Parce que tu es ma moitié et que je t'aime

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Aurore & Wesley Trainor

De bon matin, je me trouvais en centre ville, au Sarbucks précisément. Cela faisait deux semaines que j'étais de retour dans ma ville natale et je n'avais pas encore trouvé la force d'aller voir mes proches. J'avais conscience que ça serait difficile de les revoir, qu'ils m'en voudraient d'être parti ainsi pourtant je leur devais la vérité à propos de mon départ, il méritait de savoir même si par la suite ils décideraient sûrement de ne plus me revoir. Pourtant, j'allais devoir me confronter à eux tôt ou tard, fuir n'était pas la solution et je m'étais promis de ne plus refaire cette erreur. Depuis mon retour en ville, je passais le plus clair de mon temps enfermé dans la chambre d'hôtel que j'avais loué en attendant de me trouver un appartement. Cette solitude me pesait, j'avais besoin de sortir de ces quatre murs et de voir du monde. Je savais que je prenais le risque de croiser des personnes de mon entourage mais il fallait que je sortes, j'en avais besoin. Arrivé au café, je me commanda un cappuccino puis m'installa à une table. J'avais pris la peine de prendre mon ordinateur portable afin de travailler un peu, personne n'était au courant, mais j'écrivais un livre en secret, des mémoires pour être plus précis. J'avais besoin d'écrire ce que j'avais pu voir, j'espérais qu'ainsi je me sentirais libérer. Pour le moment ? On ne pouvait pas vraiment dire que le résultat était concluant car j'avais beau être revenu à Miami, une partie de moi n'était pas vraiment revenu. En pensant à cela, je tombais en panne d'inspiration, je devais reconnaître que la fatigue se faisait ressentir, durement. Il fallait dire que je dormais très peu, chaque nuit, je me réveillais en sursaut et je mettais toujours un moment avant de prendre conscience que je n'étais plus là bas. Une fois de nouveau en contact avec la réalité, il m'était toujours impossible de me rendormir. Ne trouvant plus mes mots, je soupira longuement puis bus une gorgée de mon cappuccino. En même temps, j'en profitais pour jeter un coup d’œil autour de moi, par simple curiosité. Aucun visage ne m'était familier, ma tasse étant vide, je me leva afin de me commander un autre café. J'étais plutôt ailleurs et je percuta involontairement quelqu'un, d'ailleurs son café vint tâché ma belle chemise, toute neuve soit dit en passant. - Ne nous excusez pas c'est de ma faute ! Disais-je avec un sourire poli sans même faire attention à la pauvre personne que je venais de percuter. Je leva finalement les yeux sur cette personne dans l'intention de lui proposer de lui payer un autre café mais je ne pu qu'ouvrir la bouche sans qu'un seul son n'en sorte. Je peinais à réaliser que devant moi se trouvait ma petite sœur, Aurore. Cette dernière restait figée visiblement sous le choc de me revoir, je mis un court instant avant de reprendre mes esprits. - Aurore ! Je suis content de te revoir… Je lui disais cela avec sincérité, cependant ce fut un sourire crispé que je lui accordais. Je mourrais d'envie de la prendre dans mes bras mais je me retenais. Comment pouvait-il en être autrement ? Elle devait sûrement me détester à présent, pourtant elle me manquait et cela à un point inimaginable.

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je venait de bousculer quelqu'un alors je m'excuse et en levant je vois mon grand frère celui qui a débarquer il y a peux a mon appart et qui en découle que celui que j'aime et avec qui je vivait depuis 2 ans a cru que je le trompais
-Wesley, moi également tu m'a manquer tu peux pas savoir. ne t'en fait pas j'ai pas retoucher a ce que tu sait les études de droits et la musique m'ont sauvé. maintenant quand je suis triste j'écrit. comme tu es mon frère je te montre mes textes.
je lui tend ma pochettes où je ranges mes texte et le regarde pendant qu'il lit mes textes il y a deux chanson qu'il le concerne comme un frère et le frère que j'ai choisit. je le vois pleurer sur un texte qui parles de notre mère. et oui pour moi c'est un choc la mort de ma sa mère mais ce que je savait pas c'est que pour lui aussi . j'espère qu'il ne m'en veux pas d'avoir écrit sur maman mais j'en ai besoin pour me reconstruire complétement

