Il est à peine 23h et je suis déjà défoncée. Les cheveux dans le vent je déambule dans les rues de Miami enveloppé d'une fine couche de tissue qui porte le nom de robe. Ma personne est perchée sur des bons quatorze centimètres de talons, mes cheveux sont bouclés ce soir, au naturel parce que j'avais la flemme de faire autrement. Mon visage est maquillé, où était maquillé, désormais ce n'est qu'un foutoir. Mon crayon noir a coulé, mon mascara s'est fait la malle, seul le rouge bien pétasse sur mes lèvres et rester en place. Je passe mon index sous mon nez et fronce les sourcils, déjà. Je suis déjà en manque. Et puis j'ai soif, j'ai une putain de soif et la gorge aussi sèche que l'entre-jambes d'une none. Mais je suis fatiguée, aussi. J'ai juste envie de me poser et de ne plus bouger. Je croise un couple bien heureux, je me redresse et lance un sourire aguicheur au mec qui se retourne sur mon passage. Satisfaite de la crise que sa nana lui fait, je passe mon chemin. Et finalement après m'être engouffré à l'arrière d'un taxi et l'avoir laissé en plan au milieu d'une route un peu plus loin je me trouve à destination.
Mes talons à la main, parce que c'est plus pratique pour courir quand un chauffeur de taxi vous court après, je me retrouve devant le petit habitacle. J'ai un léger rire ironique, cela m'arrive à chaque fois que je réalise où il vit. Je frappe, parce que je veux éviter de me prendre un coup de couteau. Quelques secondes plus tard il ouvre la porte de sa cabane roulante torse nue et un sourire amusé se hisse sur le coin de mes lèvres. « Ay papi ! » Lâchais-je alors. Je monte à sa hauteur, ma main libre s'agrippe à sa nuque tandis que ma bouche se pose avec violence sur la sienne. Un baiser bien fougueux mais rapide, puis je me détache et le détourne pour gagner le petit salon. « Je suis crevée et complètement défoncée, je peux squatter ici ? » Je pose mes chaussures à terre, défait la fermeture de ma robe et la laisse tombée à son tour puis me tourne pour lui faire face. «Et j'ai faim. » Je me rapproche, glisse mes bras autour de son cou et me hisse sur la pointe des pieds. « Je te laisse me faire ce que tu veux, si tu m'file à bouffer. » Sans aucune gêne je lèche ses lèvres avec provocation. Sawyer et moi ça ne s'explique pas, on est pareil. Plus ou moins. En tout cas on a les mêmes priorités dans la vie. Notre relation c'est soit à se chercher, faire des allusions sexuelles douteuses, s'insulter de tous les noms ou se taper dessus à presque en finir à l'hôpital. C'est intense, c'est ce qui me fait mouiller.
made by black arrow
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: I'll destroy you. | Mar 31 Oct - 13:51
If I can't have you my love... I'll destroy you.
Jade ft, Sawyer.
Dans ma caravane, je prend un petit moment pour moi, je me pose sur mon canapé, face à ma petite table rétractable, bière en main. Je n'aimais pas rester chez moi à ne rien faire, j'étais livré à moi-même et en pleine réflexion, ce qui n'était jamais bon. Mais je ne voulais pas non plus voir le monde autour de moi. Cependant, j'entendis quelqu'un frapper à la porte de ma chariote. Je fronce les sourcils, prêt à trouer la face à la personne qui avait osé me faire chier à cette heure là. Je n'aimais pas les visites, si je m'étais mis aussi loin de la civilisation, ce n'était pas pour que l'on vienne me faire chier. Je lâche un rot dégueulasse et ouvre la porte d'un grand coup sec, fusil en main. C'était le mec chelou dans sa chariote type. Je vois cependant une jeune femme que je connaissais bien. Je roule des yeux, limite blasé de la voir. « T'as cru que chez moi c'était un refuge pour drogués ou quoi. » Je referme la porte en la regardant se déshabiller sans en louper une miette. Elle avait un point fort la petite : son corps. Elle avait un corps à en faire bander un gay. Je pose le fusil dans son coin, posant aussi ma canette de bière sur la tablette du "salon". « Tu me laisseras faire ce que j'veux même si j'te file quedal. » Je pose mes mains sur ses fesses que je serre pour la porter et coller son bassin au mien. Mon regard croise le sien et je la relâche pour m'asseoir à ma place, lui montrant le frigo et les placards. « Sers-toi j'suis pas cuisto. » Et alors qu'elle se retourne, je ne perds pas de temps à regarder les courbes de son corps et surtout son petit cul rebondit qui me faisait tant d'effets.
