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 begging you please don't go

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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Lun 10 Aoû - 12:12

   
I should give you all my hours when i had the chance

   
   
In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ Nous venions de faire l'amour, c'était fou, incroyable, je n'avais jamais ressenti une chose pareille. J'avais eu envie d'elle toute la journée, je l'avais désiré le matin même et des tas d'autres fois encore qui me hantaient alors qu'elle était loin de moi, alors que je lui avais dis que ce serait mieux si nous nous étions éloigné. J'avais pensé que c'était la bonne chose en faire, en effet, puisque pour tous les deux l'amour n'est pas forcément une chose facile même une chose inédite. Je n'avais jamais ressenti ça, je le répète mais c'est important de le savoir, car tout ce que je ressentais quand nous faisions l'amour, quand enfin je la prenais, je ne l'avais jamais ressenti. Elle était ma muse, ma première fois en quelque sorte. La première fois que j'aimais caresser un corps, que je voulais la faire jouir avant tout, alors que d'habitude c'est peut-être simplement pour mon bon plaisir et peu importe si l'autre a mal. Faut dire qu'en temps habituel c'est à peine si je connais le prénom de ma partenaire, et elle ne reste jamais la nuit. Je n'avais donc jamais dormi avec une femme autre que de ma famille avant Alayna, je n'avais jamais aimé la présence d'une autre femme étrangère à mon sang. Du coup, je n'arrivais pas à croire ce qu'il m'arrivait, j'avais du mal à réaliser.

Je ressentais des tas de choses avec elle. Que ce soit quand je touchais moi-même sa peau, quand je passais moi-même ma langue sur celle-ci, quand je goûtais à son fruit défendu, quand je l'entendais jouir, ce doux son à mes oreilles qui me rendait fou. Ou alors quand elle me caressait à son tour, quand elle embrassait ma peau, quand elle bougeait ses hanches contre les miennes, quand elle s'accrochait à moi, quand elle enfonçait ses ongles contre ma peau. Tout cela me rendait fou, et je sentais que ce n'était qu'un début. Contrairement à toutes mes autres relations sexuelles, elle ne serait pas exclusive. Je voudrais lui refaire l'amour, comme on dit, la revoir jouir ainsi, et peut-être même faire d'autres expériences. Tout cela, je le ressentais au plus profond de moi, ça jaillissait et ça m'envahissait alors que nous étions à l'acte. J'en avais eu envie toute la journée et pourtant que je n'étais pas rassasié d'elle, comme si j'avais toujours quelque chose à découvrir d'elle, qu'elle saurait toujours me surprendre, qu'elle me rendrait toujours béat. Je n'arrivais pas à croire que quelqu'un arrivait à me mettre dans cet état là, moi l'homme violent et mauvais que je peux être par moment, était désiré par une femme aussi douce et belle qu'elle. Que rêver de mieux? Je ne sais pas.

Je mettais un moment à me remettre de nos ébats tumultueux, tout comme elle. Nous étions plongés dans le silence, un silence appréciable, un silence tout à fait de convenance, qui ne faisait pas louche. Nous nous regardions sans rien dire, et pourtant nous nous comprenions. Nous reprenions notre souffle. Quand enfin j'arrivais à dire quelque chose, elle tenta de parler mais ses mots étaient encore faibles, je souris, amusé. J'aimais savoir qu'elle avait aimé l'acte. Néanmoins, c'était pour me dire qu'elle allait s'installer dans sa chambre, et je fronçais les sourcils malgré moi, mais je ne comprenais pas pourquoi. Elle faisait ce qu'elle voulait, après tout. Sa seconde phrase rattrapa la première, elle me fit même rire. Je caressais sa joue, et son cou nus. « Bien sûr que oui, ça le rattrape. Tu sais, je ne regrette pas ce moment sur le bateau, ça nous a amené ici, on s'est compris via ce petit malentendu.. » dis-je. J'étais convaincu d'une chose dans la vie, c'est que nous grandissons de nos erreurs. Il faut dire que je suis le bon exemple pour cela. Je lui proposais de manger, elle accepta, je me levais en mettant mon boxer après l'avoir embrasser sur le front. Je la regardais malicieusement, lui disant que je réalisais pas. Elle répondit de même, et à sa réponse je la pinçais doucement et je ris, levant les mains au ciel. « Tu me l'as demandé! » dis-je en riant. Mais, je n'étais pas sorti qu'elle me demanda de l'aider avec la valise. Je levais les yeux au ciel, comment n'avais-je pas pu y penser. « Bien sûr. » lui dis-je en allant m'apprêter à la tâche. Elle m'embrassa furtivement et je souris doucement, je redescendais.

Je redescendais, je regardais ce que je pouvais bien faire. Je décidais de sortir un peu le grand jeu et de faire des haricots au beurre, une purée maison et des steaks saignants qui sont à se rouler le cul par terre. Je la laissais s'installer en attendant, puis elle me rejoins. Je prenais sa main pour la faire approcher. Je lui tendais une cuillère de la sauce de viande. « Tu en penses quoi? » demandais-je en souriant. Puis je posais mon doigt sur le creu de ses lèvres où il en restait, je souris le mettant à mes lèvres. J'attendais son avis. Au mot princesse, je souriais. C'était ça, ma Princesse, dans mon château, en quelque sorte.. Je me revoyais en enfance, tiens. Quand tout n'était pas.. ah si elles étaient compliqué. Alayna jouait sur les mots, comme plus tôt elle m'avait appelé "mon ange" chose que je n'avais pas souligné. Cela paraissait naturel, mais il fallait que je m'y fasse car je n'avais pas.. l'habitude. Mais je voyais que quelque chose la tourmentait dehors. Je regardais par la baie vitrée, ne comprenant pas. Je caressais sa joue, inquiet. « Quelque chose ne va pas? » demandais-je, fronçant les sourcils. « Il faut que tu rechoisisses ce qu'on regarde ce soir avant de dormir! » lui dis-je amusé, pour lui changer les idées. « Ou alors tu me montres cette collection dont je t'ai inspiré..  » lui lançais-je avec un regard coquin, prêt à tout. Il faudrait que je lui parle de mon passé aussi, à un moment, qu'elle ne l'apprenne pas autrement.. Mais ça, ça viendrait.. plus tard au mieux c'était.. Je regardais à nouveau dehors, parce que son regard ne quittait pas l'extérieur. Puis je remarquais les nuages et me dis qu'elle avait peut-être peur qu'un orage ne frappe. C'était fréquent d'avoir peur des orages. « C'est les nuages qui t'inquiètent? Tu sais tu ne risques rien ici, je suis là.. Si tu veux on restera tard debout, on mettra de la musique à fond comme ça tu n'entendras rien et.. on fermera tous les stores! Je t'occuperais jusqu'à la fin de l'orage, tu ne t'en rendras même pas compte! » dis-je pour rire, pour la faire rire, pour ne plus qu'elle adopte ce regard. « ça va aller.. Allez souris moi. » lui demandais-je caressant sa joue, voulant voir son beau sourire qui m'avait manqué toute la journée.




   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Lun 10 Aoû - 20:59
Nous venions de nous offrir l'un à l'autre. D'échanger par le corps tous les sentiments qui nous animaient. J'avais l'impression que même après cette première fois magique, ce ne serait pas assez pour lui démontrer oh combien je l'aimais. Je chercherais donc à lui montrer à plusieurs reprises, par des actes, gestes, ou paroles, avec le temps, je serais lui dire peu à peu comment il perce mon cœur et le fait chavirer. Je me disais parfois que je devais ralentir avec lui et finalement la folie prenait souvent le dessus. J'avais aimé toucher sa peau visuellement et à l'aide de mon corps, l'embrasser sur chaque partielle de son corps. J'aimais également chaque attention de sa part tournait sur mon corps, sur le fait de me procurer du plaisir comme jamais. J'espérais qu'il aime tout autant et qu'il en avait ressenti également. Puis une fois atteint le nirvana, un silence ce fut attendre.

On dit souvent que les silences en disent long, parfois un regard peut vouloir dire bien plus que de simples mots, surtout quand on ne les trouve pas ou qu'on le les trouve pas assez fort pour exprimer ce que l'on ressentait, et c'était le cas après ce débat torride. Juste par ce jeu de regard, je pouvais lui transmettre tout ce qu'il m'inspirait, passion, amour charnel, amour peut être éternelle, évasion, complicité... une multitudes de ressentis et de sentiments qui se dégageaient dans l'atmosphère paisible, tendre, avec une température hausse qui commençait à descendre, après avoir atteint son apogée. Je sentais mon cœur être encore affolé, je m'apaisais en admirant son visage et touchant sa main avec mes doigts, lui faisant légèrement des papouilles. En faisant des caresses avec mes doigts, les faisant glisser dans le creux de sa main puis sur son avant bras. Il me proposait ensuite de m'installer, car avec notre folle envie, qui nous combla tous les deux, je n'avais pas pris le temps de prendre mes aises, et de ressentir que j'étais comme chez moi, puisque cela serait le cas à présent. Je n'avais pas envisagé cela de cette manière, je pensais pas que d'ici là on se serait rapproché de la sorte, et je m'en plaignais pas , bien au contraire, mais j'espérais que cela ne changerait rien, dans la cohabitation. J'avais peur que cela complique tout de même les choses au fond. Il posa sa main sur ma joue puis la passa dans mon cou et ce contact me fit sourire , même si j'étais un peu épuisée, par le moment vécu précédemment, ça me faisait plaisir que même en sueur je ne le répugne pas, bien au contraire. Ca aurait pu mettre fin à tout aussi. Voir même de notre amitié avant ce changement, qui est dans mon intérêt je l'avoue. Mais j'ai eu peur qu'on se perde vraiment... C'est compliqué ce moment, je ne peux pas dire si moi je le regrette ou non. J'ai eu trop de choses qui se sont bousculées dans ma tête, j'ai pas encore fais le tri et revu ce moment en détail. Lui répondis je en m'ouvrant toujours un peu plus à lui, je pense que l'on pouvait tout se dire, ou du moindre essaye de le faire comprendre à l'autre, car je pense qu'une partie de nous restera encore maladroite pendant un bon lapse de temps. Il se proposait de faire à manger, afin que l'on bouge de lui , et que je puisse officiellement prendre place dans cet appartement où dorénavant je vivrais. Je souriais à son baiser sur le front. Je souriais bêtement, en étant aux anges. Je le regardais intégralement de haut en bas, je n'arrivais pas à croire qu'on était passé à l'acte, que pour une fois on avait sauté une étape capitale dans notre relation. Je me sentais heureuse, oui c'est le mot. D'ailleurs j'idéalisais ce moment, que je comparais à un rêve éveillé, pour cela j'appuyais donc ce qu'il venait de me dire précédemment, et j'enchainais en lui demander de me pincer car ça semblait presque irréel, je ne pensais pas qu'un conte de fée en tant que romance puisse exister. Pourtant pour le moment je trouvais tout parfait, qu'on pourrait être fait pour être ensemble, ce n'était qu'une supposition mais j'espérais qu'elle se confirme tout de même. Il vint alors réaliser ce que je lui avais demandé pour plaisanter, et leva les yeux aux yeux, j'aimais qu'il me suive dans des délires, que tout deux on lasse aller notre grain de folie, c'est ça aussi qui me plaisait dans notre relation. Oui mais, tu aurais pu contrôler ta force! M'exclamais je en riant me frottant le bras un peu rouge. Tu vas devoir me soigner, et jouer le docteur voila , tu as tout gagner monsieur Tate! Lui fis je comme remarque le regardant avec un brin de malice. Je profitais de sa présence pour lui demander également de l'aide afin de monter ma valise à l'étage car pour moi ce serait un effort surhumain, alors que lui il avait les muscles pour, oh ça, je peux affirmer que sa carrure était parfait, tout ce qu'il fait là où il faut, même mieux que j'aurais pu l'imaginer. Pour le remercier je déposais un simple baiser sur ses lèvres, afin de ne pas trop le retenir, puis je me connaissais si je l'embrassais plus longuement je pourrais me séparer de lui et de ses lèvres et ça finirait mal encore une fois.

