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 SLH - "My theater is the mind."

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(#)Sujet: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 0:29
 
Sidney Lee Hopkins
"And now, the curtain rises."
Si vous ne connaissez pas Sidney, pour vous il sera un type banale, avec un sens de l'humour bien particulier, il vous sera même agréable. Parce que c'est son masque, celui qu'il adopte pour chaque personne qu'il peut fréquenter. Il pourrait être votre ami, ou même votre meilleur ami bien qu'en réalité, il ne fait ça que pour son propre intérêt voire même pour s'amuser. Il n'a cependant jamais de relation stable, il est incapalbe de les faire durée, finissant toujours par se lasser. Quand à l'amour, il en ignore même l'existence et est incapable de le ressentir, comme tous autres sentiments. Cependant, il a compris que ça avait un certain effet sur les autres et de manière différentes à chaque fois et il prend à malin plaisir à faire tomber amoureux quelqu'un de lui, juste pour avoir le plaisir de lui briser le coeur sans y éprouver aucun remord. Sa psychopathie le prive ainsi de toute forme de compassion ou d'ampathie et de remord. Il peut se montrer par contre violent, quand la colère à pris possession de lui ou dans le but de vous faire du mal. C'est un tueur en série avec ses critères. Il est obsédé par l'art et ça se sent dans chacunes de ses victimes. Quant à ses habitudes, c'est un peintre mais il n'expose très peu ses oeuvres. Il a aussi des rats de compagnies et vit dans un entrepot où il a de la place pour ses toiles et autres affaires.
Prénoms & Nom.
Sidney Lee Hopkins
Age.
30.
Né(e) le, à.
11.04.87, Chicago.
Profession & Etudes.
Professeur et conferencier en Art.
Situation.
Célibataire.
Orientation sexuelle.
Doit-on réellement choisir quand on a l'embarras du choix ?
Origines & nationalité.
Américain.
Groupe choisi.
Ciudad Juàrez.
Ichi.
ft. EVAN PETERS.
Ton âge 24. D'où tu viens ? PACA. Où as-tu connu le forum ? Kathelyn Parks m'a donné le lien suite à une recherche. Fréquence de connexion 5j/7. Un petit avis sur LMLYD ? Ca a l'air super, hâte de voir en jeu ! As-tu envoyé tes 2 secrets à Nightmare ? C'est envoyé. Si tu es un scénario, merci de nous laisser le lien ici : // Mot de la fin ? fin.
"They call me mad. All artists are mad."
Act 1 – Préambule.
Chicago, 1986.

Victoria S. Moore était une femme âgée de vingt-cinq ans. C’était une personne qui était de loin des plus simple, ni des plus amusantes. Elle était stricte et elle était surtout très croyante. La religion était l’élément qui dirigeait sa vie. Chaque tradition, chaque règle étaient respectées à la règle. Sa famille était pourtant très traditionnelle ne semblait pas approuver son choix de vie. Et malgré leur remarque, elle n’a jamais souhaité changer, voulant contrôler sa vie au moindre détail, réglée comme l’aguilles d’une pendule. Elle était secrétaire dans une petite agence de tourisme et en parallèle travaillait bénévolement à l’église de son quartier. Elle avait des projets pour l’avenir, qu’elle avait définit bien à l’avance. Elle voulait se marier, rester vierge jusqu’au mariage, avoir des enfants et devenir femme au foyer. Elle ne voyait pas sa vie réussie autrement.  Elle était tellement sûre d’elle qu’elle en oubliait sa naïveté et sa jeunesse. Et comme tous les êtres humains, elle est soumise au même risque de faire des erreurs. Parce que tout allait très bien, jusqu’à ce qu’elle rencontre, le 26 juillet 1986, George Hopkins.

