your smile is my hapiness

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MAEVA & ENAEL

la meilleure façon d'aimer une personne, c'est de ne pas oublier qu'on peut la perdre à tout moment.

Elle ouvrait enfin son cadeau. Je regardais sa réaction, très bonne. Elle semblait vraiment apprécier ce que je lui avais offert. Je souris alors qu'elle complimentait mon choix. J'étais vraiment content d'avoir visé juste. Bon faut dire que je m'y connais pas mal en vêtement féminin, j'en avais fais la preuve plus d'une fois. Mais tout de même, j'avais toujours cette peur de ne pas viser juste. Pourtant, il n'était pas l'heure de se préparer alors on se faisait une partie de cartes tranquillement. La coquine, elle savait comment faire pour gagner et elle m'entourloupa. Du coup, je l'attaquais à coup de chatouilles. Nous finissions dans le lit et je la regardais cette fois tendrement, plus sérieusement. Je lui soufflais des mots doux. « je pense que tu ne te rends pas compte de ce que tu représentes pour moi. » soufflais-je caressant sa joue, après sa réplique. Je savais bien que je l'avais sauvé maintes fois mais elle était toute ma tendresse. Sans elle, je serais redevenu un homme dur et rebelle, qui fait son sans coeur et qui ne se retourne pas sur son chemin. Elle m'avait ouvert l'esprit, ouvert l'homme sentimental et tendre qui est tout au fond de moi. Bon faut dire, elle reste la seule à l'avoir cet homme là en dehors de ma famille, mais tout de même. Il existait quelque part, hors de l'homme qui trafiquait pour survivre. Tout cela subsistait grâce à Maëva. Nous étions confortablement dans le canapé, sa tête posée sur la mienne quand elle me soufflait qu'elle m'aimerait pour la fin de sa vie. Je souris et répondit à son baiser. « moui.. si Leonardo DiCaprio s'en mêle ça va changer la donne.. » soufflais-je avant de rire doucement. Je la ré-embrassais. « Je t'aimerais aussi jusqu'à la fin de mes propres jours » et ça je le pensais vraiment. Même s'il lui arrivait quelque chose, je savais qu'au fond de moi demeurerait une partie aimante de Maëva toute ma vie. C'était naturel pour moi de l'aimer. Elle s'apprêtait à aller se préparer dans la salle de bain. Je souris la voyant y aller avec son cadeau, toute contente. J'enfilais mon costume seul dans la chambre, passant un coup dans mes cheveux pour être présentable et liant mes lacets de mes chaussures. Je nouais ma cravate quand elle sortait de la salle de bain, me demandant ce que j'en pensais. J'étais sans voix. Mais il fallait que je dise quelque chose. « Oh heu.. wow.. tu es parfaite mon ange tu es.. magnifique. » soufflais-je en venant prendre ses douces mains dans les miennes et les serrer. « waouh » ajoutais-je. Elle s'était maquillée, chose qu'elle ne faisait jamais et ses cheveux étaient noué divinement. Elle ressemblait à un ange déchu sur Terre. « on dirait que tu descends du paradis » lui soufflas-je en souriant, m'approchant de ses lèvres pour l'embrasser tendrement. « il manque un truc » dis-je allant chercher une rose du petit déjeuner laissée là que je coupais et nouais dans son chignon. « et voilà une belle fleur » dis-je en souriant. Je lui donnais mon bras. « allons-y » dis-je en souriant. Nous allions prendre la limousine pour aller au palais. C'était un grand événement alors il le fallait. Nous arrivions là-bas et nous devions faire une danse d'entrée, on le faisait avec une foule de couples autour de nous. C'était très amusant. « regarde la dame là-bas on dirait qu'elle n'est pas sortie depuis des années de son placard » soufflais-je alors qu'on se croisait dans la danse en riant. Il y avait des personnes âgées vraiment drôles et adorables, qui semblaient vouloir vivre une deuxième jeunesse ce soir. Nous étions deux dans une foule mais, il n'y avait pas de mal à ça car nous étions très bien servis. Il y avait des buffets, des tables, des fontaines, tout pour passer une très bonne soirée. Il n'y avait pas trop de monde ni pas assez. « alors, ce palais, comment tu trouves? » dis-je à la fin de la première danse, regardant autour de nous, la tenant par la hanche. « tu veux qu'on fasse un tour? » proposais-je prenant sa main en souriant, l'attirant dans les couloirs du palais. « c'est trop beau » dis-je regardant les sculptures, les peintures dans les couloirs, les grandes pièces à vivre, les grandes cheminées, les escaliers gigantesques. Je la regardais. « tu es une vraie princesse » soufflais-je en souriant. Je m'arrêtais, la regardais. « tu sais, j'aimerais que tu rencontres mon frère et mes soeurs, que tu fasses parti de notre famille.. » soufflais-je prenant ses mains dans les miennes.

