(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Mer 23 Nov - 11:06
a little more time alone
JE crois bien qu'étant une fille nerveuse de nature, qui flippe et stresse pour un oui pour un non, il était tout à fait impossible que je ne transpire pas la nervosité le soir de ma première fois. J'avais attendue ce moment si longtemps, j'avais patienter le retour de Kieran alors que je n'étais même pas sûre de le revoir un jour. Le fait est que j'avais eu quelques occasions de sauter le pas avec Miles, il avait mis les bouchées doubles pour me faire succomber à son charme. J'aurais été menteuse que de dire qu'il n'était pas un très beau garçon et que je n'avais aucune envie de lui, je suis une fille de vingt-deux ans et comme tout le monde, j'ai certaines envies. Pourtant, à chaque fois que je m'étais trouver sur le point de craquer, je n'avais pas trop compris pourquoi mais le visage de Kieran m'était apparut.. Peut-être comme un signe, un avertissement, un truc du genre "souviens toi de ta promesse". J'avais du plus loin que je me souvienne toujours voulu que Kieran Maddox soit le premier et le seul garçon au monde avec qui je coucherais. Je savais au plus profond de moi qu'il était l'homme de ma vie, vous trouverez peut être ça naïf, moi je trouvais ça romantique. Et puis ce soir là était enfin arriver, je me trouvait nue devant lui à l'exception de ma petite culotte en dentelle et je crevais de chaud. J'emmêlait mes mots, mes pensées partaient dans tout les sens, je ne savait absolument pas comment il réussissait à rester aussi.. Foutrement calme ! Alors, je m'affolait et le bombardais de question. Combien de femmes avaient déjà partager son lit, à combien de femmes il avait fait l'amour, combien il en avait toucher de cette façon.. Ses lèvres, qui avant m'appartenaient, à combien de femmes elles avaient offerts des baisers, donner des frissons. Ses horribles images que j'avais dans la tête en pensant à tout ça me firent grimaçer et je plaquais alors mes mains sur mon front et tirait mes cheveux en arrière. Il pris finalement la parole pour me dire de me détendre, me dire que je n'avais nullement besoin de me poser toutes ses questions.. Je soufflais un bon coup et plongeais mon regard dans le sien alors qu'il continuais sur sa lancée. Kieran, ou l'homme qui a toujours les mots qu'il faut. A plus il parlait et à plus je pouvais sentir mon corps se détendre.. Mes mains se décrispaient un peu alors que je ne le quittais pas du regard et l'écouter attentivement me dire qu'il n'avait pas eu tant de filles que ça. Cette avoeu me rassura, je devais avouer. Il ajoutais que ce serait la première fois pour lui qu'il ferait l'amour à une fille dont il était amoureux et cette phrase là eu le dont de me faire sourire. Je posais doucement mes mains autour de son visage que je caressait du bout des doigts, admirant ses traits que je connaissait pourtant déjà parcoeur tout en restant attentive à ses paroles. Je n'avais aucune raison de douter de ses mots, Kieran avait toujours été droit et sincère avec moi. Certes, nous étions bien différent, j'exprimais mal mes sentiments alors que lui savait très bien le faire et c'était pourquoi je ne pouvais douter de lui. Je savais qu'il m'aimais plus que tout au monde et la réciprocité était là. J'avais tout simplement envie de finir ma vie avec lui, j'en avais toujours eu envie depuis le jour où il avait débarquer dans mon cours de français et chambouler mes pensées. Je crois que cette envie était visible à tel point que mon père, Miles, et mon entourage au complet le savait aussi. Voilà pourquoi ils se démenaient tant pour nous empêcher d'être ensemble. J'étais persuadée qu'en rentrant en ville, je pouvait m'attendre à ce fameux entourage pour me dire ô combien ma vie serait différente avec Kieran. Ô combien je ne devrais pas faire cette erreur qui selon eux briserait mon existence.. Mais je m'en fichais royalement à vrai dire. Tout ce qui comptais désormais était Kieran. Bon ! Je me sentais rassurée, alors qu'il m'affirmait que si je ne me sentais pas prête, il ne m'en voudrait pas. Ce garçon était tout bonnement adorable. Je plaquais un léger baiser sur ses lèvres puis lui sourit en coin. « Ca va aller. J'en ai envie. » Lui soufflais-je alors. Mes mains se plaçaient dans son dos et je me collais d'avantages à lui, me mordillant un peu la lèvre. « Il me semble qu'on raconte que ça fait un peu mal..? » Grimaçais-je en le regardant, puis je ris légérement. « Tu sait que le moindre petit truc me fait horriblement mal, je suis une chochotte alors.. Te moque pas. »
(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Mer 23 Nov - 16:56
La magie du premier amour, c'est d'ignorer qu'il puisse se finir un jour.
