(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Sam 12 Nov - 17:48
Fred était un cactus heureux. Comblé, couvert d'attention, d'amour et de cadeaux en tous genres. Il était gâté. Riley lui avait même tricoté un petit pull pour l'hiver. Après tout, les cactus étaient plutôt des créatures habituées à la chaleur et la sècheresse, pas le froid hivernal, le vent, l'air marin, tout ça. Fred était sensible, en plus de ça. Il avait un coeur, avait besoin d'amour et d'être protégé du monde cruel qui l'entourait. Riley vivait en compagnie de Fred depuis un long moment déjà. Sa propriétaire n'avait jamais voulu qu'il ait un chien ou un chat dans l'appartement, et lorsque Riley lui avait présenté son cactus de compagnie, elle avait gentiment accepté sa présence dans le fameux appartement. Riley lui en était très reconnaisant, et lui envoyait même parfois des photos de Fred... auxquelles elle ne répondait jamais. En tous cas, Fred était très photogénique, surtout pour un cactus, et Riley ne cessait de poser avec lui quand il le pouvait. Il n'était pas du genre à en demander trop, était plutôt silencieux, très calme, discret. Un amour. Depuis que Riley avait eu quelques ennuis, il se faisait du souci pour son petit Fred. C'était donc la raison pour laquelle Fred avait été confié à Isaac avec des instructions très précises quant au bonheur de Fred. Il ne fallait pas beaucoup le nourrir, ni le faire boire, il n'était pas compliqué de ce côté-là. Juste le mettre à un endroit où il serait heureux, peut-être accompagné de quelques autres êtres de son genre, comme des plantes par exemple. Ne pas le donner à des enfants ou des animaux, ça pourrait être dangereux pour Fred. Et lui parler un peu, lui dire bonjour au moins. Fred avait besoin de contact humain. S'il avait préféré la solitude, il serait resté dans le désert. Il ne répondait pas souvent, alors il n'y avait pas de risques de se retrouver embarqué dans une conversation interminable. Riley s'inquiétait souvent de la santé de son Fred, avait demandé desnouvelles à Isaac plusieurs fois. Son meilleur ami l'avait tenu au courant dès qu'il le demandait, lui avait même dit que Fred se trouvait dans la salle de bain, sur l'étagère, mais Riley avait bien évidemment oublié ce détail, surtout au moment où il choisit de poser son cul à cet endroit. Il hurla, et Isaac rappliqua pour lui annoncer qu'il avait réussi à se foutre le cul sur Fred. Riley hurla plus fort encore, demanda à Isaac de sortir le pauvre Fred de là. C'était tout aussi humiliait pour le cactus que pour Riley, et il fallait arranger la situation au plus vite. « Je peux te dire que vu la grosseur de Fred, si tu l'avais dans ton cul, tu le sentirais passer ! » lui sortit alors Isaac qui avait l'air plus amusé qu'inquiet. Riley était perdu, paniqué, il le sentait, il le sentait très bien même, persuadé que le cactus était encore accroché à son derrière. Lorsqu'Isaac eut la bonne idée de s'armer d'une pince à épiler pour sa charger lui-même du cul de Riley, ce dernier prit peur. Non non, il lui fallait un hôpital, avec un médecin, une table d'opération, une anesthésie, la totale. Les mains d'Isaac se chargeraient probablement très bien de ses fesses, mais tout de même. Au final, il n'eut pas le choix, parce qu'il n'était pas en état de se chamailler, etIsaax était décidé. Il fallait sortir tout ça du cul de Riley. La première extraction fut violente, à tel point que Riley hurla aussi fort qu'il le pouvait. Peut-être bien qu'il éxagérait un peu, mais merde, c'était vraiment douloureux. Puis malheureusement, c'était loin d'être terminé. « Je suis désolé Riley, mais pour l'épilation, on m'a toujours dit qu'il fallait tirer d'un coup d'un seul le poil pour éviter que la douleur soit plus longue, alors j'essais de faire au mieux » fit Isaac, semblant être réellement désolé. Mais Riley était presque sourd à ses paroles, n'écoutait pas vraiment ce que lui disait Isaac, trop concentré sur la douleur dans son arrière train... et la pince qui se fermait à nouveau autour d'une épine, prête à lui faire du mal. Riley demanda à Isaac d'arrêter, de le laisser souffler. « Ouais bah là j'ai pas le choix bro, je vais pas te laisser avec le cul rempli d'épines, faut bien te les enlever, donc si tu me laisses faire, plus vite on aura fini ! » répondit Isaac tandis que Riri se plaignait encore. Il décida de ne rien répondre, de simplement bouder dans son coin, en attendant la torture suivante, puisque de route façon il était condamné, et qu'en plus de ça Isaac avait un peu raison quand même. Il se remit à hurler cinq secondes après avoir admis cela, alors qu'une des mains glacées d'Isaac se posait sur sa fesse. « Tu vas moins faire le fier si j'attrape tes boules avec ma main gelée » fit alors Isaac en rigolant, comme si Riley n'était pas en train de vivre la pire épreuve de sa vie. Un peu de soutien lui aurait fait plaisir. « Laisse mes boules tranquilles » il grogna en réponse, avant de pousser un autre grognement lorsque Isaac tira une épine. « Putain, il a de ces épines Fred ! » lâcha Isaac, comme en contemplation devant les épines, ce qui n'amusait pas tant Riley. Il était un tout petit fâché contre son cactus, même si le pauvre Fred était déjà tout pardonné. Mais il n'allait tout de même pas se mettre à le complimenter sur ses épines là maintenant. Puis, ses couilles le démangeaient fortement, tout à coup, si bien qu'il s'inquiétait. Il espérait que celles-ci ne se soient pas frottées à Fred, parce que ce serait un autre problème encore. « Je pense pas que t'en ai sur les boules, ça doit être plus psychologique qu'autre chose le fait que ça