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Aurore & Wesley Trainor

J'avais besoin de sortir, de voir autre chose que les murs de cette chambre d'hôtel que je louais en attendant de trouver un appartement. La seule personne que j'avais revu depuis mon retour à Miami s'était ma petite sœur, Aurore. Nos retrouvailles avaient était mouvementées, s'était le moins que l'on puisse dire. Sur le coup, elle m'avait détesté puis finalement nous étions parvenus à discuter et nous nous étions réconciliés. Ma petite sœur comptait tellement pour moi, même si on se parlait à nouveau, je m'en voulais toujours de ne pas avoir était là pour elle. J'avais toujours cette crainte qu'elle bascule à nouveau dans la drogue, je voulais la protéger de ses propres démons. J'avais fais l'erreur de partir et de la laisser tomber, je ne comptais plus le refaire maintenant qu'elle avait décidé de me pardonner. Cela m'encourageait à vouloir me battre pour renouer avec le reste de mes proches, du moins j'en avais envie, mais je craignais de me confronter à eux. Je me trouvais au Starbuck, j'aimais beaucoup cet endroit, depuis toujours. Il s'était bien modernisé en sept ans mais ici, j'étais certain de trouver l'inspiration. Pourtant je tombais en panne d'inspiration malgré tout, je me leva afin de me commander un autre café lorsque je percuta quelqu'un. Je m'excusa automatiquement puis releva la tête pour voir qu'il s'agissait de ma petite sœur. Un sourire crispé apparu sur mon visage, s'était étrange nous nous étions enlacés afin de sceller notre réconciliation et pourtant je n'arrivais pas à la prendre dans mes bras. Autrefois on le faisait à chaque fois qu'on se voyait et cela avait disparu. J'espérais que ça reviendrais car le problème s'était moi, je n'arrivais plus à aller vers ma petite sœur sans savoir pourquoi. Je n'avais pas aborder le sujet avec jusque là, il fallait dire que depuis que son petit ami nous avait vu nous enlacés, il pensait que nous étions ensemble, en tant que couple. Je tentais d'aider ma sœur comme je le pouvais mais il fallait dire que ce n'était pas chose simple. Je disais à Aurore que j'étais content de la voir, elle disait que s'était partagé et que je lui avais manqué. Il fallait dire que je ne l'avais pas revu depuis nos retrouvailles, j'avais juste pris de ses nouvelles par téléphone. - Toi aussi tu m'as manqué… je suis désolé de ne pas être venu te voir cette semaine… Effectivement, j'avais revu ma sœur une semaine après mon retour en ville, j'avais passé l'autre semaine à éviter tout contact avec les gens. Je continuais de lui sourire, Aurore me disait ne pas m'inquiéter car elle ne touchait plus à rien. C'était ce que j'aimais avec ma sœur, elle devinait toutes mes pensées sans même que je n'ai à dire quoi que ce soit. - Tu sais que tu si tu n'étais pas si douée pour écrire tu aurais pu devenir psychologue… Je lui disais cela avec humour, j'aimais toujours la taquiner, cela me faisait du bien. Puis Aurore me disait que maintenant lorsqu'elle était triste elle écrivait et comme j'étais son frère, elle voulait que je lises ses textes. - ça me touches… merci… Je lui souriais en coin puis je lui fis signe pour qu'on s'installe à la table où se trouvait mon ordinateur. Aurore me suivit, on s'installa donc et je commença à lire ses textes. Les deux chansons qu'elle avait écrits sur nous deux me touchaient, je souriais plus franchement. Je passa ensuite à la lecture de son autre chanson, elle parlait de notre mère. Aurore pensait toujours que notre mère était morte d'un cancer, ce qu'elle ignorait s'était qu'avant de partir j'avais surpris une discussion entre notre père et notre belle mère, notre mère n'était pas morte de maladie mais elle s'était suicidée car elle avait appris que notre père la trompait. - Ce que tu as écris est magnifique Aurore… Je releva la tête vers ma sœur, j'étais ému, j'avais les larmes aux yeux. Il fallait que je lui dises la vérité à propos de la mort de notre mère. - Écoutes… il faut que je te dises un truc à propos de la mort de maman mais ça risque de remuer le passé et de te faire du mal… Je soupira pour rassembler mon courage puis me lança. - Maman elle… elle s'est suicidée car papa la trompait avec Ursula… je voulais t'en parler mais quand je t'ai trouvé tu étais… Je ne pu terminer ma phrase, parler de tout cela remuait pas mal de choses, malgré le temps, cela restait douloureux et j'avais peur qu'Aurore m'en veuille, je ne voulais pas la perdre encore une fois. En effet, lorsque j'avais appris pourquoi notre mère était morte, j'étais parti trouver Aurore mais à mon arrivée, elle était inconsciente car elle avait fait une overdose. Je me souvenais que si j'étais arrivé plus tard, elle serait morte elle aussi.

