Tout est marquer dans le titre lol
Je m’explique vite fait, j’ai toujours voulu m’inscrire sur votre beau forum mais j’avais trop peur de pas savoir m’intégrer (mon personnage) je veux dire que faire évoluer son personnage c’est vraiment important.
Et, il m’arrivait fréquemment de regarder les Rps des intéresses comme Alexie que je trouve son personnage magnifique et Paisley t’a plume que dire j’ai envie de me noyer dedans. Et enfin Alexander que je kiffe
Alors, je ne sais pas vraiment si l’un d’entre vous recherche un lien familiaux que ça soit proche ou éloigner
En ce qui concerne le beau Alexander si tu cherches un lien ambigüe ou un truc du style je suis preneuse ou alors un truc complètement différent
Pour vous faire une idée un peu de ce que j’attendais de mon personnage, je vous laisse lire un peu.
c'est une énigme, c’est la meuf qu'on a du mal à bien cerner, celle qu'on ne connaît jamais vraiment, jamais pleinement. c'est un putain de kaleidoscope, l'émotion aussi instable que l'uranium 235. elle oscille entre calme et tempête, entre pétillante et revêche. elle garde les portes de son âme inaccessibles, suffisamment entre-ouvertes mais jamais assez pour permettre de décrypter la complexité de son esprit. la vérité c'est qu’elle s'épanche peu, sur elle, ce qu'elle est, ce qu'elle était et ce qu'elle ressent. elle a un franc parlé qui détonne avec son enveloppe frêle, une putain de grande gueule qui ne maîtrise pas toujours bien l'art du tact, mais plutôt celui du sarcasme. parce que s'il y a bien une chose qu'elle a appris, c’est de ne jamais, absolument jamais, se laisser apprivoiser au point de se faire marcher sur les pieds. La perle rare qu’on essaie de contrôler. Elle est pas conne.
c'est de l'ambition qui pétille au fond de ses rétines quand elle se raconte qu'elle désire mieux, qu'elle mérite plus. plus que son génome maudit ne lui permet d'avoir. alors elle a bossé, comme elle le pouvait, elle s'est montrée studieuse mais pas assez parce que les gosses, parce que les potes, parce que la vie du dehors. et peut-être qu'elle regrette de pas avoir suffisamment cravaché, de s'être reposée sur ses acquis, de s'être laissée magnétiser par l'édulcoré d'une adolescence paumée. mais le truc c'est que, elle s’apitoie jamais sur son sort. elle tombe et se relève avec acharnement, trop bornée et coriace pour oser songer baisser les bras de cette confiance en elle qu'on lui envie parfois mais qui souvent n'est que feinte. parce que, elle a beau se montrer caractérielle, butée, animée, elle a cette sensibilité cachée qui resurgit dans la solitude nocturne. c'est une fleur délicate, sujette aux complexes sociétaux. c'est une fausse non romantique, qui crache sur l'eau de rose mais qui crèverait pour un peu plus d'attention. Elle a toutes les cartes de la bonne copine : attentionnée, bienveillante, loyale, empathique - peut-être trop parce qu'elle prend les soucis des autres tellement à coeur qu'elle en devient louve. l'instinct de protection de son cercle qui lui fait sortir les crocs, la rend aggressive et qui étouffe parfois autant qu'il fait marrer. c'est qu'on a du mal à la prendre au sérieux jusqu'à ce qu'on goutte à la saveur de ses (petits) poings, à l'acidité de ses mots. elle se donne toute entière quand il n'est pas question de sentiment. la vérité c'est qu'elle a peur, elle est terrifiée à l'idée de s'accrocher et de se faire flinguer le coeur, comme avec son père - lui qui l'a lâchement abandonné, mais qui ne cesse de réapparaître pour chaque fois un peu plus l'écorcher. l'esprit convaincu d'avoir suffisamment de problèmes pour ajouter ceux des émois amoureux, y a son inconscient qui vient faire barrage. alors, elle vient toujours tout faire foirer pour fuir les conséquences irréversibles du sérieux. elle se montre audacieuse, parfois même provocatrice, elle se complaît dans ce role play, jouer avec le feu. Elle reste cette louve incomprise, sans gêne, qui se veut indomptable mais qui se retrouve coincée dans la spirale de son indécision. Devenue débrouillarde et rusée, mais intrépide voir impulsive à flirter avec l'imprudence.
c'est des nuances pastelles et fluo.
c'est des rêves qui pétillent au fond des opales,
la hargne, l'euphorie.
c'est une tempête, un tsunami,
avec ses moments d'accalmie.
douceur candeur.
douleur saveur.
c’est ton cœur,
qui désire avec trop d’ardeur.
d’avoir trop longtemps retenu des désirs étouffés, réprouvés, reniés. l’enfant trop couvé. la petite fille cajolée, dans un cocon trop longtemps enfermée. prier comme seule réalité. papa qui érige le moindre mouvement en un cruel péché. les prêches qui rythment la moindre de tes journées.
et puis, le voile qu’a fini par se lever, sur une autre réalité.
tu t’en souviens, de tous ces préceptes, en unique vérité érigée ?
tu t’en souviens, de tes genoux abimés, d’avoir trop prié ?
tu t'en souviens, de ce que cela faisait de ne pas avoir ce besoin en toi encré ?
et ce sourire sur tes lippes qui reflétait un bonheur que tu pensais réel.
mais était-elle vraiment sincère la belle qui aujourd’hui chancelle ?
la douce enfant, aux yeux de ses parents, devenue cruelle.
aux péchés, ayant cédés, elle a bien grandit, la jeune pucelle.
la dévotion qui guidait ta raison, la religion comme éducation.
la chenille enfermée qui ne rêvait que de devenir papillon.
car à tout réprouver, tu n’as pu que céder à la tentation.
a son sourire, à ses promesses, à ce semblant de passion.
entre ses draps, tout a volé en éclat,
aujourd’hui il ne reste plus rien de ta foi.
elle est si loin, cette croyance qui guidait le moindre de tes pas.
toi, si candide que t’en es presque trop stupide.
quelques mots, et t’as plongé dans le vide.
l’overdose comme une promesse de suicide.
son râle qui t’a poussé à l’aduler.
l’animal qui t’a fait sombrer.
trembler de doux émois, si fragile entre ses bras.
oublier ta foi, si fébrile sous ses doigts.
renier ta foi pour vos ébats.
la tourmente comme douce amante.
lentement, encore un peu, tu déchantes.
flirter avec le danger pour combler ce besoin d’exister.
envoler l’innocence de l’enfance, elle bien loin la fille de pureté.
funeste obsession.
brulante addiction.
incandescente passion.
cruelle fascination.
la jolie poupée ne sait plus dire non.
la jolie poupée ne prononce plus qu'un nom.
son prénom pour ta dévotion.
a crever accablée par la peine,
si douce cette nouvelle rengaine,
ils sont bien loin tous tes amens!
Cela peut être modifiable, ce n’est qu’une ébauche. Cette fille est plein de mystère et faux-semblants.
A bientôt