te chatouille ! » le rassura Isaac, et certes, il n'avait pas tort, mais Riley irait vérifier ça plus tard, juste pour être sûr. Il interrogea ensuite Isaac sur l'état de Fred, inquiet de savoir ce qu'il était advenu de son cactus. « J'ai reposé Fred à sa place initiale, alors la prochaine fois, évites de poser ton cul sur l'étagère au risque de tuer Fred » plaisanta Isaac, ce à quoi Riley hocha solennellement la tête, parce que la santé de Fred lui importait beaucoup. « En plus t'aurais pu péter mon étagère » ajouta Isaac, et là, Riley répondit de suite. « Ahh non pas possible ! La dernière fois j'ai rajouté 7 vis en dessous pour pouvoir exprès m'asseoir dessus » Alors non, l'étagère ne risquait pas de céder sous son poids. Elle était bien solide. Après cela Isaac se concentra et termina de débroussailler les pauvres fesses de Riley, l'aspergea même de désinfectant. « Voilà, c'est bon, t'es libéré gros ! Maintenant si tu veux m'excuser je vais finir ce que j'avais commencé, à savoir, mon petit déjeuner » Isaac se mit donc à ranger,et Riley resta allongé pendant ce temps, reprenant son souffle, se remettant doucement de son traumatisme. Il avait peur de se lever et de réveiller la douleur. Après un moment, il se retrouva seul, alors que son meilleur ami était retourné dans la cuisine. Au bout d'un petit instant, il se leva lentement, et alla vite chercher un boxer, ayant décidé qu'il s'était assez baladé à poil pour le moment, et souhaitant protéger son derrière. « Riley, tu veux bien venir avec moi s'il te plaît, au risque qu'il ne t'arrive encore je ne sais quoi » appela Isaac alors qu'il venait de trouver quelque chose à se mettre. Riley descendit les escaliers le boxer à la main, et lorsqu'il fut arrivé en bas, il commença à enfiler son sous-vêtement tout en marchant, faillit même s'éclater la face contre le cadre de la porte, avant de lâcher un petit rire nerveux, et de passer la porte pour aller s'asseoir. Il rejoignit du coup Osaac dans la cuisine tout en remontant son boxer. « Ouh ouh ouh ça piiiique » fit-il d'une voix aiguë en mettant le boxer en place au-dessus de ses fesses sensibles. Il trouva au passage la tasse de café froid abandonnée et regarda le liquide, le sentit, puis haussa les épaules avant de commencer à le boire. Il hésita un moment avant de s'installer à table, puis choisit de tourner la chaise pour s'asseoir face au dossier, les fesses un peu en arrière et pas entièrement en contact avec la chaise. Il but une gorgée de café, puis adressa un énorme sourire à Isaac. « En tous cas, c'était le meilleur des mariages de ma vie ! On va être des maris heureux » il déclara.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Lun 14 Nov - 22:48
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
En voyant Riley marcher avec une telle difficulté, des épines plantées dans l'arrière train, je n'avais qu'une seule envie, éclater de rire. Clairement, c'était le genre de choses qui ne pouvait arriver qu'à lui. Je ne sais pas comment il faisait pour s'attirer de tels ennuis, mais ce n'était pas le genre d'ennuis habituels, non, chez Riley, c'était toujours dans l'excès et c'est sans doute pour cette raison que j'avais envie de rire. Parce que c'était toujours des situations totalement loufoques et complètement cocasse. Ah je peux vous dire qu'avec lui, on ne s'ennuyait jamais. Parfois, il devait se fatiguer lui-même à se retrouver dans de telles situations. Entre hier, avec sa pêche aux grenouilles qui avait été un véritable fiasco, au court de laquelle il avait fini par tomber le cul le premier dans l'eau, et maintenant, cet incident avec Fred. A croire que son cul n'avait pas de chance ce week-end. Quoi qu'il en soit, je me voyais mal le conduire aux urgences, d'ailleurs, je ne savais même pas comment j'aurai pu le conduire aux urgences, il ne pouvait ni enfiler de caleçon, ni s'asseoir, au risque de s'enfoncer les épines encore plus profondément dans la chaire, et je ne voulais même pas imaginer le mal que cela pourrait lui procurer. Et puis, faire venir les secours... Les faire déplacer pour ça, alors que je pouvais très bien le faire avec une pince à épiler. Dieu merci les épines ne ressemblaient pas aux gros cactus que l'on pouvait trouver dans les déserts arides. De plus, je pense que les urgentistes avaient plus grave à s'occuper que des épines dans l'arrière train de mon meilleur ami. Evidemment, ce dernier se tortillait dans tous les sens sur le canapé. Je pouvais le comprendre, mais à ce rythme là, j'allais passer la journée à m'occuper de son derrière, j'étais sûr qu'il râlait mais que secrètement il aimait bien ça le coquinou. D'ailleurs, il se mit même à râler quant à la température de mes mains, comme si je le faisais exprès d'avoir les mains froides. Du tac au tac, je le mis en garde que s'il me cherchait un peu trop, je risquais de m'occuper de ses boules, ce qui le calmait instantanément. Seulement voilà, Riley avait l'impression que ses boules le chatouillaient à tel point qu'il s'imaginait avoir des épines plantées dans ces dernières. Je devais avouer que là, je ne pus me retenir de rire face à ses idioties. Franchement, soit Riley le faisait exprès, soit le stress lui faisait perdre tous ses moyens et lui faisaient dire n'importe quoi. Attends, depuis quand t'as rajouté des vices à mon meuble ? le questionnais-je dans un premier temps avant de stopper tout mouvement. Attends, depuis quand tu poses ton cul sur mon meuble tout simplement ? Tu sais que ces étagères elles sont pas faites pour supporter ton poids, mais pour y poser tout ce dont j'ai besoin dans ma salle de bain, j'espère que t'es