en ma possession par la suite en ramenant brusquement son corps vers le mien. La proximité était à son maximum. On ne pouvait certainement pas faire mieux. « J’ai faim, je comptais manger mes sushis mais apparemment, c’est autre chose que je vais manger. » Murmurais-je sur le même ton avant de déposer mes mains sous ses fesses pour la soulever et faire pivoter nos corps de manière à ce que je me retrouve en face du bureau et que je puisse la déposer dessus à côté des sushis. « Bon appétit. » Dis-je amusée avant d’amener mes lèvres sur son cou.
Emi Burton
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(#)Sujet: Re: you take me down, spin me around (jordan)  |   Sam 13 Fév - 14:41

 

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J'adorais ces petits rendez-vous secrets entre Jordan et moi. Nous étions des amis de longues dates, et je devais avouer que ça me faisait toujours un peu bizarre de le croiser dans les couloirs se baladant en tant que directeur de l'université. Si on m'avait dit ça quelques années plus tôt, franchement, je ne l'aurais jamais cru. En tout cas, quoiqu'on puisse penser de sa présence à ce poste, on ne pouvait pas réfuter le fait que c'était un directeur qu'un genre nouveau. Jeune, dynamique, et indéniablement plus sexy que les précédents. Depuis que nous travaillions tous les deux à l'université, notre relation n'avait fait que se renforcer. Disons que l'on se voyait beaucoup plus souvent. Entre deux heures, pendant la pause du midi... Jordan était comme un remontant pendant mes longues journées de cours. L'aspect interdit de notre relation —prof/élève, c'était du déjà-vu à côté de directeur/élève— m'excitait encore davantage. Nous nous lancions des regards discrets dans les couloirs, et cette connivence secrète, que personne ne soupçonnait, je la trouvais délectable. Parfois, en classe, je me disais que personne dans la salle ne savait que je couchais avec le directeur de l'université, et cela me faisait sentir incroyablement puissante. Toutes ces filles devaient plus ou moins le désirer, et pourtant, c'était bien moi qui partageait son lit. Cependant, Jordan était bien plus qu'un simple plan cul. Il n'était pas comme Daniel, par exemple. C'était aussi mon meilleur ami, d'un genre un peu particulier certes, mais mon meilleur ami quand même. Il m'avait toujours soutenu tout en me conseillant franchement, m'indiquant les chemins à suivre et lesquels ne pas prendre. Il savait quand me dire non. Jordan me connaissait particulièrement bien et cela avait un peu le don de m'agacer, parfois. Il me connaissait, et cela signifiait qu'il pouvait quasiment me contrôler. Et avec un tel charme, une telle beauté physique... Je ne pouvais pas lui résister. Mon désir pour lui ne fit que s'accroître lorsqu'il m'ouvrit la porte et que je le trouvais là, incroyablement sexy dans ses habits classiques de directeur. J'aimais bien cette tenue, bizarrement, même si on ne pouvait pas dire qu'elle fut destinée à un jeune homme de vingt-six ans. Elle formait un contraste très attrayant avec sa gueule d'ange et son corps parfaitement dessiné. Sa chemise noire se ployait à merveille selon les mouvements de son torse finement ciselé. Je pouvais deviner chaque trait sous ce vêtement. Je ne pus m'empêcher de me mordiller la lèvre tandis que je le contemplais.

