| ( #)Sujet: Adam Zakhaev ₪ Un chef étoilé à la conquête des Etas-Unis | Mar 20 Fév - 0:06 | Je précise que je n'ai pas corrigé ma fiche — introduction — Puisqu'il n'est jamais simple de se décrire voilà, ce que disent les autres de moi. "Doté d'une forte personnalité, Adam en impose par son autorité naturelle et sa redoutable détermination. Charismatique, il parvient facilement à faire entendre sa voix et accepter ses idées. Ambitieux et courageux, Adam est un fonceur qui n'a pas peur de relever les défis. Il démontre une certaine rigueur dans tout ce qu'il entreprend et n'abandonne pas facilement face aux obstacles. Ne supportant pas l'échec, Adam est doté d'un esprit combatif et met tout en œuvre pour atteindre ses objectifs. En outre, il possède un grand sens des responsabilités. Aimant l'ordre, Adam est discipliné, organisé et méthodique. D'une apparence rude et froide, Adam dissimule sous une carapace d'austérité une certaine douceur et une grande tendresse. Au fond, c'est un grand romantique. Sociable et doué en communication, Adam s'entend parfaitement avec tout le monde, que ce soit dans le cadre personnel ou professionnel. Bien qu'il apprécie le travail en équipe, il est aussi très indépendant. Perfectionniste et pointilleux, Adam donne toujours le meilleur de lui-même dans toutes ses entreprises. C'est un passionné, qui se donnera toujours à fond, même pour une ébauche. Il ne terminera pas les tâches qui lui sont confiées que lorsqu'il est complètement satisfait des résultats. Sa recherche de la perfection tend parfois à l'obsession. Débordant d'énergie et intrépide, Adam est un homme très actif. Il ressent un fort besoin de se dépenser et est attiré par les activités sportives en tous genres. Ayant des goûts prononcés pour la beauté, l'élégance et le raffinement, la vulgarité et la médiocrité sont des natures qui l'indignent. Détestant les conflits, Adam endosse parfaitement le rôle de médiateur. Mais ça, c'est lorsque ça ne le touche pas directement, si vous faites du mal à un être qui lui est cher ou si vous le dupez, il sortira de ses gonds. Dans ses moments-là, c'est l'impulsivité et son côté sanguin, qui prennent le pas sur le reste. Altruiste et fidèle, il est toujours prêt à rendre service aux autres. Ces qualités lui valent la confiance de son entourage. En amour, Adam se révèle réservé et n'expose pas facilement ses sentiments. Adam est quelqu'un de quelque peu... Possessif, enfin cela dépend des situations et des personnes. Imprévisible et surprenant, il fuit la routine et fait tout son possible pour pimenter sa vie de couple." - Indiscretion:
J'ajouterais, que je me laisse guider par mes envies : parfois tendre, avec des préliminaires qui s’éternisent, d’autres fois, plus brutal, sans ménagement.
#charmant #passionné #mystérieux ₪Moi en 3 mots #mavie #cadeauduciel #bientroploin ₪Ma fille #french #russian #revisit ₪La Cuisine #piano #singing #eclectique ₪La Musique #romeoanjuliet #swanlake #nutcracker ₪Les Ballets #carmen #pagliacci #lenozzedifigaro ₪L'Opera #chevrolet #corvette #1962 ₪Les Voitures #running #strength training #cardio workout ₪Le sport
— identity card — Prénom Adam. Nom Zakhaev. Date de naissance, Age 23 septembre 1971, j'ai 46 ans. Lieu de naissance, nationalité Je suis né à Moscou, je suis Français, de par ma mère et russe de par mon père. Profession, études Je suis chef étoilé, d'un réstaurant au spécialité Franco-Russe, à Miami. Situation Je suis marié, mais c'est compliqué. Orientation sexuelle J'aime les courbes féminines. Groupe Ici. Avatar Tom Ellis. | | |
