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 where does that leave us? / léo

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(#)Sujet: Re: where does that leave us? / léo  |   Mer 12 Sep - 14:17

léo + jade

where does that leave us?


Peut-être que cette rencontre ce soir c'était le début de nouveau chapitre. Pas d'un livre puisque votre histoire ne se terminerait probablement jamais. Mais vous étiez là tous les deux dans ce salon qui vous connait si bien alors que vous n'êtes plus vraiment les mêmes. La tempête avait été bien forte et plusieurs fois elle vous avait surpris en reprenant de plus belle quand vous croyiez voir la fin arrivée. Tu étais un peu comme une tempête, imprévisible, parfois tu ne sais même pas où les battements de ton coeur veulent t'amener. Aujourd'hui, ils semblent tous vouloir rejoindre ceux de Léo avec qui ils s'harmonisent si bien.
C'est vrai que le temps passe rapidement et peut-être que tu en auras terminée avec cette grossesse au moment où ta carrière toujours hypothétique commencerait. Il mentionne le mot avorter que ton estomac tourne. Ça serait si simple, mais alors que tu ne l'as toujours pas vu sur un écran chez le doc, tu as vu des images de grossesse à ton stade. Tes yeux qui se perdent vers le sol parce que tu as honte d'être aussi sensible. Tu as toujours cru que ça serait si simple pour toi, sans hésitation si un malheur t'arrivait et que tu tombait enceinte tu avorterais sans problème. Mais te voilà ici. Il a déjà des mains et des pieds y paraît. Tu t'étais promis de pas en parler de cette façon ce soir, de garder tes craintes pour toi. Te voilà qui en avait dévoiler trop. Tu hausses les épaules à ton tour. Tu veux effacer ce commentaire en retournant vers ce futur incertain qui vous attends. Si j'ai de la chance peut-être oui, mais faut pas rêver. On aurait du travail à faire. Que tu rajoutes alors qu'il semble convaincu de ton succès. J'y arriverai quand même pas sans toi. Il croit en ton talent avant même que tu ne l'exploite. Puis dans cette industrie qui t'est inconnue, tu aimerait bien l'avoir à tes côtés. Peu importe où l'avenir vous projète, tu aimerais mieux que ce soit ensemble. C'est pour ça que tu lui parles de manager le tout. Pas seulement pour qu'il reste près de toi, mais parce qu'il sait déjà s'y faire. La preuve était qu'il avait parler d'étape qui t'étaient tous bien inconnu. Puis avec ses filles, c'est un peu le rôle d'un manager qu'il a. Il veille toujours sur chacune d'elle. Tu sais que le domaine de la mode qui est pas très épeurant comparé à ce qu'il côtoie jour et nuit, ça serait une tasse de thé pour lui.
Le ton de voix de Léo change alors que ses confidences prenne place avant le début du film. Il était courageux de dire tout ça tout haut. Et tu avais besoin de ce courage pour lui répliquer avec autant de sincérité. Les sentiments, c'étaient quelque chose de tout nouveau pour toi. Tu devais t'y faire et commencer à les écouter mieux maintenant. C'est tout nouveau pour moi Léo. J'ai jamais aimé personne dans le passé. J'ai jamais laissé personne le faire non plus. Faut croire que Léo est persévérant. Mais je prévois pas partir. Ça m'a pris autant de te revenir et accepter tout ce qui se passe en moi parce que je croyais pas être capable d'aimer. Mais je suis là Léo. Ça avait sortie maladroitement de ta bouche. Tu trouvais même que ça sonnait étrangement tellement tu n'avais pas l'habitude d'être si sérieuse avec quelqu'un. Si ensemble c'est pas la solution, ensemble c'est clairement plus facile de la trouver en tout cas.