electric bird.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: I'll destroy you. | Mar 31 Oct - 14:56
If I can't have you my love... I'll destroy you.
sawyer ft. jade
J'eu un rire amusé à sa première remarque et haussait alors les épaules. « Par forcément pour drogué, mais pour tarés oui. C'est chez toi après tout. » Je venais de me débarrasser de ma robe beaucoup trop encombrante à mon goût. Je crevais de chaud et voulait me sentir à l'aise plutôt que saucissonner dans une foutue robe de soirée. Alors je me baladait tranquillement en sous vêtements en dentelle noir, sous les yeux de Sawyer. Je n'ai jamais été du genre pudique et encore moins devant un homme comme lui. J'avais déjà remarquer la façon dont il me regardait et j'aimais beaucoup trop ça pour m'en priver. Je souris avec amusement à ses paroles, il n'avait pas complètement tord. J'aurais laisser cet homme là me faire n'importe quoi, si je n'avais pas eu peur que le "n'importe" quoi se résume à m'assassiner. Il était du genre hard, Sawyer. Du moins il en avait l'air. Il plaçait ses mains sur mon derrière et me soulevait avec une grande facilité. Mes jambes s'enroulaient autour de sa taille, mon bassin coller au sien. « Ouh, on est sûr de soit dis donc. » Le petit plaisir fut bref, il me relâchait rapidement sans états d'âmes et filait s'asseoir tout en me désignant le petit frigo. Je me dirigeais rapidement vers se dernier et pris soins de me pencher comme il se doit de manière extrêmement provocateur rien que pour attirer d'avantages son regard. J'attrapais alors un bout de pizza caller dans le frigo, même froide ça restais bon et puis vu mon état je ne portais pas trop attention aux détails. Je fit ensuite volte-face tout en mâchant et admirait l'intérieur du petit habitacle. Ouais, bon. Je m'attendais pas à du grand luxe non plus, hein. Mais ça avait quelque chose de cosy, du moins ça devait l'être pour lui. C'était mieux que de dormir dans la rue ou dans des squats comme moi vous me direz. Après mon observation je m'approchais de nouveau de lui et m'installais à côté de lui sur la petite banquette. Je lui piquais une seconde sa bière pour en boire une gorgée puis la lui tendait de nouveau et repris mon repas. « T'es vraiment un mec chelou. Je veut dire, je suis une meuf chelou mais toi tu dépasse tout ça. T'es genre, grave chelou. » Ouais, j'ai tendance à trop parler quand je suis défoncée et à sortir des trucs sans le sens. Je terminais ma part de pizza en moins de deux, puis finalement je m'allongeais sur la banquette la tête sur les genoux de Sawyer. « Tu sait que j'me suis jurer que j'te baiserais pas ? T'es trop con. C'est pas possible que j'baise avec un mec comme toi. » Et pourtant j'en crevais d'envie. Ce mec m'attirait comme une folle depuis le premier jour de notre rencontre. C'est typique de Jade ça, le mec lui plus craignoss et le plus méchant dans le coin c'est celui qui te fait mouiller le plus. J'essayais de convaincre qui en disant que j'baiserait jamais avec lui ? Je me mordillais la lèvre inférieur en le regardant, puis je me redresse un peu et plaque ma main droite sur le haut de sa gorge juste sous son menton. Cette constante envie de domination, ce petit jeu entre lui et moi... J'avais envie de jouer. « J'vais bientôt redescendre, il me faut quelque chose de hard pour me faire passer le manque de coke. » Lui fis-je remarquer, mes doigts se resserrant doucement autour de son cou.
made by black arrow
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: I'll destroy you. | Mer 8 Nov - 11:25
If I can't have you my love... I'll destroy you.
Jade ft, Sawyer.