— untold stories — Obeissant, je l'ai été. Rebelle, j'ai tenté de l'être, mais rapidement j'ai préfèré la vie de ma mère.MOSCOUJe suis né un samedi 23 septembre à Moscou, dans une famille un peu spéciale. Un père russe, tombé amoureux d'une femme douce et aimante française. Elle était venue en Russie, pour ne plus jamais repartir. C'était un mari aimant, du moins jusqu'a mes 5 ans, où il a perdu son emploi et a sombré dans l'alcool. Au début, il était simplement invivable et virulant. Puis vint cette horrible nuit où il frappait ma mère pour la première fois. Je n'ai jamais su où chercher refuge contre la tempête. Ca me faisait tant mal de voir la douleur sur le visage de ma mère. Une fois que mon père se calmait, elle venait dans ma chambres et s'allongeait à coté de moi. Elle tentait de cacher son mal derrère un sourire et me serrait dans ses bras. Chaque nuits, j'avais peur, que ce soit la dernière fois, que je la voyais vivante, que je sentais son étrainte. Je n'étais qu'un enfant, mais je me suis promis qu'un jour, je la sauverais de cet enfer. Durant mes première années, mon père a été très dur à mon égard. Des mots coupant comme le verre ou la lame d'un couteau. Il m'élevait à la dur. A l'age de 5 ans il a demandé à une de ses vielles amies de m'apprendre le piano, n'ayant pas pu l'apprendre lui-même, enfant. Tout se passait bien et puis les années passant et les cours devenant de plus en plus rigoureux. Je me suis désinteressé du piano. Ayant mon petit caractère, je n'ai pas loupé l'occasion de le faire savoir. Mon père furieux m'a alors fait clairement comprendre, que je devais continuer, que je le veuille ou non. Je continuais à contre coeur et sans passion. Ce qui déplaisait au plus au point à mon père. C'était son rêve, pas le mien. Du moins pas au niveau, où lui le voulait. Lorsque je refusais d'aller au cours, ou si je ne jouais pas assez bien, il me punissait. Il attendait que ma mère s'absente pour m'affliger ma punition. Il a commencer par des coups de cintures, qui cinglaient mon dos. Puis la ceinture à laisser la place à des brulure ... Ce que j'ai pu le detester, ce que j'ai voulu le frapper. Au début, j'étais trop faible et je ne voulait pas qu'il s'en prenne d'avantage à ma mère. D'ailleurs, elle n'a su qu'il me frappait, que bien des années plus tard. Pour mes 14 ans, ma mère qui connaissait ma passion pour la cuisine, m'a fait un merveilleux cadeau. Oui parce que chacun de nos moment à deux, nous les passions à cuisinner, en dansant ou en écoutant de l'opéra . (Je tiens d'elle ma passion de l'opéra et des ballet. dans son enfance, maman avait fait de la danse classique. Mais elle avait du arrêté pour aider ses parents.) Mes grand-parents avait un restaurant et mon grand père, avait eu pour éleve, un fameux chef novateur des année 70/80, Alain Senderens. On parlait beaucoup de lui pour son originalité et sa créativité. Il avait alors le L'Archestrate, avec 3 étoiles au guide Michelin. Ce grand homme était resté en très bon terme avec ma mère. Elle n'avait pas hésité à lui faire part de ma passion. Il lui avait alors dit qu'il m'accepterait dans sa cuisine, des mes 14 ans. Si vous saviez, ce que j'ai été heureux en apprenant la nouvelle. Mon père lui l'avait moins été et oui, mon père furieux d'avoir un fils, voulant faire un métier de femmes, oui, oui, vous avez bien lui, voulait me mettre à la porte et coupé les vivres, au grand désespoir de ma mère. Je sais bien que plusieurs des Meilleur chef étoilé, sont des hommes, mais la mentalité de mon père et ses visions archaïques dont il n'a jamais voulu se défaire ont détruit à jamais notre relation. Heureusement, maman m'a toujours épaulé. En parlant de maman, je ne pouvait me résoudre à la laisser seule avec mon père. Je lui avait fait sa valise, y mettant tout ce qui lui était chère et nécéssaire. Elle ne voulait pas le quitter. C'est alors, que je lui ai avoué que depuis 14 ans il levait la main sur moi. Cela lui a fait comme un electrio choc. Ce jour là, elle est sortie faire des course pour le repas de mon père sans jamais revenir à Moscou. Enfin sans jamais y revenir avant que mon père ne soit sur le point de mourir. Pour notre bien être moral et mental, nous lui avons dit, que nous le pardonnions. On ne l'a clairement pas fait pour lui. D'ailleurs même sur son lit de mort, il n'a pas dénier nous parler. Il reste mon père et cela me fend le coeur, mais personne ne le saura