Je le laissais donc redescendre tandis que je m'apprêtais à défaire ma valise. Je prenais mon temps pour que tout soit en ordre, et bien rangée, j'étais quelqu'un de soigneuse et c'est surement aussi par le goût de la mode et mon métier de styliste, qui me conduisait à bien traiter les vêtements, à en prendre grand soin et d'y porter une grande attention. Je prenais donc mon temps , tout en allait assez vite tout de même pour ne pas qu'il m'attende pour manger et que cela refroidisse, j'étais tout de même soucieuse de son confort. Je descendis une fois la tâche terminée, et il me reçu courtoisement en me tenant par la main, je souriais à son attitude presque chevaleresque. Je me mise près de lui en laissant un certain espace tout de même, pour goûter la cuillère qu'il me tendit. Je pris le temps de bien savourer de d'en ressentir chaque note, chaque ingrédient qu'elle composait. Je dois dire ce que je pense sincèrement? Le taquinais d'un air sournois. Bon j'avoue que c'est excellent , tu me dirais ton petit secret pour la sauce. Lui répondis je enthousiaste, et prête à l'aider à mettre le couvert. Il retira un peu de sauce de mes lèvres qu'il portait à ses lèvres, je trouvais ce geste plutôt adorable, mignon, je lui fis alors un tendre sourire comme réponse. Je lui fis une petite remarque adorable à mon tour, lui confiant que sa princesse était enfin installée, c'était un peu pour marquer le départ de cette vie commune. Je jetais un œil dehors, et je ne fus pas rassuré, soudainement mon corps s'était refroidis, et je sentais que j'avais la chair de poule, je sentais mal ces nuages dans le ciel, et je sentais une peur m'envahir. Je tentais de ne pas y penser pour ne rien laisser paraitre, cependant il me connaissait bien, de mieux en mieux pour savoir que quelque chose clochait soudainement. Il me caressait la joue, ce qui me rappelait sa présence, le fait qu'il me fasse sentir en sécurité. Peut être bien.. Lui répliquais je évasive, je ne voulais pas qu'il comprenne que c'était à cause de l'orage, il pourrait trouver cela enfantin, et j'avais pas envie que sa vision sur moi ,ne change pour une petite chose aussi futile. Je le regardais et mon sourire s'afficha quand il me demandait de choisir quoi mettre ce soir à la télévision, j'avais une petite idée derrière la tête. On regarde Flash? Lui proposais je me pinçant la lèvre inférieure en le regardant , plongeant mon regard dans le sien, d'un air joueuse. A moins que tu arrives à me faire oublier Flash . Ajoutais je le regardant malicieusement me mordillant la lèvre inférieure, jouant avec une mèche de mes cheveux. Il me proposait une alternative à cela, je le regardais , en esquissant un radieux sourire. Si je te la montre, tu vas comprendre , que je pensais sans cesse à toi, je ne sais pas, ça dépend la contrepartie amour. Lui rétorquais je pour le provoquer davantage. Le ciel s'assombrissait , les nuages étaient à présent d'un gris foncé. Je commençais à jouer avec mes mains pour ne pas y penser, puisque j'avais suivis le regard d'Enaël vers la fenêtre. Et pour lui, tout s'éclaircissait dans son esprit, j'avais peur de l'orage, et il voulait se montrer rassurant, et protecteur. Je me dirigeais naturellement dans ses bras, sentir la force de ses bras, pour me dire que rien ne pouvait m'arriver, s'il était près de moi. Je veux bien essayer de sourire pour toi, normalement c'est dans mes cordes. Lui répondis je , souriant timidement. Je restais tout contre lui. Et au premier coup de tonnerre, je serrais fortement les yeux, et ne pouvait m'attacher à son tee short car il ne portait pas de haut, et qu'il était d'ailleurs incroyablement sexy! Je l'entourais de mes bras au niveau de la taille puis en passant par son dos, je passais mes mains sur ses épaule auxquelles je me tenais , faisait une moue apeurée. Je lui faisais de doux baisers dans son cou, car cela m'apaiser et que j'aimais les moments tendres comme ceux là. Tu as raison faudrait s'occuper , tu choisis quelle activité proposée pour finir ? Lui demandais je faisait références à celles que l'on avait mentionnée tous deux. Je le regardais attrapant sa joue avec la mienne, et lui faisant un petit sourire, lui montrant qu'il avait fait ce qu'il fallait en tout cas juste maintenant, tant que ça ne tonnait pas plus fort que cela et que le vent ne s'y mettait pas.

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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Mar 11 Aoû - 9:11

   
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In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ Après de telles vagues de sentiments, il fallait que je remette mes idées en place. Ma tête était un volcan de sensations. Je ne pensais qu'à elle à présent, elle me hantait. Le corps que j'avais découvert me hantait de toute part. Je revoyais son cou, sa poitrine, ses mains dans les miennes, ses jambes nues autour de mes hanches, tout ça. J'avais vécu ça, j'avais ressenti cela. Ça avait été plus fort que tout. J'avais été renversé par les vagues de ce qu'on appelle l'amour, sans savoir quel avait été mon ennemi, ou bien mon plus précieux des amis devrais-je dire. Comment savoir si c'était un sentiment qui me ferait du bien, ou du mal? Je commençais à comprendre cela, la folie du sentiment d'amour, en repensant à l'après-midi pénible que j'avais passé loin d'elle, qui faisait aussi parti de l'amour. Je commençais à comprendre les deux faces opposées que composaient l'amour.

Je l'aidais avec ses valises afin qu'elle s'installe dans son nouveau chez elle. L'avantage d'avoir des colocataires c'est qu'on peut les choisir avec soin, et j'avais décidé de l'avoir près de moi constamment. Je n’appellerais pas cela "vivre ensemble" même si ça l'était finalement, mais c'était un terme un peu trop poussé à mon goût. Je ne pouvais pas m'y résoudre. Je voulais juste la garder près de moi en lui préservant sa part d'intimité. Elle avait sa chambre, sa salle de bain, et ferait comme elle voudrait. Elle était la princesse de l'appartement, ma princesse. Quand elle descendait, je lui faisait goûter ma sauce de viande puisqu'elle me demandait ce que je faisais de bon, et elle avait l'air d'aimer. Je souris, fier de moi. « Mais un grand cher ne dévoile pas ses secrets très chère.. » lui dis-je, continuant ma cuisine, en riant. Puis, je sortais de quoi mettre la table, assiettes couverts et verres. « Va voir ce que tu veux boire dans le frigo » lui proposais-je tout en faisant cela. Puis, je vis la peur traverser ses yeux, en croisant la vision du dehors. Je fronçais les sourcils, je la regardais, demandant si ça allait. Je ne comprenais pas tout de suite la source du problème et je lui proposais de choisir le DVD que l'on mettrait pour manger. Sa réponse me fit faire la moue, elle était vraiment grave. « Ah parce que j'ai pas réussi à te le faire oublier là? » dis-je faussement halluciné et heurté, avec humour. Elle m'embêterait jusqu'au bout avec son Flash, qui me plaisait de moins en moins. Je lui parlais de cette fameuse collection de fringues dont elle m'avait déjà parlé. Elle voulait une contrepartie, je riais. « Mais ce que tu voudras.. » dis-je avec un air coquin en levant un sourcil, elle m'amusait.

Enfin, cette discussion était pris de court à cause de ce qui la perturbait et qui lui faisait annuler son beau sourire. Je faisais la moue, lui demandant de m'en faire un, car il m'avait trop manqué dans l'après-midi pour ne plus le voir ce soir. Elle vint contre moi, me promettant d'essayer de sourire pour moi. Elle sourit timidement, je fis la moue, ce n'était pas assez à mon goût. Je la serrais contre moi alors qu'elle déposa ses lèvres dans mon cou. Je souris et elle me demandait ensuite ce que j'avais choisi finalement comme activité pour lui faire oublier l'orage. Je réfléchissais, je regardais ma cuisson qui avait encore besoin un peu de rester sur le feu alors je me retirais doucement de ses bras, j'allais appuyer sur le bouton qui faisait descendre tous les stores. J'allais allumer la chaine hifi sur cette chanson. Je ne suis pas très doué pour bouger mon body mais bon, un rythme pareil je ne risque pas trop d'être maladroit. J'allais la reprendre dans mes bras et nous balancions de droite à gauche, simplement, comme je faisais avec Nessa quand elle était petite et qu'elle se mettait sur mes pieds. Cette scène me la rappelait d'ailleurs, j'avais chaud au coeur. Mais je laissais le silence derrière la chanson, en continuant ces mouvements avec la musique qui couvrait le début du tonnerre dehors. C'était beau, magique comme moment. Nous étions hors du temps, juste l'un avec l'autre, bougeant au rythme doux de la jolie musique que j'avais entendu à la radio quelques heures auparavant et qui m'avait fait pensé à elle. Je la serrais contre moi pour ne plus qu'elle ait peur, je nichais mon nez dans ses cheveux, je la faisais oublier, j'essayais du moins.