au courant de ça Denham ! m'exclamais-je. Ah je vous jure, ce mec, c'était vraiment un sacré numéro. Il était unique en son genre. Et en plus, il me disait ça avec une telle innocence. Comme si pour lui, c'était normal en fait de se poser sur une étagère. Ce n'est pas comme si le bois était fin en plus. Bon ceci dit, je me remis au travail, et Riley parvint à y mettre du sien pour me faciliter la tâche afin de terminer au plus vite de lui enlever toutes ces épines. Même si désormais il n'a avait plus aucunes épines il n'en demeure pas moins que son arrière train était rempli de petits points rouges. Je m'éclipsais trente secondes afin d'aller chercher du désinfectant pour pulvériser ce dernier sur ses fesses afin de lui soigner ces petites plaies microscopiques. Maintenant que j'avais enfin terminé tout ça, je quittais ma chambre pour retourner dans la cuisine afin de pouvoir enfin prendre mon petit déjeuner. Déjà que j'avais mal à la tête suite à la soirée d'hier soir, mais le fait de m'être concentré sur chacune des épines plantées dans les fesses de Riley n'avaient en rien arrangé mon mal de tête. Cependant, le fait de ne pas savoir où pouvait être Riley me laissait perplexe. Qu'était-il entrain de faire, encore. C'est pour cette raison que je lui demandais de me rejoindre, sait-on jamais. Tout en descendant les escaliers, ce dernier poussait des petits cris qui me faisait naturellement rire. On aurait dit une fille. Arrêtes de faire l'enfant Riley, lâchais-je en riant légèrement, portant mon mug jusqu'à mes lèvres pour boire quelques gorgées de mon café. S'il y avait bien une chose qui faisait du bien au réveil, c'était un bon café bien chaud, et bien corsé. Après avoir été interrompu par l'incident de mon meilleur ami, je comptais bien profiter de ce moment pour déguster au mieux mon petit déjeuner que je me rêvais depuis que je m'étais réveillé. Mais bien trop de péripéties m'en avais empêché, mais maintenant que c'était plus calme, il était temps de se poser, et d'émerger convenablement. Le grille-pain fit son petit bruit habituel, alors je me levais pour en récupérer les tranches de pain que j'avais mis à griller, puis refaisais une tournée au cas où mon meilleur ami en voudrait. Je me reposais à table pour tartiner ces dernières et commencer à manger, quand soudain, Riley remit sur le tapis notre mariage. Ah ça aussi, je l'avais presque oublié. Non c'était une image bien sûr, je n'avais pas pu oublier ça. On était vraiment bourré de conneries tous les deux. Il n'y en avait pas un pour rattraper l'autre en fait, et le pire dans tout ça, c'est qu'on se suivait, qu'importe les conneries, on se fichait royalement des préjugés, de ce que pouvait bien penser les autres de nous. M'en parles pas, c'était juste énorme ! J'en reviens pas, on ferait bien n'importe quoi toi, et moi, lâchais-je en riant avant de croquer dans ma tartine et d'apprécier cette dernière comme il se doit. Je me revois encore te demander en mariage, j'en peux plus de nous, franchement on aurait du demander aux filles de nous prendre en vidé sérieux, histoire d'immortaliser le moment, ajoutais-je tout en continuant de manger ma tartine. Bon par contre, je sais absolument pas comment on fait pour annuler un mariage, conclus-je en buvant mon café. Ma meilleure amie a dû me prendre pour un grand malade, je crois que c'est la première fois qu'elle me voyait dans un tel état, repris-je en repensant au moment où Arielle avait mit les pieds devant notre cellule, le regard noir, je crois qu'elle était vraiment pas contente. Bon, je tâcherais toutefois de lui envoyer un petit message pour m'excuser de mon comportement, et surtout de l'avoir réveillé à une heure aussi tardive à cause de mes conneries. Moi aussi, fallait que je relève tous les défis que l'on pouvait me lancer, voilà ce que c'était d'être un grand joueur.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Ven 18 Nov - 1:02
Riley braillait. Il hurlait, chouinait, pleurnichait. Certes, c'était du cinéma. Après tout, le métier d'acteur avait toujours beaucoup attiré Riley. Gamin, il faisait des pieds et des mains pour se voir offrir un petit rôle dans les films que sa soeur tournait avec ses copines. Souvent, il n'avait pas grand chose à faire, et Mischa aimait tout de même le blâmer à chaque fois que quelque chose ne lui convenait pas, même si Riley faisait exactement ce qu'elle lui disait. Il ne lui en avait jamais voulu, bien évidemment. Mischa était sa soeur préférée, alors tout ce qu'elle disait devait être pris en compte et médité. Malheureusement pour Riley, peut-être parce qu'il n'avait ni le talent ni la détermination nécessaire, il avait abandonné en grandissant ses rêves de gloire, se laissant faire par ses parents qui rêvaient d'autre chose pour lui. Au final, ils n'avaient pas vraiment réussi, car malgré les diplômes, Riley vendait des godes et accessoires sexuels en tous genres, entre toutes variétés de trucs vibrants et ustensiles SM. Il ne savait pas exactement ce que pensaient ses parents de ça, il n'en avait pas discuté avec eux. Sans doute que ça ne les enchantait pas, mais ils avaient certainement fini par abandonner, par réaliser qu'il était grand à présent et qu'il faisait ce qu'il voulait. Bref, tout ça pour dire que jouer la comédie était une des activités favorites de Riley, et c'était ce qu'il faisait en ce moment exactement, pendant que Isaac lui arrachait les épines du cul. Il cessa son spectacle au bout d'un moment, parce que ça durait longtemps, et ça faisait réellement mal, et que hurler comme ça lui grattait la gorge à force et le fatiguait tout simplement. Il se