George était un ancien policier, qui avait dû momentanément stopper son activité sur le terrain suite à une blessure grave. Se retrouvant aux tâches administratives, il décida de prendre les devants et de faire quelque chose de plus productif. Il organisa alors des conférences de prévention sur les dangers de la drogue et de tout ce qui était lié dans les écoles et dans d’autres lieux.  C’est de cette manière que son chemin croisa celui de Victoria. Après avoir fait le tour des quartiers, il lui était venue une idée, de créer des réunions anonymes pour aider les anciens drogués qui se réfugiaient plus que souvent dans l’église. C’est Victoria, qui fut chargé par le prêtre de se charger d’aider George à organiser et à gérer ses réunions. Leur duo fût des plus efficaces. Toujours très coordonnés ensemble, ils on toujours réussis à accorder leur violon. C’était comme s’ils avaient été faits pour s’entendre.

C’est ainsi que leur histoire d’amour débuta, une histoire construite jusque-là dans un équilibre imperturbable.  Victoria était tombé amoureuse, d’un amour aveugle. Elle qui a toujours été bien trop stricte avait relâché du lest. Parce que George n’était pas comme elle, elle vivait dans un monde antérieur, lui vivait le présent. Et Victoria voulait lui plaire. C’est là qu’elle avait fait sa première erreur. Parce qu’elle venait d’enfreindre ses propres principes. Et il lui fallut deux mois, pour qu’elle s’en rende compte. Quand le résultat du médecin, inscrit sur un petit dossier gris était entre ses mains. Elle était enceinte.  Ce petit dossier gris venait de lui mettre une énorme gifle, ce coup la fit vriller. Qu’avait-elle fait ?  Son monde s’effondra comme une longue ligne de domino. Un par un, ses principes auxquels elle tenait tant, tombaient. Elle se mit à rejeter George, à rejeter l’enfant qui grandissait en elle. Et son petit ami ne comprenait pas sa réaction si extrême. Il avait tenté de la calmer, de l’apaiser mais rien n’y faisait. Même le mariage en urgence n’avait rien changé. Victoria était devenue… différente. Victoria commençait tout doucement à éprouver une haine envers cette enfant qui n’avait pas encore vu le jour et plus le temps passait, plus ça empirait. Leur vie de couple avait perdu tout équilibre, George fuyait la maison ne supportant plus ses crises. Sa famille non plus n’avait pas compris. C’était pourtant un cadeau qui lui était offert.

Act 2 – Situation Initiale.
Chicago, 1987.

Le 11 avril 1978, les cris du bébé avaient retenti dans la pièce de la maternité pour la première fois dans les bras de l’infirmière. Cette dernière s’était hâtée de le nettoyer et ainsi pouvoir le présenter à sa mère pour qu’elle puisse le prendre dans ses bras, le serrer contre elle. C’était un petit bébé blond au visage angélique qui ne demandait qu’à être aimé. Mais quand l’infirmière lui avait tendu délicatement, Victoria la rejeta d’un revers de la main. Elle ne voulait pas le voir. C’est alors George qui au long de ces neufs mois avait appris à la détester, qui le prit dans ses bras et qui tenta alors de calmer le bébé qui lui n’avait pas arrêter de pleurer. Rien n’y faisait, c’était comme si l’enfant appelait déjà sa mère. Et les heures passèrent dans la chambre, elle ne le prit pas une seule fois dans ses bras. Victoria le haïssait tellement qu’elle refusa de le nommer. C’est donc son père qui le fit et choisit alors pour prénoms Sidney Lee. Il ne savait pas vraiment la raison de ce choix, la situation le dépassait tellement, il avait pris des noms aux hasards. Pour l’anecdote, le magazine qu’il avait lu et relu le temps de l’accouchement parlait de Sydney et l’un des rédacteurs s’appelait Lee.  George avait été tellement tiraillé par sa femme, à l’empêcher de faire une énorme bêtise, à ne pas se faire du mal qu’il n’arrivait même pas à se rendre compte qu’il était père.

