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(#)Sujet: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Lun 31 Aoû - 11:04
“i want you so hard .” &Depuis ce dernier fameux soir, rien était plus pareil. Enfin, d'extérieur, si. je continuais à faire mon travail, j'étais toujours aussi avenante, rentre dedans avec tout ce qui m'entourait, sexy. Je l'étais peut-être même plus, car j'avais passé une des nuits les plus torrides de ma vie avec cette nana sur qui j'avais crushé au supermarché. Je fermais les yeux et je revoyais son visage torturé par le plaisir sexuel. Le vent me soufflait dessus et c'était son souffle qui prenait sa place dans mon cou. J'avais couché depuis, évidemment, mais je m'étais ennuyé à mourir. J'avais son numéro, j'avais son petit mot laissé, caché dans mon tiroir de chevet au cas où Arlo venait mettre son nez. Mais je n'étais pas allé vers elle. Je ne le voulais pas.
Elle m'attachait bien trop d'importance. Je pensais bien trop à elle pour pouvoir m'y résoudre à l'appeler, à lui proposer un autre rendez-vous. j'avais feins de devoir travailler, ce matin là, partant quelques heures faire du shopping, par tristesse. je me rendais bien compte de ce que j'avais en moi, depuis que mon regard s'était posé sur elle. Seulement, je ne voulais pas l'accepter. Je ne méritais pas ça. Cybèle ne méritait pas ça. Plusieurs fois, j'avais refusé quelque chose de trop... de trop. ça faisait mal à chaque fois, cette fois en particulier, mais ce serait comme ça. Surtout que je ne devais vivre ici que pour un an, c'était le deal. Je cachais ça dans un coin de ma tête, donc, en reprenant la vie normale de Sibbie. Ce soir, je dansais sous couverture, comme plusieurs soirs. J'y étais presque, j'allais faire virer ce mec dans quelques jours et limite, j'étais triste. Je kiffais faire ce job. Je dansais, profitant du plaisir du corps, chauffant les billets. Selon le nouveau propriétaire, je pense que je demanderais à rester ici incognito. Je n'avais pas tant besoin d'argent mais... c'était un boulot que j'appréciais. Beaucoup le dénigre mais, c'est de l'hypocrisie. Qui n'est pas excité devant un numéro de strip tease?
Dans ma lingerie fine, je me déhanche au son de la musique en faisant le vide dans ma tête. J'ai deux trois billets qui dépasse de mon soutien gorge. Mes cheveux blonds sont sauvagement coiffés. Je descends dans la foule pour faire payer des verres. Je passe de clients en clients avant de tomber nez à nez.. avec elle. Son souffle me fouette sexuellement le visage. Je la regarde, la bouche entrouverte de désir. Je la regarde des yeux aux lèvres. Elle est tellement sexy. J'ai envie d'elle, là, à la seconde où je l'ai sentie près de moi. bonsoir mademoiselle. besoin d'un numéro particulier? lui soufflais-je alors, passant le bout de mon doigt le long de sa mâchoire. Je ne me justifierais pas de mon silence envers elle. je ne savais pas si elle était là par hasard ou pas. je fonçais dans le tas, et ça ne pourrait pas mettre la puce à l'oreille car tout le monde le sait : Sibbie est comme ça.
