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(#)Sujet: Re: -terminé- Turn me into someone like you, find a place that we can go to.   |   Dim 31 Jan - 0:11


❝Colinn x Alicia

♡ We faded faster than the speed of light

La conférence est vraiment incroyable. J'ai appris tellement de choses pendant ses quelques heures. Je suis vraiment reconnaissante envers monsieur Marloes et envers tout les chefs de service de l'avoir permis d'être ici aujourd'hui. Je profitais au maximum de tout ce qui m'entourait et de tout le monde. J'étais vraiment ravie de ce qui m'arrivai et je peinai même un peu à y croire. Et comme si ce n'était pas déjà trop beau, j'étais en plus de ça invitée avec tout le reste de l'équipe, à une super soirée auquel je n'aurai pas cru participé de si tôt. J'avais fait en sorte d'être présentable grace à Miranda. Puis une fois à la fameuse fête, un jeu de regard plutôt suspects et pas vraiment anodin. Et cela jusqu'à ce que finalement il ne me rejoigne carrément avec deux coupes de champagne. Il me parlait d'une voix caressante, et je me montrait particulièrement douce aussi avec lui. Ça dépassait un peu le cadre professionnel. J'allais jusqu'à lui caresser les cheveux. Jusqu'à ce que Miranda nous interrompre. Mais je retourne rapidement vers lui. Mais peu de temps après c'est une jeune femme visiblement attirée par mon patron. Mais lui de son côté ne me quittai pas des yeux. Mais je fini par rentrer.

Si je l'apercevait quand mon taxi quitta les lieux, je ne m'attendais pas à ce qu'il le suive et cherche à me rattraper. Et il réussit de justesse juste avant que je n'entre dans l'ascenseur. Pourquoi il a fait ça? Une certaine tension se fait sentir dans l'ascenseur. Mais une pension positive, agréable... C'était presque bon. Il m'invita à prendre un verre avec lui et j'acceptais avec grand plaisir. Je crois que ça se voyait que j'en avais envie non? Je compris que nous allons prendre le verre en question dans sa chambre quand il s'arrêta à notre étage. Ça ne me dérangeait pas. Après tout c'était un endroit comme un autre. Nous étions assez adulte pour ne pas nous sauter dessus comme des animaux.

Et j'avais bien fait d'accepter parce que je découvrait un endroit incroyable. C'était tellement beau. C'était une immense suite et c'était vraiment royal, très luxueux, incroyable. Le lit était magistral. Mais ce qui m'émerveillais le plus, c'était la partie toute vitrée de la suite qui offrait une vue imprenable sur un new-York nocturne, avec ses building illuminés, c'était magique, j'en frissonnais. Puis je fini par demander à Marloes de quoi il voulait me parler. Sa réponse me fit sourire. Ok, le verre d'abord. Je le regardait alors préparer un cocktail puis servir un verre d'alcool plus fort pour moi. Il me tendit le cocktail et je souris.

C'est pour moi ce truc rose? Un cocktail de gamine? Pourquoi je n'aurai pas le droit à un scotch moi aussi hein?

Je le regardait avec amusement en souriant.

Non je plaisante, ça ira très bien.

J'en buvais une gorgée, c'était très bon. Un peu léger mais très bon. J'allais lui demander ou il avait appris à faire ça, mais il prit la parole avant moi. Je l'écoutais alors avec beaucoup d'attention. Il disait que si je voulais prendre la fuite je le pouvais mais il espérait que je resterai discrète si c'était le cas. Je hochai la tête.

Nous sommes entre adultes. Vous pouvez comptez sur ma discrétion...

Je lui souris sans le quitter des yeux en buvant une nouvelle gorgée. Puis il m'avoua avoir envie de moi. Très envie. Je souris encore. Putain il est trop canon. Je souris encore plus quand il ajouta que je le rendais dingue. Que c'était mal mais qu'il ne le contrôle pas.

Je m'en suis rendue compte... Enfin... Je n'en étais pas sur mais... Vous avez une façon assez particulière de me regarder... Enfin depuis quelques temps.