Cette enfant était née dans la pire des situations, sa vie ne tenait finalement qu’à un fil. Parce qu’une fois de retour à la maison, le père fit à nouveau l’autruche et ne rentrait quasiment plus chez eux et Victoria elle, ne semblait pas vouloir s’occuper de son enfant. Il la dégouttait, elle le traitait comme si c’était un démon. C’en était même devenu une obsession. Elle le nourrissait très peu et quand il pleurait, elle l’enfermait dans une pièce là où elle ne pouvait plus l’entendre. Mais le bébé grandit quand même, bien que ce fut difficile. Et le fait qu’il grandisse n’arrangea pas ses délires obsessionnels. A tel point que lorsqu’il eut à peine l’âge de parler, qu’il se retrouva enfermé de force dans une pièce noire, où elle semblait crier des phrases étranges, comme pour l’exorciser et elle avait répété ça, des jours et des jours. Le petit garçon était complètement effrayé dans cette petite pièce plongée dans le noir, à entendre les cris de sa mère. Il était bien trop jeune, il ne comprenait rien à ce qui lui arrivait. Parce que lui tout ce qu’il voulait c’était qu’elle s’occupe de lui.  Victoria restait sa maman et il réclamait son attention, chaque jour, mais à chaque fois elle l’ignorait où le rejetait.

Mais plus son enfance se déroulait, plus le gamin abandonna et restait tout seul, dans sa chambre. Mais le problème, c’est que malgré qu’il semblât faire comme s’il n’existait plus, pour Victoria, il était toujours là, à hanter sa maison.  Et George lui… Lui on ne savait même plus où il était. Parce qu’une après-midi, il avait dit à Sidney qu’il partait chercher le journal et n’est plus jamais rentré.

Sidney était un enfant seul, laissé à l’abandon dont l’existence avait été rejeté au moment où il était né. Et il avait besoin de l’attention des autres, de sa mère, de quelqu’un. Alors quand il eut l’âge d’aller à l’école. Il commença à adopter un comportement agressif et impulsif, il ne savait pas comment agir avec les autres êtres humains. Ce n’était pas rare, qu’il s’en prenne physiquement à un autre élève ou encore à provoquer ses instituteurs. Et quand on le réprimandait, il ne montrait aucune forme de remord, semblant ne reconnaître aucun de ces faits et gestes. Chaque punition était une injustice. Chaque remarque, il ne les acceptait pas. Son comportement inquiétait les instituteurs de son école et leurs appels téléphoniques pour en discuter avec sa mère ne semblait pas avoir d’impact. Et le gamin était si maigrelet. Comme s’il ne mangeait pas suffisamment à sa faim. Et malheureusement, c’était le cas. Plus d’une fois, ils ont hésité à appeler les services sociaux, mais à chaque fois, ils se sont retractés, jusqu’à lâcher prise et demander à Victoria de lui trouver une autre école.

Puis un soir, Victoria n’était pas rentré toute seule et fit ainsi entrer un nouvel homme dans leur vie. Eric Green, un type bizarre, qui finalement s’accordait très bien avec cette dernière. Ils se sont rencontrés lors d’une messe et cette dernière lui avait confié son histoire et il lui avait expliqué, qu’elle pouvait refaire ses vœux, comme pour recommencer à zéro. Et c’est ce qui se passa. Il ne fallut pas longtemps avant qu’un mariage se fêta à grande pompe. Et cette nouvelle arrivée fut bien difficile pour le gamin qui recevait encore moins d’attention de sa mère, quand elle ne va pas l’enfermer. Sidney ne voyait pas Eric du bon œil, ne le laissant pas l’approcher. Mais à force d’insister il parvint un peu à l’appréhender. Il remplaçait un peu le manque qu’il ressentait à cause de sa mère. Mais malgré ça, son état général n’avait pas évolué positivement, sombrant toujours dans un état mental bien trop sombre.

