| ( #)Sujet: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 12:54 | Astrée Wallace
Prénom(s) Nom Astrée Wallace. Occupation Lieutenant de police. Date et lieu de naissance, nationalité Née le 14 Avril 1990 à New York. Américaine. Situation amoureuse, orientation sexuelle Mère célibataire. Hétérosexuelle. Caractère et autres infos intelligente - sérieuse - jalouse - charismatique - sûre d'elle - bornée - ambitieuse - maniaque - impulsive - courageuse - curieuse - déterminée - dévouée - droite - impliquée - leader - souriante - sportive - sarcastique - indomptable - Casse-cou - complexe. This is the story. Oui. Je me souviens. Des premiers cris qui ont fait trembler mes cordes vocales. De ce son aigu et strident qui a décroché quelques larmes aux yeux de mes parents. Je me souviens oui, de la joie dans leur regard, du bonheur qu'ils ressentaient en serrant contre eux mon petit corps de bébé. Je me souviens de l'amour qu'ils m'ont apportés bébé, de la belle vie aisée que j'ai menée. N'importe quel bambin aurait été heureux. Mes parents étaient scientifiques, tout les deux. Des scientifiques de renom, ceux qui ont obtenus des prix pour leurs recherches, pour leur savoir et en même temps, ils en avaient bien le droit après avoir consacrés leur vie entière à la science. Vous savez ce qu'ont dit "L'argent ne fait pas le bonheur" et même si nous étions dans une situation plutôt "confortable" financièrement parlant, rien ne pouvait remplacer leur présence. Ni les jouets qu'ils m'offraient en masse, ni l'odeur des bons petits plats chauds de "Nonna", ma deuxième mère. La nourrice, la gardienne de mes nuits, celle qui a séché mes larmes, quand maman n'était pas la pour le faire.
Oui je me souviens. Je me rappelle de ce chevalet que j'affectionnais, des notes de piano qui chatouillaient mes tympans. J'aurais pûs être promu à un bel avenir dans une carrière artistique si je l'aurais voulu. Seulement si je l'aurais voulu. Mes réussites personnelles, mes exploits, mes créations, ils n'étaient pas la pour les voir, ils n'étaient pas la pour m'applaudir quand j'en avais besoin. Tout ce que je désirais c'était les voir sourire à nouveau, qu'ils montrent qu'ils soient fiers de moi mais ils n'avaient pas le temps. Ils n'ont jamais véritablement eut le temps de s'occuper de moi. Ils vivaient science, dormaient science, mangeaient science même qu'à force, la lueur de leurs regards à mon égard avait changée. Ils n'étaient plus mes adorables parents, juste des fantômes errants, des robots jonglant entre la demeure familiale et les laboratoires.
Oui je me souviens. Je me souviens du jour ou tout a basculé, pour eux, pour moi. Le jour ou il est parti, ou il nous a quitté. Et j'aurais pus être triste, et mon coeur l'était mais pas ma tête, ni mes yeux. Pas une seule larme n'a coulé ce jour la. Le grand Monsieur Wallace est mort, sa passion l'a consummé mais pas sauvé. Ma mère à changé elle aussi à partir de ce jour. De l'indifférence elle est passée à la haine et s'était mise à me détester aussi fort que possible, comme ci j'étais la cause de tous ses maux. Je l'étais, indirectement et inconsciemment. Tout ce que je voulais moi à l'époque c'était leur amour, que l'ont puissent tous ensemble avoir une vraie vie de famille, normale, comme bon nombre de personnes. Je m'en foutais des hectares qu'ont possédaient, je m'en foutais de l'argent, c'était eux ma richesse, ceux qui m'ont conçus, ceux sur lesquels je souhaitais me reposer quand j'allais mal, quand je sentais que tout m'échapper. La thèse du suicide a été privilégiée, certainement que la pression de ses employeurs était beaucoup trop forte pour lui, et que psychologiquement il ne l'a pas supporté. Cette même thèse à était appuyé par le témoignage douloureux de ma mère, Madame Wallace. Elle a même confié aux autorités que son tendre époux était sous anti-dépresseurs ses derniers temps.
Plus tard, elle s'est retiré de ses fonctions et j'étais heureuse de l'apprendre, je pensais qu'ensemble, ont auraient pût passer plus de temps, qu'ont se retrouveraient enfin mère et fille, mais encore une fois, un obstacle s'était dressé en travers de nôtre bonheur. Ce ne fut pas la science qui l'emporta cette fois mais l'alcool. Il parait que c'est commun pour ceux qui ont perdus un être cher que de noyer leur chagrin avec l'alcool. Sauf que la, elle n'avait pas que noyé son chagrin. Elle en était devenue dépendante et l'alcool la rendait nerveuse, anxieuse. Sa peau avait prit une teinte cadavérique et ses cernes sous les yeux lui donnait un côté "mort vivant". Elle l'était réellement, morte , de l'intérieur. Sa vie était faite d'hallucinations ou elle voyait son époux lui revenir pour la hanter. Elle se mettait parfois à crier seule en pleine nuit, et il fallait bien la force de deux hommes pour la retenir de comettre l'irréparable. La voir se dégrader de la sortes a certainement était la chose la plus douloureuse de toute mon existence. Je la voyais vieillir sur cette même chaise à bascule, le regard rivé sur la fenêtre à attendre, attendre toujours attendre. Elle disait qu'elle attendait la mort, et que son mari ne tarderait pas à venir la chercher. C'était d'une tristesse d'entendre ça..