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Enaël & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

J'étais dans un état d'excitation indescriptible et heureusement que je m'étais reposée un peu cette après midi sinon je n'aurais jamais tenue le coup toute la soirée. Ena me fit rire lorsqu'il me dit que j'étais magnifique et qu'il rajouta une fleur dans mon chignon. Une fois prêt tout les deux nous descendions donc de notre chambre pour prendre une limousine qui nous entraîna directement devant le palais. On se serait crut dans un véritable conte de fée et ou j'étais la princesse et Ena le prince charmant. La soirée commença par une danse en couple et tout autour de nous des gens tournaient, dansaient et s'amusaient à n'en plus finir. A l'intérieur du palais c'était vraiment époustouflant, avec toutes ces dorures, ses tableaux, ses immenses miroirs. Les gens c'étaient tous vêtus de leur plus beaux habits et on se serait crut dans ce dessin animé que je regardais étant petite "Anastasia". Lorsqu' Ena me proposa d'aller faire un tour j'acceptais bien évidemment. On aurait plus jamais l'occasion de revenir dans ce lieu magique et hors de question de quitter la Russie sans visiter ce Palais majestueux. « Allons-y, mais essayons de ne pas nous perdre. » C'était vraiment immense et les couloirs se ressemblaient tous à quelques détails prêt. J'allais continuée mon chemin lorsque Ena m'attrapa les mains pour m'arrêter et me coller à lui. Il me parla ensuite de son frère et de ses sœurs que je n'avais encore jamais vu à part en photo. Ils avaient surement une vie bien chargé tout comme Ena mais oui j'aurais bien aimé les rencontrer enfin... Sa dernière phrase me toucha au plus haut point, il voulait que je fasse partie de sa famille, de leur famille, moi qui n'avait plus personne à part mon père, et encore... J'approchais doucement mon visage du sien et d'un doux baiser je déposais mes lèvres sur les siennes. « Mais si je ne leur plaisais pas ? » demandais je une fois le baiser rompu. Après tout peut être que ses sœurs ne m'apprécierais pas, ce ne serait pas étonnant, qui voudrait que son frère s'attache à une personne qui pouvait mourir à tout instant. Ena avait surement lut dans mes pensées et avant qu'il ne me dispute pour avoir de telles pensées je l'entraînais dans la salle de réception car je commençais à avoir un petit creux et j'avais aperçu en arrivant un buffet qui m'avais l'air très appétissant. Il y avait des tas de plats que je ne connaissais pas et pour faire plaisir à Ena je pris un peu de chaque pour gouter à tout. Il me rabâcher tout le temps qu'il fallait toujours gouter à tout avant de dire que l'on aimer pas et il avait raison, certains plats étaient vraiment délicieux. Lorsqu'il serveur vint leur proposer une coupe de champagne je posais mon assiette et prit le verre qu' Ena me tendait. « A nous ! » dis je en faisant tinter mon verre contre le sien. Je n'avais pas l'habitude de boire, je devais éviter à cause de ma maladie mais aujourd'hui était un jour spécial et j'avais bien l'intention de le rendre inoubliable. « Et si on allait danser le temps que mon corps le supporte encore ? » lui dis je en posant mon verre. Je savais très bien que je ne tiendrais pas toute la nuit et je voulais en profiter le temps que je le pouvais encore.

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MAEVA & ENAEL

la meilleure façon d'aimer une personne, c'est de ne pas oublier qu'on peut la perdre à tout moment.