Quand je la regardais, je pouvais lire dans son regard combien elle était inquiète. Et puis, je sentais bien qu'elle était loin d'être détendue, elle semblait toute crispée, toute contractée, chose que je pouvais comprendre. On entendait tout un tas de choses sur la première fois. Certaines prétendent que c'est douloureux, tandis que d'autres n'ont rien senti. Certaines affirment avoir saigné, alors que d'autre n'ont même pas senti l'hymen craquer. Certaines diront que l'homme avec qui elles ont franchi le pas a été maladroit, s'est mal comporté, n'a pas su bien faire les choses, et d'autres se verront plus rassurantes, en expliquant que la personne a été douce, compréhensive, et a tout fait pour que leur première fois soit le moins douloureux possible, et soit également magique. Donc je pouvais parfaitement comprendre les inquiétudes de ma petite amie. Cependant, elle vient à se poser des questions, beaucoup trop de questions qui à mon sens n'avaient pas lieu d'être. Elle se mit alors à penser que je me permettrais de la juger, et de la comparer aux filles qui j'ai pu avoir auparavant. Et quoi qu'elle puisse penser, je n'avais pas eu tant de conquêtes que ça. En réalité, j'en avais eu deux, la fille avec qui j'avais fait ma première fois, et Chloé. J'étais loin d'être ce genre d'homme qui passait son temps à essayer d'agrandir son tableau de chasse. Personnellement, ce n'était pas quelque chose qui me posais problème. Et puis, avec Cody, c'était tellement différent. Les filles avec qui j'avais couché auparavant, il est vrai que je ressentais une certaine attirance, mais ce n'était que purement et simplement physique, il n'y avait rien derrière, alors qu'avec Cody, c'était différent. Je l'aimais, du plus profond de mon coeur et de mon âme. Alors, je savais qu'avec elle, ça serait comme une première fois finalement. Mais c'était bien ça le problème des filles, elles pensaient à beaucoup trop de choses à la fois, des choses parfois complètement insensé. A mes yeux, il n'y avait pas mieux que Cody. Je l'avais déjà vu en sous-vêtements, et je savais combien les courbes de son corps étaient parfaites, je me demandais même comment elle pouvait douter autant d'elle-même. Même si elle n'avait jamais franchi le cap, il n'en demeure pas moins qu'elle savait comment s'y prendre, elle savait se montrer à la fois tendre et sensuelle, fougueuse et passionnée. Je ne me faisais aucun souci quant au fait qu'elle ne s'en sorte pas. S'il faut elle se surprendrait elle-même. Toutefois, elle semblait rassurée suite à mes propos, et c'est tout ce que je voulais. Je ne voulais pas qu'elle s'affole, ou que nous fassions ça dans de mauvaises conditions, c'est pour cette raison que je l'informais que si elle préférait que l'on s'arrête là pour ce soir, alors ainsi soit-il. Elle vint me déposer un baiser ce qui me rassurais. Cela signifiait qu'elle me croyait, qu'elle croyait en la sincérité de mes mots, et qu'elle était plus ou moins rassurée, c'est tout ce que je voulais. Je souriais, me penchant légèrement puis lui embrasser le front, avant de la regarder une nouvelle fois, venant caresser sa joue d'une main libre. Je sentis ses mains venir se loger dans mon dos pour me faire comprendre qu'elle voulait rompre cette distance entre nous. Je me retrouvais alors le torse contre sa poitrine. Ca peut faire mal, mais tu sais, si on écoute tous les "on dit" on a pas fini, lâchais-je dans un premier temps tandis qu'elle reprit la parole pour me faire rire lorsqu'elle se qualifiait de chochotte. Ce n'est pas totalement faux, mais tu sais aussi que je ne compte pas agir comme un bourrin, et que je compte bien faire attention et tout mettre en oeuvre pour ne pas te faire mal, et quand bien même tu aurais mal, je préfère que tu me le dises, repris-je à l'attention de cette dernière. J'espérais juste ne pas être maladroit, et ainsi ne pas lui faire mal, car je m'en voudrai si cela venait à arriver. Je fis glisser ma main qui se trouvait sur sa joue derrière sa nuque pour rapprocher nos visages et l'embrasser, avant d'intensifier de baiser pour lui montrer que j'avais toujours envie d'elle, malgré la discussion, malgré ses inquiétudes. Je ne voulais toutefois pas la brusquer, et attendre de voir comment elle allait réagir face à tout ça. Si elle était prête ou non.
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(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Sam 26 Nov - 0:18
a little more time alone
Bon, ok. Je crois que là, j'étais plus ou moins prête ! Du moins, aussi prête que l'on puisse l'être. J'avais décider de perdre ma virginité ce soir, c'est pas forcément un truc qu'on prévoit en temps normal, mais je suis pas le genre de fille "normal". Moi j'aime tout prévoir, j'aime savoir ce que la vie me réserve, j'ai vraiment horreur des surprises. J'aime planifier, et quant bien même dans mon esprit j'avais planifier d'offrir ma première fois à l'homme que j'épouserait (cliché je sais), celui là se résumait à l'homme de ma vie et après qu'il vienne de me le faire comprendre une enième fois, Kieran était bel et bien l'homme de ma vie. J'avais placer mes mains dans son dos pour le coller de nouveau à moi tandis que mes doigts faisaient des allez-retour sur sa peau. Ses lèvres vinrent retrouver les miennes et j'en fut plus qu'heureuse, la nervosité était encore présente, mais beaucoup moins contraigniante. Maintenant, j'étais rassurée. Je savais qu'il serait doux et tendre, je savais qu'il était le seul homme au monde avec qui j'aimerais passer la nuit. Tandis que le baiser que nous partagions, d'abord remplis de tendresse se transformais peu à peu en quelque chose de beaucoup plus sensuel, pour finir par en devenir fougueux mes doigts c'étaient crisper sur sa peau. Mes jambes s'enroulaient autour de sa taille, collant ainsi parfaitement mon bassin au sien. Je pouvais sentir son intimité contre la mienne et ce simple sentiment me donnait des frissons. Et puis je me déconnectais totalement de la réalité, je me laissait aller complètement dans les bras de la personne que j'aimais le plus au monde. Les yeux clos, je laissait ma langue danser avec la sienne et ne pouvait réprimer quelques soupires et gémissements de bonheur entre deux baisers. Mes mains remontaient doucement sur ses bras, puis ses épaules et enfin sa nuque. Mes caresses au début du bout des doigts étaient beaucoup moins contrôlées désormais, beaucoup plus prononcées. Je sentais mon corps tout entier frissonner sous ses doigts, la chaleur me montait au visage et la seule chose à laquelle je pouvais désormais penser était à quel point j'avais envie de lui : à en mourir. Je crois que la fin du monde, la troisième guerre mondiale pouvait bien se déclarer à cet instant je ne bougerais pas de ce lit. Il était hors de question que je me décolle de lui, de ses bras, de ses baisers, de la châleur de sa peau, de ses lèvres sur les miennes. Finalement, après quelques minutes de baisers amoureux et passionnels, Kieran s'assurait une enième fois que j'étais prête pour que l'on passe à l'étape supérieur. D'un petit sourire en coin, j'hochais la tête pour lui donner le feu vert. Puis quand finalement il se décidait à retirer son boxer et placer son intimité tout contre la mienne mes dents vinrent attraper automatiquement ma lèvre inférieur alors que je fermais un instant les yeux. Il entrait ensuite doucement en moi, les premières secondes furent heureusement les plus pénibles.. Mes ongles c'étaient un peu enfoncer dans la nuque de Kieran alors que je gardais les yeux clos et continuait de mordre ma lèvre afin d'atténuer la légère douleur que cela me procurait. C'était un ressentis assez étrange, ça faisait mal, mais c'était supportable. Je suis douillette, alors je tentais de me persuader que ce n'était que quelques secondes douloureuses à passer et qu'ensuite je n'aurais plus jamais mal. Cette pensée s'échappait aussi vite que la petite douleur que j'endurait. Finalement, alors qu'il avait reposer son attention sur mon visage et que j'avais ouvert de nouveau les yeux, je réalisait que Kieran était entièrement entrer en moi et qu'après tout ce temps enfin nous ne formions qu'un. Mes yeux étaient sûrement humides, mais je lui offrit tout de même un petit sourire. Je me mise à caresser ses cheveux et plongeais mon regard dans le sien. « Ca va, t'en fait pas. » Me contentais-je de souffler, sachant parfaitement qu'il devait se soucier de moi. Je déposait de nouveau mes lèvres sur les siennes et plus les secondes passaient plus la douleur laissait placer à un plaisir beaucoup plus intense. Je laissait alors échapper des petits gémissements de satisfaction.
