(#)Sujet: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Mer 7 Sep - 17:30
giving my all to you
OREL & ERWAN
Il ne se lasserait jamais de se réveiller à côté d'Orel, dans ses bras, contre lui. Et pourtant c'était le cas tous les matins. Depuis qu'il avait dit oui à Orel, les choses entre eux se passaient à merveille. Ils étaient comblés, heureux. Erwan n'aurait jamais cru il y a encore quelques mois qu'Orel puisse l'aimer, avec toutes les cicatrices sur son corps, les marques qui clairement prouvaient que d'autres étaient passés par là avant lui. Malgré le tatouage, l'inscription dans sa peau qui le disait appartenir à un autre. Malgré tout ça, Orel aimait Erwan, il ne voulait pas l'abandonner. Depuis ce jour-là, celui de la demande en mariage, celui où Orel avait vu les trois lettres tatouées sur son corps... le jour où il lui avait fait l'amour si fort qu'Erwan avait cru exploser, ils avaient passé de superbes nuits ensemble. Des moments magiques et inoubliables, doux et tendres. Mais la bête qui avait pris possession d'Orel ce jour-là ne s'était plus montrée, ou alors que très brièvement, avant de retourner dans sa cage, dans son enveloppe délicate. Pourtant, plus les jours passaient et plus Erwan en rêvait. Le déclic avait eu lieu ce jour-là, et depuis, il était hanté par celui-ci. Il n'arrivait pas à le comprendre, à l'expliquer, et il ne l'assumait clairement pas. Il n'avait donc jamais osé en parler à Orel, n'aurait pas su comment. Il ne savait pas et n'avait pas trouvé de moment idéal pour lui en parler. Comment lui expliquer qu'il avait envie de perdre tout contrôle dans ses bras ? Qu'il avait envie de satisfaire Orel, envie d'être utilisé pour son plaisir, envie de mourir d'épuisement dans ses bras ? Erwan avait eu une éducation sexuelle assez extensive, mais dans un sens assez précis qui ne l'aidait pas à comprendre ses propres désirs. Au contraire, on n'avait jamais pris la peine de faire attention à ceux-ci, on lui avait vite fait comprendre qu'ils ne comptaient pas, qu'ils n'étaient pas importants, et que si Erwan en avait ou non, cela ne changeait rien. Et le voilà qui se trouvait aujourd'hui très confus face à ce qu'il éprouvait, ce dont il avait envie. Ca n'avait pas de sens à ses yeux, de vouloir avec Orel autre chose que de la tendresse à l'état pur, de demander quelque chose qui ressemblait presque à ce qu'il avait vécu durant trois ans. Ca n'avait pas de sens de désirer cela. Pourtant, quand il s'était retrouvé seul tout un après-midi, il avait cherché sur son ordinateur jusqu'à trouver un article sur un acronyme qu'il avait vaguement entendu sans en connaître la définition exacte et le voilà qui avait cliqué sur le lien, quatre petites lettres, BDSM. Dans ses recherches il avait ainsi découvert une multitude de choses qui lui semblaient étranges, d'autres qui ne lui donnaient pas du tout envie et qui lui rappelaient plus de mauvais souvenirs qu'autre chose, et d'autres encore qui l'intriguaient assez. Il avait passé plusieurs heures devant son écran, à s'intéresser à tout ça, à même imaginer Orel prendre soin de lui de cette façon, puis il s'était subitement retrouvé face à une vidéo un peu trop explicite pour lui, avait paniqué, s'était dépêché de tout fermer et d'effacer l'historique. Après ça, il avait longuement réfléchi. Etait-ce une bonne idée de vouloir s'aventurer sur ce terrain-là, ou fallait-il mieux oublier tout cela ? Et encore ce matin, alors qu'il sentait Orel se réveiller à côté de lui, Erwan y songeait, se posait la question. En réalité, il avait terriblement envie d'en parler à Orel. Depuis qu'il s'était aventuré sur internet, son désir de tenter de nouvelles choses avait augmenté radicalement. Il avait vu des choses excitantes, renversantes, qui lui faisaient envie. Il savait que ça plairait à Orel, il le connaissait assez pour ça, et la dernière fois en avait été la preuve. Alors il se décida. Il se tourna doucement vers Orel. « Orel » il souffla son prénom pour attirer son attention. « J'ai quelque chose à te demander » il ajouta, toujours en chuchotant, comme s'il allait lui avouer un secret. Il ne savait absolument pas comment s'y prendre, quels mots utiliser. C'était trop étrange, d'avouer tout ça. « Je... umm... je... j'aimerais bien qu'on... je veux dire, je voudrais essayer... » il passa sa langue sur ses lèvres, ne trouvait pas les mots et ça l'agaçait au plus haut point. « J'ai envie que tu me soumettes à toi, je veux t'avoir sur moi et te laisser tout le contrôle, j'ai envie que tu m'utilises et que tu me fasses des choses et... » il se mordit la lèvre, son coeur battait si fort, il avait peur de dire des bêtises. « Je sais que tu as fait attention parce que je suis... moi... mais j'aimerais bien... tester » Tester quoi, il ne l'exprima pas, mais cela semblait être plutôt clair, ne nécessitait pas plus d'explications. Il releva ses yeux pour affronter le regard d'Orel, hésitant, attendant sa réaction.
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(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Mar 20 Sep - 12:45
Giving my all to you
feat. Orel && Erwan
Bordel de merde je sens l'hiver qui arrive et j'aime clairement pas du tout ça... Nan mais qui a eut l'idée saugrenue d'inventé une saison où tu te gèles les parties pendant 4 mois. Ouai car de automne à fin hiver, je me met en mode yéti. Clairement pour faire simple, ça donne : Orel qui reste sous la couette et qui met trois mille couches de vêtement. Orel grognon et qui se plains tout le temps. Orel qui a le rhume tout le temps. J'aime paaaas le rhume ! J'ai horreur de ça. Quand t'es malade, t'es mou et quand tes mou tu peux pas baiser et quand tu peux pas baiser t'es pas content ! Bon... heureusement, je suis enfin sortis de mon putain de rhume de merde – jusqu'au prochain – et donc j'ai pu me rattraper en faisant l'amour à mon fiancé. Ouai, mon fiancé ouai ouai. C'est qui ? Le plus chou et le plus mignon et surtout... le plus patient de tous les jeunes hommes de l'univers. Car je ne sais pas comment Erwan fait pour me supporter, mais je suis pas du tout cool en ce moment. Je râle tout le temps, je l'envoie chier en parlant du nez et je suis pire que colle glue.. et la seconde d'après je suis pas colle glue. Bref, le pauvre quand même. Bon je lui dirais jamais ça. Question de fierté quand même. Je lui ai acheté une bague, histoire d'officialisé, enfin une chevalière et il l'a accroché en pendentif autour de son cou. Il est trop beau, surtout quand il est nu avec seulement ça autour du coup.. ça m'excite encore plus. Car avec ça, il est vraiment à moi, il est mien. Et bordeeeel quand il fait froid comme ça, l'envie de me réchauffer à coup de rein violent me titille. Maiiis je me retiens, car je sais comme mon amour est sensible.. puis lui faire l'amour avec passion est tendresse me convient aussi, car.. dans tous les cas c'est fort. BORDEL JE DEVIENS CLAIREMENT NIAIS !! Porte tes couilles Orel, t'es un bonhomme ou pas ?
