(#)Sujet: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Sam 23 Sep - 3:54
Sleeping safe and sound
has become a fantasy now, and you're the one to blame.
Sawyer.
Erwan.
La soirée avait été facile. Rien qui ne sortait de l'ordinaire, et maintenant, la chambre était vide, il n'y avait plus que lui. Tout était rangé, propre. Il était douché et s'était glissé entre les draps et voilà, il éteignait la petite lumière et dormir, enfin, il pouvait dormir. Avant, il y a longtemps, c'était avec mélancolie qu'il allait s'endormir, parce qu'il cherchait à profiter au maximum de ses heures, d'en passer le plus possible éveillé pour profiter de la vie. Désormais, le moment où il allait au lit était le plus beau. Et il ne tarda pas à s'endormir, fatigué de sa journée. Il ouvrit les yeux après... il ne savait pas combien d'heures de sommeil, mais il faisait une noirceur palpable dans la chambre. Une obscurité épaisse dont il n'avait pas l'habitude. C'était étrange, et une sorte de boule s'était formée dans son ventre sans qu'il ne s'en rende compte, alors il voulut allumer la petite lampe juste pour se rassurer. Mais il réalisa que bouger était impossible. Il ne comprenait pas, fut confus un instant, remarqua que ses bras étaient sagement posés des deux côtés de son corps... mais impossible de bouger. Comme si une force invisible les maintenait là. Il tenta encore, sans succès. Même histoire pour ses jambes. Il n'arrivait pas à comprendre, parce qu'il n'y avait rien ni personne... pas de liens, de chaînes, ça n'avait aucun sens. Il se sentait perdre son sang froid, son coeur battait fort dans ses tympans, un boom-boom assourdissant qui claquait juste là dans ses oreilles. Ses doigts cherchèrent à s'accrocher aux draps, à creuser, pour une raison qui n'avait pas de sens, en vain. Les draps n'existaient plus. Il n'y avait plus rien d'autre que son corps nu posé sur le matelas, maintenu là par quelque chose qui n'était pas exactement là. Et il faisait toujours totalement obscur. Il ne savait pas s'il pleurait, mais il en avait envie. Il avait une boule dans la gorge, provoquée par ce sentiment horrible d'être enfermé sans rien comprendre et de n'avoir aucun espoir, d'être impuissant. Il ne savait pas ce qui était en train de lui arriver, et il était terriblement seul. Il sentit une présence près de lui, il sursauta, s'immobilisa, cessa de gesticuler pour se concentrer et essayer de voir. Mais non, il ne voyait rien du tout. Soudain, il sentit quelque chose sur sa cuisse nue, vers l'intérieur de celle-ci. Le contact était léger, presque doux, comme des doigts qui glissaient. Mais tellement menaçant aussi. Des doigts qui glissaient en remontant, passant à quelques centimètres à peine de son sexe, et une fois arrivés au-dessus de celui-ci... disparaissaient. Il n'avait rien vu, il faisait encore noir, mais il avait senti. S'était figé mais n'avait cessé de trembler quand ces doigts ou ce quelque chose était remonté juste là sur son corps, le touchant pour une raison obscure, se finissant avec un rire qui le fit sursauter. « C'est qui ? » il demanda, brisant le silence et réalisant en disant ça que sa voix était à peine un murmure rauque, parce qu'il avait si peur de perturber ce silence et cette obscurité totale. « Qui... Qui est là ? » il demanda encore après avoir été ignoré, la voix toujours aussi hésitante, craintive, à peine plus audible qu'un soupir.
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Lun 2 Oct - 0:44
sawan
sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame.