Je me suis occupée d'elle autant que je le pouvais jusqu'à ce que moi même je devienne adulte. Plus les années filaient et plus elle devenait folle, elle voyait des choses que je n'arrivais pas à capter et nos dialogues ne ressemblaient à rien. Ce n'était plus ma mère que j'avais en face de moi, mais une pauvre femme malade, abattue par la tristesse et le désarroi. Alors, à contre coeur, j'ai décidé de la faire interner, dans l'espoir qu'elle puisse guérir, dans l'espoir qu'elle puisse me revenir plus forte que jamais. Ce n'était pas la une punition non. Je voulais la sauvée, que de vrais médecins s'occupent d'elle, quand moi même je n'arrivais pas à la maintenir la tête hors de l'eau. Il fallait, pour le bien de tous, qu'elle soit en lieu sûr, quelque part ou elle pourrait guérir au fil des années. Et j'ai réalisé à quel point c'était important d'aider les autres, à quel point j'étais faites pour ça en réalité. Tendre la main à ceux qui en ont besoin, sauver des vies. J'avais ce besoin de me racheter, de pardonner mes fautes, celles de ne pas avoir pût sauver les deux êtres que j'aimais le plus dans ce monde. J'avais besoin de m'offrir au peuple et d'éviter que d'autres enfants subissent ce que j'avais subi durant mon enfance et adolescence. Sauver le monde, sauver des vies et des familles, j'étais faites pour ça. C'est avec cette mentalité même que j'entrais dans les forces de l'ordre en tant que "bleue", "la cadette".
Oui je me souviens. Je me souviens d'avoir fréquenté un homme à New York. Un beau brun au sourire ravageur qui faisait tomber plus d'une. Je suis tombée raide dingue de lui dès l'instant ou mes yeux se sont posés sur les siens et il faut dire que l'attirance était plutôt réciproque pour le coup. Lui et moi ont s'est fréquentés, lui et moi ont s'est aimés, lui et moi ont s'est projetés dans l'avenir jusqu'à ce que je tombe enceinte, un peu prématurément. Il s'est barré, du jour au lendemain en l'apprenant. C'est ce que font la plupart des hommes, ils commettent des erreurs et ont du mal à l'accepter, à l'assumer. Il est parti, et j'ai décidé de garder l'enfant. Un petit garçon prénommé Haydan est né le 6 Février 2013. Les choses ne sont pas faciles avec Haydan, je n'ai pas eu la chance d'avoir un modèle à suivre dans ma vie, mes parents ne sont pas un modèle, mais j'essaye tant bien que mal de m'en occuper et de lui offrir l'amour et l'attention dont il a besoin et ce même si c'est dur parfois. Haydan est un enfant vif d'esprit, intelligent au fort tempérament, il est tout ce que j'ai de plus cher au monde.
Cela fait deux ans que lui et moi avons quittés New york pour nous installer à Miami. Il semble si plaire ici. Je suis restée dans les forces de l'ordre, et depuis, j'ai même pût gravir les échelons. Haydan est un excellent écolier, un peu réservé, un peu renfermé mais je suis persuadée qu'avec le temps il finira bien par s'ouvrir aux autres. Je prend régulièrement des nouvelles de ma mère, elle semble allait bien, du moins, les cachets arrivent à stabiliser son état et les hallucinations sont moins présentes. Haydan n'a pas encore eu la chance de la voir et je ne suis pas prête à l'emmener la bas, ce n'est pas l'endroit ou un petit garçon devrait se trouver. Je refuse qu'il voit sa grand mère dans cet état la.Aujourd'hui, à mes trente ans, je peux dire que je n'ais pas la vie de rêve de bien des gens, mais j'accepte ma situation et j'en tire que le positif à chacune de mes expériences de vie, j'essaye d'avancer, ce n'est pas toujours simple mais je fais avec. Miami est belle et Miami a beaucoup à m'apporter. Je suis impatiente de voir ce que l'avenir me réserve en espérant qu'il soit le plus beau et le plus stable possible pour moi, comme pour Haydan.
About me PSEUDO Shock. AGE 28 ans. PAYS/VILLE France. FREQUENCE DE CONNEXION En temps normal, un peu chaque jour. Durant cette malheureuse période un peu moins. COMMENT ES-TU ARRIVE(E) SUR LE FORUM ? par un top site me semble t-il. ES-TU UN SCENARIO ? Non. AS-TU ENVOYE TES DEUX SECRETS A NIGHTMARE ? c'est fait UN PETIT MOT ? Vous commencez à me connaître maintenant je crois. Et j'espère que ma petite Astrée pourra bien s'intégrer avec vous comme Pais' et Ellie ont sût le faire jusqu'à maintenant. CHOIX DE GROUPE Valet de carreaux. CREDITS AVATARS Balaclava. |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 14:47 | |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 14:54 | - Alexander T. Roberts a écrit:
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 17:41 | Oooh la belle Amber |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 18:04 | |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 18:46 | Salut vous |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 18:50 | - Julian Connor a écrit:
Salut vous Salut toi. |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 19:00 | Oh wow |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 19:25 | T'es belle Re bienvenue |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | Jeu 30 Avr - 19:44 | Re |
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| ( #)Sujet: Re: astrée ☼ I am neither enemy nor friend. I am back from a world where such words are meaningless. | | |
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