Je suis réveiller depuis un bon moment déjà.. en même temps j'avais encore une fois la moitier de la couverture sur moi. Erwan bouge tout le temps dans son sommeil, hanté toujours pas des mauvais rêves. Ils sont de moins en moins fréquent, mais du coup je me retrouve souvent à me cailler les miches. J'aime bien juste rester là, les yeux fermer à me réveiller tranquil. J'en profite pour garder Erwan prêt de moi, même si je sais qu'il est déjà réveiller. Je finis par me rendormir un peu, jusqu'à ce que je sente mon fiancé bouger près de moi, se blottir contre moi : « Orel » je bouge les paupières. Je pose ma main sur son épaule, l'entourant de mon bras pour lui témoigner qu'il a mon attention et j'ouvre doucement les yeux, le regardant alors, mon air fatiguée et rabougri sur le visage, témoignant que j'ai froid et que... beh.. c'est pas cool : « J'ai quelque chose à te demander » ajouta-t-il en chuchotant. Je hausse un sourcil, me demandant ce qu'il va encore me sortir et je le laisse continuer : « Je... umm... je... j'aimerais bien qu'on... je veux dire, je voudrais essayer... » hein ? Mais de quoi il me parle ? Je me redresse un peu et le regarde avec insistance : « Mais de quoi tu parles bébé ??? » dis-je d'une voix endormis. Erwan se passe la langue sur les lèvres et en cet instant je comprend direct que cela va avoir un rapport avec du sexe. « J'ai envie que tu me soumettes à toi, je veux t'avoir sur moi et te laisser tout le contrôle, j'ai envie que tu m'utilises et que tu me fasses des choses et... » Clairement... je bug. Je sais même pas comment la conversation est venue à ça... beh en faite c'est même pas une conversation vu que... j'avais encore rien dit de plus... je reste choqué abasourdie : « Je sais que tu as fait attention parce que je suis... moi... mais j'aimerais bien... tester » Erwan remonte son regard vers moi, clairement intimidé et maladroit. Je le trouve trop mignon mais je ne sais pas trop quoi répondre : « Beh heu.... enfin... je comprend pas » ridicule tu as pas mieux. Je sens mon excitation monté, et clairement je bande comme pas possible. Erwan a vraiment le don de m'exciter.. je me redresse, me mettant assis sur le lit et regarde devant moi un moment : « Ce que tu es en train de me dire... c'est que tu veux que je te.. baise ? Comme je.. enfin pas que j'aime pas te faire l'amour hein.. mais comme j'aimerais te le faire ?? Comme je le faisais avant qu'on se revois ?... c'est ça que tu veux... ? » je me retourne vers lui, caressant sa joue, l'air inquiet : « Bébé... j'en meurs d'envie mais... mais tu es vraiment sûr ? Je ne veux pas que.. que tu sois traumatisé » je pouffe de rire un peu, exagérant limite et passe mon pouce sur sa lèvre, imaginant déjà un tas de chose si bon.. mais si sale dans ma tête d'un coup si bien réveiller, tout comme mon corps.
(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Mer 21 Sep - 20:17
Il fallait lui en parler. Il n'y aurait pas de bon moment pour ça. Autant en parler de suite. Non, il n'y aurait pas de bon moment, pas au petit déjeuner, pas dans la salle de bain, pas pendant qu'ils seraient en train de faire l'amour, certainement pas. Ce serait toujours un mauvais moment pour parler de ça, alors autant le faire de suite, là dans le lit, au réveil. Ca le travaillait depuis assez longtemps pour qu'il décide à présent de dire fuck et de se lancer. Au pire... au pire Orel se moquerait de lui, lui dirait qu'il parle de choses idiotes. Ou alors, il le regarderait bizarrement et lui dirait d'arrêter de penser à ce genre de conneries. Qu'avec l'enfer dont son corps portait les traces, il ferait bien mieux de ne pas s'aventurer dans ce genre de choses, de ne pas s'imaginer qu'il avait le droit de penser ce genre de choses. Mais peut-être qu'Orel, ça lui ferait plaisir, alors oui, Erwan allait lui poser la question. Ce serait probablement un peu difficile, mais il y arriverait. Il avait traversé des épreuves bien plus compliquées, des choses beaucoup plus difficiles. Il y arriverait. Alors il prononça son prénom, celui d'Orel qui était couché là à ses côtés. Il sentit la main d'Orel autour de ses épaules, vit ses paupières se lever doucement. Il avait toujours une drôle de tête en se réveillant, n'était pas vraiment du matin. Pas du tout du matin. Et il avait un sale caractère en prime, mais Erwan savait que ce n'était pas méchant, ce n'était pas contre lui. C'était juste Orel avec ses petits défauts. Alors il poursuivit, hésita longuement, se reprit maintes et maintes fois. Orel se redressa, le fixa un peu plus, parce qu'avec tout ça, Erwan n'avait toujours pas posé sa question. « Mais de quoi tu parles bébé ??? » insista Orel, le pressa. Erwan aurait voulu lui dire de se taire, qu'il était en train de se concentrer, qu'il fallait le laisser se concentrer. Et enfin, il parvint à se lancer, à trouver ses mots et son courage, et à dire ces choses-là à Orel. A mettre en mots ce dont il avait envie. Lorsqu'il eut terminé, il regarda Orel un moment, attendant sa réponse. Rien ne venait. « Beh heu.... enfin... je comprend pas » Oh. Erwan se décomposa un peu en entendant ça. Orel ne comprenait pas, enfin, il comprenait surement mais ne voulait pas faire de mal à Erwan en refusant, tout simplement. Ou alors, Erwan parlait encore de quelque chose qu'il ne connaissait pas, peut-être que tout ce qu'il avait vu sur internet était faux, que personne ne faisait ça pour de vrai. Ca expliquerait bien des choses. Il regarda alors Orel s'asseoir dans le lit. « Ce que tu es en train de me dire... c'est que tu veux que je te.. baise ? Comme je.. enfin pas que j'aime pas te faire l'amour hein.. mais comme j'aimerais te le faire ?? Comme je le faisais avant qu'on se revois ?... c'est ça que tu veux... ? » Et... oui, plus ou moins, ça devait être ça, alors Erwan hocha la tête. « Bébé... j'en meurs d'envie mais... mais tu es vraiment sûr ? Je ne veux pas que.. que tu sois traumatisé » répondit alors Orel, avec un rire, passant son doigt sur la lèvre d'Erwan qui ne réagissait pas. Il y eut beaucoup de choses qui traversèrent l'esprit d'Erwan en entendant cela. Une réplique trop sarcastique pour passer la barrière de ses lèvres, celle qui disait que de toute façon il était déjà traumatisé, alors Orel pouvait y aller pour tenter de rendre les choses pires. Ce qui n'était qu'à moitié vrai, parce que s'il y avait une personne sur Terre qui avait le pouvoir de le briser en un claquement de doigts, c'était bien Orel. Puis le fait que de telles choses, il en avait déjà vécues, que des centaines d'hommes étaient passés par là avant Orel... mais son petit ami n'était pas encore au courant de ça, et ce n'était pas le moment de lancer le sujet. « J'ai lu des trucs... BDSM, ça s'appelle. J'ai envie que tu fasses ça. Que tu m'attaches et que tu me fasses mal, et tout ce que tu voudras, et que tu me fasses l'amour très fort » il répondit, parce que oui, il était sûr et certain. Il avait envie de ça. « Mais j'ai envie de te voir, ok, que tu sois face à moi, et que tu me dises que tu m'aimes » il ajouta, ambitieux dans ses désirs, parce que s'ils faisaient ça, il fallait que ce soit parfait, et pour que ce soit parfait, Erwan avait besoin de sentir qu'il était aimé, il avait besoin de le sentir et de le voir. Il s'approcha un peu, doucement, déposa timidement un petit baiser chaste sur les lèvres d'Orel. « Alors... tu veux ? » il demanda, sans vraiment oser croiser son regard, préférant regarder ses lèvres, puis finalement, il leva tout de même ses grands yeux verts vers ceux d'Orel pour lire la réponse dans ses yeux.
