ette journée avait été vraiment très éprouvante, émotionnellement et physiquement. Quoiqu’il en soit c’était une belle journée, la meilleure sans doute pour les jeunes mariés et avoir participé à leur bonheur me rend particulièrement fier et heureux moi aussi. J’avais pas mal mit de mon temps dans la préparation de ce mariage, enfin plus particulièrement dans l’organisation du bar et tout ce que ça implique. De plus j’avais prévu autre chose et ça ne concernait pas les mariés pour le coup.
Après avoir quitté la plage où la fête s’était terminée, je marchais mains dans la main avec Elisha jusqu’à retrouver ma voiture. Je sentais un peu sa déception sur son visage depuis que je lui avais annoncer que j’allais la raccompagner chez elle gentiment, sans proposition de rester avec elle. C’était un peu ma façon de rendre les choses un peu plus intenses lors de la surprise. De plus ayant bu un peu, ce n’était pas raisonnable de faire beaucoup de route, alors un hôtel charmant au bord de la plage était parfait pour finir la nuit ensemble, ça me tenait vraiment à cœur.
J’avais commandé une bouteille de champagne en plus et quelques petites friandises. Tout était prévu, un sac avec des affaires de rechange était dans mon coffre. Il avait été difficile pour voir de garder le secret et d’être froid et distant avec Elisha le temps du trajet. Heureusement que ce n’était pas trop long, c’était intenable, ça me stressait en plus de ça. Je me gare devant l’hôtel et ma tête se tourne instinctivement vers ma petite perle rare. J’ai enfin la chance de croiser son regard alors qu’elle opte pour une expression mi étonnée mi incomprise. « Beh quoi… Tu ne crois quand même pas que j’allais te laisser filer ! » lui dis-je en souriant avant de glisser ma main sur sa joue. « Et en plus, t’auras vue sur la mer demain matin ! » précisais-je comme si c’était un argument pour la convaincre de monter avec moi. « Enfin... normalement » dis-je en ayant une mine de réfléxion intensive avant de déposer rapidement mes lèvres contre les siennes, appréciant quand même cette douceur exquise. Je sens mon corps battre la chamade à l’intérieur, il n’a pas de doute, je suis amoureux de cette femme. Il faut quitter le véhicule avant que je ne craque. Je sors donc de la voiture rapidement pour récupérer le sac à l’arrière et venir lui ouvrir la porte. Bon, faut certainement que je me calme ou ça va sembler trop romantique pour elle. Je veux lui faire plaisir, pas l’effrayer. Je glisse ma main dans la sienne, mêlant mes doigts aux siens. « J’espère que ça te fait plaisir ! » ajoutais-je. J’aime ça, j’aime atrocement ça d’être avec elle. Je me sens vivant à ses côtés. « En tout cas, moi j’ai hâte ! Je suis tout impatient, j’ai pensé toute la soirée au moment où on allait se retrouver rien que nous deux ! » lui dis-je en riant presque. J’avais passé une très bonne soirée, mais il faut dire que l’after me tentais encore plus. C’est vrai, nous n’avions pas souvent l’occasion d’être seul tous les deux, vraiment seul et encore plus dans un lieu neutre. Peu importe ce qu’il allait se passer, cette soirée est la nôtre, rien ne viendra mettre la pagaille.
L’hôtel est relativement calme, il est tard c’est normal. Je récupère la clé de notre chambre à la réception. Il nous faut prendre l’ascenseur pour accéder à cette chambre, il faut de la hauteur pour avoir une vue magnifique sur l’eau au lever du soleil. Je lui laisse l’honneur d’ouvrir la porte qui porte le numéro 312, elle passe donc le pas de la porte en première. Je la suis de près pour observer toutes les réactions de son visage. Je dépose le sac au sol après avoir refermé la porte derrière moi.
Alors que la jeune femme observe un peu partout la chambre, moi, je m’empresse d’aller essayer le matelas du lit. Je le tâte en appuyant dessus à plusieurs reprises. Je m’y installer m’allonge dessus, regardant le plafond une seconde. Il est parfaitement confortable. Je descendre le nœud de ma cravate pour finalement la retirer entièrement. Je me redresse ensuite sur mes coudes afin de regarder ma chère et tendre. Je prends quelques minutes avant d’attraper la boite de chocolat qui se trouve sur la table de nuit. Je l’ouvre silencieusement avant de tourner la tête vers elle. « T’en veux un ? Il doit en avoir un au chocolat noir, comme tu aimes. » lui proposais-je avant qu’elle ne se tourne vers moi à son tour. « Ouah ! » lâchais-je un peu étonné. Mon cœur se remet a battre n'importe comment et ça me coupe le souffle, elle est rayonnante, même avec ce manque de sommeil. « Cette robe est superbe sur toi ! Tu es magnifique ! » lui dis-je. Je l’avais déjà dit, mais il va de soi que ça n’a pas changé au court de la soirée. Mais j'avais bizarrement un autre regard maintenant que nous étions tous les deux, elle est très sexy et le doux reflet de la lune sur elle m’émoustille encore plus. Je pose soudainement la boite sur le lit pour lui sourire tout en l’observant sans retenue. Je suis vraiment chanceux. Cette soirée est parfaite. Je suis le plus heureux à ce moment précis.

ette journée s'était déroulée sous les meilleurs hospices. Si j'avais été réticente dans un premier temps, je dois dire que j'étais plutôt ravie d'avoir participé à ce mariage, et d'autant plus en tant que cavalière officielle de cet homme que je connais depuis si longtemps. Je n'aime pas le romantisme, ça ce n'est pas un secret, mais la situation m'avait cependant laissé touchée alors que je me trouvais à ses côtés. Nous étions loin d'être un couple ordinaire, principalement par ma faute, il faut l'avouer, mais malgré ça, je pense que je réalise à quel point nous tenons l'un à l'autre, à quel point notre couple est fort. Nous avons vécu tellement de chose l'un et l'autre, jamais je n'aurai pensé pouvoir éprouver autant de chose, et là tout me semble si évident. Je me sens réellement chanceuse de ce que je vis, même s'il y a des bas, ces derniers m'ont permis de me rappeler à quel point j'avais besoin de James dans ma vie, qu'il était indispensable pour moi. Cependant, cette nuit, j'allais à priori devoir la passer sans sa présence, et je ne parvenais pas à cacher ma déception. Les quelques coupes de champagne m'ont fait perdre la tête un instant, mais je semble très sobre alors que je tente de comprendre pourquoi je vais devoir m'endormir sans lui à mes côtés, alors que Logan est à priori avec Joy ce soir. Et les excuses évoquées ne parviennent pas à me convaincre. Il devrait à priori aider à débarrasser pour le mariage. C'est injuste clairement. Mes moues ne semblent pas fonctionner ce soir alors que je tente de le convaincre de rester auprès de moi. Mais nous regagnons son véhicule, alors que je suppose que la prochaine halte se fera chez moi. Après un cours instant, il se gare pourtant sur le bas côté de la route, attirant ma curiosité soudaine alors que je me redresse sur mon siège. Aurait t-il enfin fini par changer d'avis?"Qu'est ce que tu fais?"Demandais-je, sans réellement comprendre « Beh quoi… Tu ne crois quand même pas que j’allais te laisser filer ! » Je souris doucement, mais surtout tendrement alors que sa main vient se recueillir sur ma joue. « Et en plus, t’auras vue sur la mer demain matin ! Enfin... normalement » Alors ca c'est une belle surprise!Je laisse échapper un rire, mon visage proche du sien. "Tant que tu es la première chose que je verrais en ouvrant les yeux, ça me va." Gosh que je pouvais être niaise malgré moi parfois. Ses lèvres se déposent doucement sur mes lèvres alors que le bout de mes doigts effleurent délicatement son torse. Cet homme est parfait. Il sort de la voiture et s'empresse la contourner pour me devancer dans l'ouverture de ma portière. Je retrousse mes lèvres, lui faisant comprendre qu'il n'était pas obligé de faire ça, vraiment. Ses doigts viennent se mêler aux miens , et j'agrippe son bras tout en avançant vers la porte battante de cet hôtel, un sourire fière et excité à la fois. « J’espère que ça te fait plaisir ! » Je relève le regard vers lui. "Je ne pouvais pas rêver mieux là". La nuit nous appartenait, pas de question à se poser, juste profiter de ce moment, rien que tous les deux.« En tout cas, moi j’ai hâte ! Je suis tout impatient, j’ai pensé toute la soirée au moment où on allait se retrouver rien que nous deux ! » Mon regard croise le sien, et je lui adresse un sourire affectueux tout en posant un instant ma tête contre son bras. Il se charge de récupérer la clé de notre chambre alors que j'attends patiemment, en profitant pour observer avec attention cette déco. Je n'étais jamais venue dans cet hôtel, mais il était réellement beau, moderne et classe. Nous prenons l'ascenseur alors que j'en profite un instant pour venir déposer quelques baisers sur ses lèvres. La sonnette qui indique l'arrivée à notre étage me force cependant à détourner mon attention. Il ouvre la porte, me laissant entrer la première alors que je siffle tout en avançant. Ca envoyait du lourd. "Dis donc!" dis-je en laissant ma main glisser sur un meuble. Si je prends le temps de contempler, James se charge de vérifier le confort de notre matelas. Je profite du miroir qui se trouve non loin du lit pour ôter cette paire de boucle d'oreille. « T’en veux un ? Il doit en avoir un au chocolat noir, comme tu aimes. » Je le regarde à travers ce dernier pour finalement me tourner en souriant. « Ouah ! » Je fronce les sourcils, sans forcement comprendre ce qu'il le rend si surpris. "Quoi?" demandais-je perplexe.« Cette robe est superbe sur toi ! Tu es magnifique ! » Je penche la tête par dessus mon épaule après un rire, cet homme me surprendra toujours. Je retire mes talons avec facilité et rapidité et m'approche finalement de lui, piquant un chocolat dans sa boîte alors que je viens me glisser au dessus de lui. "Ce qui se trouve au dessous est tout aussi magnifique tu sais..." lui rappelais-je, sans forcement apporter une petite précision."T'as pensé à tout on dirait" fis-je remarquer alors qu'il tient toujours appui sur ses coudes. Mon regard se perd un instant dans le sien alors que je viens déposer un baiser dans le creux de son cou. "Merci "dis-je dans un murmure. Je recule légèrement mon visage pour pouvoir l'observer. "Pour cette soirée, mais aussi pour être qui tu es." précisais-je. Ca pouvait paraître un peu étrange, mais ca ne l'était pas. Si James ne me ressemblait pas sur tous les points, je dois dire qu'il y a beaucoup de chose que je lui enviais. Il aimait faire les choses bien, était très attentionné, et même si je ne le méritais pas toujours, ca me touchait réellement. Ma robe est forcée de remonter sur mes cuisses, puisque le corps du beau brun se trouve entre ces dernières. "Cet ensemble te va vraiment à ravir." Oui, j'avais un faible pour les costumes, et James était carrément sexy lorsqu'il en portait un.

