| ( #)Sujet: (Erin) ☾ a broken heart that starts to beat again | Dim 26 Jan - 3:36 | Erin Avalon Reese
Prénom(s) Nom Erin, la fleur, fragile et belle. Délicate dans tes gestes, douce et brisée. Détruite au point de non retour, départ pour un autre monde, une autre vie. Parce que c’est court comme prénom. Parce que ça représente la sagesse absolu. Ça se crie à plein poumon. Un E pour l’élégance de tes mots. Un R pour la richesse de ta bonté à l’état pur. Un I car tu es irremplaçable dans le cœur de tes proches. Un N pour ta naïveté encore présente dans ton âme à tout jamais. Un prénom beau, sucré, piquant, universel et inédit à la fois. L’amertume sur la langue, la rage dans les yeux et pourtant qui apporte l’espoir. Avalon lionne féroce, déterminée et imbue. ô grand amour qui se brise en milles morceaux. Parfaite symbiose semblable à de la magie. juste une facette, un masque qui cache la vérité. La tempe qui cogne fort, trop fort. La respiration coupée. Un jeu. Encore et encore. Mais quel est le prix ? Liberté chérie qui court, court au loin. Le temps qui tourne, défile, s’échappe. L’ange déchu, va-tu l’être pour l’éternité ? Oui. Non. Peut-être. Reese, l’échine de ton être, le sang ancré à ton âme. Le nom de ton père, ton King. Un nom qui représente tout pour toi. Tu es fière de le porter, cet homme qui t’a inculqué les bonnes valeurs de la vie. C’est une étincelle de flamme, un ouragan qui fait tout cramer à des kilomètres. Occupation Symphonie harmonieuse des jours heureux, la chair au bout des mains, comme si le coeur attend son dernier souffle pour être libérer. Erin, on dit souvent de toi que tu aurais pu être danseuse ballerine. Un peu comme ta défunte mère. Tu te sentais libre à chaque pas a ses côtés, mais la vie en a décidé autrement. Un horrible accident t’a presque coûté ta jambe et ta douce mère en est morte sur le coup. Ronger par la culpabilité, Erin s’est tourner vers un tout autre secteur : le droit, spécialisation en crime familiaux. Erin a toujours voulu donner le meilleur aux autres, étant née dans une famille aimante et surtout très aisée, Erin veut donner une chance à ceux qui n’en ont jamais eu. Avoir un père militaire qui s’est reconvertit dans le monde des affaires ça a aider sans doute. Il a choisi ce métier par passion. Bien sûr, Erin ne fait pas que cela et aujourd’hui on pourra dire que c’est une artiste à part entière. Notamment pour avoir ouvert une galerie d’art en l’honneur de sa mère. Mais surtout parce que tu veux sortir de ta zone de confort, Erin a le projet d’ouvrir un club de Jazz, la musique fait quand même partie de ta vie. Tu aspire à être bien plus qu’être la petite fille du commandant Reese, devenu un avocat assez reconnu, bien plus qu’être le témoin muet, une petite pièce du puzzle. Y a-t-il un semblant d'espoir pour un changement radicale des choses vers une vie normale ? Tu es sur le bon chemin douce Erin. Date et lieu de naissance, nationalité Ton acte de naissance comme une unique trésor témoignant de ton existence sur cette planète galérienne. Papiers maintes fois dépliés. Abimés par le temps. Par l’étreinte douloureuse des doigts d’une gamine en émois. Malgré les haussements d’épaules répétés de la vieille « pour ce que tu en as à faire… ». Encre de jais déliée. Lettrine qui s’étale. Sous le regard. A lire. Relire. 5 décembre 1995. Seule et unique certitude. Naissance miraculeuse. Surtout après une fausse couche. Le lieu exacte qui se perd mais qui reste dans ses tripes, cette certitude d’appartenir à un monde tout entier. Los Angeles. Melrose place avenue, dans les quartier les plus riches. Naturellement Américaine. De par ton père. Mais aussi, la Russie en héritage, enchanteresse et divine, si pure, si dure… emplie de tristesse et de bonheur. Une richesse qui vient de ta défunte mère. L’accent russe ? Tu l’a appris récemment. C’était une chose qui te tenait à cœur. Situation amoureuse, orientation sexuelle L’amour détruit, massacre des coeurs. Les larmes ne valent pas la peine d'être versées quand nous sommes responsables de cette solitude. L’interdit qui s'avance, qui s'attache aux chevilles. mais l'amour qui sature, chevauche l’abandon avec excès. L’ange déchu ne peut aimer lorsqu'il ne sait comment apporter compassion. et pourtant fut un temps où ce coeur a pu aimer, empruntant une voie où il n'aurait jamais pensé flanché. Le cœur étalé sur le sol dans un bain de sang, plus jamais l'amour ne frappe à la porte. Un amour perdu. Célibataire. Coeur déchirer. Fille perdue. Célibataire ou doit-on plutôt dire celib à terre. Célibataire parce qu’il ne veut plus de toi. Célibataire aux yeux fous parce que tu te réveille la nuit parce que tu a cru entendre Nick monter l’escalier pour venir te rejoindre. Fille fiévreuse qui ne compte pas retenir ton cœur de battre pour un homme qui ne voudra plus jamais de toi après ce que tu a pu faire. Tu a détruit son cœur. Enfant dans tes gestes, dans tes actes manqués. Dans tes palabres. Le cœur chantant louanges et addictions. Un soir. Comme ça. Dans les relents sucré de l’alcool. Le souffle qui file et la raison qui vrille. Le corps qui se tend, quémande. Désireux et envieux dans les limbes chimériques d’une soirée sous distension. D’une tension qui habille tes membres, couvre sa nuque de frissons. Chaleur irradiante. Gémissements controversés. Cette envie d’avoir ses bras contre toi. Pour lui. Et le cœur qui s’embrase. La respiration brûlante, le désir qui submerge. Le cœur qui flanche. Dans tes rêves les plus fantasques ; Nick est à tes côtés, dans ce lit qui est le vôtre. Un fantasme que tu vis seule.Tu halète dans son lit parfois, avant de dormir, tentant d’imaginer Nick qui prend enfin possession de ton âme. Nick qui te murmure ce que tu rêve d’entendre. Le réveil n’est qu’un coup de poignard dans ta poitrine.