Nous allions à ce bal comme prévu dans un magnifique palais non loin de l'hôtel. Je savais que ça lui plairait, et je n'avais pas raté mon coup encore une fois. Je souris en la voyant si heureuse. Nous dansions une première fois ensemble dans la foule d'autres couples. C'était vraiment magique. Moi même j'étais ébahi devant la beauté de l'endroit et de l'événement. Je décidais de la tirais dans les couloirs. Il y avait toujours quelqu'un de toute façon alors, on pourrait demander au pire si on se perdait. Je n'avais pas peur de me perdre avec elle parce que finalement si elle était là, rien ne pouvait me faire paniquer ou me donner l'impression que je sois perdu. Etre perdu avec quelqu'un qu'on aime, c'est un paradoxe. Nous marchions en regardant partout autour de nous. Je la regardais, la trouvant plus belle encore qu'une princesse des contes Disney. Puis, je lui parlais de mon envie qu'elle connaisse ma famille. Je savais très bien que j'avais une famille de fous, mais ça me tenait à coeur. Je voulais qu'elle en fasse parti par le simple fait qu'il sache qu'elle est dans ma vie. Mes frères et soeurs sont toute ma vie et elle le sait, je lui aie assez répété comme ça. Autant qu'elle les connaisse, maintenant. J'étais sûr qu'ils allaient bien s'entendre à un moment donné au pire des cas. De toute façon, ils savent qu'ils n'ont pas le choix. Ils vont le savoir du moins. Ils vont sentir qu'il y a la bulle de protection signée Tate autour de Maëva. « mais si tu leur plairas. De toute façon, ils sont obligés de bien t'aimer sinon ils savent qu'il va y avoir les foudres du grand frère » dis-je avec humour, l'embrassant sur la joue. Nous continuions le parcours alors qu'elle disait avoir faim. Elle m'attirait au buffet que j'avais aperçu plus tôt et nous mangions quelques trucs qui avaient l'air et étaient vachement bons. Elle prenait enfin ce qu'elle ne connaissait pas et appréciait, finalement. Comme quoi, il faut toujours gouter. On nous proposa un verre de tendre alcool, j'étais réticent pour elle mais elle l'accepta. Elle fait ce qu'elle veut, après tout. Je tchinais avec elle alors qu'elle m'y invitait. « à nous » soufflais-je après elle buvant. Elle me tira vers la piste de danse. Je savais qu'elle voulait profiter d'être encore sur pieds pour aller danser. Je lui faisais plaisir et acceptais. « il faut mettre les manières jeune fille. » dis-je me redressant et remettant correctement ma veste. Je lui tendais la main, comme un de ces futurs princes charmants dans les contes. « m'accorderez-vous cette danse, jolie demoiselle? » ajoutais-je alors, un sourire en coin. Elle prit ma main et nous allions danser encore. L'orchestre était vraiment excellent. Ensuite, on nous proposait de nous prendre en photo dans un cadre installé pour ça plus loin. Nous acceptions et allions nous faire faire une photo de couple. « un souvenir à mettre à Miami » soufflais-je alors. Je la regardais tendrement. je caressais sa joue. « tu veux qu'on rentre? Je ne veux pas que tu te forces et que tu t'effondres dans vingt minutes mon ange. Et puis à l'hôtel on peut avoir d'autres choses à faire aussi.. » dis-je malicieusement jouant avec mon regard et puis je ris légèrement. Je reprenais mon sérieux. « tout comme tu veux mon amour. » soufflais-je jouant avec une de ses mèches de cheveux

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Enaël & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