Après cette danse, je l'embrassais sur le front et j'allais préparer les assiettes pour les mettre devant la télé et je mettais une émission de quad, de cascades de motos dans lequel il y avait beaucoup de musique, qui couvrait forcément le bruit et qui ferait au moins rire pendant que l'on mangerait. Une série, ça a des blancs, des silences, qui feraient entendre ce qu'il se passe dehors. Puis au moins, elle ne baverait pas sur Flash.. A la fin de notre repas, je lui proposais : « Maintenant c'est comme tu veux, tu peux me faire ce défilé comme une princesse avec de la musique trop tendaaance. » dis-je en riant.




   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Mar 11 Aoû - 20:07
Ce moment restait intact dans mon esprit, chaque partielle de mon corps avait imprimé de milliers de sensations plus savoureuses les une que les autres. Tout cet instant magique était gravé dans mon corps et dans mon esprit. En faite plus mon cerveau me disait de le fuir, et plus mon cœur s'accrochait, s'entichait de lui. Mon corps lui ne voulait plus le quitter, étant en osmose avec le sien, ne pouvait contrôle l'attraction de ces derniers.. J'étais submergé par tous ce que j'avais éprouvé, visionnant de nouveau  chaque passage de ce moment désireux, passionné, fougueux. J'avais du mal à me laisser repartir à la vie quotidienne, après ce moment de partage intense. J'avais pleins de choses qui circulaient dans mon corps et dans ma tête. Je planais encore et j'avais pas envie de redescendre sur terre, je voulais rester sur ses nuages avec lui où le ciel est plus bleu et plus ensoleillé. Il m'avait transporté , plus haut que quiconque pour le faire, plus loin, étrangement ma seule réflexion était que j'espérais que cet instant ne serait pas le seul, le dernier, mais le premier d'une longue lignée, qui a chaque reprise seraient encore plus fort à vire et à ressentir.

Je profitais de le garder un peu avant qu'il s'en aille du lit, car la vie continue, le temps ne peut pas s'arrêter même si j'aurais aimé. Il m'aidait ensuite à monter ma valise après lui avoir demandé , il était vraiment fantastique , il le fit de suite, c'était un amour cet homme, en faite j'avais peur de m'accrocher sans pouvoir m'en défaire, jamais. Je pensais pas qu'on pouvait atteindre de tel degré en amour, je franchissais un pallier à la fois, et plus j'avançais et plus j'étais folle de lui, de son être, et je me disais que le monde n'était pas si injuste, et si fou, il pouvait être aussi plein de bonnes surprises. Je me disais que des turbulences arriveraient peut être vite, néanmoins je profitais du présent , de maintenant. Et ce présent , il était merveilleux. Cependant on m'avait prévenu qu'au début c'est l'idylle amoureuse puis l'hécatombe, j'espérais alors que pour nous se serait autrement, il faut dire qu'on était pas un couple comme les autres. Cette romance était spéciale,  unique, la notre, la plus belle forcément de toutes. J'allais donc m'installer dans notre chez nous, afin chez nous, pour une colocation pour le moment et si nous deux ça fonctionne pourquoi pas voir plus loin avec le temps. Pour le moment je faisais chambre à part, car je ne savais pas que tout basculerait ainsi, même si maintenant ses bras m'appelaient et que mon cœur les désirerait en pleine nuit. Dormir dans ses bras, rien qu'à l'imaginer, j'étais envahi de frissons de toute part.  Contre lui , c'était mon paradis, ma terre d'accueil, ou j'aime m'enfuir, m'évader, et ne plus en partir, c'était l'endroit du possible. Aucune barrière, que notre amour pour nous porter hors d'atteinte, juste penser à lui et moi.

Accrocher, plier et ranger mes vêtements me remettaient la tête sur les épaules, afin de prendre mon temps et être sur de bien faire les choses avec Enaël. Je pouvais pas laisser mes sentiments tout guider et diriger. Je devais rester maître de moi même et pas encore lui dédier entièrement la clé de mon cœur. Je descendis ensuite afin de le retrouver. Je le laissais il faisait à manger, je le regardais souriante, j'appréciais un homme qui fait la cuisine c'est toujours beau à regarder, ça le rendait sexy aussi comme ça, puis il était torse nu , en caleçon fallait avouer que ça aide beaucoup , à me donner chaud. Il me tirait vers lui afin que je goûte ce qu'il cuisinait , trouvant la sauce divine, j'avais hâte d'honorer ce soir son plat.  Je souriais à sa remarque. Non mais monsieur se prend pour un fin gourmet maintenant , je rêve. Lui répondis je en riant légèrement. Si j'avais su je me serais abstenue, je veux pas que tu prends la grosse tête, après tu serais moins beau comme ça tu es parfait. Ajoutais je sur le ton de l'humour et en même temps c'était mignon. J'allais préparer la table, il me demandait de pas oublier de me servir, parce que j'étais chez moi maintenant, mais je n'osais pas encore, je ne sais pas c'était le temps de vraiment réaliser de dormir ici, et peut être que demain, je me sentirais à l'aise. Pour ce soir, tu veux pas le faire toi? Le temps que je prenne mes marques s'il te plais. Lui demandais je en faisant une moue qui le supplier; Après sa réponse, je regardais dehors, voyant qu'à l'intérieur de l'appartement tout s'était assombri. Je sentais mes jambes flagellées, j'étais pétrifiée. Ayant le teint pâle, le regard plongeait dans le vide, il me saisissait , s'inquiétant. Je le trouvais mignon en tant que protecteur, il avait vraiment tout pour être parfait, et moi je me sentais idiote une fois de plus dans cette situation. Il me proposait de faire le choix d'un film, et depuis qu'il m'avait fait voir Flash , j'adorais cette série, j'étais devenue accro grâce à lui. Il semblait un peu jaloux de flash, et il me faisait littéralement fondre quand il était comme ça, j'étais sous le charme. Il était super sexy, jaloux. Cà dépend si tu m'embrassais je pourrais surement revoir mon jugement. Lui répondis je avec un sourire en coin. Il avait envie de me voir la nouvelle collection dont il m'avait inspiré, chaque nouvelle idée ressortait d'une pensée que j'avais envers lui. Je lui demandais une contrepartie, ayant bien une certaine idée ce que je voulais, ou du moindre pour plaisanter et après si ca concrétisait , se serait pas seulement de ma faute. Peut être que ce que je voudrais c'est toi, toi en entier. Lui répondis je allant vers lui touchant son cœur de ma main.

J'entendis ensuite un coup de tonnerre, et alors adieu Alayna qui plaisantait, je blanchis, j'étais pâle. Il me demandait de lui faire un sourire, et cela semblait bien compliquée quand la peur avait les commandes. Je viens me glissais dans ses bras réclamant sa protection, ses bras musclé m'entourant. Je lui promis de tenter un sourire pour lui à la suite de cela, car il veillait sur moi, je commençais par un timide, essayant de me laisser bercer par son odeur, sa force. Je déposais mes lèvres dans son cou, c'était cela l'effet du parfum de sa peau sur moi. Je lançais à nouveau la conversation pour tenter de passer outre, d'être forte, puisqu'il me donnait de la sienne. Je lui proposais de choisir quoi faire , car j'étais plutôt indécise, j'avais envie de tout faire, et le problème c'est que je voulais penser à lui avant moi. Il mit fin à l'étreinte délicatement le temps que les stores se ferment. Et aller allumer ensuite la chaine stéréo. Cette musique, cette mélodie, ce refrain, c'était la chanson qui fredonnait dans ma tête dans mon rêve du premier baiser entre nous. Cela me fit rougir doucement. Il se mit contre moi, et faisait les pas délicatement au rythme de la chanson, il me tenait par les hanches et je passais mes mains autour de son cou, le regardant amoureusement. Ca ressemblait tant à mon rêve, mais à vivre c'était plus beau et plus intense, la magie opérait , et je me laissais porter par cela, décrochant plusieurs sourire, j'étais impressionnée, vraiment, il touchait en plein cœur. J'ai déjà rêvé de ce moment. Lui fis je pars d'une voix douce et délicate. Puis je continuais de danser avec lui. Tu vois je pense que tu commences à me le faire oublier mon flash. Lui murmurais je à l'oreille puis dépose un doux baiser sous son oreille. Et si on mélange cette danse, et ce que l'on a fait dans ta chambre, dans une danse sensuelle je pense que flash n'existe plus. Tu deviens mon fantasme, petit ange. Lui ajoutais je en parlant toujours à voix basse au creux de son oreille. Puis je suis convaincue que tu es incroyablement plus sexy que lui, et que c'est pas avec lui que je suis mais bien avec toi . Finis je par lui énoncer, je venais d'avouer que j'assumais notre couple, et que c'était lui que je voulais plus que tout . Je n'arrivais pas à le croire d'ailleurs que j'avais osé lui dire. Mais il fallait bien des premières fois à tout. A la fin de la danse, il déposait un petit baiser sur mon front, et retournait en cuisine pour ne pas trop cuir la nourriture, ou encore que cela déborde. il mit une émission assez bruyantes avec des bruits de moteurs, d'accélérations, de cascades, je tentais de m'y intéresser. Je mangeais son somptueux repas, je ne parlais pas car on ne parle pas la bouche pleine et aussi pour qu'il puisse regarder calmement son émission, et déguster son plat. On fait un échange de bons procédés , je mets la robe que tu aimes , et tu essayes les vêtements dont tu m'as inspiré. Lui proposais je en souriant malicieusement. Je débarrassais la table. Puis je fis couler l'eau pour faire la vaisselle, je mis du produit vaisselle, je voulais pas le laisser tout faire, il méritait que je mette la main à la pâte. Tu devrais pas t'habiller un peu pour que j'ai moins chaud amour ? ! Répliquais je sentant à chaque présence de sa part, la température ambiante grimpait à la vue de torse nu.
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Mer 12 Aoû - 19:21