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je prend sur moi et le regarde et lui dit
- Al'hôpital, tu m'avais demander pourquoi j'avais fait cela sur le coup j'ai pas pus te le dire mais maintenant je vais te le dire . avant de parlez avec papa, et que tu les surprenne elle est venu me voir et a dénigré maman, alors j'ai compris qu'elle n'était pas morte de maladie mais autrement et comme tu sais que j'était sensible, j'ai craquer.
je sais que je pouvais être faible et je le suis encore sur ce sujet mais l'écriture me rend un peux plus forte et je le doit dans mon métier.
je reprend à lui parler :
-je te dirait quelque chose autre qui s'est placé lors de ton passage à l'appart mais t'en fait pas je vais tous faire pour arranger les chose.
Je suis tellement heureuse que mon grand frère soit de retour car on se comprend même sans ce parlé

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Aurore & Wesley Trainor

J'étais venu au Starbuck car rester enfermé dans cette chambre d'hôtel que je louais depuis mon retour en ville n'était plus possible. Revenir dans ma ville natale était difficile, je pensais que s'était ce qu'il me fallait mais désormais il m'arrivait d'en douter. Des doutes, j'en avais tellement, je craignais que mes proches me voit différemment, je ne me voilais pas la face, ce que j'avais vécut au front m'avait changé, parfois je ne me reconnaissais pas. Aurore, ma petite sœur, ma moitié, mon tout. Elle était la seule vers qui j'étais revenu car je savais qu'elle ne me jugerait pas, qu'elle serait là quoi qu'il advienne. Au départ, elle m'avait reproché mon départ car elle avait eu besoin de moi suite à son overdose. On s'était disputés puis finalement réconciliés et lors de notre étreinte, son petit ami avait fait irruption pour ensuite croire que nous étions ensemble. Cela m'aurait fait rire si ça n'affectait pas autant Aurore, je voyais bien qu'elle était très amoureuse de ce Maximilien. Depuis j'essayais de la soutenir, je gardais la face devant elle même si intérieurement j'étais détruit. Ces cauchemars que je faisais chaque nuit me réveillait et me bouleversait même si je n'en parlais pas, même si je ne le montrais pas. Je venais de terminer mon cappuccino, j'avais besoin de plus de caféine dans le sang donc je m'étais levé afin de passer une nouvelle commande. Perdu dans mes pensées, je percuta involontairement quelqu'un. Je m'excusa naturellement puis releva la tête pour voir qu'il s'agissait de ma petite sœur. La voir me faisait chaud au coeur, j'avais envie de la prendre dans mes bras mais je n'osais pas et j'ignorais pourquoi cela avait changé. Je m'excusa tout de même de ne pas avoir donné signe de vie cette semaine. Ma sœur comprenait, comme toujours, elle savait ce que je pensais sans même que je n'ai à le lui dire. Je la taquina en lui disant que si elle n'était pas aussi douée pour écrire elle aurait pu devenir psychologue. Aurore me souriait tout en me donnant ses textes, elle voulait que je les lises et que je lui donne mon avis. On s'installa donc à la table à laquelle je me trouvais, j'entamais la lecture de ses écrits dans le plus grand silence. La chanson qui parlait de nous deux me touchait profondément, celle qui parlait de notre mère me bouleversait. J'étais sous le coup de l'émotion, je releva la tête sur ma sœur avec un sourire en coin. Ses textes étaient magnifiques, elle avait un potentiel énorme et j'étais extrêmement fier d'elle. Je le lui disais puis passa aux aveux, elle avait le droit de savoir la vérité sur la mort de notre mère. Je savais que s'était un sujet délicat, Aurore avait toujours eut du mal à s'en remettre. A vrai dire, je n'étais pas certain qu'elle puisse vraiment s'en remettre un jour. J'avais toujours était là pour elle jusqu'à ce que je m'en ailles subitement. Aurore ne semblait pas surprise, elle passa aux aveux à son tour en me révélant qu'elle savait déjà que notre mère s'était suicidée. Notre belle mère était passé à l'hôpital et avait dénigré notre mère ce qui lui avait mis la puce à l'oreille, suite à cela elle avait compris que notre mère n'était pas morte de maladie. Aurore venait de baisser la tête, je la connaissais par coeur et je savais qu'elle s'en voulait de ne pas avoir su me dire cela lorsque j'étais passé la voir à l'hôpital, juste après son overdose. - Je comprends pourquoi tu n'as rien dis… je sais que ça a était une période très dure pour toi… Je baissa la tête un instant, je me sentais encore coupable de ne pas avoir était là, s'était une chose que je n'arrivais pas à me pardonner. Je releva ensuite la tête et plongea dans les yeux de ma sœur. Elle me disait qu'elle avait quelque chose à me dire, une chose qui s'était produite après mon passage à son appartement. Elle me disait de ne pas m'en faire car elle allait arranger les choses. J'étais intrigué et inquiet à la fois, je haussa un sourcil dans l'incompréhension. - Qu'est-ce qui s'est passé Aurore ? Tu sais que tu peux tout me dire… Je venais de prendre sa main avec douceur. J'attendais qu'elle m'en dises d'avantage. Durant sept années je n'avais pas était là mais maintenant que j'étais de retour, je reprenais ma place de grand frère auprès d'elle. Quoi qu'il arrive, Aurore savait qu'elle pouvait compter sur moi pour la soutenir.

