Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility //-->
 
Le Deal du moment : -14%
Apple MacBook Air (2020) 13,3″ Puce Apple M1 ...
Voir le deal
799 €

Partagez

 this is what makes us friends (cassidy).

 :: saison une :: sujets.
Aller à la page : Précédent  1, 2

Invité
Anonymous
Invité

this is what makes us friends (cassidy). - Page 2 Empty
(#)Sujet: Re: this is what makes us friends (cassidy).  |   Mer 29 Juil - 14:42
cassidy et bellamy
this is what makes us friends

Le frère de Cassidy m'intriguait. Je n'avais jamais rencontré quelqu'un qui me ressemblait, en fait. Je ne me croyais pas original, loin de là. Il y avait beaucoup de garçons comme moi dans les rues, qui violent joker les petits durs alors qu'en réalité ils ne feraient pas de mal à une mouche. Je n'irais pour ma part peut-être pas jusque là, étant donné que je savais parfaitement que j'étais capable de faire du mal. Disons simplement que je n'étais pas aussi dur à cuire que je le prétendais. J'avais eu une éducation, je possédais des valeurs et une part non-négligeable d'humanité. J'aurais certes pu tuer quelqu'un parce que j'étais qu'une nature très impulsive et parce que j'aimais les sensations viscérales, mais je pense que je l'aurais regretter toute ma vie. Tout simplement parce que j'étais un être sensible, au fond de moi. J'avais tendance à cacher cela des autres mais pas de moi. J'avais eu dû mal, au début, à me dire que je n'étais pas à cent pour cent une petite racaille. Mais maintenant, je le savais et l'assumais. Pas devant les autres, évidemment, c'était beaucoup plus amusant de me faire passer pour quelqu'un que je n'étais pas. Honnêtement, je pense que c'était cette part d'humanité qui me différenciait des autres et me rendait peut-être un peu plus particulier. Et me rapprochait du frère de Cassidy par la même occasion. Peut-être que j'avais un bon fond. J'avais passé ma vie à me persuader du contraire mais plus le temps passait et plus je trouvais que l'humanité et les valeurs se perdaient autour de moi. Si je déplorais cette perte, cela devait forcément signifier que je possédais encore ces choses amenées à disparaître, de mon milieu en tout cas. À Tijuana, les valeurs étaient importantes. Chez certains, du moins. La criminalité avait quelque chose de noble. On ne tuait pas n'importe qui n'importe comment. La tentative d'assassinat dont j'avais été victime n'était pas dépourvue de tout cela. Hamri voulait protéger sa famille, protéger son sang de ce qu'il considérait comme un fléau. Je n'étais pas d'accord avec lui et pour moi, son acte était injustifié et injustifiable. Mais je devais admettre que ce n'était pas gratuit et qu'il l'avait fait pour quelque chose. Il voulait protéger la famille d'une menace. J'aurais sûrement fait pareil, mais pour un motif que je considérais comme justifiable. Pas à cause de l'homosexualité de quelqu'un.

Cassidy avait su voir ça en moi. Cette capacité de déduction rapide que j'avais trouvé fascinante au début s'expliquait au fur et à mesure. Si je ressemblais comme deux gouttes à son frère, il n'avait pas du être dur pour elle de deviner ce que j'étais et ce que je ressentais. Peu à peur, la petite blonde assise devant moi détruisait mes remparts. Cassidy était une catapulte, un boulet de canon, rasant tout sur son passage juste avec son mystérieux sourire. Si je m'attendais à ça en m'asseyant à sa table… ! Elle aurait facilement pu être psychiatre, à mon avis, mais elle m'avait précisé que ce domaine ne l'intéressait pas. Dommage, elle aurait pu y briller. Au lieu de ça, elle préférait étudier la littérature. Le Bellamy que je montrais à tout le monde aurait dit qu'il s'agissait d'un milieu pompeux, élitiste et pas forcément toujours intéressant ou amusant. Mais cela était un tissu de mensonges puisque j'avais toujours beaucoup aimé lire. Pas forcément dans mes jeunes années, où ma seule et unique passion était de me droguer comme un forcené à toute heure de la journée. En fait, c'était Andrea qui m'avait fait aimé la littérature. Il adorait ça, lui. C'était un gars très artiste, très cultivé. Il me parlait souvent des livres qu'il étudiait en classe et me les racontait, si bien que j'avais l'impression de connaître parfaitement le monde hyperbolique et touchant de Gabriel Garcia Marquez. Ce type était mon auteur favori et Cent ans de solitude, ma bible. J'avais aussi adoré L'amour au temps du choléra et Le Colonel dans son labyrinthe. En vérité, c'était les trois livres que je possédais encore. J'avais laissé tout le reste au Mexique. Je passais mon temps à les relire. Mais je considérais que mon amour pour la lecture était privé. Je ne savais pas pourquoi quelque chose me poussait constamment à cacher qui j'étais vraiment. J'avais peur de quoi, au juste ?