« Justement, c'est chez moi. » Je tenais à mettre un point d'honneur au fait que cette roulotte était la mienne, et donc, interdiction d'y prendre habitude. Même si, honnêtement, c'était devenu une habitude pour Jade que de venir ici lorsqu'elle était en descente ou en montée. Je ne dirais pas que ça me déplaisait, mais c'était quand même loin de me réjouir. De base, je n'aimais pas lorsque quelqu'un mettait les pieds ici, alors évidemment, la voir ici ne pouvait pas me mettre de si bonne humeur que ça, malgré qu'elle ait enlevé sa petite robe moulante. J'hésitais entre la fille facile ou non. Elle aimait se faire désirer et surtout se montrer dominatrice. Et je n'aimais pas ce côté là, parce que j'aimais avoir les rênes en main. Elle le savait et aimait en jouer. Alors assis sur le petit canapé, je regard le cul qu'elle me montre clairement en optant pour une position assez provocateur lorsqu'elle se sert une part de pizza dans le frigo. Ok, elle me faisait chier à des moments mais elle était tellement canon. D'ailleurs, je roulais des yeux lorsqu'elle commençait à parler. Ouais, c'était tellement le truc type des meufs ça. Parler. Et pour un rien en plus. Mon regard fixait un point invisible, face à moi alors qu'elle continuait à parler. Buvant ma bière une fois qu'elle me la rendit après avoir bu dedans, elle s'allongea, tête sur mes genoux et mes sourcils se fronçaient automatiquement. Mon visage se baissait pour regarder le sien. « J'baise pas les poufs moi. » Comme pour lui rendre la pareille. Cependant, je sens sa main remonter vers mon cou, interloqué, je la regarde et ne pouvais même m'empêcher de rire face à ses dires. Alors je la laisse faire, si ça pouvait lui procurer un certain plaisir, pour le moment, je ne comptais pas l'en empêcher. « J'ai rien pour toi ici. » Et à ces paroles, je sentais sa main se resserrer sur ma gorge. C'était mon truc d'étrangler les gens, alors si elle voulait jouer sur ce terrain là, elle allait sûrement le regretter. J'attrape son poignet pour le serrer assez fort pour qu'elle lâche l'emprise sur mon cou. Je la redresse, me relève et la plaque contre un des faux murs sans ménagement, entendant l'arrière de son crâne cogner. Ma main à présent autour de son cou à elle, je la serre mais pas assez fort pour qu'elle manque d'oxygène. Mon corps collé contre le sien, j'observe son visage. Elle avait l'air de s'en amuser, et tant mieux car pour cette fois seulement, le but de ma manoeuvre n'était pas de lui faire mal. « La seule chose que j'ai pour toi, c'est ma bite que j'vais enfoncer dans ton cul. » Et mon autre main de libre se balade sur son corps encore muni de ses sous-vêtements en dentelle noir. « Et le noir, ça te va pas. » Je tiens à lui préciser, écartant ses jambes pour les mettre de part et d'autre des miennes. Ma main passe le long de sa cuisse, jusqu'à ses fesses que je pinçais.
electric bird.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: I'll destroy you. | Jeu 9 Nov - 13:16
If I can't have you my love... I'll destroy you.