Faut croire que ce secret entre vous et ces disputes vous avez fait grandir, dû moins toi qui maintenant réussissait à discuter comme une adulte des choses qui t'auraient fait crier quelques temps plus tôt. Peut-être que ça aidait que tu ne consommes plus. Ton indépendance, tu y tiens toujours alors qu'il mentionne que tu es chez toi ici ton coeur s'emballe un peu. Et même si une partie de toi voudrait fortement que ce soit si simple tu ne veux pas quitter le centre pour venir ici. Pas toute suite en tout cas. Tu tournais déjà la tête de gauche à droite en signe de négation. J'ai trouvé moyen de fuir tous les endroits où j'ai vécu dans le passé. J'pense déjà à fuir là-bas tu sais. J'veux pas te fuir toi. On dirait que je sais pas comment vivre quelque part. Tu rajoutes que tu veux rester près de lui quoi qu'il arrive pour le rassurer. C'était totalement vrai. Tu ne serais pas si honnête ce soir si c'était pour lui faire peur. Tu as simplement trop peur de cette indépendance qui gruge tes os. Si son appartement devenait ta maison, tu ne sais pas comment tu réagirais. Et tu ne veux pas avoir à gérer cette envie de tout lâcher puisqu'il est la seule chose que tu veux encore avec toi malgré tout.
Au fond, vous vouliez vous retrouvez de cette façon depuis que tu avais mis les pieds dans cette appartement. Pourtant, vos discussions plutôt sérieuses avaient été nécéssaire et rendait ces baisers qui suivaient cette bataille enfantine plus intense. Il n'y avait plus rien de caché entre vous. Tu savais ce que tu représentais pour lui alors qu'il connaissait tout ce que ton coeur cherchait à te faire dire depuis le début. La vérité donnait une toute autre intensité à cette embrassade et alors que tu marques une pause pour t'assurer de son bien être, tu comprenais aussi qu'il lisait trop bien ton regard. Peut-être qu'un jour tu arrêterais de te sentir responsable de ses actions. Gardant ton visage tout près du sien, tu l'écoutes se lancer des roses. Tu avais voulu un des hommes le plus redouté de la ville et ton coeur avait choisi celui que plusieurs espérait ne jamais croiser. Il était bien plus que badass ton Léo. Je te trouvais sexy avant, mais maintenant que tu le dis, c'est vrai que ça me donne juste envie de t'enlever le reste de tes vêtements. Il avait fallu que tu imposes une seconde pause dans ses baisers bouillants pour placer cette phrase, même si ton corps parler de lui-même depuis ton arrivée que vous êtes collé l'un à l'autre. Cette élan de passion vous l'attendiez depuis trop longtemps. Mais c'était pourtant lui qui te débarrassais du reste de tes vêtements en premier. Ne portant plus aucun attention au téléviseur, tout ton être est avec lui et savoure la tendresse qu'il te donne. Ta peau qui frisonne trop heureuse de le retrouver. Ce n'était pas la première fois que vous terminiez nus sur ce divan, mais cette fois-ci était bien différente de tous les autres. Votre amour osait parler dans vos gestes puisqu'elle ne faisait plus parti du secret. Tu voulais le retrouver en entier maintenant, tu étais prête à le couvrir lui aussi de baiser quand ses lèvres retrouvaient les tiennes. Lui enlevant ce qui lui restait de vêtements, vous aviez tout sali son canapé avec vous enfantillages plus tôt. Il te fait rire quand il te parle de ta beauté. Depuis le début de cette grossesse tu avais de la difficulté à y croire, mais tu entendais la sincérité dans sa voix. Tu lui murmures qu'il est pas mal non plus alors que son sourire fait vaciller ton coeur. Soupirant de désir alors qu'il s'installe en toi. Tu sais maintenant que tu es chanceuse de l'avoir. Que tu ne pourrais pas avoir quelqu'un de mieux pour toi que lui. Pour la première fois, vos rapports sexuels sont parsemée d'étreintes et de baisers différents que dans le passé. Différents qu'avec n'importe quel autre puisque chacun de tes gestes sont entourer d'amour pour lui alors que tu le caresses et embrasses chaque morceaux de lui que tu as accès. Tu n'as plus rien à lui cacher, il connait tout de toi et t'aime quand même. La douceur qui vous unissait dans son salon devient de plus en plus intense pour laisser place qu'à cette passion commune qui vous habite.
