(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Lun 27 Jan - 13:20
alexander & ellie
mental health begins with me.
Peut-être que je suis négatif c’est vrai... mais parfois je préfère voir la vie comme elle est vraiment. La vie n'est pourtant pas faîtes que de mauvaises choses, sinon elle serait bien triste, malheureuse. C'est parfois dans le malheur qu'ont trouve la force de se battre pour les jours à venir. Attristée d'entendre les paroles de Alexander, elle préféra demeurer muette le temps de ses derniers soins, réfléchissant à ses mots intérieurement. Non, la vie n'est pas faîtes que de choses négatives, elle en est persuadée. Doucement, elle procède à sa prise de sang et semble réussir avec brio cette dernière. Le jeune homme l'avisait pourtant de la difficulté à trouver une veine docile qui se laisserait dominer le temps d'un recueillement de sang. Elle y était parvenue, avec beaucoup de calme, de douceur et de patience. C'est en ayant des pensées négatives que les choses ne se déroulent pas comme ont le souhaite. Elle avait mit tout en oeuvre pour que cela soit le moins douloureux possible, le plus appréciable et le plus simple possible. Ses trois flacons de sang recueillis, elle pût ranger le tout pour faire une dernière fois face au garçon. Elle riait doucement lorsqu'il lui assura ne plus désirer de piqûre ni de prélèvement sanguin. Après tout,qui aime se faire ôter du sang ? Personne.
Par la suite, le jeune homme lui demanda l'heure de son futur passage, elle lui avait fait part comme quoi elle était entièrement disponible et qu'elle viendrait en fonction de ses projets, de ses désirs à lui. Le patient est roi, et elle n'est la que pour les servir. Elle essayait constamment d'être arrangeante, de faire en sorte que tout le monde soit satisfait et jusqu'à présent elle y était parvenue. Il avait souhaité qu'elle passe en dernier, à la fin de tous ses patients pour qui sait, partager un repas en sa compagnie.oh,heu..oui bien sûr. on peut faire ça. elle souriait poliment à son égard. Ce n'était pas la première fois qu'elle partageait un repas en compagnie d'un de ses patients. Elle pensait notamment à la mère de Orel, paraplégique, avec qui elle s'entendait à merveille et qui, régulièrement, réclamait sa charmante compagnie le temps d'un repas, d'un thé ou même d'un café. elle ne disait jamais non Ellie, parce qu'elle aimait par dessus tout passer du temps en compagnie de ceux à qui elle administrait des soins, si cela peut suffire pour égayer leur journée, alors pourquoi pas. La, en l’occurrence se serait la soirée d'Alexander qu'elle égayerait.j'accepte à une seule et unique condition. que je cuisine. il est hors de question que vous faîtes quoi que ce soit dans vôtre état, je m'en voudrais que vous soyez fatigué à cause de moi, à cause d'un dîner. et elle le ferait, qu'il le veuille ou non au risque de refuser son invitation si il insistait à vouloir tout préparer pour elle. Qui puis est, cuisiner est vraiment une seconde vocation pour elle, une passion qu'elle apprécie, qui l'aide à se détendre, qui lui fait un peu oublier ses soucis de santé, la distance de sa famille, le mal du pays parfois. il serait bête de refuser car en plus de cela, la blondine est un véritable cordon bleu.
Invitation acceptée, il s’attela à vouloir lui servir quelque chose à boire, un simple café ou un jus de fruit, elle prit les devants et se leva de sa chaise pour lui proposer son aide bienveillante. La douleur était encore fraîche, l'opération récente et ses muscles ne semblaient pas totalement rétablis des manipulations faîtes par les chirurgiens, par l'anesthésie qui s'était emparé de son être tout entier. Il fallait laisser du temps au temps, et être présent à ses côtés pour l'aider même dans la plus simple des tâches quotidiennes. Laissez-moi faire. Elle lui offrit un regard doux, bienveillant, suivi d'un sourire qui lui aurait presque obligé d'aller s'asseoir le temps qu'elle est de service. Elle sortit deux verres d'une armoire en se tenant gracieusement sur la pointe de ses deux pieds puis partit chercher la bouteille de jus de fruit après l'avoir cherché dans le réfrigérateur.Vous m'accompagnez ou je dois vous servir autre chose? Elle attendit qu'il lui fasse part de ses désirs avant de se rendre à table pour y déposer le souhait d'Alexander et son jus de fruit à elle. Délicatement, elle posa son postérieur sur une chaise et observa l'environnement dans lequel le jeune homme vivait.C'est chaleureux ici. Décoré avec goût. C'est vous qui vous vous êtes occupé de tout? demanda t-elle, curieuse. L'appartement ne manquait pas d'espace, et il est fort à parier qu'il n'était pas seul à vivre entre ses murs. Une petite amie, une femme ou un membre de sa famille peut-être.Il est bien plus spacieux que mon "chez-moi" en tout cas. Elle s'était fraîchement installée à Miami il y a peu et avait accepté l'un des premiers logements qu'elle avait trouvé sur les petites annonces. Le quartier lui plaisait, le loyer semblait raisonnable malgré tout pour une petite infirmière comme elle, l'endroit n'était pas bien grand mais suffisamment pour elle. A l'avenir, elle songerait certainement de se trouver autre chose, en attendant, elle se laissait du temps pour tout ranger , le désordre monstrueux de sa vie.
(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Mar 28 Jan - 13:14
alexander & ellie
mental health begins with me.