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Je suis dans sa chambre, dans un coin de la pièce où il fait si sombre. Je le regarde calmement mais ma respiration est comme haletante. Je m'approche du lit lentement, le contourne pour être face à Erwan qui essayait tant bien que mal à gesticuler. Et je souriais, d'un sourire pervers, sadique et mes yeux, d'une lueur étrange, montrant la monstruosité de ma personne. Ma main se dirige entre ses jambes, pour remonter jusqu'à son pénis posé sur sa cuisse. Il était nu, j'en profitais pour le faire peur avant qu'il ne sache que j'étais là, encore une fois. Ma main ne touche pas son sexe, elle s'arrête à temps pour disparaître finalement. Il est paniqué le petit, me demande qui est là, c'est vrai qu'il n'arrive pas à bouger pour allumer la lumière, qu'il fait si sombre qu'on se croirait dans un anus. « Ton vieil ami. » Comme une voix lointaine, mes mots sortaient de ma bouche. Puis je monte sur le lit, restant appuyé sur mes genoux, je me penche vers Erwan, une tondeuse en main. Comment elle était arrivée là, personne ne le savait, moi qui avait les mains vide quelques secondes auparavant. Je vins lui raser la tête pour commencer, lentement. Comme si j'avais tout le temps pour le faire et j'entend Erwan gémir, essayer de se débattre comme si sa chevelure était si importante à ses yeux, plus que sa vie. Après tout, ses clients ne pourront plus se cramponner à ses petites bouclettes parfaites lorsqu'il se fera enculer. Donc ils perdront du bénéfice et évidemment, Erwan se fera virer. C'était une si bonne option, j'étais sûr que s'il se faisait virer un jour, il risquerait de se tourner vers le suicide. Du moins la tentative car il serait bien capable de se louper. Alors je prend une touffe de ses cheveux et l'enfonce de force au fond de sa gorge. « Avale moi ça! » Je continue pour deux-trois autres touffes et le lâche sans demander mon reste, le faisant retomber dans un silence de mort, une inactivité pesante. Et d'un coup, sans l'avoir prévu, sans l'avoir venu venir je plaque mes mains violemment autour du coup de Erwan, serrant de toutes mes forces jusqu'à l'entendre suffoquer. Il ne le voyait certainement pas mais un grand sourire se formait sur mes lèvres, je n'arrivais plus à m'en détacher. C'était la meilleure occasion, elle ne se répétera pas alors après de longues secondes à l'entendre suffoquer, essayer de me dire d'arrêter, après avoir réussi à trouver son regard qui brillait dans la nuit, je le lâchais. Il devait sans doute avoir du mal à avaler sa grosse touffe de cheveux, alors l'étrangler ne devait pas l'aider. Je m'éloigne du lit et un couteau de boucher vint prendre forme dans ma main. Je l'aiguise quelques instants, laissant le temps à Erwan de se remettre de ses émotions, voir s'il avait une idée de ce que je comptais lui faire.
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Lun 2 Oct - 23:45
Sleeping safe and sound
has become a fantasy now, and you're the one to blame.
Sawyer.
Erwan.
Il avait senti quelque chose, là, sur sa cuisse. Des doigts qui avaient glissé tout doucement en direction de son sexe... et qui s'étaient arrêtés juste avant de le toucher. Erwan tremblait comme une feuille, maintenu immobile et incapable de se lever. Il ne pouvait pas fuir, ni allumer la lumière ou se défendre. Quelqu'un était là dans sa chambre, quelqu'un qui passait ses doigts sur son corps, qui se moquait de lui en riant un peu et ignorant ses questions. Il ne voyait rien tant il faisait noir. Un noir non-naturel, comme si la lumière n'avait jamais touché cette pièce. En général, il y avait toujours un peu de clarté, à travers une fente dans le volet de la minuscule fenêtre... mais ce soir il faisait nuit noire. « Ton vieil ami. » Il connaissait cette voix, et s'il ne put mettre un nom et un visage dessus sur l'instant, son corps réagit, sentant le danger. C'était une voix associée au mal, il le savait, son être tout entier le savait. Une voix dangereuse et mauvaise qui allait le blesser. Quelques secondes plus tard, un visage prit forme, malgré la noirceur. C'était lui. Comment était-il entré ? Qu'est-ce qu'il faisait là ? Aucun client n'était censé être encre là à cette heure-ci. Est-ce qu'il s'était caché dans la chambre pour surprendre Erwan ? Voilà qu'il lui grimpait dessus, et Erwan sentait son poids le maintenir encore plus, il semblait si lourd, lui écraser les os et lui coupait la respiration. Il lui empoigna les cheveux, et un bruit assourdissant vint briser le silence. Sawyer lui tondit une partie de ses boucles. Erwan paniqua, il ne savait même pas pourquoi cet acte là l'effrayait tant, car il aurait pu se passer des choses bien pires. Mais la terreur s'emparait de lui, le sentiment d'impuissance... La honte de se faire défigurer, d'une certaine façon. Il gémit, se demandant comment il allait expliquer ça à son boss, ce qu'il devrait faire ou subir pour qu'on le pardonne. « Avale moi ça! » et Sawyer força une quantité non négligeable de cheveux au fond de sa bouche, pressant bien pour que ça aille dans sa gorge. Il toussait, à moitié étouffé et la gorge asséchée par les mèches. Et si ce n'était pas suffisant, Sawyer choisit ce moment pour serrer ses mains autour de son cou. C'était bien différent des clients qui s'amusaient à ça pendant l'acte sexuel. Lui, il semblait vouloir le tuer, essayer de lui arracher la tête juste avec les mains. Erwan aurait voulu se battre, se défendre, mais il était toujours maintenu contre le lit. Il suffoquait, il allait mourir, étranglé