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(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Mer 19 Oct - 12:43
Giving my all to you
feat. Orel && Erwan
Vous voyez un cul sur le sol ? Beh c'est le mien.. je suis sur le cul et je ne sais pas comment réagir. Mon mec.. mon amour.. mon fiancé, vient en gros..non en faite, bien clairement il vient de me demander de le baiser jusqu'à plus pouvoir respirer. Enfin, c'est comme ça que je le perçoit.. Je sais pas comment le prendre. Il se moque de moi ? C'est un putain de test pour voir si je suis encore un malade du sexe brutale ? Maiiiiiis ouiiii bordel ! Mais faut pas dire. Faut pas dire faut pas dire. J'aime mon bébé, ouais je l'aime comme un putain de dingue et j'adore lui faire l'amour sensuellement, tendrement et passionement. Entendre ses gémissements dans un souffle et en écho dans le creux de mon oreille. Le sentir me serrer contre lui.... Mais ouai j'avoue ouais... Parfois des images bien plus salaces et perverses viennent s'imposer à mon esprit. Je fais pas exprès vas-y ça s'impose à moi comme ça !! Mais bon, je compense. J'ai repris le sport ça me défoule quand j'ai des envies de claquement de peau. Mais là...je m'y attendais clairement pas. Je suis assis sur notre lit, et je bande en plus.. clairement je bande sec. Je passe ma main dans mes cheveux en regardant devant moi essayant de contrôler mes pulsions. Ouai ça fait clicher de dire ça, ça fait même carrément le mec animal qui sait pas se contrôler.. mais le sexe j'ai toujours adorer ça, vraiment. Y en a qui adore l'adrénaline, moi c'est le sexe. Et j'ai de la chance car Erwan ne refuse jamais un rapport. Il est même presque aussi demandeur que moi. Enfin, faut dire que je sais parfaitement le stimuler mon petit ange.
Je m'exprime, essayant de bien comprendre ce qu'il essai de me dire et je finis par me tourner vers lui, caressant sa joue et passant mon doigt sur sa lèvre inférieur, mon regard transperçant le sien. Il ne dit rien.. c'est grave perturbant en vérité. Je reprend ma main pour moi et je sens qu'il fait froid dehors.. GRAAAA si la situation était pas aussi brûlante, je crèverais probablement de froid et retournerais me terrer dans le fin fond de ma couette : « J'ai lu des trucs... BDSM, ça s'appelle. J'ai envie que tu fasses ça. Que tu m'attaches et que tu me fasses mal, et tout ce que tu voudras, et que tu me fasses l'amour très fort » J'écarquille les yeux. Non mais il blague en faite. Il se fout de ma gueule. Je veux dire un truc mais aussitôt y a rien qui sort de ma bouche. Il est devenu fou ? Y a un truc qui est tomber sur sa tête pendant la nuit ? Ou alors il se fait chier au lit avec moi maintenant ? Je baragouine je sais pas quoi en faite et je le laisse continuer car je sais pas quoi dire.. j'ai un frisson qui parcoure ma colonne vertébrale et qui arrive jusqu'à mon entre jambe... aaah ça en deviendrait presque douloureux... « Mais j'ai envie de te voir, ok, que tu sois face à moi, et que tu me dises que tu m'aimes » Mon regard est chaud et s'attendrit face à ce qu'il me dit. C'pas possible d'être aussi mignon et sexy à la fois.. je me le répéterais jamais assez. Je regarde toujours Erwan qui a l'air profondément sûr de lui. Il s'approche de moi et pose un baiser sur mes lèvres. Si chaste. Trop chaste pour ce qu'il vient de me demander. Je prend une profonde inspiration à la fin de ses paroles et passe de nouveau la main dans mes cheveux. Mon regard croise le sien : « J'... j'ai pas envie de te faire mal. Mais... si ce que tu veux... c'est me laisser plus de liberté pour te faire du bien. Dans ce cas... » Je réfléchis encore un instant et saisit subitement mon amant par le poignet et le fait basculer pour qu'il se retrouve en dessous de moi, complètement nu. Il peut sentir mon érection contre son entre jambes. Je le regarde, mes yeux ne se cachant pas de vouloir le bouffer.
Je me saisis de ses lèvres, fougueusement, sans prendre la peine d'être doux.. mais il y a malgré tout ce qu'il n'y avait jamais eut dans mes autres rapports.. la passion et l'amour. Cela me fait frissoner, me prenant tout le corps comme une frénésie que je ne peut contrôler. Erwan veut entourer ses bras autour de moi, mais de mes mains je saisis ses poignets et le joins au dessus de sa tête pour les maintenir d'une main. Ma langue passe la barrière des lèvres de mon petit ami et ma langue vient rencontrer la sienne dans un baiser brûlant. Je soupire, plaquant mon corps au sien, le possédant de ma seule présence au dessus de lui. Je romps alors le baiser et mon regard se plante dans le regard d'Erwan qui a déjà le regard brillant et les joues rouges. Je libère une main de mon amour et le dirige vers mon sexe, que je l'aide à saisir pour qu'il voit dans quel état il me met. Je soupire en sentant sa main froide. Je plante mon regard dans le sien et murmure : « Cette réponse te convient-elle... ? » je me penche juste au dessus de lui, mon visage à quelques centimètre du sien et je murmure : « Ok. Mais... on va y aller petit à petit. Puis... je suis pas fan de tous ces trucs BDSM... Mais on fera certaines choses.. Mais d'abord.. je vais te faire l'amour plus fort que je ne t'ai jamais fait l'amour... » je souris en coin, le regard joueur et mes lèvres plongent dans son cou où je viens embrasser sa peau, glisser avec ma langue et de mes dents, je mordille un peu le creu de sa nuque, assez pour que la douleur soit un plaisir exquis se propageant dans chaque cellule de sa peau dans un frisson instense...on va jouer.