« Après vous mademoiselle. » m'indiqua-t-il. Ce ton sérieux me faisait craquer. La plupart des femmes fantasmaient sur les pompiers, ce genre de chose, et moi sur les directeurs. Pas étonnant que j'aie couché avec Derek Watts. J'entrai, et je l'entendis fermer la porte à clé derrière moi, signe que les choses allaient devenir sérieuses. Je ne pus m'empêcher de sourire. Je lui demandais ensuite comment il allait. « Très bien. Et cette charmante étudiante, comment va-t-elle ? » me répondit-il à voix basse en posant une de ses mains sur mon dos. Ce geste me fit tressaillir de plaisir. Il ramena ensuite son corps contre le mien, et instinctivement, je sentis mon dos se cambrer. Je posais mes mains sur son torse, et plantai mon regard dans le sien, un petit sourire aux lèvres. « Parfaitement bien, maintenant » fis-je doucement. Ce n'était vraiment pas le moment pour lui raconter que j'étais enceinte, que j'allais accessoirement me faire tuer par mon frère et que j'ignorais l'identité du père. Là, j'avais clairement l'esprit ailleurs. « J’ai faim, je comptais manger mes sushis mais apparemment, c’est autre chose que je vais manger. » Cette remarque me fit sourire davantage et ne fit qu'agrandir mon désir pour lui. Avant que je n'aie le temps de répliquer quoi que ce soit, Jordan fit descendre ses mains jusque mes fesses et me souleva avant de me déposer doucement sur le bureau. Je ne détachais pas mon regard du sien. Il était magnifique, d'un vert clair à vous faire pâlir de jalousie. « Dommage, j'avais bien envie de sushis » le taquinai-je. Je passais mes bras autour de ses épaules tandis que ses lèvres allèrent se balader au creux de mon cou. Mon désir s'accentua de plus en plus, et des frissons me parcoururent le corps. «... Les sushis pourront attendre » complétai-je en souriant. Je posai mes mains sur son visage et l'amenai délicatement vers le mien, puis posai mes lèvres sur les siennes. Nous commençâmes à échanger un long et fougueux baiser. Pendant ce temps, mes mains commencèrent à déboutonner sa chemise. Je caressai doucement ces muscles parfaitement dessinés, tandis que je sentais ses propres mains s'aventurer sous mon tee-shirt. J'espérai qu'il n'allait rien remarquer au niveau de mon ventre ; normalement, il était encore trop petit pour que l'on puisse rien deviner, mais j'avais toujours quelques craintes à ce sujet. Enfin, j'étais actuellement trop occupée pour penser à cela. La température montait très vite entre nous deux, et je décidai de passer à l'action. Je déboutonnai rapidement son pantalon et frottai doucement la paume de ma main contre sa virilité, déjà durcie par l'envie. Je me reculai un peu, en me mordant la lèvre supérieure, pour le regarder dans les yeux. « Vous n'avez pas froid aux yeux, monsieur le directeur » fis-je d'un ton malicieux.
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(#)Sujet: Re: you take me down, spin me around (jordan)  |   Sam 13 Fév - 21:28
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Je n’étais pas plus proche d’une autre et je pense que je ne serai jamais aussi proche de quelqu’un que je peux l’être d’elle. Notre relation est loin d’être compliquée. Bien au contraire. Ensemble, tout semble rouler, tout semble être comme ça le devrait. Nous nous comprenons parfaitement et surtout, le plus important, nous sommes sur la même longueur d’onde. Il n’y a rien de mieux que ça, il n’y a rien de mieux que de se dire que rien ne pourrait nous empêcher de nous amuser et d’apprécier chaque moment que nous passons ensemble comme ce genre de moment où nos corps sont attirés l’un vers l’autre…

« Dommage, j'avais bien envie de sushis. » Plaisanta cette douceur sucré en passant ses bras autour de mes épaules. Un sourire assez amusé s’installa sur mon visage et sans plus attendre, j’avais déposé mes lèvres dans le creu de son cou en n’hésitant pas à marquer ce dernier. J’éloignai ainsi les soupçons. Qui penserait qu’un directeur puisse faire un suçon sur le cou de l’une de ses étudiantes ? Personne sauf Eliza et moi bien sûr.  Murmurais-je à moi-même en avançant vers la porte pour l’ouvrir. «... Les sushis pourront attendre. » Ajouta cette dernière ensuite avant de poser ses délicates mains sur mon visage pour le ramener vers le sien et ainsi provoquer une collision assez intense entre nos lèvres. Je sentais très clairement les événements provoquer un chamboulement dans mon boxer. Tout était devenu plus long, plus dur et surtout plus serré. C’était sans doute dû au fait que ses mains ont provoqués de multiples frissons sur l’ensemble de mon corps. En effet, après avoir déboutonné ma chemise lors de notre baisé fougueux, cette dernière n’a pas hésité à caresser l’ensemble de mon torse en ne ratant aucune parcelle.  Cependant, j’y étais surement aussi pour quelque chose puisque je n’ai pas non plus hésité une seule fraction de seconde à glisser mes mains sous son t-shirt.  A vrai dire, rien de tout ça ne justifiait ce qu’il se passait sous mon boxer puisque dès l’instant où je l’ai aperçu sur le seuil de la porte, j’ai ressentie ce désir imperturbable. Rien n’aurait pu m’empêcher d’avoir cette réaction. Rien n’aurait pu m’empêcher de ressentir cette envie de n’en faire qu’une bouchée. Eliza provoque chez moi un effet animal. Je me sens comme un lion lorsque je suis en sa compagnie et j’ai toujours envie de lui montrer à quel point je peux être… bestiale ?