dans son lit de pute avec une touffe énorme de ses propres cheveux au fond de la gorge. Une mort plutôt appropriée pour quelqu'un de sa condition. Personne ne serait surpris, ou se poserait de questions. Il y a des putes qui crèvent tous les jours, c'est la norme. Mais il cherchait à supplier, espérant qu'il puisse faire quelque chose pour Sawyer qui l'intéresse mieux que sa mort par étouffement. La pression disparut après une éternité, et Erwan toussa, toussa, encore et encore, recrachant un peu des ses cheveux, essayant de respirer mais laissant couler quelques larmes en sentant la brûlure horrible de l'air dans sa gorge meurtrie. Ce n'était pas terminé. Un bruit de métal. Quand il reposa ses yeux sur son agresseur, il le vit aiguiser une lame immense. Un couteau, un hachoir peut-être même, le genre d'arme imposante et terrifiante faite pour couper la viande. Le visage d'Erwan se crispa, et il laissa de nouvelles larmes couler. Ca n'annonçait rien de bon, et il se demandait si Sawyer allait le tuer... Ou s'il voudrait encore jouer un peu. Il avait terriblement peur. Il avait vécu beaucoup de choses, mais il ne pensait pas pouvoir supporter cette douleur là, celle de se faire démembrer. Il ne doutait pas des capacités de ce couteau à couper à travers chair, muscles, tendons et os. Il n'était pas prêt à ça. Il pleura encore et ferma les yeux. « S'il te plait » il parvint à dire, se surprenant lui-même. Ca lui arrachait la gorge, de prononcer un son, et sa voix était cassée, éraillée. Il avait un goût de sang dans la bouche, ne savait pas d'où ça venait, mais il pouvait imaginer. « Je ferai n'importe quoi... tout ce que tu voudras » il supplia pitoyablement. Peut-être que Sawyer changerait d'avis, trouverait son intérêt autrement ? Erwan sentit ses bars et jambes bouger un peu, et l'espace d'une micro-seconde, il pensa que c'était bon signe. Une micro-seconde, jusqu'à réaliser que ce n'était pas lui qui bougeait, mais plutôt la force qui le retenait là depuis le début, et qui maintenant écartait ses jambes en continuant de les immobiliser, et faisait de même avec ses bras. Il se retrouvait là, en étoile, encore plus exposé qu'avant et encore plus humilié, comprenant que ce n'était pas bon signe du tout, c'était juste les choses qui se mettaient en place pour faciliter la suite à son tortionnaire. Il lâcha un sanglot et ferm les yeux quelques secondes avant de brutalement les rouvrir et planter son regard terrifié sur Sawyer, attendant son attaque.
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Jeu 5 Oct - 23:21
sawan
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Lui faire bouffer sa touffe de cheveux pouvait être assez judicieux, surtout si je commençais à l'étrangler en même temps. C'était pas simple de devoir de base avaler des cheveux, alors si en plus mes mains serraient sa gorge, il en aurait encore plus de mal. Mais le forçant à avaler, il le fit, en recrachant quelques uns par la suite. Je n'en tenais pas rigueur, bien trop occuper à savoir quel membre j'allais lui trancher. Mon couteau de boucher était plutôt bien aiguisé, mais je voulais y mettre la forme en le faisant glisser le long de mon aiguiseur. Je roule des yeux, lassé de toujours devoir entendre sa voix. Il ne pouvait pas s'empêcher, toujours à supplier, poser des questions, toujours à l'ouvrir. Et moi, ça m'énervait et pour le coup, ça me stressait car mon esprit fut embrouillé en l'espace de quelques secondes, savoir comment je m'y prenais, si je commençais tout de suite dans le hard à lui couper la bite ou le bras, ou si j'y allais plus en douceur. « C'est plus fort que toi hein? » Je lui demande, la mâchoire contractée, les dents serrés. « J'vais vraiment finir par te la couper ta putain de langue. » Je soupire, jetant l'aiguiseur dans la pénombre, entendant le gros fracas contre le planché. Je me rapprochais de sa main droite et senti que Erwan allait de nouveau parler. « Bon, tout compte fait.. » Et d'un grognement, suivit d'un geste forcé, je lui attrapais la langue avec le bout de mes doigts et tranchais d'un coup la moitié de sa langue. Le sang ne perdit pas de temps à jaillir de l'ouverture, sa bouche pleine, rouge et le morceau de langue coupé était tombé sur son torse. Je me mis à rire, à rire tellement fort qu'il pouvait même cacher ses cris. D'ailleurs, ses cris me perçaient les tympans, je venais juste de me demander si ç'avait été une bonne chose de la lui couper maintenant. Il pourrait très bien tomber dans les pommes après tout, perdre connaissance alors toutes mes idées ne serviraient à rien. Mais il tenait. Tout ça avait l'air si réel que j'y prenais un malin plaisir. Je vois ses poignets gigoter en tous sens. Je souris, montrant ma dentition dans la pénombre et un nouveau coup, son poignet droit fut projeté au pied du lit. Le plus drôle dans tout ça, c'est que sa main continuais à bouger, comme si elle était toujours reliée à son corps. Je voyais son index se lever et se baisser, le sang coulait, il n'en finissait plus de couler. Et moi je profitais de cet instant, le visage en sang du aux éclaboussures entre sa langue et son poignet. Je devais avouer que ses jets étaient très puissants, ils pourraient même en redécorer tous les murs de la maison, j'en étais presque étonné moi-même alors que ce n'était pas la première fois que je coupais un des membres d'une personne. J'espérais sincèrement qu'il aurait assez de sang pour tout ce que j'allais lui infliger ce soir. Ce n'était que le début de ses souffrances, le début de son cauchemar.