sawyer ft. jade
Seigneur qu'il était beau avec les sourcils froncés, comme ça. Malgré sa remarque selon laquelle monsieur ne baisait pas les poufs, j'affichais un large sourire parce que je me fichais de ses paroles ou de ses attaques j'y était habituée. Et puis me faire traiter de pouffe, de salope, de pute, ça ne m'atteignait absolument pas. J'assumais ma sexualité sans aucun soucis, si ça posait un problème à quelqu'un et bien c'était son problème et c'est tout. Sa petite barbe de quelques jours, son air constamment grognon. Ouais, non, carrément que j'aurais baiser avec ce mec là et plutôt deux fois qu'une. Je m'étais alors redressée, ma main était venue agrippé le haut de son cou et mes doigts c'étaient mis à se resserrer doucement sur sa peau alors que le sourire aux lèvres je ne lâchais pas ses yeux du regard. Je n'eu rien le temps de répondre à ses paroles qu'il attrapait violemment mon poignet me faisant lâcher prise. La seconde suivante je me retrouvais plaquer contre la paroi de sa caravane, j'avais fermer les yeux et m'étais mordiller la lèvre face au choc de ma tête contre le mur. Il est entrer avec brio dans mon petit jeu de domination, il a repris le pouvoir et j'avoue que c'est ce que je préfère. J'aime jouer sur ça, j'aime provoquer, mais un homme un vrai tiens les rennes et j'étais certaine que Sawyer ne se laisserait pas dominer. Aux anges, en descente totale je sent sa main faire pression autour de mon cou avec fermeté. Il ne me fait pas mal, mais je suis certaine qu'au fond il en a envie. « La seule chose que j'ai pour toi, c'est ma bite que j'vais enfoncer dans ton cul. » Il écarte mes jambes alors que je frisonne sous ses dires. Sa main libre se fait un chemin sur mon corps dénudé, il passe sur les quelques morceaux de dentelles, puis finalement sur mes fesses et je sursaute légèrement à son geste. « Le noir, me va. » Me contentais-je de contredire, cet éternel sourire amusé sur le visage. Mes mains à moi se place sur sa ceinture, monsieur ne portant qu'un jean sans le moindre haut cela me permettait de me concentrer sur l'essentiel sans passer par les futilités. Je défait la boucle de sa ceinture, puis m'attaque au bouton de son jean sans le lâcher du regard. « Faut libérer la bête, hein. Je suis sûre qu'elle est à l'étroit là-dedans. » Pour soutenir mes paroles, ma main droite glisse sur sa queue à travers son pantalon et je me met à le caresser doucement mais fermement. Je le sentais se durcir au fur et à mesure de mes gestes, mais j'avais assez bien compris le personnage pour savoir ce qui l'aiderait à bander plus rapidement. Alors je plaçait ma main libre sur la sienne autour de mon cou et fit une légère pression, l'incitant à serrer un peu plus fort. Non, j'suis pas du genre à vouloir me faire fouetter ou les trucs débiles vêtu de cuir ok. Mais oui, tout ce qui touche à l'extrême, à l'adrénaline, un peu de danger, ça me fait planer. Pas aussi fort ni aussi vite que la coke, mais ça m'aide quand j'en manque. J'ai constamment envie et besoin de tester certaines limites, de jouer avec le feu, comme ce soir par exemple. Sawyer est la caricature même du mec avec qui on ne traîne pas, avec qui on ne baise pas. Il est reclus ici dans une caravane, déteste les gens, il est violent, carrément psychopathe, et pourtant je suis là à le branler pendant qu'il me tient pas la gorge. D'ailleurs, j'avais passer l'étape du pantalon, ma main droite était bien installé dans son boxer désormais. La pression qu'il exerçait autour de ma gorge était assez forte pour me donner un peu de mal à respirer, mais c'était encore supportable pour l'instant.
made by black arrow
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: I'll destroy you. | Ven 10 Nov - 17:50
If I can't have you my love... I'll destroy you.
Jade ft, Sawyer.