Je fis naturellement à Cassidy la remarque que ce pourrait être très intéressant que je rencontre son frère, mais elle parut de suite dubitative à cette idée. Dubitative et… Il y avait quelque chose d'autre. Je n'aurais pas su dire quoi, mais il se passa un truc. Une ombre passa devant ses yeux bleus. Ce fut rapide, impalpable. Cela ne dura même pas une seconde. Comme une faiblesse soudaine. Mais Cassidy se mit à rire et cela parvint même à me faire douter de ce que j'avais cru entr'apercevoir. Oui, décidément, ce petit bout de femme renfermait un grand et lourd secret. Elle était emplie de mystères en tout genre, et en vérité, j'avais presque envie de les découvrir. Mais j'étais très mal placé pour cela, car nous ne nous connaissions que depuis quelques minutes à peine. C'était très étrange. Je n'avais jamais connu cela, cette bizarre sensation qui est beaucoup décrite dans les livres : l'impression d'avoir toujours connu une personne que vous ne connaissiez en réalité que depuis très peu. La conversation va et vient naturellement, sans aucun silence gênant. Vous trouvez toujours un truc à dire ou à faire sans réfléchir et sans que cela vous paraisse inapproprié. C'était un sentiment vraiment particulier et j'ignorais si Cassidy ressentait la même chose à ce propos. Cela devait être l'équivalent d'un coup de foudre, mais en version amicale, je suppose. « Non pas vraiment, ce serait beaucoup trop étrange, je pense puis j'en viendrais à me détester... peut-être un jour, il n'est pas aux états unis pour le moment, en effet il est très beau son tableau de chasse en témoigne, il fait craqué les filles et les mecs c'est assez drôle à voir ». Les filles… et les mecs ? Bon dieu, ce n'était pas possible. Ce gars là était mon portrait craché. Il était bisexuel, comme moi, même si je n'étais pas encore sorti du placard. Enfin, si ; on pouvait dire que j'avais tenté d'y sortir avant que l'on me referme la porte sur la tronche. Je n'avais jamais compris pourquoi le monde autour de moi avait toujours été si homophobe. Il ne fait pas bon d'être bisexuel ou homosexuel au Mexique. Pas dans le milieu où je vivais, en tout cas. L'intolérance régentait ce monde, je l'avais compris depuis bien longtemps. « Eh bien. C'est vraiment mon portrait craché, dans ce cas » précisai-je sans plus de détails. Je n'allais pas lui avouer ma bisexualité, loin de là. C'était bien la dernière chose que j'avais envie de révéler sur ma vie. Même si en fait ça ne m'aurait même pas été que Cassidy —Sherlock— Stark l'ait déjà deviné avec son espèce de troisième oeil. « Sauf qu'il n'y a que des demoiselles sur mon tableau de chasse ».

Elle parut avoir un nouveau regain d'énergie après tout cela. Un sourire joueur s'étala sur son minois. « M'enfin voilà pourquoi j'ai vite saisi ton petit jeux! mafieux de cartel mexicain de mes deux » Cela me fit rire. Je saisis mon couteau et le pointai vers elle. C'était assez ridicule, vu qu'il n'était même pas coupant. « Fais attention à c'que tu dis, Stark. Je suis un homme dangereux. J'ai des hommes de main dans ce self » plaisantai-je en forçant mon accent. « Tu voulais en savoir plus sur moi, je recherche actuellement un colocataire pour partagé mon appart, tu connaîtrais pas quelqu'un d'intéressé ? » Je me redressais sur mon siège. En fait, j'étais particulièrement intéressé. J'en avais plus qu'assez de vivre avec ma mère et mes soeurs. Je me sentais intensément émasculé dans cette maison pleine d'oestrogènes et de tampons. Aussi m'étais-je mis en quête d'un appartement, mais j'avais un budget réduit. J'avais bien tenté de trouver des colocataires, mais personne ne m'acceptait. J'avais pas la tête pour l'emploi. Les gens pensaient que j'allais les tuer dans leur sommeil ou je ne sais quoi. Et puis je n'avais pas franchement les moyens de résider dans un logement étudiant. Tout mon argent partait pour nourrir, loger, chauffer et habiller mes soeurs, ma mère, Adela et ma fille. Mais avec Cassidy… Je ne semblais pas l'effrayer. « Ça va peut-être te sembler bizarre… Mais en fait, je serais moi-même intéressé. J'en recherche depuis perpet' maintenant. Si tu te sens capable de vivre avec un barjo fou dangereux qui porte des sombreros… Point bonus, je pourrais te filer de la drogue pas cher. Voire gratos. Je fais à manger et j'prends pas de place. Alors ? Convaincue ? ».