e dois dire que j’aime faire des surprises pourtant je n’aime pas en être la cible. J’aime être au courant de ce qu’il se passe autour de moi, c’est dans ma nature et puis je dois dire que j’ai jamais vraiment pensé être digne d’une surprise en fait et je n’ai jamais été habitué non plus. Jamais de surprise pour mon anniversaire ou bien d’un cadeau surprise, enfin quelque chose d’inattendu. Ce soir, mon plus beau cadeau c’est de pouvoir passer toute une nuit, seul avec Elisha. Sans penser a quoique ce soit. Nous sommes pas chez nous, donc personne ne pourra nous trouver. Oui je n’ai pas envie que nous soyons trouvé par qui que ce soit. J’ai réserver cette chambre le jour-même où elle a accepté de m’accompagner au mariage, c’est pour dire le temps que où j’ai dû garder tout ça secret et c’était difficile, encore plus ce soir alors que nous arrivions au moment tant attendu. J’avais clairement du mal à tenir en place même si je trouve que je ne m’en suis pas trop mal sorti puisque Elisha semble triste de ne pas pouvoir profiter d’un moment ensemble. Je suis satisfait de moi et de mon talent de comédien ! Ca laisse planer un petit côté mystérieux avec ce silence pour lequel j’opte depuis notre départ du mariage. Elle doit se poser un tas de questions surtout qu’elle sait que Logan n’est pas avec moi pour le reste de la semaine. Je ne veux pas non plus que cette surprise tombe dans le pâté et créer une dispute, ça non ! Cette soirée sera magique ! Heureusement que l’hôtel n’est pas trop loin, ça m’empêchera de mentir plus longtemps. La voiture ralentit puis s’arrête. Mon visage se détend doucement alors que je viens enfin croiser son regard. << Qu’est-ce que tu fais ? >> Je lui réponds sans plus attendre, qu’il est hors de question que nous terminons la nuit loin l’un de l’autre. Nous sommes bien trop souvent séparés pour ne pas profiter d’une occasion comme celle-ci. J’évoque les arguments qui pourraient la faire venir avec moi dans cet hôtel qui ne paie pas de mine d’extérieur mais qui semble superbe à l’intérieur. C’est clair que ça n’a aucun rapport avec celui dans lequel nous avions du passer la nuit lors de cet escapade pour le travail. J’avais fait les choses bien, enfin je crois. << Tant que tu es la première chose que je verrais en ouvrant les yeux, ça me va. >> Ouah ! Je dois dire que je suis surpris par cette élan de romantisme. « Je te promets que cette fois-ci, rien ne m’empêchera de me réveiller loin de toi ! » précisais-je. Sauf si vraiment il y avait une urgence à la caserne. Mes lèvres profitent de cet instant de douceur pour venir se glisser aux siennes lentement. J’adore ces instants avec elle, ça me donne des ailes, clairement. Il faut cependant y mettre un terme pour récupérer la clé de la chambre. Comme bon gentleman je fais rapidement le tour de la voiture pour lui ouvrir la porte, seulement ça semble être un peu trop pour elle. En fait, ça me fait plaisir de le faire, alors je le fais. Il n’y a rien de mal là-dedans. Nous marchons quelques mètres pour atteindre l’hôtel. Je lui demande si elle est contente d’être là tout de même, parce que si ce n’était pas le cas, rien ne nous empêchait e faire demi-tour et de trouver un autre plan. << Je ne pouvais pas rêver mieux là >> Je suis satisfait de sa réponse, je dois dire que pour ma part je suis impatient de découvrir la chambre et surtout de profiter de tous les petits plus qu’il va y avoir. La clé récupérée, nous filons à l’étage nous laissant distraire par quelques baisers dans l’ascenseur. Je suis heureux de cette bouffé d’amour qu’il y a dans ce petit espace clos entre nous. Heureusement ( ou pas ) nous arrivons à l’étage. Nous pouvons découvrir la chambre ensemble. Si moi je m’occupe plus du confort du lit, Elisha, elle préfère faire le tour des lieux. << Dis donc ! >> Je regarde autour de moi rapidement « Ouais c’est pas mal, faut avouer ! » ajoutais-je. En réalité la déco m’importait peu, je voulais surtout ne pas avoir mal au dos Je m’installe sur le lit, après avoir fait tomber mes chaussures au sol et propose un chocolat à ma belle cependant je suis soudainement captiver par autre chose là toute suite lorsqu’elle me fait face. << Quoi ? >> J’évoque la raison de mon expression faciale par des mots. Clairement, elle est magnifique. Qu’on se le dise, je suis heureux d’avoir une telle beauté à mes côtés. J’ai finalement laisser tomber la boite de chocolats, elle ne m’intéresse plus du tout lorsque la jeune femme s’approche du lit et donc de moi par la même occasion. Elle prend un chocolat elle par contre tout en venant se lentement sur moi. Ouh ! << Ce qui se trouve au-dessous est tout aussi magnifique tu sais… >> Je l’observe arquant un sourcil. « Mmhm je me demande bien de quoi tu parles…! » dis-je doucement. J’avais bien sûr une idée dans la tête, mais le voir me mettrait sur le fait accomplis et clairement, ça allait me plaire. Je la regarde sans retenue alors qu’elle est si proche de moi. Je suis toujours accoudé pour être légèrement redresser. << T’as pensé à tout on dirait. >> Je penche légèrement la tête me laissant totalement faire à ses baisers déposés dans mon cou. « Et t’imagine pas a ce que je pense là toute suite. » précisais-je en ayant les yeux fermés pour apprécier la douceur de ces lèvres contre ma peau. << Merci >> Je me vois dans l’obligation de rouvrir les yeux pour la regarder et comprendre ce qu’elle veut dire par ce merci. << Pour cette soirée, mais aussi pour être qui tu es. >> Je lui souris tendrement alors que je me redresse un chouille plus pour venir frotter mon nez au sien. « Je veux le meilleur pour toi » répondis-je doucement avant de déposer mes lèvres contre les siennes. Je suis enivré par ce moment une nouvelle fois. C’est vrai que j’avais un côté perfectionniste que pouvait se réveiller en moi parfois et il faut dire qu’il était particulièrement actif lorsqu’il s’agissait de faire plaisir à Elisha. << Cet ensemble te va vraiment à ravir >> Je l’observe en souriant avant de laisser tomber mon regard au bas de son corps qui me laisse le plaisir de voir un peu plus ses jambes. « Ah bon ? » demandais-je confirmation. « à quel point ? » demandais-je pour finir alors que la fixe sensuellement du regard.