   
I should give you all my hours when i had the chance

   
   
In silent screams, in wildest dreams, I never dreamed of this. This love is good, this love is bad. This love is alive back from the dead these hands had to let it go free & this love came back to me. ⊹ Elle s'était installée, je lui faisais doucement à manger pendant ce temps. Elle prenait ses marques, et c'est ce que je voulais. Je voulais qu'elle soit bien ici, parce qu'à présent, c'était aussi chez elle. D'un certain côté, nous n'habitions pas vraiment "ensemble" comme le dit l'expression. C'est une colocataire et je le vois vraiment de cette façon. Evidemment quand on sait combien j'ai galéré à comprendre ce que je ressentais de base pour elle, croire que j'ai décidé de vivre avec elle, non. Elle a toujours son intimité si elle le souhaite et nous étions en communauté. Je ne la forçais à rien, je voulais qu'elle puisse être ici seule sans se dire qu'elle était chez moi en réalité. Je lui proposais de prendre elle même son verre, mais elle me demandait de le faire elle-même. Chose que je pouvais tout de même comprendre malgré mes dernières pensées, puisqu'elle venait à peine d'arriver. J'allais lui en prendre un et la servir en lui montrant où tout se trouvait, afin qu'elle puisse être autonome dans ce lieu. Je lui proposais de goûter ma cuisine, de choisir quoi regarder en mangeant. Bref, je faisais tout pour qu'elle se sente bien et chez elle. Elle se rapprocha de moi pour venir dans mes bras, elle avait l'air paniquée, elle avait peur. En effet, je devinais vite que c'était l'orage qui montrait le bout de son nez qui l'inquiétait fortement. Je commençais à faire un peu l'idiot, histoire qu'elle oublie cette peur. Elle avait peine à me sourire, et cela je ne pouvais pas le supporter, surtout après l'après-midi que j'avais passé loin d'elle.

Le temps que la cuisson prenne fin, je décidais donc de fermer chaque stores et de mettre une chanson à fond dans l'appartement, de prendre sa main et de se balancer de gauche à droite. On aurait pu appeler ça une danse sauf que dans ce domaine là m'attendez même pas, je suis absent. Je voulais juste lui faire changer les idées. Elle m'avoua alors qu'elle avait déjà rêvé de cette scène avec cette musique. Je souris, j'avais vu juste. Sauf qu'elle m'avouait que c'était un rêve érotique. Je me mis à rire, c'était vraiment mignon. « J'espère bien que tu l'oublies celui-là! Tu n'es pas mon fantasme, tu es mon rêve. » soufflais-je en la regardant dans les yeux. Je souriais. Je la serrais contre moi.

Enfin, je devais mettre la table et nous mangions devant une émission qui faisait suffisamment de bruits pour couvrir le tonnerre dehors. Nous parlions de défilés, de sa collection. Elle me proposa un deal. Je la regardais, je souris. « Challenge accepté! » dis-je en souriant. Je ferais tout pour elle, surtout ce soir, elle avait peur et je voulais occuper chaque seconde ses pensées, pour qu'elle ne puisse plus avoir peur une fraction d'instant. Ayant fini de manger, nous rangions le tout et elle m'aidait à faire la vaisselle. Puis, sa réflexion me fit encore une fois rire. Je levais un sourcil, coquin. Je me mis derrière elle, prenant ses mains pleine de mousse. « Tu as chaud, tu dis? » soufflais-je dans son oreille. Je ne pouvais pas m'en empêcher. Son odeur pris d'assaut mes narines encore une fois. Je me délectais une nouvelle fois de son parfum naturel, et je l'embrassais derrière l'oreille, passant mon nez dans ses cheveux. Puis je me reculais, semblant de rien, histoire de foutre le suspens. « De toute façon je vais essayer ta collection alors je vais bien devoir m'habiller.. Enfin sauf si vraiment tu es allée jusqu'au bout dans ton fantasme... » plaisantais-je, je lui fis un clin d'oeil. J'essuyais mes mains toutes mouillées et je l'aidais à ranger la vaisselle, lui montrant leurs emplacements.

Puis, j'étais prêt à commencer. « Tu vas chercher cette robe et tu l'enfiles! Puis donne moi la première tenue, l'artiste. » Elle me donnait ce qu'il fallait et nous nous changions chacun de notre côté. Je ressortais une fois prêt, avec sa tenue. Elle apparaissait dans cette robe, ma vision fut une nouvelle fois comblée. « wow » redis-je, les yeux pleins d'étoiles.




   
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Jeu 13 Aoû - 2:05
Je descendais un à un les escaliers , afin de le rejoindre. Nous allions pour la première fois dîner ensemble en colocation, et j'espérais que tout se passe pour le mieux. Je ne voulais rien laisser au hasard, et je voulais qu'on soit toujours aussi complice, sauf que maintenant y'avait une chose en prime, on pouvait ouvertement se draguer si le cœur nous y amener, on pouvait même devenir tactile sans devoir se contrôler et être tirailler entre deux forces opposées, et perdre la tête. Je n'avais pas proposé de dormir ensemble même si j'en ressentais l'envie, surtout quand il s'agit d'un amour fleurissant, le premier soir on veut être dans les bras de l'autre, mais je voulais que ce soit lui qui en fasse la proposition pour ne pas trop l'envahir, je ne voulais pas qu'il se sente bousculer et qu'il fasse cela par dépit mais bel et bien par envie. Mes affaires étaient donc dans une chambre à part, enfin une partie de celles ci,, nous verrons pour le reste plus tard, si tout se concrétise. Il me proposait le temps qu'il finisse la cuisson de son plat, que je me sers à boire afin de me rafraichir et pour patienter. Mais je n'osais pas encore fouiller dans les armoires pour trouver où se place les choses, du coup , il voulut bien m'épauler pour cette fois ci, m'expliquant comment les  affaires de cuisine était rangée, une place pour chaque et chaque chose à sa place. Une fois servie, je le remerciais par un agréable sourire sur les lèvres et porta le lèvres à ma bouche afin d'en boire une gorgée. J'acceptais ensuite de goûter la sauce qu'il avait préparée avec amour afin de lui faire honneur. Ce met était exquis, cependant je ne lui fis comprendre qu'après une petite taquinerie. Le climat changeait quand la maison parût plus sombre soudainement, et la peur au ventre, je trouvais refuse au creux de ses bras, seul endroit où je pouvais me sentir en sécurité et apaisée. Pour me redonner le sourire, je voyais bien qu'il ferait n'importe quoi, quitte à gesticuler dans tous les sens et faire le clown pourquoi pas , un jour. Pour le moment, il essayait plutôt de me trouver des distractions, en tentant de plaisanter pour me fait rire si possible. C'est vrai qu'avec la tempête de ce matin, j'aimerais que ce soir on partage un moment sans ombre au tableau. Il fit tout d'abord en sorte que je ne puisse plus voir ce qu'il se passe dehors ainsi je ne pouvais voir les éclairs, et je trouvais qu'il avait de la suite dans les idées, il était ingénieux. Ensuite, pour ne pas entendre le bruit, il mit une musique douce, sexy aussi, la chanson de mon rêve où l'on s'embrasse en dansant, elle était présente dans un de mes fantasmes où l'on pourrait se déshabiller en dansant jusqu'à ce que la soif de nos corps finisse par prendre le dessus. Il me prit la main puis on commençait à faire un slow, c'était un moment agréable où l'angoisse, et les inquiétudes sans aller, pour laisser place au bien être intérieur. Je lui faisais part de mon rêve où on s'était embrassé, et de l'envie sur cette chanson de lui faire l'amour, comme dans mon fantasme. Puis en réalité j'espérais les assouvir tous avec lui, ça ne pouvait être avec une autre personne, je l'aimais, je l'aimerais, c'était certain. Il se mit à rire et je lui mis alors une petite tape, c'était pas drôle, cette chanson me donnait vraiment des idées pas très catholiques envers lui. Je lui fis même remarquer qu'il me faisait oublier flash d'un coup. Je tente de l'oublier. Répondis je d'un air chipie juste pour l'embêter. Tu étais mon rêve, tu es mon présent et j'espère pourquoi pas mon avenir, on verra. Lui répliquais je le prenant aux mots comme il avait fait avec moi, tout en lui adressant un sourire radieux. Puis au fond sexuellement parlant j'espérais tout de même être son fantasme, et pas une autre fille, mais je me disais que sur le coup il avait voulu dire un truc mignon et au final c'était un peu maladroit, mais j'étais cependant touchée par l'intention qu'il avait eu.