Emi Burton
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité

this is what makes us friends (cassidy). - Page 2 Empty
(#)Sujet: Re: this is what makes us friends (cassidy).  |   Jeu 30 Juil - 23:34
cassidy et bellamy
this is what makes us friends




Le jeune homme lui rappelait bel et bien son frère, son frère avait toujours essayé tant bien que mal de prouver qu'il était mauvais alors qu'au fond il était aussi bon que sa soeur l'était aux yeux des gens, mais ça personne ne le croyait. Cassidy était l'ange, Cameron le démon, aux yeux de l'opinion collectif mais c'était l'inverse car si Cassidy et Cameron était les rebelles et étaient des doubles , Cassidy était plus rationnel que son frère mais contrairement à lui elle était plus froide et moins toucher par l'opinion négatif des gens comme son frère l'était. Elle était raisonnable il était inconscient. Quant à elle, elle était un ange faible qui se transformait en démon pour protéger celui ci, elle était tout aussi rebelles que son frère, tout en ayant la malice de ne jamais se faire prendre, elle ne se montrait pas méchante comme son frère pouvait l'être, il se protégeait des autres et n'hésitait pas à protéger sa soeur un peu trop naïve, elle était-elle même avec les autres, qui l'appréciait à sa juste valeurs,, elle se souciait de tout et tout le monde parce qu'elle était comme ça mais si l'on venait à toucher à son frère ,elle n'hésitait pas à détruire les personne, il était sa force il lui donnait toute cette confiance en elle qu'elle n'avait pas et que lui s'était construit. Elle pouvait être un ange comme elle pouvait être un démon. Tout ce que Cameron prétendait être Cassidy le devenait peu à peu, peut-être une punition du karma ou alors un simple échange de rôle, ou alors sans le savoir en voulant prétendre être quelqu'un d'autre il détruisait la vie de sa soeur qui s'est toujours promis de protéger son frère envers et contre tous et qui admirait son frère au plus haut point. Cameron était la faiblesse de Cassidy.
Elle était le cerveau il était le coeur, le cerveau avait beau être puissant et tout contrôler si le coeur décidait d'arrêter de battre, le cerveau était bloqué. Tout comme ses deux organes ils ne pouvaient exister l'un sans l'autre. S'il décidait de l'entraîner vers le bas la demoiselle était obliger de tomber, et vice versa, car lorsque ce dernier était dans le pétrin il se reposait sur sa soeur, leur relation était belle comme elle pouvait être dangereuse. Cameron avait maintes fois mis Cassidy dans des situations des plus dangereuse, sans penser une seconde qu'il pouvait mettre sa soeur en danger et qu'a force de la traîner dans ses conneries, il faisait de sa soeur un être à son image car elle admirait ce qu'il était tandis que lui se détestait.


La seule chose qui différenciait Bellamy de Cameron dans ce qu'elle voyait c'est que Bellamy était beaucoup plus conscient que son frère l'avait été, Cameron agissait sans se soucier des conséquences de ses actes. Bellamy semblait plus raisonnable.

Quand à la différence qu'avait Cassidy vis à vis de son frère c'est qu'elle pensait toujours aux conséquences de ses actes avant d'agir et qu'elle ne se contentait pas de balancer des belles paroles prônant des actes héroïques elle agissait. Il était fort physiquement , elle l'était mentalement. Ils se protégeaient l'un l'autre, se complétaient l'un l'autre. Elle est sur que si Cameron était toujours vivant aujourd'hui il serait à l'image de Bellamy un peu plus sage et un peu moins inconscient face aux leçons que lui donnait la vie, mais qu'il aurait garder son côté rebelle et tout ce qui faisiat son charme et de lui un être admirable et fort.