Le plaisir que vous aviez partagé ensemble ne se terminait pas si simplement. Juste entourer de ses bras après avoir laissé vos corps se retrouver, tu étais en extase. En sécurité, pour un moment, il n'y avait plus de place pour tes inquiétudes. C'est son souffle qui te ramenait vite sur terre. Te retournant vers lui, tu étais prête à mettre de l'espace entre vos corps pour l'aider à trouver son air. Il parvenait à te faire rire malgré ses difficultés alors tu assumais qu'il n'était pas si mal en point. Idiot. Que tu lui répliques amoureusement, si c'est possible. Mais c'est vrai que vous étiez bien mieux maintenant. Retournant ton attention sur la film, tu frisonnes à nouveau quand tu sens ses lèvres sur ta nuques tout près de tes cheveux. C'était pas une habitude que vous aviez de vous dire que vous aimiez, peut-être que ça en deviendrait une pourtant. Est-ce que ça va? Tu l'aimes aussi, mais tu dis ça t'instinct en entendant quelque chose de changer dans sa voix. Le film ne t'importe plus maintenant. Son bien être t'interpelle trop. Te retournant sous le plaide pour voir ses yeux humides. Ton coeurs qui bas très fort son ta cage thoracique quand tu remarques tout ça. Je t'aime aussi Léo. Tu ressens le besoin de le rassurer en essuyant une larme qui avait quitté ses yeux profonds. Je m'en vais nul part mon beau. Tu te souviens, je t'ai promis en arrivant que je repartirais que quand tu te lasserais de moi. Voilà que tu essayais de le faire rigoler à ton tour. Tu lui répètes que tu l'aimes entre deux baiser sur son front. Le film, a réussi à t'émouvoir, c'est ça? Tu sais très bien que ce n'est pas le film, mais tu cherches à le détendre l'atmosphère. Tu sais aussi que tu auras aucune difficulté à t'endormir dans ses bras ce soir, mais tu auras besoin de le savoir bien et heureux sans inquiétude pour le tourmenté dans ses rêves avant de le faire. Voilà que ton instinct maternelle se développait déjà, presque que aussi rapidement que le monstre en toi.
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Benjamin Lewis
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(#)Sujet: Re: where does that leave us? / léo  |   Mer 12 Sep - 23:44

léo + jade

where does that leave us?


Je pourrais vous écrire un livre sur ce que je ressens pour Jade là tout de suite. Cette soirée était dingue, tout ce que j'espérais en dix fois mieux. Dix fois mieux déjà parce qu'elles avaient lieues, et ensuite parce que je ne pensais pas que tout ça ferait tant d'effets sur moi. Cette trêve faisait du bien... et c'était un euphémisme ! Cela faisait plus que du bien... C'était comme si mon coeur repartait à nouveau. Je ne rendais compte une énième fois de combien elle comptait pour moi, de quels effets elle avait sur moi et de l'emprise qu'elle avait sur moi. Son visage m'appelait, son corps m'appelait, sa voix m'appelait, son rire m'appelait, tout m'appelait. Cette tension qui nous liait était dingue et je ne pouvais pas garder tout ça pour moi ce soir. Nous arrivions enfin à nous dire les choses - alors peu être très maladroitement mais nous avions compris l'un et l'autre que c'était nécessaire. Même si parfois c'était sur des sujets très glissants, comme sa grossesse, jamais une fois l'un ou l'autre n'a haussé le ton, mis une distance quelconque ou mis en danger cette trêve. Nous parlions de ce bébé, de nos vies, de nous. C'était incroyable mais vrai. Et ça faisait un bien... Incroyable !