La musique s'était arrêtait, et le temps venait de reprendre sa course habituelle, j'eue un temps pour me sortir de ce moment agréable, puis m'installa pour manger. Je le laissais entamer la conversation car je ne voulais pas le couper alors qu'il regardait une émission qu'il appréciait. Je lui lançais un défi alors qu'il me reparlait des créations que j'avais pas créer à son image. Il acceptait, et je lui rendais son sourire affectueusement. Je savais que ça allait être un autre moment que j'aimerais passer avec lui, comme tous les autres. Et puis il faisait bien son rôle de protecteur il avait pas changé pour cela et tant mieux . C'est un côté que j'aime tant chez lui. Je l'aidais ensuite à débarrasser en rassemblant assiettes et couverts, puis tout à mettre dans levier. Je faisais ensuite couler de l'eau chaude en y ajoutant le produit vaisselle. Je lui fis  la remarque que j'avais chaud , c'est vrai que la vue de son torse dénudé, me laissait pas du tout indifférente, et faisait naitre des bouffées en moi. Mais ce qu'il fit ensuite, me donnait clairement des idées indécentes en tête. Le fait qu'il soit derrière moi et qu'il me souffle ces mots à l'oreille, c'était plaisant comme petit jeu. Oui j'ai chaud.. quand tu es comme ça tout contre moi. Lui répondis je la respiration qui se saccadait et le cœur qui palpitait à vive allure. Je sentais qu'il essayait de me faire craquer et ça fonctionnait plutôt pas mal il fallait l'avouer. Arrête monsieur Tate, sinon les envies vont revenir. Lui fis je remarquer d'un air malicieux, le sourire en coin, tandis qu'il m'embrassais juste derrière l'oreille. J'avais envie de le laisser contre moi, puis de l'embrasser, mais fallait résister un peu et se faire désirer. A la suite de cela il se détachait pour pourvoir s'essayer les mains pour m'aider à ranger la vaisselle. La fin de sa phrase, me dit penser à lui nu, et je dus fermer les yeux un instant et me concentrer pour m'enlever cette image très sexy de la tête.  Non non tu seras habillé, y'a un costume, puis une chemise blanche avec un gilet sans manches  gris clair pour mettre au dessus de la chemise style dandy. Commençais je par énumérer car c'était mes pièces préférées et sur lui ce serait monstrueusement sexy. J'allais chercher à l'étage, la première tenue, redescendis très vite afin de le laisser l'enfiler. De mon côté j'allais enfiler la somptueuse robe de mes rêves. Je la manipulais avec grand soin encore une fois. Je me rendis ensuite de nouveau à ses côtés, et j'étais obnubiler comme l'ensemble lui allait. Je le regardais les yeux remplis d'admiration , étincelants, rien que pour lui. Je m'avançais vers lui, lui retirant la veste de costume, délicatement, puis je déposais mes lèvres sur les siennes, j'appuyais contre ses lèvres pour le rendre plus intense ce baiser, et le prolonger, longuement, il était tellement beau, tellement parfait dans cette tenue. Je pense qu'il pourrait pas me faire plus d'effet en portant autre chose. Tu veux pas qu'on monte danser en haut, après tout on est habillé pour, comme si c'était un bal. Lui dis je remarquer, en lui soufflant cela au creux de l'oreille, en vérité je lui retirais bien ses vêtements, tellement il me faisait tourner la tête à cet instant précis. Je le dirais par la cravate, pour l'aguicher tout en l'amenant contre moi. Si tu danses bien, je t'aiderais peut être à te débarrasser de tes vêtements.  Ajoutais je en le regardant d'une manière provocante et envieuse, il me troublait l'esprit, il était bien trop excitant et sexy pour le laisser filer. T'as pas le droit d'être aussi sexy, et de me plaire autant. Lui soufflais complètement sous son emprise, enivrée.  Je capturais une nouvelle fois ses lèvres langoureusement .Glissant mes mains de la cravate sensuellement en suivant son long à son ventre. Puis passer ma main sous sa chemise, faisant des petites caresses sur son torse, puis je glissais ma main dans le bas de son ventre, juste au niveau de la ceinture et poursuivais mes caresses. J'avais envie de les glisser dans son pantalon, de le caresser près de son intimité pour le tirailler, pour animer son envie, et c'est ce que je fis tout en reprenant ses lèvres plus fougueusement puis finis par lui mordillais sensuellement la lèvres à la fin de ce baiser.  Viens danser avec moi... Soufflais je , la respiration haletante, mon sang bouillonnant, ne faisait qu'un tour, j'avais la folle envie de ressentir sa peau nu, dans un plaisir charnel. Je le pris par la main pour monter . Je veux que tu remettes la musique de tout à l'heure.. Lui demandais je les yeux brillants , ébahis devant la beauté de son être.
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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Jeu 13 Aoû - 16:39
girl you're perfect
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.



Tout ce que je voulais à cet instant précis, c'était de lui changer les idées. Elle semblait avoir peur de l'orage qui approchait, et je n'allais pas me moquer de cela. Au contraire, je voulais qu'elle oublie, qu'elle me sourit à nouveau, la rendre heureuse encore plus longtemps. Je ne nécessitais pas d'avoir un orage pour ressentir cela, évidemment, je voulais toujours la rendre heureuse. Néanmoins, c'était un cas à part puisqu'il y avait un élément perturbateur qui était l'orage. Je lui avais mis une chanson sur laquelle nous avions "danser" quelques instants avant de mettre une émission qui fait du bruit en mangeant puis nous nous cherchions à tour de rôle. Au plus les minutes passaient, au plus j'avais réellement l'impression qu'elle avait oublié le bruit du dehors. Nous reparlions de sa collection, et elle voulait que j'essaie aussi ce qu'elle avait confectionné en pensant à moi, comme collection homme. Je souris, voulant voir cela évidemment. J'étais persuadé que ça m'irait à merveille, puisqu'en parallèle j'étais convaincu qu'Alayna avait un réel talent pour la mode et l'habillement.

Avant cela, elle prenait l'initiative de faire la vaisselle, et j'allais lâchement en profiter. Alors qu'elle me demandait de mettre un tee shirt parce qu'elle avait chaud de me voir ainsi, j'allais me coller derrière elle, l'embrassant derrière l'oreille et lui soufflant des mots doux. Je riais, fier de vouloir la faire tourner un peu en bourrique, et aussi aimant qu'elle me désirait. « Mmmh mais mademoiselle Mayer c'est peut être là mon objectif. » dis-je avant de me reculer en essuyant mes mains mouillées, et je lui montrais les emplacements des vaisselles. Puis, elle m'énuméra la tenue qu'elle m'avait concoctée et je souris. « Qui au final voudra être retirée par personne d'autre que tes propres douces mains.. » dis-je malicieusement avant de m'enfuir presque vers l'étage pour prendre ce dont nous avions besoin pour notre petit soirée.



Nous nous habillions chacun de notre côté avant de se rejoindre, elle était incroyable, je lançais même un wow d'admiration. Elle s'approcha de moi et m'embrassa. Je répondais à son baiser, la tenant par la taille d'une main et le cou de l'autre. Elle me retira la veste qu'elle avait faite elle-même et me proposa de monter danser. Je la suivais sans hésiter. Elle me soufflait des choses sexy à l'oreille, je souriais. Elle était d'humeur coquine et j'aimais connaître cela d'elle, évidemment jusque là je n'avais pas pu m'en rendre compte. J'avais un sourcil constamment levé, amusé et coquin aussi. Elle me tirait par la cravate. « J'essaierais de te faire oublier combien je danse mal alors.. » dis-je tout à fait sérieux mais tout de même c'était une remarque amusée. Il ne fallait pas perdre cette tension qu'elle avait mise entre nous. « Je pense au contraire que j'ai ce droit face à une femme aussi belle que toi. » répondis-je à sa deuxième remarque. Elle m'embrassa, je répondis évidemment à ce baiser fougueux, l'attirait contre moi en passant ma main dans ses cheveux. Elle passa sa main sur mon torse puis glissa ses doigts sur ma peau nue, sous ma chemise. Je la laissais volontiers faire, j'aimais sentir ses doigts sur ma peau. Elle faisait grimper la température. Elle descendit ses doigts dans mon pantalon, près de mon sexe. Elle attisait le feu. Elle arrêta ensuite et me demanda de l'emmener danser. J'adorais ce petit jeu. Je souris et la fis reculer dans la chambre où j'allumais la chaine hifi et fit retentir la même chanson, sans la lâcher des yeux. Nous nous balancions de droite à gauche, doucement, sans se lâcher des yeux. Parfois, je lui volais de courts baisers, tendres, courts mais intenses. Je la faisais tourner, je la faisais basculais en arrière. Je laissais faire la musique, je la laissais me contrôler petit à petit.. J'aimais sentir ses cheveux frapper mon visage lorsqu'elle se relevait d'un basculé, j'aimais sentir sa respiration contre la mienne, qui se faisait de plus en plus saccadé au rythme de la musique, j'aimais cette proximité que nous avions, d'être constamment l'un contre l'autre, cette tension qu'il régnait dans la pièce, entre nous, cette température qui ne cessait d'augmenter. Ma main dans le dos, je faisais glisser la fermeture éclair de cette somptueuse robe au long de notre danse, caressant petit à petit très doucement sa peau qui s'offrait à moi. Je nous faisais bouger pour qu'elle puisse être de dos au psyché, que je puisse voir son magnifique dos nu et ma main dessus. Je passais au dessus de l'attache de son soutien gorge, je filais le long de son dos doucement. J'arrivais au haut de son sous vêtement, où la fermeture éclair s'arrêtait. Je passais une main doucement sur sa fesse droite, puis fermement d'un coup pour qu'elle s'agrippe autour de mes hanches et qu'elle bascule en demi-cercle en arrière, accrochée à moi. L'instant ne durait que quatre minutes et cinquante six secondes, mais c'était les minutes les plus intenses de ma vie jusqu'à présent. Je la désirais, je voulais la rendre folle, mais heureuse à la fois. Je n'avais jamais ressenti une telle chose. Aux dernières phrases de la chanson, qui se répétaient, je faisais du play back "baby, we found love right where we are" alors qu'elle revenait contre moi après ce dernier balancé, reprenait pieds sur le sol. J'étais à deux millimètres de ses lèvres, je la faisais reculer vers le lit, je m'approchais de ses lèvres, sans les embrasser. J'allais plutôt déposer des baisers dans son cou, laissant glisser sa robe le long de son corps, la laissant en sous-vêtement alors que la chanson finissait.




La chanson suivante commençait à raisonner. Une chanson sexy, incroyablement adaptée à notre situation. Je la laissais donc, allant l'embrasser, au dessus d'elle, dans mon lit. Puis embrassant chaque parcelle de sa peau, passant de ses joues, son menton, son cou, son torse, autour de son soutien-gorge, son ventre, ses bras, ses mains, ses jambes, insistant autour de son sexe. Puis je me relevais, elle allongée. Je retirais ma cravate que je jetais avec sa robe plus loin. Je la tirais par la main pour l'embrasser comme un fou, la faisant reculer contre un mur, j'attrapais sa jambe, sa fesse contre moi. Elle me refaisait perdre la raison.