e suis déçue de voir que cette soirée va s'arrêter là. Enfin, la nuit pour le coup. La soirée étant bien était entamée lors du mariage, je n'ai en plus de ça pas sommeil. Heureusement, James va finalement me réserver une belle surprise alors qu'il me fait savoir qu'il nous a réservé une chambre dans l'hôtel qui se dresse devant nous. Magnifique. Je suis clairement enthousiaste et l'expression qui arbore mon visage le prouve bien. Les moments à deux nous sont toujours compté, et il m'est de plus en plus difficile de faire avec cela, comme si c'était toujours trop peu, insuffisant à mon goût malgré les efforts que nous faisons pour être avec l'autre. Sachant qu'il n'a pas Logan, bien évidemment que je m'attendais à m'endormir dans ses bras. Il va donc exaucé mon vœu, et mes lèvres viennent se déposer tendrement sur ses lèvres pour le remercier de cette délicate attention. Il vante les points positif de l'établissement, et bien que ca me fait plaisir, c'est surtout de savoir que je l'aurai à mon réveil le lendemain matin qui me rend bien plus heureuse. C'est tout ce dont j'ai besoin, être auprès de lui. Et je lui fais savoir, sortant cette réplique sans vraiment prendre le temps de peser mes mots. c'est surprenant venant de moi, mais James opère chaque fois un changement chez moi qui est complètement déconcertant. « Je te promets que cette fois-ci, rien ne m’empêchera de me réveiller loin de toi ! » Je souris doucement, contente qu'il en soit ainsi. Pas de petit monstre pour venir troubler un doux réveil en amoureux alors. Le service d'étage s'en chargera peut être, avec la chance que nous avons après tout... "Coupe ton téléphone, hors de question que tu m'abandonnes en pleine nuit pour te rendre sur un lieu d'intervention" lançais-je en riant un instant. Je savais qu'il ne pouvait pas faire cela, et qu'il était bien trop intègre pour faire passer sa vie avant celle de victime qui pourraient être en danger, j'espère juste qu'il ne sera pas appelé à la rescousse alors qu'il n'est pas censé s'y rendre. Il sort de la voiture, et ressent le besoin de venir ouvrir la mienne, tel un gentleman, et en temps que femme indépendante et surtout peu romantique dans mon genre je lui lance un regard pour lui exprimer qu'il n'avait pas à faire ça, vraiment. Nous nous retrouvons quelques instants plus tard à passer le pas de la porte, alors que j'observe avec grande attention chaque détail dans cette chambre. C'est clairement le genre de déco que j'aime. James lui, en tant qu'homme dans tout sa splendeur se charge de tâter le matelas, voulant certainement s'assurer de passer une bonne nuit, chacun ses priorités Si ce look que j’ai abordé est effectivement distingué et ravissant, j'éprouve le besoin de m'ôter de quelques artifices. Mes boucles d'oreilles sont les premières cibles alors que je suis face à ce miroir, et je croise le regard de James à travers ce dernier. Ces mots me forcement à me tourner vers lui alors que je tente de comprendre ce qui nous vaut cette réaction si excessive. Et il semblerait que j'en sois la coupable. Ca me soutire un rire, j'ai l'impression que même si j'étais vêtue d'un vulgaire sac poubelle il me trouverait toujours attirante à ses yeux . Je m'approche finalement du lit, venant prendre position au dessus de lui tout en savourant ce morceau de chocolat que j'ai piqué l'instant d'avant. Je lui fais savoir que cette robe a beau être ravissante, je le serais tout autant sans, et je sais de quoi je parle, j'ai pris un petit moment pour choisir les sous vêtements parfaits, et c'est finalement pour un body noir en dentelle que j'ai opté. « Mmhm je me demande bien de quoi tu parles…! » Je souris, glissant mes lèvres le long de sa peau avant de murmurer à proximité de son oreille. "Faudra que tu me retires cette robe pour le savoir" dis-je avec une voix douce et sensuelle. « Et t’imagine pas a ce que je pense là toute suite. » Je souris, poursuivant le parcours de ces baiser pour remonter à hauteur de son visage, embrassant le coin de sa bouche avec envie. "Non, mais tu peux me le dire" lançais-je en souriant légèrement. Dans un moment de lucidité, et puisque nous sommes plus proches que jamais, je ressens le besoin de lui faire savoir combien je suis heureuse d'être là avec lui et l'en remercie pour ça.  « Je veux le meilleur pour toi » Je souris doucement et viens caresser sa joue doucement." C'est toi." dis-je en approchant mon visage du sien, ne voulant pas me sentir gênée face à cette réplique. Si ca peut être assez étrange comme réponse, je veux dire par là que c'est lui le meilleur pour moi, ce qui se passe autour n'est qu'un décor, c'est vraiment de lui dont j’ai besoin, et cette soirée n'aurait pas le même goût sans lui. Il se redresse pour m'embrasser alors que mes bras viennent tout naturellement se glisser autour de son cou. Il se recule un instant pour observer mes jambes, clairement mise à nue par cette position que j'aborde sur lui. Quand à moi, je lui fais savoir à quel point ce costume le rend sexy. Enfin, ca me donne surtout envie de le lui enlever. « Ah bon ? à quel point ? » Je souris en me mordillant la lèvre. "Au point que je ne risque de pas tenir bien longtemps avant de vouloir te l'enlever." Je souris d'avantage en me cambrant un instant et ma main vient finalement le pousser par le torse pour le forcer à s'allonger. "Je commence vraiment à me sentir à l'étroit dans cette robe tu sais..."fis-je remarquer en laissant mes mains descendre le long de son corps pour atteindre sa ceinture. "Tu pourrais peut être venir m'aider." Je le vois sourire et ne perds pas de temps pour venir descendre de ce lit. Il relève la tête en me voyant m’éloigner, tentant de comprendre ce que je faisais alors que je laisse échapper un rire en passant la porte de cette chambre. Okay, je le laisse certainement sur sa faim, mais on m'a déjà dit que plus c'était long, plus c'était bon! Je prends une démarche rapide à travers ce couloir, jetant régulièrement des coups d'oeil derrière moi pour voir si il s'est enfin décidé à me rattraper. C'est en voyant son corps débarquer derrière moi que j’accélère le pas, ne pouvant m'empêcher de rire alors qu'il est quand même assez tard et que la plupart des occupants des chambres doivent certainement dormir. Je me retrouve à prendre un visage et constate que cet hotel est bien plus grand ce que ce j'imaginais. Espérons juste que je parvienne à ne pas m'y perdre.

ue puis-je demander de mieux comme soirée qu’un moment avec la femme qui fait battre mon cœur à la chamade ? Rien, clairement rien du tout. Il faut dire que nos moments à deux se font rares dernièrement et encore plus depuis que j’ai officiellement intégré la caserne et le bar ne cesse de monter en puissance, la fréquentation est meilleure de jours en jours et il est difficile de trouver du personnel compétent et surtout de confiance. Heureusement que Joy accepte de garder Logan plus souvent que convenu parce que sinon il passerait plus de temps chez sa nourrice qu’avec ses parents et ce n’est pas ce que je veux pour mon fils. Tous ces aléas de la vie font que je profite à fond lorsqu’un moment en amoureux se présente. Je saute clairement sur l’occasion et la soirée que j’ai réservé avec une belle chambre d’hôtel va nous permettre de profiter l’un de l’autre, sans obstacles. Je ne compte pas disparaître au petit matin et ne pas pouvoir profiter de l’instant où elle va ouvrir ses yeux pour la première fois de la journée. Cet instant est bien trop rare pour qu’une fois de plus je le loupe. Sauf une intervention me fera quitter les lieux avant le matin, je l’ai promis alors que nous sommes encore dans la voiture à échanger des regards aussi amoureux les uns des autres. Que j’aime regarder ces yeux. On y sent la fragilité qu’elle veut cacher par son caractère bien trempé. << Coupe ton téléphone, hors de question que tu m’abandonnes en pleine nuit pour te rendre sur un lieu d’intervention. >> Je souris en haussant les épaules. Elle sait très bien que c’est bien la seule chose qui pourrait venir gâcher cette nuit ensemble. Je tente de dédramatiser la chose avec un léger rire pour accompagner mes dires. « Tu viendras avec moi dans ce cas, hors de question qu’on se quitte à partir de maintenant ! » répliquais-je en lui adressant un doux sourire. Je le pense… Si elle savait à quel point je souhaite que ça soit vrai. Elle n’a même pas idée… Il est temps de quitter le véhicule pour aller retrouver cette chambre dont j’ai parlé. Quelques petits gestes digne d’un gentleman qui ne sont pas très convainquant aux yeux de ma belle. Je baisse légèrement la tête d’ailleurs lorsque j’aperçois son sourire qui m’a clairement fait passer le message. Je veux bien faire des efforts pour ne pas trop être démonstratifs mais il y a des choses auxquelles je tiens vraiment et ça semble décupler ce soir. La fraicheur est agréable ce soir, il faut croire que tout nous sourit pour une fois, bien que la pluie aurait fait resurgir un beau sourire. Heureusement que l’ascenseur ouvre ces portes sinon je crains que la tension qu’il y a entre nous aurait perdu. Cette proximité me désarme, mais quelques mètres nous séparent désormais alors que mon intention se porte sur le lit alors qu’elle s’occupe de défaire ces boucles d’oreille. Allongé sur le lit, j’observe sa silhouette qui me fait clairement de l’effet. On peut dire que je suis attiré comme un aimant à cette femme. Je ne sais d’ailleurs pas comment j’ai fait pour tenir jusqu’à maintenant. Ça me surprend. Je sais donc me tenir en publique Je ne me retiens donc plus maintenant que nous sommes que deux. Il est temps que je laisse mes émotions parler pour moi et c’est ce que je fais sans attendre plus longtemps lui offrant un compliment qui l’a défini parfaitement. Elle est belle, qui peut dire le contraire ? Les aveugles peut-être et encore… j’en suis pas certain. Son attitude provocatrice me fait perdre la tête encore plus alors qu’elle vient se glisser au-dessus de moi. Son odeur m’enivre en plus de ça. Je suis envouté, clairement. Elle me fait comprendre que ce qu’il se cache sous cette belle robe justement, me satisferait encore plus. J’en doute pas. << Faudra que tu me retires cette robe pour le savoir >> Ce petit jeu m’excite et sa bouche qui se ballade contre la peau de mon cou ne fait qu’envenimer la situation et j’essaie de lui faire deviner ce que je pense de cette situation. Ses lèvres effleurent les miennes. J’adore cette attitude qu’elle a envers moi et ça ne me laisse pas indifférent, la chaleur que je sens monter petit à petit à la même vitesse que ce qui monte dans mon boxer. << Non, mais tu peux me le dire. >> j’avale difficilement ma salive, tellement elle me coupe le souffle. « J’ai envie de te faire l’amour comme jamais ! » laissais-je échapper. Ca c’est dit Ce moment de tension sexuelle se mêle à tout l’amour que j’éprouve en voulant lui faire plaisir. C’est vrai, c’est l’une des choses les plus importantes pour moi. J’aime faire plaisir à ceux que j’aime et Elisha en fait partie. De plus c’est mon devoir de prendre soin d’elle et de la combler, l’aime et la rassurer sinon a quoi pourrais-je’ servir ? Je viens me redresser pour me retrouver assis et par cette occasion me laisser aller à quelques baisers. C’est toujours un délice. Mes mains se trouvent quelque peu baladeuses puisqu’elles viennent de poser sur ses jambes plus précisément à hauteur de ses cuisses, que je caresse du bout des doigts. Ne sentant pas le tissu de sa robe, ma curiosité est mise à l’épreuve. Alors c’est en me reculant que j’observe des jambes avec envies. Je la chercher clairement et c'est à son tour de me complimenter par mon costume. Je mets rarement ce genre de choses mais je sais que