Je ne pu m'empêcher d'afficher un petit sourire quand elle me fit remarquer que je croyais plus en elle qu'elle même ne le faisait. Et pour le coup, ce n'était pas peu dire. Parce qu'Alicia était quand même le genre de jeuen femme à énormément croire en elle même. Presque trop parfois ! Mais j'avais toujours aimé ça chez elle. Cette grande assurance. Surtout pour une jeune femme de son âge. C'est que je te trouve tellement parfaite, que je ne sais pas comment tu peux ne pas réaliser à quel point c'est vrai ... Je ne cherchais même pas à la complimenter pour lui faire plaisir et tout ça. Je ne faisais que lui affirmer ce que je pensais vraiment. J'aimais tout chez elle. Il n'y avait qu'une certaine immaturité qui arrivait parfois à me surprendre chez elle. Puis je me rappelais qu'elle était tellement jeune encore ... Et je finissais par trouver ça mignon et passais outre. C'était la seule chose à faire. Ce n'est pas comme si ça me dérangeait ou m'agaçait de toute façon ... Ca faisait partie intégrante d'elle. Alors forcément que ça me convenait. J'insistai encore en la complimentant sur son physique maintenant. Ca aussi je le pensais vraiment. Même si les premiers jours je m'étais fermé pour ne pas remarquer du tout cette beauté parfaite. Parce que c'était mal. Et que je ne pouvais tout simplement pas accepter de me laisser avoir par l'attirance qui, contre toute attente, avait bel et bien fini par me faucher.

Oh si ! Je sais que j'ai un charme fou ! Assurai-je avec un immense sourire d'ailleurs. Mais c'est vrai. C'est même pour ça que je pensais être un peu trop sûr de moi. Au point d'en devenir agaçant. Mais elle affirmait le contraire, pour des raisons que j'ignorais. Peut-être parce que je n'étais pas du genre à me vanter ni rien. Conscient, oui. Mais pas vantard. Certainement pas ! Ce fut tout naturellement que les choses devinrent carrément hot entre nous ensuite. Les baisers échangés se firent de plus en plus passionnés, exigeants, profonds. Nous étions en train de nous consumer et pourtant, il était hors de question d'abîmer sa jolie robe. Ou de lui filer froid aux fesses. Non on l'abîmera pas ... J'ai hâte de te l'enlever, une fois chez nous ... Soufflai-je tout contre ses lèvres, avant de les lui mordiller avec insistance. Ce fut toujours avec la même excitation, que nous prîmes ensuite la direction de ma voiture. La hâte était trop grande. L'impatience me rendait dingue. Et je savais très bien qu'il en allait de même pour elle. Que nous étions tous les deux dans le même état. Nous eûmes finalement tôt fait de trouver ma voiture et de grimper dedans. Elle sur moi, bien sûr. C'était à peu près la seule option compte tenu de la taille de ma caisse. C'était la première fois qu'un truc pareil m'arrivait alors je n'avais pas réfléchis à ce genre de problème avant.

Je ris aux éclats quand elle mentionna sa culotte. T'aurais mieux fait de porter un string. Mais t'aurais eus trop froid aux fesses, c'est ça ? Je ricanai contre ses lèvres et glissai mes mains sous sa robe. Heureusement, c'était de la dentelle. Franchement, la faire craquer ne devrait pas demander trop d'efforts. Même si c'était assez dommage de faire sauter de la lingerie pareille. Je me redressai un peu pour pouvoir la laisser me retirer ma veste et éclatai encore de rire à sa remarque. Normalement j'étais très galant. Surtout avec elle. Je passais mon temps à lui ouvrir les portes, à lui tirer sa chaise avant de s'installer à table ... Et là j'étais passé outre ce détail. Mais c'était en partie parce que je l'avais vite attiré à moi pour qu'elle se blottisse contre mon corps chaud. Elle avait même glissé ses bras directement sous ma veste. Alors je ne m'étais pas posé plus de question que ça. Et moi j'étais frigorifié aussi ! Rétorquai-je plus pour la taquiner qu'autre chose. Et bon sang Alicia, arrête de me faire rire dans un moment pareil. Ca me déconcentre. Heureusement, elle trouva le moyen de ramener mon esprit à elle. En m'embrassant et en ouvrant lentement mais sûrement ma chemise. Je grognai d'envie contre sa bouche et fini par attraper un côté de sa culotte pour tirer dessus. J'eus à me débattre un peu avec la dentelle mais elle fini bel et bien par céder, pour mon plus grand plaisir. Et moi de faire l'amour avec la petite stagiaire, dans ma voiture ... Je remontai mes mains sur ses fesses pour la plaquer plus fort contre moi. Tu te dépêches ou je fais le boulot moi même ? Grognai-je contre sa bouche, sourire au coin des lèvres.