Lui serrant la gorge, mais pas au point de l'étrangler, je la regarde tandis qu'elle pose sa main sur la mienne, comme pour m'inviter à serrer d'avantage. Ok, les meufs de la ville étaient complètement chelou. Moi ça ne me dérangeait pas de l'étrangler ou de lui faire encore plus de mal, c'était ma nature. Mais elles qui réclamaient la souffrance, qu'elle soit sexuelle ou non, c'était étrange. Et c'était la troisième. Il faudrait que je revois ma liste de meufs à baiser moi. Mais alors que je resserrais ma main sur sa gorge, de façon à ce qu'elle ait du mal à respirer, je me colle un peu plus contre elle. Je la laisse défaire la boucle de ma ceinture et rabaisser le zip de ma braguette, j'eu un soupire lorsqu'elle caressa mon sexe, d'abord sur le jean et ensuite à l'intérieur du boxer. Je colle mon front au sien, exerçant une pression encore plus poussée sur sa gorge, voulant qu'elle s'affaire plus rapidement, voulant me sentir totalement dur sous sa main. La mienne de libre lâche ses fesses et se fait une place sous son sous-vêtement noir à dentelle. Je la caresse, place mon pouce sur son bouton de chair si sensible, la sentant mouiller sous mes doigts. J'y joue un peu plus rapidement, voulant l'entendre, la sentir frissonner. Et tout en titillant son clitoris avec mon pouce, je laisse mon index et mon majeur rentrer en elle de façon sec, sans ménagement, sans douceur. Je n'étais pas là pour lui faire l'amour mais pour l'entendre prendre du plaisir, pour me vider. Je l'embrasse langoureusement, laissant nos langues se croiser, se caresser, se mélanger. Mon jean glisse sous mes jambes pour tomber à mes pieds, mon boxer est encore bloqué sur mes hanches. Je sors ma main de son dessous, et avec celle prise à son cou, je la balance dans le lit juste à côté, la porte étant déjà ouverte. La caravane n'est pas un palace, en un pas t'arrive aux chiottes ou dans la chambre. J'enlève on boxer et me met sur elle. Je lui enlève son shorty et arrache sans ménagement son soutien-gorge, laissant apparaître sa poitrine merveilleuse. « Le rouge t'irait mieux. » Mon pénis caresse le sien, allant et venant contre son clitoris, ma bouche s'occupe de son sein, je passe ma langue sur son téton qui durcie, je le mordille. Son regard remplie d'envie, d'excitation me rend barge. Je me penche pour prendre un préservatif et l'enfile sans même la regarder elle. Une fois enfilé, je lui écarte les cuisses et la pénètre d'un coup de rein sec. Mes yeux se ferment. J'entame les vas et viens pendant un court instant, juste le temps de profiter de quelques coups et me retire. Je vois son regard, je m'en amuse. Elle paraît frustrée. Je la retourne sans peine puisque, menue comme elle est, de son corps, je pouvais en faire ce que je voulais. Elle se mit dans cette position qui me titille, son cul en évidence, bien haut. Mais avant de vouloir la pénétrer de nouveau, je m'abaisse, prendre ses fesses avec mes mains et m'affaire à un cunni alors que je la sens se cambrer.
electric bird.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: I'll destroy you. | Ven 10 Nov - 20:08
If I can't have you my love... I'll destroy you.
sawyer ft. jade
Son front coller au mien, ses doigts se ressert sur mon cou. Rapidement, l'air à un peu plus de mal à atteindre mes poumons, pour autant je me plie à ses désirs et accélère mon mouvement de vas-et-viens sur son sexe. Je le sent durcir d'avantages sous ma main, je ne le lâche pas du regard même si mes yeux commencent à se remplir doucement d'eau dû au manque d'air. Et puis d'un coup, alors que mon corps était à sa merci et que je m'afférait à lui faire du bien sa main se glisse sous ma culotte et j'en perd le peu d'air qu'il me reste dans une courte inspiration. La bouche ouverte, je ferme un instant les yeux afin de faire face à ce plaisir intense. Sawyer c'est mis à titiller mon clito et mon corps tremble à chacun de ses mouvements, d'avantages une fois qu'il ait enfoncer ses doigts en moi. Ma main placée sur sa queue se ressert à son tour, je mouille comme une folle, il n'y a pas à dire ce gars là sait me faire partir au quart de tour. Ses gestes sont brusques, sans tendresse, sans futilités et c'est particulièrement ce que j'aime. Je ne supporte pas de baiser avec un gars qui pense que je suis une poupée de sucre, que je me briserait au moindres faux pas. J'aime sa virilité et le fait qu'il soit aussi sauvage. Il n'y avait rien de doux, rien que l'envie de baiser, intensément, sans ménagements. Sa bouche se plaque sur la mienne et c'est sans hésitation que je répond à se baiser des plus langoureux. Je