ça son effet et puis c'est tout à fait la base pour un mariage. Je ne me voyais pas débarquer en jeans et teeshirt. C’est à mon tour de jouer la provocation en la poussant à répondre à une question. Je l’observe toujours attentivement attendant sa réponse. << Au point que je ne risque de pas tenir bien longtemps avant de vouloir te l’enlever. >> Je n’ai le temps de répondre quoi que ce soit que ses mains viennent se plaquer contre mon torse me poussant à me rallonger de nouveau sur le matelas. Je ne bouge pas, j’adore cette attitude séductrice, ça me rend fou encore plus. Je laisse mes bras passer au-dessus de ma tête, glissant mes mains sous cette dernière pour la relever légèrement. Je suis charmé, il n’y a pas de doute. << Je commence vraiment à me sentir à l’étroit dans cette robe tu sais… >> Je sens très bien l’effet qu’elle fait s’éveiller en moi alors que mon ventre se contracter en sentant ses mains glisser à ma ceinture. « Elle peut disparaître sans soucis maintenant ! » dis-je en me permettant de venir empoigner ses fesses après avoir glissé mes mains en-dessous de sa robe. << Tu pourrais peut-être venir m’aider >> Je souris, l’eau à la bouche, clairement j’en ai envie. Elle se défait de moi. Déception. « Viens là que je nous facilite le travail ! » annonçais-je en souriant, mais je me redresse alors qu’elle s’éloigne bien trop du lit pour simplement ôter cette robe. Elle me regarde en riant, passant la porte de la chambre. « C’est une blague ! » Je me lève du lit à mon tour. « Mais qu’est-ce que tu fais !? » demandais-je alors que je quitte la chambre, la suivant de près. « Mais attends-moi ! » dis-je en élevant un peu trop la voix alors que couloir est tout calme. Les gens dorment à cette heure-ci, on va se faire taper sur les doigts par la sécurité. Je poursuis la route sans trop savoir où elle cherche à m’amener… A vrai dire peut-être qu’elle-même ne le sait pas. Je presse le pas pour ne pas la perdre mais c’est ce qui arrive finalement lorsque je suis mené à choisir deux chemins. Droit ou gauche ? Je vois dépasser un bout de sa robe un peu plus loin et le je me laisse guider par le son de son rire. « Si je t’attrape, tu vas passer un sale quart heure Parker ! » criais-je sans faire attention aux autres individus présents dans leurs chambres. Ca me fait rire, j’ai vraiment l’impression de retomber en enfance. Cette femme me fait faire vraiment n’importe quoi ! Sommes-nous réellement en train de jouer à cache-cache, en pleine nuit dans un hôtel ? C’est de la folie, ça nous ressemble pourtant si bien. Je retrouve une légèreté quand je suis à ces côtés et c’est une agréable sensation. « Montre toi… ! » dis-je plusieurs fois en regardant autour de moi, marchant doucement en chaussettes. « Je rigolais… je te veux pas de mal, au contraire, je te veux te faire beaucoup de bien ! » ajoutais-je. Je dois dire que je me fais rire tout seul sur le coup. Je me vois a essayer d’ouvrir certaines portes qui sont bloquées et des cagibi interdis au public, mais peu m’importe pour l’instant, je veux retrouver ma petite vagabonde. Je l’aperçois et me mets à lui courir après en riant, alors que je la vois de nouveau prendre la fuite. Décidément, elle a vraiment décider de me faire devenir fou ce soir  « STOoop » Mais rien n’y fait apparemment, je ralentis le sourire aux lèvres.

ette soirée est réellement parfaite. J'apprécie cet instant que je passe avec lui, et je réalise surtout à quel point il parvient à me faire avancer. Il sait combien j'ai peur, que la fuite a toujours été plus facile pour moi, mais j'en suis là, à me montrer en couple avec lui et partager des moments si complice et intime en public. Cet homme me change littéralement, et si sur le coup je montre toujours une certaine réticence, ayant toujours la possibilité de faire marche arrière, je ne parviens pas à regretter après l'avoir fais. Ca me dépasse, me surprend, mais dans le bon sens. Je me dis qu'on a quand même fait du chemin depuis le début de notre relation, il ne m'a pas pour autant mis une quelconque pression, sauf bien évidemment durant notre séparation, mais s'il ne l'avait pas fait, serions nous actuellement entrain de nous balader main dans le main, plus heureux que jamais avec ce statut de couple amoureux? Je ne pense pas. Et cette soirée ne va pas s'arrêter là, pour mon plus gros plaisir. J'ai sourire mi-enfantin mi-rêveur sur les lèvres. Je suis ravie qu'il n'ait pas eu l'envie de me déposer chez moi et qu'une plus de ça il nous ait réservé cette chambre dans cet hôtel. Il faut dire que les sorties nous sont toujours compté, il est vraiment difficile de coordonner nos emplois du temps, entre les deux boulots qu'il gère, Logan, le bar et galerie pour moi...c'est assez complexe. Mais nous faisons de notre mieux pour ne pas nous négliger, prenant régulièrement des nouvelles l'un de l'autre, et tentant de passer nous voir même si le temps est toujours compté. Nous ne sommes pourtant pas à l'abri d'être dérangé finalement. Un coup de fil de Joy concernant Logan ou de la caserne, et nous voilà de retour dans la vie réelle, le quotidien. Je tente de le convaincre de couper son téléphone, sachant qu'il est bien trop consciencieux pour abdiquer. « Tu viendras avec moi dans ce cas, hors de question qu’on se quitte à partir de maintenant ! »  Je arque un sourcil, un brin perplexe. Je ne me voyais pas l'accompagner pour assister à une scène macabre. Si je pense être quelqu'un qui fonce, je ne suis pas sûr de pouvoir me tenir face à une scène chaotique, la vue du sang pourrait me faire perdre conscience, ou encore un bâtiment embrasé par les flammes avec des gens à l'intérieur me marqueraient sûrement à tout jamais. La mort et la violence d'un point de vu général m'effraient, mais je suis fière de voir que James parvient à surpasser ça pour mettre son talent au service des autres. Il est bien plus courageux que je ne le serais jamais, et c'est tout à son honneur. je n'ai cependant pas envie de gâcher ce moment par une réponse qui laisserait entendre un contexte plutôt macabre, j'opte pour une réplique plus approprié. 'Uniquement si je peux enfiler l'uniforme." Okay, je serais certainement ridicule, et pas du tout sexy, mais je serais curieuse de voir ce que je pourrais donner dans ce dernier. Trêve de plaisanterie, il est temps de profiter du reste de la soirée et penser à quelque chose de bien plus agréable, un moment rien qu'à nous. Nous empruntons l'ascendeur afin d'attendre la chambre et ne tardons pas à découvrir celle-ci. Je sens que je ne vais pas perdre de temps avant de réellement me l'approprier. D'ailleurs, mes boucles d'oreilles ont été soigneusement déposé, j'ai laissé traîner mes talons sur la moquette pour venir me glisser par dessus cet homme qui m'attendait sur le lit... Non? Le voir sur un lit est une sorte d'appel sur moi, et sa tenue le rend encore plus irrésistible, bien que je serais bien tenter de lui en débarrasser là tout de suite. Je tente de le déstabiliser à mon tour, évoquant ce corps parfait qu'il pourrait découvrir s'il s'autorisait à me retirer cette robe. Je me charge tout de même de lui vouer une attention particulière, embrassant cette peau parfaite qui me donne un sentiment de bien être et de sécurité.  « J’ai envie de te faire l’amour comme jamais ! » Je ne peux m'empêcher de sourire plus largement. "Hmm..."dis-je en venant souffler près de ses lèvres, voulant bien évidemment le faire céder dans ce sens, ca serait loin d'être dérangeant au contraire. J'espère juste qu'il ne cherche pas à faire plaisir de cette façon à toutes les personnes qu'il aime Je le pousse à s'allonger, donnant l'impression que je vais m'occuper de lui. C'était parti pour, mais la façon il me dévore du regard me pousse à le faire patienter un peu. J’émets tout de même la possibilité de retirer cette robe avant, ne voulant pas lui mettre de barrière après. « Elle peut disparaître sans soucis maintenant ! » Je lui adresse un sourire sexy, me chargeant de défaire cette ceinture pour la lui retirer alors que je viens finalement à regagner le sol. « Viens là que je nous facilite le travail ! » Je ne peux retenir un rire amusé. « C’est une blague ! » parviens-je à entendre alors que je passe le pas de la porte, bien décidé à le faire courir un peu « Mais qu’est-ce que tu fais !? »Je ne peux retenir un rire qui fait écho dans ce couloir éclairé. « Mais attends-moi ! »  Comme si j'allais lui faire ce plaisir. Je prends un chemin, espérant parvenir à m'y retrouver. C'était quoi déjà le numéro de notre chambre?« Si je t’attrape, tu vas passer un sale quart heure Parker ! » je ne peux m'empêcher de rire alors que mon dos est plaqué contre le mur, profitant d'un moment de répit pour reprendre mon souffle. Mais il se rapproche, me poussant à reprendre la course. « Montre toi… ! » Je ne pourrais pas courir éternellement, mon petit coeur va finir par succomber. « Je rigolais… je te veux pas de mal, au contraire, je te veux te faire beaucoup de bien ! » C'est vrai, je vais finir par l'épuiser et il n'aura finalement plus d’énergie pour moi, est ce la bonne idée. Je ré aperçois sa silhouette alors que j’accélère le pas, voyant très bien qu'il va vite me rattraper avec mes petite jambes.« STOoop » Je profite d'être hors de portée de vue pour ouvrir une porte qui n'affiche pas de numéro. J'espère juste ne pas me retrouver face à un mec de l'hôtel. Mais non! Miracle! C'est à priori un placard où sont stocké draps et serviette. Je referme  la porte derrière moi, n'y voyant pas grand chose alors que je lève la main, espérant y trouver l'interrupteur à tâtons, malheureusement, c'est autre chose qui vient se glisser sous cette dernière. Et c'est dans un bruit assez strident que vient s'éclater un plateau avec de la vaisselle- en alu, heureusement- sur le sol. Les cognements de cette vaisselle les uns sur les autres fait cependant un vacarme assourdissant. En plus d'avoir donné la piste de ma trace à James, j'ai certainement réveillé tout les résidents de la nuit. Je me mets une main sur le visage, bien consciente de ma maladresse alors que je viens à me retrouver accroupie sur le sol. La porte s'ouvre alors que je croise le regard de James et éclate de rire. Okay, nos chances de passer la nuit semblent bien comprise avec mes conneries là. Il se met pourtant à rire avec moi, tentant d'être silencieux, avant que nous retrouvent. "Okay je me rends" en même temps j'avais pas trente six possibilités là, j'étais un peu bloquée. Il me tend la main, tendant de m’échapper de ce bordel que j'ai provoqué. "T'as gagné" avouais-je alors que je me glisse sur la pointe de pieds pour lui voler un baiser. Un bruit de porte se fait pourtant entendre, nous forçant à nous détacher pour subir les conséquences de nos actes. Une personne assez âgé, avec un peignoir en soie, plutôt classe dans le genre nous observe, nous prenant de court. Nous sommes foutu. Je croise le regard de James qui semble jouer le trouble. " Okay, ca va pas le faire, ca va pas le faire du tout... Vous êtes un carnage ambulant! On va se passer de vos services!"What?! Il était entrain de me virer?! Mon regard se balade à travers le sien, tentant de me demander si c'est l'idée la plus miraculeuse du siècle. Et je me décide à entrée dans son jeu, passant devant la porte de la femme qui me dévisage regard. Je hausse les épaules, comme pour faire remarquer que cette décision m'est peu égale, je suis plutôt indiscipliné dans mon rôle. Et je rejoins la chambre, imaginant que James va en profiter pour me rejoindre quelques secondes plus tard. J'ai cependant un écho de voix et je tourne le visage tout en marchant pour constater que la femme en question lui adresse la parole. Okay, ca semble mal parti...