(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Mer 2 Sep - 14:06
“i want you so hard .” Khira & Sibbie J'avais envie de sortir ce soir de me changer les idées. Le boulot était très prenant et depuis ma dernière nuit avec Sibbie j'avais un peu de mal à me concentrer. C'est la première fois qu'un tel trouble survient après une nuit comme celle là. Quand j'y repense ... C'était la plus folle nuit de ma vie, la plus excitante que j'ai vécu jusque là. Je n'avais jamais eu autant envie d'une femme que d'elle. Elle était magnétique et j'étais attirée vers elle comme un aimant. Je me rappelle des moindres détails. De notre premier regard dans cette supérette au dernier ce fameux matin, me laissant sur ma faim en passant par celui qui brûlait de désir quand je la faisais gémir. Cette femme aux courbes à nulle autre pareille, cette promesse qu'on s'est faite de se faire jouir encore et encore toute une nuit ont eu raison de moi. J'avais eu maintes fois l'envie de la revoir, plusieurs fois j'avais pris mon téléphone pour l'appeler ou lui envoyer un message mais je l'avais toujours reposé pensant qu'elle m'avait sûrement déjà oubliée. Une femme pareille ne doit pas se contenter d'une seule personne. Son appétit sexuel, communicatif, devait bien être assouvi par d'autres femmes ou hommes d'ailleurs. Elle ne doit pas s'arrêter à un genre elle non plus. Le sexe, c'est universel, c'est bien connu. Son odeur et sa voix hantent encore mes nuits et je mentirais si je disais que je ne me touchais pas en pensant à elle, certains soirs, allongée dans mon lit. J'imagine ses doigts experts entre mes cuisses me faisant me tordre de plaisir. Je rêve de sa langue titillant tous les points sensibles de mon anatomie. Je gémis, seule, en me remémorant tout ce qu'elle a pu me faire cette nuit-là. Cette histoire tournerait sans doute à l'obsession si je n'avais pas de self control et je n'arrivais pas à m'analyser comme je le fais. Ça m'aidait à garder les pieds sur terre et la tête froide.
Pour le moment, je ne l'avais pas recroisé alors ça allait. Mais ce soir là, dans ce bar, je ne pensais pas tomber sur elle. Je m'étais placée dans la salle de manière à ce qu'elle ne me voit pas. J'assistais bouche bée à ce spectacle d'une sensualité inégalée. Son corps presque nu ondulant sur une musique lascive. Dans mon bas ventre, je sentais déjà une douce chaleur excitante. Elle était tellement belle et sauvage avec sa crinière blonde en pagaille tombant sur ses épaules. Je ne peux décrocher mon regard d'elle. Elle m'hypnotise littéralement. J'ai envie de la toucher, de la prendre au milieu de tous ces inconnus. Je m'en fiche pas mal du reste du monde en cet instant. Je veux assouvir ce désir qu'elle fait naître en moi de nouveau. Maintenant j'ai envie qu'elle me voit, qu'elle me désire encore. J'ai hâte de la retrouver et, comme si mes prières avaient été entendues son show s'arrête. Elle descend de la scène allant à droite, à gauche et quand je sens le bon moment arriver, je me lève et vais à sa rencontre. Elle ne me voit qu'au dernier moment et nos corps se retrouvent presque collés l'un à l'autre. Nos regards démontrent déjà notre envie et je suis rassurée de lui faire toujours de l'effet. Elle me propose de sa voix sensuelle et entêtante une danse privée et je ne peux refuser. Avec grand plaisir Je lui souffle ces trois mots avec un sourire coquin. Elle me demande alors de la suivre et je m'exécute. Pendant qu'elle marche devant moi je reluque ses fesses. Parfaites et attirantes dans cette lingerie ultra sexy. Il ne me vient même pas à l'esprit du pourquoi du comment elle se trouve là, ce soir, à faire des strip dans ce bar. Elle qui est censée être flic. M'enfin, je n'ai pas envie de réfléchir. Je veux juste qu'on reprenne là où on s'était arrêtées l'autre jour. Elle me fait entrer dans une pièce. Une salle privée rien que pour nous deux et a peine a t-elle fermé la porte que je la plaque contre pour l'embrasser passionnément. Mes lèvres sont avides des siennes. Elles les ont tant attendues. Retrouver leur douceur et leur fougue me fait un bien fou. C'était comme si on s'était quittées hier. Je laisse mes mains glisser dans ses cheveux et je les aggripe pour que notre baiser soit plus intense. Mais j'arrête subitement cette étreinte et déjà essoufflée je lui dis : Ne me manque plus aussi longtemps ! Jamais ! avant de reprendre mon assaut sur sa bouche divine. Je descends mes lèvres sur son cou, des épaules sa poitrine encore habillée avec le même empressement. Je voulais qu'elle sache qu'elle m'avait manquée. Je défais son soutien-gorge pour libérer ses seins et les offrir en spectacle à mes yeux gourmands de tant de beauté. Je les caresse de mes deux mains pressant entre mes doigts ses petits boutons de velours roses. Je laisse ma langue jouer un peu avec pour les faire gonfler de désir et les rendre encore plus sensibles à mon toucher. Je détache mes mains qui vont maintenant s'occuper de son string pour qu'elle soit complètement nue. Je n'attends plus un instant pour passer ma tête entre ses cuisses et la lécher comme elle le mérite. Elle est déjà bien mouillée, signe que je lui fais toujours autant d'effet et je m'en délecte. Elle est encore plus savoureuse comme ça. Gémis encore pour moi ! Jouis encore pour moi ! Je lui murmure cela à l'oreille en remontant lentement. Toujours plaquée contre la porte, je relève sa cuisse au niveau de ma hanche et je glisse un puis deux puis trois doigts en elle. Je m'active pour lui donner un maximum de plaisir tout en mordillant son cou et sa lèvre. Il va falloir me punir une nouvelle fois madame l'agent parce qu'envers toi, je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises. J'ajoute ma deuxième main à l'équation qui vient torturer de plaisir son sein droit. J'ai envie qu'elle ne voit plus que moi, qu'elle ne sente plus que moi. Qu'elle me désire moi uniquement et plus personne d'autre en cet instant.