(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Dim 23 Oct - 19:26
Erwan avait envie de tout ça. Il avait découvert des choses qui l'effrayaient plus qu'autre chose, et d'autres qui l'intéressaient, des choses qui lui faisaient envie, d'autres auxquelles il ne voulait plus jamais penser. Ce qui était clair, c'était que si Orel acceptait, s'il voulait aller au bout, il allait falloir faire des règles, quelque chose, pour établir des limites, et se mettre d'accord sur ce que chacun aimerait dans toute cette histoire. Mais pour l'instant, il devait juste essayer d'expliquer à Orel ce qu'il voulait. C'était difficile, parce que Erwan était maladroit en temps normal, et sur ce sujet-là, il avait tout autant de mal à s'exprimer. Il savait ce qu'il voulait. Il y avait une petite flamme à l'intérieur de lui, quelque chose de brûlant, de brillant, quelque chose qu'il ne savait pas vraiment expliquer ou définir. Quelque chose qui le faisait frissonner rien qu'en pensant à certaines choses. Il s'était imaginé, dans certaines situations, avec Orel, et rien que ces pensées l'avaient amené vers un état d'excitation... à tel point que rien qu'à y penser, il se retrouvait enfermé dans la salle de bain avec une main autour de son membre. Imaginer comment il pourrait être, attaché sur leur lit, nu avec toutes sortes d'entraves autour de son corps, et Orel près de lui, prenant soin de lui. Ce serait parfait. Erwan essayait de s'expliquer, de convaincre Orel, de lui exposer les choses clairement. Et lorsqu'il eut terminé, il alla déposer un baiser des plus sages sur les lèvres de son petit ami, de son fiancé. « J'... j'ai pas envie de te faire mal. Mais... si ce que tu veux... c'est me laisser plus de liberté pour te faire du bien. Dans ce cas... » répondit Orel, et au début de sa phrase, Erwan se mordit d'abord la lèvre, parce que peut-être bien qu'il s'était mal exprimé, qu'il n'aurait pas du dire ça, que c'était bizarre. parce que pourquoi Orel pourrait-il bien avoir envie de lui faire mal ? C'était trop étrange comme demande. Personne de normal, personne de gentil comme lui ne prenait plaisir à faire du mal aux autres, c'était... Erwan était idiot. Il savait ce qu'il voulait, mais il l'avait mal expliqué. Ce qu'il voulait, c'était quelque chose qui resterait, une douleur discrète, une brûlure d'amour, quelque chose... quelque chose comme ça. Mais Orel semblait comprendre plus ou moins. Plus de liberté, oui, et à vrai dire, cela semblait assez vague, à tel point qu'Erwan aurait aimé peut-être lui demander ce qu'il entendait par là, exactement. Dans ce cas... Et Erwan attendit la suite, mais soudain la main d'Orel se fermait autour de son poignet, et Erwan ne résista pas une seule seconde lorsque Orel le retourna, le coucha sur le dos, et se leva au-dessus de lui. Il n'y avait plus de distance entre eux, plus aucun espace, plus de timidité ou d'hésitation. Le sexe d'Orel pressait contre le sien, leurs deux érections se rencontrant. Puis Orel s'empara de ses lèvres, avec toute la fougue qu'Erwan lui connaissait. Il glissa ses mains doucement vers le dos d'Orel, mais n'arriva jamais au bout de son mouvement puisqu'Orel attrapa ses poignets pour aller les plaquer au-dessus de sa tête, sur le lit. Rien que cela augmenta l'excitation d'Erwan, qui poussa un gémissement, tout en décollant son corps du lit, poussant son érection encore plus près de celle d'Orel. Mais celui-ci vint le plaquer à nouveau contre le lit avec son corps, maintenant Erwan là. Le baiser prit fin, et les deux amoureux se regardèrent un moment, échangèrent un regard, puis doucement, Erwan sentit la main d'Orel guider l'une des siennes vers son sexe. Son sexe dur qu'Erwan ne savait toujours pas approcher sans trembler un peu, sans hésiter. Même après plusieurs mois, il avait toujours l'impression de découvrir, de poser ses mains sur quelque chose de précieux qu'il fallait toucher délicatement. Jamais il n'irait poser sa main là, fermement, sûr de lui. Et le sexe d'Orel contre sa paume était quelque chose de familier, et dont il ne se lasserait jamais. « Cette réponse te convient-elle... ? » demanda Orel, et tout ce que Erwan put répondre fut un « Mmmh mmh » d'une petite voix aiguë. Doucement, Orel s'approcha, et Erwan le regarda, le suivit des yeux, attendant de voir ce qui allait se passer ensuite. « Ok. Mais... on va y aller petit à petit. Puis... je suis pas fan de tous ces trucs BDSM... Mais on fera certaines choses.. Mais d'abord.. je vais te faire l'amour plus fort que je ne t'ai jamais fait l'amour... » Oh. Oh... Ok, wow. Erwan rougissait, il en était sûr, sentait la chaleur monter sous la peau de son visage. Peu importait pour le BDSM, tant pis, Erwan voulait juste ça, juste Orel qui lui faisait l'amour, plus fort que jamais. Et ça pour le restant de ses jours. Et ses lèvres allèrent glisser dans son cou, ses dents prenant le relai, jouant avec sa peau, la mordant un peu, et Erwan inspira un peu entre ses dents serrées, tenta de se concentrer pour ne pas se perdre de suite. Sa main libre, celle qu'Orel avait déplacée, quitta sa peau pour aller attraper la bouteille qui se trouvait sur la table de chevet. Doucement, il glissa son autre main pour la libérer elle aussi, et lorsqu'Orel se détacha de son cou, Erwan lui adressa un petit sourire. Il ouvrit le lubrifiant, et en fit couler un peu dans sa main, avant de prendre celle d'Orel entre ses doigts délicats, et de couvrir ceux d'Orel de gel. Il prit grand soin pour cela, lubrifia lentement les doigts de son petit ami. « Vas-y » il souffla, alors qu'il dirigea la main d'Orel entre ses jambes, vers ses fesses, et entre celles-ci, pressant le doigt du jeune homme contre son entrée, frissonnant au contact. « Je veux te sentir à l'intérieur » il ajouta d'une petite voix soufflée, pourtant grave, timbrée parle désir et l'excitation, ses yeux plongés dans ceux de son fiancé. Il avait désespérément envie de lui, envie de ses doigts, envie de sa main, envie de plus, envie de son sexe et tout ce qu'Orel pourrait bien lui donner. Erwan prendrait tout, absolument. Il avait envie de brûler totalement.