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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Jeu 13 Aoû - 21:08
Enaël me faisait avoir confiance en lui, il était toujours présent, même s'il était maladroit , il trouvait toujours des solutions pour me surprendre et cela faisait que je m'accrochais davantage à lui. Je n'arrivais pas à enlever cette idée, que dans le sens inverse j'aurais peur d'être pitoyable et de ne pas réussir aussi bien que lui. Il semblait tellement parfait cet homme, qu' à côté est ce que j'allais réussir à le surprendre moi aussi , je voulais également l'étonner pour que je sois spéciale à ses yeux, et que lui aussi se dise qu'il avait fait le bon choix et que il s'ennuierait jamais , qu'il aurait toujours quelque chose à découvrir sur moi. Je voulais que jamais il se lasse de moi,. Comme je sais que je ne pourrais me lasser de lui. Il me faisait rire, sourire, il était attentionné, je n'aurais pas pu rêver mieux que cela. On dînait tranquillement , je voulais qu'il regarde son émission dans le silence pour respecter aussi ce qu'il aime, finalement il lançait des conversations, et j'avais l'impression qu'il montrait que j'étais importante, et qu'il ne voulait pas que j'ai peur de l'orage. Il aurait pu juste me prendre dans ses bras et continuer de regarder son émission mais ce ne fut pas ce qu'il fit, et ça me plaisait sa manière de faire avec moi: Il s'y prenait bien malgré lui. A la fin du repas, je voulais qu'il voit la fin de son émission du coup je me proposais pour faire la vaisselle. Il vint également avec moi, ce qui me fit sourire car j'avais été pleine de bonne attention.
Il profitait que je m'occupais l'esprit pour venir me déconcentrer, j'adorais le voir sexy comme ça. Ca m'amusait, et aussi ça me plaisait grandement, j'avais envie d'entrer dans son jeu, juste pour que cela devienne plus tactile et le trouver. Je lui demandais de façon subtile de mettre quelque chose sur son dos, sinon j'aurais du mal à garder l'esprit sain, et la raison. Ca risque de mal finir monsieur Tate, très mal finir. Lui dis je en accentuant chaque "mal' que je prononçais alors qu'il se reculer, le regardant du coin de l'œil avec malice. Je rinçais la vaisselle puis le laisser la ressuyer pour la ranger, car je ne savais pas encore où était la place de chaque chose. J'étais pressée du lui monter mes tenues dont il m'avait inspiré, et je pense que lui aussi , enfin j'espérais, et surtout que ça lui plaise, et le voir beau comme un dieu. Ne me tentes pas comme ça, quand cela te concernes je n'ai jamais l'esprit très clair, je deviens folle de toi. Lui rétorquais je amusée par le petit jeu qui se poursuivait, avec un ton coquin et provocateur.

Au final , il était encore mieux ce que j'avais pu croire, tellement .. "hummm" pensais je en moi même, oui mon corps tout entier le réclamait, il était craquant. Très sexy. Adieu Flash il venait de perdre, et je n'avais de yeux que pour l'homme avec qui je pouvais parcourir le plus de chemin possible ensemble. Je ne résistais pas dans un premier temps à l'embrasser, d'une manière suave et intense, pour montrer qu'ainsi il me plaisait, que c'était un ravissement pour mes yeux, et qu'il avait toute mon attention et plus s'il le souhaitait, il m'avait entièrement, j'étais dédiée à lui. J'aimais le contact de ses mains sur mes hanches comme s'il me prenait pour que je lui appartienne, j'aimais le message que ce contact pouvait faire passer, pour dire que j'étais à lui et aussi qu'il avait envie que nos corps soient proches. Je lui ôtais la veste de smoking lentement en faisant des mouvements assez sensuelles, délicats, afin d'attiser notre envie pour également faire durer le plaisir, je voulais le rendre fou, qu'il perde la tête, qu'il me désire à ne plus se contrôler, et qu'il me prenne, qu'il me fasse sienne. Je lui proposais de faire un peu comme dans mon rêve sur cette musique qui me donnait des envies folles de toucher Enaël et d'aller beaucoup plus loin même, jusqu'à l'osmose de nos corps, sentir le désir nous emporter, nous enflammer jusqu'au bout de la nuit. Le long du chemin , ne souhaitant pas qu'il se refroidisse, je faisais en sorte de faire brûler cette flamme en lui, afin qu'il ne détache pas les yeux de mon corps, que son envie ne se freine, je voulais à tout prix avoir ses mains sur mon corps, et sentir le plaisir m'emportait encore. Je le tirais ensuite par la cravate, l'attirant vers moi. Tant que je sens bien ton corps comme le mien pour moi tu danseras comme un dieu . Lui fis je remarquer, je ne savais pas pourquoi mais depuis son petit jeu, j'avais juste envie de lui, j'avais du mal à retenir cette envie , il m'avait embrasé le corps et l'esprit, je ne pensais plus qu'à embrasser son corps, le redécouvrir en prenant plus mon temps que la première fois, me languir de lui. J'ai envie de te faire languir de mon corps t'imagines même pas. Lui soufflais je dans un souffle de désir.

Mes lèvres reprirent d'assaut les siennes, dans un baiser plus fougueux comme jamais. Ce baiser semblait plus intense par la main qu'Enaël avait dans mes cheveux. Mes mains s'embarquèrent sous son haut, aventurières, à la croisade des chemins de chaque partielle de sa peau. Mes mains devinrent plus avides de sensations fortes, et de turbulences, elles entrèrent sur un chemin sensible, près de son intimité. Je regardais son regard changeait , désireux, et ça me donnait encore plus envie, de lui faire augmenter la température de son corps. Je m'arrêtais ensuite afin que cela s'apaise légèrement pour mieux ensuite rebondir. Je voulais que cela dure assez longtemps pour pousser nos limites. Il me prit avec lui pour commencer à danser, et réaliser un de mes fantasmes. Il mit en route la musique, et la chanson m''enivrait , me rendait plus désireuse à son égard. Le slow reprenait de plus belle, un slow plus érotique, sensuel. Je souriais à chaque fois que ses lèvres venaient picorer les miennes par des baisers courts, mais goûteux et intense. Il me faisait tournoyer sur moi même, puis je me retrouvais de nouveau contre son torse, qu'il venait me plaquer contre lui et je trouvais cela terriblement sexy. Je le regardais comme si je voulais le croquer, il me rendait folle de désir. Puis je basculais en arrière par son geste, et remontais proche de lui, effleurant ses lèvres avec les miennes, les caressant suavement. La musique me mettait dans un état second et ce qu'il entreprenait me faisait perdre l'esprit,. Je sentais nous souffle se mélanger tant nos corps se frôlaient au rythme de cette danse très torride, mon souffle se coupait au fur et à mesure de la sensualité qui se dégageait , qui régnait dans la pièce. Il s'attaquait ensuite à la fermeture de ma robe, avec doigté. Il s'avait y faire, oh ça oui, je sentais chaque partie de mon cœur frissonnait par la lenteur et la sensualité des gestes qui m'embarquer me soulever à plusieurs mètres du sol. Il me fit faire un demi tour, dos contre lui, je respirais fortement, je fermais les yeux, au contact de sa main dans mon dos, je frémissais intérieurement. Je me demandais ce qu'il allait se passer ensuite comme je le voyais pas , le sens du touché était encore plus développer et je trouvais cela particulièrement excitant. A sa main, sur ma fesse, je me mordillais délicatement ma lèvre inférieure. je basculais alors en arrière , faisait un demi cercle avec le haut de mon corps , il passa sa main de mon cou au bas de mon ventre en la laissant glisser sensuellement. La chanson touchait à son terme, mais je sentais que ce n'était qu'un amuse bouche, avant de poursuivre dans la même voix. Je l'embrassais langoureusement après être redressée à l'aide de sa main. dans mon dos. c'est une chose que je voulais vivre qu'avec lui, car c'était presque comme un cadeau que l'on s'offrait mutuellement, maintenir une attraction, une alchimie particulière, je n'avais jamais autant aimer être touchée par un homme, ni avoir envie qu'il me fasse l'amour. Les sensations étaient, intenses, délectables, l'harmonie de nos deux corps, me mettant dans des états que je n'arrivais pas à décrire, je ne pense pas qu'on puisse pouvoir autant être sous l'emprise d'un homme.
Je voyais ses lèvres bouger et marmonnaient les paroles de la chanson, je trouvais cela plutôt encore une fois sexy. En faite il était sexy, y'avait pas d'autre mot. J'avais vraiment de la chance. Je louchais sur ses lèvres, je voulais qu'il m'embrasse mais au lieu de cela il allait glisser ses lèvres dans mon cou, un endroit sensible et il l'avait bien compris, je soufflais de plaisir, même si je serrais les lèvres pour ne pas me faire entendre. J'aimais tellement cela. Il allait finir par ce que je craque complètement. Ma robe finis sa course le long de mes jambes doucement, et je me retrouvais devant lui en sous vêtements, je sentais que mon corps étaient brûlant de désir, et que mon corps devait être chaud, embrasé.

La chanson prit fin , et une autre prit la suite, elle était toute aussi sensuelle, et reflétait bien l'envie du moment qui nous animait . il m'embrassa sur le lit étant au dessus de moi, l'espace entre nos corps me gênait maintenant je voulais être contre lui, ressentir chaque partie de son corps, imprégner les miennes, jusqu'à les confondre. Je fondais sous chacun de ses baisers, je sentais le bien être m'envahir, l'excitant était à son comble. Les baisers proche de mon intimité faisait soulever légèrement mon corps, qui répondait à chacune des ses intensions, montrant le plaisir qu'il lui donnait. Il se leva, bougeant du lit, m'entrainant avec lui dans la folie, pour m'embrasser à pleine bouche, avec ferveur, puissance. Il me faisait aller contre le mur, prenant ma jambe en pleine action, s'aidant ma fesse, s'appuyant dessus pour contenir nos deux corps l'un contre l'autre, dans un état d'envie inimaginable. Je passais mes lèvres dans son cou, puis ma langue, à l'en faire frissonner. Avec ma jambe je passais sensuellement sur la sienne de haut en bas, pour attiser l'envie. je déboutonnais son gilet, pour l'enlever, et le laisser tomber au sol. Je déboutonnais sa chemise, mon souffle contre ses lèvres, je prenais mon temps, le regardant avec envie et passion. Puis je la fis chuter comme les autres, rejoignant les autres vêtements au sol. Je passais mes mains derrière son cou, et me pinçais la lèvre inférieure. Je m'approchais de ses lèvres, et les frôler, pour au final trouver son oreille, lui mordiller le lobe de l'oreille puis lui susurrais à l'oreille , les paroles de la chanson qu'il avait mise, d'une manière suave, très sexy, pour sentir son membre se durcir contre moi et me faire pâlir d'envie. Puis je l'embrassais , d'un baiser tendre, léger, juste poser ses lèvres contre les miennes. Ensuite, je me défaisais de cette emprise , lui retirant d'un coup sec sa ceinture, puis je partis de ses bras qui m'entouraient. Je me laissais marcher dans la chambre comme si je défilais juste pour lui. Je baissais la bretelle de sous vêtements du côté gauche, et je lui souriais coquinement. Je passais mon index sur la poitrine pour la caresser puis dans le début de mon décolleté. Je défis l'aggrave de mon sous vêtement et le retenait devant avec mes deux mains, puis avec une seule, portant ma main devant ma bouche avec la bouché bée, comme pour faire "oops" et je le mettais au défi du regard, tout en gardant ce sourire enjôleur sur mes lèvres. Je reculais tandis qu'il me regardais comme pour tenter de lui échapper et de résister, j'aimais cela, je le désirais, lui aussi, et c'était plus que plaisant.

