Lou est née le six octobre mille-neuf-cent-nonante-cinq à New-york. Ses parents : Charles Washington, un homme d’affaire riche à milliard et Chloé Martin, une avocate de renom à New-York étaient heureux d’accueillir une fille dans leur petite famille qui se composait déjà d’un garçon de six ans. Les parents de la demoiselle attendaient depuis longtemps la venue d’un deuxième enfant et celle-ci fût une nouvelle réconfortante pour la famille. Lou vécu une enfance plutôt normale, elle était très gâtée par ses parents peut-être même un peu trop. Mais rien n’était trop beau pour les enfants des Washington. Plus Lou grandissait et plus elle affirmait son caractère. Ses parents, trop souvent absents, ne remarquèrent pas tout de suite que leurs enfants souffraient de cette situation. Leurs seules figures d’autorités étaient leur nounou et le majordome de la résidence. A l’adolescence, Lou commença à s’affirmer encore plus qu’elle ne l’était quand elle était enfant. Elle était froide, comme si elle était incapable d’éprouver le moindre amour, le moindre sentiment. Malgré le fait qu’elle aimait son frère à la folie. Mais quand elle eût seize ans, elle tomba amoureuse et se laissa emporter par le tourbillon du premier amour. Ce qui rassura ses proches. Elle était capable d’être autre chose que froide, manipulatrice et calculatrice. C’était sûrement le manque d’amour et d’attention de ses parents qui l’avait rendue comme ça, enfin, c’est ce que sa nounou pensait. Pendant deux ans, elle vécu une histoire d’amour sans encombre, elle était souriante, aimante, chaleureuse. On ne la reconnaissait presque plus. Sa nounou pensa qu’elle avait raison de croire que c’était le manque d’amour qui la rendait si détestable.  C’est à la date du vingt-six septembre deux-mille-quatorze que tout changea pour la jeune fille. Lors d’une soirée avec des amis de son petit-ami, les abus d’alcool… Il se fit renverser par une voiture. Lou s’en voulait parce qu’elle n’était pas avec lui, elle venait de se disputer avec lui parce qu’il voulait rentrer et elle non. Elle avait donc eu des mots très difficile à son égard. Pendant des semaines et des semaines, elle fût inconsolable. Elle resta enfermée dans sa chambre pleurant toutes les larmes de son corps, s’alimentant un minimum pour rester en vie… Le deuil était difficile pour la jeune fille. Ses parents s’inquiétaient d’une chose, c’était qu’elle n’entrerait pas à l’université cette année-là et qu’elle perdrait donc un an pour « rien ». Rien, c’était eux qui le disaient ça. Pour Lou, c’était la fin du monde, son monde. Après une longue période, elle se ressaisit et se promit de ne plus jamais s’ouvrir de la sorte. D’enfuir ses sentiments au plus profond d’elle. Le malheur ? C’était fini pour elle, elle n’autoriserait plus personne à lui faire autant de mal que son amoureux décédé. Elle décida de passer le reste de son année de faire un tour de l’Europe, seule. Et quand elle rentra, elle s’inscrivit à Columbia en cosmétologie rêvant de créer sa propre marque de produits de beauté. Ses parents étaient enfin heureux de voir qu’elle recommençait ses études. Et qu’elle reprenait sa vie en main sans se soucier de son caractère froid, calculateur et manipulateur. C’est à partir d’ici que vous devez sûrement vous demandez pourquoi je vous raconte tout ça, pourquoi j’insiste sur son caractère et ce qu’elle fait à Miami vu que sa vie semblait si belle à New-York. La suite de l’histoire va vous permettre de comprendre. Lou reprit ses études à Columbia, elle enchaînait les coups bas dès que quelqu’un se démarquait un peu plus qu’elle, dès qu’un professeur ne lui accordait pas la meilleure note, elle enchaînait les soirées de luxe. Lou était toujours suivie de ses « copines » si on peut les appeler comme ça, parce que pour les gens extérieurs, c’étaient plus des suiveuses que des amies. Bien que la demoiselle eût connu ses jeunes filles à l’école primaire, elles ne s’étaient jamais séparées et Lou se retrouvait à les aimer beaucoup sans le montrer, comme à son habitude. Pendant des années, les excès de la demoiselle apparaissaient sur des blogs de potins et ses parents lui mirent enfin des limites, qu’elle ne respecta pas. C’est ici que la vie de Lou bascula. A force de réprimande et ne changeant pas son comportement, elle dépassa les bornes. Quand ses parents furent au courant du mal qu’elle avait fait, ils décidèrent de la transférée loin de New-york. La mère de Lou connaissant bien Miami parce que sa sœur y vivait. Ils payèrent pour faire transférer le dossier de la demoiselle à l’université de Miami, là où elle ne connaissait personne. Ses parents espéraient vraiment qu’elle se calmerait loin de sa ville, loin de tout ce qu’elle aimait. Alors, la jeune fille vient d’arriver, elle ne connait personne mais à décider qu’elle ne changerait pas, qu’elle serait juste plus discrète lorsqu’elle ferait des coups. Ses parents devraient s’y faire. Vous comprenez maintenant pourquoi je vous racontais tout ça ? Parce que « notre douce » Lou a posé ses valises chez vous et que maintenant ce sera à vous de la gérer… Plus à nous. Bonne chance.
- Le grand frère de Lou.

Quelqu'un un jour a dit : "Le maquillage c'est avant tout masquer la réalité." ... Mais que nous caches-tu petite Lou ?

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