Hétérosexuelle, même si on dit que l'amour n'a pas de frontières. Les hommes, en particulier un homme, ta main meurtrie sur celui que tu aurais voulu toute ta vie. Disparu. Effacer. Suspens au creux des lèvres, le sang battant les tempes, le coeur abruti à se jeter d'une falaise. Les muscles saillants se dessinant sur une silhouette harmonieuse, forte. protection qui rassure, enthousiasme d'un meilleur nouveau départ. Nana dont un temps s’est perdue, perdue à commettre l’irréparable. Autrefois, Erin ne voyais que lui, n’aimait que lui, ne jurait que par lui, ne respirait que par lui et ne vivait que pour lui. Juste au son de sa voix. Dans ses palabres. Juste aux caresses. Aux lèvres. Douces et austères. Dans tes veines. Dans ta chair. Dans tes tripes. Comme ça fait mal. Mal d’amour. Au fond il sera toujours dans ton âme et ton cœur. Caractère et autres infos Funambule dans ta bulle, l’oiseau fragile. L’oiseau blessé. Tu es sensible L’ange déchu. La fragilité à l’état pur. La sensibilité sous ses airs purs. Tu es divine, on te devine. Douce, tu l’es sans aucun doute. Drôle c’est une évidence, avec une pointe de sarcasme. Fille libre, qui défendra toujours la liberté d’expression. Pétillante, apporte de la couleur dans la vie. Charmeuse avec ta beauté envoûtante. La générosité surtout envers ta famille. Humble, ouverte d’esprit et naturelle. Digne de confiance, loyale et juste. Franche, attendrissante et casse cou. Rancunière, car le passé t'as fait ainsi, il a ancré en toi ce sentiment malgré tout. Joueuse dans un sens ou dans l'autre, il y a le bon et le mauvais. Captivante le regard magnifique, les yeux noisettes avec un peu de vert, un mélange qui en ferai chavirer des âmes et des cœurs. Possessive parce que ce qui est à toi est à toi. Personne ne touche, personne ne peut posséder ce que tu as. c'est ainsi et pas autrement. trophée d'antan, seul bien éternellement tien mais qui peut être partagé, ta famille. Prudente la méfiance est de taille, ta confiance tu n'accordes plus aisément. après tout ce que tu as vécu, tu as un tout autre regard sur les gens. Sensible cauchemar incandescent d'un feu embrasé des années plus tôt. les larmes mêlées aux cris, vision d'horreur. fureur dans les veines. rage qui palpite dans les tempes. coeur fragilisé au fil du temps, devenu pierre avec les autres hommes pour mieux se protéger. Persévérante tu persistes, toujours, tout le temps. parce qu'il y a un truc d’inachevé et ça t’emmerde vraiment. Tu n’as pas baissé ta dernière carte. Lunatique telle la lune qui ne sait que faire, un jour tu es heureuse, un jour tu ne l’es pas du tout. Cycle qui tourne en boucle. protectrice on n'a qu'une seule famille. tu l'as chéri, tu l'as malmène, mais ils sont tout pour toi. un tout, un accord. tel une mélodie où il ne faut pas un seul instrument pour la construire, mais plusieurs. famille un jour, famille toujours. tout ce qui compte à tes yeux, ce qui fait ta force quand tu sens la faiblesse te vaincre. ce qui te rend faible, quand ta force se disperse pour agenouiller tes ennemis. mélange subtil qui évoque un lourd secret, une revanche à prendre, une bataille à gagner. guerre que tu mènes depuis des années désormais. mais tu ne t'avoues pas vaincu, pas tant que tu les auras à tes côtés. tes précieux, tes amours. l'essence même de ta vie, ce pour quoi tu lutteras jusqu'au bout. passé au nom fragilisé, futur au détour d'une berceuse magistrale.