jamais. Je me suis nourris de mes rencontres, de mes professeurs, des récits de la vie et de mes voyages.PARISJ'arrivais à Paris le 25 septembre 1985, après avoir pris l'avion pour la première fois. Ce fut, grâce à Allain Senderens qui nous avait offert nos deux billets. J'avais effectué mon baptem de l'air, les employé de bord avait été très adorable avec maman et moi-même. Maman m'avait apprit le français, alors j'étais assez à mon aise pour communiquer. Mais Monsieur Senderens ne m'attendais que le lundi suivant, nous en avons donc profiter pour prendre nos marques dans la magnifique ville française qu'est Paris. Que ce fut plaisant de passer du temps, tout simplement, avec ma mère. Cette mère, avec qui j'ai une relation si riche et importante, encore aujourd'hui. Le 30 septembre 1985 a marqué le commencement de mon apprentissage de l'art de cuisiner et de composer telle une oeuvre des plats, auprès d'un chef de renom. Cela ne fut pas simple, mais j'étais passionné. Il m'avait fait comprendre qu'il fallait que je l'observe. Ce qu'il m'a apprit était les imbrications de saveur un peu insolitent, l'harmonie improbable, la cuisson un peu décalée. Je suis rester avec lui 4 ans. C'est inestimable ! Une richesse, un trésore. Un trésore merveilleux. J'ai appris et travaillé à ses côtés jusqu'à la ferleture de l’Archestrate et l'ai suivi jusqu'à la fin 89 au Lucas Carton, un réstaurent qu'il a reprit en 86. Je l'ai quitter pour rejoindre un ces anciens élèves, Monsieur Alain Passard, à l'adresse du feu L'Archestrate, 84 rue de Varrenne. Désormais rerebaptisé L'Arpège. Si j'ai eu envie d'apprendre à ses côtés, c'est parce qu'à mes yeux c'est un des grand passionné de la cuisine française. Mais aussi parce qu'à cet époque là ce restaurant et ce chef surtout pratiquait cette cuisine très animal. Et puis surtout lorsqu'est venu à mes orreilles l'histoire qui a conduit à la naissance de sa vollaille au foin, mi canard, mi poulet. Un jour il a vue un ballet, fantastique, avec énormément de grace, énormément de suptilité, entre des hommes, des femmes. Des cors à corps fantastique ! Un ballet extraordinaire. Il est très touché parce qu'il voit, C'est alors, qu'il se demande comment traduire culinairement , cette élégance, cette grace. Là, il a l'idée de prendre un demie poulet et un demie canard et de les faire danser, l'un et l'autre. Pour un passionné de ballet, comme moi, j'ai pris cela comme un signe, je devais apprendre de lui. Ces 5 ans m'ont énormément apprit dans la cuisson, dans le choix du produit. Dans les assaisonnement, dans les conjugaisons et les imbrications textures, de saveures.
L'EUROPE ET L'AMERIQUE DU NORDEn 1994, j'ai eu envie d'autres horizon. J'ai eu envie de voir du pays, de souffler un peu et de mettre ma vie sur pause. J'avais alors 23 ans, j'avais jusque là était très obéissant et sérieux. Je n'avais pas vraiment de vie et pas vraiment d'amis non plus. Je commençais à ressentit ce besoin de vivre. Je suffoquait un peu dans ma cuisine. Pendant 9 ans, j'avais vécu cuisine, rêvé cuissine, mangé cuissine. Je n'avais vécu, que pour ça. À présent ça ne me suffisait plus. Ne m'imaginant pas quitter la France sans ma mère, oui je sais j'avais une relation très fusionelle avec elle. Je l'ai, je dois vous l'avouer, encore, mais à un degrée beaucoup moindre. Cela depuis, que je sais qu'elle ne craint plus rien de mon père, puisqu'il n'est plus de ce monde, depuis plusieurs années. Mais alors c'était ainsi, ce fut naturellement que nous sommes partie tous les deux dans un petit tour du monde. Pour voir du pays et s'enrichir autrement, que de part la cuisine française. Nous avons visité l'italie, l'Espagne, Les Pays-bas, La suisse, La Belgique, L'angleterre, L'irlande, avant de nous envoler pour New York, Chicago, Boston, San Francisco, Los Angeles ou encore Miami. Maintenant qu'elle a décidé de retournée dans sa ville natale, française, je suis heureuse qu'elle ai pu voir tout ce qu'elle a vu et vivre, tout ce qu'elle a vécu.