retenait comme il pouvait de gesticuler, de bouger dans tous les sens. Il cherchait à se distraire comme il le pouvait, en faisant la conversation à Isaac, en observant ce qui se passait autour de lui, en traçant avec son index les motifs du coussin qu'il tenait serré contre lui. Et voilà qu'il repensait à Fred, cette pauvre bête qui avait fait une rencontre traumatisante avec les fesses de Riley. Il demanda à Isaac ce qu'il avait fait du petit cactus, et son pote lui répondit simplement qu'il l'avait remis sur l'étagère, à sa place, avant de faire remarquer à Riley qu'en s'asseyant ainsi dessus, il aurait pu casser l'étagère. Là, Riley dut répondre, parce qu'il savait qu'Isaac avait tort. Il aimait cette étagère, elle était juste à la bonne hauteur, et de la bonne taille, et c'est comme si Isaac avait fait exprès de laisser une place vide pour les fesses de Riley. Comme si c'était un message, comme s'il avait envie d'avoir les fesses de Riri là, posées sur son étagère dans sa salle de bain. C'était compréhensible, après tout. Alors Riley avait ajouté non pas une, ni deux, mais sept vis sous cette étagère pour être sûr qu'elle tienne. Et elle tenait. « Attends, depuis quand t'as rajouté des vices à mon meuble ? Attends, depuis quand tu poses ton cul sur mon meuble tout simplement ? Tu sais que ces étagères elles sont pas faites pour supporter ton poids, mais pour y poser tout ce dont j'ai besoin dans ma salle de bain, j'espère que t'es au courant de ça Denham ! » La première question resta sans réponse, puis Isaac enchaîna, pour ne pas en obtenir du tout au final. Isaac avait l'air sérieux, et peut-être qu'on ne rigolait plus et que Riley avait fait une bêtise. Il baissa les yeux comme un enfant, affichant une tête de chien battu. « Je savais pas » il chuchota, avant d'ajouter, presque insolent si ça n'avait pas été innocent. « T'as toujours besoin de mes fesses, elles sont divines » Après cela, il se tut enfin, et laissa Isaac terminer dans le calme, jusqu'à ce que celui-ci annonce qu'il avait terminé, et retourne dans la cuisine. Il fallut un petit moment à Riley pour se lever, monter chercher un boxer, et redescendre en couinant un peu lorsque ses blessures étaient tirées dans un sens ou un autre. « Arrêtes de faire l'enfant Riley » lui lançait Isaac, et ça c'était drôlement facile à dire. Riley ne faisait pas l'enfant du tout, d'abord. Arrivé en bas, il entreprit d'enfiler le boxer en même temps qu'il marchait, manqua de se cogner à la porte, et arriva enfin sain et sauf dans la cuisine, tout en rangeant ses couilles dans son boxer face à Isaac qui buvait son café. Riley attrapa le café froid d'Isaac, et se mit à le boire, tout en s'installant à table, et relança le sujet de leur soirée inoubliable en parlant du mariage. « M'en parles pas, c'était juste énorme ! J'en reviens pas, on ferait bien n'importe quoi toi, et moi » Et Riley ne pouvait que hôcher la tête en souriant, tout en tartinant avec soin du Nutella sur sa tranche de pain. « Je me revois encore te demander en mariage, j'en peux plus de nous, franchement on aurait du demander aux filles de nous prendre en vidé sérieux, histoire d'immortaliser le moment » Il avait bien raison. Les parents de Riley avaient leur mariage tout entier enregistré sur une VHS. Alors peut-être que pour la VHS, ils s'en passeraient, mais la vidéo... c'était vraiment trop bête qu'ils n'y aient pas pensé. « T'étais trop charmant en vrai » commenta Riley, s'appliquant toujours avec sa tartine. Il fallait du Nutella jusqu'aux bords, sans jamais dépasser, c'était important. « Bon par contre, je sais absolument pas comment on fait pour annuler un mariage » il dit, et ça, Riley n'y avait pas pensé. Parce que se marier, c'était bien beau et drôle et génial, mais maintenant il était bel et bien lié à Isaac légalement, pour la vie, tout ça. Wow. Ils étaient officiellement un couple. Ca, c'était un peu bizarre, mais pas tant que ça au final. Ils avaient déjà beaucoup d'un couple, alors un peu plus ou un peu moins... Il haussa les épaules. « Moi non plus » fit-il, avant de croquer dans sa tartine de Nutella en poussant un gémissement de plaisir des plus obscènes qui soient. « Ma meilleure amie a dû me prendre pour un grand malade, je crois que c'est la première fois qu'elle me voyait dans un tel état » ajoutait Isaac, mais Riley ne relevait pas cette remarque, son cerveau étant resté sur la précédente, sur le sujet de leur mariage, de l'annulation de celui-ci, de leur couple, de leur avenir, toutes ces grandes questions. « Bro on a qu'à rester mariés. On est parfaits l'un pour l'autre » il proposa, la bouche pleine de pain et de Nutella. « T'façon j'ai personne d'autre à marier pour l'instant, alors voilà. T'es l'homme de ma vie. J'peux prendre ton nom même. Riri Fitzgerald. Ca m'donne l'air important, ça fait vedette de music-hall, c'est sexy » il partit dans son délire, sans se soucier de savoir si ce qu'il disait était compréhensible, avec sa bouche pleine. « M'enfin, j'crois faudrait quand même annuler le mariage, juste au cas où, on cherchera sur google » reprit-il en changeant radicalement d'optique. « Sinon on peut essayer, tu veux m'rouler une pelle pour voir ? » proposa Riley en riant un peu, ouvrant sa bouche pleine à ras-bord de Nutella et agitant la langue devant Isaac.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Dim 27 Nov - 12:03
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