ANECDOTE :
Tu veux caresser l’amour du bout des doigts le chérir jusqu'à ce que le dernier souffle s'estompe. briser les chaines, enterrer les démons qui gisent sous le lit, cinglant de revenir à n'importe quel instant. espérer. croire en un avenir meilleur. abattre la dernière carte, celle qui reste à la merci d'un monde qui ne sait pas ce qui l'attend. diviser pour mieux régner. reconstruire la vie sur les cendres du passé. • Ton passe temps favori est la danse, jusqu’à tes douze ans, le corps qui s'emmêlent, s'entremêlent, se démêlent. s'attirant pour mieux se rejeter. une danse sans fin, laissant le paraître s'équilibrer sur un fil infini. la beauté de l'équation résolue, la magie qui opère peu à peu. les gestes précis, se projetant dans l'air tel un oiseau près à son envol. liberté à l'état pur, brut. rien ne t'arrête, comme si le temps avait décidé de ne plus filer. la jambe élancée, le corps en action. moment tranché d'une symphonie en dysharmonie. • Fasciner par le monde de la cuisine, cette chose que tu aimais faire avec ta grand-mère (Nany) , chahut infini partagé dans les rires et les effluves de bons pressages. loin des cris, des larmes et du brouhaha du monde. Deux personnes contre le reste du monde. Deux âmes qui ne font plus qu’un. Infime moment de bonheur, un symbole éternel. • tu parles différentes langues (russe, français, anglais, italien, japonais) voulant s’enrichir des mots, encore et toujours. Naissance d’une culture bien riche. La connaissance c’est le pouvoir. Un apprentissage bien adapter, savourant chaque histoire, chaque image d'un pays tant adoré et tant désiré. une manière de s'évader, de l'ailleurs au lointain, le pays du soleil levant où les écrits manuscrits mêlent symbole et paradis. • Erin s’est découvert une passion le dessin, après la mort de ta mère c’était une manière de s’évader. Rature au fil des pages, visage confondu avec ceux des démons. paysage artificiel d'un monde superficiel. déchirer, recommencer. peindre le diable en personne, créer ses disciples. souvenirs déchirants d'une mémoire trop douteuse. création d'un paradis. accès interdit à tout être malveillant. seul détentrice de la clé. paradis brouillé, fermé à double tour. • Erin glisse ses doigts sur le piano de la maison familiale, surtout lorsque tu sens ton monde se dresser contre toi. Les doigts glissant sur la froideur de la blancheur, s'immisçant dans une harmonie paisible et calme. caractère apaisé, tourment fracturé, l'évasion parfaite, l'âme en douceur. moment de symbiose, le corps en émoi, le coeur aux abords. la falaise à perte de vue, gouffre en profondeur d'une sérénité recherchée. perdue à l'avance, probablement en route pour être retrouvée. • Née le 5 décembre ça équivaut à être Sagitaire ascendant lion roi de la jungle, maître même de la nature, dieu sur la terre qui contrôle un territoire vaste et paisible. crocs acérés, griffes sorties. tu es identique à cette créature divine et pourtant vorace. Menant la danse, gagnant la bataille. Une similarité que tu partages au sein de ta famille. • durant ton enfance, ayant une grande intelligence tu t’es créé un ami imaginaire : kowka qui veut dire chat dans ta langue maternelle. Un nom russe. • ton plat préférée est les abats qui se résume aux entrailles d'un animal. le foie fait parti d'un de tes mets préférés, tu pourrais en manger éternellement sans jamais n'avoir à remettre en question la force que ça t'apporte. mais pourtant, tu n'oublies jamais d'y rajouter quelques ingrédients phares dont toi seul est au courant. Même si tu adores tellement la bouffe que tu pourrais ne faire que ça. • Ta couleur favorite est le rouge. Le joyaux de l’amour, telles les palpitations d'un coeur en émoi, chapardant l'être chéri. couleur éphémère au tintement morose, sifflement au bords des yeux, larmes perlées le long des joues. jamais en faillite, l'abandon n'existe pas. etincelle sur le feu, bataillant pour survivre au vent qui souffle. rouge amour. rouge passion. rouge splendide mêlant fusil et bouton d'or. • Tu vis avec un secret, le secret de ta mère. Tu apprends avec horreur qu’elle a été violè et que ton père n’est pas ton père. Tu découvre la vérité, une vérité qui fait mal. Tu a parfois du mal à y croire. L’histoire est trop cruel à entendre. Quand ta mère était plus jeune, elle s’est faite violer alors qu’elle sortait avec ton père. Cet homme était plus vieux et cruel. Elle n’a jamais dit la vérité à ton père. Tu vis avec ce secret et cela te fait vraiment du mal. • C’est peut-être à cause de cela que tu a fait l’erreur un soir de coucher avec le père de ton Fiancé, pourtant tu n’avais pas l’intention de tromper Nick car il a toujours été l’amour de ta vie. C’était sans doute l’alcool et le fait de garder ce secret qui te ronge de l’intérieur. • Tu a une haine dans ton cœur, surtout pour celui qui a voulu faire du mal à ta douce mère. Lors d’un de tes voyages, tu a voulu essayé de connaître cet homme, voir à quoi il peut ressembler. C’est un homme d’affaire redoutable qui est méprisant, vindicatif et hautain. Tu détestes cet endroit. Tu craches sur cet homme, parce que tu les déteste. Tu le déteste. Après tout c'est de sa faute, il a fait du mal à une personne généreuse et bienveillante. • Si dès ton plus jeune âge tu t'es découverte une passion fulgurante pour la musique, laissant ton âme s'exprimer sur les touches d'un piano. Ton père, quant à lui, t'as donné son amour pour la nature et les chevaux. Tu as eu ton premier étalon à l'âge de sept ans. Montant comme une professionnelle, tu as toujours apprécié cette sensation fraiche de liberté. • Nick découvre ta tromperie et te quitte. Ce fut un choc pour lui. Un choc aussi pour toi, car ce n’est pas ce que tu voulais. L'air devient toxique. Coeur rongé par la culpabilité. C'est ta faute. Les démons sont de retour. La douleur a abattu sa nouvelle carte. Poignardant ton être de toute part. Tu l'as perdu, à jamais. Sueurs froides. Le seul être à qui tu avais autorisé de montrer tes faiblesses. Une confiance que tu a perdue. Mort. Mot qui roule en boucle dans ta tête. • Tu as le projet d'écrire un bouquin sur ton