Ena me fit rire en s'arrêtant alors que je l'entraînais sur la piste de danse. Il me proposa sa main en me demandant de lui accorder cette danse. Tout en souriant j'acceptais et il m'entraîna sur la piste de danse pour la dernière fois de la soirée, il ne fallait pas trop abusé si je ne voulais pas finir par terre avant de rentrer. Un homme vint nous trouver après la danse, nous proposant une photo souvenir. C'était une excellente idée, ça leur ferait un beau souvenir de la Russie surtout que le décor derrière était magnifique. Une fois la photo faite il fallait attendre cinq minutes avant de la récupérer et Ena me demanda si je voulais rentrer. C'est vrai qu'il était assez tard et je commençais à être fatigué. Mes pieds me faisaient mal aussi, surtout à cause des talons alors j'acceptais volontiers de rentrer même si j'étais un peu déçu de gâcher la soirée. Ena aurait peut être préféré rester un peu plus longtemps sauf que si je restais plus longtemps je savais que la soirée se terminerait mal. « Je suis désolé de ne pas pouvoir rester plus longtemps... » lui dis je alors que l'on montait dans la limousine pour le retour. Je fis attention à ma robe pour ne pas l’abimer et une fois à l'hôtel on se rendit tout les deux dans la chambre. En passant devant l'accueil l'hôtesse nous demanda si l'on avait besoin de quelque chose et Ena répondit que non. J'avais juste envie d'une bonne nuit et des bras de mon chéri pour me tenir chaud. Une fois dans la chambre Ena m'aida à défaire ma robe et assise sur le lit je retirais mes talons. « Oh que ça fais du bien, » dis je en me laissant tomber à la renverse sur le lit. Ena me rejoignit alors que j'étais en sous vêtement et je m'installais à califourchon sur lui pour l'embrasser tendrement. Je n'étais pas assez en forme pour faire un câlin cochon mais j'avais besoin de tendresse, de ses bras pour voir qu'il ne m'en voulait pas d'avoir quitter la soirée assez tôt. « Je suis désolé qu'on soit partie de bonheur, on aura pas l'occasion de revenir dans un endroit pareil et j'aurais voulu que tu profite un peu plus de cette soirée... » Je croisais son regard et je lui fit un petit sourire forçais pour lui montrer que j'allais bien même si ce n'était pas forcément le cas. Il fallait que je mette ma machine, je ne l'avais pas mit de toute la soirée et j'en ressentais les effets à présent. Avant de la mettre j'enfilais ma nuisette pour dormir et la mit enfin avant de m'installer sous les couettes, attendant qu' Ena me rejoigne. « Ça va me manquer la Russie, on est bien ici, rien que tout les deux.. mais Jake me manque quand même un peu. » Je repensais alors à la discussion qu'on avait eut au chalet à propos d'avoir un deuxième chien pour tenir compagnie à Jake lorsque nous ne serions pas là. « Dit Ena, en rentrant à la maison on ira voir pour trouver une copine pour Jake ? » J'avais dit cela en fermant les yeux, d'une toute petite voix car je commençais déjà à l'endormir, l'oxygène que m'envoyait ma machine m'aidant à me détendre. Je n'entendis pas la réponse de mon chéri, le sommeil m'avait déjà emporter pour une longue nuit.

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MAEVA & ENAEL

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Elle voulait qu'on rentre, et elle s'excusait. Comme si j'allais lui en vouloir, je le comprenais tout à fait. Jamais je ne la pousserais dans ses limites que je connaissais par coeur. De toute façon elle m'aurait dit de rester pour me faire plaisir j'aurais tout fait pour qu'on rentre. Je la connais par coeur, ma petite fleur. Je prenais sa main, souriant à sa réponse et nous rentrions avec la photo emballée. Direction l'hôtel, où elle comme moi nous débarrassions de nos tenues respectives. Elle s'écroula sur le lit une fois ses talons enlevés. Elle me fit rire, je savais qu'elle n'était pas du genre à en porter tous les jours. Je lui souriais et elle vint se mettre sur moi, m'embrassant. Je la serrais contre moi. « je ne t'en veux pas mon amour, on va en vivre bien d'autres des aventures, tu sais. ça ne fait que commencer. » lui soufflais-je nichant mon nez dans ses cheveux dont je respirais l'odeur que j'aimais tant et dont je ne pourrais jamais me lasser. Elle se releva pour aller se mettre en nuisette. Je me mis en boxer pour dormir de mon côté, rangeant toutes les affaires avec soin. Elle vint sous la couette puis se nicha dans mes bras. « on a encore la journée de demain, tu sais. On partira pendant la nuit de demain, tu dormiras tu ne verras même pas la route passer, comme hier. » soufflais-je en souriant. Je l'embrassais sur le front. Elle attrapa sa machine pour se la mettre pour dormir. Je la laissais faire avant qu'elle revienne vers moi une fois munie de cette dernière. Je la ré-embrassais sur le front. Elle dormait déjà à moitié, heureusement que nous étions rentré. Sa remarque sur Jake me fit sourire. Elle était vraiment adorable avec lui, et semblait y tenir. Nous étions finalement une petite famille, tous les trois. Elle s'était déjà endormie, je le savais après sa phrase, encore une fois sa demande. Elle voulait une chienne husky pour Jake depuis notre escapade à la montagne. « oui mon amour, je te le promets » soufflais-je caressant son front. Je m'endormais aussi, ma petite amie dans les bras. Le truc c'est que, j'avais oublié de mettre un peu de lumière dans la chambre et, commença le cauchemar de la peur du noir. Je me mettais à suer et à bouger énormément dans mon sommeil. Je revoyais ma mère gifler Dani, mon père enfermer Nessa dans sa chambre par l'extérieur, envoyer Levi pour sa petite affaire, prendre Nessa quand elle hurlait, bébé, dans les bras, rester avec elle dans le noir pour dormir. Je me réveillais en criant. Je me rendais compte que nous étions en Russie et que j'avais réveillé Maëva. Mon coeur battait encore super vite, j'avais encore la peur et j'avais du mal à m'en remettre - comme à chaque fois que ça m'arrivait. Je respirais très fortement, assis dans le lit. Je n'arrivais même pas à souffler à Maëva que j'étais désolé. Je pris ma tête dans mes mains, essayant de remettre mes idées en place. Pourquoi fallait-il que j'oublie la lumière?

