Etes-vous souvent demander si tout était écris d'avance ? Si nos gestes, nos actes et nos pensées sont en réalité toute l'imagination d'un écrivain qui invente notre histoire ? Je me présente et je m'appelle Joy Farrow, Née à New york dans le quartier du Bronx le 15 mai 1993. Pour commencer je vais vous parler de mon enfance.

Mon enfance était tout à fait banale, mon père était mécanicien et ma mère serveuse dans le café du coin. J'étais très proche de mes parents, pour moi, c'est des modèles qui m'aide à l'heure d'aujourd'hui d'être une bonne mère. Mettre la main dans le moteur ça ne me dérange pas, mon père m'a beaucoup appris sur son métier et petite, je l'ai aidé à retaper des voitures pour ses clients quand il avait besoin d'aide. À l'école, je m'entendais bien avec tout le monde et j'avais de bonnes notes. Grâce à la chorale de l'école, j'ai découvert ma passion pour le chant. Je m'imaginais déjà sur le devant de la scène en train de chanter l'un de mes titres en plein concert. Pourtant, mon parent en général assez libre n'accepte pas vraiment mon choix pour cette voie. Ils avaient envie que leur fille s'en sorte plus facilement et que je ne galère pas dans ma vie future. C'est peut-être pour ça qu'après une discussion à la fin de mes études de lycée, j'ai décidé de m'inscrire dans les plus grandes écoles d'infirmière.

Et c'est au Canada que je suis arrivé, la première année a été assez difficile, les études étaient vraiment compliqués, surtout quand on ne fait pas ça pour nous, mais pour que nos parents soient fiers. Je n'avais pas beaucoup d'amis, voir pas du tout et ma vie sociale n'était pas vraiment au rendez-vous. Ma famille et mes amis de New York me manquaient énormément. Je déprimais un peu pour tout vous dire. Un peu plus d'un an après mon arrivée, avec mes camarades de classe, on avait un grand projet et le but s'était de partir dans différents lycées pour sensibiliser les jeunes contre le virus du Sida. Et puis j'ai croisé son regard, un regard avec un sourire qu'on ne peut pas oublier.

James est rentré dans ma vie si soudainement. On est devenue très vite proche et je suis tombé amoureuse d’un claquement de doigts. Il a réussi à sortir de ma petite vie d’étudiante et lui m’a fait découvrir la vie. Ce qui est vrai, c’est qu’entre nous ça s’est passé très vite entre nous. Accidentellement, je suis tombé enceinte, il m’a demandé d’avorter, plusieurs fois, il n’était pas prêt à être parents, mais je refusais à chaque fois cette discussion tourner en rond entre deux sourds. Pourtant, l’arrivé de ce petit bonhomme a été la plus belle chose qui puisse nous arriver. On était beau tous les trois et on allait former une magnifique famille. J’ai arrêté mes études d’infirmière et je passais la plupart de mon temps à la maison et un matin, j’ai Peter un plomb. Alors que tout le monde dormait paisiblement, je suis partie de la maison familiale. Je sais ce que vous vous dites, mais ne me jugez pas vous ne savez pas ce qui s’est passer dans ma tête…

Je suis retourné chez mes parents, et dans ses yeux, j’ai vu que j’avais déçu mes parents. Et pas parce que j’ai arrêté mes études, mais surtout parce que j’avais fait un caprice et j’avais abandonné ma famille. Pendant quelque temps, mes parents on eu du mal à me regarder sans qu’il s’imagine une minie Joy. J’ai passé un moment chez mes parents pour réfléchir à ce que je voulais vraiment… J’ai repris contact avec James pour retourner dans la vie de mon fils. Ce n’a pas été simple, mais j’ai fini par être accepté par les deux hommes et entre James et moi ça, c’est arranger. Enfin, c’est ce que je croyais. J’ai fait une fausse-couche et on s’est de nouveau éloigné à un point où il m’a quitté avec mon ancienne meilleure amie. La roue tourne comme on dit …

Je vis maintenant à Miami, j’ai ouvert mon agence de wedding planer il y a quelque temps maintenant. C’est le début, mais j’ai de bonne pub alors je ne m’ennuie pas trop. Et avec James, c’est compliquer, on a un fils en commun et on fera tout pour qu’il soit heureux et épanouis.