père - un homme fascinant. Ton modèle dans la vie. • Tu te passionne pour la photographie, c'est une véritable source de vie. Un moyen de tout oublier. D'être autre chose pendant quelques minutes. • Tu accorde énormément de ton temps a ton travail : une échappatoire. • Tu est capable de gérer tous les réseaux sociaux, mais ne les utilise que pour le côté professionnelle. • Tu adore le sport, c’est une source de vie. • Souffre de l'absence de Nick - tous les jours. Joue les femmes fortes, mais ce n'est qu'une image pour les autres. • N'est tombé une seule fois amoureuse. Un amour qui s'est consumé - déchiré à travers le temps. Un amour qui ne sera jamais briller. • Te reposer ? Soon Soon Soon. Cela ne fait en aucun doute pas partie de ton vocabulaire. Tu aimerais sillonner le monde, aider les gens, d’autres peuples, rêvant de liberté et d’humanisme dans un univers teinté de cruauté. • Participe a de nombreuses œuvres caritatives, une habitué des soirées mondaines, depuis toujours. Bercer par ce monde, faisant partie de la plus haute sphère. • La lecture et tout ce monde qui rend une femme cultivée. • Tu chante que sous la douche. • adore le cinéma muet. Le silence est bénéfique. La possibilité de comprendre une histoire de a à z sans le moindre son et seulement avec la musique. • Une dingue de café - encore une tasse. Encore une. Encore une. Un cycle infini. Tu peux lui transmettre en intraveineuse c'est pareil. • Les enfants sont très souvent au centre de ses intérêts. Tu affectionne beaucoup d'intérêt à participer à des associations aussi juste soit-elle. • aussi longtemps, que, tu t'en souviennes, tu adores la neige • Malheureusement, quand on te pose une question qui te semble trop embarrassante, tu es plutôt du genre à vouloir détourner la conversation • Tu es également, jalouse. aussi bien en amitié qu'en amour • Tu n’aimes pas parler de ton passé. donc, par conséquent, peu de personnes sait ce que tu cache. • Tu es du genre compréhensive et tente toujours de te mettre à la place des autres, pour essayer de saisir leur point de vue • Quand tu te sens contrarié, tu te mets à griffonner, dans un calepin, que tu garde toujours, précieusement, dans ton sac • Possède un chien bouledogue qui fait ton bonheur. • Tu n’es pas indécises, mais tu as toujours peur de faire le mauvais choix. • Tu porte fièrement le collier de ta défunte mère - possède quelques bijoux important - comme la bague de fiançailles que tu a toujours garder • Adore écouter la musique qui déménage les tympans • Possède une brûlure infime sur le mollet gauche. Tu l'a présenté comme une blessure de guerre. • La moto. Une de tes passions les plus étranges, mais sûrement la plus importante dans ta vie. Tu as presque pleuré en voyant la grosse cylindrée qui n'étaient pas devant ton sapin de Noël. Tu adores monter une moto. Ce n’est que lorsque tu enfourches une moto que tu te sens réellement complète. La vibration qui passe le long de tes cuisses. L’adrénaline qui coule dans tes veines. C’est tellement loin de ton côté petite fille parfaite, de ton côté princesse des beaux quartiers. Ce contraste te plaît parce qu’il surprend ceux qui ne te connaisses pas assez, et même ceux qui te connaisses bien. Mais tu n’es pas qu’une petite princesse Erin, tu es bien plus que cela et tu le sais. • Dès que tu ouvre la bouche, la beauté à l'état pur. La beauté des dialogues et ton caractère qui tranche dans ce beau monde, qui fait parfois tâche, qui ruine un peu la jolie poupée que tu pourrais être. Ou pas. This is the story.
Vous est-il déjà arrivé de penser que les choses qui nous arrivent tout au long de notre vie, les bonnes comme les mauvaises, ne sont pas dues au hasard ? Que certains chemins que nous prenons sont dessinés à l'avance pour nous, pour nous guider là où nous sommes censés être ? Tout arrive pour une raison, n'est-ce pas ? Tu posa ton regard quelques instant sur le reflet du miroir, tes doigts se posèrent sur les rebords de ta mâchoire engourdie. Endolorie. Erin n’était pas du genre à se poser ce genre de question existentielle : déjà parce que cela ne servirait à rien et que rien n’allait changer. Pourquoi ressentait-tu un vide, comme s'il manquait quelque chose, comme si un truc n’allait pas ; pourquoi, pourquoi, toujours des questions idiotes. Erin se tournait vers ce fameux miroir, inspirant un bon coup avant d’inspecter le reflet. Tu portais une robe couleur blanche à bretelles qui t’arrivait au-dessus des genoux, c’était la tenue parfaite pour se marier. Sauf qu’Erin n’aura jamais l’occasion de le savoir. Pour quel raison ? Erin a perdu l’homme de sa vie. C’était un jour comme un autre, sauf que rien ne se passera comme prévu surtout lorsqu’une lettre venant de son vrai père atterrisse dans ses mains. Une lettre plein de regret, une lettre qu’Erin s’est empressée de déchirer et d’oublier en buvant quelques verres d’alcool. L’erreur qui s’ensuit allait te poursuivre toute ta vie. Sur le coup de la colère et la haine, Erin a coucher avec le père de son fiancé. C’était foutrement bon sur le moment, tu a pu oublier ton mal être quelques minutes. Mais aujourd’hui Erin se sent bien seule, face à ses erreurs et sa culpabilité. Quand Nick a tout découvert ce fut la fin de tout, surtout la fin d’un couple qui étaient pourtant amoureux. Pourquoi garde tu un secret si lourd dans ton cœur ? Peut-être parce qu’au fond Erin a honte, être l’enfant d’un viol n’est pas une chose acceptable. Tes cheveux tombaient en cascade sur tes épaule jusqu’à les omoplates, légèrement bouclées. Ils étaient bruns clairs avec quelques reflets par endroits, surtout au soleil. Tu t’es toujours demander à qui tu pouvais ressembler physiquement ? Certainement pas a lui. C’était hors de question. Erin attrapait son sac bandoulière qui traînait sur le lit et glissait la bretelle sur son épaule, en dégageant une mèche de tes cheveux, te tournant vers le petit miroir. Commençant à partir, te dirigeant vers la porte, tu jetais un dernier coup d’œil. Où va tu douce et belle Erin ? Tu a essayé bien après a reconquérir l’homme de ta vie, mais Nick ne veut plus entendre parler de toi.