Notre Périple a duré 7 ans, il fut riche en découvertes, rencontres et aventures. Beaucoup de choses avait changés. Moi-ême j'ai grandi,je suis un peu plus devenu, qui je suis. Mais une chose n'avait pas changé. Mon envie, que dis-je mon besoin de cuisiner. Grâce à nos voyages, je me suis beaucoup enrichie et ma cuisine aussi. Pourtant, je ne me senntais pas encore prêt à m'imaginer pouvoir géré ma propre brigade. Ayant eu vent du changement radicale de Alain Passard à L'Arpège. Je lu ai fais part de mon envie de rejoindre, de nouveau sa brigade, j'aurais pu lui écrire. J'ai préféré aller le voir en personne, afin qu'il voit ma réellement motivation. Il m'a répondu parfait, je t'attend lundi à la première heure. RETOUR AU 84 RUE DE VARENNERetirer la viande rouge de son menu, aurait pu tout couter à Monsieur PASSARD. Ce perfectioniste et passionné a toujours été déterminé. nous a tous démontré et surtout apprit à sa brigade, que cette école du feu, qui est plus présente sur le tissu animal peut être mis au service du légume. On le voyait si passioné et si vivant. Il se réinventait et ce réinvente toujours, chaque jour. Dans la cuisine résonait des nouveau son de cuissons. Des crépitements encore inconnu. Quel PLAISIR ! Environ 5 ans après mes 30 ans, une jolie jeune femme est entrée dans le monde d'Alain PESSARD, mais aussi dans ma vie. Tout juste âgé de 25 ans, elle n'était que simple commis et moi, j'étais devenu le second du Chef. Si vous savez ce que ça été de vivre cette aventure avec elle. Après 6 mois à se côtoyer tous les jours et même en dehors des horaires de travail. Ce en tout bien, tout honneur. Il nous semblait que cela avait duré 5 ans. C'était une amitié riche et intense. On s'entendait très, très bien. Elle m'aidait à me mettre sur pause, à sortir un peu.
Notre aventure commune à L'Arpège, nous a beaucoup apprit. On a appris la ténacité néccéssaire pour amané un projet un bien, qu'il ne fallait rien laché et ce en aucun cas. Au moment de son coup de poker, il est repartit en apprentissage, travaillant jours et nuits. Cela, afin de prouver à tous les critique, que l'on pouvait faire avec la cuisine légumière. Ce maitre a une audace folle. Il aime jouer à la roulette russe, se renouvellant chaque jour. Ce qui faisait redevenir l'enfant, que j'étais lorsque je cuisinais avec ma mère, c'est cette sorte de cérémonie avec l'arrivée des légumes. Tous les matins, arrivent à l'Arpège quantité de légumes, qui vient du jardin en la posséssion de Monsieur PESSARD. Chaque matin, il regarde chaque produit et se demande ce qu'il va bien pouvoir faire comme plat, avec. Quand vous regardé ce maitre, qui concidère un navet buldor ou un céllerie oiu encore un topinanbourg, c'est comme une phase amoureuse, des qu'il touche quelque chose. Cela est extraordinaire. Nous somme heureux et très honoré de faire partie de ce monde, que notre chef a créer, dans lequel tout le monde veut entrer. Nous faisons partie de ces rares prévilégiés. Aussi fastidieux soit ce. Mais pour nous ce n'est pas un travail, c'est un plaisir. Nous avons la chance d'être ensemble, elle et moi et d'aimer passer autant de temps ensemble, sans en avoir marre. C'est un peu comme ne pas être au travail, même si nous sommes rigoureux au réstaurant et à la maison un peu moins. Oui nous avons enménager ensemble en mars 2009, soit 7 ans après s'être rencontré. On aurait pu le faire bien avant, vu tout le temps que nous passions ensemble. Mais nous n'avions jamais pris le temps de le faire. Jusqu'au jour où l'on s'est dis que ce serait sympa et pratique et puis cela mettrait un peux plus de beurre dans nos épinards. On vivait quasiment déja l'un avec l'autre sans même s'en rendre compte, on a alors décidé de concrétiser les choses.