Ses doigts vinrent ensuite déboutonner mon pantalon, qui glissa naturellement le long de mes jambes, laissant ainsi apparaître mon boxer plutôt bien rempli. Inutile de préciser qu’au moment où la paume de sa main rentra en contact avec mon héritage, je sentis ma température intérieure montée en flèche. Je pense même qu’il aurait bien été capable de traverser toutes les formes de tissus pour arriver jusqu’à sa destination. « Vous n'avez pas froid aux yeux, monsieur le directeur. » Dit-elle sur un ton malicieux après s’être légèrement reculé. Epris par la situation, je m’étais naturellement arrêté pour la regarder et lui offrir un sourire engagé, le genre de sourire qui veut dire que je suis heureux d’être face à elle et d’entreprendre ce que nous avons l’habitude de faire ensemble. Ce sourire visait aussi à la rassurer sur mes attentions dans le sens où je ne la prenais pour pas pour un simple plan cul ou une vulgaire nana avec qui je voulais tirer un coup. C’est bien plus que ça. Elle est ma meilleure amie. Nous avons une relation spéciale et je peux même affirmer qu’ensemble, nous sommes spéciaux. «  Je ne connais pas cette expression, je ne sais pas ce qu’elle veut dire. » Lui répondis-je un ton plus amusé qu’autre chose.

Elle avait un regard et un visage si agréable à regarder. J’avais même envie de le caresser et c’est d’ailleurs ce que je fis instinctivement en laissant mon index se déplacer le long de sa joue droite. « Vous êtes ravissante jeune fille… » Lui murmurais-je en continuant de la regarder avant de finalement lui retirer son haut pour le jeter en arrière. «  Mais d’après l’ensemble du corps enseignant… » Continuais-je en dégrafant son soutien-gorge. « Vos notes pourraient être mieux. » Dis-je sur un ton sec en jetant son sous-vêtement de la même manière que son haut. Et c’est sous un air froid que j’avais rapproché son corps un peu plus vers l’avant afin que je puisse agripper sauvagement sa poitrine en évitant de lui faire mal. « Oui, bien mieux. » Chuchotais-je avant d’amener ma bouche vers son sein droit pour le posséder. Ma langue aimait parcourir dans tous les sens l’ensemble de son téton. C’était un réel plaisir et mon envie d’elle ne cessait du coup de s’accroître. « J'ai donc le devoir de vous aider à y remédier très vite. » Terminais-je en passant au sein gauche tandis que mes mains s'occupaient de déboutonner son jean.
Emi Burton
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(#)Sujet: Re: you take me down, spin me around (jordan)  |   Sam 12 Mar - 11:18

 

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Il était certain que la relation que j'entretenais avec Jordan était pour le moins particulière, ou du moins, elle l'était à mes yeux. Il n'était pas un simple plan cul, loin de là. On ne se le disait peut-être pas -de toute manière, ça n'était pas dans mes habitudes- mais il comptait énormément pour moi. Jordan était en quelque sorte mon pilier, un échappatoire. Ma bouffée d'oxygène quand le monde extérieur devenait trop pesant pour moi. Il était différent de Daniel, ou même de n'importe quel autre homme à mes yeux. Il y avait quelque chose de réellement fusionnel entre nous deux, c'était ainsi que je le ressentais. Nous n'avions pas besoin de dire grand chose pour nous comprendre parfaitement. Nous étions amis, de très bons amis même ; je le considérais comme mon meilleur ami, pour ma part, même si je n'aimais pas trop coller des étiquettes, surtout que notre relation ne se conformait pas vraiment aux normes de l'amitié. Et puis, on couchait ensemble. Là encore, c'était différent de toutes les autres relations que j'avais connu et que je connaissais, peut-être à cause de notre relation d'amitié justement. Ou alors était-ce justement le sexe qui rendait notre amitié si particulière. Je l'ignorais. Toujours était-il que nous avions cette complicité et cette simplicité que je ne retrouvais chez personne d'autre. Rien ne semblait compliqué avec Jordan. Il n'était pas franchement du genre à se poser des questions mais je sentais néanmoins qu'il me portait un certain intérêt. Pas comme Daniel, qui lui ne me voyait que comme une fille parmi tant d'autres.