joues, caresse sa langue, soupire contre ses lèvres alors qu'il continue de me faire inonder mes cuisses. Puis finalement, il me jette d'une main sur son lit, pour le coup je ne fut qu'une poupée sous sa force de mâle. Je l'accueil avec un large sourire lorsqu'il me rejoint enfin débarrasser de ses vêtements inutiles pour ce qui nous attendait. Je laisse échapper quelques éclats de rires à sa remarque, toutes les couleurs me vont mais je me retiens de le lui faire remarquer. Mes mains se posent sur sa tête lorsque sa bouche gagne l'un de mes seins nu, « Tu devrait m'payer de la lingerie rouge, alors. » Lançais-je d'une voix déjà fatiguée grâce à toute cette excitation. Il joue un peu de son sexe contre le mien avant d'enfiler le condom, comme si j'avais besoin d'être plus excitée encore. Finalement mes mains se posent sur sa nuque et il me pénètre d'un seul coup et entièrement, mes ongles s'enfoncent dans sa peau sans aucune retenue et je lâche un long gémissement. Ce n'était pas trop tôt. J'avais eu envie de sentir Sawyer à l'intérieur de moi depuis la première fois où j'avais poser les yeux sur lui. Je n'étais pour l'instant pas déçue, il était égal à l'image que je me faisait de lui dans ce genre de moments. Il se mit à me baiser de façon rapide, y allant si fort et si vite en moi qu'à chaque coup de reins je pouvais littéralement sentir la caravane bouger. N'étant pas du genre à retenir mon ressenti au pieu, je lâches des petits cris à chaque vas-et-viens complètement addict de ce plaisir divin. Je remonte d'ailleurs mes jambes autour de sa taille afin de pouvoir l'accueillir encore plus profondément, malheureusement il s'arrête bien trop tôt pour ça. Je redresse alors ma tête pour lui lancer un regard plein d'incompréhension. Il fout quoi, là ?! J'allais ouvrir la bouche pour l'insulter de me couper dans mon élan mais il me retourne si vite que mon visage se retrouve enfoncer dans un coussin, je me cambre alors, remontant mes fesses en l'air tout en gardant ma poitrine collée au matelas, les jambes bien écartées et prête à crier de plus belles. Ce n'est pourtant pas son membre que je sent me titiller mais sa langue. J'attrape le premier oreiller venu et m'y enfonce le visage pour lâcher un long soupire assez bruyant. « Regan ! Putain, putain ! » Je me cambre d'avantages, je pousse mon bassin en arrière et contre sa bouche, gourmande de cette explosion de plaisir, de bien être, pure, intense. Il es doué, y a pas à dire. L'un des meilleurs lécheurs que j'ai connu. Je pose mon crâne contre le matelas et place mes mains sur mes seins que je caresse brusquement pendant qu'il continue. Désormais je ne me cache plus le visage dans un oreiller pour gémir, qu'on m'entende de l'autre côté de la planète je m'en fou bien mal. J'ai besoin d'exprimer, sinon j'explose. Je passe une main derrière mon dos pour atteindre sa tête et agrippe ses cheveux fermement.
Certainement que sa position m'excitait au plus haut point. La voir limite au bord du malaise, d'autant plus lorsque je commence à la toucher, la caresser, la pénétrer avec mes doigts. Je souriais sadiquement. A cet instant précis je la voulais, je voulais qu'elle se torde de plaisir, qu'elle ressert ses cuisses autour de moi, qu'elle soit à ma merci, complètement. Je sens son excitation, je sens mes doigts humides, mouillés. Je sens sa main se resserrer sur mon sexe, l'envie de la pénétrer sauvagement, lui faire du mal se faisait plus pressente. Alors je la jette sur ce qui me sert de lit, me place au dessus d'elle. La regarde et fronce les sourcils quant à sa rétorque. Elle pouvait clairement rêver pour ça. Et comme pour la faire taire, je plaque mes lèvres sur les siennes, jouant avec sa langue à mon tour, mordant sans ménagement sa lèvre, profitant même de la voir nue sous mon corps pour la toucher, empoigner sa poitrine, torturer ses tétons, caresser mon sexe contre le sien. Je me sentais défaillir, la sensation était bien trop belle, bien trop bonne. Nos sexes chauds se caresser l'un contre l'autre. Après avoir enfilé mon préservatif, les choses sérieuses commencent. Je ne me gêne pas, elle aime ça, je le sais. Et c'est pour ces raisons que je ne m'incommode pas tant que