J'entends la porte de la chambre s'ouvrir à nouveau et un long soupire qui suit. Je me doute que ce moment qu'il a passé après ça a du lui couper tout envie, et qu'à cause de mes conneries, il est certainement plus agacé qu'autre chose. Il prend un petit instant avant de venir me retrouver dans la salle de bain, ne sachant pas que je m'y trouve puisque je suis plutôt silencieuse. La porte s'ouvre et je lui adresse un doux sourire pour me faire pardonner, espérant que ca sera suffisant. Je me trouve dans ce bain moussant, qui est bien sympathique, avouons-le, une coupe à la main. "J'ai pensé que tout ces efforts méritaient bien une petite coupe , j'ai donc pris le temps de contacter le room service pour qu'ils nous montent une petite bouteille de champagne." Dis-je en apportant la coupe à mes lèvres. Je parais bien plus calme et douce que précédemment, disons que j'ai pas envie que sa mauvaise humeur ne soit plus. "Elle était sympa au moins?" Il m'a quand même délaissé un bon quart d'heure pour être avec elle, c'est qu'elle devait l'être

n peu dire que cette soirée est parfaite. Enfin je fais tout pour qu’elle le soit et mon principal intérêt c’est de rendre la soirée magique pour Elisha. Je sais à quel point elle peut être effrayé par l’avenir et la vie de couple et que tout ça pourrait la faire partir en courant, mais je sais aussi que la soirée où nous devions fêter nos retrouvailles a quelque peu été chaotique même si nous avons réussi à rattraper le coup. J’ai envie de lui faire oublier ce petit détail en nous donnant une nouvelle chance de retrouvailles et ça me fait énormément plaisir de ne l’avoir rien que pour moi cette nuit. Ce mariage a éveillé le romantique en moi et toutes les intentions sont bonnes pour le démontrer comme lorsque je lui ouvre la porte de la voiture gentiment. Mais avant ça nous discutons sur le fait de ne pas se séparer avant le lever du jour et que rien ni personne ne nous empêchera de terminer la nuit ensemble, même une intervention. C’est pourquoi je lui suggère de m’accompagner si jamais,je devais me rendre sur le lieu d’un incendie. C’est pas très romantique pour le coup, mais c’est la seule solution que j’avais pour rester avec elle dans ce cas-là. << Uniquement si je peux enfiler l’uniforme. >> Je la regarde, haussant un sourcil. « Je dois dire que ça m’intéresse beaucoup ! Je pense que ça pourrait me donner des idées coquines tout ça ! » affirmais-je. C’est vrai que ça peut être excitant de voir sa femme dans un uniforme. Sortir du cliché de l’infirmière, le côté plus sauvage pourrait me donner bien plus d’émotions. « On ira faire un tour à la caserne un de ces jours pour réaliser ton envie. » dis-je en souriant. J’étais sincère et puis je ne serai pas contre pour lui faire visiter mon lieu de travail. « Je te ferais monter à l’échelle » dis-je charmeusement avant de l’embrasser et de quitter la voiture pour retrouver la chambre qui nous attend depuis plusieurs minutes maintenant. Elsha prend rapidement ses marques en déposant ces boucles d’oreilles sur un petit meuble pendant que moi, je scrute le matelas avant de l’observer attentivement. Son attention se porte désormais sur moi alors qu’elle vient se glisser au-dessus de mon corps à moitié allongé. J’aime la tournure que prend cette soirée. La sensualité prend par de tout mon corps alors que mes mains viennent se charger de caresser sa peau découverte de sa robe. Je me laisse faire et apprécie sa bouche sur moi. J’aime cette intention et je lui fais part de mes pensées actuelles. Qu’on se le dise, j’ai envie de lui faire l’amour, là, toute suite. De faire tomber sa robe rapidement et de découvrir ce qu’il se cache en-dessous de ce tissu rouge. Je croise son regard et lui propose un sourire très évocateur. << Hmm… >> Elle me fait tourner en bourrique, je n’ai pas le temps de prendre en otage ses lèvres qu’elle me pousse d’un geste presque sauvage. Je souris me laissant tomber sur le lit de nouveau alors qu’elle se charge de venir retirer la ceinture de mon pantalon. La suite semble être déclenchée, enfin c’est ce qu’elle me fait croire alors qu’elle me demande de l’aider à retirer ENFIN cette robe. Je ne vois aucuns inconvénients pour la lui retirer toute suite même, j’en suis d’ailleurs impatient ! Pour ce faire elle se lève du lit, me laissant allongé, seul avec mon envie. J’allais me redresser et me lever pour coller mon corps et retirer sa robe sensuellement, mais je n’ai une nouvelle fois pas le temps de mener mon action à terme puisqu’elle se défile en quittant la chambre. Là ! c’est une grosse blague ! Elle veut vraiment me faire languir ainsi ? Je tente de l’en dissuader à plusieurs reprises mais rien n’y fait, je suis forcé de la suivre pour ne pas la perdre de vue et entre dans son jeu enfantin. Je lui cours après (encore une fois ) et de nombreuses fois je suis à deux doigts de l’attraper. Je l’entends rire à chacune de mes répliques, elle n’est jamais loin de moi, c’est frustrant. Alors que plus aucuns bruits ne se fait entendre, je baisse presque les bras, en trainant les pieds dans le couloir. Elle a réussi à m’échapper apparemment. Mais un bruit sourd raisonne finalement, je suis donc cette piste et pose la main sur la poignée du placard en question que j’ouvre finalement y découvrant Elisha accroupie, les mains plaquées contre son visage. Je crois pourtant son regard et partage un rire avec elle. << Okey je me rends >> Je lui souris et lui tend la main pour qu’elle se relève. Je la regarde et elle vient m’embrasser furtivement. << T’as gagné >> Je ris et mes bras viennent enlacer son bassin. « Oui, je suis le meilleur à ce jeu » me ventais-je. « On sait désormais que c’est par ta faute si nous sommes des catastrophes ensemble et pas à cause de moi » lui dis-je en riant alors que je viens glisser mes lèvres à son cou. Je faisait référence à toutes ses mésaventures qu’il nous étaient arrivées dernièrement et depuis le début de notre relation. C’était une façon de la taquiner et de la provoquer. Je sens l’envie me revenir alors que je presse son corps au mien. Seulement nos échanges et nos rires ne sont pas distraits dans ce couloir qui raisonne. Nous avons apparemment éveillé certaines personnes, enfin une femme se dresse devant nous, nous forçant à nous séparer rapidement. Je regarde Elisha et cherche un moyen de nous sauver et nous éviter les ennuis. « Okay, ca va pas le faire, ca va pas le faire du tout... Vous êtes un carnage ambulant ! On va se passer de vos services ! » Je fronce les sourcils en la regardant, prenant un air vraiment sérieux, digne d’un patron respecté. « Vous pouvez disposer, je vais m’occuper de réparer vos bêtises ! » ajoutais-je, entrant clairement dans mon rôle. Je suis frustré en réalité. J’ai réussi à la faire partir pour lui éviter tout ça, mais en attendant, moi, je suis bloqué avec cette femme qui ne cesse de me regarder. Je lui souris un peu gêné. « Qu’est-ce que je peux faire pour vous ? » demandais-je en m’approchant d’elle. Dans quel bordel je me suis mis encore… << Venez voir, j’ai un problème de plomberie je pense. >> J’écarquille les yeux mais arrête rapidement. De plomberie, vraiment ? J’ai une tête de plombier ? « Mmh, allons voir oui. » dis-je en la suivant dans sa chambre. Il y avait d’ailleurs plein de bougies posées partout. « Je sais pas si je vais pouvoir faire quelque chose pour vous, c’est pas mon métier madame » dis-je poliment avant de voir le problème. C’était question d’une chasse d’eau qui ne cessait de couler. Ca n’avait pas l’air très compliqué a première vue, mais j’ai clairement deux mains gauche et je ne voulais pas aggraver la chose. Je fais semblant de bidouiller quelque chose pendant que la femme assise sur le rebord de la baignoire me raconte sa vie. Je suis saoulé et blasé. Ce n’est pas vraiment ce que j’avais en tête pour une soirée en amoureux. Les minutes qui passent me semble interminable et je n’ai pas envie de connaître ses fantasmes. Je n’ai vraiment pas envie de faire des cauchemars. Il faut que je trouve le moyen de lui échapper. « Bon écoutez, j'y connais rien » je me retourne pour lui faire face. « Pour cette nuit, vous allez bien fermer la porte et mettre une petite musique pour dormir, j’appellerai quelqu’un demain pour venir réparer ça. » lui dis-je en restant poli, en fait j’étais agacé. Ce que je viens de lui dire ne semble pas lui convenir. « Et vous demanderez d’être rembourser pour cette nuit aussi. » ajoutais-je en souriant. « Bonne nuit ! » terminais-je par dire en quittant sa chambre. Je traîne un peu les pieds, les mains dans les poches de mon pantalon. Cette soirée n’a plus du tout le même goût qu’au départ. Je me demande bien où se trouve Elisha, si elle joue encore à se cacher ou si elle a enfin choisi de retourner dans la chambre. Pour ma part c’est ce que je décide de faire. J’ai l’impression qu’elle n’est pas là étant donné le calme que règne dans la chambre. Je m’assoie sur une des chaises qui trône dans la pièce pour souffler un coup et je remarque que la porte de la salle de bain est fermée contrairement à tout à l’heure. De nature curieux, je vais voir ce qu’il s’y passe. Je pousse donc la porte pour apercevoir Elisha dans le bain plein de mousse. Mes mains se glissent de nouveau dans mes poches et le la regarde en souriant. << J’ai pensé que tous ces efforts mérités une petite coupe, j’ai donc pris le soin de nous faire monter une petite bouteille de champagne. >> Je m’approche donc de la baignoire pour m’assoir sur le bord de cette dernière. « C’est une très bonne idée ça ! » affirmais-je en lui volant sa coupe pour en boire une gorgée. Je dépose cette dernière sur le rebord et l’observe un instant. << Elle était sympa au moins ? >> Je fronce les sourcils. « Tellement ! Je pense que je vais la revoir » dis-je simplement. « Je peux même te raconter qu’elle est veuve et qu’elle a trois chats et qu’elle aime se taper des petits jeunes. Je peux également te donner ses plus grands fantasmes. » ajoutais-je l’air blasé en prenant un peu de mousse dans ma main. Je relève les yeux vers elle, prenant un air plutôt sérieux maintenant. « Je devrais te noyer pour m’avoir fait subir ça… » dis-je tentant de garder mon sérieux. « Ou alors t’as intérêt de te faire pardonner ! » terminais-je par dire un sourire aux lèvres.