La seule chose qui manque vraiment à la vie d’Alexander c’est sans doute une femme et des enfants. Il a toujours voulu se marier et avoir une famille nombreuse mais malheureusement il n’a jamais rencontré une femme ayant les mêmes envies que lui. Il a cru que cette femme pouvait être Paisley, mais il a vite compris qu’elle ne veut pas de lui de cette manière, qu’elle veut s’amuser et ne pas avoir d’attache. C’est malheureux parce qu’Alexander a des tonnes de choses à offrir... Un jour, peut-être qu’il rencontrera cette femme qui a les mêmes envies que lui, mais pour le moment celle-ci n’est pas encore là. Après tout ça, les femmes se plaignent que les hommes ne veulent pas s’engager. Bref, vaut mieux être seul que mal accompagné.
Alexander prend la chance de l’inviter à manger demain si elle en a envie. Elle n’est pas obligée d’accepter si elle ne veut pas. Après tout, il est son patient, elle n’a peut-être pas le droit de passer du temps personnel avec ceux-ci. Alexander ne connaît pas les lois des infirmières. Ce n’est pas non plus comme s’il l’invitait avec de mauvaises intentions. C’est un simple repas sans aucune autre idée... ALEXANDER : « Si je vous invite c’est parce que je pense être capable de faire le repas... mais faisons un compromis et faisons-le ensemble, c’est bon? » Alexander croit que c’est une bonne idée, qu’elle ne peut pas refuser une telle offre, surtout qu’il est bon cuisinier. Il serait dommage qu’elle ne puisse pas être témoin de ses talents culinaires.
Il y a encore des mouvements qu’Alexander fait qui lui provoquent une certaine douleur au niveau des reins, ce qui est normal et qui le sera encore un sacré moment. Il doit faire attention à ses mouvements. Un jour il sera peut-être totalement guéri ou encore il aura parfois certaines petites douleurs mais rien pour l’empêcher d’avoir une vie normale. ALEXANDER : « Je vais prendre la même chose. » Dit-il en laissant Ellie les servir tranquillement et en prenant place sur une chaise. Il la regarde en souriant et la remercie lorsqu’elle lui remet son verre. ALEXANDER : « Je vivais seul ici, après une colocataire est arrivée et lorsque je suis sorti de l’hôpital, j’ai appris que j’avais une troisième colocataire. En général c’est moi qui a tout décoré lorsque je me suis installé ici. » Il prend une gorgée de son jus. ALEXANDER : « Le plus important ce n’est pas d’avoir un endroit spacieux, mais tout simplement d’être heureux chez soi. Quand on se sent bien chez soi alors le reste importe peu.... du moins c’est mon avis. Toi, as-tu un conjoint? Un mari? Des enfants? » Quoique si elle avait tout ça, elle ne passerait pas autant de temps avec ses patients.
AVENGEDINCHAINS
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(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Mar 28 Jan - 14:23
alexander & ellie
mental health begins with me.
Elle accepte son invitation à une seule condition, qu'elle soit la cuisinière de la soirée. Comme à ses habitudes, elle avait tendance à trop "couver" ses patients, à s'assurer qu'ils ne leurs arrivent rien. Alexander devait prendre du repos pour cicatriser plus vite, et si il y a bien une chose qu'elle détestait plus que tout, c'était d'abuser de l'hospitalité ou de la générosité des autres. Elle n'est pas comme ça, en temps normal d'ailleurs c'est même plutôt l'inverse. Les gens ont bien tendance à profiter de sa gentillesse, de sa patience et de son extrême douceur. Trop bon. Trop con. mais elle n'en avait que faire Ellie. Elle avait des valeurs et des principes, elle savait ce qu'elle valait aux yeux du monde. Elle avait cet énorme privilège de savoir s'observer à travers un miroir sans avoir honte de la femme qu'elle était devenue. Il faut dire que son éducation a été irréprochable. Élevée dans l'amour inconditionnel de ses parents et de son frère aîné, elle a toujours rayonnée de cette somptueuse lumière sans jamais être une seule seconde tentée par les ténèbres. Un jour, elle serait récompensée pour cette bienveillance , pour cet amour de l'être humain.«Très bien j'accepte alors. » Ils cuisineront ensemble, mais ce qu'elle avait omit de lui dire, c'est que ce soir la, elle songerait certainement d'avantage à le prendre comme commis que comme cuisinier en chef. Elle n'oubliait pas qu'il fallait qu'il se ménage.
Doucement, elle avait finit par se rendre en cuisine pour attraper deux verres présents dans l'armoire, sur la pointe de ses deux pieds, elle avait également prit soin d'embarquer la brique de jus de fruit pour les servir et tendre finalement un verre à son patient une fois qu'elle aurait prit place à table elle aussi. Le regard clair de la jolie blonde observa les environs, tout semblait soigneusement décoré et propre, il lui semblait pourtant sentir un subtile parfum fleuri, celui d'une femme. Une petite amie, "la" femme, une sœur ou une simple amie, quelque chose lui disait que Alexander ne vivait pas seul et bingo' ce fût bien le cas. Il lui révéla la présence d'une première colocataire, puis d'une seconde qu'il semblait surprit de constater à son retour d'hôpital.«Je vois. Vous avez bon goût.» qu'elle se laissa dire en continuant de lui sourire chaleureusement, venant recroiser son regard avant de boire deux petites gorgées de son jus de fruit frais.