ça de ses allées et venues dans ma caravane. Cette femme pouvait me la faire gonfler en un rien de temps. Alors je l'entends gémir, je frissonne à sa voix quelques fois cassée, j'y vais fort, vite, je prends mon pied, l'excitation est à son apogée. Elle était pas discrète, d'un sens, heureusement que j'habitais assez loin de la civilisation, malgré quelques personnes qui peuvent passer à côté de ma caravane, personne ne pouvait l'entendre, ça m'évitait le tapage nocturne et les flics à mon cul. Mais m'arrêtant en plein milieu alors que je n'en avais pas forcément l'envie, mon sexe aimant bien trop la place qu'il avait prit, je la retourne et la lèche. J'y allais de bon coeur, pour une fois je ne faisais pas uniquement pour mon plaisir personnel même si j'adorais le goût de femmes, cette pratique, je pouvais même l'apprécié plus qu'une simple partie de baise torride. Leurs goûts, leurs jus, leurs cris. Mes cheveux sont tirés par sa main, elle se cambre de plus en plus, elle hurle presque alors j'y vais plus intensément, ma langue commence même à fatiguer, j'aspire presque son clito pour le mordiller alors qu'un immense frisson prend possession de mon échine. Je me stoppe une nouvelle fois et rapidement, me place au dessus d'elle, posant mes mains de chaque partie de ses fesses pour l'agripper. Et une seconde fois, je la pénètre sans la prévenir, sans attendre plus longtemps. Mon bas ventre claque contre elle, mon membre s'enfonce en profondeur en son intérieur, je chauffe, j'ai chaud, je commence même à transpirer. Cette fois, ce qui claque est ma main, atterrissant violemment contre sa fesse alors que l'autre agrippe ses bouclettes blondes et sa tête se relève vers le ciel. « Mhh..putain de merde! » Je grogne entre mes dents, ma main prend goût à se poser contre sa fesse, je décide de la laisser redescendre vers sa poitrine où je m'amuse avec son téton, où je malaxe même son sein. J'avais envie de la casser en deux. De tirer si fort ses cheveux que sa nuque en craque. Nouvelle fois, je change de position, la gardant en moi, je m'allonge sur le lit, lui laissant même le plaisir de me chevaucher comme elle le voulait. Je voulais voir son visage se tordre de plaisir, ses yeux pétiller d'excitation, ses joues rosirent à mesure que la température s'élevait.
J'était en plein dedans, en plein dans cet instant si merveilleux lorsqu'on se sent comme au paradis sur terre. Etrangement, j'avais beau coucher avec un bon nombre d'hommes, peu d'entres eux arrivaient à me faire atteindre ce septième ciel si convoité sans que je n'ait à faire semblant. Sawyer, faisait donc parti de ses rares personnes capable de cet exploit. J'en étais ravie. Je ne faisait que gémir, crier son nom, crier tout ce qui pouvait bien me passer par la tête. En général, je suis une femme expressive et au lit je n'étais pas du genre à retenir mes émotions ou mes ressentis. Sa bouche restait sur mon clito pendant de longues minutes, à me torturer, mon corps bougeant au rythme de ses coups de langue. Je tirais légèrement sur ses cheveux, mes mains plaquées sur l'arrière de sa tête et les jambes bien écartées afin de le laisser faire son job comme il le fallait. Sa façon de le faire, on savait qu'il y prenait plaisir et c'est sans doutes ce qui faisait toute la différence. J'admets que je n'aurais pas cru Sawyer le genre à aimer pratiquer ça, il me semblait être le genre à aimer qu'on lui fasse plaisir sans donner se plaisir à son tour. J'étais heureuse de voir que parfois, il pouvait lui arriver d'être généreux. Je jouis rapidement, mais il n'en avait pas finit avec moi et alors que j'avais déjà du mal à respirer normalement il se plaçait au dessus de moi et s'enfonçait en moi. Je me mordis la lèvre presque au sang tout en laissant échapper un long gémissement. Ses gestes étaient brusques, violents, les petites claques faisaient rougir ma peau et me faisait sourire de plus belles. Je n'avais jamais douter que Sawyer devait être un bon coup, j'étais heureuse de constater qu'il était à la hauteur de ce que je pensais. Puis finalement il me laissait m'amuser un peu et nous fit rouler. Je me retrouvait au dessus de lui, j'aimais particulièrement cette position. Mes