e pense que je ne pouvais rêver mieux comme suite pour cette soirée. C'est tout simplement parfait, venant de James, je n'en attendais pas moins. Je sais combien ce genre de chose peut lui tenir à coeur, combien il aime me faire plaisir. J'espère juste que cette fois, aucune catastrophe ne viendra obscurcir ce tableau parfait, rappelons qu'il y a encore quelque temps, nous sommes parvenus à foutre en l'air nos retrouvailles en un claquement de doigt. L'alcool parvient cependant à me laisse rune certaine liberté ce soir, et je compte bien éviter tout conflit avec lui. Nous méritons cette soirée, nous ne l'avons pas volé, et même s'il est déjà bien tard, je compte bien profiter ces quelques heures qui nous sont offerte pour profiter de lui, avant le fameux lever du jour. Je lui fais savoir que je ne veux pas que cette dernière soit dérangée par un quelconque événement, son poste au sein de la caserne peut effectivement nous pousser rapidement à nous séparer, et même si je souhaite de tout cœur que ça n'arrive pas, la faible possibilité me donne un nœud à l'estomac. Il tente cependant de me rassurer, me promettant même de m'emmener avec lui, même si c'est pour passer le reste dans la nuit dans un contexte qui ne relèverait bien évidement pas du romantisme ou d'un moment agréable.  « Je dois dire que ça m’intéresse beaucoup ! Je pense que ça pourrait me donner des idées coquines tout ça ! » Je ne peux retenir un rire en l'observant. Décidément, un rien peut l'émoustiller "Tu me trouvera sexy dans une tenue de pompier? Avec le casque et tout ça?" Si beaucoup de boulot à l'heure actuelle visait à se féminiser, je doute que l'accoutrement du pompier a subi ce changement. J'aurai surtout l'air ridicule dans tes vêtements bien trop ample pour moi et un casque qui décoifferait une chevelure soigné. « On ira faire un tour à la caserne un de ces jours pour réaliser ton envie. » Si cette réplique part d'un bon sentiment, j'ai immédiatement une image qui se dresse à moi. J'avais déjà eu l'occasion de me rendre dans cette caserne afin d'y retrouver James, et autant dire que nos au revoir avaient été dramatique dans notre genre. Je venais m'excuser d'avoir coucher avec un autre homme, bien que nous n'étions plus ensemble, et après avoir tenté de me faire culpabiliser et me faire la morale, il s'était finalement confié à moi sur ce rapprochement qu'il avait lui même savouré avec une autre femme. Je pense que nous avions clairement marqué les esprits de tout ces hommes bossant ici par notre scène au beau milieu de la caserne. Pas sûr que je veuille y remettre un pied, j'aurai trop honte finalement. « On ira faire un tour à la caserne un de ces jours pour réaliser ton envie. » Je souris doucement, tentant d'oublier cette foutue image, enfin, les choses avaient été réglé concernant cette dispute, mais affronter les regards des autres après ça ne me donnait plus tant envie « Je te ferais monter à l’échelle » Je détourne le regard brièvement. "Ouais, on verra". Ca sonnait comme une hypothèse qui ne viendrait jamais. je ne voulais surtout pas gâcher cette soirée avec un malentendu, alors je décidais de passer à autre chose pour changer de sujet. Après quelques minutes, nous nous trouvons dans cette chambre, et le compliment de cher Mayer me pousse à venir me glisser sur lui afin d'operer un éventuel rapprochement. Les répliques fusent, alors que je tente de le déstabiliser à travers ces baisers que je dépose à des endroits clés sur son corps. La suite semble désormais écrite alors que je le pousse à s'allonger sur le lit, laissant entendre que je prends les choses en main sans plus attendre. mais finalement, à part ôter sa ceinture, je ne vais rien faire de plus. Je vais juste me charger de m'enfuir pour tenter de le rendre fou. Nous sommes comme deux gosses à travers ce couloir, il tente de m'attraper, et mes rires viennent malgré moi face à ce jeu, qui bien que puéril, m'amuse beaucoup. Je l'entends, et bien que j'ai surtout envie d'être contre lui là tout de suite, je ne peux faire autrement que de le faire marcher un peu. Les issues sont cependant limitées, et je n'ai d'autre choix que de me retrouver dans ce placard, qui me permettra de reprendre mon souffle également. Malheureusement, les choses ne vont pas se passer comme je le souhaite, et bientôt je vais être mise à découvert face à ce vacarme assourdissant que je viens de provoquer en faisant tomber de la vaisselle. Si je me pince les lèvres en plissant les yeux, comme si cette grimace pourrait limiter la casse, je peux finalement m'empêcher de rire, me recroquevillant sur le sol alors que j'ai presque honte qu'on me surprend ici. Et c'est bien évidemment le beau brun qui va être celui qui va s'en charger. Nous partageons un rire alors qu'il m'aide à me relever et me sortir de là.  « Oui, je suis le meilleur à ce jeu »Je arque un sourcil, il n'en rajoutait pas un peu là? « On sait désormais que c’est par ta faute si nous sommes des catastrophes ensemble et pas à cause de moi » Je hausse les sourcils, laissant échapper un "Non" on ne peut plus confiant. Il ne pouvait pas rejeter la faute sur moi à tout les coups. Je n'étais pas responsable de son bouchon de baignoire égaré par exemple. Je me retrouve pressé contre lui, savourant la douceur de ses lèvres dans mon cou en souriant. Un bruit de porte va nous forcer à nous repousser dans la précipitation. J'ai l'impression d'être une gamine qui vient de se faire prendre la main dans le sac, et cette surprise ne parvient pas à quitter alors que je reste complètement passive face à ce qu'il se passe. James parvient à reprendre le dessus en simulant un conflit entre patron et employé. Si je mets un certain temps avant de comprendre. « Vous pouvez disposer, je vais m’occuper de réparer vos bêtises ! » Je hoche de la tête, prenant une attitude plutôt minime en décidant de quitter les lieux sans un mot, je remarque cependant avant de disparaitre de la vue que James est entré en discussion avec la femme qui a troublé notre échange. Espérons qu'il n'ait pas de problème par ma faute tout de même. Je regagne la chambre, arrivant en soupirant dans cette chambre qui me parait soudainement bien vide sans sa présence. Si j'ai le temps de l'observer plusieurs fois , me trouvant assise sur le bord du lit, j'ai surtout l'impression que cette attente est interminable. Les choses ne doivent pas si bien se passer pour James, il va m'en vouloir, certainement, et pour tenter d’adoucir les mœurs, rien de tel qu'un bon champagne. Je fais donc appel au room service à l'aide du téléphone disposé sur une table de chevet pour nous commander une bouteille. Et j'aurai d'ailleurs l'occasion d'ouvrir la porte  à l'homme de service avant même de retrouver James, qui a du se perdre dans ses couloirs, c'est pas possible autrement. Je regarde d'ailleurs instant de part et d'autre à travers ce dernier au cas où je viendrais à voir sa silhouette, mais non, c'est désert et terriblement calme. Je roule donc des yeux et me décide à passer le temps en me faisant couler un bain, que je rejoins après avoir glissé quelques boules à mettre dans l'eau dans l'une des armoires. Je retire donc cette robe, et ce joli body, que mon cher et tendre n'aura pas la chance de découvrir pour venir me glisser dans ce bain moussant qui me soutire un souffle de bien être. Je me sers une coupe pour rendre ce moment encore plus idyllique, il ne manque plus que lui là, vraiment. Le claquement de porte vient à me réconforter. Il va enfin venir me retrouver. Enfin, en imaginant qu'il s'agisse bien de lui. D'autant qu'il prend un certain temps avant de débarquer dans la salle de bain. Et c'est avec le plus beau sourire que je tente de l'accueillir. Désireuse de me faire pardonner pour ce moment peu agréable qu'il a du passer.  « C’est une très bonne idée ça ! »  me lance t-il, un brin dépité tout de même, alors qu'il vient à s'asseoir sur le rebord de la baignoire. Il me prend la coupe des mains afin de boire une sacrée gorgée. A croire que le moment qu'il vient de vivre a été éprouvant « Tellement ! Je pense que je vais la revoir » Un sourire malicieux vient faire son apparition sur mon visage. "Ah bon?" J'ignorais que James faisait dans le troisième âge. « Je peux même te raconter qu’elle est veuve et qu’elle a trois chats et qu’elle aime se taper des petits jeunes. Je peux également te donner ses plus grands fantasmes. » Je ne peux m'empêcher d'éclater de rire, moqueuse. Ce n'est pas son cas, je tente donc de me retenir en me passant une main devant la bouche, souriant tout de même malgré moi."Encore heureux qu'elle n'ait pas tenté de profiter de ton corps" fis-je remarquer. « Je devrais te noyer pour m’avoir fait subir ça… »je souris doucement en l'observant « Ou alors t’as intérêt de te faire pardonner ! » Mon sourire s’élargit en apercevant le sien.. "Viens là" dis-je en agrippant son col pour l'attirer vers moi afin de l'embrasser tendrement, peut être un peu trop puisqu'il manque de tomber, ce qui me fait rire alors qu'effectivement, il a un peu mouillé la chemise. "Je te propose de  venir me rejoindre déjà." déclarais-je en penchant la tête vers mon épaule pour le convaincre.