Des sushis attendaient Jordan sur son bureau, et je le taquinais en disant que j'aurais préféré les déguster plutôt que de m'occuper de lui. C'était bien évidemment faux ; rien dans cette pièce ne m'attirait plus que le corps finement ciselé de Jordan. Il était, comme à son habitude, incroyablement sexy. Cela aurait dû être interdit, à ce stade. Je devais l'admettre, il me rendait folle. Il attrapa mes fesses pour m'asseoir sur son bureau, et approcha son visage de mon cou. Jordan commença par des baisers, puis je sentis le contact devenir plus proche. Je tressaillis. L'aspect interdit de cette relation la rendait encore plus intéressante. Je m'imaginais facilement me balader à l'université, arborant plus ou moins fièrement ces marques rouges à mon cou comme des trophées, et sachant que personne ne devinerait jamais l'identité de l'homme qui les avait apposés là. Jordan connaissait très bien mes points faibles et savait en jouer ; je ne pouvais jamais résister très longtemps à la sensation de son souffle dans mon cou, de ses lèvres contre ma peau tremblante. Mon désir pour lui ne fit qu'augmenter. Je voulais le posséder, le sentir près de moi, comme à ma merci... J'aimais sentir que j'avais cette emprise chez les hommes, mais elle avait une forme encore plus particulière avec Jordan. J'ignorais si il était possible d'avoir une âme soeur sexuelle, mais si cela existait, j'aurais pu dire que Jordan l'était pour moi. Nous nous entendions parfaitement sur ce sujet. À ce moment précis, je ne pensais plus rien. Mes soucis s'étaient comme envolées, et pourtant, on pouvait dire que j'en avais une tonne ces temps-ci. Il n'y avait plus que Jordan, son corps contre le mien et son souffle chaud sur mon cou. Ne pouvant attendre plus longtemps, je me mis à déboutonner son pantalon doucement. La température montait rapidement entre nous ; du moins, c'était ce que la bosse dans son boxer me laissait deviner. J'eus un petit sourire satisfait.

Jordan s'arrêta un instant et fit glisser son index le long de ma joue. J'aimais comme il pouvait être tendre et bestial à la fois avec moi ; c'était exactement ce que j'aimais. Mes mains étaient posés sur son torse aux muscles parfaitement dessinés et je ne pouvais détacher mon regard de ses yeux à la couleur indéfinissable. Il était magnifique, un vrai corps d'Apollon. Je me demandais furtivement à quoi ressemblait ses parents, pour avoir pu faire un tel miracle. Jordan était tout bonnement sublime et pendant un instant, je me perdis dans la contemplation de ses traits réguliers et de son regard tendre. « Vous êtes ravissante jeune fille… Mais d’après l’ensemble du corps enseignant… » murmura-t-il d'un ton sérieux. Je tremblais d'excitation, mais j'adorais faire retarder le moment fatidique comme cela. Jordan le savait parfaitement. « Vos notes pourraient être mieux. ». Il avait pris une expression froide que j'adorais tout particulièrement. Alors qu'il s'efforçait de paraître glaciale, il dégrafa mon soutien gorge et rapprocha son corps du mien. Je ne pourrai alors décrire quelle fut la sensation que j'éprouva en sentant nos corps se toucher. Une seule et unique couche de vêtement nous séparait. Je n'avais qu'une envie, que nous finissions notre affaire en vitesse tant mon désir était grand. Mais Jordan ne semblait pas en avoir fini. Il aggrippa brutalement ma poitrine, et murmura quelque chose que je n'entendis pas tant j'étais occupée à ne pas hurler de désir. C'était incroyable l'effet qu'il avait sur moi. Il aurait pu me faire atteindre l'extase rien qu'en me caressant. Il amena ensuite sa bouche jusque mon sein, et je ne pus retenir un petit soupir tandis que je sentis mon dos se cambrer de plaisir. C'était une sensation merveilleuse, Jordan savait y faire. « J'ai donc le devoir de vous aider à y remédier très vite. » Je sentais ses mains qui défaisaient mon jean. Les choses devenaient très sérieuses. Rien n'existait plus autour de moi ; j'avais oublié où j'étais et que j'allais très probablement être en retard pour mon cours suivant. Tant pis.