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(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Jeu 3 Sep - 19:11
“i want you so hard .” Khira & Sibbie C'était irréel. Intense, bon, beau, sauvage. J'ai un champ lexical incroyable pour décrire ce lien entre Khira et moi. Je n'avais pas cherché à la retrouver avant parce que j'étais bien trop fière pour ça. Je n'avais pas l'habitude de garder en tête et même sur mon corps les traces de quelqu'un après avoir passé une nuit avec cette personne. Khira m'avait complètement chamboulée. Je m'endormais presque chaque soir après m'avoir fait jouir en pensant à elle. Je repensais à sa voix, à ses yeux, à ses gestes, à ses gémissements. Je la revoyais sous ma douche, sans mon lit, contre mon mur, dans ma serviette de bain. Je me touchais et je jouissais à chaque fois à sa pensée depuis notre première nuit partagée. La retrouver ce soir, dans le bar où j'étais sous couverture, je ne pouvais pas passer à côté.
Elle était là, entre mes jambes, réellement. Elle m'avait soulevée et enfilait quelques doigts en moi, comme je l'avais imaginé ces dernières nuits secrètes. Elle était intense, folle, comme si elle aussi avait espéré cela depuis la dernière fois. je ne réfléchissais pas car j'étais dans le même état d'esprit. Son corps me manquait, c'était comme de reprendre un bon souffle d'oxygène. Je gémissais sans me retenir entre ses soins. han si tu es comme ça oh si je vais te manquer encore comme ça je ne vais pas me gêner fis-je alors entre deux râles rauques, m'accrochant au mur. Elle prends d'assaut mes seins, me mets entièrement nue, me lèche et remonte pour enfiler quelques doigts en moi, langue dans mon cou. Ses murmures dans mon oreille sont bien trop excitants. Je gémis de plus en plus fort sous tout ce qu'elle ose me faire et je finis par jouir comme demandé. J'attendais cela depuis trop longtemps pour ne pas savoir me contrôler. Elle m'attrape le sein droit après m'avoir dit qu'il faudrait la punir pour n'avoir pour moi que de mauvaises attentions. la punition va être aussi mauvaise, prépare toi à jouir. fis-je alors toujours la voix rauque en appuyant sur un bouton pas loin. Les lumières s'éteignèrent, laissant de rare vaisseaux de lumières de temps en temps très court qui lui indiquait où je pouvais être et ce que je pouvais lui faire. je la faisais reculer contre la banquette de la salle dans le noir et quand ça s'allumait, j'avançais à quatre pattes face à elle. Elle me voyait ainsi par coupures m'avancer, retirer ses vêtements avec l'aide de mes dents, son pantalon, son haut. Je déposais ma langue en bas de son ventre et je remontais, la léchant jusqu'au téton droit dont je me délectais d'abord, titillant l'autre de ma main son autre téton. Avec la cuisse, je remontais faire un check up de son humidité et je fus ravie de sentir la chaleur sous sa lingerie. Je lui souris, attendant une lumière pour qu'elle le voit et je descendais avec la langue, en la regardant, vers son bas. Je caressais l'humidité à travers le linge d'abord avant de le retirer doucement avec les dents, laissant la lumière faire le travail. Puis, doucement, je frôlais ses cuisses de mes doigts, en la regardant dans les yeux, les cheveux en bataille, je la sentais frémir. ne bouge pas. lui ordonnais-je alors. je lui donnais une fessée sur le coup. je levais ensuite mon doigt à mes lèvres comme pour lui faire "chut" puis j'insérais ce même doigt dans ma bouche pour l'humidifier et je l'insérais en elle, en la regardant. Petit à petit, d'avant en arrière j'ajoutais un deuxième. Puis un troisième. Je la regardais se tordre. mmmh toi je retiens de devoir t'attacher. lui fis-je alors avant de foncer droit sur son bouton de plaisir pour, en plus de mes doigts, passer la langue le long de cette intimité. Son goût m'avait manqué. Même moi, je gémissais en la retrouvant. tu es tellement bonne Khira. Je veux que tu souffres. fis-je en allant de plus belle, trouvant ses points faibles en l'écoutant gémir et jouir et je ne m'arrêtais plus, ne la laissant plus respirer tellement je voulais qu'elle comprenne.
