Je remarque très bien que Beatris et moi parlons en sous entendu, enfin je parle en sous entendu personnellement. Quand je lui dis que seul une personne pourra vraiment la connaitre, j’espère que ce sera moi-même si elle et moi nous nous sommes séparer pour une raison particulière, mais je ne souhaite pas revenir la dessus, car je n’aime pas ce moment là de ma vie, même si je dois continuer à vivre avec ce genre de chose encore un petit moment. Mais quand elle fini par me donner son avis sur mes paroles, je ne peux que sourire en l’entendant, même si je me demande si elle a compris ce que j’ai eu envie de lui faire comprendre. Mais c’est sans doute pas le moment vu que je peux remarquer qu’elle est quelques peu jalouse et j’aime vraiment ce genre de chose, je vais continuer à la faire croire des choses fausses encore un petit moment.

- Avec le temps tu seras réellement qui tu es réellement, ton amant te le fera découvrir dans n’importe qu’elle situation, j’en ai appris pas mal de chose dans ce genre de situation. Maintenant je sais qui je suis et je dois vivre avec tout ce que j’ai pu apprendre. Ne prend pas cet air désespéré, tu trouveras un jour cette personne j’en suis sûre.

Bien entendu quand je me mets à parler de mon amante qui m’a fait découvrir qui je suis réellement, je parle d’elle, elle a su me faire comprendre des choses que j’ignorer sur moi et elle est vraiment importante pour moi. Avec mes paroles j’ai fait en sorte de savoir si elle avait une personne dans sa vie, même si a voir c’est réaction, ça ne doit pas être le cas, mais je préfère tout de même me renseigner discrètement avant de faire quoi que ce soit, enfin seulement si je vois qu’elle est encore réceptive à moi, même si je sais très bien que c’est compliquer entre elle et moi. Mais il est pas temps de faire quoi que ce soit en ce moment alors elle et moi continuons de discuter, cette fois c’est sur la raison de notre venue ici et de nouveau je peux voir qu’elle est jalouse et comme ce genre de chose m’amuse, j’en joue quelques peu en ne disant pas que j’accompagne un enfant et non une femme. Mais je me rends compte que je joue un peu trop sur ce genre de chose, alors je fini par lui dire la vérité en lui disant qu’elle devait faire attention à elle sinon je serai obliger de prendre soin d’elle. Bien que ce genre de chose ne me dérange absolument pas du tout. Quand elle me répond, je ne peux que prendre la perche qu’elle me tend et c’est à ce moment là que je vais avoir quelques réponses à mes questions.

- Tu sais très bien que je peux toujours me libérer quand tu es concerner, tu es peut être en pleine forme, mais pour combien de temps encore. Oh je sais ce genre de chose, si un jour tu en ressens le besoin n’hésite pas à me contacter, car j’aime m’occuper de toi vu que je sais que tu trouve ce genre de chose agréable.

Après mes paroles, je ne peux plus caché que ce que je ressent pour elle et encore fort et que j’ai envie de prendre soin d’elle, je passer du temps en sa compagnie et partager tellement de chose avec elle, même si je sais très bien que ce genre de chose est vraiment compliquer. Mais il me semble que nos corps à décider d’agir à notre place, car Beatris dépose ses lèvres sur les mienne et naturellement je réponds à son baiser même si au début je ne peux que me dire que c’est une mauvaise chose, mais en fin de compte je m’en moque, j’ai trop attendu ce moment pour la repousser. C’est donc pour cette raison que je fais en sorte de la rapprocher un peu plus de moi en mettant mes bras autour de ses hanches, mais quand on ne veut pas que ce genre de chose s’arrête, bas c’est le cas, mais quand elle me parle, je ne peux que sourire.

- De toute façon je refuse de t’entendre me dire que tu es désolé de m’embrasser surtout quand l’envie est réciproque.

Je sais très bien que ce simple baiser, var vraiment supprimer les limites que je me suis fixer quand je suis avec elle, je tiens vraiment à elle et je n’ai jamais accepté notre séparation. Mon corps réagis par lui-même et viens déposer de léger baiser sur ses joues en redescendant légèrement vers son cou. Je sais très bien que nous sommes en pleine rues, mais je ne fais absolument rien de mal et je sais me contrôler donc je sais que tout ça n’ira pas plus loin.  