Je bus encore une gorgée et je l'écoutais de nouveau. Il m'explique qu'il n'a rien à me proposai et me fait comprendre qu'il ne veut pas d'une relation sérieuse. Je m'en doutais bien. Je n'étais pas entrain d'imaginer qu'il était amoureux de moi ou qu'il allait faire de moi la future madame Marloes. Est ce qu'il y'avait seulement une madame Marloes? Je hoche la tête pour lui confirmer que je comprenait bien ou il voulait en venir. Puis il proposa qu'on passe la nuit ensemble mais que ça soit juste une nuit, que ce qui se passe à New-York reste à New-York. Je souris de nouveau.

Comme à Vegas alors?

Je ris légèrement. Je le regarde. Puis il me dit que je peux encore quitter sa chambre et de l'envoyer chier.

J'ai l'air d'avoir envie de partir?

Je garde un calme infini. Sérieusement? J'étais toute aussi désireuse que lui. Ça se voyait que j'étais presque dans le même état que lui non? J'avais cependant quelques questions avant.

Vous êtes marié?

Il affirma que non, il le confirma très sérieusement en instant lourdement. Il n'avait personne dans sa vie, ni femme, ni petite amie. J'étais toujours aussi calme, presque nonchalante.

Très bien... J'ai envie de vous aussi... Vous me plaisez beaucoup monsieur Marloes... Vous êtes tellement... Toutes les femmes n'avaient d'yeux que pour vous ce soir, et vous me choisissez moi...

Je posai mon verre sur la table qui se trouvais juste la. Puis je prenais son verre de ses mains et je le posai à côté du mien. Je saisi sa cravate dans mes mains et commençait à la défaire en plantant mon regard dans le sien.

Embrassez-moi.

C'est à ce moment la que nous perdons les pédales...
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(#)Sujet: Re: -terminé- Turn me into someone like you, find a place that we can go to.   |   Dim 31 Jan - 1:07
(...) a place that we can go to —





—  ALICIA & COLINN
Je voyais bien qu'Alicia était très heureuse d'être là. Elle n'était pas le genre de personne à tenter de dissimuler ses émotions, quelle qu'elles soient. Elle était heureuse et elle le montrait ! Sans tomber non plus dans l'hystérie. Elle n'avait pas besoin de ça. Elle n'était pas excessive. Elle était seulement parfaite. Et lumineuse. Éblouissante par ses sourires. Elle me mettait dans tous mes états, sans avoir l'air de le réaliser ni d'y faire vraiment attention. Mais j'étais vraiment sans dessus dessous en tout cas. Je ne pouvais me lasser de la regarder tant elle était belle. Tant elle m'attirait. C'était au point où j'étais prêt à mettre tous mes principes de côté. Elle n'était même pas mon employée. C'était pire que ça, vu qu'elle n'était "que" stagiaire dans mon entreprise. Mais tant pis, je prenais le risque de faire une grosse connerie. D'abord, en l'invitant dans ma chambre. Pour la proposition tout simplement inacceptable qui suivait ... Ca arriverait bien assez vite. Dans ma suite, elle continuait de s'extasier sur tout ce qu'elle découvrait. C'était grandiose, en effet. La vue sur New-York était encore plus belle en pleine nuit. Trahissant un peu de ma nervosité quand elle voulut entrer dans le vif du sujet, je choisis plutôt de préparer nos verres comme prévu, puis de lui tendre le sien. Je souris à sa remarque qui, dans le fond, ne me surprenait pas vraiment. Parce que je veux être certain que vous gardiez les esprits clairs et ne puissiez pas m'accuser de vous avoir volontairement alcoolisée ... Répondis-je très naturellement. Y'avait un peu, beaucoup, de ça en effet. Je ne voulais pas qu'au réveil elle puisse prétexter l'alcool pour excuser ce qui arriverait ensuite. Si, vraiment, ça arrivait. Je ne voulais pas m'imaginer tout de suite qu'elle allait succomber.