(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Lun 7 Sep - 14:39
“i want you so hard .” Khira & Sibbie Sibbie m'avait manqué, beaucoup, trop. Assez pour me faire perdre la tête dès que je la vis dans ce bar. Il fallait qu'elle me voit et quand ce fut chose faite elle m'emmena dans une salle à part où je ne mis que quelques secondes pour lui sauter et lui faire comprendre à quel point son corps m'avait manqué. Je la fis gémir et jouir comme elle aimait. C'était bon de retrouver ces sensations. Elle était divine et je prenais un pied fou à lui faire tout ça. Elle le méritait bien. Chaque cellule de mon être la désirait et j'avais à coeur de lui prouver. Cela devait être même réciproque car après sa jouissance elle s'occupa de moi. J'étais mouillée comme une dingue dans mon shorty. J'avais envie qu'elle me fasse venir aussi comme elle le fait si bien. J'ai l'impression qu'elle connait mes désirs par cœur et c'est tellement bon. C'est horrible comme c'est bon. C'est flippant de trouver une telle personne. On n'a pas besoin de se voir pour savoir ce qu'on veut.
Elle me pousse maintenant sur le canapé derrière nous et actionne une lumière bien spéciale qui actionne des faisceaux un peu partout. Je ne la vois plus je la distingue par intermittence quand un rayon de lumière passe sur elle. Je peux l'apercevoir à quatre pattes avancer de manière féline jusqu'à mon entrejambe que j'écarte bien pour la laisser venir. Elle me déshabille de manière sexy avec ses dents et dès que je sens sa bouche sur ma peau je frissonne je tressaille j'en veux toujours plus. Je la veux bien trop fort. J'ai envie d'elle tout le temps et là c'est encore plus intense. Ce jeu de lumière rend les choses encore plus excitantes. Je vais perdre la tête mais j'aime ça et encore plus quand elle vient me caresser entre mes cuisses. C'est femme est une déesse du sexe et j'aime être à sa merci. Je mouille comme jamais quand elle introduit des doigts en moi les uns après les autres. Elle s'active en moi et je gémis encore plus fort. Sa langue s'ajoute à l'équation et je me cambre je me tortille de plaisir. Sibbie ... Oui ... Encore ... J'ai pas envie qu'elle s'arrête et comme si elle lisait dans mes pensées elle me dit que je vais souffrir. Souffrir de plaisir et de désir. Je me mords la lèvre pour ne pas crier. Tu m'excites bien trop fort ... Je lui souffle avant de jouir. Tout mon corps se crispe sous l'effet de l'orgasme et alors que je pense qu'elle va me laisser respirer elle continue ses assauts divins sur ma féminité sur tous les points sensibles. Elle les active tantôt en même temps, tantôt l'un après l'autre. Je n'en peux plus. Un autre orgasme me terrasse peu de temps après le premier. Encore ... Fais moi souffrir autant que tu veux tu es trop bonne je ne veux plus qu'on se quitte. Je veux pouvoir te faire jouir quand j'en ai envie, au petit matin comme en plein milieu de la nuit. Nous étions toutes les deux dans cet état qu'on appelle la passion. Avoir envie l'une de l'autre trop souvent, trop partout. Je remonte son visage jusqu'au mien et je l'embrasse passionnément. Je l'attire sur mon corps pour que sa peau me caresse, que ses seins se frottent contre les miens cette vue est plus qu'érotique. J'écarte de nouveau les cuisses pour qu'elle vienne se mettre en ciseaux sur moi. Je fais bouger mon bassin et nos deux sexes se frottent l'un contre l'autre. Elle s'active aussi de son côté et nos clitoris sont stimulés comme jamais. Je ne peux m'empêcher de la regarder. Ses lèvres sont tellement belles quand elle gémit. J'attrape son cou et je l'embrasse encore laissant ma langue jouer avec la sienne. Oh God ... Hannnn ... Sibbie ... Elle accélère ses mouvements et les frottements se font plus intenses. Je ne peux plus me retenir et je crie encore et encore jusqu'au moment où je jouis pour la troisième fois en même pas une heure. Je la regarde droit dans les yeux en prenant son visage entre mes mains. Je te veux comme ça tous les jours ... Je veux que tu m'aimes comme ça, que tu me tortures. Je ne peux plus me passer de toi, tu entends ça ?! Tu m'obsèdes ! C'est pas humain ce que tu me fais. Je lui avoue tout ça après avoir repris quelque peu mon souffle. Il fallait qu'elle comprenne encore plus ce qu'elle provoquait en moi.
