“where is my daughter” &C’était la folie depuis quelques temps et cela prenait des proportions énormes. Voilà pourquoi l’école d’Amy appela Alysse afin de prévenir de la fermeture de l’établissement jusqu’à nouvel ordre. Elle était ravie, dans un sens. Elle passerait ainsi plus de temps avec sa fille. Elle se lève tôt ce matin-là. Son avion arrivait plus tard dans la matinée et elle comptait préparer une surprise pour sa fille. Elle lui avait acheté une nouvelle tenue de danseuse dans sa couleur favorite, le vert. Et elle lui prépara des cookies qu’elle aimait tant. Une fois la maison totalement nettoyée, elle passa un peu de temps dans son bain moussant. Malgré tout, elle n’aurait plus beaucoup de temps pour elle dans les semaines à venir. Elle profita donc de l’eau chaude, des sels de bain et des quelques bougies qu’elle avaient mise ça et là dans sa salle de bain. Elle aimait sa maison. Lorsqu’elle l’avait acheté, c’était une ruine. Elle l’avait rénovée et avait mit beaucoup d’investissement et de cœur à l’ouvrage. Elle s’y sentait bien. Apaisée. Sans tension.
Lorsque la fin de la matinée arriva, elle se prépara en enfilant un jean et un petit pull et prit sa voiture pour rejoindre l’aéroport. Elle passa un moment avant de trouver une place pour se garer. Il y avait toujours un monde fou ici. Elle n’aimait pas les foules. Les gens étaient toujours si pressée. Elle se pressa donc également pour aller à l’endroit prévu pour accueillir sa fille. Son avion allait atterrir. Il y avait des gens avec des pancartes. Des jeunes. Des moins jeunes. Debout parmi la foule, Alysse se tenait droite. Elle croisa les bras après avoir remit sur son épaule la bandoulière de son sac. Les premiers passagers arrivèrent. Alysse sourit alors en tapotant son bras avec ses doigts d’impatience. Mais elle avait un mauvais pressentiment. Plus le temps passait et plus je m’inquiétait. Elle n’arrivait pas. Elle était toujours l’une des premières d’habitude. Tic tac. Tic tac… elle inspira alors et… plus personne.
Son visage se transforma. Peut-être ne l’avait elle pas vu… elle regarda autour d’elle. Son cœur se mit à battre plus vite alors qu’elle avança vers la personne qui fermait la porte :
« excusez moi… ma fille n’est pas sortie de l’avion ? Une petite demoiselle blonde avec des cheveux raides... » elle passa sa main nerveusement dans ses cheveux. L’hôtesse secoua négativement la tête. Alysse se tourna alors, son visage n’affichant plus que de l’inquiétude. Elle prit son téléphone et composa le numéro de sa fille… mais aucun signal. Comme si son téléphone avait été détruit. Elle sentit une nausée l’envahir :
« Amy?!Amylia ??!! » commença elle a s’exclama en cherchant partout. Elle se mit alors à courire. Paniquant alors. Hurlant le nom de sa fille. Elle tenta de demander de l’aide des passant… mais les humains étaient si égoïste. On la regardait comme une folle.
Quand subitement un personnel des forces de l’ordre arriva à elle et elle s’appuya a lui… cette fois-ci elle était en pleur :
« s’il vous plait. Ma fille a disparu !! Elle n’est pas sortie de l’avion ou je ne l’ai pas vu. Je…. je ne l’a trouve pas et son téléphone est hors service » on la rassura et on l’emmena dans un bureau. On se renseigna pour savoir si sa fille avait bien prit l’avion… mais la petite était introuvable. Alysse contacta son père en pleur… il ne savait pas où elle se trouvait non plus. Amylia avait… disparu. La police arriva après une heure sans aucune nouvelle de la petite de onze ans et demi. La blonde fit une déposition et déposa un avis de recherche avant de rentrer chez elle… complètement déboussolée. Elle entra dans la chambre de sa fille en attendant devant son téléphone qu’on l’appelle pour dire qu’on avait retrouvé sa fille… mais le téléphone ne sonna pas. Et Alysse d’endormis dans le lit d’Amy… la peur au ventre