La douleur n’a d’égal qu’à nous même, elle pénètre lentement en nous, cherche un coin confortable et puis le moment venu, elle sort de ce petit coin et agit. Elle vous brise, vous détruit, vous susurre les mots qui caressent chaque centimètre de votre corps mais qui fait mal, qui brûle en vous et qui ne part pas. La douleur, est parfois l’amie qu’on cherche, celle dont on a besoin pour remonter une pente encore plus base que là où elle est censée nous emmener. On lui tend la main et elle l’attrape, ne la lâche plus, elle la serre si fort que vous ne la sentez même plus. Cette douleur qui un jour est nichée au creux de votre paume, surgit et frappe votre cœur d’une haine sans pareil, d’une férocité abominable, et vous souffrez sous ces coups. Vous subissez toutes ces années à l’avoir tenu, aidé à grandir et prendre plus d’ampleur, de puissance, et là rien ne peut l’empêcher de continuer. Cette petite douleur, écorchure sous la langue, cicatrice sur le front, entaille dans le cœur, tout ceci n’est que blasphème, envie et dégoût. Ta vie se résume à ce mot, cette douceur, cet acharnement et cette rage de vivre. La douleur est ta plus fidèle alliée dans la tristesse comme dans la joie, dans tes sourires et dans tes peines. Cette même douleur qui est ton contraire, ton ennemie, celle qui t'amènera à ta fin. Tu le déteste. Ton géniteur, le renie de tout ton être et pourtant, même en essayant de le fuir, mais la douleur est là. Toujours présente. Tu ne veux pas de lui dans ta vie. Et, même si ton être ne voulait que Nick, il n’aurait pas pu comprendre tout cela. C’était mieux comme ça. Il t’aurait sans doute quitter en apprenant qui tu es vraiment. L’enfant du péché. Non, une abomination absolu. La haine, le dégoût, la colère a gagner ton cœur, ton corps et ton âme. Mais tu ne céderas pas, tant que tu n'auras pas baissé les armes. Puis tout s'enchaine, trop vite, tu ne comprends pas. Ton coeur chavire, ta vision se trouble bizarrement, tes oreilles bourdonnent, ton souffle se fait court, presque inexistant. Tout s'accélère. Tes mains empoignées sauvagement, l'avidité de liberté. Le premier coup qui part. Tu ne sais d'où il vient, mais le sang gicle sur ton visage. La bouche ronde, étonnée de ce qui vient de se passer, tu sens tes mains se libérer. Tu attaques à ton tour. Plus de temps pour les réflexions, pour savoir ce qui est juste ou pas. C'est votre unique chance et vous la saisissez. [...] Courir, jusqu'à en perdre le souffle. Courir, jusqu'à en perdre haleine. Fuir sans ne jamais regarder en arrière. Fuir et encore fuir. Mémoire erronée. Mémoire absurde. Jeu dangereux, brûlant les ailes. Cendres au vent d'un passé enterré. Le doute s'installe, capturant le coeur dans un méli-mélo de fureur. Ton père adoptif la seule personne que tu vénères, il n’est au courant de rien et cela te fait énormément de peine de ne pas être sa fille. Mais tu l’aimes. Cet homme t’a apprit tout et il a toujours été là même après la mort de ta mère. Une femme qui manque a ta vie. Elle aurait pu répondre à tes questions, t’aider a vivre avec ce secret. Les perles nacrées glissent le long de ton visage, roulent sur le sol. T'as mal. Et pas seulement à ton âme qui souffre. Y a ton coeur qui implose, qui explose dans ta poitrine. T'as envie de hurler, crier jusqu'à t'époumoner. Tu refuses de vivre après ça, de vivre dans un monde remplit de ténèbres. Leurs mains te frôlent, te relèvent et tu plonges ton regard dans chacun d'eux. L'essence de la vie reprend son cours. Tu serais tellement perdue sans lui. L’espoir te dit de recommencer à vivre. Nouvelle vie. Il suffit d’un changement pour repartir de zéro. On vit tous avec des secrets, des contraintes, des peurs, des peines, des trahisons, des joies, des folies, des caprices. On est tous nés pour devenir quelqu’un. On se forge un caractère en fonction des évènements, on évolue avec le temps, on imagine que la vie est belle alors que derrière se cache le côté sombre. On cherche tous à faire quelque chose de notre vie, à rendre service, être utile, on veut tous faire bonne impression. On a tous des rêves, qui sont enfouie au plus profond de nous car on sait qu’ils sont irréalisables. On essaie tous d’oublier le passé pour aller de l’avant, de faire comme si rien ne s’était passé pour se faire croire que ça ira mieux. Mais un jour on coule, on tombe, on revoit nos faiblesses et on abandonne, on baisse les bras parce qu’on sait qu’on a perdu d’avance. Tu n'as jamais lâché prise, jusqu’à aujourd’hui. Aujourd’hui tu sais que c’est la fin, qu’il faut que tu arrêtes de t’accrocher aux mensonges et que tu regardes la vérité en face. Tu as toujours refusé de croire au destin et à toutes ses stupides superstitions. Simplement tout a changé, tu as signé ton arrêt de mort, tu as fais un pacte avec l’enfer, le diable, et maintenant il vient chercher ce qu’il lui revient de droit. Il vient pour toi. Pour ton âme damnée. Pour tes péchés. Il vient pour que tu retournes six pieds sous terre. Il vient caresser l'écume de ta vie misérable. Il vient te faire prêcher le vrai du faux. Diable aux allures dansantes. Diable aux milles visages. Démon sans visage. Il perdure, il te prend dans ses bras et brise tes os. Etreinte étouffante, échange sensuel. Tu te laisses capturer par la bouche du diable. Chaleur suffocante. Merveille au délice subtile. La douceur d'une âme qui se condamne elle-même à l'enfer. Tu sombres, dans les abysses, dans les abimes. Ô délice aux effluves caramels. Y a le vide qui s'agrandit, trou noir qui attire. Tu te sens tomber, tu te laisses aller. C'est plus que les doigts de la faucheuse qui te frôle. Vie aux amertumes entachées. Détour du paradis, aller simple pour l'enfer.