Je fus rassuré quand elle m'assura que je pouvais compter sur sa discrétion. Je n'avais aucun doute là dessus. A vrai dire, j'avais déjà toute confiance en elle. Elle n'avait jamais parlé de notre baiser à qui que ce soit. Pas même à Miranda de qui elle semblait assez proche. Du moins, pas que je sache. Et j'espérais vraiment que non. Après mes confessions, elle même m'avoua s'en être rendue compte. Bien sûr, depuis notre échange de baiser, j'avais beaucoup trop de mal à la regarder comme une simple stagiaire de vingt ans. Je la voyais davantage comme une jeune femme incroyablement désirable. Et le goût de ses lèvres me manquait terriblement. Je tentai de bien lui faire entendre que je n'envisageais pas du tout une relation. Et tout au long de mes incessants discours, elle n'avait pas l'air de me prendre pour un fou ni d'avoir envie de fuir. Au lieu de ça, elle semblait attentive à mes propos et désireuse d'entendre la suite. Comme à Vegas ... Lui confirmai-je avec un petit sourire amusé. Puis je hochai négativement la tête quand elle me demanda si elle avait l'air de vouloir prendre la fuite. A vrai dire, pas du tout non. Elle semblait plutôt calme et détendue. Même plus que moi qui craignais depuis le début qu'elle ne me prenne pour un taré ou un véritable pervers. Quand elle m'interrogea sur une éventuelle épouse, je pris un air grave. Non. Absolument pas. Aucun engagement de ce genre. Pas d'épouse, pas de fiancée, pas de petite amie. Lui assurai-je sans l'ombre d'une hésitation. C'était la première fois qu'une personne bossant avec moi, avait droit à un détail de ce genre sur ma vie personnelle. Mais c'était la moindre des choses quand même, compte tenu de ce que je venais de lui proposer ...

Et de toute évidence, ma réponse la satisfaisait. Assez logique en soit. Vous êtes la seule à avoir attiré mon attention ... Lui fis-je remarquer avec douceur. C'était peu dire ! J'étais obsédé par elle au point de n'avoir pas même regardé les femmes qui me tournaient autour. De toute façon, j'avais horreur de celles qui faisaient ça. Je préférais la subtilité. Très sûre d'elle, Alicia récupéra mon verre pour le poser sur le mini bar avec le sien, avant de venir se poster devant moi. Déjà, elle m'attrapait par la cravate pour commencer à la défaire, en plantant son regard dans le mien. Mon coeur, de nouveau, tambourinait frénétiquement dans ma cage thoracique. Sans la quitter des yeux, je me penchai vers elle pour poser mes lèvres sur les siennes. C'est à cet instant que je su qu'aucun retour en arrière n'était possible. Que nous étions bien perdu pour de bon maintenant. L'un de mes bras s'enroula autour de sa taille pour l'attirer fermement à moi et l'autre glissa plus haut dans son dos, pour que ma main repose à la naissance de son cou, sur sa peau nue, douce et chaude. Ma langue jouait déjà avec la sienne, avec une certaine sensualité. C'était parfait. C'était divinement bon. Je ne bougeai de nouveau que lorsque je sentis ma cravate glisser dans mon cou pour disparaître tout à fait. Sans cesser de l'embrasser, je dénouai mes bras d'autour d'elle, pour pouvoir me délester de ma veste de costume qui tomba au sol sans que je ne m'en soucie plus que ça. Quand bien même ces fringues m'avaient coûté une fortune ! Je logeai mes mains sur ses mâchoires et tant bien que mal, je me forçai à libérer ses lèvres des miennes. Je manquais de souffle tant j'étais chamboulé par tout ça. C'était bien la première fois qu'une telle chose m'arrivait.

Je posai mon front contre le sien tandis que mes mains glissaient le long de sa gorge pour descendre sur ses épaules. Quand elles furent là, mes lèvres se joignirent à la partie. Je déposai un tendre baiser sur ses lèvres, un autre sur sa mâchoire, puis quelques uns le long de son cou. Je descendis ainsi jusqu'à son épaule. Et du bout des doigts, j'attrapai les bretelles de sa robe que je fis lentement glisser sur ses épaules puis le long de ses bras. Je posai mon front sur son épaule au son du vêtement qui atterrissait au sol. Avec un truc pareil, elle ne portait évidemment qu'un sous vêtement. Je laissai échapper un bref soupir quand mes mains se posèrent sur ses hanches pour remonter lentement. Mes paumes caressaient sa peau avec douceur et tendresse, longeant ses flans pour finalement disparaître dans son dos plutôt que de toucher tout de suite sa poitrine. Ce n'était l'histoire que d'une nuit. Alors autant prendre vraiment notre temps. Je voulais que ça dure autant que possible. Une fois mes mains sur ses omoplates, elles redescendirent pour caresser longuement son dos. Ce faisant, je retrouvai sa bouche que j'entrepris de mordiller et embrasser du bout des lèvres tour à tour.
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(#)Sujet: Re: -terminé- Turn me into someone like you, find a place that we can go to.   |   Dim 31 Jan - 11:43