Cette situation était tout bonnement loufoque. Le genre de situation à laquelle Isaac n'aurait vraisemblablement jamais pensé vivre un jour. Et pourtant, quand nous comptons Riley dans notre entourage, ce genre de situation aussi étonnante et inattendue soit-elle semblait si... Normale. Quand on connaît Riley du bout des doigts comme peut le connaître Isaac, ce genre de situation n'est plus aussi surprenante qu'elle en a l'air. Dans le fond, Isaac était mort de rire. Voir son meilleur ami avec des épines dans le cul, c'était vraiment quelque chose qui le faisait rire. Mais Dieu ce qu'il était doué, encore pire que ce qu'il aurait pu l'imaginer. Lui qui pensait prendre un petit déjeuner tranquille, et surtout émergé dans le calme le plus plat possible, et bien là... C'était raté. Surtout quand Riley ne cessait de brailler à chaque épine arrachée. Et puis, ce n'est pas comme si ce n'était pas assez délicat comme ça... Il ne faisait que bouger. Et vas-y qu'il se tortillait à droite, puis à gauche. Et le mal de tête d'Isaac qui ne voulait pas passer, c'était le pompom. Malgré tout, Riley parvenait à être drôle en toutes circonstances, fort heureusement. Par chance, le tatoué finit par prendre son mal en patience pour laisser son meilleur ami finir la torture qu'était entrain de supporter son arrière-train. Au final, une fois toutes les épines enlevées, on pouvait voir des picots rouges. Pleins de micro-plaies sur les fesses. C'était encore plus drôle. Bon, malgré tout, Isaac lui désinfectait les fesses parce que bon, sait-on jamais. Fred était loin d'avoir des épines d'une hygiène irréprochable, donc par conséquent, Isaac préférait mettre un peu de désinfectant. Après ça, il regagnait la cuisine pour enfin déguster comme il se doit son petit déjeuner. Autant il pouvait sauter un repas, autant à son sens, le petit déjeuner était le repas le plus important de la journée. Et puis, ce n'est pas comme si il mangeait deux-trois céréales et basta. Non, il avait prit la peine de se faire griller du pain dans le grille-pain, suffisamment pour que Riley puisse en manger aussi, puis il avait sorti beurre, confiture, nutella et miel, comme ça, il y avait l'embarras du choix. N'entendant pas un bruit, il demandait à son meilleur pote de le rejoindre. Non pas qu'il n'ait pas confiance en lui, mais pour éviter un nouvel accident qui le couperait une fois de plus dans son petit déjeuner, et surtout, il avait envie de se poser un peu, parce que là, l'after soirée, il l'assumait pas du tout. Heureusement qu'on était dimanche et qu'il n'avait absolument rien de prévu aujourd'hui. Quoi que dans l'absolu, il se serait senti obligé de décliner ce qu'il aurait eu de prévu, ne se sentant pas capable de sortir de chez lui. Il avait grand besoin de décuver, et surtout de dormir. Cependant, se retrouvant face à Riley lui rappelait la soirée d'hier soir, et les voilà repartit à se remémorer les moments forts de cette soirée. A côté de leur demande en mariage, la partie de billard c'était de la nieunieute. Isaac se revoyait encore à demander Riley en mariage, franchement, qu"elle mouche l'avait piqué hier soir. Et puis entre nous, c'était pour plaisanter lorsqu'il s'était mit à genoux, mais Riley y avait tellement cru, et puis au pire, un mariage, ça s'annule. Seulement l'ennui, c'est qu'il n'avait aucune idée de comment se déroule l'annulation d'un mariage, et manque de chance, il en était de même pour le jeune homme aux nombreux tatouages. Cependant, Riley trouvait ça presque normal de les savoir mariés, à tel point qu'il suggérait l'idée de rester marier. Chose à laquelle Isaac secouait négativement la tête montrant son désaccord. Il revint cependant sur son idée en jugeant plus sérieux de l'annuler. Et là, Isaac approuvait d'un signe de la tête cette idée beaucoup plus logique que la première. Mais... Riley ayant toujours une idée en tête, proposait toutefois à Isaac de lui rouler une pelle, peut-être que cela lui ferait changer d'avis. Putain Riley t'es dégueulasse ! s'exclamait-il avant de lui foutre sa demie tartine de nutella dans la bouche pour lui faire stopper ce mouvement de langue où y traîner des morceaux de tartines avec du nutella. J'en peux plus de toi Denham, ajoutait-il en rigolant tandis que son meilleur ami avait la bouche pleine. Au lieu de dire des conneries, manges donc, et rêves pour que je te roule une pelle. Te toucher le cul, ça va, faire l'hélicoptère avec nos bites aussi, mais y'a des choses qu'on peut pas faire gros, conclut-il en riant de plus belle face à tout ça. C'est vrai que même si par moment Isaac avait des allures de gays, il n'en demeure pas moins qu'il était à 100% si ce n'est à 300% hétérosexuel. Les femmes, c'était trop la vie pour lui. Il aimait les femmes, il le revendiquait, tout le monde le savait. Mais si ça te tiens tant à coeur de porter mon nom, tu peux toujours faire une demande à la mairie, en faisant ajouter le mien, reprit-il à l'attention du jeune homme, tout en croquant dans sa tartine au nutella, puis il prit ensuite sa tasse pour la porter à ses lèvres et boire son café. Au moins, on les considérerait vraiment comme des frères, puisqu'aux yeux d'Isaac, Riley était son frère.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Ven 2 Déc - 18:44