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Enaël & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

J'étais confortablement allongée dans le lit, collé contre le corps chaud d'Ena lorsque je le sentit bouger. Il commençait à s'agiter dans son sommeil comme lorsqu'il faisait un cauchemar. Je le savais car j'avais souvent eut l'occasion de le voir ainsi lorsque nous vivions encore à New York et qu'il passait la plupart de ses nuits chez moi. J'étais à genoux sur le lit, essayant de le réveiller doucement mais rien à faire, il s'agitait de plus belle, parlant même dans son sommeil. Il murmurait le prénom de ses sœurs, transpirait comme s'il courait un marathon. Soudain il se réveilla en sursaut, me faisant moi même sursauter. Il était en nage et complétement paniquait, mais pourquoi avait il fallut que l'on oubli cette put*in de lumière !! J'étais énervée après moi car Ena prenait tellement bien soin de moi mais je n'arrivais même pas à prendre soin de lui. Alors qu'il se cachait le visage de ses mains je le pris contre moi, posant sa tête contre ma poitrine le temps qu'il se calme. Je savais que je ne pouvais rien faire d'autre à part cela le temps qu'il s'en remette. Lentement je l'attirais à moi et appuyait contre la tête de lit je caressais ses cheveux tout en embrassant son front. « C'est fini mon amour... tu n'as plus rien à craindre, c'est fini... » C'était facile à dire mais je savais très bien qu' Ena aurait dut mal à oublier son enfance et ce que lui avait infligé ses parents. Lorsque je sentis son souffle reprendre une vitesse normale je m'éloignais doucement de lui et de mes mains remonter son visage pour qu'il me regarde. Ce n'était pas son genre de pleurer mais je voyais très bien dans son regard qu'il avait mal et que ça le faisait souffrir de repenser à son passé. Il avait l'air désolé et voulait parler mais aucun son ne sortait de sa bouche. « Je sais Ena, mais tu n'as pas à t'excuser, je suis là pour toi dans les bon comme dans les mauvais moments. » Je caressais tendrement sa joue avant de me lever du lit pour aller lui chercher un verre d'eau. En lui tendant le verre d'eau je m'asseyais à nouveau sur le lit, juste à côté de lui. Je savais que dans ce moment là il préférait que je le laisse tranquille, c'était un homme après tout et il avait sa fierté comme tout les mecs. Pour essayait de lui faire penser à autre chose je me levé du lit, il ne fallait plus qu'il pense à cela. « Je vais faire couler un bain, rejoint moi dans la salle de bain quand tu veux... » et je partis dans la salle de bain faire couler l'eau. Je mis du bain moussant car j'adorais ça et une fois la baignoire remplit je fis glisser ma nuisette le long de mon corps ainsi que ma culotte. Alors que j'allais entrer dans le bain je sentis des mains chaudes se poser sur mes hanches...