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(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Mer 2 Nov - 11:36
Giving my all to you
feat. Orel && Erwan
L'air devient plus chaud à chaque inspiration. Je goûte sa peau, caressant celle-ci de ma langue et glissant à l'aide de mes dents. Je ne sais pas si j'arriverais à être abrupt avec Erwan. Il est si facile d'être passionnel avec lui. Je lui donne tant d'amour, tout le temps de l'amour. Je mordille sa peau, laissant une petite marque et mon corps se pousse contre le sien. Je sens ma tête me tourner m'indiquant que bientôt je ne saurais plus où nous sommes. Bientôt, nous serons transporter dans un monde qui n'appartiens qu'à nous. Je sens sa respiration saccadé, son souffle passant entre ses dents quand je passe sur une zone trop sensible. Je sens aussi son sexe parfaitement dresser entre nos deux corps. Je peux tout sentir et je veux le sentir encore plus.. plus fort, plus loin, plus puissant. Il lit dans mes pensées alors que je croise son regard. Il me sourit alors et tend la main attrapant la petite bouteille de lubrifiant. Il saisit une de mes mains et enduit mes doigts longuement et lentement : « Vas-y » sa voix me tue, j'ai envie de le prendre maintenant. Je passe ma langue sur mes lèvres en le regardant faire et je sens comme le sang circule à vive allure dans tout mon corps jusqu'à mon membre. Je ne peux le quitter des yeux, passant de sa main s'attelant parfaitement à la tâche à ses prunelles bleu verts si parfaitement magnifique. Pendant qu'il descend sa main entre nos deux corps, je viens saisir ses lèvres dans un baiser humide et passionné. Je sens que la chaleur monte et on peut voir déjà sur les baies vitrés qui recouvre la chambre, une buée se former. On peut entendre malgré tout les vagues frapper la plage pour se transformer en écume. On peut aussi entendre la pendule faire tic tac..mais plus l'instant passe plus ce tic et ce tac semble devenir qu'un écho lointain passant au ralenti. La voix d'Erwan vient résonner dans mes oreilles : « Je veux te sentir à l'intérieur » dit-il en poussant mes doigts contre son orifice. Je bande complètement et plus fort en sentant son entrée se contracter à la simple pression de mes doigts. J'ai envie de jouer... il veut savoir ce que cela fait tout ça ? Il va savoir, comme une lente et tortueuse agonie peut être si orgasmique.
Je saisis sa main qui tiens la mienne et la place de nouveau au dessus de sa tête d'un coup sexe. Je commence à faire de petit cercle autour de son anus, le chatouillant, le titillant et pressant parfois un peu mes doigts, sans jamais entrée. Je viens saisir ses lèvres, ma langue pénétrant sa bouche avec fougue et sans ménagement tout en étant d'une lenteur atroce. Je romps le baiser en agrippant sa lèvre inférieure avec mes dents et susurre à son oreille : « Tu me sentiras quand je l'aurais décidé bébé.. » ma main remonte alors, le laissant frustré. Je saisis entre ma main lubrifié son sexe gonflé de sang. Je le tiens fermement et entame des vas et viens long et lent d'abord. Je le sens se contracter, se cambrer. Je souris, et je le regarde, me redressant en tenant toujours ses poignet. J'aime le voir dans cet état, joues rougissantes. Mes vas et viens sur son membre accélèrent et ralentissent, afin de le rendre dingue. Je pense entendre ses gémissements passer de plaintifs à jouissifs. Mon pouce vient jouer avec le bout de son sexe, et je le lâche alors : « Tu ne veux pas me tourner le dos.. bien.. mais je peux faire de toi ce que je veux. » je me redresse sur mes genoux, mon sexe dresser face à mon amant et je me penche alors attrapant au sol mon jean. Je retire la ceinture et reviens face à lui. Je vois dans son regard l'inquiétude et je ris un peu en voyant comme il flippe : « Ne t'inquiète pas bébé.. je t'ai dis que je ne te ferais pas mal.. » je me penche et attache ses poignets au dessus de sa tête en reliant les barreaux du lit. Je sers jusqu'à ce qu'il pousse un petit gémissement. C'est adorable.. je sais comme ce petit pincement qui indique que les liens sont trop serrer pour provoquer un plaisir peu commun.. ce sera peut-être nouveau pour mon amant. Je caresse mon sexe en le regardant alors et me baisse alors. Je passe ma langue sur son torse, jouant ensuite à entourer son nombril. Il se cambre, gémit.. je l'aime putain. J'arrive alors à son membre, et le prend dans ma bouche.. il est si bon, si chaud. Puis d'une main libre et sans prévenir, alors que j'engloutis mon amant tout entier, deux doits viennent le pénétrer d'un coup, glissant en lui avec fougue et force. Mon regard se lève et je le regard alors, tout en lui faisant du bien.
(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Ven 4 Nov - 21:21
Il avait juste, tout simplement, et terriblement surtout, envie de lui. Il voulait Orel, il le voulait tout entier contre son corps, et en lui. Il voulait le sentir, de toutes les façons possibles, que chacun de ses sens soit stimulé, que tout en lui explose tel un feu d'artifice, que les transmissions nerveuses à l'intérieur de sa tête perdent toute logique, que tout soit simplement renversé par ce qui allait arriver entre eux, par la rencontre de leurs êtres. Il voulait l'odeur de la peau d'Orel, celle de son corps et celle de son parfum, mélangées pour aller hypnotiser sa conscience. Puis il voulait la texture de sa peau sous ses doigts, sous le bout de ses doigts. La texture et la chaleur de celle-ci. Le son de sa voix dans ses oreilles, une voix à laquelle il donnerait tous les droits s'il le fallait. Le droit de lui percer les tympans, celui de se déverser dans sa propre bouche pour aller résonner à l'intérieur de lui et faire vibrer son corps de l'intérieur. Puis, sur sa langue, le goût de la peau d'Orel, celui de sa salive lorsque leurs langues se frôleraient. Le goût de sa sueur, et celui de sa semence, le goût d'Orel tout entier. Et Erwan garderait en lui ces délices, les avalerait même pour qu'ils fassent entièrement partie de son corps et qu'ils ne le quittent pas. Il voulait tout ce que Orel avait à offrir, chaque petit détail insignifiant. Tout tout tout. L'excitation ne faisait que monter, l'imagination d'Erwan lui proposant un tas de scénarios, de choses qui pourraient arriver entre eux, qui pourraient les faire entrer l'un en l'autre, exploser l'un contre l'autre. Il prit soin d'enduire de lubrifiant les doigts d'Orel, passa de longues secondes, minutes même, à couvrir chaque doigt, chaque millimètre de ceux-ci. Puis il dirigea la main d'Orel vers son entre jambe, l'accompagna de la sienne jusqu'à poser les doigts de son fiancé entre ses fesses, sur son entrée. Il pressa un peu les doigts d'Orel, frissonna même et lorsqu'il fut à peu près convaincu de la portée de son message, il relâcha son emprise sur la main de son amant. Juste à ce moemnt-là, comme si leurs esprits étaient connectés, Orel saisit sa main, et alla la plaquer au-dessus de sa tête, sur le matelas. Le mouvement fut brusque, sec, net, et la rapidité et la force d'Orel firent presque sursauter Erwan qui trembla d'anticipation et de désir. Il voulait qu'Orel ne cesse jamais de faire ça, de le prendre et de l'attraper, et de l'agripper... de déplacer ses membres comme bon lui semblait, de le contrôler et de le tordre. Erwan ne disait rien, et il sentait le doigt d'Orel, toujours aussi parfaitement appuyé contre son orifice, contre l'anneau de muscles qui se serrait et se desserrait sans cesse alors qu'Orel commençait à jouer. C'était dingue, ça rendait Erwan dingue. Il avait tant l'impression de découvrir la vie avec Orel, à chaque instant passé avec lui. De découvrir le sexe. Erwan avait