L'appartement était bien plus grand que le sien, plus spacieux également. Les mots d'Alexander résonnaient en elle. Bien sûr elle n'en doutait pas, le principal n'était pas la taille du logement mais bien la chaleur qui pouvait se dégager de ce dernier, qu'il soit petit ou grand, le principal était de s'y sentir à l'aise, de l'apprécier après une dure journée de travail. Si son appartement paraissait minable face à celui d'Alexander, Ellie avait prit soin de le décorer avec goût en y apportant quelques fleurs, deux plantes et plusieurs bougies. Elle adorait les bougies et ne pouvait se passer de soirées cocooning sous un plaid, avec quelques douceurs à grignoter ses jours de repos. Les bougies dégagent de la chaleur, créées une atmosphère qui la rassure, l'apaise et c'est bien pour cela qu'elle ne pouvait s'en passer. Elle n'eut pas le temps de lui répondre qu'il vint directement la tutoyer pour en apprendre d'avantage sur elle.
L'usage du "Tu" était récent et nouveau, il donnait une certaine proximité entre deux individus, rendait les choses moins compliquées, plus agréables. Il cherchait à savoir si elle avait un mari, des enfants, ses joues devinrent aussitôt pourpres et rapidement elle entreprit de fuir son regard pour le poser sur le liquide présent dans son verre. Si il savait.. « N-non. Je suis seule. Je n'ais rien de tout ça.. » Elle se passerait de lui dire qu'en réalité elle n'avait jamais fréquenté aucun homme et que de ce fait elle était encore vierge, c'était un détail plutôt personnel et secret. Elle était pudique, très pudique sur ce genre de conversations parce qu'à son âge, la majorité des filles sont déjà toutes en couples et prêtes à devenir mère de famille, prête physiquement, psychologiquement c'est une autre affaire.« ca ne m'empêche pas pourtant d'espérer qu'un jour, j'aurais moi aussi la chance de pouvoir fonder ma propre famille. c'est même d'ailleurs un rêve. j'aime beaucoup trop les enfants pour ne pas en vouloir un jour.» et elle se mit à rire, doucement. a vingt trois ans ont a le droit de rêver, quand certaines rêvent elles d'être indépendantes, libres de découvrir le plaisir que peuvent procurer les hommes ou les femmes de différents horizons, Ellie, elle, rêve de romance, de quelqu'un qui pourrait la faire rêver, lui mettre des étoiles pleins les yeux. « oh mais j'y penses, elles ne diront rien tes colocataires que je me joignes à vous du coup pour dîner demain? Je n'ais pas envie de déranger tu sais..» Elle avait presque oublié qu'il n'était pas seul ici et que les demoiselles partageant son logement pouvaient ne pas apprécier la présence d'une troisième femme dans l'appartement, après tout, elles ne la connaissait pas, elle , la simple infirmière venue prendre soin du pauvre blessé de la maison.
(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Mer 29 Jan - 15:36
alexander & ellie
mental health begins with me.
Alexander ne la laissera jamais tout faire toute seule. S’il l’invite c’est parce qu’il sait qu’il est capable de lui préparer un petit quelque chose. Il ne l’invite pas pour se faire servir. Cuisiner a toujours été une passion pour Alexander qui ne se tanne jamais d’essayer de nouveaux plats. Il faut essayer pour savoir si l’on aime ou non. Savoir cuisiner est un plus pour quelqu’un puisque ça permet de faire notre propre nourriture et donc de savoir ce que l’ont mange vraiment. Bien entendu, Alexander n’a pas toujours le temps et l’envie de cuisiner. Il se permet donc de temps en temps des mets déjà préparés. Bref, il est ravi que la dame accepte son invitation. Ils cuisineront quelque chose ensemble et auront sans doute bien du plaisir.
Alexander a-t-il vraiment bon goût? Peu importe, il a fait de son appartement quelque chose à son image bien que maintenant qu’ils soient trois ici, les femmes ont changé quelques petites choses à gauche et à droite. Rien de ce qu’elles ont pu faire le dérange. Si quelque chose venait à le déranger alors il leur dirait. Entre colocataires, il faut savoir se parler et se dire ce qui ne va pas sinon l’harmonie le sera jamais très bonne. ALEXANDER : « Merci bien. » Dit-il tout sourire.
Sans vraiment savoir pourquoi, il se permet de tutoyer la femme. Peut-être parce qu’ils sont ensemble autour d’un verre et non pas ensemble dans le cadre du travail. Peu importe, ça ne semble pas la déranger puisqu’elle lui répond normalement. Elle est seule, ce qui explique pourquoi elle prend tout son temps avec ses patients. Vaut parfois mieux être seul que mal accompagné. Si elle est aussi gentille et douce qu’avec ses patients alors elle sera une magnifique mère de famille lorsque son temps sera venu. ALEXANDER : « Moi aussi. J’ai fait une demande d’adoption il y a plus d’un an. J’attends toujours des réponses. Je ne laisserai pas mon célibat m’empêcher de réaliser mes rêves. J’ai toujours voulu au minimum quatre enfants. Je ne laisserai pas mon rêve s’écrouler pour rien. » Attendre après une femme pour avoir sa petite famille risque de prendre du temps. Il n’a pas envie de se réveiller dans quelques années et de réaliser à quel point il a clairement raté sa vie. Personne n’est mieux servir que par soi-même.
Alexander ne croit pas que ses colocataires diront quelque chose s’il invite quelqu’un à qui parler. Il les voit peut souvent depuis qu’il est sorti de l’hôpital à cause que l’une est en voyage et l’autre est souvent absence. Il l’invite parce qu’il sait que tout ira bien. Et si Mack devait se trouver à être présente alors ils feront plus amples connaissances. ALEXANDER : « L’une de mes colocataires est en voyage et l’autre je ne la vois pas souvent alors ça ne dérangera personne que tu sois là. Nous avons le droit d’inviter nos amis, tant que nous ne faisons pas trop de bruit lorsqu’il est rendu tard le soir. Nous n’avons jamais eu de problème à ce niveau. Tu es la bienvenue ici. »
AVENGEDINCHAINS
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(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Mer 29 Jan - 16:11
alexander & ellie
mental health begins with me.