(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Sam 26 Nov - 16:22
La magie du premier amour, c'est d'ignorer qu'il puisse se finir un jour.
Trouver les mots justes, rassurer une personne paniquée n'est pas toujours évident. Et encore moins quand cette personne n'est autre que Cody James. Qui se pose mille et unes questions, qui manque cruellement de confiance en elle, et qui surtout ne peut s'empêcher de penser aux filles que j'ai pu avoir avant elle. Elle serait bien surprise de savoir que je n'en n'ai pas eu beaucoup. Et je n'en n'avais ni l'envie, ni le besoin, jusqu'à ce que je rencontre Chloé, quelques années plus tard. Et encore là, il n'y avait pas cette alchimie entre elle et moi qu'il peut y avoir entre Cody et moi. Quelque chose de fort, dépassant tout ce que l'on pourrait imaginer. Ainsi, j'avais essayé de trouver au mieux comment la rassurer. Je ne me trouvais pas tellement doué pour ça. J'avais l'impression de me répéter, ou bien de m'enfoncer. Mais finalement, à mesure que je m'exprimais, je pouvais la sentir se décontracter un peu, se relâcher comme auparavant. Elle vient même d'elle même me faire comprendre qu'elle voulait rompre ces quelques centimètres qui séparaient nos deux corps suite à sa propulsion soudaine précédemment. Je me laissais faire pour sentir de nouveau la chaleur de son corps contre le mien venir provoquer une multitudes de frissons en moi. Une sensation tellement agréable provoquait par l'être aimé. Doucement, elle se détendait, et nous reprenions là où nous nous en étions arrêtés. Lorsque ma langue jouait dangereusement avec la sienne, tandis que mes mains vaquaient à leurs occupations. Découvrant chaque parcelle de son corps parfaitement sculpté. Et après elle pensait que j'allais la comparer aux autres. Il n'y avait rien de comparable. Je la regardais avec amour, comme je l'embrassais ainsi. C'était bien là la différence. C'est que contrairement aux autres, elle, j'en étais fou amoureux. Je réalise que je pourrais faire n'importe quoi pour elle, n'importe où, n'importe quand, n'importe comment. Je le ferai j'irai. Qu'importe ce qu'elle pourrait me demander. C'était donc ça l'amour. Vouloir le meilleur pour l'être aimé. Et c'est ce que je voulais ce soir, que sa première fois soit la plus belle. Douce, remplie d'amour, mais également qu'elle puisse ressentir du plaisir. Alors évidemment, ce n'est pas le summum du summum lors de la première fois, mais je voulais qu'elle ressente un avant goût de ce qui l'attendrait à l'avenir, une fois que le premier CAP serait passé. Nos caresses se faisaient de plus en plus coquines, tandis que nos baisers quant à eux se voulaient être fougueux et passionnés. Je sentais que c'était le moment, elle gémissait, soupirait face à ce que je lui faisais, des baisers, de part et d'autre de sa poitrine, puis je m'amusais à balader es lèvres sur son corps, sur des zones sensibles qui pouvaient la faire frémir. Mes mains quant à elles savaient où se balader pour la faire frissonner. Son corps parlait à sa place, et me faisait comprendre que c'était le moment. Je n'avais pas oublié d'enfiler le préservatif parce qu'il fallait bien prendre nos précautions. Puis je n'avais aucune idée de son mode de contraception. Pilule, stérilet, et j'en passe. Je n'en savais rien, il faut dire que nous n'avions pas abordé le sujet, alors il est vrai que je ne l'avais jamais vu prendre sa pilule, mais elle pourrait très bien la prendre le soir en se couchant, et je ne le verrais pas, enfin bref, mieux vaut prévenir que guérir comme on dit. Je me replaçais alors au dessus de la jeune fille, plaçant mon intimité sur la sienne pour la caresser avec insistance. C'était le moment. J'entrais doucement en elle. Je faisais attention. Je pouvais sentir ses ongles se planter dans ma nuque. Mais je ne lui en voulais pas. Cela devait être douloureux. Je pouvais le voir à l'expression sur son visage. Les yeux clos à se mordre la lèvre inférieur comme pour s'empêcher de crier dû à la douleur, ou encore de se focaliser sur autre chose. J'essayais de faire au mieux pour ne pas lui faire mal, mais ce n'était pas évident, le tout, c'était d'entrer complètement en elle, après ça irait surement mieux du moins, c'est ce que j'espérais. Désormais en elle, je faisais des vas-et-viens, des gestes doux et tendres pour ne pas la brutaliser. Je scrutais son visage, guettant la moindre expression. Elle ouvrait alors doucement les yeux pour que nos regards ne se croisent enfin. Tout en poursuivant mes mouvements en elle, je l'interrogeais du regard, espérant que tout aille bien. Malgré la chaleur et l'intensité de l'instant présent, elle parvint à me répondre que ça allait. Nos lèvres se retrouvaient dans un langoureux baiser tandis que je me laissais aller à mes envies, accélérant un peu plus mes mouvements en elle, pour sentir vraiment nos deux corps ne faire plus qu'un. Il faisait chaud, j'avais chaud, clairement. C'était vraiment bon, vraiment agréable, tout ce que l'on pouvait ressentir à cet instant même. Cody finit par laisser quelques gémissements s'échapper de ses lèvres, ce qui eut pour don de me faire sourire. J'étais content de savoir qu'elle prenait du plaisir pour sa première fois, qu'elle ressentait quelque chose d'autre que de la douleur. Que je lui faisais du bien. Pendant l'acte, je m'amusais à venir l'embrasser dans le cou parce que je savais pertinemment qu'elle adorait ça, puis je lui mordillais légèrement laissant échapper un râle dû au plaisir que je pouvais ressentir à cet instant même.