eu de nombreux partenaires avant, mais avec Orel... il découvrait tout. L'amour, le plaisir, le désir, la passion, l'excitation, le sexe tout simplement. Faire l'amour. Et Orel l'embrassait, prenait possession de sa bouche, sans qu'Erwan ait pu même essayer de l'en empêcher. Orel était maître de tout ça, et Erwan n'avait qu'à suivre, se laisser faire, et aimer, aimer très fort. Son sexe dur reposait contre son ventre, excité comme jamais. « Tu me sentiras quand je l'aurais décidé bébé.. » lui souffla alors Orel directement dans l'oreille, après s'être détaché de ses lèvres, et rien que cette phrase et le souffle de son amant contre son oreille fit presque trembler Erwan. « O-Okay » il couina en réponse, ne sachant que dire d'autre, incapable de former des mots. A peine eut-il prononcé ces mots qu'Orel posait sa main sur son sexe, le saisissait et commençait à le caresser. Ce contact envoyait des étincelles dans le corps tout entier d'Erwan, qui se cambrait comme il le pouvait tandis qu'Orel le retenait, le maîtrisait. « Tu ne veux pas me tourner le dos.. bien.. mais je peux faire de toi ce que je veux. » déclara ensuite Orel, alors qu'il terminait de glisser ses doigts sur le sexe d'Erwan, alors que le jeune homme gémissait sous ses mains. Orel se recula un peu, le lâcha quelques secondes, et Erwan resta ainsi, les mains là où Orel les avait placées, et il regarda son amant revenir avec sa ceinture en main. Sa ceinture ? Erwan en savait pas ce qui se passait, ce que Orel allait faire avec ça. Il avait une expérience particulière avec les ceintures. Certaines des cicatrices qu'il portait avaient été causées par des ceintures. Mais malgré tout, il voyait assez mal Orel s'en prendre à lui de cette façon. « Ne t'inquiète pas bébé.. je t'ai dis que je ne te ferais pas mal.. » dit alors le jeune homme, probablement pour le rassurer. Erwan ne répondit pas, se contenta de suivre du regard son amant, et d'observer son visage alors qu'il allait passer la ceinture autour des poignets d'Erwan. Il sentait le cuir contre sa peau, d'abord comme une caresse, quelque chose qui le fit frissonner en imaginant ce que ça pourrait donner. Puis Orel serra, assez lentement, il serra encore et encore, jusqu'à ce que Erwan sente réellement le cuir contre sa chair. Il laissa échapper un petit gémissement qui traduisait d'une sensation étrange, un mélange de douleur et de plaisir, d'excitation. Il ne savait pas s'il durerait longtemps, parce que rien que ça, ça le faisait trembler. Orel se reculait, et Erwan tentait un peu de bouger ses mains, juste pour voir, sans réussir, tandis que son fiancé le regardait et se touchait. C'était étrange, ça lui donnait une drôle d'impression, d'être étendu ainsi à sa vue, que ce soit si excitant pour Orel de le voir comme ça. Il tremblait de plaisir rien qu'à y penser, rien qu'à voir Orel le dévorer du regard. Le jeune homme se penchait alors pour glisser sa langue sur son corps, jusqu'à son sexe, et voilà qu'Erwan poussait un cri lorsqu'il se retrouvait entre les lèvres de son fiancé. C'était définitivement une sensation à laquelle il ne s'habituerait jamais, la chaleur de la bouche d'Orel, les caresses de sa langue contre son sexe. « Orel... » il gémit, doucement, et fut coupé lorsqu'il sentit quelque chose entrer en lui, d'un coup, de façon fluide, contrôlée, mais assez brusque pour le surprendre. Il se tendit, poussa un gémissement des plus audibles qu'il ne tenta même pas de garder pour lui. Et les doigts d'Orel à présent enfouis en lui commençaient à bouger, s'écarter puis se refermer, se plier et se tendre, caresser son intérieur et lui faire du bien. Erwan ne savait pas comment Orel pouvait être si doué à cela, faire de telles choses avec ses mains tout en faisant des choses spectaculaires avec sa bouche. C'était divin, tout simplement. Et tout ce que Erwan pouvait faire, c'était rester là à gémir, des gémissements suppliants dont il n'avait même pas honte. Il se tordait doucement, tirait parfois un peu sur ses poignets. Il ne savait même pas vers où se tordre, partagé entre l'envie de soulever son bassin pour aller à la rencontre de la bouche d'Orel... ou au contraire, s'enfoncer plus profondément sur ses doigts qui le pénétraient, le préparaient, jouaient avec lui. « Orel je... » il commença, avant de gémir, parce que les doigts de son amant venaient de toucher un endroit, de frôler un point sensible. Ses lèvres entrouvertes, les yeux fermés, il faisait de son mieux pour respirer. « S'il te plait » gémit Erwan, sans préciser pour quelles raisons il se mettait à le supplier. C'était presque clair dans son esprit. Il en voulait plus, il ne pouvait pas continuer ainsi, il allait imploser. Il voulait qu'Orel arrête de jouer, qu'il retire ses doigts et sa bouche et qu'il entre en lui. « S'te plait je... j'vais... faut... » il tenta encore, ne sachant pas quoi dire. Qu'il allait exploser, qu'il avait envie et besoin de plus, qu'il était à deux doigts de devenir dingue. « Ca chatouille partout à l'intérieur » il lâcha dans un souffle, sa voix aiguë. Il sentait ses cuisses trembler, et agissant ainsi celles-ci se frottaient parfois au corps d'Orel, à ses bras ou son visage. Il avait chaud, terriblement chaud, et d'une seconde à l'autre, il allait exploser. Il allait pleurer de bonheur, ou crier, ou essayer de bouger... il n'en pouvait déjà plus.
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(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Mar 22 Nov - 19:21
Giving my all to you
feat. Orel && Erwan
Que j'aime l'entendre gémir ainsi. Quand il se tortille comme ça, j'ai envie de lui faire tant de chose. Ma langue joue avec son sexe, tandis que j'explore tranquillement, même plus que cela. Je n'y vais pas avec le dos de la cuillère, le préparant bien, et je joue avec ma bouche comme j'aime tant le faire avec lui. J'ai déjà eut des aventures avec des mecs, mais autrefois, j'étais tout de même plus branché fille. Pour cela qu'aujourd'hui, je ne me lasse pas de son corps, de son sexe.. je pourrais le goûter encore des heures entières et l'entendre soupirer et gémir mon nom. L'avoir attaché au lit les mains en l'air m'excite encore plus.. ainsi je peux faire ce que je veux de lui sans qu'il ne puisse utiliser ses mains.. c'est grandiose.Grandiose. Je le sens près à exploser, près à se libérer et à partir dans une frénésie. Perdu entre l'envie de pousser son bassin ou ses fesses, il est adorable et suppliant ainsi, j'hésite entre le torturer encore un peu... ou le prendre à l'instant : « Orel je.. » soupire de nouveau mon amant. Je sourit en relevant mon regard vers lui et voit le visage implorant d'Erwan qui était rouge. Son regard brille et ses pupilles sont dilatées tant l'excitation lui prend le corps. Il est si beau... si beau.. il ferme alors les yeux et gémit, me suppliant encore et que j'aime entendre cela...il continue alors que mes dois accélèrent en lui et comme l'envie de le prendre me torture encore et encore. Je sens mon sexe dresser près à exploser : « Ca chatouille partout à l'intérieur » dit-il en gémissant. Je sens ses cuisses trembler et je relève enfin la tête en écartant les doigts en lui, me plaçant au dessus de lui. Je le regarde et ma main libre saisit son membre pour le caresser alors que je le regarde gémir et se tordre dans tous les sens : « Tu es si beau.. » soupire-je en me plaçant juste là, près. Je le regarde, éblouit par son aura. Erwan Beckford ou l'homme qui me rend dingue. Je l'aime tant que j'en ai mal dans la poitrine. Mon cœur ne cesse de battre, de l'appeler... mon âme lui appartiens jusqu'à ce que mon dernier souffle sorte de mon si misérable corps.. à jamais.