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Ven 6 Oct - 16:45
Sleeping safe and sound
has become a fantasy now, and you're the one to blame.
Sawyer.
Erwan.
Il était pris au piège, un animal blessé coincé dans un filet sous les yeux du chasseur prêt à le dépecer. Et cette pensée là n'était pas bien loin de la réalité, de ce qui pourrait arriver dans les minutes à venir. Erwan connaissait la douleur, mais elle ne cesserait jamais de lui faire peur. C'était normal, sans doute. Il voyait cet homme avec cette lame qui semblait plus grande et plus forte que tout son corps, et plus aiguisée et tranchante que le meilleur des scalpels. Il était impuissant et il allait souffrir, c'était inévitable. Il pleura silencieusement, supplia. Parler était d'une douleur atroce, mais il ne voyait rien d'autre à faire, et c'était peut-être sa seule chance. Il savait bien qu'il n'était pas doué pour beaucoup de choses, pas bien utile aux gens et à la société, mais il pensait pouvoir offrir certaines choses, se rendre à peu près utile pour Sawyer, de façon à ce que son bourreau décide qu'il lui était plus utile vivant et entier. Il crut pouvoir bouger pendant un instant, mais non, il se retrouvait bras et jambes écartées, exposé, pour que tout soit plus facilement accessible, pour le plaisir de Sawyer. « C'est plus fort que toi hein? J'vais vraiment finir par te la couper ta putain de langue. » il lança alors, et Erwan secoua doucement la tête, suppliant du regard l'homme qui s'était lentement approché. Erwan le suivit du regard, le vit se débarrasser de son outil pour s'approcher de sa main. Oh. Non non non, des mots qui lui vinrent d'abord en pensée, et qui faillirent sortir de sa bouche. « Bon, tout compte fait.. » Tout alla trop vite et trop brutalement, la main forçant sa mâchoire bien ouverte, plongeant dans sa bouche pour attraper sa langue. « Non non... » gémissait Erwan entre d'autres supplications, qui devinrent un son confus une fois la langue maintenue. Puis, la douleur horrible et indescriptible. Il hurla, ses yeux fermés très fort, le sang coulant de partout et glissant dans sa gorge. Il hurlait de douleur et toussait en même temps le liquide qui avait tenté de s'aventurer dans sa trachée. Il était réduit à ça : des hurlements. Plus de parole, incapable de bouger. Et le rire assourdissant qui lui arrachait le coeur encore un peu plus. Il aurait aimé savoir au moins ce qu'il avait fait de mal, parce qu'il pouvait comprendre qu'il méritait beaucoup de choses, mais il ne connaissait même pas Sawyer... il ne lui devait rien, et ce type qui était entré dans sa vie quelques mois plus tôt ne lui laissait pas la moindre chance. C'était peut-être le destin, peut-être que ça avait été décidé qu'il allait mourir ainsi. Charcuté à mort par quelqu'un qui ne lui avait jamais rien demandé d'autre que de souffrir. La douleur se calma, ou plutôt, il s'y habitua doucement et retrouva un semblant de calme. Un calme qui ne dura que quelques secondes, car il vit la lame se lever au-dessus de sa main, et s'abattre sur son poignet. Un nouveau hurlement, des sanglots. La tête tournée vers sa main, il la vit... manquante. Son bras s'arrêtait au poignet, coupé net, avec un bout d'os dépassant un peu. Le sang giclait comme dans un film tarantinesque, vers les murs, le sol et le plafond. Et il était toujours autant retenu par des liens invisibles, une force. Il espérait perdre connaissance bientôt, ou au moins... arriver à s'isoler quelque part dans sa tête, comme il le faisait parfois. Ca semblait impossible ce soir, comme si aucune partie de son esprit n'était libre. Il espérait que bientôt, la douleur le rendrait insensible, vidé au point de ne plus être entièrement présent. Sawyer était toujours là, amusé, il semblait se préparer pour la suite. Erwan, quant à lui, gémissait comme il le pouvait, le sang coulant sur son visage, son cou, son torse. « Tu vois ce qui arrive aux petits voleurs ? » il entendit soudain, et ses yeux s'ouvrirent d'un coup, il regarda autour de lui. Cette