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MAEVA & ENAEL

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C'était à mon tour de faire une crise.. Quelle idée.. Ici, en Russie.. Oublier d'allumer une lumière, idiot. Je faisais un cauchemar, ça ne manquait jamais. Même Maeva dans mes bras, mes traumatismes d'enfance reprenaient le dessus. A chaque fois c'était la même chose, la panique total. Mon coeur partait en vrille ainsi que ma respiration et je n'arrivais plus à contrôler mes pensées. A chaque fois, je priais pour qu'aucun de mes frères et soeurs ne fassent de telles crises. Je me dis qu'ils étaient trop petits pour s'en rappeler aussi bien que moi, par chance. Moi, ça me réveillait de nombreuses nuits en sueur, comme ce soir. Sauf que je détestais faire de telles crises devant Maëva. A vrai dire, je déteste ça. Je n'arrive même plus à lui répondre alors qu'elle essaie de me rassurer. Elle y arrive un peu, mais ça prends du temps. Des fois je mettais une bonne heure avant de reprendre le contrôle, là j'allais plus vite. J'écoutais sa voix, je me concentrais sur son odeur en espérant que je puisse la reprendre dans mes bras et qu'on se recouche. Je galérais, assis sur le lit. Elle me servait un verre d'eau que je pris doucement. Allez, refais le point, concentre toi Enaël. Elle me proposa de la rejoindre dans le bain, j'asquiesçais de la tête. Elle y alla et je me reprenais le visage entre les mains. Je frottais mes yeux, me réveillant un peu. Je respirais doucement avant de me lever vers la salle de bain. Je la regardais, de dos, nue. Là, ça allait mieux. Je souriais même. Rien que sa silhouette respirait la délicatesse, la beauté. Je vins poser la main sur ses hanches, le contact avec sa peau me calmait aussi. Je l'embrassais doucement dans le cou, retirant ses cheveux de son épaule. Puis je me reculais pour me dédshabiller aussi de mon caleçon et prendre place avec elle dans le bain. Je la serrais contre moi. « merci d'être là » soufflais-je enfin. « ça fait du bien » dis-je profitant des bulles du bain. Nous sortions du bain peu après et je l'enroulais moi-même dans une serviette, la prenant contre moi. « je t'aime » soufflais-je plus sincèrement que jamais. « viens on va se recoucher, et je laisse une lumière cette fois-ci, promis. » soufflais-je alors l'embrassant tendrement avant d'aller vers le lit, de remettre mon caleçon. Le lendemain matin, je commandais le petit déjeuner dans la chambre. Maëva se réveillait d'elle-même et nous déjeunions. « bon, je ne peux plus attendre pour te le dire.. ce soir on va voir un ballet russe. On dit que ce sont les plus beaux au monde. » lui avouais-je en souriant. « avant ça, visites, siestes crapuleuses, tout ce que tu voudras. » dis-je mordant dans une patisserie russe. Je pris sa main dans la mienne, la liait avant de la regarder dans les yeux. Je n'avais rien à dire, elle comprenait sans mots.

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Enaël & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