Le gamin de neuf ans s’occupait comme il le pouvait et rien semblait l’amuser, ni encore moins le faire rire. Et il avait finit par arrêter de pleurer, c’était comme s’il avait arrêté d’être un enfant. Et les animaux du quartier ont commencé, un à un à disparaître. Ça avait commencé avec le chat du voisin d’en face, puis le lapin d’un autre… Personne ne savait réellement pourquoi.  Chacune de ces petites bêtes eurent le malheur de finir entre les mains du garçon qui semblait s’amuser à leur faire perdre la vie, à briser leur os sous ses doigts. Et il ne se rendait pas compte que c’était mal, c’était la seule chose qui semblait le combler… Il n’avait pas conscience du mal qui se réveillait en lui. Comme si sa mère avait créé le monstre, comme s’il était devenu ce qu’elle craignait jusque-là.

Act 3 – Elément perturbateur.
Chicago, 1997.

C’est encore une fois en Avril, qu’un petit bébé vit le jour. Erik et Victoria eurent un enfant, une petite fille. Une petite brune qui n’eut pas de mal à être nommée, Gwendolyn Green. Et elle, c’était l’ange tombée du ciel, la petite humaine parfaite aux yeux de Victoria. Et le petit garçon de dix ans, l’avait bien remarqué. C’est une jalousie maladive qu’il semblait éprouvé. Cette petite fille réveillait ses pulsions, qu’il avait eu jusque-là qu’avec les animaux. Comment maman pouvait-elle avoir un autre bébé alors qu’elle le détestait ? Et pourquoi elle s’occupe d’elle comme ça ? Elle n’avait pas le droit d’aimer quelqu’un d’autre que lui.  Se retrouvant à l’oubli totale au détriment de sa nouvelle petite sœur. Il perdit le peu d’humanité qu’il lui restait. Et les années qui suivirent n’arrangèrent pas les choses.

L’adolescence est une période difficile pour n’importe quelle personne sur Terre, alors il était évident que pour ce psychopathe naissant, c’était bien pire que tout. C’était l’adolescent ténébreux qui semblait être à l’opposé des autres garçons de son âge. Et contrairement à la primaire, il s’était renfermé sur lui-même, se créant un bouclier invisible autour de lui. Toujours aussi agressif, il évitait tout contacte humain, s’enfermant dans la bibliothèque ou à l’écart du reste du monde. Là-bas, il avait fini par se créer sa propre personnalité et d’autre obsession. Sidney avait découvert le monde de l’art. Il passait le reste de son temps à lire des œuvres littéraires ou à dessiner. C’était à un point que ça prit réellement une place dans sa vie.  Le problème, c’est qu’il s’ennuyait toujours autant. Et les animaux semblaient le lasser. Il avait même arrêté de compter.

Sa maison n’était plus sa maison, moins il y était mieux c’était. Pour tout le monde, car à chaque fois qu’il voyait cette gamine brune courir et sautiller devant lui, il avait envie de lui briser la nuque. Eric finit par le prendre en train de s’évader de chez eux par la fenêtre comme il a toujours fait jusque-là. Et ce dernier fit surement une des pires erreurs de sa vie. L’empêchant ainsi de partir de cette maison, il se retrouva à nouveau enfermé entre quatre murs, avec sa petite sœur.
Et lui, il était parti faire quelques courses et Victoria elle, semblait occupé à faire son repassage pas trop loin de la petite. Mais il ne fallut que quelque minute d’inattention pour que le drame arrive.  L’adolescent avait coincé sa petite sœur dans une pièce, minant de jouer avec elle. Et là, comme incontrôlable, ses doigts ne mirent pas longtemps avant d’entourer le coup de la petite et de serrer, encore et encore. Il voyait sa petite sœur se débattre et ça ne le faisait pas broncher d’un poil. Ses yeux froids la fixaient sans émotion. Mais miraculeusement, Eric était rentré suffisamment tôt pour le prendre en flagrant délit. Sidney se retrouva projeté contre le mur et la gamine pouvait à nouveau respirer. Elle n’avait que cinq ans. Et elle était complètement choquée et semblait être déphasée.  Quant à Eric, il eut du mal à comprendre ce qui s’était passé. Qu’avait-il ce gamin ? Il l’avait toujours trouvé bizarre par apport à des gamins normaux, mais il ne s’attendait pas à ce qu’un jour il essaie de tuer sa fille.