mains viennent alors trouver mes seins que je malaxe sans ménagement tandis que je le chevauche à vive allure. Je fait en sorte de l'avoir le plus profondément possible, lâchant un cris à chaque vas et viens. Je repose mes mains sur son torse, afin de donner un peu plus de force à mes mouvements. Comme ça j'y allais encore plus vite, encore plus fort, mes ongles s'enfonçant dans la peau de Sawyer en dessous de moi. Un large sourire sur le visage, la tête penchée en arrière je prenais mon pied. Puis avec quelques minutes de baise si intense, je griffais son torse plus fortement, mes cuisses se re-serraient par réflexe. « Mhhh !! » Se fut l'explosion. Je m'en serait presque fait mal à la gorge et ne serait pas surprise qu'on m'ait entendue crier jusque l'autre bout de la ville. Je plaignais presque Sawyer pour les griffures rouges feu sur sa peau. Je m'écroulais ensuite sur son torse, ma tête contre son torse brûlant et transpirant. Mon corps était encore victime de petits spasmes de plaisir, je tentais de reprendre mon souffle. « Et bah ... Ca c'était ... » Je cherchais mes mots, je redressais légèrement ma tête rien que pour poser mon menton sur sa peau et pouvoir l'admirer. « Epique. Bravo, champion. » Je déposais un rapide baiser sur ses lèvres, puis me laissait tomber à ses côtés, allongée sur le dos je gardais un rythme cardiaque et une respiration élevée. « T'a pas un autre joint ? »
C'était rare, très rare même, mais ça m'arrivait de temps en temps de vouloir donner du plaisir à ma partenaire sexuelle. En fait, j'aimais les entendre mugir, j'avais un certain pouvoir lorsque je prenais le temps de m'occuper d'elles. Et cette partie de baise fut plutôt pas mal, mise à part quelques fois où elle me pétais littéralement les tympans à gueuler comme une truie, ça m'encourageait néanmoins à me donner un peu plus. Et puis, voulant respirer un peu plus, nous échangions les rôles où elle se trouva juste au dessus de moi, pour me chevaucher. Je voyais qu'elle était plutôt ravie de cette position, pensait-elle surement prendre le dessus de moi, même si avec un geste je pouvais la tuer, mais je lui laissais ce plaisir pour ce soir, puisque au fond, ça ne me gênait pas plus que ça actuellement. Et puis vint l'orgasme. Le doux, le brutal. Je veillais à la regarder pour ne pas louper une miette, je trouvais ça vachement excitant une femme arrivant à l'apothéose. Mes mains sur ses hanches, j'y allais un peu plus vite pour pouvoir venir à mon tour, fermant les yeux, serrant la mâchoire tout en laissant un grognement s'échapper de ma gorge. Ses griffures, au lieu de me faire mal, avaient rajouté de l'exaltation à mon orgasme. Je reprend mon souffle, mêlant mes bras derrière ma tête, sentant mon coeur s'exciter à travers ma cage thoracique. Je ne bougeais pas lorsqu'elle déposait ses lèvres sur les miennes et qu'elle roula à mes côtés. Je m'assieds au bout d'un moment, me décidant à enlever la capote, la nouer et l'enrouler dans du papier mouchoir. D'ailleurs, fallait que je refasse le plein de capotes la prochaine fois. Je m'étire lorsqu'elle me demande un joint. « J'ai pas d'joints. » Je roule des yeux et me lève pour jeter mon condom à la poubelle, toujours nu. Le point positif était que j'étais vraiment pas pudique, je me fichais de montrer mon corps. J'essuyais mon pénis avec de l'eau et un gant de toilette, laissant la porte de la dite "salle d'eau" ouverte. Une fois ça fait, je me dirige vers un placard et prend une inhalation dans mes deux narines chacune leurs tours, de Poppers. Je renifle un long moment et lui jette le petit flacon. « Essaie ça, tiens, p't'être que tu voudras bien m'sucer la queue après. » J'aurai sûrement du le prendre avant de baiser puisque mon excitation revenait à la charge. « J'me fais un bong. Bouge ton cul si t'en veux. » Je m'assieds sur le canapé, préparant le bong avec l'eau à l'intérieur, posant le sachet de crack à côté de moi pour en poser sur le foyer, briquet à la main. Elle vient s'asseoir à côté de moi et la vision d'elle nue commençait à me chatouiller le bas ventre, me sentant déjà durcir. Décidant de ne pas me satisfaire malgré moi, j'allume le bong pour me donner une grosse bouffée.