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(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Sam 26 Nov - 23:08
a little more time alone
La douleur était supportable et fort heureusement, elle s'éstompais rapidement. A la place, une vague de plaisir me fit frissonner de la tête aux pieds. Même si les premières minutes je restais sur la réserve, ne voulant pas faire un geste qui pourrait me gâcher le plaisir ou lui gâcher le sien, au bout d'un temps ou je me rendis compte que la gêne de ma première fois avait plus ou moins disparue je me mise à l'accompagner dans ses mouvements. Les lèvres de Kieran étaient venues se déposer dans mon cou et un sourire amusé se dessinais sur mon visage, il me connaissait trop bien pour savoir que j'adorais ça. Les bisous dans le cou avait toujours été mon point le plus sensible, du moins c'est ce que je pensais.. Je me découvrais ce soir beaucoup plus de points sensibles capable de me faire gémir et de vouloir lui demander de ne jamais s'arrêter. Je me mordais un peu la lèvre de nouveau, pas par douleur mais pour tenter de canaliser mon plaisir. Puis, je me rappelais que nous nous trouvions dans une immense maison perdue au milieu de nul part et que part conséquent, même si je décidais de hurler comme une dingue personne ne m'entendrais.. Mis à part mon petit-ami, évidemment. Kieran accélérait ses mouvements et mon souffle se coupais quelques secondes alors que j'avais jetée ma tête dans l'oreiller et lever les yeux au ciel. Encore une fois, par pure bonheur. Mes mains faisaient leur chemin inverse, descendant sur ses épaules pour ensuite se placer sur ses bras, quand Kieran relevait son visage vers le mien et que je croisait son regard je lui offrait un large sourire. Au même moment, monsieur se permit d'accéléré d'avantages et là, je dois dire que je ne pu réprimer un petit cris. La surprise mélanger au plaisir, je remarquais que la façon dont je m'exprimais le faisait sourire et je lui volait alors un baiser. Kieran qui sourit, c'est la chose la plus magnifique, la plus magique au monde. Il a beau prendre ses airs sérieux parfois, il a beau jouer le mec viril et dur, Kieran il a ce genre de sourire qui vous font fondres. Le genre de sourire aussi charmant que celui d'un petit enfant innocent. A vrai dire, c'est un peu ce qu'il est. Un grand enfant innocent, doux, tendre, loyal, l'homme idéal. Je voyais absolument aucun défaut que mon père pouvait lui repprocher. En réalité, je savais parfaitement que ce que papa reprochais à mon petit-ami n'était pas d'ordre caractérielle, mais banquaire. Mon père fait parti de ses gens qui pensent que la meilleure façon d'être riche et de le rester, est de renforcer la fortune familliale à base de mariages avec de grands noms. Miles était de bonne famille, il portait un nom respecter à Londres, son père et le mien étaient d'ailleurs partenaires dans beaucoup de choses. Il était charmant, l'un des meilleurs partis d'Angleterre et peut être même du monde. Et pour une certaine raison, alors qu'il aurait pu avoir la fille de ses rêves il s'accrochait à me vouloir moi. J'étais persuader que cela n'était qu'une question d'orgueil mal placer. J'avais été sa petite amie la majeur partie de sa vie et je lui avait toujours refuser ce que toutes les autres lui avaient accorder dans la seconde : mon corps, mon coeur. Je crois que pour être honnête, ce que je pensait être de l'amour en la compagnie de Miles se résumait simplement à une amourette d'enfants. Le grand amour, le véritable grand amour se trouvait en face de moi à cet instant précis : Kieran. Depuis le premier jour et jusque mon dernier, il resterais l'homme de ma vie. Cette pensée me fit sourire de nouveau, puis je gémis et déposait délicatement mes mains sur son dos, les laissant dangereusement glisser le long de ce dernier pour finir par se poser sur ses fesses. Une partie de son corps sur laquelle j'avais souvent attarder mon regard, sans toucher évidemment. Ce soir, je ne m'en priverait pas. Mon corps ainsi que le sien commençaient à s'humidifier, nos souffles se faisaient courts, je me tortillais dans tout les sens sous ses coups de reins plus passionnels les uns des autres. Je sais pas trop comment on décrirait ça en anatomie, mais moi je décrirais ce sentiment comme magique. Mon corps entier se mit à frissonner, j'avais envie de hurler, la chaleur me montais au visage, je grimaçait de nouveau mais de plaisir cette fois-ci. Mes mains se déposaient presque violemment sur le drap en dessous de nous que je froissait fortement. Mes gémissements se firent plus prononcer, finalement mes jambes se repliaient autour de sa taille. « Kieran, Kieran ! » M'exclamais-je.. Explosion de plaisir, du bonheur à l'état pur. J'avais l'impression d'avoir été projetée dans les airs et de flotter sur un nuage. Je me sentais tellement bien, j'aurais voulu que cela dure des heures.. D'ailleurs, ça me parut des heures alors qu'en réalité cela dû durer quelques minutes, voir secondes à peine. Ma bouche se plaquait sur l'épaule droite de Kieran là où je le mordais très légèrement, mes mains s'étant reposer sur son dos. Après quoi, je restais sans bouger, les yeux clos à profiter le plus longtemps possible de ce plaisir comme je n'en avait jamais ressentis avant..
(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Dim 27 Nov - 11:09
La magie du premier amour, c'est d'ignorer qu'il puisse se finir un jour.