voix, il ne l'oublierait jamais. Est-ce que lui aussi était là ? Ou bien, est-ce que c'était dans sa tête ? Non, c'était bien trop réel pour être dans sa tête. Il n'y avait personne, sauf Sawyer... « Tu aurais du rester un gentil garçon, Erwan. Rien de tout ça n'serait arrivé » C'était Leo, et peut-être que c'était ça, la raison. Peut-être que Leo avait envoyé Sawyer. Ou peut-être que la vie avait décidé de le punir pour être parti, pour avoir désobéi, pour avoir été un mauvais garçon. Il n'en savait rien, il voulait supplier, essaya même d'articuler les mots, mais ça resta un son confus et humide qui ne ressemblait à rien. Les larmes, qui avaient au moment du choc cessé de couler, quittèrent ses yeux et reprirent doucement leur route sur ses joues.
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Lun 16 Oct - 21:33
sawan
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Mon état sur le moment où je coupe la langue de mon cher Erwan était indescriptible. J'étais aux anges, voir tout ce sang, la moitié de sa langue retomber sur son torse, lui pleurer et hurler comme il le pouvait. C'était l'extase, mon sourire ne pouvait s'évaporer et mon envie d'en faire plus toujours et encore, me donner à 100% dans une cause que je jugeais bonne me fit couper son poignet droit qui limite s'envolait jusqu'au pied du lit. Un long frisson me parcouru, ouais c'était carrément bandant, c'était même bien mieux qu'un orgasme. J'me retrouvais là, maître de la situation et lui, encore une fois, affaibli. Puis un long silence. J'ai d'abord cru qu'il était mort ou évanoui, mais non, il était bel et bien éveillé. Et dans le fond, une voix lointaine. « Tu vois ce qui arrive aux petits voleurs ? » J'essuie mon couteau de boucher avec mon t-shirt blanc, sans réellement écouter ce que cette voix disait. « Tu aurais du rester un gentil garçon, Erwan. Rien de tout ça n'serait arrivé. » Un autre sourire sur mes lèvres. Erwan croise mon regard, une lueur folle dans les yeux. Je me saisi d'une paire de ciseau rouillée, posant un genou sur le lit. « Ca n'arrive pas par hasard Erwan. Tu mérites de souffrir. » Et au moment où cette voix raisonne dans l'air, je lui cisaille les tétons pour m'emparer enfin de ses boutons de chaires, les mettant même dans ma poche. Et sans perdre la main, je plante une lame de ciseau dans le méat de ce pauvre petit Erwan. Encore une fois, le sang gicle, j'entame deux vas-et-viens pour ensuite la laisser enfoncer dans son pénis. Il n'en pouvait clairement plus, ça se voyait. Il essayait même de regarder un peu partout, l'air désorienté. « Mec, me lâche pas, j'ai pas fini. » Je lui donne une petite claque sur la joue pour qu'il me regarde. Cette fois, c'est un air doux que j'affiche, rempli de compassion. Un petit sourire qui se veut rassurant même si ça ne sert absolument à rien puisqu'il en souffre déjà énormément pour se carrer de ma compassion. « Tu sais, j'fais que t'aider au final. T'as une vie de merde, j'veux que tu t'en sortes. » Je soupire, sortant mon bon vieux couteau laguiole en bois qui ne me quittait jamais. « Et pour ça, j'pense qu'il faut que tu crèves. Mais pas une mort de merde. » Et tout en discutant, j'entrais la lame à l'intérieur du bras droit de ma victime qui continuais de pisser le sang jusqu'à en faire une ouverture assez grande pour pouvoir arracher toute la peau avec un peu de difficulté, mais beaucoup de plaisir. Il n'en restait presque rien de son bras. Uniquement le sang, ses os et quelques muscles qui pendouillaient. Je commençais même à fatiguer de tous ces efforts pour que tout soit parfait. J'étais plutôt fière de moi, le reste de sa peau pendait, alors je l'arrachais avec mon couteau pour le lui mettre juste au dessus de son visage, qu'il se rende réellement compte de ce que je venais de faire. Une peau humaine parfaitement enlevée, avec quelques tatouages. « J'pense que ça irait très bien comme paillasson pour ma caravane. » Je la balance au fond de la pièce, essuyant mon visage immaculé de sang pour reprendre mon souffle.