Ensemble ils cuisineront, certainement un délicieux plat qu'ils partageraient dans la joie et la bonne humeur. Passer du temps en compagnie de ceux qui en ont besoin et au delà de ses fonctions. Une infirmière est présente généralement pour des soins physiques, pour des blessures visibles sur le corps des patients. Généralement, tous ce qui touche au domaine du psychisme appartient aux psychologues et autres assistantes en tout genre. Ellie, elle, était l'infirmière, la bonne oreille, les bons conseils, la douceur incarnée et sa présence faisait grandement du bien à ceux pour qui la lumière s'était éteinte depuis peu ou depuis toujours. La solitude est parfois pesante, bien trop douloureuse et difficile à accepter. Elle ne sait pas exactement ce qui pousse Alexander à l'inviter dîner en sa charmante compagnie mais si il en ressent l'envie et le besoin de la convier, alors elle accepterait avec joie, jusqu'à vouloir s'en rendre utile de son côté. La question du dîné passée, ce fût un autre sujet de conversation cette fois qui fût lancé. Celui du charme de l'appartement, du goût des belles choses d'Alexander et du petit appartement qu'elle avait eu la chance de louer en arrivant à Miami.
Peu importe l'endroit ou l'ont vit tant que l'ont s'y sent bien. Ellie se sentait divinement bien chez elle et mettait tout en oeuvre pour que l'endroit était chaleureux pour ses potentiels invités. Elle était une bonne hôtesse et rares étaient ceux qui s'en allés déçus, elle pensait notamment à Arlo, qui était une vraie bouffée d'air frais pour elle l'un des seuls amis qu'elle avait sût se faire en ville. Arlo, il avait été la quand elle avait eu besoin d'aide, quand elle sa maladie l'avait rattrapée dans ce bar ou des âmes damnées s'y trouvait. Elle avait eu l'envie de sortir prendre l'air, elle voulait cotôyer au moins une fois ce monde de la nuit, au final, elle n'aurait jamais dû. La musique était assourdissante et lui brisait les tympans désagréablement. Une âme pure comme la sienne n'avait rien à faire dans un monde pareil de débauche. Ses yeux s'étaient plissés, et elle sentait au loin l'échos de voix inconnues puis soudainement, brusquement, son corps avait lâché prise, s'était effondré sous la fatigue, sous la narcolepsie. N'importe quel homme pouvait aisément abuser d'elle sans qu'elle ne s'aperçoit de quoi que ce soit, mais heureusement pour elle, c'était sur Arlo qu'elle était tombée. Il l'avait emmenée loin de ce monde hostile, à l'abri, quelque part ou elle pourrait reprendre ses esprits comme la belle au bois dormant qu'elle était. Il avait veillé à ce qu'il ne lui arrive rien, elle lui avait expliqué ce qu'il lui était arrivé, la maladie qui la rongeait depuis sa plus tendre enfance et Arlo lui avait promit depuis de ce jour de veiller au grain sur elle, comme un grand frère le ferait.
Tout ça pour dire qu'elle n'avait pas encore eu le temps de trouver l'âme sœur, ni même un petit ami quand ses propres amis se comptaient sur les doigts d'une main. Et puis, qui voudrait d'une femme vierge n'ayant jamais fréquenté l'espèce humaine autrement que professionnel? Elle en avait touché des peaux, mais jamais de façon intime et ses lèvres, elles, n'ont jamais pût goûter à un seul baiser, qu'il soit sucré ou salé et elle rêve du jour ou ça arriverait, ou son cœur exploserait sous la présence d'un homme, d'un inconnu.Alexander lui avoua avoir fait une demande d'adoption, malgré son statut d'homme célibataire, il comptait bien fonder une famille, rien ni personne ne pourra l'en empêcher et , elle , qui était bénévole pour diverses associations et combattante de plusieurs causes ne pouvait qu'admirer sa requête.«Offrir de l'amour à un enfant qui n'en a jamais bénéficier, quel belle action.Au vu de ta bonté, je suis persuadé que ta requête aboutiras un jour à quelque chose et que tu auras bien vite une réponse à ta demande. Généralement ses choses la prennent du temps, mais c'est un peu comme tout, il faut du temps au temps et un jour, on finit forcément par être récompensé, d'une manière ou d'une autre.» Elle se voulait positive, toujours positive. Si ça ne tenait que d'elle, elle voguerait sur divers horizons dans des pays lointains pour aider les plus démunis mais aussi ses pauvres enfants manquant cruellement d'éducation ou de nourriture. Combien d'enfants meurent tout les jours de la famine et de la maladie? Le nombre lui glacerait certainement le sang et il était préférable qu'elle ne le sâche pas pour ne pas s'en rendre malade.«Tout comme je suis persuadée qu'un jour tu rencontreras celle qui pourra t'offrir ce que tu désires. Je suis de celle qui pense que dans ce monde, on a tous nôtre âme sœur. Personne n'est destiné à finir seul. C'est inconcevable, enfin du moins, selon moi.» Elle aussi finirait par trouver un homme qui l'accepterait telle qu'elle était, c'était son rêve le plus cher en tout cas.