Pour un homme être le premier pour une fille n'est pas la chose la plus évidente à mon sens. Surtout lorsque l'homme l'a déjà fait. J'avais peur d'être maladroit, bien que j'y mette toute ma bonne volonté pour être doux, j'avais peur d'un mauvais geste, et de lui faire mal, tout ce que je ne voulais pas. J'essayais tant bien que mal de contenir mes envies pour ne pas la brusquer. Durant cette étape, sans doute la plus difficile pour elle, je la regardais, afin de savoir comment m'y prendre pour ne pas rendre la pénétration trop désagréable, mais bon, je voyais bien qu'elle avait un peu mal, ce que je pouvais comprendre, mais il fallait malheureusement que je rentre entièrement en elle, et après le plus dur serait passé. On y était parvenu, et ma nuque s'en souvenait encore mais ce n'était face au moment que nous étions entrain de passer tous les deux. Une fois en elle, sentant qu'elle commençait à se décontracter un peu, j'entamais des vas-et-viens en elle, puis plus le temps passait, et plus j'augmentais l'intensité de ces derniers en elle. Comme je sentais qu'elle allait de mieux en mieux, je me laissais totalement allé en caressant les courbes parfaitement dessinées de son corps dont j'étais dingue, et capturais ses lèvres tantôt avec fougue, tantôt langoureusement. Etouffant par moment certains de ses gémissements qui me faisait sourire contre ses lèvres. C'était agréable de l'entendre gémir de la sorte, se cambrer sous mes caresses, et peu à peu, je la sentais même essayer de bouger son bassin pour m'accompagner dans mes mouvements, signe qu'elle commençait à se sentir vraiment bien, et qu'elle appréciait ce moment que je lui offrais, mais qu'elle m'offrait également. C'était donc ça faire l'amour. Je ressentais d'avantage de choses que je n'avais encore jamais ressenti pendant l'acte. Mais je savais que c'était uniquement parce que c'était Cody. Parce que je l'aimais, et qu'elle m'aimait et ainsi nous nous donnions tout l'un et l'autre. Nous faisions en sorte d'harmoniser nos mouvements tandis que je prenais plaisir à la caresser. Ses mains auparavant timides vinrent cramponner mes fesses avec une telle poigne que je la regardais avec un sourire amusé perché sur les lèvres. C'est comme si elle était parvenue à s'ouvrir à moi, à briser cette glace qu'elle n'avait jamais brisé auparavant. Sa façon d'être auparavant timide avec moi, était devenue beaucoup plus prononcée, avec moins de crainte, et plus de détermination, et j'aimais la voir ainsi. Dieu ce qu'elle était belle quand elle gémissait face aux à-coups que je donnais. J'attrapais ses lèvres, mordillais sa lèvre inférieur, tout en ne cessant pas mes coups de reins. La chaleur de nos deux corps montaient considérablement, tandis que nos respirations se faisaient parfois saccadées. Nos corps étaient humides, mais ça n'était rien comparé à ce que nous étions entrain de vivre, pour la première fois. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle ressente autant de plaisir, mais j'en étais pleinement satisfait, ça me confortais dans l'idée que finalement, j'avais réussi à faire ce qu'il fallait pour ne pas trop lui faire mal, mais également pour lui donner un avant goût des prochaines fois. Lorsque j'atteins le summum du plaisir, je lâchais moi aussi un râle de plaisir, alors que Cody ne put retenir un cri qui me fis sourire de plus belle. C'est dingue comme j'avais passé l'acte à avoir le sourire perché aux lèvres. Ca avait été tout simplement ... Magique, merveilleux, et il fallait le dire... Orgasmique. J'espérais qu'elle ait ressenti autant de plaisir que je n'avais pu en ressentir pendant ce moment que je qualifierais d'inoubliable. Alors il est vrai que nous avions attendu pendant bien des années, et si finalement le jeu en valait la chandelle ? La fois où nous avions voulu essayer, nous étions gamins, et nous étions sur le qui-vive du moindres petits bruits, et ce jour là nous avions eu raison. Alors qu'aujourd'hui, toutes les conditions étaient réunies pour que ce moment nous marque à jamais. Qu'il soit gravé dans nos mémoires. Je l'embrassais avec passion, pendant que mes mouvements se faisaient de plus en plus lent, je n'avais pas envie que cela s'arrête, je n'avais pas envie de sortir, mais je le fis malgré tout, après avoir fait durer le plaisir jusqu'au bout. J'étais épuisé, à bout de souffle, ça avait été si intense, que je me laissais littéralement tombé à ses côtés, tentant de reprendre doucement mais surement mon souffle. Je passais malgré tout un bras sur elle, pour me rapprocher d'elle, et l'embrasser sur la tempe. Je la laissais ensuite se remettre à son tour de ses émotions. Comment tu te sens ? lui demandais-je malgré tout, afin de savoir ce qu'elle avait pensé de tout ça, comment elle se sentait à cet instant même. C'était important pour moi, de savoir si bien qu'elle m'ait donné l'impression d'apprécié ce moment, je voulais l'entendre le dire.
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(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Dim 27 Nov - 20:58
a little more time alone
Même si une fille de vingt-deux ans vierges n'est plus très commun de nos jours, cela n'avait jamais vraiment été une grande préocupation dans ma vie. Je veut dire, j'étais pas obsédée par le fait de perdre ma virginité. Je préférais aller jusqu'à quarante ans et avoir ne première fois qui se rapprocherais le plus possible de la perfection que de me donner au premier débile venu à l'arrière d'une caisse comme beaucoup trop de nanas. Et au final, j'avais bien fait de me préserver. Quand je pense que j'aurais pu accorder mon corps à Miles, qui me trompais avec la moitié du royaume unis.. Maintenant ce cap était passer, Cody James n'était plus vierge et ce grâce à Kieran. Même si au début ce fut peu agréable, par la suite se le fut bien assez ! Je n'avais pu m'empêcher de gémir et de crier au gré de ses coups de reins de plus en plus prononcer jusqu'à atteindre ce que peut de femme peuvent atteindre dans leur vie entière et auquel j'avais le droit lors de ma première fois.. Un véritable ograsme. Explosion de plaisir, de bonheur, de bien être. J'étais épuisée, le souffle court et la poitrine qui se soulevait frénétiquement au rythme de mon coeur affolé. J'avais la bouche ouverte et les yeux fermés, tentant au mieux de reprendre une respiration normale. Kieran se retirait après quelques minutes et se plaçait à côté de moi, passant l'un de ses bras sous ma tête et il vient déposer un baiser sur ma tempe. J'attrapais sa main, entremêlait mes doigts aux siens et restait un instant sur le dos à fixer le plafond. Je me rendis compte à ce moment là qu'il n'y avait pas de plafond. Du moins, pas un banal fond blanc, mais une immense vitre. Les étoiles dans le ciel brillaient de milles feux, bien que les nuages se faisaient présent. Il devait faire un froid de canard et moi je crevais de chaud. Cela faisait des minutes que je me trouvais dans ce lit et je ne réalisait que maintenant cette spécificité de la chambre, mais il faut dire aussi que j'avais d'autres choses plus importantes auxquelles pensée.. Kieran ouvrit la bouche pour me demander comment j'allais, ce n'était probablement pas très difficile à deviner vu l'immense sourire béa afficher sur mon visage, mais pour le rassurer de vive voix je me tournais vers lui et lâchais un soupire satisfait. « Je vais.... Mieux que jamais ! Je me sens.. Tellement.. Bieeen. » C'était vrai, je ne crois pas m'être sentie aussi bien de ma vie. Le sexe produit un sentiment de bonheur, il me semble ? D'euphorie, je me sentais dans les nuages, mais en positif. Comme dans un rêve. Un magnifique rêve dont je ne voulait surtout pas me réveiller. Je me rapprochais d'avantages de lui et lui volait un baiser doux, attrapant sa lèvre inférieur entre mes dents puis ris doucement. « Je t'aime, Kieran. Je t'aime tellement, tellement fort.. » Soufflais-je, mes mains venant se nicher autour de son visage pour l'embrasser avec beaucoup plus de fougue. C'était dingue, j'avais juste envie de l'embrasser pour le reste de ma vie, rester dans ce lit avec lui pour toujours. Je ne voulait jamais que ce moment se termine, j'étais tellement dans le meilleur moment de ma vie, là. Mes lèvres déviaient des siennes et se déposaient sur son cou avec sensualité, puis sur son torse, descendant doucement sur son ventre avant de remonter à son visage et le recouvrir de baisers. « Crois pas que c'est finit, on a des années à rattraper. On recommence jusqu'à être épuisés, d'accord ? » Souriais-je alors que je me plaçait à califourchon sur lui, mes mains à plat sur son torse. « Dis moi qu'on se quittera plus jamais. Dis le moi comme si tu faisait la plus importante promesse de l'univers. » Face à son sourire en coin, je sourit moi aussi et déposait mes mains de chaque côté de sa tête sur le matelas, me soutenant juste au dessus de lui et frottais rapidement mon nez au sien. « Aller, promet ! Promeeeeeet ! » M'exclamais-je avant de commencer à chatouiller ses hanches, riant à pleins poumons. Euphorique, je vous dis. Il pris malheureusement rapidement le contrôle et je du arrêter, sans cesser de sourire je le fixait alors. « Mh, dis moi aussi que tu va continuer à me faire l'amour.. Tout le week-end ? » Lançais-je avec amusement.