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je luis sourit et comme je sais qu'il est là pour moi je lui di
-je vit avec un homme depuis 2 ans. il est flic. mais le jour où tu a débarqué, il rentrais plus tôt pour être avec moi. malheureusement, il m'a trouver dans tes bras et il a crue que je le trompais et il est parti sans me parler. je luis ecrit un texte celui qui s'appelle ecoute ton cœur pour luis expliquer que tu etait mon grand frère. je l'aime ne t'en fait pas je ne referai pas la même erreur que pour la mort de maman mais j'ai besoin de toi alors ne me quitte plus . tu es ma force mon gf que j'adore
je me blotit dans ses bras, je suis si bien dans ses bras cela m'avais manquer .

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Aurore & Wesley Trainor

Rester enfermé dans cette chambre d'hôtel que je louais depuis mon retour en ville n'était plus possible. J'avais besoin de prendre l'air, de voir autre chose que ces foutus quatre murs. Je pris donc la décision d'embarquer mon ordinateur portable et d'aller au Starbuck. Avant mon départ, je venais ici presque tous les jours, j'adorais cet endroit et en arrivant là bas, je constata que l'endroit s'était bien modernisé en sept ans. Je souriais en voyant cela, je me commanda un bon café puis m'installa à une table. Depuis peu, j'avais commencé à écrire mes mémoires en espérant que cela m'aiderait à aller mieux. Pour le moment, on ne pouvait pas vraiment dire que les résultats était concluants, je restais très perturbé par ce que j'avais vécut. Cette nuit n'avait pas fait exception aux autres, je m'étais encore réveillé après un cauchemar. Cela m'arrivait toutes les nuits et à chaque fois je peinais à reprendre contact avec le monde réel. Malgré tout il le fallait, je n'avais pas d'autre choix. Je venais de terminer mon premier café, je me leva afin d'aller en commander un autre lorsque je percuta involontairement quelqu'un. Je m'excusa automatiquement puis releva la tête sur la personne que je venais de percuter, en reconnaissant ma petite sœur, un sourire apparu sur mon visage. Aurore, ma moitié, mon tout. Nos retrouvailles n'avaient pas était facile mais elle avait finalement accepté de me pardonner et la retrouver était important pour moi. Je m'en voulais toujours de l'avoir abandonné lorsqu'elle avait eu besoin de moi, une culpabilité avec laquelle je devais vivre, chaque jour. Je crevais d'envie de la prendre dans mes bras et pourtant, pour une raison que j'ignorais, cela m'était impossible. Je m'excusa tout de même de ne pas avoir de nouvelles cette semaine, ma sœur me comprenait, comme toujours. Je la taquina ensuite en lui disant que si elle n'était pas si douée pour écrire elle aurait pu devenir psychologue. S'était aussi cela que j'aimais avec Aurore, elle arrivait toujours à deviner mes pensées sans même que je n'ai à lui dire quoi que ce soit. On s'installa ensuite à la table sur laquelle se trouvait mon ordinateur, Aurore avait écrit deux nouveaux textes et elle voulait mon avis. Je me mis donc à lire ses textes, celui qui parlait de nous deux me touchait, l'autre parlait de notre mère. Je ne voulais pas casser l'ambiance mais il fallait qu'elle saches la vérité à propos de la mort de notre mère. Je lui avoua donc avec une certaine crainte que notre mère n'était pas morte de maladie mais qu'elle s'était suicidée. A ma grande surprise, Aurore le savait déjà, elle m'expliqua qu'après que je sois passé la voir à l'hôpital, suite à son overdose, elle avait compris ce