Je lâche son sexe et passe ma main derrière sa nuque, ma main se serrant un peu juste ici et libère enfin mes doigts de son intimité. Je tire sur son bassin le rapprochant et le soulevant un peu, afin qu'il soit présenté comme il doit. Mon regard croise le sien... je vais le faire hurler, le faire transpirer comme jamais. Je pose chacune de ses chevilles sur chacune de mes épaules et caresse sa jambe en glissant dessus.. puis je saisis mon sexe, me caressant et presse doucement autour de son anneau de chair, sans entrée, appuyant son regard avec passion et amour : « Je veux que tu te retiennes.. si tu te sens près à exploser.. retiens toi encore et encore.. jusqu'à ce que je te dise de jouir.. tu as compris? » ordonnais-je gentiment, avec une voix douce et grave. J'attends un signe qui approuve mes dires et d'un coup de rein puissant, je le pénètre, râlant en sentant le plaisir se propager dans mon corps. Je ne sais pas ce qui est le plus jouissif.. le sentir autour de moi, si chaud et étroit.. ou l'avoir entendu jouir aussi fort lorsque nos peaux on claquer l'une contre l'autre. Je reste au fond de lui un court instant, poussant un peu plus mes reins en lui, ondulant pour qu'il me sente bien et je ne parle plus, je ne dis rien.. me contentant de le regarder droit dans les yeux. Je viens alors saisir une de ses cuisses et place ma main sous son genoux pour le maintenir fermement. Mon main se pose sur sa cheville toujours sur mon épaule, que je viens embrasser. Je donne alors un premier coup de rein, bref et abrupt, me mordant les lèvres de satisfaction en soupirant et je recommence à pousser mes reins en lui. Je répète cela plusieurs fois, le torturant par ce rythme lent mais saccadé.. Puis, je finis par aller plus vite et alors, mon rythme se fait fougueux, nos peaux claquent, nos corps reluisent et je l'entend, je sais comme il se retiens et je sais comme il n'en peux plus. Je le sens près à tomber dans les vapes et c'est jouissif. Je repoussa ses cuisses, les écartes encore plus pour m'allonger contre lui. Je plonge mes lèvres sur les siennes, ma langue dansant alors avec la sienne à en perdre le souffle, nos corps coller l'un à l'autre lui caresse l'entre jambes alors que mes coups de reins sont de plus en plus fort et puissant. Je vais venir.. je vais venir bientôt. Je plonge une main dans ses cheveux, tirant dessus légèrement assez pour qu'il le ressente mais pour qu'il ne souffre pas et mon autre main attrape ses fesses que je presse avec plaisir. Je mord sa lèvre inférieur entre mes dents et viens alors soupirer à son oreille : « Jouis pour moi bébé... laisse toi aller. » je gémit et me redresse alors, m'appuyant sur ses cuisses pour le pénétrer plus amoureusement et fougueusement encore.
(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Lun 28 Nov - 15:28
Il n'en pouvait déjà plus. Il allait exploser, c'était sûr et certain. Il était là, allongé et attaché, son sexe entre les lèvres d'Orel dont la langue ne cessait de le torturer, de lui procurer un plaisir qu'il n'avait découvert qu'il y a très peu de temps. Et les doigts d'Orel, ses doigts, enfoncés en lui, qui continuaient de se mouvoir, de s'écarter et de se fermer, d'étirer l'intérieur de son corps, de le caresser tendrement et avec toute la possessivité qu'Erwan pouvait désirer d'Orel. Il avait envie de jouir, il aurait pu en jouir, là, de suite. La simple idée d'être là, soumis à Orel, d'être à lui, et qu'il ne puisse faire qu'une bouchée d'Erwan... c'était ce qu'il y avait de plus excitant au monde, ça remplaçait tout ce que Erwan avait pu penser avant cela, ses idées sur le sexe, sur ce que c'était d'être nu avec quelqu'un, de se faire toucher et d'assembler son corps à celui d'un autre. Orel avait révolutionné sa vie, sa vision du bonheur et du plaisir. Il l'avait transformé. Et Erwan en était plus qu'heureux. Il était aux anges. Tout simplement. Orel continuait ses tortures, sa langue experte continuait de lui faire tant de bien, et Erwan comprenait à peu près maintenant, pourquoi Leo avait tenu à tant lui apprendre à le faire, ça, à prendre en bouche pour procurer du plaisir. Parce que oui, c'était divin, et Orel excellait. Il était un véritable artiste tant avec sa bouche qu'avec ses mains, dont les doigts l'exploraient encore. Et lorsque Erwan parvint enfin à articuler quelque chose, à traduire les sensations en paroles, la bouche d'Orel fut remplacée par sa main. Sa main, tout aussi possessive autour du sexe d'Erwan. « Tu es si beau.. » il lui dit, et ça aurait tant pu le faire rougir s'il n'avait pas déjà été au bord de l'explosion. Puis, après cela, Orel retira sa main et ses doigts, ce qui fit gémir Erwan. Il en aurait voulu plus. Il se sentait vide, il voulait Orel, encore et encore. Les mains d'Orel le saisirent de partout, le positionnant comme il le fallait, le tirant vers lui puis le soulevant, présentant son entrée à lui, et Erwan n'en pouvait plus, il avait envie de le supplier. Et là, le sexe d'Orel était contre lui, juste là, faisant gémir Erwan. « Je veux que tu te retiennes.. si tu te sens près à exploser.. retiens toi encore et encore.. jusqu'à ce que je te dise de jouir.. tu as compris? » il dit alors, ses yeux dans ceux du jeune homme. « O-Okay » il répondit, difficilement, avec un petit hochement de tête. Et là, d'un coup, brutalement, brusquement, passionnément, Orel s'enfonça en lui d'un coup, ce qui fit hurler Erwan. De plaisir, de bonheur, peut-être un peu de douleur. Mais la bonne douleur, celle qui a le parfum d'Orel. Et il se perdit là, entre les regards d'Orel, ses mains si délicates et ses baisers amoureux et doux... et le premier coup de bassin, puis le second, et tous ceux qui suivirent. C'était lent, violent, jouissif, et peut-être que l'attente de chaque mouvement était tout aussi excitante que le reste, que l'avancée d'Orel en lui, toujours brutale. Puis il alla plus vite, commença cette danse effreinée, et Erwan ne criait plus. Il restait silencieux, si bien que le seul bruit qui dominait était celui de leurs peaux, de leurs corps s'écrasant l'un contre l'autre sans pudeur. Erwan restait concentré, il faisait de son mieux, parce qu'Orel ne voulait pas qu'il jouisse, et il ne comptait pas le décevoir. Erwan découvrait encore un peu plus le plaisir, là, sous Orel, entre ses bras, avec son sexe s'abattant en lui sans arrêt. Il l'avait appris avec lui et il continuait encore et encore d'en découvrir des aspects, des couleurs. Orel s'allongea contre lui, continuant de lui