Après ça nous somme rester dans cette brigade encore un peu plus de 2 ans. Il nous aura apprit qu'il est possible de changer les mentalités, de bousculer les habitudes. Je veux dire, il a été un précurseur, en voulant faire des menu entièrement composé de légumes. Il nous a apprit que les légumes peuvent être l'acteur numéro un d'un plein et se suffire à eux-même. Grâce à lui, je ne considère plus la cuisine de la façon dont je la considérais.
J'étais heureux du chemin parcouru, mais quelqu'un m'a fait alors, une proposition. Je me sentais enfin prêt pour accepter une telle proposition . La femme de ma vie, avait dit que je serais dingue de refuser. Elle m'avait même dit qu'elle plaquerait tout et me suivrait. Alors, je me suis lancer dans l'aventure. St Petersburg, nous voilà ! Accompagné de cette force de la nature, je me suis lancé dans cette folle aventure.KOSTIA, UNE NOUVELLE AVENTUREOn m'avait offert d'être le chef de cuisine d'un nouveau réstaurant, de ce nom. Il allait bientôt ouvrir. J'avais quelques mois devant moi, pour élaboré un menu complet, j'avais carte blanche. Je demandait un chef patissier pour m'épauler. Je savais faire des gateau, des entremets et compagnie, mais je préférais bien m'entourer pour cette aventure. J'ai fais appel à un ami russe, rencontré pendant mon périple avec ma mère. En parlant d'elle, elle avait décidé de rester en France dans sa ville natale et viendrait nous rendre visite à l'occasion. J'avais décidée de tenter l'aventure en fusionant la cuisine française et la cuisine russe. Après avoir construit ma propre brigades, nous fêtâmes cela comme il se devait. Je leur fis par de ma vision des choses. J'essayais d'être une main de fer dans un gant de velours. Ce qui n'était pas une mince affaire. Surtout que certain n'était pas très ravi de travailler sous les ordres d'un Russe exilé en France. Je m'en suis séparer sans la moindre hésitation. Nous devions travailler dans la bonne humeur. Mais je me devais aussi, de me faire respecter. Ils ont vite compris, que je ne me plaçais pas au dessus d'eux, mais comme leur égale. Certains était vraiment heureux de travailler à mes côtés. Cela était étrange, mais très grisant je l'avoue de me retrouver à cette place de chef de cuisine. Je tentais de me faire un nom, une place et un style qui m'était propre. Cette aventure était très prenante, la magnifique femme, qui m'épaulait avait travaillé un peu au sein de ma brigade, avant de décidé d'avoir besoin de plus de temps pour elle. Nous étions en 2012,elle venait d'avoir 35 ans et son horloge interne se faisait entendre. Elle avait décidé de se trouver un job un peu moins prenant avant de se lancé, mais ça elle s'était bien abstenue de me le dire. Nous étions en colloc' et très proche mais pas réellement en couple. C'est vrai lors de l'ouverture du KOSTIA, nous n'avons pas fais de démentis lorsque les journaliste avait dit le contraire. Au fond cela nus arrangeait bien, à ce moment là. Parce que beaucoup ne comprenait pas notre relation d'amitié particulière, elle était atypique c'est vrai. UNE NOUVELLE PRESSIONNotre hypothétique relation, enfin je dirais même le fait que l'on se connaisse ne passait pas vraiment au travail, mes choix la concernant, passait pour du favoritisme, qui n'en était guère. C'est aussi pour cela qu'elle a préféré quitter son poste de chef poissonnier. IL était normale pour moi qu'elle soit la chef de cette section, je l'avais vue à l'oeuvre à Paris. Mais je comprend, qu'elle ai préféré partir et puis ce retrouver à la maison le soir était plus qu'agréable. J'arrivais à décompresser avec elle. Le plus simplement du monde. Enfin ça c'était avant qu'elle