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(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Dim 27 Sep - 19:36
“i want you so hard .” Khira & Sibbie Encore une fois, notre rencontre était enflammée. C'était torride, passionnel, incroyable. J'en perdais la tête. Je posais mes mains sur tout son corps, je déposais mes lèvres partout. Je laissais ma trace partout comme si je voulais qu'elle y reste, que personne n'y touche d'autre. C'était quoi, ça, Sibbie? Je ne m'en rendais pas compte tout de suite, mais j'agissais dans tout l'inverse de ce que je cherchais en temps normal.
Sur le coup, je la faisais jouir et c'était tout ce qui m'importait. Je la prenais comme une folle, je l'entendais me dire, me supplier de continuer et je le faisais. Nue à nue, je l'emmenais avec moi dans une tout autre dimension. Nos corps se frottaient, nos corps s'unissaient de manière encore une fois bien trop parfaite. Une troisième fois, je la fais jouir. Je la regarde et putin que j'aime ça. Je jouis presque à l'entendre et à la sentir jouir. Je lâche des sons presque aussi intenses que les siens. Elle est tellement, tellement belle quand elle jouis. J'adore voir se corps se plier sous les gémissements, perdre le contrôle. Je suis ailleurs avec elle, sur une toute autre planète. Mais, il fallait atterrir. Elle finissait par prendre mon visage entre ses mains, après cette fameuse troisième fois et à me dire des mots qui me ramenaient directement à la réalité. Je la regardais alors un moment sans rien dire, me rendant compte alors de tout. L'effet qu'elle me faisait, mon envie d'être la "seule" pour elle, de ne pas aimer voir d'autres nanas, d'autres mecs la regarder, vouloir être la meilleure au pieu pour elle, la faire jouir comme ça comme une dingue. Je revoyais notre nuit chez moi, ma feinte pour ne pas passer la matinée avec elle, les réflexions de mon cousin. Et ce qu'elle venait de dire, tout concordait. Tout concordait vers un chemin que je n'aimais pas.
Je prenais ses poignets que je plaquais contre le mur derrière elle. Je venais à quelques millimètres de ses lèvres, la regardant tantôt dans les yeux tantôt sur les lèvres. oh non, khira. crois-moi, au delà de ça, tu ne veux pas de moi. lui fis-je alors. Personne ne peut être "accro" à moi, pas dans tous les sens de ma personne. Juste le cul, ok. Je suis là, avec toi, et tu apprécies ma compagnie parce que le sexe entre nous c'est unique, ça s'arrête là. Crois-moi, chérie, tu n'aimerais pas creuser plus loin en moi. lui fis-je alors que je sentais son souffle sur mon visage, ce souffle, rien que ce souffle que j'aimais tant. C'était une torture de dire tout ça. Une torture de me rendre compte aussi, de l'effet qu'elle me faisait. que ce soit bien clair, tu m'obsèdes aussi. mais je sais qu'en dehors de ça, ce serait un fiasco total. ajoutais-je. je voulais tout de même pas qu'elle pense que tout ce que j'ai pu dire jusque là était faux. Au contraire, je voulais juste qu'elle sache la vérité : personne ne pouvait vraiment essayer de m'aimer. je préfère te donner les "règles" maintenant. A toi de choisir si tu t'y fais, ou si je m'en vais. lui ajoutais-je alors, cette fois les yeux bleu bien ancrés dans les siens, histoire qu'elle sente la sincérité de mes propos. J'espérais vraiment que la première option serait celle qu'elle choisirait.
