Aujourd'hui, je savais que j'avais un groupe pour commencer ma journée, à la salle. C'était pas toujours évident. Y'en a qui abandonne, qui râlent, qui suivent pas, faut ralentir ceux qui suivent, ils ont pas toujours le même niveau alors qu'ils sont censés y être, ils s'habillent n'importe comment, y'en a qui se trompent de cours, y'en a qui arrivent en retard.. C'est vraiment une plaie. Mais le patron a fait le deal : je dois en faire un par semaine et c'est aujourd'hui. J'ai vraiment l'impression d'être à l'école. Je déteste les gosses, alors ça aide pas. Ah ouai, t'as celles qui occupent le premier rang pour matter aussi. L'horreur. Enfin bref, c'est une heure à passer, c'est pas grand chose. Ou pas. C'était l'heure la plus longue de ma vie. Enfin, entre les autres heures par semaine que je dois endurer. Je suis le meilleur coach de cette salle, j'ai bien le droit à ce privilège. Sans une seule goutte de sueur mais pas mal d'énervement je sors de la grande salle pour retourner aux exercices individuels où une cliente en particulier avait pris rendez-vous avec moi. Je savais exactement qui c'était - parfois on avait beau me dire un nom je mettais pas la tête - mais elle était assez spéciale alors, je ne pouvais pas l'oublier. Disons que, je savais que je n'allais pas m'ennuyer. C'était cool, après une heure pareille, de savoir que j'allais devoir la coacher. Même si ça allait sûrement mater, y'avait de quoi en retour. Je la voyais entrer et je la saluais. Salut comment tu vas? lui demandais-je alors en souriant. On fait un peu d'abdos? Puis après on ira faire un petit tour au stade dis-je le sourire en coin. Cette femme était pleine de surprise, faut savoir d'amuser dans la vie.

Je la taquinais sur sa façon de faire ce que je lui demandais, sur le fait qu'il fallait qu'elle travaille ça ou ça pour qu'elle pense qu'elle n'atteint pas un point de beauté suffisant et qu'il faut travailler genre.. ses fesses. Elle tombait dans le panneau, ce qui eut le don de me faire rire. Je la regardais ensuite du genre sérieusement pour lui lancer : Si je te dis de les travailler, c'est qu'il y a une bonne raison.. dis-je donc plein de sous-entendus pour la faire râler. Je la laissais travailler, lui donnant quelques conseils, la reboostant quand elle semblait faillir à l'exercice. Rapidement, on allait vers les vélos pour faire quelques kilomètres et j'allais à côté d'elle. Pour moi, l'exercice serait très simple mais j'avais besoin d'évacuer un peu tout ça. Je profitais pour continuer mes petites allusions. Je savais qu'elle comprendrait très bien, car nous n'étions plus à notre coup d'essai. C'était limite une tradition, de finir la séance avec une douche plutôt méritée. Mais jouant le jeu, elle râlait, soi-disant qu'elle ne payait pas pour des allusions grivoises. Oh excusez-moi madame c'est que ça me perturbe un peu tout ça dis-je avec un geste de la main en entourant son corps d'un geste aérien. Je lâchais d'une main mon guidon pour repositionner le dos de mon élève. De un tu travailles rien du tout là en te tenant comme ça de deux tu vas finir avec une bosse à la Casimodo à 50 ans. dis-je alors un petit sourire en coin. Ca risquerait de faillir à tout.. ça dis-je refaisant le même geste que précédemment. Une actrice c'est connu pour rester canon jusque sa mort ma chère. ajoutais-je descendant du vélo, j'avais fini mes 5 kilomètres. Elle, elle était à à peine quatre. Bah alors! Du nerfs! Je serais déjà à New York que tu n'aurais même pas passé la frontière de la ville, hophophop dernière ligne droite on fonce! dis-je allant derrière elle. Allez un ou deux tours de terrain et tu mériteras bien une douche dis-je riant légèrement vu son état. C'est toujours étrange de passer du vélo à la course à pied mais c'st ce que je veux travailler justement, pour ton nouveau film. Il faut que tu sois toujours prête à te mettre à l'action. GO. dis-je commençant la course avec elle. Respire bien.. voilà.. petites foulées tranquilles et quand je dirais "go" on fera une pointe jusque le prochain plot ok? On respire bien, c'est l'important. Je veux que tu ailles plus vite que moi, d'acc? Je veux pouvoir matter ces jolies fesses. dis-je courant à l'arrière face à elle, levant mes sourcils, amusé, puis je me mis à côté d'elle. Attention on arrive au plot.. GO!