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Ven 20 Oct - 12:10
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Sawyer.
Erwan.
Pourquoi était-il toujours là, à souffrir ? Avec tout ce sang et cette douleur atroce, il aurait déjà du perdre connaissance depuis longtemps. Mais non, il était toujours là, conscient, et il ressentait chaque petit mal. Rien ne semblait vouloir le préserver de ce qui était en train de lui arriver, pas même son cerveau qui généralement se chargeait de le protéger, de le garder dans une petite bulle pour qu'il n'ait pas à souffrir de ce qui arrivait. Mais là, l'état de choc, la catatonie, il l'attendait et elle ne semblait pas vouloir le sauver. Il entendait subitement la voix, celle qu'il reconnaîtrait entre mille car il avait vécu avec elle pendant trois ans. Cette façon de parler rien qu'à lui, ce phrasé, le côté rauque et profond qu'il avait trouvé attirant un jour et qui ne l'était plus du tout aujourd'hui. Cette façon d'allonger les voyelles parfois, comme une sorte de chant, comme si la voix cherchait à l'hypnotiser. Et pourtant, Leo n'était pas là. Il n'y avait que Sawyer. Erwan délirait. Mais tout ce qu'il entendait, ce que la voix disait... Peut-être que c'était vrai, qu'elle avait raison cette voix. Qu'il n'aurait jamais du fuir et laisser Leo, et peut-être que s'il s'était contenté de sa vie là-bas, avec lui, au moins il n'aurait pas eu à souffrir la perte définitive d'Orel, ces nuits avec Sawyer. Mais il n'aurait pas connu Chris, il n'aurait pas retrouvé son frère et rencontré son neveu. Et ses pensées s'interrompirent là, car Sawyer était maintenant penché sur lui, et l'instant suivant, les ciseaux qu'il tenait en main vinrent lui couper les tétons. Les lui arracher, et Erwan hurla de douleur, trembla de tout son corps en voyant ce type prendre ses petits souvenirs et les glisser dans sa poche. C'était terrifiant, et à cet instant, Erwan avait soudainement l'impression de sombrer, d'être lentement détaché du monde. Peu importe ce qui arriverait après ça, il était vidé de tout espoir, il allait mourir ici. C'était certain. Il espérait juste que ça vienne vite maintenant. Mais les détails n'importaient plus vraiment, que ce soit dans une minute ou dans une heure, il allait mourir. Ce qui arriverait entre temps serait un moment difficile, mais ça ne comptait pas. Que Sawyer s'amuse... si ça l'enchantait. Erwan était bien plus loin désormais. Les ciseaux se firent un chemin à l'intérieur de son sexe, une lame droit dans son pénis. Il ne hurla pas, il en était incapable. La douleur était trop forte, omniprésente, et son visage était figé, les yeux dans le vide, les larmes coulant sur ses joues tandis qu'il sanglotait doucement. Il n'essayait plus de se débattre non plus contre ces liens invisibles. « Mec, me lâche pas, j'ai pas fini. » il entendit vaguement. Une petite claque sur sa joue, il tourna le regard vers Sawyer, mais il n'était plus tout à fait là. Il se sentait partir un peu. « Tu sais, j'fais que t'aider au final. T'as une vie de merde, j'veux que tu t'en sortes. » C'était vrai qu'il avait rêvé d'une vie différente, il y a longtemps, mais c'était trop tard maintenant. Il ne pouvait pas faire marche arrière. « Et pour ça, j'pense qu'il faut que tu crèves. Mais pas une mort de merde. » Si Sawyer s'attendait à une réaction, des supplications, des pleurs, quelque chose... il n'obtint rien de tout cela de la part d'Erwan. Il était plutôt d'accord, sur le fait que le seul moyen de changer de vie, c'était de mourir. Il n'avait plus beaucoup d'espoir, et au bout d'un moment, il fallait peut-être accepter le fait que les choses ne pourraient plus changer. Le couteau qu'avait sorti son tortionnaire vint entrer dans son bras droit, et tracer une longue ligne, ouvrant sa peau comme la croûte d'un pain mis au four qui avait levé jusqu'à éclater. Quand Sawyer se mit à lui arracher la chair, son corps tout entier se tendit, ses yeux grand ouverts se fixèrent sur un point et son visage se figea presque dans une expression d'horreur, des larmes dévalant ses joues. Il ne sentait plus son bras, plus rien du tout, et il n'osait pas regarder parce que tout semblait si rouge et difforme. De toute façon, il ne pensait pas avoir la force de tourner la tête ou même le regard. Il voulait juste dormir. Il rêvait des drogues de Leo, des injections qu'il lui avait faites quelques rares fois, pour le préserver