(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Lun 28 Nov - 19:16
La magie du premier amour, c'est d'ignorer qu'il puisse se finir un jour.
Finalement, ça c'était encore mieux passé que ce que je n'aurai pu il'maginer. Alors il est vrai que la pénétration n'avait pas été la chose la plus agréable qu'il soit pour Cody, mais il n'empêche que le plaisir avait fini par prendre le dessus sur la douleur, ce qui pouvait sembler si surprenant pour une première fois. En revanche, j'étais soulagé qu'elle se sente bien lors de ce moment. A tel point qu'elle se laissait complètement aller en se montrant plus démonstrative, plus entreprenante, et en essayait de faire ce qu'il fallait pour que nos mouvements soient en parfait accord. En réalité, cela faisait un petit moment que je n'avais pas eu de rapports, et il faut dire que c'était vraiment très agréable de partager ce moment avec cette fille en particulier. Il n'y a pas à dire, rien ne vaut un tel acte avec la personne que l'on aime. On ressent encore plus de plaisir, on s'y donne à fond, on essaie de tout faire pour que l'acte soit magique. Et c'était le cas. Nous étions en parfait osmose. Les cris de Cody me donnaient encore plus envie d'accentuer mes coups de reins, chose que je ne me priais pas de faire, jusqu'à tout deux atteindre le plaisir maximum. J'étais surpris qu'elle puisse ressentir ça pour une première, mais j'étais encore plus heureux qu'elle ait pu réaliser combien cela apporter du bon en soi. Ca avait été si intense, si éprouvant qu'en me retirant de cette dernière, je me laissais littéralement tomber à ses côtés. N'ayant pas nécessairement envie de me séparer d'elle, je l'entourais de mes bras pour la garder contre moi. Avant ça, je nous avais quand même laissé quelques minutes de répit afin de pouvoir reprendre respectivement nos souffles qui étaient encore bien saccadés. Je fermais un instant les yeux, repensant à ce que nous venions de vivre, j'avais comme l'impression de rêver. Non pas parce que nous étions passés à l'acte, mais surtout parce que ce moment me faisait réaliser que j'avais enfin retrouvé la femme que j'aimais plus que tout au monde. Que je n'avais d'ailleurs jamais cessé d'aimer. Bien qu'elle semblait se sentir bien, je m'en assurais en lui demandant comment elle se sentait après cette première fois. Elle m'offrait dans un premier temps un beau sourire, sourire qui me donnait tout simplement envie de l'embrasser. Mais je me retenais puisqu'elle reprit la parole pour m'informais qu'elle se sentait tellement bien. Ces mots me firent alors sourire, et intérieurement, je me sentais rassuré d'avoir été à la hauteur. Ce n'était pas évident de coucher avec une fille, lorsque c'était sa première fois. Mais j'avais essayé de tout faire pour que ça soit le moins douloureux possible, c'était ça le plus difficile. Sans que je n'eus le temps de répondre quoi que ce soit, elle s'emparait de mes lèvre avant de s'amuser à mordiller ma lèvre inférieur. Je suis rassuré que ça se soit bien passé, avouais-je à demi-mots, avant de reprendre Je t'aime aussi tu sais. Ses mains vinrent entourer mon visage pour venir m'embrasser. Mais... C'était un baiser plus prononcé qu'habituellement. Plus fougueux, alors qu'avant elle avait tendance à être plus timide dans ce qu'elle pouvait faire avec moi. C'est comme si maintenant qu'elle savait ce que c'était elle n'avait plus aucune crainte. Et puis je pouvais le comprendre, ce n'était pas toujours évident de s'ouvrir complètement à l'autre. Mais désormais, elle savait qu'elle le pouvait. Elle n'avait plus à avoir peur de rien. Par la suite, elle s'amusait à balader ses lèvres sur mon corps, ce qui me faisait frissonner de tout mon corps et de tout mon être. Ce que j'aimais sentir le contact de ses lèvres sur ma peau. Ca me faisait me sentir tellement bien. J'avais l'impression de faire face à une nouvelle Cody. Plus spontanée, plus libérée. Elle était tellement mignonne à agir de cette manière, que je souriais stupidement tel un gamin. La remarque qu'elle me lançait me fit rire, parce qu'à l'écouter, elle était prête à recommencer, là, maintenant, tout de suite. Mes mains vinrent se poser sur ses hanches, comme pour la tenir. Dis donc mademoiselle, je vais finir épuisé avant toi, la taquinais-je tant elle était dans un tel état d'excitation encore jamais vu. Et pourtant, dieu seul sait combien Cody pouvait être une véritable petite pile électrique, le genre de personne à ne pas réussir à tenir en place, mais là, c'était encore pire. C'est alors qu'elle me demandait de lui faire une promesse, avant de me chatouiller au niveau des hanches. Surpris, je me mis à sursauter, avant de rire, parce que ouais, j'étais plutôt du genre chatouilleur. Afin de la calmer, je nous faisais pivoter pour me retrouver au dessus d'elle essayant au mieux de la canaliser un peu. Elle me regardait alors droit dans les yeux. Je te le promets, lâchais-je sincèrement avant de venir prendre tendrement possession de ses lèvres. Puis je me redressais pour de nouveau la regarder. Plongeant mon regard dans le sien. Admirant la beauté qu'elle dégageait. Ce qu'elle me lançait me fit sourire. Puisque c'est ce que tu veux, soufflais-je au creux de son oreille, amusé. Je la titillais un petit peu, avant de ne faire de nouveau plus qu'un avec elle. De passer de nouveau un moment comme nous l'avions passé précédemment. Puisque c'est ce qu'elle voulait, je ne pouvais me résoudre à le lui refuser. Il faut dire qu'elle me donnait tellement envie. Son regard, son