En réfléchissant aussi objectivement elle détestait cette image de son frère car malgré tout ses défauts ses qualités oxymorique ne le rendait pas du tout détestable bien au contraire. Cependant c'est en comprenant ces défauts qu'elle avait pu saisir le jeux de Bellamy et savoir déceler en lui sa bonté et non ce qu'il pouvait dégager aux premiers abords.
Si il y a bien une chose qui trahissait l'homme c'était ses yeux.

Bellamy tout comme son frère était quelqu'un qui pouvait donner corps et âmes pour sa famille, ils se souciaient beaucoup plus des autres qu'ils ne laissaient paraître, ils étaient attachant et adorable même à détester, ils pouvaient être ridicule et impressionnant à la fois, une chose est sur c'est qu'on les craignaient, sans se douter qu'ils étaient des êtres comme les autres et qu'ils maniaient juste bien l'image qu'avait les gens d'eux.

Cassidy ne rêve que d'une seule chose venger son frère et elle n'éprouverait aucune once de regret d'ôter la vie de celui qui à briser la sienne et elle n'hésiterait même pas à tuer également un membre de sa famille si elle trouvait qui avait fait ça, or on lui mettait des bâtons dans les roues, la mafia italienne dont elle appartenait en étant reliée par sa mère refusait de l'aider et elle à son statut de simple fille ne pouvait se procurer assez d'information pour savoir qui conduisait la voiture lors de cette fameuse nuit. Non elle n'aurait pas sa vengeance, mais l'espoir fait vivre, l'espoir alimente sa haine, cette même haine qui la fait tenir debout, brisé. Cette même haine qui fait de sa force sa faiblesse, qui fait d'elle un oxymore incarne et un être indéchiffrable.

Qui elle était elle désormais ? la jeune femme n'en savait rien, elle jouait le bon rôle l'ancienne Cassidy, la fille parfaite, aux allures rebelle, je m'en foutiste, impassible, joviale pour qu'on ne découvre pas la noirceur qui l'habitait. La fille sur qui l'on peut compter mais qui ne compte sur personne la fille qui fait en sorte que tout son entourage soit heureux mais qui se refuse de l'être, cette philosophe qui vous dira que l'amour alimente la vie, mais qui se refuse de le trouver et se laisse alimenter par la haine. Cette insensible qui cache bien ces véritables émotions, cette fille qui liera en vous mais qui ne vous laisseras jamais lire en elle car elle à peur qu'n la rejette pour ce qu'elle est vraiment et préfère être rejeté pour ce qu'elle n'est pas. Cette même personne discrète et réservé aux allures sociable, cette fille qui paraît faible mais qui cache une force extra ordinaire dont elle même n'est pas consciente. Un oxymore je vous dis. Tout ce que je sais c'est que ce n'est pas une fille détestable mais ça personne le voit car elle ne s'ouvre pas aux autres. L'enfer c'est les autres, oh Sartres avait raison. Son tatouage sur la côte "Hell is empty and all the devils are here" montrait ce qu'elle pensait de cette société et de ce qu'elle avait vécu. Au fond Cassidy était une personne bien qui a été obligé de se créer une carapace si elle voulait survivre car les gens bien malheureusement perdait toujours, et se faisait toujours détruire.



Elle riait face à la remarque du jeune homme Mon frère aussi n'a que des nanas, et il prenait l'attirance des hommes comme une insulte d'ou cela m'amusait, une chose qui nous différencie nous deux tiens, il est moins ouvert sur l'homosexualité que moi. ca c'était bien vrai, il jugeait beaucoup plus facilement les autre qu'elle.



Elle riait de bon coeur face à son acte, son couteau ne coupait pas et rendait la scène ridicule tandis que son accent le rendait crédible. Elle leva les mains en l'air l'air innocente. A vos ordre Monsieur Frobisher dit-elle d'un accent espagnol surjoué tout en insistant sur son nom de famille.