Sans âme. Tu a découvert un homme méprisant. Ton géniteur est un homme odieux qui a oser dire que ta propre mère avait mériter son sort. S’en est trop pour toi. C’est comme ça que tu a changé, tu es devenue quelqu’un d’autre. Personnalité aux multiples facettes. Tu ne sais même pas qui était cette demoiselle aux visage d'ange, aux contours de princesse. Et en soit, cela ne t'intéresse guerre. Car tu es ce diable aux allures d'ange déchu. Tu es la sournoisie, le machiavélisme. Coeur épris d'une rage profonde et inhumaine. Tu regardes autour de toi et le monde est beau. Tu cherches au détour des notes de piano la sérénité. Elle ne vient pas. Tu pousses un soupir, lâchant le grave, agacée par cette vie. Tu cours partout, tout le temps, toujours. Tu ne restes jamais longtemps au même endroit et ça te fait mal. La nuit tu te réveilles en hurlant, le corps tremblant, le front en sueur. Les cauchemars s'accrochent à toi, déchiquetant le peu d'espoir qu'il te reste. Tu pries pour retrouver la paix, regagner le calme que tu connaissais trois ans plus tôt. Mais tout est parti. Tu n'es plus la même désormais. Ton être est devenu sombre, moisi de l'intérieur. Tu as creusé une carapace, emportant six pieds sous terre la demoiselle que tu fus il y a un temps. Il ne reste plus rien de la petite fille qui courrait dans les près à la chasse aux papillons. Tu as grandi, d'un coup, trop vite aussi. Seule dans l'obscurité, seule face aux démons. Tu essayes de combattre, tu te bat, te débat, mais rien n'y fait. Elle dérape, elle déraille, elle s'effondre. La belle s'efface, la belle s'effrite. Cassée. Brisée. L'ange aux ailes brisées, voilà ce que tu es devenue, voilà ce que tu es désormais. Un ange déchu, foutu, à demi arraché de son paradis. Tu es dans une impasse. Et pourtant, tu cours, telle une folle. La folle aux ailes brisées. La folle au visage d'ange, au regard de démon. La folle aux allures étranges. Tu n'es plus en sécurité, nul part, partout tu es perdue, partout tu es en danger. Alors la folle que tu es cours, fuis, s'échappe, s'écrase. Tu tombes, tu roules, tu es en boule. Souffrance. Douleur. Les démons débarquent, les démons assaillent, les démons détruisent. Tout sur leur passage. Rien ne leur échappe. Ils te détruisent. Elle est constante, permanante, sans cesse à tirailler l'intérieur, à détruire tout ce qu'on a de plus cher au monde. Elle est angoissante, effrayante, déstabilisante, elle ne mène nul part si ce n'est dans un gouffre sombre et froid. Elle attire le regard, la douleur, elle l'envoûte pour qu'on aille jusqu'à elle. La douleur, elle ne se laisse jamais abattre, elle est beaucoup trop forte pour ça et on abandonne bien avant de savoir qu'on a perdu. La douleur est ce qu'on pourrait appeler danger, il ne faudrait pas l'approcher de si près, mais avec sa lumière si brillante, si fascinante, on se laisse avoir comme des rats dans ses filets. Il ne faut pas beaucoup à la douleur pour obtenir ce qu'elle désire, elle gagne toujours à la fin. Cette fichue douleur, qui broie tout sur son passage, qui massacre les entrailles de chacun, qui brisse en un claquement de doigt le bonheur. Elle a brisé le tien de bonheur, elle l'a achevé à néant, te laissant pour seul cadeau un broiement intérieur t'empêchant de respirer à ta guise. Elle a tout fait basculer dans ta vie qui parrassait si parfaite. Ah parfaite ! Le mot n'est-il pas trop élevé ? Mentir ne sert à rien, plus maintenant que tu es détruite, brisée, plongée dans un cercle vicieux te laissant agoniser. Ton dernier soupir tu le pousseras si la douleur n'est pas trop cruelle avec toi. Oh ! Quelle belle erreur ! La douleur n'épargne personne, la douleur ne se laisse pas manger par des enfants. Non, la douleur s'en va et puis revient, elle est comme une addiction, elle compromet les plans de survie, elle achève en peu de mots ce qu'on a mis un temps fou à construire. La douleur est vicieuse, cruelle, bâtarde même, la douleur est ce qu'on déteste le plus en nous, ce que tu déteste le plus en toi. La douleur, tu veux apprendre à la surmonter, tu désires l'affronter. Oh, pauvre de toi ! La douleur t'écrasera à chaque pas que tu fais, à chaque sourire, elle te tordra tes lèvres pour l'effacer. Elle ne recule devant rien cette douleur, parce qu'elle est ainsi. Détruire est sa nature. Détruire est sa force. Détruire est son plaisir personnel. Te détruire est ce qui la rend plus forte, de jour en jour.