Puis vint ce moment ou elle avait pensé à ses colocataires, à ce repas du lendemain. Cela dérangerait peut-être les demoiselles de voir une autre débarquer comme ça pour dîner. Alexander la rassura, l'une n'était pas présente et l'autre rarement, ils seraient certainement seuls. Comme elle le pensait, Alexander était seul et son invitation était de ce fait justifier. il avait besoin de quelqu'un, d'une compagnie auprès de lui pour passer un bon moment et oublier certainement ce qui lui était arrivé plus tôt, à ce séjour en milieu hospitalier. «C'est gentil en tout cas. Merci beaucoup. Je penserais à ramener le dessert. J'ai une recette de crumble à tomber à la renverse. Il faut absolument que tu goûte ça.» Qu'elle dit avec enthousiasme, un large sourire aux lèvres. Elle s'était sentie pousser des aîles, alors qu'elle n'était peut-être pas à la meilleure des places. Alexander, elle avait eu la chance de le connaître à l'hôpital, quand ce dernier était dans le coma, mais lui ne la connaissait pas, il ne savait rien d'elle si ce n'était qu'elle s'occupait de ses soins. Il ne savait pas les lectures qu'elle lui avait faites pendant sa phase de sommeil profond, les fleurs qu'elle lui avait apporté pour embellir sa chambre. Tout cela il l'ignorait et peut-être que de lui dire ne serait pas une bonne idée.. de toute manière elle était la seule à en avoir souvenir. «J'espère que tu aimes le crumble.» qu'elle finit par lui dire en venant boire de nouvelles gorgées de sa boisson, gardant un oeil attentif sur le patient qui se trouvait face à elle.
(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Jeu 30 Jan - 2:01
alexander & ellie
mental health begins with me.
Si Alexander peut se trouver un point en commun avec cette femme alors ils pourront peut-être se revoir en dehors de ses soins. Cette femme, il vient à peine de la rencontrer, mais elle dégage quelque chose de fort, elle dégage quelque chose que peu de femmes dégagent. C’est peut-être sa passion pour aider les gens qui fait en sorte qu’elle soit si unique. Peu importe, il veut vraiment apprendre à la connaître plus. C’est pour cela qu’il lui pose toutes sortes de questions dont elle répond gentiment. Elle est beaucoup trop gentille.
Un sourire aux lèvres, il regarde Ellie et ils échangent sur l’appartement. Ils échangent d’ailleurs sur plusieurs autres sujets interessants. Alexander lui fait même part de cette demande d’adoption qu’il a fait il y a plus d’un an. Cet enfant, il le désire depuis des années et comme il n’est pas capable de se trouver une femme alors il réalisera son rêve par lui-même. Si Sandra Bullock a pu adopter en étant célibataire alors pourquoi Alexander ne serait pas capable? Dans le pire des cas, si c’est refusé, alors il s’informera pour une mère porteuse. Bref, ce n’est pas demain qu’il sera un père de famille. ALEXANDER : « Je l’attends sérieusement cette femme. Il semblerait que ce soit trop demandé parfois de rencontrer une femme qui désire se marier et avoir une petite famille. » Se marier et avoir une petite famille sont, pour lui, les deux choses qui lui tiennent le plus à cœur. ALEXANDER : « Je vais y croire. » Dit-il en souriant.
Ses colocataires ne diront rien, il a le droit d’inviter qui il veut chez lui. L’important est que tout le monde se respecte. Ils se sont faits des règlements en habitant tous ensemble et jusqu’à présent tout le monde les respectent. Ils ont une belle amitié et Alexander espère que tout cela continuera à bien se passer.
Alexander ne sera pas contre le fait qu’elle apporte le dessert. Elle vante son dessert alors celui-ci est mieux d’être exceptionnel sinon Alexander ne pourra plus la croire lorsqu’elle dira quelque chose. Il lui sourit toujours et prend une gorgée de son jus. ALEXANDER : « Je ne suis pas très difficile, j’aime tout. J’ai bien hâte de goûter à ton crumble. » Ça ne peut pas être mauvais puisque c’est toujours bon. ALEXANDER : « Sinon, tu as des frères et des sœurs? »
AVENGEDINCHAINS
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(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Jeu 30 Jan - 10:06
alexander & ellie
mental health begins with me.
Quand certaines femmes rêvent d'aventures, Ellie, elle rêve de romance. La romance des temps modernes, celle ou un homme serait capable, sans honte, de la mettre sur un piédestal, de respecter ses choix, ses goûts et ses envies. Elle vivait avec son temps Ellie, et elle se doutait bien qu'une fille comme elle ne faisait pas l'unanimité auprès de la gente masculine. Elle est de celles qui rougissent quand un homme s'approche un peu trop près. C'est une romantique dans l'âme et son corps est resté tout aussi pur que ne l'est son cœur, vierge de sentiments. Tout deux semblaient partager un rêve commun: Celui de fonder un jour une famille, sauf que, contrairement à elle, Alexander semblait avoir prit les devants et lui avait fait part d'une de ses demandes d'adoption. Il voulait être père de famille et ce malgré son célibat, quel courage. Elever un enfant n'est pas chose facile, il ne faut rien négliger, ni les besoins de ce dernier ni son éducation. Il faut être présent au maximum pour ce petit être qui ne demande qu'à être choyé et aimé, mais elle est persuadée, au vu de la grandeur d'âme d'Alexander, que ce dernier finirait par voir ses rêves se réaliser un jour.«Adorable et mignon comme tu es, tu finiras bien par trouver. J'en suis convaincue..» Tout comme elle, il est de ceux que le monde préfère, la plupart du temps, ignorer. Ils sont discrets, ils aiment la vie et ne cherchent qu'à en profiter auprès de gens qu'ils aiment. Fonder une famille est un objectif de vie, quand certains, eux, préfère justement ne pas se prendre la tête et vivre au jour le jour. Chacun ses choix, chacun ses envies. «Mais tu sais.. Je peux en dire tout autant des hommes si je t'écoutes, sauf que je ne le ferais pas parce que je suis tout aussi persuadée que les hommes ne sont pas tous les mêmes et qu'il existe encore de ceux qui rêve de fonder une famille.. La preuve.» Elle l'observait, un sourire aux lèvres en le désignant intentionnellement.