faire l'amour, et l'embrassant, tandis que le sexe d'Erwan, pris au piège entre eux, était caressé par leurs deux corps, le faisant gémir dans la bouche d'Orel. Il n'en pouvait plus, il n'en pouvait tellement plus. Une des mains d'Orel allait glisser dans ses longs cheveux, tirait un peu, le faisant gémir, pendant que son autre main serrait sa fesse. Il allait mourir là, crever de plaisir, jouir jusqu'à en perdre la vie. Ca lui allait, c'était une belle mort. Ses doigts tentaient de s'accrocher à quelque chose, aux barreaux du lit, à la ceinture de cuir serrée autour de ses poignets. « Jouis pour moi bébé... laisse toi aller. » lui souffla alors Orel dans l'oreille. Et enfin, enfin, Erwan allait pouvoir se libérer, et lorsqu'Orel le pénétra encore, une ultime fois, qui sembla encore plus forte que les précédentes, Erwan se laissa aller. Il vint, criant de plaisir, sans même se poser de questions, sans se gêner, sans rien retenir. Pas un seul cri. Pas même les larmes de bonheur et de plaisir qui coulaient de ses yeux vers ses tempes. « Orel... » il jouit, le prénom de son amour sortant de sa bouche au moment où il déversait sa semence sur son ventre, en parfaite symphonie avec Orel. Et lorsque ce fut terminé, lorsqu'il fut à peu près redescendu, avec Orel encore en lui, il plongea son regard dans celui de son fiancé. Erwan ne savait même pas quoi dire, quoi faire, comment réagir. Il ressentait un milliard de choses qu'il ne pouvait pas expliquer. Il tenta de bouger, de glisser encore un peu vers le jeune homme, de remuer son bassin pour sentir encore un peu Orel en lui, fermer ses jambes comme il le pouvait autour de lui pour que ça ne s'arrête pas. Et il pleurait encore, secoué par l'intensité de son bonheur. « J'ai jamais été aussi heureux que maintenant » il articula entre gémissements et sanglots, tentant encore de rapprocher Orel, de l'avoir près de lui et contre lui, ne pouvant plus se passer de sa présence, de son contact. Il le voulait avec lui et en lui pour toujours, passer l'éternité dans ce lit, dans cette position, avec Orel en lui.
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(#)Sujet: Re: [+18] giving my all to you. (ORWAN) | Sam 10 Déc - 23:00
Giving my all to you
feat. Orel && Erwan
Il est toujours si bon d'entendre Erwan prendre plaisir.. mais là, l'instant est encore plus intense.. J'ai le contrôle, le pouvoir et, clairement, j'adore ça. J'aime le sentir se crisper en retenant son orgasme. J'aime l'entendre gémir d'une délicieuse douleur lorsqu'il tire un peu trop sur ses liens. J'aime quand il soupire alors que je me retire avant de donner un coup de rein plus féroce, lui arrachant un hoquet de plaisir. Et surtout, j'aime le voir ainsi se trémousser, se perdre dans ce tourbillon alors que ma peau claque en rencontrant la sienne et que mes élans se font plus rapide et intense. Il brise l'espace en gémissant plus fort et en s'étranglant tant son souffle se perd. Je croise son regard, et je me colle à lui, attrapa une de ses fesses. Je le serre contre moi, je le sens, brûlant sous moi. Son sexe est contre notre deux corps près à exploser et je le torture, encore et encore. Je sais que je peux durer longtemps, que je peux le torturer encore plus. Mais je sens que si je continue il va tomber dans les pommes ou pleurer... Je finis par lui dire de se lacher, et lorsque je le sens enfin se libérer dans un hurlement de plaisir, je lui donne des coups de reins encore plus profond afin de me procurer le plus de sensation possible alors que je sens se serrer et se contracter autour de moi. Il hurle mon nom...et je sens alors tous les muscles de mon corps se crisper et alors, la chaleur m'envahis. Je sens le plaisir atteindre son paroxysme et tout deviens plus léger, plus doux, plus beau. La vie est simple et belle.. je n'ai rien d'autre à faire que de l'aimer. L'aimer en oubliant qu'il m'a demandé de limite le soumettre tout à l'heure... juste l'aimer comme je sais l'aimer et rien d'autre. Je ne me forcerais jamais à rien et je ne le forcerais jamais à rien.. c'est la première fois que je ressens une telle chose.. je me sens.. libre, euphorique. Euphorique de cet amour qui semble grandir en moi encore chaque jours. Cet amour qui me transporte et me donne envie de pleurer et de rire en même temps. Je pensais tout connaître à la vie.. mais j'avais tord. Aujourd'hui alors que ma tête viens se poser contre sa nuque et que je sens son cœur battre contre ma propre poitrine, cette dernière se soulevant au rythme de ma respiration rapide et lourde. Nous reprenons notre souffle et je sens une larme se glisser sur ma joue, qui ne m'appartiens pas. Il pleure. Je relève une main et viens caressa sa joue, mes yeux se relevant pour mieux l'admirer alors qu'il se presse contre moi. Nos respiration se réponde presque en écho, pour que nos cœur battent à l'unissons. Je souris tendrement en le regardant et ses mots me transperce : « Je n'ai jamais été aussi heureux que maintenant » Je nous fais basculer pour qu'on soit chacun sur un flanc, sans pour autant me retirer. J'aime être en lui.. je me laisse redescendre tranquillement. On se retrouve collé l'un à l'autre, nous jambes entre croisées l'une à l'autre. Nos sueurs font briller nos peaux et je continue de caresser sa joue tout en admirant chaque parcelle de son visage. Il est si beau, et ainsi rouge avec le regard perdu et fatigué..il est parfait. Je me sens si plein d'amour. Si plein de chose à donner.. avant je ne faisais que prendre, aujourd'hui, je veux lui donner tout mon être. Tout : « Moi, mon bonheur grandit à chaque seconde passé à tes côtés.. » je souris, lèvres closes. Un sourire très simple mais empli d'amour et je viens simplement embrasser ses lèvres, le serrant contre moi. Je viens coller alors mon front au sien et murmure simplement : « Je t'aime Erwan.. je donnerais tout pour toi. Ma vie, mon être, mon âme. Je suis tien pour toujours.. tu me combles de bonheur.. Je.. » je relève mon regard vers le plonge dans le sien : « Je suis l'homme le plus heureux du monde. » Je passe mes bras autour de lui, et le serre contre moi, venant caresser ses cheveux humides. Il va falloir qu'on aille prendre une douche.. Mais.. mes paupières sont lourdes, et je suis si bien dans ses bras... on verra plus tard pour la douche.. je ne veux pas bouger. Je veux rester comme ça et ne plus bouger. Rester un peu niais encore un peu.. juste un peu pendant que personne d'autre que nous n'est là pour nous juger. Je l'aime. Je l'aime...putain.