de la douleur, histoire de faire taire ses cris et de l'obliger à se reposer pour qu'il puisse se remettre plus rapidement et reprendre du service. Ca l'effrayait tellement, la drogue, mais là, il espérait presque que Leo vienne pour lui planter une seringue dans le bras. Quelques secondes après, Sawyer lui présentait au-dessus du visage quelque chose de visqueux, humide, et ce ne fut qu'en voyant le bateau à voiles encré en noir qu'il comprit que c'était sa propre chair qui pendait là au-dessus de son visage. Des gouttes de sang lui tombaient dessus, il ne réalisait même pas. « J'pense que ça irait très bien comme paillasson pour ma caravane. » Il avait envie de disparaître. Peut-être qu'il pourrait retenir son souffle jusqu'à mourir asphyxié. Ou tenter de s'étouffer en avalant le bout de langue restant dans sa bouche. Ou se tortiller de façon à ce que la paire de ciseaux, toujours enfoncée dans son sexe, s'y loge encore plus et finisse par le tuer. Ou juste attendre. Sawyer finirait bien par le tuer. Il avait fini de trembler, restait simplement là, les yeux ouverts et fixés dans le vide, sur un coin de mur en face de lui. Il ne pleurait plus non plus, semblait être mort. Le seul signe de vie était sa respiration et son torse qui se soulevait régulièrement. Et Sawyer était toujours là, silencieux, peut-être qu'il en avait marre maintenant. Peut-être qu'il allait le tuer bientôt.
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Ven 27 Oct - 13:57
sawan
sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame.
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Avec tout ce que je venais de lui faire, j'étais presque vexé de ne voir aucune réactions de sa part. Ouais, je venais de lui couper sa langue mais même un petit cri bien recherché au fond de sa gorge m'aurait fait plaisir. Je ne m'étais pas autant démené pour ne pas entendre sa souffrance, même si ses cris m'auraient énervé. Mais en voyant son visage, je compris qu'en fait, la douleur était tellement intense qu'il finissait pas ne plus réagir, si ce n'est trembler et avoir des yeux aussi rond qu'une paire de couilles pleine. Bon, ça me suffisait. Alors après lui avoir montré son carré de peau, en faisant même un commentaire que je trouvais pas mal drôle, je le jetais derrière moi, dans la pénombre. C'était étrange mais un point de lumière invisible s'était filtré au dessus de nos têtes, comme pour que nous puissions nous voir alors que le reste de la pièce était restée dans une pénombre mortelle, le calme plat, le silence de mort. La voix qui s'était élevée quelques secondes plus tôt était maintenant silencieuse, elle s'était même volatilisée, je commençais d'ailleurs à l'oublier, car elle ne m'intéressait pas vraiment, mais par contre, pour Erwan ce devait être autre chose. Et comme pour essayé de le lui faire oublié, voyant qu'il cogitait tout de même dans sa tête, je m'assois sur le lit, juste à côté de ce qui devait ressembler à un bras puisqu'il n'y avait pratiquement plus rien pour le définir. « Je pense que ce soit être la fin. » Je souffle, d'un air mélodramatique, une moue triste sur mon visage. J'aurai voulu lui couper tous les membres pour qu'il ne le lui reste que le tronc, comme dans Johnny s'en va-t-en guerre. Moi, ça m'aurait beaucoup plu de lui faire des expériences, le maintenir en vie pour pouvoir m'occuper de son cas, continuer de le faire souffrir, jour après jour. Je dessine un trait profond au niveau de son bas ventre, une sorte de grande ouverture où je pouvais avoir accès à ses intestins. Sans grand étonnement, un flux de sang s'échappait, m'éclaboussant même au visage, je sors alors ses intestins pour les poser sur son buste. C'était bientôt la fin, je ne voulais pas l'achever, je voulais qu'il s'épuise à souffrir autant, que son coeur lâche car s'en était trop pour lui. Je découpe des morceaux de ses boyaux, regardant même de plus près avant d'en ingurgiter une bonne poignet. Et tout ça, sous les yeux d'Erwan qui commençaient à s'ouvrir et se fermer lentement, comme s'il voulait que tout ça s'arrête. D'un rire sadique et diabolique, ma bouche couverte de sang et pleine de boyaux, je le regarde.
CODAGE PAR AMATIS
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(#)Sujet: Re: Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer) | Ven 27 Oct - 16:51
Sleeping safe and sound
has become a fantasy now, and you're the one to blame.
Sawyer.
Erwan.