Elle n'était pas le genre de femme à classer le beau monde dans un même et unique panier, pour elle, tout le monde a le droit à sa chance dans ce monde, et le monde était fait d'êtres divers et variés, l'important était de tomber sur la bonne personne, sur celle qui partagerait nos points de vues sous peine d'être blessé tôt ou tard. C'est peut-être pour cela qu'elle ne s'était pas offerte à quiconque, outre la religion, elle n'avait tout simplement pas encore trouver chaussure à son pied, un peu comme dans Cendrillon. Rapidement, le sujet du futur dîner qu'ils partageraient tout les deux fût posé. Il était hors de question pour elle de s'imposer au sein de l'appartement alors que les deux colocataires du jeune homme ne souhaiteraient pas de sa présence auprès d'elles. Alexander la rassura à ce niveau la, la première colocataire était présentement absente, quand à la deuxième, il était rarissime qu'il tombait dessus alors il est fort à parier qu'ils seraient seuls tout les deux. C'était une bonne nouvelle, elle n'était pas spécialement à l'aise quand il y avait foule. Joyeuse, elle s'empressait de lui dire qu'elle apporterait le dessert, après tout, elle lui doit bien cela. Elle avait bien une délicieuse recette de crumble aux pommes dans son vieux livre de recettes transmis par sa mère qui aurait certainement du succès auprès du jeune homme. Elle était une fervente adepte de crumble, et l'avait cuisiner à maintes reprises, la recette inratable de ce fait.
Le jeune homme lui montra un certain intérêt à son sujet. Il voulait connaître la femme avant l'infirmière, celle qu'elle était en dehors de sa profession et elle trouvait cela tellement adorable, le fait de ne pas être que de passage dans sa vie, qu'il s'intéresse sur son compte et qu'il ne soit pas la juste pour qu'elle lui fasse ses soins. Les doigts autour du verre, elle scrutait attentivement son regard. Parler de sa famille était un sujet sensible. Elle les aimaient, démesurément, ses deux tendres parents et son frère aîné. Rien n'était plus précieux dans sa vie que sa famille.«J'ai un frère aîné. Je suis la petite dernière, la cadette.» vint-elle lui avouer dans un premier temps avant de sourire quelque peu tristement en repensant à ce dernier. «Je suis née et j'ai grandi à Helena, dans le Montana, je sais pas si tu connais.. Mon frère est resté la bas pour veiller sur mes parents.. Ils me manquent terriblement.» Elle se livrait à Alexander comme ci elle le connaissait depuis toujours. C'était une de ses plus grandes qualités mais aussi un gros défaut, car elle avait tendance à un peu trop se livrer aveuglement aux gens sans savoir si ils étaient saints d'esprit ou l'inverse. «Et toi? Tu as de la famille? Des frères et sœurs?» demanda t-elle à son tour en buvant à nouveau quelques gorgées de son jus de fruit. Parler à Alexander lui faisait un bien fou, cela ne changeait pas de d'habitude, elle aimait s'entretenir avec ses patients, connaître leur vie, leurs vécus pour pouvoir agir en conséquence, et elle était fort heureuse cette fois d'en apprendre plus sur l'homme sur lequel elle avait veillé quand ce dernier était dans le coma.
(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Ven 31 Jan - 2:08
alexander & ellie
mental health begins with me.
Alexander ne sait pas s’il trouvera la femme de sa vie, la femme qui voudra de lui comme mari et comme le père de ses enfants. Il a beaucoup à donner si on lui en laisse la chance. Il n’est pas parfait, mais il a des tonnes de qualités et sait qu’une femme pourrait être heureuse et bien avec lui. Il aime qu’Ellie soit positive avec lui, qu’elle soit confiante à son égard. C’est avec un sourire qu’il la regarde dans les yeux. Il est vrai aussi que les hommes ne veulent pas s’engager et avoir des enfants, la preuve mon jeune frère est loin d’être celui qui veut s’engager avec une femme. ALEXANDER : « Si jamais tu connais une femme qui désire la même chose que moi, tu pourras me la présenter, peu importe son âge. » Alexander aura 32 ans cette année alors il est normal qu’il veuille commencer un nouveau chapitre dans sa vie et même qu’à son âge il devrait déjà avoir des enfants... du moins c’est souvent ce qu’on a pu lui dire. À toutes les fois, il répond la même chose, soit qu’il n’a jamais rencontré une femme assez sérieuse pour s’engager avec lui alors qu’il serait prêt à travailler fort pour faire vivre sa petite famille.