sourire, ses baisers, sa peau chaude et humide contre la mienne, les courbes de son corps, nos mouvements en parfait harmonie. Ce week-end commençait parfaitement bien, et ce n'était que le début d'un week-end surement inoubliable. Seulement, lorsque nous terminions notre acte et que nous récupérions tranquillement, observant les étoiles à travers cette immense baie vitrée qui se trouvait sur nos têtes, la porte sonnait. Je tournais la tête vers Cody en riant légèrement. Des bonbons ou un sort, lâchais-je en riant, étant pratiquement sûr que des mioches se trouvaient derrière notre porte, vêtus de déguisements horrifiants, à la quête de bonbons. Fallait que ça arrive ça, ajoutais-je en riant légèrement. Autant te dire que moi, je prendrais bien une petite douche, parce que ce n'est pas que, mais j'ai eu un peu chaud, repris-je d'un air amusé, avant de l'embrasser du coin des lèvres, pour ensuite me lever et rejoindre la salle de bain. Je devais avouer qu'elle était vraiment belle, encore une fois elle était très spacieuse, très moderne. Je tiens à te dire qu'il y a même uns sacrée baignoire, criais-je en passant la tête à travers la porte pour en informait ma petite amie, sous entendant bien sûr que nous y ferions un petit tour tous les deux.
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(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Mer 30 Nov - 13:29
a little more time alone
Je venais de passer le moment le plus magique de mon existence à ce jour. Je pense qu'il faudraity aller oin pour me faire redescendre de mon petit nuage, là de suite. Il m'avouait être content que tout ce soit bien passer, moi aussi et je doit dire qu'en plus maintenant je n'aurais plus cette pression. C'était comme si le poids sur mes épaules était redescendu d'un coup, je n'étais plus stressée ou anxieuse, le cap était passer et désormais je pourrais profiter pleinement de ce week end en sa compagnie. Je lui avait alors fait remarquer que je tenais à ce que l'on passe tout notre séjour à continuer nos ébats, et je ne pu m'emêcher à sourire à sa remarque. « T'es un sportif, je m'en fait pas pour toi. » Avais-je alors lancer, d'un air amuser. Puis je lui demandais de promettre de ne plus me laisser, plus jamais. Parce que je crois que vu notre relation ses derniers jours, aussi passionnelle et fusionnelle je n'aurais pas survécu à une seconde séparation. Je voulais passer ma vie à ses côtés, ce ne serait sans doutes pas facile tout les jours. J'avais un sale caractère et le petit Maddox en avait un aussi. Et puis les amis, les exs, la famille, tout ça pouvait donner raison à rupture, pourtant j'étais persuadée que lui et moi c'était fait pour durer. Que Kieran et moi resterions ensemble tout au long de notre vie. Il avait finit par promettre après nous avoir fait pivoter afin de se retrouver au dessus de moi et d'avoir plonger son regard dans le mien. Ses grands yeux noirs et si profonds que j'aimais tant. Je sourit d'avantages, puis nous nous relançions dans nos ébats amoureux. Je crois que je ne me laçerait plus de ce sentiment de bien être, de plaisir, s'excitation et de jouissance. Pourtant, épuisés nous avions finit par nous laisser tomber sur le dos et avions passer quelques minutes à contempler le ciel noir et étoilé jusqu'à ce que la sonette d'en bas ne nous sorte de nos pensées. Je n'avais pas vraiment envie de bouger de là, la remarque de mon petit ami me fit sourire également. « Compte pas sur moi pour ouvrir la porte, je te rappel qu'on est au milieu de nul part. Les premiers voisins sont à 5 kilomètres, ça m'étonnerais que des enfants se balladent si loin le soir. » En le disant à voix haute, je haussait les sourcils et me demandait bien qui pouvait avoir sonner. Kieran lui ne semblait ni curieux, ni inquiété, bien qu'il n'y ai pas de raison de s'inquiété véritablement. Il se levait et fit remarquer qu'il allait à la douche, tandis que je remontais un drap sur mon corps. J'eu un sourire en coin à ses paroles. « Tu serais sympa de nous faire couler un bain, au lieu d'aller à la douche comme un sale égoïste. » Avais-je répliquer alors qu'enrouler dans mon drap, je me levais et m'approchait de la fennêtre afin de regarder qui se trouvait devant la porte. Je ne vit personne, mes yeux tentait de regarder sur le chemin qui menait à la maison, mais l'obscurité était bien trop présente, et puis les arbres de partout n'aidaient pas vraiment. Une nouvelle fois, je fronçait les sourcils mais tentais de chasser ses pensées paranoïaques de ma tête. Je regardais bien trop de films d'horreur. Je fit alors volte face et passait devant la cuisine, m'appuyant au coin de la porte et admirait le corps nu de Kieran en me mordillant la lèvre. « Je crois que je vais aller nous chercher la bouteille de champagne, ou du moins ce qu'il en reste. Et puis.. J'ai un peu faim. Je crois avoir vu des fraises en bas. » Je m'approchais de lui pour déposer un baiser au coin de ses lèvres et souffler doucement : « Pis du chocolat. Si t'es sage, je serait ton dessert. » Je ne pu réprimer un léger rire, avant de m'éloigner de lui pour me diriger vers l'immense escalier et commencer à descendre les marches tout en fredonnant une petit mélodie. Il y avait du vent dehors, le carillon devant la porte s'agitait, un orage n'allait pas tarder. J'aimais les orages, alors ça ne me déplaisait pas. Ca rendrait l'ambiance d'avantages cosy. En attendant, je gagnais mon chemin jusqu'à la cuisine là où je nous préparait un petit plateau repas ou plutôt, plateau gourmandise.