❝Colinn x Alicia

♡ We faded faster than the speed of light

Cette suite était tout bonnement à couper le souffle. J'étais encore plus entrain de me rendre compte à quel point monsieur Marloes était un homme important. Mais ce n'est pas ça qui m'attirai chez lui. Enfin oui et non. Son argent ne m'intéresse guère, ça ne me séduit pas. Mais le fait qu'il soit un homme de pouvoir, un homme puissant, oui, ça m'attirai et ça avait quelque chose de super excitant. Bon sang, et la vue, quelle vue, c'était incroyable, magique. Je le regarde alors nous préparer à boire et m'apporter un ravissant cocktail digne d'un bar. Comment sait-il faire ça? C'est fou ce que cet homme m'intrigue. Je plaisante avec lui en demandant un alcool plus fort mais il me répond qu'il ne veut pas que je l'accuse de m'avoir alcoolisé. Quand il me dit que je peux prendre la fuite si ça ne me plais pas, je comprend ce qu'il va me demander. J'en ai envie. J'en crève d'envie. Je crois que j'ai envie de lui depuis le soir ou il m'a embrasser. Ensuite je l'écoutais très attentivement. Il voulait que ça ne soit l'histoire que d'une nuit. Une merveilleuse nuit. Au moins nous étions sur la même longueur d'ondes. Il avait raison en disant que l'un comme l'autre nous n'étions pas prêt à nous engager. Oui, comme à Vegas. Je souriais encore. Et je trouvais presque attendrissant la façon dont il hochai la tête négativement quand je lui demandai si j'avais l'air d'avoir envie de fuir. C'était mignon. Je fus ensuite soulagée d'apprendre qu'il n'avait ni épouse, ni fiancée ou même petite amie. Soulagée et ravie. Je n'étais pas une briseuse de couple et je n'aurai pas couché avec un homme marié. Mais au delà de ça, savoir qu'il était célibataire me fit vraiment plaisir. Ensuite je lui fis comprendre que j'étais flattée d'avoir été la femme qu'il a choisi avec toutes celles qui lui tournent autour.

J'en suis flattée monsieur...

C'est alors que les choses sérieuses commencèrent. Je posai nos verres d'un après l'autre pour nous en débarrasser, puis je commençai à défaire sa cravate et lui demandait de m'embrasser. Il s'exécuta et je souris. Je décollais mes lèvres des siennes juste un instant.

Vous m'obéissez maintenant monsieur Marloes?

Je ris contre ses lèvres avant de prolonger notre baiser si intense. Son bras fort s'enroula alors autour de la taille pour me plaquer à lui fermement et son autre main se déposa en haut de mon dos ou il caressait ma peau nue. Ce qui eut le dont de me faire frissonner. Notre baiser était passionné. Je le débarrassai de sa cravate alors qu'il me lâchai, sans pour autant interrompre le baiser, et se débarrassa de sa veste. Il posa ensuite son front contre le mien. Je jouais tendrement alors le bout de mon nez sur le sien. Il a un nez adorable. Ses mains sur mes mâchoires descendent alors le long de ma gorge puis sur mes épaules. Je souris. Puis ses lèvres suivent de même trajet. Quand elles sont dans mon cou, je soupir légèrement et je frisonne encore. Il saisit alors délicatement les bretelles de ma robe qu'il fut glisser le long de mes épaules et de mes bras avant de le lâcher. Le frottement du tissu contre ma peau qui fendait l'air jusqu'à s'écraser au sol, tout ça créa des sons très sensuels. Évidement vu la robe que je portai, je n'avais pas de soutien-gorge. J'étais seins nus devant monsieur Marloes, pourtant juste une toute petite culotte noir. Il posa ses mains sur mes hanches en soupirant, puis remonta le long de mes flancs. J'adore ses mains sur moi. J'en tremble. Il passe ses mains dans mon dos au lieu de me caresser directement la poitrine. C'est très subtil. Il est très doux. J'avais un peu peur qu'il me prenne juste brutalement et sans aucun égard, mais ce n'était pas le cas. Il me faisait l'amour tendrement. Il caresse mon dos puis nos lèvres de retrouvent enfin. Je souris. Je ris même quand il mordille mes lèvres. À mon tour, je défait un à un les boutons de sa chemise noir. Quand son tatouage représentant un chapelet apparaît, je m'arrête et je l'embrasse, perle par perle.