Riley avait vécu beaucoup d'épreuves en très peu de temps. En effet, en moins de vingt-quatre heures, il avait réussi à tomber tout entier dans le plan d'eau au milieu du parc, alors qu'il chassait illégalement les grenouilles dans le but d'en offrir une à une amie. Puis, le lendemain matin, il s'était assis sur Fred. Ses fesses nues sur ce pauvre Fred. Riley ne savait pas encore exactement lequel d'entre eux était le plus à plaindre, Fred le cactus, qui s'était fait écraser, qui avait eu le droit à une rencontre imprévue et très intime avec le derrière de Riley... Il y avait de quoi être traumatisé tout de même. Ou alors, Riley lui-même, qui n'avait rien prévu de tout cela et ne s'attendait pas du tout à ce genre d'évènement. Se faire enculer par Fred. Ils avaient une relation très complice, mais à ce point, peut-être pas non. Mais bon, même si sur le moment, c'était la sensation qu'il avait eue en sentant tout ça dans son petit derrière, Fred ne s'était pas aventuré à l'intérieur, et heureusement. D'ailleurs, ses testicules avaient une réaction étrange elles aussi, et Isaac s'empressa d'assurer à Riley que celles-ci étaient intactes. Heureusement d'ailleurs. A propos d'Isaac, lui semblait être enchanté. Il était le seul dans toute cette histoire à avoir échappé à l'évènement traumatisant, et Riley pouvait alors comprendre que cela le fasse rire. Puis, tout le monde n'avait pas la chance de pouvoir tripoter le cul de Riri de cette façon, alors vraiment, Isaac avait beaucoup de chance. Il ne s'en rendait peut-être pas compte, mais beaucoup de gens auraient rêvé être à sa place, tenir ce cul de rêve entre leurs mains. Riley eut le temps de se perdre dans cette réflexion, dans ces fantasmes, et se tut donc un moment pour laisser Isaac terminer de le charcuter. Lorsque son arrière train fut enfin libéré de toutes ces épines et désinfecté, aussi propre et doux qu'un cul de bébé, Isaac se leva et retourna prendre son petit déjeuner. Riley, laissé seul, monta donc pour chercher ses vêtements, un simple boxer à vrai dire, et redescendit lorsque son meilleur ami l'appela, prétextant que Riley seul n'était pas en sécurité. Il retourna donc dans la cuisine pour trouver Isaac installé à table, avec ses tartines et tout ce qu'il se bouffait le matin. Revint alors évidemment le sujet de leur mariage, parce que ça, ça avait été le grand moment de la soirée. Le best of, très probablement. Riley était enchanté par ce mariage, il avait toujours voulu se marier, et qui de mieux que son meilleur pote Isaac pour tenter cette expérience avec lui ? Ils faisaient presque tout ensemble, alors le mariage, vraiment, Riley ne s'imaginait pas le faire sans Isaac. Ce serait complètement dingue. Insensé même. Mais Isaac voulait annuler le mariage, et oui, peut-être bien que c'était une bonne idée. Riley ne savait pas trop, il n'avait pas d'avis, mais tout lui allait très bien tant qu'Isaac était heureux ! Ils pouvaient très bien divorcer ou rester mariés. D'ailleurs, Riley proposa cela, partant un peu dans son petit délire, s'imaginant marié à Isaac. Il continuait, puis revenait à la raison, avant de proposer à Isaac de lui rouler une pelle, ouvrant sa bouche pleine pour agiter sa langue. « Putain Riley t'es dégueulasse ! » s'exclama Isaac, tout en prenant sa tartine de Nutella et la fourrant sans attendre dans la bouche de Riley, qui se retrouva comme un idiot, la bouche ouverte et coincée dans cette position par l'énorme tartine qui l'empêchait de la fermer. Il tenta tout de même, et le basculement de la tranche de pain fit que celle-ci alla se coller contre son nez et une partie de sa joue, et rien n'était arrangé. « J'en peux plus de toi Denham » ajouta Isaac en riant, tandis que Riley essayait de comprendre comment se sortir de cette situation gênante. Il avait une tartine dans une main et sa cuillère dans l'autre, et n'avait pas envie de les poser pour retirer la tartine de Nutella avec ses doigts. Riley était du coup forcé de trouver une solution qui n'impliquait pas ses mains. « Au lieu de dire des conneries, manges donc, et rêves pour que je te roule une pelle. Te toucher le cul, ça va, faire l'hélicoptère avec nos bites aussi, mais y'a des choses qu'on peut pas faire gros » poursuivit Isaac, visiblement aveugle à la galère de son meilleur ami. Riley trouva enfin une façon de croquer un petit bout de la tartine, de l'avaler, et d'ainsi faire avancer le reste au fur et à mesure dans sa bouche, pour recommencer l'opération quelques fois jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien. Et enfin, sa bouche fut vide. « Mais si ça te tiens tant à coeur de porter mon nom, tu peux toujours faire une demande à la mairie, en faisant ajouter le mien » fit Isaac, avant de se mettre à boire de son café. « Pfff non » répondit Riley, en boudant, sans donner la moindre explication à cette attitude. Sans savoir pourquoi il boudait lui-même, sans doute parce que ça lui était venu comme ça. Il imita Isaac et trempa ses lèvres dans son café, avant de reposer la tasse et de lever la tête vers Isaac, un énorme sourire sur les lèvres. « T'sais je veux pas te faire peur mais on sait toujours pas on a fait quoi cette nuit ! Si ça se trouve t'as fait l'amour à une chèvre. Parce que bon... la capote allait à ta bite, pas la mienne, alors moi j'me dé-responsabilise complètement ça c'est sûr. J'ai juste un peu mal au cul, mais ça peut aussi venir de mon nouveau jouet, je l'ai essayé hier avant d'aller au parc, c'est un truc violet tout mignon qui vibre et qui brille dans le noir, genre un phallus phosphorescent ! » raconta Riley, tout en continuant à déguster ses tartines, ayant oublié le nutella qu'il avait sur le visage. « Il est énoooorme, mon anus a pas trop l'habitude, puis quand il vibre oouuuuh ça fait des sensations, c'est frétillant » fit-il en croquant dans sa tartine et en s'agitant un peu pour illustrer la fin de sa phrase. « J'te montrerai un jour » conclut Riley en baissant les yeux vers sa tasse de café avant d'en boire encore quelques gorgées.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Mar 6 Déc - 23:17
La clé du bonheur : trouver des amis avec la même déficience mentale que toi.