Je lui disais qu'elle pouvait compter sur moi, qu'elle devait savoir que j'étais là parce que c'était vrai. Jusque là elle avait voulu me tenir à l'écart et je ne lui en tenais pas rigueur, mais je voulais être là plus que tout. Je voulais être là pour elle. La soutenir, lui montrer qu'elle était forte et courageuse, lui répéter jour après jour, la réconforter, être là lors des crises d'hormones ou... j'en sais rien. Je n'ai pas de manuel de la femme enceinte et surtout dans un cas où cette femme serait comme Jade mais j'essayais de le suivre, ce manuel imaginaire. Elle me parlait de l'enfant en mentionnant des bras et des jambes et je compris. Je compris qu'elle ne pouvait pas avorter. Puis vu sa réaction quand je l'avais mentionné avant l'adoption, je comprenais que ce ne serait sûrement plus l'option. Je souriais quand elle parlait de ses membres déjà apparemment existants. Je trouvais ça mignon, moi, même si j'étais totalement d'accord avec elle que nous ferions de piètres parents. Je ne commentais pas cette dernière remarque car vu sa tête elle voudrait l'effacer. Elle reparla rapidement des cours, sujet apparemment moins gênant que l'enfant - c'est pour dire que c'était gênant - en me disant un truc qui me fit encore plus sourire. Elle se sentait incapable d'y arriver, quoique je lui dise. Moi, j'étais persuadé que ce serait une de ces nanas qui reste impeccable et hyper canon après sa grossesse. Je le savais, même. Mais elle ne semblait pas si positive mais ajoutait que de toute façon elle ne le ferait pas sans moi. Je prenais une de ses mains pour la lier à la mienne, comme une promesse du petit doigt mais arrangée pour lui promettre : alors on essaiera. ensemble. moi comme manager de la magnifique Jade Simmons, future mannequin sur tout vos Instagram, tous les défilés de mode. Tu as raison, je n'y arriverais que si c'est pour toi que je le fais. C'était évident, c'était la solution. Jusque là, même si j'avais enclenché la volonté de faire quelque chose de "normal" de ma vie, je le faisais seul. Là, c'était ensemble. Quand elle disait qu'ensemble on y arriverait mieux j'hochais la tête, j'étais totalement d'accord. Alors là je suis carrément d'accord avec ça. lui dis-je.
Je lui parlais ensuite d'un autre sujet glissant : cet appartement. Elle mentionnait qu'elle ne pourrait pas rester longtemps au foyer alors je lui parlais de venir ici, où je serais là, où je pourrais la protéger et où elle aurait son vrai chez elle. Elle m'énonçait alors quelque chose de tout à fait pertinent. J'avais décidé de faire des efforts, d'écouter son point de vue, sa façon de voir les choses. Elle me disait que c'était nouveau pour elle, et ça je le comprenais. Je ne voulais pas la forcer à quoique ce soit, c'était évident. Puis elle me disait avoir toujours envie de fuir et elle ne voulait pas que ça arrive ici. Evidemment, je trouvais rapidement une vanne à faire là dessus. Sinon j'achète disons... dix box. Je fais des appartements ultra bien organisé pour tous les deux et à chaque fois que tu en as marre on change de box/appartement... ainsi de suite! fis-je alors les yeux grands ouverts comme si j'avais découvert le feu. Je riais doucement. Je comprends. Si jamais tu changes d'avis tu sais que tu es chez toi ici. Je ne veux plus que tu penses être de trop ou.. j'en sais rien, c'est tout. et pour le bébé aussi.. si tu veux aller à un rendez-vous accompagné, j'en sais rien. je suis là. lui informais-je alors. Je m'ouvrais à elle, comme elle le faisait pour moi. Elle le méritait. Etre sincère, ouvert, tout lui dire.