(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Sam 3 Oct - 0:20
“i want you so hard .” Khira & Sibbie C'est fou encore ce moment avec Sibbie. Je crois que je ne vivrais plus jamais de ma vie une telle expérience avec une femme. C'est trop fabuleux, trop excitant et tout ça juste parce que c'est elle. J'ai connu d'autres femmes mais elles ne lui arrivent pas à la cheville. Elles sont très loin de ce qu'elle peut me faire ressentir. Je suis fascinée, littéralement. Elle me fait à peine jouir que j'en ai encore envie et je ne me fais pas prier pour le lui faire comprendre. J'ai besoin de son contact, j'ai envie de son corps. Je veux qu'elle me prenne comme ça matin, midi et soir. Elle m'a ensorcelée, envoûtée. Je l'embrasse passionnément et je lui avoue à quel point je la désire. Mais sa réaction n'était pas réellement ce à quoi je pouvais m'attendre. Elle plaqua mes poignets contre le mur derrière moi et rapprocha son visage en me regardant droit dans les yeux mais ses yeux dérivent sur mes lèvres. Ils font des vas et viens et j'ai envie de la dévorer. Au lieu de ça j'écoute ce qu'elle a à me dire. Comment ça je ne veux pas de toi ? Je fronce les sourcils, je ne comprends pas. Elle me fait quoi là ? Je la laisse alors continuer et pour elle ça ne doit rester que sexuel. Qu'une histoire plus sérieuse avec elle, ça serait un fiasco. Mais ... J'avais pas envie de la laisser finir de parler, j'avoue que j'étais un peu sur le cul. Oui on peut vouloir d'une relation comme celle là mais pas sur la durée on sait très bien que s'il n'y a rien d'autre ça ne tiendra pas. Pas que je veuille d'une relation d'amour pur tout de suite mais ça me laissait entrevoir aucune sorte d'avenir si ce n'est que du sexe. Est-ce que je pourrais me contenter que de ça tout le temps avec elle ? A l'heure actuelle, je dirais que oui mais je me connais ça va pas durer ça peut pas il me faudra plus. Et plus on va se voir plus la relation va se construire je vais peut être tomber amoureuse et souffrir comme une malade parce que je l'aurais trop dans la peau et que je ne pourrais rien avoir de plus de sa part. Je suis vraiment dans la merde là. J'arrête pas de réfléchir à toute vitesse. Il faudrait que je lui réponde mais j'en suis incapable. Mon cerveau ressemble à une turbine. Je vais avoir besoin de réfléchir. Là, tout de suite, je m'en fous, tout ce que je veux c'est toi, c'est ton corps sur le mien, tes doigts en moi, ta langue partout. Je veux te faire jouir comme jamais tout le temps mais mon cerveau je peux pas le mettre sur pause là après ce que tu m'as dit. Je ... Je me connais à un moment le sexe ça ne suffira plus. Si je m'attache à toi ça sera foutu et je vais souffrir comme une débile. Je ne veux pas avoir mal et surtout pas que ça vienne de toi. Je ne veux pas entacher nos nuits de folie avec de la souffrance. Alors je sais je vois loin je te fais sûrement peur mais j'ai toujours tendance à anticiper tout ce qui pourrait se passer. Pour justement éviter ce genre de situations. Je sais que je ne peux pas tout prévoir et que la vie réserve toujours son lot de surprise mais si tu pars dans le négatif je ne peux pas y voir du positif. Tu n'aurais rien dit on aurait continué à se voir et advienne que pourra. Là, c'est presque trop tard. Et je regrette toutes les paroles que je peux dire mais c'est la vérité, c'est ce que je ressens. Mon regard n'avait pas quitté le sien. Elle m'avait prouvé sa sincérité, je lui prouvais la mienne en retour. Je ne pouvais pas être plus honnête. Tant pis pour les conséquences.