Cela faisait bien des années que je connaissais le tatoué, et je commençais clairement à me demander s'il n'était pas né sous une bonne étoile pour avoir autant de poisse que ça. Des gens poisseux j'en ai connu, mais des gens comme Riley jamais. Ce n'était pas possible qu'il puisse arriver autant de choses en une vingtaine d'année seulement. Des merdes, il en avait vécu, mais alors je devais avouer qu'elles étaient toutes aussi loufoques les unes que les autres. Par moment, je me demandais même comment il faisait pour que ça ne lui arrive qu'à lui. Non sérieusement, dites moi le nombre de gens que vous connaissez qui s'est accidentellement assit sur un cactus, non parce que le taux de probabilité reste faible quand même. Et bien, Riley fait parti de cette probabilité. Je peux vous dire que le jour où on aura des enfants, et bien, on en aura des anecdotes drôles à raconter. Non parce que je ne me priverais pas de raconter à mon enfant que son parrain s'est un jour assit sur son cactus de compagnie, c'était tellement marrant. Et puis, en y repensant, il n'y avait que Riley pour avoir un cactus de compagnie, parfois, je me dis que s'il le pouvait, il le baladerait même en laisse... Non parce que n'oublions pas qu'il communique avec Fred comme il pourrait communiquer avec n'importe qui, et qu'il s'est inquiété de l'état de Fred, avant même du sien comme ferait une personne normalement constituée lorsqu'elle aurait éventuellement écrasé la patte ou la queue de son chat. Peut-être venait-il d'une autre planète ? C'était peut-être un extraterrestre. Quoi qu'il en soit, qu'est-ce que je pouvais me poëler avec elle. Et puis, il n'y a qu'avec lui que je pouvais être totalement naturel, puis Arielle aussi, mais encore là c'était différent. Disons qu'avec Arielle, je ne pourrais pas faire l'hélicoptère ou jouer à Star Wars avec ma queue. Ou aller à la pêche aux grenouilles comme nous l'avions fait hier. Oui, n'oublions pas cet épisode qui avait d'ailleurs débuté notre soirée. En revanche, Arielle comme moi n'aurions jamais eu l'idée d'aller à la pêche aux grenouilles contrairement à Riley. Ah je peux vous dire qu'avec lui, j'en faisais des choses, des choses totalement hors du commun, des choses auxquelles je n'aurais jamais pensé faire auparavant. Mais à croire qu'avec Riri tout était réalisable. La preuve, on avait quand même réussi à se marier sous l'emprise de l'alcool. Je veux bien avoir fait le con en le demandant en mariage, mais mes autres potes n'auraient jamais accepté contrairement à Riley. Et le plus drôle, c'est que c'était rapidement passé dans le blog de Nightmare qui s'était empressée de nous faire passer pour deux gays. Bon, j'avoue que parfois, on pouvait se poser des questions sur notre sexualité, mais on savait pertinemment qu'on rigolait lui et moi. Riley c'était comme mon frère, et puis même si c'était un chouette type, j'aimais trop la gente féminine pour virer de bord, bien que je sache que lui était pansexuel et que qu'importe le sexe, du moment qu'il y avait l'affection le reste il s'en fichait pas mal. Mais bon il savait pertinemment que moi je n'étais pas comme ça. Mais bon, cette petite nuit avait été drôle. Encore une fois, ça serait des souvenirs à raconter plus tard. Même si je restais persuadé que même dans dix ans, lorsque l'on raconterait cela on passerait pour des dingues, mais on se fichait tellement de ce que pouvait penser les gens. Cependant, si on savait ce qu'il s'était passé hier soir, quant à cette nuit, c'était le black out total. On ignorait toujours ce que nous avions pu trafiquer. Et Riley revint sur le sujet en me mettant d'avantage le doute. Je commençais vraiment à croire que j'avais pu entrer ma bite dans son cul, et rien que cette image je me mis à grimacer spontanément. Surtout avec les détails de ce dernier qui essayait de se décharger de toutes responsabilités. Il se mit cependant à me rassurer quant à son mal de cul, toutefois, je me serai bien passé de ses détails qui à son sens semblaient être important. Alors à titre informatif, si vraiment j'avais enculé une chèvre, je peux te dire que ça sentirait la biquette dans tout l'appart abruti ! m'exclamais-je en riant avant de croquer dans ma tartine et de la manger, tandis qu'il reprit la parole pour me parler de l'objet qu'il avait acheté, et plus précisément les sensations que cela lui procurait. Je baissais le visage passant une main sur ce dernier d'un air désespéré. Euh tu me montreras quoi ? L'objet ou toi qui jouis en te fourrant ton bordel violet dans le cul ? Non parce que quoi qu'il en soit, vraiment, je veux voir ni l'un ni l'autre, je te laisse dans ta plus grande intimité, rétorquais-je en riant de plus belle avant de terminer mon petit déjeuner, et de me lever pour le porter à l'évier, et lui passer un coup d'eau chaude pour dégrossir. Honnêtement, vu mon état actuel, je n'avais aucunement envie de me casser la tête avec la vaisselle. En plus, on était dimanche et je n'avais prévu d'inviter personne donc c'était réglé. Puis ce n'est pas Riley qui allait dire quoi que ce soit alors qu'il était comme moi. Une partie de play, ça te tentes, ça me semble pas mal pour décuver ! lâchais-je en me jetant sur le canapé, m'emparant de mon téléphone portable pour découvrir pleins de photos sur ce dernier, les photos qu'avait sans doute prit Arielle. Oh mon dieu, mates les gueules qu'on se paye gros ! lançais-je en lui montrant l'écran du téléphone pour qu'il vienne voir les gueules qu'on avait, et clairement on était vraiment, mais vraiment pas frais du tout que je me mis à rire, je me reconnaissais même pas. J'étais une épave, je me demande même comment j'avais réussi à faire toutes ces conneries en une même soirée avec autant de gramme dans le sang.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) | Sam 10 Déc - 23:52