« Honnêtement, monsieur le directeur... » fis-je entre deux gémissements de plaisir, « je ne sais pas en quoi vous pourriez m'aider ». Il finit d'enlever mon jean et je me rapprochai encore plus de lui. Je sentais sa virilité comme mes cuisses, et cela me rendait folle. Doucement, je pris son visage entre mes mains et le ramenai jusqu'au mien pour échanger un baiser assez sauvage. Je mordillai sa lèvre inférieur, puis plantai mon regard dans le sien tandis que mes mains s'affairaient en caresses. « Enfin, il y a peut-être un moyen » Et alors que je posais mes lèvres contre les siennes, mes mains descendirent jusque son boxer. Je commençai par caresser son membre par dessus le tissu, doucement d'abord, puis plus rapidement, sans jamais toutefois passer en dessus son vêtement. Moi aussi, je voulais le rendre fou comme il venait de me le faire. Il n'y avait pas de raison. C'était un jeu, oui, un délicieux jeu de plaisir. « Cependant, ce n'est pas très légal » J'échangeai un dernier baiser avec lui, puis enlevai intégralement son boxer. Alors que je repris mes baisers avec lui, mes mains commencèrent un va-et-vient d'abord lent, puis plus rapide avec son membre. Je le sentais se tendre de plaisir.
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(#)Sujet: Re: you take me down, spin me around (jordan)  |   Lun 28 Mar - 23:37
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La proximité entre Eliza et moi me rendait complètement fou même si je faisais en sorte de ne pas le montrer. Le plus difficile est surement de masquer les pulsions sauvages qui me consument. Ce désir ardent qu’elle me fait éprouver pour elle. Seulement, j’aurai plus l’air d’un animal prêt à dévorer sa proie plutôt qu’un homme prêt à coucher avec une sublime déesse sensuelle. Même Aphrodite ne lui arrive pas à la cheville, c’est certain. «  Honnêtement, monsieur le directeur... Je ne sais pas en quoi vous pourriez m'aider. » Avait-elle dit entre deux gémissements pendant que je continuais de savourer le goût exquis de sa poitrine. Un goût parfaitement frais et sucré. Un délice que je désire offrir à ma bouche aussi souvent que les divinités me le permettront. « Je pourrai vous aider de bien des manières. Et je pense commencer par un petit cours de science. » Lui répondis-je alors en murmurant au creux de son oreille une fois son jean retiré.  Cependant, je fus pris de court lorsqu’elle saisissait mon visage pour m’embrasser sauvagement. Bon dieu, cette femme a été faite pour être ma meilleure amie. Je n’aurai pu rêver mieux que ça.  Elle éveille en moi tout ce qui est peut s’éveiller. C’est incroyablement satisfaisant.

Petit à petit ses mains se mirent à caresser mon boxer et surtout ce qu’il y avait derrière. Un laps de temps très court permis à mon attribut masculin de se détendre dans sa main lorsque mon boxer fut retiré. Sans compté que l’excitation que j’éprouvais l’avait bien entendu durci comme jamais. Chose que nous apprécions tous les deux puisqu’elle pouvait s’adonner à une masturbation exemplaire tandis que je profitais merveilleusement de son savoir-faire. «  Je commence à aimer l’illégalité.  » Lui souriais-je en déposant ma main sur sa chevelure pour me maintenir. J’aimais tellement ça et je voulais plus. La pulsion qui me consume depuis toute à l’heure ne parvient pas à être maîtriser. Je ne la maîtrise plus. « Je vais être très très vilain.» Lui murmurais-je dans un premier temps sur un ton très sérieux. «  Rectification, nous allons être très vilains. » Terminais-je en l’attrapant fermement sans qu’elle s’y attende après avoir pris soin de retirer ses mains de mon sexe. «  Moi… Manger toi…  petit femme sexy.  » Dis-je sur un ton très sec, le genre de ton digne d’un homme singe, souvent appelé homme de Cro-magnon. J’avais en effet soulevé cette dernière pour la jeter sur le sofa en cuir présent dans cette pièce avant de me positionner au-dessus d’elle, complètement nu. Les plaisanteries cessèrent de mon côté et mon côté impliqué repris le flambeau. J’avais ce regard déterminé, le genre de regard qui voulait dire « aucun retour en arrière possible ». Mon corps recula petit à petit pour permettre à ma bouche présentement posé sur son cou, de descendre tout le long jusqu’à ses parties intimes. Et c’est sans aucune hésitation, que mon regard se relevé vers elle un instant pour s’ancrer dans le sien. Je voulais la regarder, la contempler quelques secondes avant de finalement laisser mes dents descendre petit à petit sa jolie petite culotte le long de ses cuisses afin de les retirer.