Alexander s’intéresse à cette femme qui lui offre des soins. Il veut la connaître un peu plus s’ils doivent se revoir quelques fois encore. C’est toujours plaisant de connaître un peu plus les gens qui nous entourent sans pour autant rentrer trop dans les détails. C’est donc sans plus tarder qui lui demande si elle a des frères et des soeurs. Elle a un grand frère, ce qui est bien puisqu’être enfant unique ça ne doit pas être amusant... du moins d’après Alex. ALEXANDER : « Le Montana? Tu es sérieuse? Après les études de police j’ai travaillé là-bas pendant des années. C’est tellement le plus bel état. Ton frère s’appelle comment? Peut-être que je le connais. » Dit-il tout sourire. ALEXANDER : « Qu’est-ce qui t’a poussée à venir t’installer ici, à quitter ta famille? »
Alexander aimerait bien que les choses soient faciles avec sa famille mais ce n’est pas toujours évident. Plus la famille est grande plus il y a des conflits, surtout lorsque les enfants ont tous des caractères différents. ALEXANDER : « J’ai deux frères et une sœur. Je suis le deuxième. Disons que ma relation avec mon jeune frère n’a jamais été facile tellement que nous sommes différents tous les deux. Nous ne nous sommes jamais entendus et je ne pense pas que ce soit le cas un jour. Nous sommes toujours en train de se disputer et se lancer des bêtises... Il ne m’appelle jamais et si j’ai des nouvelles de lui c’est parce que c’est mes parents qui m’en donnent. Sinon, je m’entends mieux avec mon grand frère et ma jeune sœur... mais je ne peux pas dire que nous sommes proches. Je les aime, mais nous ne sortirons jamais tous ensemble. »
AVENGEDINCHAINS
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(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Ven 31 Jan - 7:56
alexander & ellie
mental health begins with me.
Si jamais tu connais une femme qui désire la même chose que moi, tu pourras me la présenter, peu importe son âge. Ses mots la fit rire doucement. Ça ne serait, malheureusement, pas possible. Ses seules véritables amies féminines sont au Montana, et la plupart d'entre elles ont déjà la chance d'être, soit en couple, soit, pour certaines presque mariées et sur le point d'avoir un enfant. Pour ce qui est des amies à Miami, on ne peut pas dire qu'elle en a énormément et jouer les entremetteuses ne lui ressemble pas, elle qui a déjà bien du mal à trouver chaussure à son pied, maladroite et réservée comme elle l'est, alors jouer les "marraines bonnes fées" auprès d'amies autant dire que ce serait une véritable catastrophe.«Cela risque d'être légèrement compliqué.» qu'elle avait dit avant de parler d'elle.
Il voulait apprendre à la connaître, savoir qui elle était réellement derrière le masque de l'infirmière. A vrai dire, elle n'en portait aucun des masques. Elle était Ellie dans n'importe qu'elle situation. Sincère, franche, vraie. Elle portait un amour démesuré pour les membres de sa famille. Simple, à ses yeux et ensemble, ils représentaient le plus beau des trésors. Elle se confia à lui, lui avoua venir de la jolie Helena, dans le Montana et il fût surprit de l'apprendre, car lui même y avait déjà posé pieds et même travaillé par le passé. Entendre quelqu'un parler de l'état d'ou elle venait de cette façon lui réchauffa le cœur. Pour elle, ça ne fait aucun doute, si elle le pouvait, elle retournerait la bas histoire d'y fonder sa famille et d'y bâtir son avenir, mais quelque chose la retenait ici, à Miami.«Oh. Je doute que tu le connaisses. Il s'appelle Isaiah. Isaiah Myers. Et puis, si tu le connaîtrais, tu m'auras certainement, moi aussi, connue par le passé. Simple, on étaient toujours collés l'un à l'autre lui et moi comme deux inséparables..» Il passait le plus clair de son temps à veiller sur elle, à la protéger, à s'assurer qu'il ne lui arrive rien. Complices tout les deux, il veillait au grain de peur que quelqu'un dérobe la pureté rare de sa petite sœur. Elle était beaucoup trop douce, beaucoup trop pure pour ce monde de brutes, et Isaiah refusait qu'il lui arrive malheur. Elle était, tous ce qu'il avait de plus cher dans ce monde.
Une nouvelle question lui parvint à nouveau par la suite. Il voulait comprendre le comment du pourquoi elle avait fait le déplacement, pourquoi elle était venue ici alors qu'elle semblait avoir tout à Helena. C'est une histoire bien triste, mais ce n'était pas non plus un secret. Elle s'assumait autant qu'elle assumait sa maladie, et ce encore plus que sa virginité.«Je n'ais pas eu le choix.. On m'a, en partie, obligé à venir ici.» Et c'était bel et bien le cas, elle ne lui mentait pas la dessus. Le médecin qui s'occupait d'elle depuis des années avait jugé nécessaire qu'elle rencontre un confrère sien situé à Miami pour l'aider à guérir, ou du moins apaiser ses troubles du sommeil. Elle avait sauté sur l'occasion, désireuse de canaliser cet handicap qui mettait sa vie et son quotidien, régulièrement en danger. «En fait, je suis narcoleptique.. Depuis que je suis toute petite.C'est ironique n'est-ce pas? Une infirmière qui tombe malade, qui n'arrive pas à se soigner.» En temps normal, ses anges en blouse blanche étaient capables de bien des miracles sur les autres, mais elle n'avait pas réussi à en faire un sur son propre corps, sur sa propre personne.«Le médecin qui me suit depuis des années m'a dirigé jusqu'à l'un de ses confrères, ici, à Miami. Alors, me voilà..» Ce n'était pas une triste histoire, elle n'était pas triste Ellie, elle avait apprit à vivre avec la narcolepsie depuis toujours. Son seul regret était d'avoir était contrainte à quitter sa famille.