Après avoir passé sa petite annonce elle ne s'attendait pas à ce qu'il soit lui même intéressé mais l'idée ne lui déplaisait pas. Ça va peut-être te sembler bizarre… Mais en fait, je serais moi-même intéressé. J'en recherche depuis perpet' maintenant. Si tu te sens capable de vivre avec un barjo fou dangereux qui porte des sombreros… Point BONUS, je pourrais te filer de la drogue pas cher. Voire gratos. Je fais à manger et j'prends pas de place. Alors ? Convaincue ? lui avait-il dit. Elle acquiesça L'appartement est trop grand pour une seule personne et je serais ravi de le partagé au plus vite, donc je serais enchanté d'avoir un coloc qui porte des sombreros, va également pour la drogue bonus et pour la bouffe t'en fais pas je cuisine mais je ne serais pas contre des fajitas à la mexicaine! Puis si tu es capable de me supporter pourquoi pas? Elle sorti un stylo avant de noter son adresse sur l'une des serviette en papier inutilisée de son plateau. Tu peux venir dès demain, commencer à venir mettre tes affaires c'est une résidence privée avec piscine et étant donné que l'appartement à mon frère qui est plutôt un penthouse d'ailleurs avec vue sur la mer, ouais je sais j'aurais pu être commercial vu comment je vends la coloc! il n'y a pas vraiment de loyer à payer, juste les charges qui s'élèves à 300$ chacun voir parfois moins ou plus mais pas des masses non plus t'en fais pas , l'avantage d'être à deux ! il y a un code puisque c'est une résidence privé, et le voici 75013 et le code de l'immeuble 90210. Tu auras ta chambre avec ta propre salle de bain, on a un accès direct à la plage, nous sommes au 18 ème étage. Je suis pas chiante tu peux faire tes fêtes tranquille dans l'appart préviens moi juste comme ça je gênerais pas , de toute manière nos chambres sont quand même éloignés l'une de l'autre, on a une chambre d'amis en plus avec une sale de bain commune donc si tu veux inviter des gens pas de soucis. On se partagera les taches ménagères une fois que tu seras installé. Je suis pas chiante juste maniaque. Ta chambre peut-être bordélique mais pas l'appart. M'enfin on verra ça plus tard je vais pas tarder à aller en cours, je te note mon numéro également et j'irais te faire un double de clé au plus vite

Emi Burton
Revenir en haut Aller en bas

Invité
Anonymous
Invité

this is what makes us friends (cassidy). - Page 2 Empty
(#)Sujet: Re: this is what makes us friends (cassidy).  |   Mar 11 Aoû - 21:26
cassidy et bellamy
this is what makes us friends

Les choses commençaient à devenir vraiment très intéressantes. Cassidy recherchait un colocataire et je recherchais moi-même une colocation. Nous nous étions bien trouvés, somme toute. Enfin, il n'était pas sûr que Cassidy veuille bien de moi comme coloc, mais j'avais dans l'idée qu'elle ne dirait pas non. Après tout nous ne nous connaissions que depuis quelques minutes et on s'entendait déjà très bien, alors pourquoi pas ? Peut-être était-ce une idée un peu folle, peut-être que Cassidy était une tueuse en série, mais en tout cas, je ne pouvais pas passer à côté de cette occasion. J'adorais mes soeurs, j'aurais donné ma vie pour elles mais très franchement, je n'en pouvais plus de vivre avec elles en permanence. Disons que nous n'avions pas les mêmes délires, les mêmes centres d'intérêts. Et j'avais parfois l'impression d'être leur père, ce qui était aussi très dérangeant. Ma mère avait bien du mal à s'occuper de toute cette tribu. Même si Lumen et Vanilla, les deux plus grandes, étaient assez indépendantes, les trois autres étaient encore jeunes et requéraient toute l'attention de ma mère. Donc je l'aidais comme je pouvais, mais j'avais presque la sensation de remplacer mon père absent par moment. Je voulais bien être gentil et aider tout le monde, à un moment, j'avais aussi ma propre vie à gérer. Je ne comptais pas non plus les abandonner, loin de là ; je continuerais à subvenir financièrement à leur besoin, et à venir assez souvent. Simplement, j'étais un adulte et j'avais besoin de mon indépendance. Cassidy m'offrait à présent cette chance et je ne pouvais pas la laisser filer.