me parle de son envie d'enfant. S'il n'y avait que ça. J'ai cru que j'allais faire une syncope, le jour où elle m'a annoncé qu'elle désirait un enfant de moi. C'était ma Meilleure amie, j'aurais tout fais pour elle, je lui aurais découché la lune pour la voir heureuse. Mais je n'avais pas imaginé une seconde, qu'elle me demanderais ça. Je veux dire, j'ai toujours été claire avec elle, je l'aimais vraiment mais pas de cette amour là et puis, surtout, je ne m'imaginais pas me mettre nu face à elle et encore moins lui faire l'amour. Je n'avais vraiment pas ça en tête. Le restaurant était mon bébé et j'y mettais toutes mes forces. Je n'avais la tête à rien et encore moins à ça. Sur le coup elle acceptait de ne plus m'embeter avec ça, mais cette idée ne voulait pas la quitter La première année d'un restaurant est l'une des plus difficile, on a une place à se faire, un nom. Je passais le plus claire de mon temps à réflechir à des recettes qui delecterais autant les russe, que les étranger. Des plats qui donnerait l'envie absolue de les manger, de les savourer. Ma tête n'avait pas un moment de répit et si ce n'était pas au sujet des recette ou de l'organisation en cuisine, ou encore avec les fournisseurs, c'était au sujet de ce fameux bébé, ah ça, quand elle a une idée en tête, rien n'y fait, on ne peut lui en déloger. Elle le voulait se bébé de tout son être.
Alors, j'ai finis par céder. On avait une relation assez atypique pour certain. On dormais ensemble déja la plus par des nuits. On dormait bloti l'un contre l'autre. On était si à l'aise l'un avec l'autre, que l'on s'était deja vu, quasi nu. Mais de la a voir envie de coucher ensemble. Lorsque j'ai accepté de lui faire un enfant, elle était telle une enfant, le matin de noël.
Elle avait tout organisé, c'était un de mes rares jour de repos, elle m'avait chouchouté toute la journée. Que ce fut agréable de nous retrouver comme il y a quelques années. Après un délicieux diné, qu'elle m'avait cuisiné, pendant lequel nous avions bu un peu de champagne. Nous somme aller nous mettre au lit, nous avons eu notre moment calin et coocooning et avons laissé les choses gentilment déraper. Aussi surprenant que ce soit, ce fut plutôt agréable. J'ai tenté d'être avec elle le plus délicat possible. Je la voyais si bien et heureuse. Après être resté un moment enlacer, nous avons finit par sombrer dans le sommeille. C'est fou comme les choses arrivent facilement à ceux qui ne le désire ou ne l'ont pas du tout volu, alors que le sort s'acharne avec ceux qui le désire vraiment.
Nous avons fais l'amour plusieurs fois et pourtant rien n'y elle ne tombait pas enceinte. Nous avons finis par aller consulter. Le médecin a dit que tout allait assez bien, surement était elle trops stressé, surement voulait elle trop cet enfant, aupoint que tout se bloquait et qu'il n'arrivait pas. J'essayais de lui changer les idées et je ne tenais pas à ce que l'on devienne des lapin ahahah. Et puis je n'en avais plus la force. Ce que je ne voyais pas c'est que je ne voyais plus personne mise à par elle. Tout tournait autour du restaurent et de ELLE et uniquement ELLE. L'unique humain de ma vie personnelle, je ne fréquentais plus aucune autre personne.
Elle était ravit. Les 1 ans du le Kostia avait été fêter depuis plusieurs semaines. Le restaurant fonctionnait bien, il battait son plein quasiment tous les jours. J'étais rincé, certaines nuit, je m'écroulais sur le canapé, pour ne pas la réveiller. Nos essaies pour qu'elle ai un enfant s'espaçaient et elle me mettait la pression pour que ce ne soit pas le cas. C'était devenu son obsession, je n'était devenu qu'un moyen pour elle de tomber enceinte.