Etant assez éloigné de son corps, je pouvais la regarder de nouveau en gardant sa culotte entre mes dents. Je trouvais cette dernière plus que désirable. Si j’étais peintre, j’aurai aimé pouvoir dessiner toutes les courbes de son corps avant de finalement les peindre très lentement.  Cependant, je m’étais avancé de nouveau pour amener mon visage au-dessus de son vagin avant de lancer sa culotte d’un seul mouvement de tête et de lèvres. Je m’étais ensuite mordu la lèvre inférieure avant d’aborder clairement le toucher de ses parties intimes avec ma langue un petit instant. Je voulais lui donner l’impression d’être bouillante. Pas pour n’importe quelle raison. Je voulais ça pour éveiller son instinct animal afin d’harmoniser nos corps pour qu’ils soient en parfaite symbiose. D’ailleurs, lorsque je ressentis que ce fut chose faite, je m’étais rapidement redressé pour poser mes sur sa taille afin de la soulever et de l’amener d’avantage vers mon sexe. Il ne me fallut que très peu de temps pour que je la pénètre très franchement en n’adoucissant clairement pas mes mouvements. « Rrr. » Première intensité et surement pas la dernière. J'aime grogner et Eliza est bien placée pour le savoir.
Emi Burton
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(#)Sujet: Re: you take me down, spin me around (jordan)  |   Sam 23 Avr - 22:12

 

i just got that feeling sugar
 



C'était un jeu, entre Jordan et moi. Le perdant serait celui qui se rendrait le premier, qui se laisserait envahir par le désir avant l'autre. Le but ? Rendre l'autre fou. Pour tout dire, ce jeu me plaisait énormément même si je perdais un peu trop souvent à mon goût. Jordan me rendait folle, véritablement. Généralement, j'étais la perdante. Je ne savais pas comment il faisait, mais il me rendait dingue. Je ne pouvais jamais me contenir. Parfois, je ne me reconnaissais même plus. Il était le genre d'homme qui me faisait redécouvrir les plaisirs du corps et qui connaissait d'ailleurs le mien à la perfection. Tout semblait plus puissant, plus magique avec lui, comme si c'était nouveau. Oui, il y avait quelque chose d'indéniablement frais dans le lien qui nous unissait. Il était le seul qui me faisait autant d'effet et je n'aurais pas pu trouver d'explication à cela. Peut-être que cela venait du fait que nous étions à la fois des amis à la vie et dans le lit. Une complicité incomparable nous unissait. Je ne lui avais jamais dit —c'était pas le genre de la maison— mais j'étais vraiment heureuse de l'avoir dans ma vie. Il était mon repère dans tout ce bordel qui m'arrivait, le phare qui éclairait. Il était véritablement important à mes yeux. J'avais confiance en lui, une confiance aveugle. C'était plus que juste du sexe entre nous. C'était peut-être pour le remercier d'être tout cela pour moi que je pris son visage entre mes mains et lui donnai un baiser langoureux. Cela sembla réveiller ses ardeurs. Jordan reprit de plus belle alors que mes mains s'aventuraient sous la ceinture. Je sentais sa virilité se tendre sous le mince tissu, qui ne semblait plus en mesure de le retenir pour très longtemps. Le sentir se perdre me fit sourire. Peut-être que je ne serais pas la perdante, aujourd'hui. Jordan passa une main délicate dans mes cheveux tandis que je le masturbai de plus en plus ardemment. Je voulais tester ses limites, jusqu'où il allait être capable de se retenir. Probablement pas très longtemps, pensai-je. «  Je commence à aimer l’illégalité.  » Me dit-il avec un sourire qui me rendait dingue. Cet homme, qui était pour l'heure à ma merci, cet homme-là était magnifique, le visage taillé par un dieu, les traits fin, il était magnifique. Littéralement, sublime. Et cet homme était à moi, me dis-je avec satisfaction. Je lui rendis son sourire. « Moi, ça fait déjà un certain temps que je l'aime, l'illégalité ».