(#)Sujet: Re: a little more time alone + kiody | Mer 30 Nov - 17:45
La magie du premier amour, c'est d'ignorer qu'il puisse se finir un jour.
Cody, bien qu'épuisée par sa première fois me fit part de ses envies, à savoir recommencer, là, maintenant, tout de suite. Je devais avouer que ce n'était pas pour me déplaire, c'est pour cette raison que j'avais repris ma place sur elle pour la pénétrer de nouveau cette fois-ci avec plus d'intensité et d'envie. Maintenant que la douleur avait laissé place au plaisir, nous n'avions plus qu'à en profiter, et c'est tout ce que Cody voulait, profiter et rattraper le temps perdu. Faire l'amour avec la personne que nous aimions était bel et bien différent d'une simple coucherie avec une personne qui ne nous attire que physiquement. Je pouvais en témoigner maintenant. C'était tellement bon, tellement agréable, et puis j'aimais ce contact permanent de sa peau contre la mienne. Cependant, l'acte prenait un long moment avant que je ne me retire une nouvelle fois me laissant de nouveau tomber à ses côtés. Cette fois-ci, ça avait été beaucoup plus intense, beaucoup plus prenant, résultat, j'étais littéralement essoufflé, mais ça faisait du bien. Je la gardais tout contre moi, tout en laissant mon regard se perdre dans ce ciel étoilé. Il faisait nuit, dans la chambre également, et nous étions seulement éclairés par la lumière que produisait les étoiles ainsi que la lune qui était pleine à l'occasion d'Halloween. En parlant d'Halloween, on ne tardait pas à venir sonner à notre porte. Etant un soir festif au court duquel les enfants venaient toquer à toutes les portes du quartier pour récolter des bonbons, j'imaginais que cela pouvait être des gosses déguisés. Cependant, Cody me mit la puce à l'oreille à me rappelant que la villa était située au beau milieu d'une forêt, et que donc par conséquent, le premier voisin était sans doute à 5km d'ici. Il est vrai qu'elle marquait un point, quels parents laisseraient ou emmèneraient leurs enfants ici, dans ce trou paumé. Enfin, j'imaginais alors que c'était tout simplement une mauvaise blague, en même temps, cela ne serait rien d'étonnant en cette soirée. Qui n'aurait pas l'idée de venir faire peur à un petit couple dans une maison située dans la forêt. Quoi qu'il en soit, j'essayais de ne pas faire peur à Cody. Pas de panique, ce n'est rien, tentais-je de la rassurer alors qu'elle semblait se poser des questions sur l'origine de cette manifestation. Je me levais l'embrassant sur le front, avant de quitter la chambre pour aller me prendre une petite douche bien tiède, car j'en avais bien envie. Je tendais la perche à ma petite amie, en lui faisant remarquer qu'il y avait une splendide baignoire qui n'attendait plus que nous. Je crois que cela faisait bien des années, et des années que je n'avais pas de bain, alors c'était l'occasion de le faire. En plus, il n'y avait rien de plus romantique que de prendre un bain avec sa petite amie. Rien ne t'empêches de me rejoindre, rétorquais-je du tac au tac tout en me passant la tête sous l'eau afin de mouiller ma tignasse. Je finis par augmenter la température de l'eau, par simple envie, et cela faisait du bien, je pouvais sentir mes muscles se détendre. Quand j'eus enfin terminé, je m'enroulais dans une serviette de bain, avant de quitter la douche et me retrouvais dans la salle de bain. Tant l'eau était bouillante à la fin, il y avait de la buée partout. C'est alors que ma petite amie fit sa petite apparition de la salle de bain. Et c'est sans gêne que je laissais tomber ma serviette pour me retrouver nu, et enfiler mon boxer. Une nouvelle fois, elle se mit à me chercher un peu en parlant de fraise, et de chocolat, concluant par le fait qu'elle serait mon dessert si j'étais sage. Mmh, je te mangerais bien avec un peu de chocolat moi, lâchais-je en attrapant sa main pour l'attirer vers moi, et lui mordiller la lèvre inférieur. Ainsi, je la laissais ensuite s'échapper pour regagner le rez de chaussé. Quand à moi, je terminais de m'habiller, en enfilant une tenue décontractée, et de passer un coup de sèche-cheveux à ma crinière. Ayant terminé, et Cody n'étant pas remontée, je décidais de la rejoindre pour la retrouver dans la cuisine. Passant par le salon, je pouvais entendre le vent faire danser le carillon. A mon avis, il ne tarderait pas à pleuvoir, et qui sait, peut-être même à faire orage. C'était vraiment le cliché typique d'une soirée d'Halloween. Un inconnu qui vient sonner à la porte, puis la pluie, et l'orage, il ne manquait plus que la coupure de courant, et on pourrait s'imaginer se retrouver dans un film d'horreur. Je regagnais alors la cuisine en sachant ces stupidités de ma tête, avant de me rapprocher de ma petite amie, et de m'accouder sur le comptoir, tout en la regardant nous préparer quelque chose. Mmh, ça a l'air bon, tu nous as préparé quoi là ? demandais-je en me léchant les babines. Je devais avouer qu'avec tout ça, j'avais désormais un petit creux que visiblement on allait rapidement remplir de toutes ces bonnes choses qui se trouvaient sur ce plateau que Cody nous préparer avec amour. T'as entendu le vent ? A mon avis on va avoir droit à la pluie, lançais-je avant de piquer un petit toast et de le glisser entièrement dans ma bouche, regardant Cody d'un air faussement innocent. Ché pas moi, ché rien fais, lâchais-je la bouche pleine, peinant à parler. J'avais même envie de rire, mais ça, au vue de la grandeur du toast dans ma bouche, ce n'était même pas envisageable. Me regaaardes pas comme cha, ajoutais-je manquant de rire, puis je quittais la cuisine un instant pour déguster correctement le toast avant de revenir en faisant comme si de rien était. Ni vu ni connu, lançais-je en riant légèrement, avant de m'approcher d'elle, tout en me plaçant derrière elle, j'entourais mes bras autour de sa taille pour la serrer contre moi, et venir lui déposer un baiser sur la joue. Il est où le chocolat, et pis les fraises ? glissais-je au creux de son oreille, optant pour un ton plutôt coquin.