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(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Dim 18 Oct - 18:08
“i want you so hard .” Khira & Sibbie Il avait fallu que je le dise, il avait fallu que je l'ouvre, putin. J'avais tout gâché, maintenant. Elle m'écoutait avant de me répondre d'une traite. Je lâchais ses poignets, je m'éloignais légèrement d'elle. Je l'écoutais aussi attentivement, les sourcils froncés. C'était trop tard, je ne pouvais pas faire machine arrière. Je ne pouvais pas user de mes talents de changeuse de sujet professionnelle, ou user de mon charme pour parler d'autre chose. Je me retrouvais face à ma pire angoisse : les relations humaines. Je n'étais pas du tout confortable avec ça. Déjà avec mon cousin, c'était une exception. Mais les autres, c'était terrible. Même mes parents, c'était pas le top. Si les deux ne me détestent pas, je sais pas ce qu'ils font.
Bref, là, il s'agissait de Khira. Il s'agissait d'une femme avec qui j'adorais le sexe, j'adorais passer des soirées endiablées mais que je refusais de faire souffrir, je dois l'avouer. Et là, ce qu'elle me disait était bien trop dangereux. A un pas d'elle, je secouais la tête. Alors vas t-en lui fis-je alors attrapant tout à coup les yeux humides. Je les clignais pour les refouler. si tu as peur de tout ça, je t'en prie, vas t-en. continuais-je alors, cherchant mes mots et cherchant à faire partir la soudaine boule dans ma gorge en avalant à plusieurs reprises. tu ne pourras pas t'attacher à moi, Khira. Je ne suis pas quelqu'un à qui on s'attache. Peut-être au début, peut-être qu'on se dit "oh elle est fun cette nana là, franchement elle est canon, franchement on s'ennuie jamais avec elle" OK d'accord ça c'est vrai mais c'est la première surface du pire bordel que tu aies jamais vu. Je suis venue m'installer à Miami après un pari perdu en tournant une mape-monde au hasard putin, c'est à ce genre de nana que tu veux t'attacher, vraiment? lui fis-je alors, les yeux bien trop brillants malgré moi. Je savais ce que j'étais, je savais que je n'étais pas stable et que je ne me risquais à aucune relation parce que je savais que ce n'était pas possible, que ça se briserait forcément à un moment. Je suis juste une femme avec qui on s'amuse. Avec qui on jouit. Avec qui on rigole à la limite et c'est tout. fis-je en levant les épaules. Tu ne mérites pas ça, Khira. Je me frottais légèrement un oeil. j'aurais aimé être celle que tu mérites, crois-moi. Tout ce que je t'ai dis jusque là, je le pensais vraiment. Chaque moment, chaque contact... Mais je refuse que tu souffres, alors... vas t-en... fis-je alors à bout de souffle. Ces mots étaient bien trop durs, plus que je ne le croyais ou que j'acceptais de croire, mais c'était ainsi. Je me sentais vulnérable et je n'aimais pas ça mais je préférais souffrir moi qu'elle.