LUI, QUI ME RESSEMBLE TANTJe n'en pouvais plus, j'étais à bout, exténué, alors je lui ai dis mes 4 vérités. Maddie a accepté, réellement et sincèrement de me mettre moins la pression et de ne plus me voir comme un objet pour procréer. Tout est redevenu, un peu plus normal. Décembre commençait tout doucement, le froid pointait son nez. On avait décidé de prendre un peu de temps pour nous deux, pour parler, se retrouver, faire des choses simples, croquez la vie à pleine dents. Un jour à la mi décembre 2013 on se baladait, on flânait, quand mon regard croisait celui d'un jeune homme. Le pauvre vivait dans la rue, dans son regard, j'ai vue ce regard, que j'avais eu, lorsque je m'en voulais d'avoir énervé mon père, parce que je savais qu'il allait être plus violent avec ma mère. Ce regard était le reflet de ma culpabilité, je m'en voulais tellement, je me sentais coupable. Pour moi c'était de ma faute si ma mère avait ses coups, ses ecchymoses. Je ne savais pas pourquoi lui avait ce regard, ce que je savais c'est que je ne voulais pas le laisser dans la rue. Je voulais lui tendre le main, il est vrai que j'avais eu la chance de ne pas finir à la rue, seulement si ça avait été le cas, j'aurais aimé que quelqu'un me tend la main. J'ai amené Maddie loin du jeune et lui ai confier mon envie et la raison de celle ci. Elle comprit de suite.
Cela doit paraître vraiment étrange à certain, mais ce petit aurait pu être moi, je me devais de l'aider c'était plus fort que moi. Il a du nous prendre, enfin je ne saurais surement jamais ce qu'il a pensé en nous voyant. Ni encore ce qu'il s'est dit lorsque nous lui avons offert un toit et ce pas uniquement pour une nuit. Cela a du le surprendre, mais on souhaitait qu'il fasse parti de notre vie et ce pour toujours. Pas simplement pour une nuit ou une semaine, ni pour un an ou deux.
On était comme ça et je le suis encore, ce que je veux dire, c'est que si je le rencontrais aujourd'hui, je ferais comme j'ai fais en 2013, parce que c'est dans ma nature, tout simplement. J'ai du lui paraître un peu distant, mais je ne savais trop comment m'y prendre, je ne voulais pas le faire fuir. Je ne savais pas trop quoi lui dire. J'essayais d'être le plus sympas possible. Heureusement, Maddie était un amour. Elle était très souriante, elle savait naturellement comment agir avec lui. Du moins à ce que je pouvais voir en ma présence. Je voyais que Janko, oui c'est le nom du garçon, faisait tout pour trouver sa place. Il aidait ma Poucinette, elle avait trouvé un travaille de libraire qui la passionnait. Janko passait beaucoup de temps seul à la maison mais ça ne le dérangeait pas. Ma Poucinette me confiait que Janko s'occupait du linge, de faire la vaisselle, de mettre la table et essayait même de faire à manger, parfois il s'occupait du ménage. Un jeune homme très serviable. Un jour Maddie avait décidé de tenter une approche, d'apprendre à le connaître. Elle avait réussis à lui faire dire qu'il n'avait pas finit son lycée. Moi non plus mais les temps était autre et le diplôme de fin d'étude était important. Je me souvenais qu'une des mère d'un de mes commis était directrice d'un lycée. Il lui avait dit qu'il ne se sentait pas d'y retourner, mais aimerait tenter de faire sa dernière année pour passé son diplôme d'étude. J'ai alors, fais jouer mes relations et lui ai payé sa dernière année de lycée par correspondance, sans qu'il n'en sache jamais rien. Tout se passait bien, jusqu'à ce qu'il décide d'arrêter. Ma pouccinette a finit par avoir une discussion avec lui, où il lui a dit qu'il s'était rendu compte, que ce n'était pas fait pour lui. Je ne lui en ai pas tenue rigueur et puis il s'en était rapidement rendu compte, cela ne m'avait quasiment rien coûté finalement. Cela m'attristait, j'espérais qu'il finisse par trouvé sa voie. Je faisais toujours de mon mieux afin qu'il s’acclimate à nos habitudes et qu'il fasse de notre chez nous, son chez lui. Maddie m'a apprit que Janko aimait les ballets, quelle belle surprise. Plus le temps passait et plus il me faisait penser à moi. On était à la fois différent et similaires. |
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