Etre marié à Isaac était un exploit, le rêve d'une vie réalisé. Riley adorait ça, c'était drôle, excitant, tout nouveau. Il ne s'était jamais marié avant, et il était très heureux d'avoir testé quelque chose de nouveau, avec son meilleur ami en plus. Alors, avec tous les évènements de cette soirée de malades, Riley s'installait là à table en se disant que le plus beau moment avait été le mariage. Il avait adoré ça ! Bien évidemment, il relança donc la conversation là-dessus, sur leur union, et Isaac semblait être de son avis, ça avait été génialissime. Seulement, il fallait à présent penser à la suite. Annuler le mariage, mais comment ? Aucun des deux ne semblait savoir comment s'y prendre, et sans doute que la meilleure chose à faire serait de se rendre au bureau où ils étaient allés pour signer les papiers, et demander comment annuler cette connerie. Peut-être même qu'on leur dirait que c'était impossible, et qu'il aurait fallu réfléchir avant. Et dans ce cas-là, ce serait vraiment drôle. Enfin, peut-être pas tant que ça, car si Riley prenait un peu trop tout à la rigolade, ce n'était pas le cas d'Isaac qui savait reconnaître les situations problématiques. Alors Riley proposait de rester mariés, de tester leur compatibilité en se roulant une pelle, ce qui fit presque hurler Isaac, tant l'idée lui semblait immonde. Oops alors, pas de bisou pour Riri. Bref, Riley était à peine déçu, mais tant pis, il s'en remettrait d'ici cinq petites minutes. Alors au lieu de se prendre la tête, il fit déjà de son mieux pour se débarrasser de l'énorme tartine de nutella que Isaac avait coincée dans sa bouche. Et lorsqu'il fut enfin capable de parler, il revint sur leur nuit de folie, et les évènements mystérieux qui avaient constitué celle-ci. Il partait alors dans son discours, se laissait porter sans vraiment chercher plus loin et sans réfléchir. Il avait juste beaucoup de choses en tête et les laissait donc sortir librement de sa bouche, allant du sujet de la capote, à son mal de cul, puis à son dernier sextoy phosphorescent. Alors à titre informatif, si vraiment j'avais enculé une chèvre, je peux te dire que ça sentirait la biquette dans tout l'appart abruti ! commenta Isaac, tandis que Riley restait dans ses pensées remplies de phallus en plastique. Riri continua à détailler ses récentes epxériences avec son nouveau jouet, ce qui ne sembla pas vraiment plaire à Isaac, mais Riley e s'en rendait pas compte et terminait en déclarant à son pote l'air de rien qu'il lui montrerait un jour. Euh tu me montreras quoi ? L'objet ou toi qui jouis en te fourrant ton bordel violet dans le cul ? Non parce que quoi qu'il en soit, vraiment, je veux voir ni l'un ni l'autre, je te laisse dans ta plus grande intimité, répondit Isaac en riant, et au moins c'était clair. Riley n'aurait pas à lui montrer le phallus phosphorescent, en utilisation ou non. Ca n'intéressait pas Isaac, et c'était compréhensible puisque son meilleur ami n'aimait pas tout ce qui concernait le plaisir anal. En effet, Isaac était hétéro (malheureusement) et se mettre des choses dans le cul, ce n'était pas son truc. Riley lui avait posé la question un jour, parce que l'hétérosexualité n'empêchait pas de prendre du plaisir à cela, mais non, nope, ce n'était pas le cas d'Isaac. Bref, tout ça pour dire que la conversation prit fin à cet instant, avec le petit « Okay » un peu déçu de Riley. Isaac se leva une fois le petit déjeuner terminé, et débarrassa ses affaires, suivi de Riley. Une partie de play, ça te tentes, ça me semble pas mal pour décuver ! proposa Isaac, tout en se laissant tomber sur le canapé. Et ouais, c'était une bonne idée, même si Riley était un peu nul aux jeux vidéos. Enfin, ça dépendait lesquels. Il assurait pas mal aux Sims. Le reste, c'était un peu moins son truc. Mais avec Isaac de toute façon, il s'en fichait de gagner ou non. Il hocha vivement la tête en rejoignant son meilleur ami sur le canapé. Oh mon dieu, mates les gueules qu'on se paye gros ! lui lança alors Isaac, les yeux sur son téléphone. Riley, curieux, se pencha pour admirer une superbe photo de la veille. Wow, ils étaient sexy. « T'es salement bandant ! Ehhhh c'est trop cute t'as un oeil pas aligné avec l'autre on dirait !! » Et Riley pouvait parler, car franchement, il n'était pas beaucoup mieux lui, avec ses yeux rouges explosés par un peu trop de fumette. Il s'empara complètement du téléphone et en quelques clics, la photo se retrouvait en fond d'écran du portable d'Isaac. « Voilà. On joue ? » fit-il en rendant à Isaac son téléphone, un sourire satisfait sur les lèvres.
FIN.
Contenu sponsorisé
(#)Sujet: Re: remember what happened last night. (RISAAC) |