(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Ven 23 Oct - 20:08
“i want you so hard .” Khira & Sibbie Après un énième moment de folie avec Sibbie une discussion plus sérieuse était venue nous stopper. Notre relation toute fraîche était sur le point de voler en éclats et je n'y étais pas du tout préparée. Elle prétendait que je ne pouvais pas être avec elle, que ça ne pouvait pas être plus sérieux entre nous, que ça ne devait rester que purement sexuel. Je n'étais pas contre mais ses mots ont fait surgir ce que je ressentais réellement et je lui dis tout ce que j'avais sur le cœur. Pour moi, je le sais, à un moment donné, j'allais m'attacher et ce n'était pas ce qu'elle voulait alors ça ne pouvait pas marcher. Après lui avoir dit tout ça elle me demande de partir. Mais son langage non verbal semble contradictoire. Elle me dit que j'ai peur. Non ce n'est pas moi qui ai peur. Elle m'affirme ensuite que je ne pourrais pas m'attacher à elle mais ça elle n'en sait rien. Elle dit que c'est comme ça parce qu'elle n'est pas une femme à qui on peut tenir. Je secoue la tête. Elle raconte n'importe quoi. Tu essayes de te convaincre que ...Je stoppe là parce qu'elle continue de parler. J'apprends alors qu'elle est là que parce qu'elle a fait un pari. Et alors ?! On est tous là pour une raison défi ou pas. On s'est rencontrée et ce n'est pas pour rien, on devait se rencontrer. On devait vivre ça et pourquoi pas plus que ça ... Je remarque ses yeux qui semblent briller mais je ne dis rien. Elle enchaîne sur ce qu'elle pense être. Ce n'est pas comme ça que je te vois t'es pas uniquement que ça ... Arrête de vouloir te convaincre parce qu'il n'y a que sur toi que ça marche ! Mais si tu veux que je m'en aille alors je m'en vais et peut être que ... Je m'arrête. Tu dis que tu ne veux pas me faire souffrir mais je crois que le mal est déjà fait. Tu sais que tu me repousses pour de fausses excuses. Je me relève et remets mes vêtements. Je crois que je remets même ma culotte à l'envers mais je m'en fiche. Là, pour le moment, j'ai un gros pincement au cœur et ça me préoccupe bien plus que tout le reste. J'espère juste que je me trompe et que tu ne regretteras pas. J'ai un tremolo dans la voix qui trahit mon émotion. Je n'aime pas me sentir vulnérable comme ça mais je ne contrôle rien quand je suis auprès d'elle. Au revoir, Sibbie. Je prends mon sac et je quitte la pièce, la porte claque et je reste un instant derrière, laissant quelques larmes rebelles couler. C'était bien trop beau pour être vrai. Il fallait que je redescende sur Terre. Un tel bonheur avec elle ne pouvait sûrement pas m'être destiné.
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(#)Sujet: Re: Il n'est donc point de femme qui n'abuse de l'empire qu'elle a su prendre. | Lun 26 Oct - 15:27
“i want you so hard .” Khira & Sibbie On se disait des mots que je n'aimais pas. Je répondais au tac-o-tac, en disant que de toute façon tout ça n'était pas possible avec moi. Je savais que trop bien que je n'étais pas faite pour une vraie relation, que je ne le méritais pas. je parlais de mon pari pour arriver ici, je parlais de mon côté complètement destructeur et impulsif. Elle méritait bien mieux que moi comme relation, vraie relation, ça me faisait du mal mais je ne le savais que trop bien. J'avais compris depuis plusieurs années en croisant des couples, en assistant à des mariages... que tout ça n'était pas pour moi. me réveiller auprès de la même personne, moi? Je n'imaginais pas ça une seule seconde et ça ne m'étais d'ailleurs jamais arrivé. Alors, forcément, quand je sentais que c'était ce que Khira envisageait, il avait fallu que je lui dise tout tout de suite. Mais, je regrettais aussitôt, car je ne pensais pas que ça signifiait la perdre.
Pourtant, elle était là, à me dire que je me trompais, que je n'étais pas celle que je décrivais, qu'elle voyait quelqu'un d'autre et que je me cachais derrière de fausses vérités. Je fronçais les sourcils en la regardant se rhabiller sans même regarder ce qu'elle faisait. La gorge me serrait, mes yeux devinrent humides. Moi, je ne bougeais pas, à moitié nue face à elle, l'écoutant me répondre et me dire qu'en gros elle s'en allait. Elle me disait que de toute façon je lui avais déjà fais du mal, que c'était trop tard. Je crois que c'était la phrase la plus destructrice. Mes yeux s'embuèrent de plus en plus. Ah non, y'a eu son "au revoir, sibbie" juste après qui fit couler la larme alors qu'elle me tournait le dos. Rien ne sortait. Sibbie de Ayala était là, à moitié à poil dans un coin caché du bar à pleurer sans avoir rien dis. La grande gueule s'était tue. Elle s'était tue parce qu'elle ne voulait pas perdre Khira. Et elle ne voulait pas perdre Khira parce qu'elle lui avait donné quelque chose d'inédit, quelque chose que personne ne lui avait prouvé jusque là : elle était capable d'aimer quelqu'un.