Je me vendais plutôt pas mal auprès d'elle, d'ailleurs. Je vantais mes talents de cuisiniers (bon, en vérité, j'étais loin d'être un chef mais en m'occupant de mes soeurs, j'avais appris à préparer quelques plats et c'était généralement comestible, parfois même bon) et ma particularité non négligeable : la possibilité d'avoir facilement de la drogue. Cassidy pourrait avoir un prix d'ami. J'étais pas du genre à être radin ou chiant, surtout quand il s'agissait d'amis ou de connaissances. Je pouvais me montrer dur en affaire, car j'avais appris qu'il ne fallait surtout pas se laisser marcher sur les pieds, mais je faisais des exceptions pour mes amis. Honnêtement, je ne pensais pas être un colocataire chiant. J'étais pas spécialement bordélique, j'étais prêt à partager les tâches ménagères et puis, généralement, j'étais plus souvent dehors qu'à l'intérieur. J'avais grandi dans les rues et il m'était difficile de me débarrasser de cette habitude. "L'appartement est trop grand pour une seule personne et je serais ravi de le partagé au plus vite, donc je serais enchanté d'avoir un coloc qui porte des sombreros, va également pour la drogue bonus et pour la bouffe t'en fais pas je cuisine mais je ne serais pas contre des fajitas à la mexicaine! Puis si tu es capable de me supporter pourquoi pas?" Sa remarque me fit sourire. « T'auras jamais mangé d'aussi bonnes fajitas, tu peux me croire ! Ça a pas le même goût quand ça vient des mains d'un mexicain. Oh, et je pense qu'on arrivera très facilement à se supporter, non ? » commentai-je. Cassidy sortit un stylo et se mit à parler à toute allure, et je dus faire un effort pour retenir le maximum de choses. "Tu peux venir dès demain, commencer à venir mettre tes affaires c'est une résidence privée avec piscine et étant donné que l'appartement à mon frère qui est plutôt un penthouse d'ailleurs avec vue sur la mer, ouais je sais j'aurais pu être commercial vu comment je vends la coloc! il n'y a pas vraiment de loyer à payer, juste les charges qui s'élèves à 300$ chacun voir parfois moins ou plus mais pas des masses non plus t'en fais pas , l'avantage d'être à deux ! il y a un code puisque c'est une résidence privé, et le voici 75013 et le code de l'immeuble 90210. Tu auras ta chambre avec ta propre salle de bain, on a un accès direct à la plage, nous sommes au 18 ème étage. Je suis pas chiante tu peux faire tes fêtes tranquille dans l'appart préviens moi juste comme ça je gênerais pas , de toute manière nos chambres sont quand même éloignés l'une de l'autre, on a une chambre d'amis en plus avec une sale de bain commune donc si tu veux inviter des gens pas de soucis. On se partagera les taches ménagères une fois que tu seras installé. Je suis pas chiante juste maniaque. Ta chambre peut-être bordélique mais pas l'appart. M'enfin on verra ça plus tard je vais pas tarder à aller en cours, je te note mon numéro également et j'irais te faire un double de clé au plus vite" Wow, un agent immobilier n'aurait pas fait mieux ! Son appartement semblait vraiment génial. Vue sur la mer, quoi ! J'étais super bien tombé. J'avais même ma propre salle de bain. Ç'avait l'air d'être un palace, son truc. Ma maison à Tijuana était minuscule et éloignée, tandis que l'appartement que nous habitions ici était ridicule petit et mal placée, dans un quartier craignons de la ville. Bref, je venais de faire une bonne affaire. « Eh bien, marché conclu Cassidy Stark. Tu as devant toi ton nouveau colocataire, pas chiant, propre, qui laissera pas traîner ses sous-vêtements sales et qui te fera des fajitas même pour le petit-déjeuner. On peut dire que cette discussion a été fructueuse ! » plaisantai-je en me levant. Il était bientôt l'heure de retourner en cours et ni l'un ni l'autre n'avions touché à nos repas. Ils étaient fort peu appétissants et nous avions été trop concentré par notre discussion pour faire autre chose. Décidément, j'aimais beaucoup cette fille.

RP CLOS! this is what makes us friends (cassidy). - Page 2 3706949885

Emi Burton
Revenir en haut Aller en bas

Contenu sponsorisé


this is what makes us friends (cassidy). - Page 2 Empty
(#)Sujet: Re: this is what makes us friends (cassidy).  |  
Revenir en haut Aller en bas
 

this is what makes us friends (cassidy).

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

 Sujets similaires

-
» Strangers, Friends, Best Friends.. ∞ Wane
» the face i hope to see Δ cassidy&casey.
» SMS - Cassidy Stark
» April Wilson ¤ There are friends, there is family, and then there are friends that become family
» Appel Hannah&Cassidy

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: saison une :: sujets.-