La jeune femme s'exécutait à la course. Je savais qu'elle avait besoin de ces exercices pour son métier. J'essayais d'être le plus pointilleux possible sur son évolution, car il y en avait bien une. Évidemment, même s'il y avait récompense à la fin, notre cours restait toujours sérieux côté rigueur physique. Je voulais qu'elle réussisse pour ce film, c'était la raison pour laquelle elle me payait, non? Tous les exercices que je lui faisais faire n'étaient pas choisis au hasard. Tout comme moi, Charlotte est quelqu'un qui aime son job et fait tout pour être la meilleure possible dans son milieu, simplement. Forcément, elle me faisait de l'oeil. A vrai dire, elle avait de quoi. C'était la cerise sur le gâteau. Elle faisait bien sa séance, elle exerçait un réel effet sur mes parties intimes et la douche serait bien plus chaude que la normale. C'était un peu "l'habitude". D'ailleurs, à peine fini cette séance au stade qu'elle me demandait si elle méritait de prendre cette douche seule ou non. Je souris de coin, amusé. Je la regardais prendre sa serviette, s'éloigner vers les vestiaires. Je trouve que tu as été un peu molle aujourd'hui.. lui dis-je alors, amusé. Je fis comme chemin à part, la laissant croire que je n'allais pas la rejoindre. Sauf que je connais cette salle comme ma poche et que je sais comment la rejoindre autrement. J'attendais un peu pour être sûr qu'elle était sous la douche, gardant un oeil de loin. Puis, profitant qu'elle soit de dos, je m'infiltrais dedans, caressant ses courbes par surprise. j'ai menti soufflais-je alors dans le creu de son oreille, passant le bout de mon doigt sur sa courbe avant de poser ma main sur une de ses fesses. elles sont de plus en plus belles ajoutais-je la serrant contre mon sexe bien éveillé. J'espère que je ne t'ai pas déçu et que tu veux toujours de moi continuais-je à souffler à son oreille avant de profiter de mon autre main de libre pour caresser de son cou, entre ses seins, remonter pour les malaxer doucement, laisser sa tête tomber en arrière sur mon épaule, mettre mon autre main de ses fesses à son ventre, pour descendre vers son intimité et caresser des lèvres gonflées et humides. Je pense que ça veut dire que oui. continuais-je la contrôlant de mes deux mains, embrassant son cou et infiltrant mes doigts au plus profond d'elle même.

Et l'habitude restait bien là. Après la séance, je la retrouvais dans sa cabine de douche. On ne pouvait pas faire autrement, c'était comme cela que devait finir une séance avec elle. Je m'infiltrais dans sa douche en passant par un autre chemin, histoire qu'elle ne sache pas si je venais ou pas. Elle devait s'en douter - ni elle ni moi n'étions capable de se tenir à une simple séance, c'était le petit plus. Faut dire les choses comme elles sont, en plus d'être sympa, Charlotte est quand même quelqu'un de sacrément sexy. Pourquoi ne pas profiter? Après tout, la vie est faite pour être vécue. Je n'attendais pas longtemps pour lui caresser le corps, mon sexe contre ses fesses rebondies. Avant que je puisse jouer plus longtemps avec son intimité, elle se retourna vers moi me soufflant que grâce au ciel elle n'était pas rancunière. Elle jouait déjà avec mon sexe, je levais un sourcil, amusé. Ses lèvres vinrent rencontrer les miennes dans un baiser pas mal fougueux. Je l'attrapais par les cheveux. Elle me mordit la lèvre inférieur, je souriais. Après ça, elle descendit à genoux pour prendre mon sexe entre ses lèvres pulpeuses. Je lâchais un râle de satisfaction, avant de la regarder faire, de prendre ses cheveux entre mes doigts pour l'aider dans ses mouvements divins. tu sais y faire hein coquine. dis-je alors, la voix rauque. Je lui attrapais la tête pour qu'elle remonte, je caressais ses lèvres qui venaient d'entourer mon sexe de mes doigts. Je descendis à mon tour mordillant ses tétons au passage j'allais m'occuper de son sexe, passant ma langue, caressant de mon doigt, pénétrant de temps en temps. Ses lèvres vaginales gonflaient, s'humidifiaient de plus en plus. Je remontais doucement avant d'aller l'embrasser et de souffler : on m'a dit que c'était bon pour le cardio et de sourire. je la plaquais contre une paroi de douche, je la soulevais pour qu'elle entoure ses jambes autour de mes hanches et je la prenais violemment sous l'eau chaude.