Il fallait que je trouve quelque chose pour l'apaiser et je savais que pour moi l'eau chaude était le meilleur moyen après les bras d'Ena bien sur. Une fois dans le bain il me serra contre lui et je le laissais faire tellement j'aime ça et si ça pouvait l'aider à aller mieux j'étais prête à rester ainsi aussi longtemps qu'il le faudrait. Ena me remercia et je croisais son regard douloureux. Il n'avait pas à me remercier, je ne faisais pas le quart de ce qu'il faisait pour moi alors je pouvais bien être là pour lui quand ça n'allait pas. En sortant de l'eau il enroula une serviette autour de mes épaules et m'entraîna dans la chambre pour aller se recoucher. Il avait l'air d'aller un peu mieux mais cette fois ci hors de question d'oublier la lumière. Je remis ma nuisette et me blottit dans ses bras, humant son odeur tout en fermant les yeux. J'eus du mal à m'endormir, j'avais peur qu'il ne refasse un cauchemar alors je passais le reste de la nuit à le regarder dormir, voyant son torse se lever au rythme lent de sa respiration, signe que tout allait bien. Il devait être deux ou trois heures du matin et la nuit fut longue mais pas moyen que je m'endorme. J'allais être dans un bien piteux état le lendemain... Quand je le vis ce réveiller je me levais aussi sans lui dire que j'avais passé la nuit à le regarder, à réfléchir, à penser. J'avais trop de choses en tête en ce moment. Alors que nous prenions le petit déjeuner Ena m'annonça que nous allions voir un ballet russe le soir même. Je n'avais jamais vu de ballet, encore moins de ballet russe mais Ena avait l'air content de son cadeau donc ce devait être vraiment un beau spectacle à voir. Je lui fit un grand sourire avant de faire glisser mon doigt dans la crème de sa pâtisserie et de la lui mettre sur le bout de son nez. « Moi ça me va une sieste crapuleuse » lui soufflais je à l'oreille avant de récupérer la crème sur son nez avec ma bouche. Lentement je l'attirais à moi et nous tombions tout les deux sur le lit. Je sentais déjà les battements de mon cœur s'accélérer mais je ne savais pas si c'était à cause de l'excitation ou de la fatigue déjà bien présente depuis ses derniers jours. Entourant sa taille de mes jambes je fis glisser mes mains dans ses cheveux pour approcher son visage du mien. « Je te veux toi ! » dis je avant de l'embrasser avec amour et passion. Je ne voulais pas lui dire que j'étais fatigué, que j'avais passé la nuit à le veiller car sinon il voudrait tout arrêter et moi j'avais envie de lui. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire nous nous retrouvions tout les deux sans vêtements et je sentais son membre contre moi. L'une de mes mains parcourus son torse avant de descendre plus bas sur sa virilité. C'était la première fois que je faisais cela mais Ena avait l'air d'apprécier, je devais donc être douée. L'empoignant plus fermement je faisais de lent va et viens je voyais Ena se laissait complétement aller sous mes caresses et cela augmenta davantage mon désir. Le repoussant pour qu'il se mette sur le dos je me mis à califourchon sur lui, le sentant entrer en moi avec lenteur. Un gémissement de plaisir s'échappa de ma bouche alors qu'il commençait ses mouvements de bassin. Lorsque j'atteignis le septième je m’effondrais à côté de lui, nos corps luisant de sueur après tant d'effort. Ena se leva surement pour aller se passer un coup d'eau mais je n'avais plus de force pour me lever alors je tirais les draps vers moi, commençant soudain à avoir froid. Ce n'était pas normal, après un tel acte d'amour je n'aurais pas dut avoir froid comme maintenant. J'étais seule dans la chambre lorsque je sentis mon cœur s'emballer et ma respiration se couper. Je ne pouvais plus parler et alors que ma poitrine se soulever, décollant mon dos du lit j'attrapais les draps pour les serrer de toute mes forces, tant ma poitrine me faisait mal. J'avais l'impression que mon cœur allait exploser à tout moment. Je ne savais pas comment faire pour prévenir Ena qui était dans la salle de bain alors en voyant la lampe sur la table de chevet je réussis tant bien que mal à la faire tomber, faisant exploser le verre par terre et provoquant un bruit assourdissant. J'étais complètement paniqué car je n'avais jamais fais une crise aussi grosse et c'est la première fois que j'avais peur de mourir
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MAEVA & ENAEL

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J'arrivais à me rendormir après mon cauchemar horrible. Je m'en voulais d'avoir gâcher cette nuit mais Maëva m'avait beaucoup aidée sur ce coup-là, elle avait été présente et attentive pour moi, je ne la remercierais jamais assez pour cela. C'est ainsi que je me rendormais, ma petite amie dans les bras, avant que ce ne soit les lueurs du jour qui me réveillèrent. Un petit déjeuner de princes auquel nous avions encore le droit et je lui proposais une sieste crapuleuse, qu'elle acceptait. C'est qu'elle cachait bien son jeu, la coquine. Elle vint sur moi et se mit à me toucher, pour la première fois. Je la laissais faire, elle semblait à l'aise dans ce qu'elle faisait et elle s'en sortait bien, j'y prenais du plaisir. Je l'embrassais et je prenais les devants pour lui faire l'amour en retour avec tout l'amour que j'avais. Elle retombait à côté de moi, nous étions en sueur. Je l'embrassais sur le front et j'allais dans la salle de bain. Je me passais le visage à l'eau. Je me regardais dans le miroir et me rendit compte du chemin que j'avais traversé pour arriver ici, dans un hôtel en Russie, avec une femme que j'aime. Moi, l'Enaël qui ne savait même pas de qu"embrasser" voulait réellement dire et encore moins aimer. Mais là j'étais en Russie pour la St Valentin avec une jeune femme que j'aime passionément. Durant mon flux de pensée, je fus perturbé par un gros bruit dans la chambre. J'oubliais complètement ce que je faisais pour me concentrer là dessus, courant dans la chambre et découvrant Maëva en train de suffoquer. J'attrapais la machine du bout du doigt pour le lui mettre et je l'aidais à respirer en la mettant dans la position idéale. « ça va aller ma chérie, calme toi, je suis là. » soufflais-je faisant les gestes que je connaissais pour la calmer. A chaque fois, faire un acte sexuel trop intense lui faisait faire des crises. Mais là, je ne pensais pas à ça mais plutôt à ce qu'elle se calme doucement. « on va prendre le temps de faire les choses aujourd'hui hmm.. » lui soufflais-je doucement la gardant contre moi. « reprends toi et on ira prendre l'air, ça te fera du bien. » soufflais-je allant prendre ses habits pour l'aider à s'habiller. Je m'habillais à mon tour et je la soutenais pour sortir de la chambre et sortir prendre l'air. Je la tenais toujours par les hanches, histoire qu'elle ne tombe pas. Nous faisions juste un aller retour puis nous allions nous asseoir sur une terrasser pour que j'y commande un café et qu'elle respire le grand air près du parc. « tu veux quelques chose? » lui soufflais-je gardant ma main dans la sienne. Je commandais. « ça va mieux? » lui soufflais-je. Cela faisait bien deux heures depuis qu'elle avait cassé cette lampe pour qu'elle s'y remette mais, je prendrais le temps qu'il fallait.