Je rêve de faire ça depuis le jour ou j'ai vu ce tatouage sur vous. C'est tellement sexy .

Je défait encore sa chemise en l'embrassant cette fois jusqu'en bas et je caresse son torse. Oh bon sang, il est tellement musclé. C'est carrément des tablettes de chocolat. Je n'imaginai pas qu'il était aussi bien foutu. Il était grand et élance certes, mais le torse parfaitement dessiné c'était une surprise. Une agréable surprise. Et quand je voulu regarder ça de mes yeux en mettant un terme au baiser, je posai les yeux sur un aigle royale tatoué sur son ventre ainsi que l'inscription "California" en grandes lettres. Je caresse son torse à l'endroit des tatouages. Je relève la tête et plante mon regard dans le sien en souriant.

Alors vous êtes californien?

Je ne lui laisse pas vraiment le temps de répondre que je fond de nouveau sur ses lèvres. Mes mains à plats sur son torse parfait, je les remonte jusqu'à ses épaules, puis le long de ses bras en poussant sa chemise afin qu'elle tombe aussi également. Mes lèvres déserte les siennes pour sa mâchoire barbue. Puis glisse dans son coup. J'adore le goût de sa peau. Je le dévore un moment, le sentant frissonner et soupirer sous mes baisers incessants. Je recule légèrement pour le regarder et la... Je pousse un hoquet de surprise en ouvrant la bouche en O. Je découvre alors des bras entièrement recouvert de tatouages. Pas une seule partie de peau. Je les observe pendant un moment avant de revenir à son visage.

C'est... Vous êtes... Magnifique. Je n'imaginai pas que vous étiez le genre l'homme à porter autant de tatouages. Ça vous va très bien. C'est très sexy.

Ouais ça faisait très badboy sexy. Et j'adorai ça sur lui. Ça ne correspondait tellement pas à l'image qu'on se faisait de lui. À l'image qu'il renvoyait tout simplement. Il se penche sur moi et m'embrasse de nouveau. Alors que de mon côté je glisse mes mains bien plus au sud. Je sens alors la bosse dans son pantalon. Wahou... Je lui fait énormément d'effet apparemment. Je saisi sa ceinture en souriant contre ses lèvres et je le fis reculer jusqu'à son lit. Je défaisais alors sa ceinture que je fit lentement glisser autour de sa taille pour l'enlever complètement du pantalon. Je trouvai ça sexy et excitant. Puis lentement, j'ouvre le bouton et la braguette de son pantalon bleu marine. Je le fais glisser le long de ses fesses puis le laisse tomber au sol alors qu'il s'en débarrasse avec ses pieds. Il porte un caleçon noir d'une grande marque italienne. C'est tellement sexy. Je ne peux m'empêcher de regarder son... "Paquet", et je me rend compte que c'est... très fourni si je puis dire. Ça m'excite. Je prend alors ses mains dans les miennes, entrelaçant nos doigts. Nos lèvres se ne quittent plus une seule seconde. Je pose l'une de ses mains sur mes fesses. Les lèvres glissent dans son cou de nouveau alors que mes mains jouent avec l'élastique de son boxer. Puis finalement j'enroule mes deux bras autour de sa nuque et reviens à ses lèvres... Nous y allons vraiment doucement, il ne me brusque pas. C'est parfait.
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