Il avait tellement tellement tellement envie que ça s'arrête, que tout ça finisse rapidement. Et heureusement, il se sentait glisser lentement, partir. Son cerveau avait enfin décidé de réagir, de l'anesthésier pour lui épargner un peu de cette douleur. A quoi bon ? Ca ne changerait plus rien, il allait bientôt mourir. Sawyer allait le tuer, ou alors, il se viderait de son sang. Dans tous les cas, il ne passerait pas la nuit, ne verrait pas le soleil se lever, et au point où il en était, avec tout ce qui était arrivé ce soir, il réalisait qu'il s'en fichait pas mal, de vivre ou pas. Au contraire, l'idée de ne plus souffrir, de ne plus exister, que tout s'arrête, c'était plutôt plaisant. Alors désormais, il n'avait plus qu'à attendre. Et comme l'avait dit Leo, c'était bien de sa faute tout ça. Il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même. Pauvre gamin trop idiot pour survivre dans ce monde. C'était bien ça ce qu'il était. « Je pense que ce soit être la fin. » Sawyer, assis à côté de lui sur le lit. Il lui fallut un moment pour faire le lien entre la voix et le corps, et pour comprendre que celui-ci s'était installé là. Erwan n'était plus tout à fait connecté, et c'était tant mieux. Tout devenait un peu flou, vague. Il allait bientôt partir, c'était la plus belle nouvelle de la nuit. Mais pas tout de suite là maintenant, parce que soudain il y avait du sang, encore plus de sang, qui s'échappait en fontaine, et Erwan se demandait bien ce qui se passait, parce qu'il ne voyait rien et ne sentait plus rien. Plus rien, ou trop de choses, tellement de choses qu'il n'était plus capable de réaliser. Il y avait des bouts de chair, il voyait Sawyer jouer avec quelque chose, comme des petits morceaux de viande... il ne comprenait pas tout, c'était peut-être mieux ainsi. L'autre avait subitement du sang qui lui coulait de la bouche et dévalait son menton et son cou, un sourire carnassier, des bouts de viande rouge crue entre les dents, sur le visage, dans les mains. Ca devait venir d'Erwan, il réalisait doucement, remarquant que son ventre était devenu une vaste étendue sanguinolente et couverte de petits bouts de corps. Des choses qui sortaient de lui, comme un appareil électronique qu'on aurait ouvert pour en sortir les fils et composants. Eventré. Une larme solitaire coula sur sa tempe, se perdant dans ce qui restait de ses cheveux. « Tu seras toujours un peu à moi, Erwan » Leo, de nouveau, mais distant, comme un écho venu d'ailleurs. « Je te retrouverai, je vais te ramener à la maison » Non, il voulait juste mourir maintenant. C'était tout. « Je vais te ramener et m'occuper de toi, bientôt » Il aurait voulu chasser la voix, et le rire de Sawyer qui s'y ajoutait. Il ferma les yeux très fort alors que les chuchotement de Leo résonnaient, puissants, assourdissants. « Bientôt » Il ne comprenait pas pourquoi subitement il sentait son coeur battre de plus en plus fort, de plus en plus vite, sa respiration s'accélérer, comme si son corps avait décider de se raviver, de vivre, et non non non, il en avait assez. Il ouvrit les yeux d'un coup, haletant, se redressa même dans le lit. Il y avait un peu de lumière, comme d'habitude, il était seul. Tout était si normal dans sa chambre... et il avait beau tourner la tête et chercher, il ne trouvait pas la moindre trace de Leo, de Sawyer, pas de trace de sang non plus. Il se leva d'un coup, repoussant les draps pour se mettre sur ses pieds, regarder son torse intact, son bras, son corps tout entier et pas plus mal en point que lorsqu'il s'était endormi quelques heures plus tôt. Passa ses mains dans ses boucles brunes. Il pleurait à nouveau, regardant l'heure affichée sur le cadran de son réveil. Bientôt six heures. Il tremblait. Incapable de se rassurer, même en se répétant que ça n'avait été qu'un cauchemar. Et la voix de Leo qui continuait d'être là dans sa tête, et Sawyer... Il plaqua sa main sur sa bouche pour étouffer ses sanglots, se forcer à arrêter de pleurer tout de suite, de peur de réveiller quelqu'un dans la maison. Et lorsqu'il fut certain qu'aucun son ne s'échapperait, il alla lentement dans sa petite salle de bain pour se passer de l'eau fraiche, avant de retourner s'allonger sur son lit, les yeux grand ouverts en direction du plafond. Il ne dormirait pas avant quelques heures encore.
FIN.
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Sleeping safe and sound has become a fantasy now, and you're the one to blame. (sawyer)