Elle se concentra par la suite sur lui, sur sa vie de famille, son entourage. C'est important de le savoir pour une infirmière au cas ou. Il suffisait qu'un jour Alexander ne soit pas en état et qu'il faut prévenir la famille pour qu'elle sache de ce fait à qui s'adresser. Alexander avait deux frères et une soeur, une famille bien plus nombreuse que la sienne. Leurs relations ensemble semblaient, quelque peu chaotiques et elle fût désolé de l'apprendre. Une famille ont en a qu'une seule, si ensemble, nous ne sommes pas soudés, alors que nous restent-ils? sans sa famille, Ellie ne serait certainement pas Ellie. Pas un jour ne passait sans qu'elle ne remerciait pas le ciel d'avoir une famille aussi tendre et bienveillante avec elle, et elle espérait qu'un jour, les choses s'arrangeraient pour Alexander. «Il y a des conflits dans toutes les familles.. C'est inévitable, mais la famille, au final, c'est ce que l'ont a de plus précieux non? tu dis que vous n'êtes pas proche tes frères, ta sœur et toi, mais je suis sûre qu'ils t'aiment tous autant que tu les aimes. parfois, il n'est pas nécessaire de montrer un surplus d'affection pour le ressentir, certains préfèrent garder leurs sentiments et leur amour à l'intérieur. Peut-être que tu devrais prendre l'initiative d'aller les voir, de te rapprocher d'eux, je pari qu'ils ne te repousseraient pas.» qu'elle s'était permise de lui dire, de le conseiller. Les conseils sont toujours bons à prendre, à suivre, libre à chacun d'en faire ce qu'ils souhaitent. Alexander était en droit de ne pas voir ses frères et sœur, il était en droit de s'isoler surtout après ce qu'il avait vécu mais Ellie ne le laisserait pas longtemps dans sa solitude. Elle avait besoin de savoir qu'il se portait bien. Elle finissait son verre de jus de fruit, jeta un bref regard à sa montre. «oh, mince. je ne vais pas tarder à filer j'ai d'autres patients qui m'attendent.» venait-elle dire en venant attraper son verre pour le déposer dans l'évier de la cuisine.«tu as encore besoin de quelque chose avant que je pars? n'hésite pas, je suis la pour ça.» elle voulait, une fois de plus se montrer douce et serviable, comme à ses habitudes, partir en laissant Alexander seul ne l'enchantait pas, mais elle avait au moins eu le temps de le passer en sa compagnie et d'en apprendre d'avantage sur lui, tout comme il en avait apprit d'avantage sur elle, et puis il y avait ce dîner qui les attendaient tout les deux au lendemain, alors, elle ne le laisserait pas seul longtemps.
(#)Sujet: Re: mental health begins with me. | Ven 31 Jan - 23:25
alexander & ellie
mental health begins with me.
Alexander a envie de rencontrer une femme, c’est pour cette raison qu’il demande à Ellie si elle connaître une femme qui désire la même chose de penser à lui. Aussi bien mettre toutes les chances de son côté s’il veut de l’amour. Malheureusement pour lui, Ellie n’a personne à lui présenter. Il aura au moins essayé! Il la regarde en souriant. ALEXANDER : « J’aurai essayé. » Dit-il pour ne pas qu’elle se sente mal d’avoir eu une réponse plutôt négative. Il est grand, il trouvera par lui-même et comme on dit nous sommes mieux servi par soi-même.
Apprendre à connaître les gens qui nous entourent est quelque chose qui tient à cœur à Alexander. Il veut connaître un peu plus cette femme et qui sait, peut-être deviendront-ils des amis dans un avenir proche. Alexander n’a pas beaucoup d’amis alors avoir une autre amie est quelque chose qui lui tente sincèrement. En plus, elle vient du Montana, là où il a travaillé pendant des années avant de revenir à Miami. Le monde est petit alors peut-être qu’il connaît le frère d’Ellie. ALEXANDER : « Non, effectivement, je ne connais pas d’Isaiah. » Un prénom étrange aux yeux d’Alexander qui n’a jamais entendu ça. Ça sonne arabe, serait-elle arable sans que ça paraisse? Peu importe!
Elle n’est pas venue à Miami par choix. Espérons qu’elle ne regrette pas d’être venue ici. Il n’y a rien de plus triste que d’être malheureux dans une ville que nous n’aimons pas. Alexander la regarde sérieusement. ALEXANDER : « Est-ce que tu regrettes d’être ici? Je veux dire, es-tu heureuse à Miami? » Elle s’occupe de tout le monde, mais est-ce qu’on lui a déjà demandé si elle est heureuse? C’est une question que nous devrions poser aux gens parfois. Alexander lui pose donc cette question qui peut parfois être compliquée à répondre.
Alexander ignore ce que ça veut dire d’être narcoleptique, mais ça semble être grave, du moins à ses oreilles ça sonne comme quelque chose de grave. Peut-être devrait-il s’instruire un peu plus pour ne pas passer pour un homme faussement intelligent. ALEXANDER : « Est-ce que c’est grave comme maladie? Je ne connais pas ça et la façon dont tu en parles ça l’air plutôt grave. » C’est inquiétant une telle chose. Elle s’occupe des gens malades alors qu’elle est elle-même malade. Est-ce que quelqu’un prend soin d’elle?!
La famille est ce qu’il y a parfois de plus compliqué. Il s’entend avec Emily et Elijah mais ils ne sont pas proches au point de sortir tous ensemble un vendredi soir. Sa relation avec Justin n’a jamais été simple tellement qu’ils sont différents sur toute la ligne. Peut-être que Justin m’aime mais il ne me le montre pas. Il m’appelle rarement, voire jamais. ALEXANDER : « Il paraît qu’il n’est jamais venu à l’hôpital. » Il aurait pu crever que Justin ne serait sans doute même pas venu à ses funérailles... du moins pas d’après ce que pense Alexander.
Un peu plus tard, vient le temps pour Ellie de devoir quitter l’appartement. Alexander la laisse donc partir puisqu’elle a encore du travail à faire. Il lui souhaite une bonne fin de journée et la regarde petit pour finalement refermer la porte.