Après ça, la tentation était trop grande. Le film avait beau attirer son attention au début, je la ramenais vite à moi et ce fut les heures les plus folles de cette soirée. Notre alchimie était bien présente. Notre acte était... différent de d'habitude. Ce canapé avait vécu pas mal de choses avec nous deux, mais pas ça. Je ne saurais expliquer en quoi ça avait changé, je ne dirais pas que c'était un changement mais... une autre manière de faire. C'était toujours sauvage, toujours incroyable, toujours bon, mais c'était... plus profond. Pas forcément physiquement mais psychologiquement. Cet acte signifiait comme plus qu'avant. Nous nous lançions quelques vannes avant, comme sur mon côté sexy, on était complice et c'était fort. Je la trouvais belle et je lui disais. Je savais que son regard sur elle-même changeait et je ne voulais pas de ça. J'étais sincère et elle le savait. Elle répondait réciproquement alors que nos corps ne faisaient qu'un. Mon corps l'attendait, en étant en guérison. Mon corps n'aurait voulu qu'elle de toute façon. Même mon esprit lui appartenait. Vos peaux se touchaient et frissonnaient. Il y avait une telle électricité que même votre physique réagissaient.
Nus l'un contre l'autre dans le canapé, je me sentais mieux. J'avais du mal à respirer normalement avec cet essoufflement mais c'était tout ce qui pouvait être un peu embêtant. Je ne pensais plus à rien. Mon esprit n'était plus embrumé par quoique ce soit. Je l'avais contre moi, elle regardait à nouveau le film et je faisais preuve de tendresse en l'embrassant dans la nuque par exemple. Mais rapidement quand je retrouvais mes pensées, tout changeait. Je repensais au fait de peut-être la perdre le lendemain. C'était insupportable, même pour moi, et pourtant je ne pouvais lui cacher. Je ne voulais pas qu'elle s'en aille. Mes tripes me le faisaient comprendre, c'était un sentiment qui faisait mal et qui était bien ancré en moi. La peur était dingue. Mes yeux s'embrumèrent alors qu'elle me disait qu'elle m'aimait aussi, je souriais. Elle me retirait une larme qui avait coulé et me lançait une vanne qui me fit rire. Elle faisait comme moi. et comme je t'ai dis déclare tout de suite ton kidnapping parce que j'en aurait jamais marre de toi. répondis-je sur le même ton amusé. Elle continuait en déconnant toujours. oh oui tu m'as démasqué quand même brandon a abandonné mélissa tu te rends compte ? Elle aurait donné sa vie pour lécher ses abdos! fis-je alors en jouant la comédie et en faisant clairement là semblant de pleurer avant de rire avec elle. Elle m'avait remonté le moral en une demi-seconde. Elle était magique. Je souriais alors en la regardant tendrement, caressant sa joue. je n'ai aucune idée de ce qui nous passera encore par la tête demain, melle Simmons. Mais on pourrait faire une série Netflix qui cartonnerait sur notre vie. lui fis-je alors avant de rire doucement, plus... tendrement. J'aimais notre histoire, aussi fuck up qu'elle était, et quoiqu'elle nous réservait demain d'horrible ou de beau. allez regarde la fin j'voudrais pas que tu me vois quand brandon avoue à mélissa qu'en fait ils sont cousins. lui dis-je alors en la reprenant dans mes bras une fois retournée vers la télé, installé confortablement et au chaud. Je savais que pour la première fois depuis de longues semaines, je dormirais bien. Je dormirais simplement. Sans me réveiller la nuit, sans cauchemars, sans nuit légère, sans rien. Je me réveillerais quand je serais repu le lendemain, je le savais. Je le savais tant qu'elle serait dans mes bras. Si tu as froid je te ramène un tee shirt, hein. dis le moi. soufflais-je à moitié endormi. c'est en caressant ses cheveux et en déposant quelques baisers de temps en temps pendant la presque fin du film que mes yeux finirent par se fermer, mon bras autour d'elle comme protecteur de toujours, mon nez dans ses cheveux pour ne pas oublier une seconde pendant cette nuit qu'elle était bien là avec moi.
 
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