e suis romantique dans l’âme lorsque je suis réellement attaché à quelqu’un. J’y peux rien, c’est plus fort que moi, j’ai ce besoin de satisfaire les gens, de les rendre heureux. C’est peut-être dû à une souffrance du passé, bien que je n’aie jamais été réellement malheureux durant mon enfance. Disons juste que l’affection a souvent été mis de côté et aujourd’hui, je ne veux pas me cacher de mes sentiments. Ce que je ressens, je l’exprime. Parfois un peu trop dans l’excès c’est vrai, mais on ne me changera pas. Je ne compte pas minimiser mes sentiments ce soir ! J’ai envie de passer une merveilleuse soirée et c’est déjà ce qu’il s’est passé durant le mariage mais disons que je n’ai pas envie que cette journée se termine et je n’ai surtout pas envie d’être séparé d’Elisha. Pour une fois que je peux profiter d’elle sans avoir peur d’être déranger, je compte bien le faire ! Que ça plaise ou non, les disputes à la porte et les bisous et câlins à gogo ! J’ai vraiment besoin de ça, elle me manque terriblement lorsque je ne suis pas avec elle, j’ai sans cesse envie d’entendre sa voix et de voir son beau sourire ou pouvoir avoir une discussion les yeux dans les yeux. Nos boulots respectifs et mon rôle de père nous mettent parfois des bâtons dans les roues, c’est pourquoi ce soir, j’ai posé une absence totale sur ces deux choses. Il faut savoir prendre du temps pour soi non ? Alors ce qui me faut, c’est être avec la femme que j’aime. Partager cette conversation avec elle dans la voiture me fait sourire autant qu’elle me fait rire. Nous sommes vraiment incorrigibles, enfin surtout moi. Le désir que j’éprouve pour elle est sans failles. Jamais une femme ne m’a autant fait d’effet et attirer comme elle le fait. Un rien me ferait succomber. C’est l’amour noous allons dire. << Tu me trouveras sexy dans une tenir de pompier ? Avec le casque et tout ça ? >> Je ris après cette réplique. « Tu sais, y a des uniforme pour les femmes, ça donne un certain charme. » répliquais-je en riant. « Et puis, je crains de ne pas tenir longtemps, tu risques de ne pas souvent porter cet uniforme avec moi dans les parages » Ok, ca fait un peu pervers, mais c’est drôle. Jamais je ne la forcerait à quoi que ce soit, mais les pulsions qu’elle provoque chez moi sont si fortes parfois. Je lui propose donc de venir à la caserne un de ces jours pour lui faire visiter. Et sans le vouloir, j’ai sans doute fait ressortir un mauvais souvenir. Il faut se souvenir qu’elle était déjà venue dans le passé et ça n’avait pas laisser une bonne image de cette venue. Nous avions clairement dépasser les bornes ce jour là et nous étions blessé tous les deux. Je ne voulais pas mettre une ambiance lourde comme ça. Je voulais simplement lui faire visiter les lieux, en profondeur, pas le lieu de cette dispute horrible. Mais bon, j’ai été maladroit une fois de plus, je l’ai bien remarqué au sourire qui se veut poli d’après moi sur son visage. << Ouais, on verra. >> Quel abrutis je suis. J’ai bien compris qu’il ne fallait pas que j’insiste. Elle finira bien par venir si elle en a envie. Je m’en veux d’avoir laisser planer de mauvaises ondes, j’espère que ça ne va pas venir gâcher cette soirée. Fort heureusement, on dirait que non alors que nous découvrons enfin la chambre qui va nous accueillir cette fin de nuit. Elle est plutôt sympathique, bien que moi je m’attarde sur le lit. Elisha vient m’y retrouver en se glissant sur moi d’une façon très sexy, qui ne va pas me laisser de marbre très longtemps. Ce petit jeu m’excite, j’aime ce petit côté sauvage qu’elle dégage parfois alors qu’elle retire ma ceinture laissant clairement paraître une suite bien plus torride. J’aime cette idée. Seulement, on dirait que madame ait décidé de me faire tourner en bourrique ce soir ! Elle se retire de mon emprise alors que je la caressait sensuellement après avoir glissé mes mains sous sa robe. Je me demande à quel petit jeu elle joue. Elle veut me faire perdre la tête et bien c’est le cas lorsqu’elle quitte la chambre. Elle est vraiment incorrigible ce soir ! Rien ne l’arrêtera dans son idée. Elle court dans les couloirs de l’hôtel où reigne le calme absolu. Je me dois de ne pas la laisser s’échapper ! Ca non ! Ce n’est pas ce que j’avais en tête quelques secondes avant. Si je l’attrape, ça va mal se passer lui dis-je pour plaisanter. Elle semble d’humeur taquine et joueuse, j’entre donc dans son jeu en la cherchant dans les moindres recoins. Je commence à désespérer et trouver cette blague un peu trop longue alors que je n’arrive pas à lui mettre la main dessus. On dirait que le bruit qu’elle vient de produire était pour me donner une piste. Je la retrouve enfin, au sol dans un placard. Elle est terrible ! Une petite teigne qui ne fait que des bêtises, mais ça m’attendrie finalement alors que je l’aide à se révéler pour l’enlacer. C’est une bonne récompense. Je lui fais part du fait que c’est elle la catastrophe entre nous deux. << Non ! >> Elle ne se laisse pas faire, j’adore. Je viens à rire avant de me charger de quelques parcelles de sa peau. Je compte bien rattraper les minutes loin d’elle. Seulement il y a encore quelque chose qui vient nous interrompre ou plutôt une femme. Nous avons surement dû la réveiller avec ce vacarme provoqué. Il faut trouver une solution pour ne pas nous causer de problème. Une idée me vient en tête, pourquoi pas se faire passer pour des employés même de l’hôtel. Je joue le patron et Elisha l’employée aux mains gauches. Ca semble fonctionné puisque Elisha arrive à se sauver de cette embrouille. Par contre, moi, je me retrouve bloqué avec cette femme aux allures couguar. Pour avoir l’air crédible, je me dévoue à la suivre pour réparer son problème. MOI réparer quelque chose ? On marche sur la tête mais bon, je dois assumer cette idée absurde que je viens de déballer pour nous sauver la mise. Je bidouille, regarde un peu partout, mais clairement si je touche quelque chose, je risque de faire plus de dégâts qu’autre chose. Je me sauve finalement après avoir donné des excuses bidon, révélant presque la supercherie que je venais de faire. Je regagne la chambre que je dois partager avec Elisha et constate qu’elle ne s’y trouve pas. Elle s’est perdue en voulant retourner ici. Elle n’a pas le sens de l’orientation j’ai l’impression Je suis mauvaise langue. Je la retrouve dans la salle de bain où madame se prélasse dans un bain chaud pendant que moi je joue les apprentis plombier Elle semble quand même ravie de me revoir et je le suis tout autant alors qu’elle m’annonce avoir commander de quoi nous réconforter de cette péripétie. Je me laisse charmer par cette coupe de champagne qu’elle tient pour en avaler les 3/4. Elisha est taquine puisqu’elle me demande si la dame était sympa, vu le temps que j’ai passé avec elle. Je lui énonce cette joie que j’ai eu en partageant ce moment avec cette dernière, je pense même la revoir. << Ah bon ? >> je plaisante bien sûr, je pense même qu’il faudrait quitter l’hôtel pour ne pas qu’elle cherche a me retrouver. « Oui, on prend le petit déjeuner ensemble demain matin » ajoutais-je pour en rajouter une couche. Je ne compte absolument pas descendre pour prendre le pti dej demain, je préfère qu’on nous le monte à la chambre, c’est bien plus romantique. << Encore heureux qu’elle n’ait pas tenté de profiter de ton corps. >> Je souris, à la limite de rigoler. « Ca tu sais pas » répondis-je pour plaisanter. Je ne tiens pas longtemps avant de rire mais je la menace de la noyer pour ce que je viens de subir pour lui sauver la peau. Une autre alternative bien plus sympa s’offre a elle. << Viens là >> Je me laisse tirer par le col pour venir partager un doux baiser. « C’est bien plus agréable que d’avoir la tête dans les toilettes. » dis-je coller à ses lèvres. Je me recule pour ne pas tomber tout habillé dans la baignoire. << Je te propose de venir me rejoindre déjà >> Je recule la tête. Elle a le don pour me faire flancher. « Tu crois qu’il y a une petite place pour moi ici ? » demandais-je alors que je déboutonne ma chemise et mon pantalon par la suite. Je ne tarde pas à ôter tout le reste de mes vêtements et me glisser dans l’eau. « Et ensuite ? » demandais-je en la fixant, sourire aux lèvres.