Je m’amuse vraiment comme un soir de noël avec Béatris, bien entendu ce que je fais n’est absolument pas méchant, je sais qu'elle est très jalouse et bien entendu je joue la dessus en lui disant que j’ai trouvé la personne qui m’a montrer qui je suis réellement, mais le plus drôle dans tout ça c’est qu’elle ne sais absolument pas que je suis en train de parler d’elle. C’est ce qui est le plus amusant pour moi, mais je sais que quand elle va se rendre compte de ce genre de chose, je vais passer un mauvais quart d’heure ou bien au contraire, elle et moi risquons de passer de très bonne retrouvaille et ce genre de chose me fait remonter de nombreux souvenir en moi et je ne peux qu’apprécier ce que je suis en train de ressentir en ce moment. Je l’écoute parler tout en continuant de sourire, je ne sais pas ce que je peux faire sans cette femme dans ma vie même si je sais très bien que j’ai passé un certains temps sans elle, mais je compte bien rattraper le temps que j’ai manquer. Quand elle se félicite elle même sans le savoir, mon sourire s'agrandit.

- Si tu savais comme cette femme me rend heureux surtout avec ses crises de jalousie qui me donne envie de l’embrasser pour la faire taire. Je sais très bien que tu n’es pas une personne désespérer Beatris, mais je sais très bien ce qui est en train de se passer dans ta jolie petite tête et c’est ce genre de chose qui me donne le sourire.

Je ne sais pas si avec tout ça, elle va comprendre que je suis en train de parler d’elle depuis le début, mais je ne me sens pas capable de lui dire concrètement ce genre de chose, je sais très bien ce qui c’est passer entre nous et je refuse que ce genre de chose se reproduise donc c’est pour cette raison que j’ai garder mes distances, mais au bout d’un moment ce genre de chose devient de plus en plus impossible. Mais je pense que je me suis un peu trop amusé, je fini par lui avouer que c’est un gamin que j’ai raccompagner chez lui, je n’avais pas du tout précisé sur le début, mais j’avais envie qu’elle arrête de penser que j’était avec une femme alors que j’ai eu personne après elle, je ne pouvais tout simplement pas me permettre de me mettre avec une autre femme après ce qui c’était passer entre nous. Ses petites question continue de me faire sourire.

- Ne t’en fais pas pour moi, je décide ce que j’ai envie de faire et si je te dis que je serai toujours disponible pour toi alors ça sera le cas, je peux toujours me libérer et je me moque que ça puisse faire des jalouse.

Enfin je ne lui dit pas que je n’ai personne dans ma vie et que je compte avoir personne, car la seule personne que je souhaite réellement se trouve juste en face de moi et je sais très bien qu’elle est jalouse même quand on a ce genre de conversation. Je sais très bien que ses sentiments sont toujours présent tout comme les miens. Et j’en ai la confirmation quand elle vient m’embrasser, je ne peux que répondre à son baiser surtout que je n’attendais que ça, mais je m’attendais à ce genre de réaction quand je lui avoue que l’envie qu'elle a eu était réciproque, elle est toujours sur le fait que j’ai quelqu’un dans ma vie.

- J’ai toujours eu envie de t’embrasser et ce n’est un secret pour personne, mais je n’ai jamais dis que j’avais une personne qui partage ma vie ma jolie, c’est juste ta jalousie qui a conclu à ce genre de chose.

Je regarde Béatris en souriant et l’envie se fait vraiment trop forte, je me met à déposer de léger baiser sur sa joue et dans son cou, je sais très bien que nous sommes dans la rue, mais à ce moment précis je m’en moque, j’ai simplement envie de partager ce genre de moment en sa compagnie surtout quand je sens une de ses mains venir dans mon cou et dans mon dos. Je n’arrive pas à contrôler mon désir pour elle et ce genre n’a jamais changer avec les années même si elle et moi avions était un couple dans le passée.