Je sentis les dernières ressources de mon meilleur ami s'épuiser. Bientôt, nous entrerions dans le vif du sujet. J'avais des frissons rien que d'y penser. Je ne pensais plus à lui, juste à lui et au mouvement de nos corps. Le monde extérieur s'était évanoui derrière les yeux bleu-gris de Jordan Bradford. Je n'étais plus une étudiante et lui n'était plus le directeur, je n'étais plus Eliza McKay, je n'étais plus rien ni personne. Il n'y avait que lui, lui et son regard à la fois taquin et sauvage, son corps délicatement sculpté et sa chaleur. Rien d'autre. Jordan s'approcha doucement de mon oreille et, alors qu'il me parlait, je sentis son souffle dans mon coup. Je frissonnai. « Je vais être très très vilain.  Rectification, nous allons être très vilains. » Dit-il d'un ton plus d'excitant tout en m'attrapant et en me plaçant contre son corps. Je ne m'y attendais pas et fut évidemment surprise. «  Moi… Manger toi…  petit femme sexy.  » Reprit-il d'un ton sec, voir dur. Je savais que ce n'était qu'un jeu. Je l'avais poussé jusque dans ses retranchements et maintenant, il répondait à l'attaque. Ça allait être à mon tour de subir l'épreuve et j'espérais pouvoir lui résister. Ça n'était pas dit, honnêtement. Jordan me faisait tourner la tête. Je lui lançai une dernière pique avant que celui-ci ne me soulève. « Je pensais que tu voulais des sushis... Est-ce que j'ai l'air d'un sushi ?» Je n'eus pas le temps d'en dire plus que Jordan me poussa relativement violemment sur le canapé en cuir de son bureau. Nous nous regardâmes pendant quelques intenses secondes, puis il se positionna au dessus de moi. L'excitation avait monté d'un degré. J'adorais les regards froids et sauvages que me lançait Jordan. Je me sentais désirée et ça me plaisait. Il n'y avait que dans ces moments que je me sentais réellement exister. Il posa sa bouche dans le creux de mon cou et je frissonnai de nouveau. Jordan descendit ensuite le long de mon corps, me lançant parfois de délicieux regards. Je sentis la chaleur monter significativement en moi.

Jordan continua la (re)écouverte de mon corps et atteignit bientôt mes parties intimes. Si Jordan voulait me rendre bouillante, sur le point d'exploser, et bien on pouvait dire qu'il avait réussi. Des gémissements m'échappèrent, je n'en pouvais plus. Comment faisait-il cela ? Je sentis mon dos se cambrer de plaisir. « Finies les plaisanteries. On passe aux choses sérieuses, maintenant » dis-je alors, en attrapant ses cheveux pour relever son visage. Nous nous redressâmes. J'étais au dessus de lui et ses mains étaient posées sur ma taille. Jordan me pénétra assez violemment. Je gémis de plaisir. Après toute cette attente, cette envie qui dévastait tout en moi, ce coup de bassin fut comme une libération. Je restai ainsi sans bouger pendant un instant, mes mains sur son torse, mon regard planté dans le sien. Je ne pouvais m'empêcher de le regarder et de me répéter à quel point il était magnifique. « Tu es beau, Jordan Bradford ». Alors, même si je sentais qu'il aurait voulu attaquer comme une bête sauvage, je commençais par de très légers et de très doux mouvements de bassin. Je voulais le faire languir un peu plus longtemps. J'avais perdu, certes, mais je voulais de nouveau éprouver cette délectable sensation de contrôle. Il m'avait fait perdre la tête, précédemment. Je l'entendis grogner, et j'accélérai le mouvement jusqu'à ce que l'harmonie fut remplacée par une brutalité sans nom qui nous plaisait énormément. Il grognait, était bestial, et mes gémissements se firent de plus en plus sourds. J'espérais que personne ne puisse nous entendre, car à vrai dire, nous étions plutôt bruyants. Je sentais des vagues de plaisir me saisir. Je ne détachais pas mon regard du sien. Je lui lançai un défi : le premier qui montait au septième ciel perdait. Et cette fois-ci, je ne comptais pas perdre. Je l'embrassai fougueusement et alternai rapidité et lenteur dans mes mouvements de bassin. Bientôt, nous n'en pourrions plus. .
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(#)Sujet: Re: you take me down, spin me around (jordan)  |   Jeu 18 Aoû - 16:14
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