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Enaël & Maëva
Un amour pour lequel on a envie de se battre afin de le préserver, pour toujours.

Je venais une fois encore de gâcher ce merveilleux moment. Ena savait exactement quoi faire et il me mit ma machine pour m'aider à respirer. J'avais l'impression d'étouffer et Ena me mit sur le côté afin de m'aider. Ma respiration redevint enfin presque normale alors que j'étais dans les bras d'Ena. J'avais eu tellement peur que mon cœur battait encore la chamade. Ena voulait que je prenne l'air et je le suivis dehors une fois habillée. Il dut me soutenir car j'étais encore très faible mais une fois assise sur la terrasse et le soleil réchauffant ma peau je commençais à reprendre un peu de couleur. Un serveur vint chercher la commande et je pris un chocolat chaud, il faisait tout de même assez froid dehors, après tout on était en Russie. Nous passions donc un bon moment sur cette terrasse et Ena me demanda si j'allais mieux. « Oui, on peut remonter dans la chambre... » dis je en me levant. La note fut payé et tout les deux nous repartions dans notre chambre. Une fois au chaud je regardais la lampe par terre... Jamais encore je n'avais ressentit une telle chose, j'avais eu l'impression de me noyer, de suffoquer et c'était une sensation que je ne voulais plus jamais ressentir. J'allais m'abaisser pour nettoyer les débris de la lampe mais une femme de ménage arriva au même moment alors je partis dans la salle de bain. Agrippais au lavabo je me regardais dans la glace et des larmes commencèrent à couler sur mes joues. J'avais eut tellement peur que la pression n'était pas encore redescendu et la c'était l'après coup. Impossible de restait debout plus longtemps je me laissais tomber à genoux, mon visage caché dans mes mains. Je sentis alors des bras protecteur m'entourer et je me laisser tomber dans les bras d'Ena, ne pouvant arrêter mes larmes et mes sanglots. « J'ai... j'ai eu... tel...tellement peur... » Au bout de quelques minutes je me calmais enfin, surtout grâce au réconfort d'Ena qui était toujours présent quand j'en avais besoin. « On fait la paire tout les deux... » Lui avec ses cauchemars et moi avec mes crises on étaient vraiment fait pour être ensemble. Nous étions toujours assit par terre dans la salle de bain et le carrelage commençait à être froid. Nous nous levions et une fois debout j'embrassais mon cher et tendre sur la joue en chassant mes dernières larmes. « Je ne sais pas ce que je ferais sans toi, je t'aime Ena. » La femme de ménage était surement partit depuis un moment car de retour dans la chambre je vis que la lampe avait été changé et qu'il y avait des draps frais et propre dans le lit. Je vis alors les places pour le ballet de ce soir posé sur la table de chevet et je me tournais vers Ena qui me suivait comme si j'allais refaire une crise. « J'ai hâte d'être à ce soir... »
BY .SOULMATES

» All I want is your hapiness. [ZIGGY]
» Joy- I think I can smile with you
» Joy - Put a smile on me
» (f/libre) KAT DENNINGS - Please, smile at me again!
» Smile or cry, but do it w/ style please.

your smile is my hapiness

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