e suis clairement comblée à l'idée de pouvoir finir cette soirée, enfin, plutôt cette nuit avec lui. Le temps nous est toujours compté, et rare sont les moments où je peux me réveiller dans ses bras. Si nous sommes habitués à ce quotidien, je dois dire que ca devient parfois un peu pesant. J'aimerai tellement avoir plus de liberté pour notre couple, ne pas avoir à me poser tant de question sur les horaires qui nous permettent de nous retrouver ou le temps qui nous est accordé. Mais ca faisait parti du jeu, nous avons toujours vécu ainsi après tout, il faut s'y faire. Son métier de pompier est d'ailleurs venu bouleverser un peu plus nos temps libre, ca nous freine parfois pour certaine sortie ou retrouvaille, mais contre toute attente, je suis réellement ravie de voir qu'il s'épanouit dans cette nouvelle responsabilité. Et je suis fier qu'il se mette au service de gens qui sont justement dans le besoin, c'est tout à son honneur. Enfin, le sujet est cependant bien plus léger alors que je lui fais savoir que j'aimerai essayer l'artillerie de pompier. Je suis pas sûr de tant apprécier une fois que j'aurai autant de poids sur le corps, parce que oui, j'ai déjà connu un pompier qui m'avait fait savoir combien ça pesait et que ca rendait la tâche difficile, mais en tant que femme dans toute sa splendeur, je n'y vois que le côté esthétique, bien que ce soit finalement peu sexy enfaite. Pas certaine d'avoir bien compris, je ré-exprime ma question, lui évoquant ce que ça implique quand même et son rire parvient à m'en soutirer un. « Tu sais, y a des uniforme pour les femmes, ça donne un certain charme. » Je arque un sourcil, soudainement curieuse. "Voyez vous ça! T'as l'air de savoir de quoi tu parles" Donc ce cher Mayer matait ses partenaires féminines et en plus il osait me l'avouer. Pervers . « Et puis, je crains de ne pas tenir longtemps, tu risques de ne pas souvent porter cet uniforme avec moi dans les parages » Je souris largement en hochant négativement de la tête. "Finalement est ce qu'il y a un vêtement que tu préfères à mon corps entièrement dénudé?" Oui c'était ça la vraie question. Je pense que le rêve de James et que nous vivions nu sur une ile déserte Il émet l'idée que je pourrais un jour venir à la caserne. Si cette possibilité m'aurait bien évidemment tenté en temps normal, une mauvaise image me revient en tête. Je sais très bien que ce n'était pas pensé à mal, et je ne lui en veux pas du tout, bien au contraire, nous avions vécu pas mal de bas, je suppose que ca fait parti aussi de notre histoire. Disons que les pompiers présents ont du garder une image peu flatteuse me concernant et que je ne suis pas sûr encore de vouloir affronter ça. Je ne veux cependant pas gâcher ce moment. Les histoires du passées ne doivent plus venir encombrer le présent (prends note pour plus tard ) et c'est tout naturellement que nous changeons de sujet et retrouvons une belle complicité au sein de cette cage qui nous mène tout droit à la nuit parfaite. Arrivés sur place, il nous est rapidement difficile de ne pas être proche l'un de l'autre. Il faut dire qu'il a les mots pour faire tomber les barrières, et tout naturellement, je viens à jouer de mes charmes en me glissant au dessus de lui. Si la suite semble plutôt déjà écrite, je tiens à le faire ruminer un peu, c'est de bonne guerre pour m'avoir laisser déçu quelques instants avant de m'annoncer qu'il restait avec moi pour la nuit. Et puis, mon jeu à moi est bien plus drôle puisque nous nous lançons dans une course poursuite à travers les couloirs déserts de cet hôtel. Je ne peux m'empêcher de rire aux éclats, il faut dire que la situation est drôle. Malheureusement, tout ces efforts m'épuisent et l'alcool précédemment consommé n'aide pas à ce que je sois une sportive de taille là. Je vais donc trouver un endroit pour m'isoler avant de me donner en spectacle par une maladresse sans équivoque. Okay, là je ne peux nier que tout est de ma faute. Et le hasard ne va pas jouer en notre faveur puisque nous sommes pris en flagrant délit. Si c'était bien drôle, je n'ai clairement pas envie que nous soyons jeter dehors comme des malpropre pour avoir fait un carnage. Ca semble pourtant inévitable. C'était sans compter sur les ressources de James qui nous fait passer pour des personnes bossant ici. Si je me fais dénigrer, ca me permet cependant de pouvoir déguerpir bien plus vite. Et le retour de James lui va me semblait interminable. J'essaie de ne pas songer au pire, mais clairement, je me dis qu'on va venir me chercher pour m’amène à la porte de la sortie. Ou pas. James vient enfin à retrouver la chambre, il lui en aura fallu du temps pour ça. Et je l'accueille dans une situation plutôt agréable. Allongé dans ce bain moussant, une coupe de champagne à la main alors que je lui adresse un sourire des plus tendres pour tenter de lui faire oublier ce qu'il vient de vivre. Il vide sans plus attendre ma coupe sous mon regard surpris. Il a du vraiment passé un mauvais quart d'heure « Oui, on prend le petit déjeuner ensemble demain matin » Ou pas! La femme semble s'être fait un copain. Je rentre dans son jeu, tentant de jouer la femme libérée que je ne suis pas. "Oh... Je tâcherai de rester un peu l'écart pour ne pas perturber cet échange alors". dis-je en croisant son regard, un sourire mesquin sur les lèvres. « Ca tu sais pas » Je hausse les épaules, faussement pensive en feignant une moue avec la bouche. "Ce que je sais, c'est que tu n'as pas ce sourire satisfait sur les lèvres, le sourire du 'j'ai bien mangé' ". Sourire qu'il a en temps normal après un rapprochement avec moi, madame n'aurait t-elle pas été à la hauteur? Il se met à rire, m'entrainant dans cet échange. Je tente de me rattraper en lui volant un baiser, l'attirant vers moi. « C’est bien plus agréable que d’avoir la tête dans les toilettes. » lâche t-il a proximité près de mes lèvres. Je ne peux m'empêcher de relever le regard dans les yeux, manquant d'éclater de rire d'un moment à l'autre. "Bah...merci!" C'était une bonne chose j'imagine. Je lui propose de venir me rejoindre sans plus attendre. « Tu crois qu’il y a une petite place pour moi ici ? » Je souris en remontant quelques peu contre la paroi. "T'as vu la taille de cette baignoire?! On pourrait facilement être à trois dedans. Toi, moi, et ta mamie!" dis-je avec un sourire amusé sur les lèvres. Il vient à s'installer en face ce moi, me laissant tout de même le loisir de sentir son corps collé contre le mien. « Et ensuite ? » Je penche la tête par dessus mon épaule. "On savoure! ce bain on le mérite amplement" fis-je remarquer avec un fin sourire. Je me penche pour venir attraper la bouteille de champagne afin de remplir nos deux verres. "C'était vraiment une bonne soirée. Je me suis bien amusée." Je faisais référence à notre poursuite dans cet hôtel mais aussi à notre présence au mariage. Si j'avais montré des signes de faiblesse, je ne regrettais en rien d’être resté.Je viens à glisser mon pied sur son torse, le poussant sans le vouloir à ce qu'il me le masse. Un sujet me vient cependant à l'esprit. Une maladresse de ma part alors que la question du mariage avait été évoqué par le jeune marié. "Je voulais te dire... J'ai pas voulu manquer de respect en me moquant de la question du mariage lorsque Ewdard en a parlé tout à l'heure". Je ne voulais pas me heurter à un terrain glissant, mais j'avais vu le regard que James m'avait lancé, le même que les deux autres personnes qui me faisaient face d'ailleurs, et ca n’incluait en rien le fait que ca semblait hilarant, disons juste que James me connaissait assez pour savoir que c'était pas le genre de chose quo me faisait rêver, mais courir justement.