Furieux, le père s’en prit directement à Victoria, l’accusant ainsi d’avoir causer tout ce drame, de ne pas avoir bien surveiller leur fille et de ne pas agir par apport à son fils. Mais Victoria refusait toujours d’en entendre parler, en parlant toujours de la même manière. Et Eric finit par prendre la décision tout seul car de toute façon, elle ne semblait pas vouloir prendre ses responsabilités. Il fit en sorte de placer Sidney dans un centre pour jeune à problème, prétextant qu’il avait des excès de violence. Il ne savait pas vraiment pourquoi il ne l’avait pas signalé à un hôpital, il avait eu pitié se rendant compte de la manière dont Victoria le traitait. Sidney lui, ne se rendait pas compte de ce qu’il avait failli faire, il n’avait rien fait de mal et il ignorait encore, qu’il avait découvert ce qui lui faisait ressentir quelque chose.

Act 4 – Péripéties.
Chicago, 2002.

Se retrouvant comme libérer de la prison qu’était sa maison natale, Sidney était libéré en pleine nature dans un milieu qui lui était totalement inconnu. C’est là-bas, qu’il avait fini par forger l’être qu’il était aujourd’hui. Il prenait conscience de ce qu’il était et commençait à développer un sens de la manipulation assez aguerri au fil du temps. Il était entouré de beaucoup de gens, tous différents. C’est en les observant, qu’il apprenait à survivre dans ce milieu hostile à sa nature. Créant ainsi un moyen de défense et de camouflage. Si on le pensait normal, personne ne le suspecterait. L’adolescent faisait beaucoup d’expérience sociale, il voulait apprendre comment agissait les autres, ce qu’il ressentait. Et même s’il ne pouvait pas comprendre, il observait, il expérimentait et finalement, il adoptait. Pour faire ça, il faisait en sorte de rendre une personne triste, ou une autre heureuse, de leur faire peur…  C’est comme ça qu’il apprenait à sourire quand il le fallait, avoir l’air triste…  Avoir l’air normal.

Et dans ce foyer, il avait l’occasion de tout faire, alors il ne mit pas longtemps avant d’assouvir à nouveau ses pulsions. Mais d’une autre manière que sa sœur. Sidney avait pris en grippe un garçon un peu plus jeune que lui, Tommy. Il avait très bien vu qu’il était bien plus faible que les autres, il était timide et peu sûr de lui. Et lui, prenait un malin plaisir à le rabaisser plus bas que terre, à le pousser encore plus dans ses retranchements, tout ça dans le seul but de lui faire du mal psychologiquement et physiquement. Son harcèlement était tel que Tommy en vint à se charcuter lui-même le bras à cause du mal-être qu’il avait développé. Et un soir alors qu’ils avaient plus ou moins quartier libre, Sidney coinça le pauvre garçon dans la cage d’escalier de l’immeuble où se trouvait le foyer. Et de là, il commença à lui faire peur d’une manière malsaine et toujours plus pousser. Les choses qui sortaient de sa bouche était absolument insupportable pour le garçon qui essayait de fuir, alors il courrait dans les escaliers mais l’autre ne le lâchait pas, jusqu’à le piéger sur le toit de l’immeuble. Les deux adolescents étaient maintenant seuls sans personne pour les voir. Sidney avançait vers lui, le forçant à reculer, jusqu’aux bord du toit. Tommy tremblait et l’autre s’amusa à le faire sursauter à nouveau mais là, le garçon fit un geste un peu trop brutal et eut pour reflexe de reculer et entraîna alors sa chute, pour ensuite, s’écraser au sol sous le sourire malsain de son bourreau tout en haut de ce toit.

Personne ne sut ce qu’il s’était passé. Personne n’en était venu à suspecter Sidney, qui devant eux, était littéralement un ange qui passait son temps à dessiner ou à lire. Evidemment, il en jouait beaucoup et en profitait dés qu’il en avait l’occasion. Ce qu’il voulait surtout, c’était de pouvoir se barrer de là.  D’année en année, il avait réussi à définir sa propre personnalité tout en réussissant à s’adapter à tout type de personne. Comme s’il portait un masque.