qui s'était vraiment passé lorsque notre belle mère avait dénigré notre chère maman. Je comprenais pourquoi elle ne m'avait rien dit, de plus j'étais parti très peu de temps après sans même lui tendre la main. Une erreur que je ne me pardonnais toujours pas d'ailleurs. Aurore avait quelque chose sur le coeur, je lui demandais de me dire ce qu'il se passait. J'avais légèrement froncés les sourcils, inquiet pour ma jeune sœur. Cette dernière passa donc aux aveux, elle m'expliqua qu'elle vivait avec un flic depuis deux ans, qu'à mon retour, il nous avait vu entrain de nous enlacer et qu'il était parti sans rien dire car il pensait que nous étions ensemble. Je souriais sur le coup car s'était plutôt drôle de m'imaginer cela, après tout Aurore était ma sœur. Cependant, elle poursuivit sa tirade en me disant qu'elle lui avait écrit un texte, celui qui parlait de nous deux pour qu'il comprenne ce que je représentais pour elle. Elle ajouta que je ne devais pas m'inquiéter car elle était amoureuse de lui et qu'elle ne comptait pas refaire la même erreur qu'à la mort de notre mère. Je serra doucement sa main alors que je la regardais dans les yeux. - Je suis désolé Aurore… j'ai jamais voulu m’immiscer dans ta vie en revenant comme ça… Je marqua une courte pause puis reprit doucement la parole. - J'espère qu'il a compris à quel point tu tiens à lui car c'est évident que tu es dingue de lui et si il ne le comprend pas alors je serais là pour lui botter les fesses… Je lança un clin d’œil à ma sœur, souriant de nouveau. Aurore me disait alors qu'elle avait besoin de moi, me demandant de ne plus jamais la quitter car j'étais sa force. Elle se leva, j'en fis autant puis combla cette distance entre nous. Elle passa ses bras autour de mon cou, je passa les miens autour de sa taille et la serrant doucement contre moi. - Je ne t'abandonnerais plus… je te le promet… Je souriais doucement, l'émotion me gagnait. Pouvoir à nouveau serrer ma sœur dans mes bras était fabuleux, je pensais que cela ne serait plus jamais possible. Je sentais que j'allais craquer, pour la toute première fois donc je me détacha rapidement de ma sœur, les larmes au bord des yeux. - Je… je pense que je devrais y aller… Je lui souriais tout en fermant mon ordinateur que je pris sous mon bras. Je me sentais mal depuis que j'étais revenu et j'avais envie de m'effondrer, seulement j'étais trop fière pour le faire devant ma sœur. Je cherchais donc un moyen de fuir le plus vite possible, afin qu'elle ne me voit pas dans cet état de détresse.

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je sens mon frère triste et désemparé, je l'avais déjà ressenti quand il a réapparut dans ma vie alors je le retiens et lui dit
-je sais que tu a toujours voulu être fort pour moi, mais sache que tu peux me dire si tu n'es pas bien wes, tu est mon frère, et grâce à l'écriture et la musique je suis plus forte. alors reste et vient dans mes bras. pleure si cela te soulage, je suis là pour toi maintenant
je le prend dans mes bras, il se mets a pleurer, je l'aime tellement mon grand frère, je le considère comme mon jumeau, on a qu'a se regarder pour savoir ce que l'autre pense. on se blottit.

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» Parce qu'il n'a qu'avec toi que je me sens bien. ∞ Amanda
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» Parce que la vie, quand même, c'est un peu du bluff + James

Parce que tu es ma moitié et que je t'aime

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