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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Ven 14 Aoû - 8:36
girl you're perfect
Cause when we are good, we're grand, but when we're bad we are very bad. But I stick around 'cause the love that you're giving me is the best I've ever had. Oh, oh, oh, oh. And it's funny to me, the way that things have worked out. There's no doubt in my mind that you can't recall what this all was about. So let's give it up. Love me sweetly and completely Come and sit beside me 'cause you know I need you near. When you're wheelin' with that feelin' we'll paint the town pink 'cause baby, red is so last year.



Elle me rendait fou, vraiment fou. Nous étions dans un jeu de séduction depuis que j'étais venu derrière elle dans la cuisine, j'avais tout déclenché, c'était de ma faute. Mais il faut dire que j'aime énormément ce jeu. C'est fou comme j'avais si facilement envie d'elle, si facilement envie de caresser sa peau, de la voir nue, de la contempler, de l'admirer, de tomber amoureux d'elle. J'en avais envie, je n'avais jamais ressenti une chose pareille et pourtant je me délectais de ce sentiment. A cet instant, rien d'autre ne comptait que de lui faire tourner la tête, alors qu'elle s'apprêtait à faire tourner la mienne, d'ailleurs elle savait très bien y faire, déjà.

Alors que la chanson changeait et que je l'attirais contre moi pour la claquer contre la porte, tenant sa jambe et sa fesse bien fermement dans ma main, elle retira mon gilet. Elle embrassa mon cou, elle y passa sa langue. Elle jouait avec sa jambe de bas en haut, ça m'excitait. Elle s'attaqua à ma chemise, pour laisser apparaître mon torse. Elle laissa ses lèvres tout près des miennes, comme depuis tout à l'heure, sans que l'on s'embrasse, pour attiser notre envie. Elle me regarda, un regard qui pourrait me rendre complètement dingue. Elle enleva doucement ma chemise, la faisant finalement chuter au sol avec nos autres vêtements. Elle passa ses mains autour de mon cou, se pinça la lèvre que j'avais terriblement envie d'embrasser. Je me laissais faire, je la laissais jouer. Elle finit par me souffler les paroles de la chanson qui passait à la chaine hifi, chose terriblement sexy et irrésistible, qui fit monter l'envie sous mon pantalon. Elle finit par juste poser ses lèvres sur les miennes avant de fuir de mes bras, elle retira d'un coup sec ma ceinture. Je la regardais, sans rien dire, je l'admirais, l'eau à la bouche. Elle défila devant moi, caressant sa poitrine, retirant doucement son soutien gorge, d'un air coquin incroyable. J'avais un petit sourire qui apparaissait, malicieux. Elle reculait, tentant de m'échapper. Moi, je ne pus m'empêcher de faire des pas en avant vers elle. Je n'en pouvais plus, j'allais littéralement exploser. Mon coeur battait à la chamade, mes yeux n'avaient de cible qu'elle, mon sexe hurlait, ne voulait qu'elle. Tout mon corps la réclamait. J'enlevais mon pantalon, avançant vers elle. Elle tapait un meuble derrière elle, elle ne pouvait plus reculer. Moi, je fonçais vers elle, souriant. J'allais presque violemment, sans être trop près d'elle pour l'instant, arracher son soutien gorge de ses mains avant de voir sa belle poitrine. Puis, je la faisais basculer en arrière comme précédemment pour passer ma langue du haut de son cou à le milieu de sa poitrine. Puis, je passais juste un doigt, j'effleurais ses seins faisant des dessins. Mais mon corps était trop loin d'elle, la réclamait. Je la regardais dans les yeux, un sourcil levé. Tout en la regardant, je fis tomber sa culotte à ses pieds. Je la portais alors pour la faire assoir sur ce meuble derrière elle. Je posais une main dans son cou afin d'encore la faire chavirer un peu en arrière, j'embrassais son cou, sa poitrine, je descendais ma main vers celle-ci pour aller promener ma langue sur son ventre, puis rejoignait son sexe autant excité que le mien. Je laissais ma langue jouer avec son sexe, la main sur sa poitrine. Je voulais l'entendre gémir, haleter, même jouir plusieurs fois. Je voulais la rendre folle, comme elle me rendait fou. Je remontais ma langue vers son cou, puis je me remis contre ses lèvres, en la regardant. Je la laissais redescendre du meuble, je la tenais par le cou. Je la faisais reculer vers le lit, l'y faisant tomber, sans la lâcher des yeux j'attrapais un préservatif. Je retirais moi-même mon boxer, laissant respirer mon sexe qui n'en pouvait plus d'être enfermé. J'attrapais ses jambes, que j'entourais autour de moi, j'attrapais ses lèvres dans, enfin, un baiser fou, entre jeur avec nos langues, avec nos lèvres, se mordant doucement nos lèvres. Ce baiser était fou, nous n'attendions que l'union de nos deux corps. J'enfilais le préservatif et je la prenais d'un coup, d'abord allongés. Puis, j'attrapais sa tête pour faire redresser son buste. Nous étions tous les deux assis l'un devant l'autre, je voulais avoir sa poitrine contre moi, je la prenais comme cela d'abord, mes mains autour de ses magnifiques fesses que j'aimais de plus en plus. Je voulais la rendre folle, même là. Je sortais mon sexe d'elle. « Tourne-toi. Sur le ventre. » dis-je alors d'une voix un peu autoritaire, je sentais son corps frétiller de ne plus me sentir en elle. Elle le fit, j'allais lui faire littéralement manger l'oreiller. Je caressais et embrassait son dos qui s'offrait à moi, puis ses fesses magnifiques dont je m'éprenais. Puis, je repassais ma langue autour de son clitoris et de son vagin avant d'aller la reprendre comme cela. Je prenais sa main, liant nos doigts, nous accrochant au lit. Je la prenais ainsi, voyant ses fesses rebondir avec mes coups. C'était incroyablement beau. J'allais mordiller son oreille, attrapant ses fesses dans mes mains pour continuer mes coups. Je voulais la rendre folle.




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(#)Sujet: Re: begging you please don't go  |   Ven 14 Aoû - 22:01
La température de mon corps atteignait son maximum, il fallait que je l'extériorise, j'avais besoin de l'embrasser, de le toucher, de le caresser. J'avais besoin de me laisser aller au plaisir charnel, de l'émulsion de sensations qui se dégageaient du désir qui me faisait éprouver. J'aimais jouer ainsi avec lui, tenter de le rendre désireux à mon égard. Je poussais la séduction à son extrême car je voulais qu'il soit sous mon emprise également, comme il pouvait me rendre sous son charme. Il était temps d'échanger les rôles, car je ne tenais plus en place, il m'avait donner une envie folle, de parcourir son corps, de prendre le temps de le voir sous tous les angles. Je sentais chaque partielle de mon corps vouloir se confondre avec les siennes, sentir son corps mourir d'envie puis s'humidifier sous l'effort intense.

La chanson venait de changer, et celle ci me donnait des idées qui portait la controverse, plutôt séduisantes, et enjôleuses. Je l'aguichais, j'avais envie de le pousser à bout, qu'il n'arrive plus à se contenir, et m'apprivoise. Il me tenait contre la porte tant ma jambe du main ferme et forte, il avait l'air de savoir ce qu'il voulait et moi ça me rendait folle, de le voir ainsi. Je commençais à le déshabiller pour entrevoir son corps merveilleusement bien sculpté, passant mes lèvres dans son cou puis ma langue, afin de lui faire comprendre que je le désirais plus que tout à cet instant précis. Je faisais durer le plaisir, lui aussi, je sentais l'excitation grimpait, augmenter ma tension artérielle, cette tension était même palpable dans l'atmosphère, l'attirance de nos deux corps était plus présent que jamais. Je laissais ma jambe se frottait contre la sienne, faire des mouvements sensuelles, et envoûtants, afin de le relier à moi, de le déstabiliser tandis que je plongeais mon regard dans le sien,, remplis de désir pour sa personne. Je repensais à la vision de son torse, il fallait que le fasse apparaitre devant mes yeux. Je déboutonnais sa chemise, avec m'attaquant à ses boutons un à un faisait qu'attiser son envie et la mienne. Je laissais mon souffle se posait sur ses lèvres, me rapprochant à quelques centimètres de ses lèvres. Je le dévorais littéralement du regard, tout en lui montrant la passion que je ressentais pour lui, et qu'il animait chez moi . Il était maître de mon corps. Je m'emparais de sa chemise, afin de la faire voltiger avec le reste de nos affaires au sol, s'il ressentait une chaleur immense autant que moi même, il en aurait plus besoin , au contraire ça me soulager, je voulais le débarrasser de ses vêtements peu à peu pour garder cette flamme allumait aussi intense qu'elle était actuellement si ce n'est plus. Je mis mes mains autour de son cou afin d'avoir plus d'influence sur lui, comme pour le retenir auprès de moi un peu plus, et sentir l'osmose se crée dans la magie de l'instant. Je me pinçais la lèvre inférieure son regard de braise me rendant instable et aimante à la fois, douce folie passionnée. Pour que sa flamme intérieure soit plus ardent, je me permis de lui susurrais suavement d'une manière ultra sexy les paroles de la mélodie qui retentissait. En faite , je pense que ce que j'aimais par dessus tout, c'est quand son sexe était très dur contre le mien, qui éveillait mes envies les plus profondes. Je finis par déposer mes lèvres contre les siennes le souffle court. Je tirais un coup sur sa ceinture, avait une force qui me venait surement de l'excitation que j'avais pour lui. Puis je me sauvais dans la pièce pour retrouver le souffle ainsi que garder la main, afin de l'attirer vers moi, mon regard était profond révélateur de mon envie qui s'accentuait plus à chaque seconde qui passait. J'aimais également le contrôler, et qu'on inverse les rôles au bout d'un temps. Ca mettait du piment dans le jeu, et j'adorais cela. Je faisais aller mes hanches, faisant rouler mon bassin en marchant, sachant qu'en sous vêtements il pouvait très bien apercevoir la démarche que j'avais. J'étais d'humeur joueuse; je voulais l'allumer , disons le comme s'était le cas. Je baissais une bretelle puis l'autre, je le mettais au défi de se contenir puis de venir me prendre , de m'élever au ciel une fois l'envie plus forte que tout. Je dégrafais le sous vêtements en le tenant du regard, puis je le retenais d'une main, pouvant ainsi jouer avec mon index au bord des coutures de mon soutien gorge.