Act 5 –  Dénouement.
Miami, 2005.

Sidney avait maintenant dix-huit ans et contrairement à la plupart des psychopathes, il était extrêmement studieux bien qu’il refusait toujours de respecter l’ordre social ou encore les règles de la société. Réussissant au lycée et montrant un certain moyen pour s’en sortir tout seul, on le libéra du foyer, les éducateurs avaient jugés qu’il était apte à vivre en société. Ayant réussi au lycée, il obtint une bourse au mérite, mais ça ne lui permettait pas d’aller dans l’université qu’il visait en premier, mais il put cependant être admis à Miami, qui même si ce n’était pas Harvard ou encore Yale, délivrait des formations de qualités en art.  Mais Sidney était toujours ce qu’il était. Et ses pulsions étaient toujours plus intense, plus prenante, c’était devenu un besoin. Et son obsession pour l’art prit une toute nouvelle forme. Laissant ainsi des cadavres dans ses états sordides derrières lui. Et ce dernier avait développer un tel besoin de se fondre à la masse pour pouvoir survivre qu’il en était paranoïaque à l’idée de se faire attraper, alors jamais une seule de ses scènes de crimes, n’avait ne serait-ce qu’un indice sur son existence et même si à ses débuts, c’était encore brouillon, d’année en année, il se perfectionnait.

Fasciné par ses études et son travail sur sa thèse, il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour se faire connaître dans son milieu avec sa personnalité légèrement excentrique. C’était un type qui semblait sarcastique et passionnée, bien qu’en réalité il soit complètement vide de sentiment. C’était un masque de normalité qu’il portait aux yeux de tous. Il ne voit les autres êtres humains comme des toiles vierges, des marionnettes dans ses pièces de théâtres. Après quelques années, il devint professeur et conférencier en histoire de l’art et en art à l’université de Miami principalement.  
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 0:47
Je ne peux que féliciter ce choix d'avatar, en premier lieux !
Le pseudo est cool lui aussi ! Je te souhaites la bienvenue et j'ai hâte d'en lire plus sur le personnage.
(je m'attends à quelque chose de dark et j'adore ça éhèh) SLH - "My theater is the mind."  3877631104
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Kathelyn Parks
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 1:03
Bienvenue SLH - "My theater is the mind."  307177800 bon courage avec ta fiche SLH - "My theater is the mind."  2933984248
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 1:04
Bienvenue à toi SLH - "My theater is the mind."  3706949885 bon courage pour ta fiche SLH - "My theater is the mind."  3365305062
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 1:06
Miaaaam. SLH - "My theater is the mind."  2115841926
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche. SLH - "My theater is the mind."  776115001
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 1:09
Bienvenue parmi les fous SLH - "My theater is the mind."  2031913027
Bonne chance pour ta petite fiche et tu as tout l’air d’un nouveau psychopathe ^^
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 1:12
OMG SLH - "My theater is the mind."  3914656141

*se rappelle de l'ancien membre qui avait cet avatar et son lien avec et tombe dans les pommes*

BIENVENUE BIENVENUE BIENVENUE.... et Evan Peters SLH - "My theater is the mind."  3914656141 SLH - "My theater is the mind."  3365305062

Il nous faudra un lien !!
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April Wilson
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 11:10
Welcome parmi nous SLH - "My theater is the mind."  852875916 et bon courage pour la suite SLH - "My theater is the mind."  776115001
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 16:47
Merci pour l'accueil ! SLH - "My theater is the mind."  2341561406
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |   Sam 6 Jan - 17:45
OH EVAAAAN!!!! SLH - "My theater is the mind."  776115001 Tellement un choix merveilleux SLH - "My theater is the mind."  1552150214 Bienvenue ici mon p'tit!
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(#)Sujet: Re: SLH - "My theater is the mind."   |  
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