Le passé ne compte plus pour Erin, une page que tu a recouvert de nuages assez épais pour pas être tentée de regarder à travers. C'était une autre vie, une autre personne. Une fille que tu reconnais a peine. Des souvenirs en vrac de cette Erin qui foulait le sol comme si de l'or allait y pousser à chaque pas, le sourire venimeux et les yeux doux qui brillent bien trop fort. Puis plus rien. Les rires ont cessés de résonner et ça depuis la perte de ta mère qui manqua à ta vie. Cette vision de bonheur te hante encore. Y a plus a dire. Tout est fini. Ton esprit est une toile qu'on a déchirée, piétinée et que tu essaie de recoller sans succès. Tu te concentre sur tes études de droit, la seule chose que tu contrôle. Tu ne sais que faire de ton être. Le jour une étudiante parfaite, mais ton secret te fait du mal. Que vois-tu dans le miroir ? Un monstre ? Peut-être, heureusement que ton Daddy ne sait pas la vérité. Il t’abandonnerait comme les autres. Alors, Erin le soir devient un oiseau des nuits, tu te lève en même temps que la lune; cherche à travers les étoiles, cette chose que les hommes appellent -l’espoir. Tu arpentes les ruelles sombres et recrache des nuages trop sucrée pour toi. Erin désobéit aux règles, rejette les bonnes moeurs, se laisse entrainer dans les valses dangereuses d’un monde sale, obscène et vulgaire; un monde d’argent et d’abus où la présence de cette princesse perdue, au regard candide, soulève les foules. Erin s’enivre, Erin s’enlise dans sa propre déchéance; la lumière qui brillait autrefois dans tes yeux n’est plus qu’une ombre. Trop fière, pour s’avouer fragile. Trop détruite dans le cœur et l’âme. Mademoiselle déchainée, Mademoiselle névrosée. Erin repousse chaque soir un peu plus les limites de l’indécence car au moins tu peux te libérer comme ça. Il t’arrive d’être cette fille nue et sublime qui danse sur le zinc d’un bar, cette inconnue qui repeint ses lèvres au rouge à l’arrière des voitures, cette brune incendiaire qui trouve le bonheur dans une montagne de poudre blanche, l’enjôleuse qui se glisse dans vos draps, l’anonyme qui écrase sa cigarette à vos pieds. Erin aime les risques, la sensation forte. Tu succombe à tes démons, à tes envies extrêmes, tes pensées destructrices. Loin de ceux qui t’ont trahi, d’un passé oublié. Erin au revoir misérable vie de merde. Ta vie le soir est rythmée par les fêtes, par l’ivresse doucereuse, par le chant entêtant des sirènes. D’un bout à l’autre du monde; tu es abreuvée d’expériences, comblant tes désirs, les fignolant jusqu’au délire. Erin a fait de la fête une religion, et du mensonge un art. Erin est une énigme, un océan de mystères. Une fille rongée, divisée, indécise, incapable de réprimer tes pulsions, tes envies, tes tentations. Erin est complexe, en quête d’attention, immodérément capricieuse. Souvent colérique, parfois bipolaire, rongée par la démence. La nuit est ton terrain de chasse favori, lorsque le ciel se teinte de nuances orangées avant de plonger la ville dans le noir total.