Je faisais des pas en arrière voulant qu'il vienne vers moi comme un aimant. Je voulais qu'il me suive, qu'il vienne me chercher, qu'il me fasse sienne. Je continuais de lui faire les yeux de biche, de jouer de mon charme, je voulais qu'il me fasse ressentir de nouvelles sensations encore, je voulais m'oublier tandis qu'il serait en moi. Il venait d'un pas décidé vers moi, et je sentais mon cœur battre à vive allure contre ma poitrine. Enfin je sentais le grand frissons, ayant hâte qu'il m'enlève. Je me mordillais la lèvre inférieure, chaque partie de ma peau nue, frissonnait rien qu'à imaginer son touché délicat, et sensuel à la fois. Il retirait son pantalon et je le regardais faire, admirant les courbes de son corps, envieuse. Je me retrouvais contre un meuble, je ne pouvais plus fuir, j'étais là à attendre qu'il me possède, qu'il me retienne à lui. Par son geste brusque je pouvais comprendre qu'il en avait au moins autant envie que moi et cela me faisait languir encore plus. J'aimais sentir son envie au travers de ses gestes, ça animait encore plus cette chaleur qui circulait dans les membres de mon corps. Le haut de mon corps se basculait légèrement en arrière afin d'apprécier chaque mouvement de sa part, de les ressentir au plus profond de moi même. Je sentais que je tremblais de tous mes membres quand il passa sa langue sur le haut de mon corps jusqu'au milieu de ma poitrine. Je frémissais au contant de ses doigts au niveau de cette partie plus en chair de mon corps. Je ne pouvais le lâcher du regard, plein de désirs envers lui, il animait la part féline qui était en moi. En un geste, je me retrouvais nue devant lui, je sentais que mon corps tout entier voulait se coller contre le sien , qu'il ne pouvait plus attendre davantage. J'étais arrivais au point de non retour.

Il me portait , et j'avais alors les fesses contre le meuble, assise contre celui ci. Le haut de mon corps se cambrait en arrière suivant le geste de la main très sensuel d'Enaël, en appréciant l'effet sur mon être. Le contact de ses lèvres dans mon cou était plus électrisant que d'habitude, étant donner le climat ambiant luxurieuse, charnelle, indécente. Il recouvrait ensuite ma poitrine de baisers plus somptueux les uns que les autres rendait la chaleur dans mon corps incandescente. Sa main contre mon intimité, me faisait ressentir une émulsion de sensations exaltantes, échauffantes. Sa langue se trouvait dorénavant sur mon ventre, et mon corps se soulevait, montrant son attraction pour le sien et le bien être que toutes ses attentions m'apportaient. Sa langue descendit , se glissait sur mon entrejambe, j'émis un souffle de plaisir au premier contact, puis les mouvements de sa langue devenant plus dense, et fervent j'émis des gémissements de plaisir de plus en plus rapprochés , avec une intonation plus élevée par le bien être qui m'enivrait. Mon intimité s'impatientait, elle désirait tellement la sienne, qu'elle mouillait abondement. Il me rendait folle en avoir la tête qui tourne. Sa longue remontait dans mon cou, et j'émis un petit cri jouissif. Il plaquait ses lèvres contre les miennes, et j'avais envie que nos corps se confondent , je voulais fortement, à avoir mon corps défaillant rien qu'à cette douce pensée. Il me fit descendre du meuble, je sentais mon corps contenant une chaleur effrénée. Il me fit basculer contre le lit, non ce n'était pas fini, ça ne faisait que commencer pour finir en apothéose. Je retenais mon souffle , je voulais disposer de toutes les conditions nécessaires pour tenir longuement, en apprécier chaque instant, chaque geste, rien n'était laissé au hasard. Il se démunit de son boxer, et au vue de ce que je pouvais apercevoir, je pouvais ressentir que je lui faisais un effet second, comme lui sur moi même. Il avait une carrure parfaite, et son membre était très bien muni, je ne pouvais pas me plaindre, ses mensurations étaient très satisfaisantes, et excitée mon membres lui faisant éjecter une substances montrant l'effet de cette vision fameuse, et délectable.

Mes jambes lui obéissait comme le reste de ma personne, elles s'emboitaient parfaitement au niveau de ses hanches. Nos lèvres se trouvèrent à nouveau, exprimaient leur affection, leur enthousiasme, l'affolement de nos deux corps, éperdus, que ne voulait que se combler l'un l'autre, dans la danse de nos deux corps, endiablés. Ma langue caressais, léchais la sienne avec ferveur, mes lèvres se plaquaient contre les siennes montrant la rage du désir passionné, déchaîné. A la fin de chaque baiser l'un mordillait la lèvre de l'autre n'arrivant plus à canaliser toutes cette adrénaline, cette envie folle, qui consumait nos deux êtres, éperdument amoureux de l'autre. Elles voulaient le montrer, de la plus belle façon, en se faisant l'amour à en mourir d'envie, à en faire pâlir les autres, à nous rendre fou l'un de l'autre, à se croire mort et faire l'amour encore, à s'abandonner ayant la souffle coupait par l'envie qui nous dévorait, et eut raison de nous. Il entrait en moi, me possédant de toute part . Le coup de reins fut assez violent, mais il avait eut le don de produire en moi, une satisfaction immense. Car cela était le signe de son désir, il est déchargé tout ce qu'il ressentait et tout ce qu'il avait attendu; l'envie à son apogée. Je lâchais un gémissement long, et assez puissant au son. Je me mordillais fortement la lèvre pour retenir les suivants, mais il me procurait tant de plaisir, que je sentais mes hanches se décalées, et mes membres tremblée de plaisir et d'envie à la fois. Il me tenait par la tête, redressant mon corps pour être contre le sien. Je respirais tout contre lui, une respiration aux connotations sexuelles. Il me demandait de me retourner, sur un ton sur de lui, exigeant, dans cette circonstances plutôt sexy, et excitant. Je m'exécutais, me demandant tout de même ce qu'il allait se dérouler ensuite, mais je lui faisais confiance car je savais qu'il me respectait et mon corps aussi. Je me préparais mentalement, à ce qui me fasse revivre des choses très passionnelles, alors je m'accrochais aux draps du lit. Il caressait tout d'abord mon dos et le couvrait de baisers, jusque sur mes fesses rebondies, pulpeuses. J'eue un sursaut de plaisir, quand sa langue rencontrait de nouveau mon entrejambe. Je tentais de ne pas faire trop bruit, me servant de la couette ou de l'oreiller. C'était tellement délicieux, de le sentir de nouveau en moi, comme si nous faisions qu'un.

Il liait nos mains ensemble comme pour faire le pont de nos deux âmes qui se retrouvaient pour se lier d'amour et de promesses d'avenir. Je lui demandais dans un gémissant de plaisir , le souffle saccadé de ne plus s'arrêter, je sentais qu'il touchait mon point G, et que cela me faisait tourner la tête. Je prononçais son prénom de plus en plus fort, en gémissant , au plus cela était rapide et plus violent. Allonges toi. Lui suppliais je presque étant dans un état d'extase. Il s'allongeait, et je me redressais alors étant sur lui, toujours dans le même sens de positions dos à son visage. Je tenais ses hanches, faisant d'amples mouvements de bassin, dans une danse corporelle, assez sportive. Je faisais des coups de hanches abruptes, je ne contrôlais plus mon corps, il m'avait donné tellement envie que je ne pouvait plus m'arrêter. Je laissais aller ma tête en arrière, fermant les yeux, profitant de chaque geste, pour en ressentir la beauté, le plaisir procurait. Je m'accroupissais ensuite, une fois en position stable, je commençais des mouvements verticaux plus sauvages, plus durs, plus entreprenants. Je tenais ainsi durant plusieurs minutes, je voulais lui faire du bien , énormément de bien, alors je pris ma main droite, et je décidais d'aller la déposer sur ses parties génitales , ses bijoux de familles, que je masser, malaxer avec envie, je voulais le rendre fou, comme il avait fait à son tour avec moi, quand je l'avais chauffer, alors je continuais jusqu'à lui faire prendre son pied, littéralement parlant, je voulais l'entendre exprimer son plaisir à son tour....Après avoir pris beaucoup de plaisir à lui en donner, je me redressais, puis basculer une de mes jambes sur l'autre côté, afin de me retourner, et là je m'accrochais à son torse, en lui faisant des griffures, des traces de cette union qui resteraient, je passais ensuite la langue sur son torse, puis lui fis un suçon dans le cou, laissant la marque de mon passage, de ma passion pour lui. Je m'accrochais ensuite au drap que je tenais fermement et j'accélérais les mouvements, l'embrassant langoureusement, aspirant sa langue dans ma bouche, faisant des ronds avec celle ci dans un sens , dans l'autre... je ressentais un plaisir illimité , sentant que cette fois ci j'étais proche de l'orgasme.. mon corps était humide, atteignant des températures très élevées, comme si il avait fait monter la fièvre en moi. Je l'aimais, oui je l'aimais par dessus tout, et ses sentiments amoureux poursuivaient leur chemin sans fin.
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