Tu es une femme libre. Ta naissance a été un contrat signé avec le Diable. Les murmures d'une colère froide jetés dans ton oreille d'enfant mêlés à tes doigts tiraillant tes mèches couleur charbon, c’est tout ce qui t’a bercée et tout ce qui t’a liée à cette nouvelle personne qui était à présent dans ta vie. Ton demi frère. Cet homme qui a fait son apparition et qui veut se faire une place dans ta vie. Un peu trop vite selon toi, avec son regard curieux sur ce que tu ressens. Erin parle jamais d’amour, c’est beaucoup trop dur. Tu a cessé de faire fonctionner ton cœur. Rêve de normalité, une normalité bancale, que tu n’arrive pas à t’offrir, prie pour qu'un jour cesse cette rancœur entre eux ou peut-être que ça ne vient que de toi. Après tout tu es l’enfant d’un viol. Une abomination. Parfois, lorsqu’il vient te voir, tu aimerait poser ta tête sur ce frère nouveau et te confier a lui. Lui jeter des secrets a ses oreilles. Et puis, tu te rappelles de votre géniteur, ton envie de vaincre le monde, subitement, tu revient sans la réalité. Tu a créé cependant un lien fort avec lui. Tu lui a même révéler ton pire secret. Ça concerne Nick et tu fais promettre à Kyle de le garder pour lui et de ne jamais le dire. De quoi s’agit ? Pourquoi Erin a honte ? Peut-être parce que tu es tomber enceinte de Nick et quand tu a su que c’était lui le père, il t’a quitter sans savoir qu’il allait être père. Tu a perdu ce fameux bébé qui aurait pu sauver votre couple, mais c’était trop tard. Tu a perdu son enfant et il t’a quitter bien après ne supportant pas ton infidélité. Après ce ne fut qu’une descente en enfer. Et seul Kyle comprend et t’aime pour ce que tu es aujourd’hui. Et, tu essaies de passer beaucoup de ton temps avec lui. Ce frère a demi retrouvé, Kyle. Tu aimes tout, t’en inspire. Y trouve refuge. Tu expose tes toiles et t’ouvre à ce monde obscur d’être une artiste dure à déchiffrer. Mais lui essaie de te comprendre. Et, puis y a ce fameux soir où il t’a volé tes lèvres, s’ensuit une grosse déclaration de sa part. Déboussolé. Merde. Il était pourtant normal. Puis il a pété son câble, ton démon personnel. Pourquoi ? Parce que tes sentiments a son égard sont pas les mêmes. Oui. Oh que oui. T'en as eu mal au ventre. T'en as même pleurer. Erin oublie. Pardonne et recommence. Tu voulais juste qu'il arrête de râler. Qu'il recommence à jouer avec toi. Qu'il arrête d'être chiant, ennuyant. Sauf que les émotions ça n'a jamais été ton fort, alors il a trouvé autre chose. Tant mieux. C'était foutrement désespérant. Épuisant. Ce silence qui vous traverse de part en part, comme une lame qu'on fait entrer et ressortir, qui fait mal à en hurler d'épuisement. Plus qu'un blanc latent dans ta tête. Une semaine dans un noir complet à compter les carreaux de ta salle de bain, à verser glaçons sur glaçons dans ton bain, t’y plonger pour tenter de soigner ce mal qui la détruit.
Si l'enfer n'est pas dans ton corps, alors c'est ici. Chez les fous. Patients ou médecins, ils ont tous des soucis. Tous. L'humain ne va pas bien - c'est un constat. Mais tu apprends à filtrer tes paroles. Tu deviens une machine à café, il faut moudre, rendre tout uniforme, avant de filer son café à ton spécialiste. Plus de rire impromptue - ça lui fait peur. Quelques sourires ici, là. Tu minutes presque tes moments en sa compagnie, puis tu triches, rechange l'horaire. Qu'il ne comprenne pas que tu fais semblant. Que tu fais trop d'effort. Après, tu comprends ton acte, tu sais qu'il est « mauvais » mais tu ne t'attardes pas sur le fait que pour toi, le mal n'est rien. Ni désagréable, ni mesurable. Il est et il vit en toi. C'est de l'air, le mal. Il est partout. Tout le monde en a besoin pour vivre. Mais tu n'en as rien à foutre, tu n'as pas besoin de le voir. Pour quoi faire ? Rien. Tu es une gentille fille Erin, quand tu veux. Tellement gentille. Et tellement mignonne. Tu sais. Ici, pas de jupe à retrousser, mais ton t-shirt ne dissimule pas tout. Sauf que tu ne flirt pas. Pas vraiment. Tu es seulement une bonne fille. Tu a sombrer un peu, en cachette tu voit un psy, il faut parler de ce qui s’est passé. Tu dois changer ta vie, ton psy à insister - mais pas avant d'avoir reluquer un bout de ton ventre. T'as promis Erin, de faire mieux. De virer ce qui pourri ton âme. Sauf que non. L'enfer, il est en toi. Et il n'attend qu'une chose : ressortir. Sous les néons, tu danse, embrasse les interdits, épouse le danger. Erin joue avec la vie, souffle sur les braises. Parce que tu fait ce que tu veux. Tu en a faim de cette douleur. Ce goût pour la vengeance, c’est celui qui s’installe avec lenteur, douleur, passion. Celui qui brûle d’un feu incertain mais qui détruit tout sur son passage. Celui qui fait tomber de haut parce qu’on ne s’y attend pas. Le pouls accélère puis ralenti, laissant le rythme cardiaque incertain. Sentiments déstabilisants. Coeur ouvert, déchiré, arraché. Coeur meurtri par les plaies encore bien saignantes. La colère a fait son temps, maintenant tu na que haine et la rage envers lui. Pourrais-tu oublier ce qu’on a oser te faire ? Pourras-tu oublier Nick et passer à autre chose ? Oui, mais tu dois le voir avant et comme ça tu saura. Tu n’est plus la fille qu’il a connu donc ça sera plus facile d’être hostile et détachée d’un homme qui appartient a ton ancien toi.
About me PSEUDO Aphrodite aka maiva AGE Vingt-cinq ans, comme un quart de siècle comme j’aime le dire PAYS/VILLE Belgique pour être près de mon grand-père et j’aime être ici FREQUENCE DE CONNEXION C’est assez flexible étant donné que je bosse de chez moi et que j’ai un bébé dont je m’occupe et qui a un mois et demi COMMENT ES-TU ARRIVE(E) SUR LE FORUM ? via bazzart, c’est un peu la base j’ai envie de dire et heureuse d’être ici avec vous tous . ES-TU UN SCENARIO ? https://lovemelikeyoudo.1fr1.net/t7763-f-alicia-vikander-adelaide-kane-de-l-amour-a-la-haine-il-n-y-a-qu-un-pas AS-TU ENVOYE TES DEUX SECRETS A NIGHTMARE ? Oui UN PETIT MOT ? Ça devrait vous faire une idée un peu près de mon humeur CHOIX DE GROUPE Roi de trèfle CREDITS AVATARS Balaclava. |
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