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  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.

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(#)Sujet: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Sam 28 Mai - 21:30
“ Carmen Maria Sorrentino ”

vingt-deux ans
américaine
célibataire
sexy mofo
ariana grande
who i am
Carmen c'est un petit mec dans un corps de petite femme. ▷ Carmen elle pratique la boxe depuis l'âge de onze ans. ▷ Carmen elle aime les sensations fortes, l'adrénaline, la vitesse, le flippe. ▷ Carmen elle consomme, alcool, drogue, sexe, pas forcément dans cet ordre. ▷ Carmen elle aime les hommes et les femmes aussi. ▷ Carmen, on la surnomme souvent Cam.  ▷ Carmen c'est une garce qui s'assume.  ▷  Carmen elle bouffe comme un ogre. ▷ Carmen elle déteste les nanas qui se la péter, même si elle le fait. ▷ Carmen elle n'a pas peur d'en venir aux mains, elle est impulsive. ▷ Carmen elle aime les problèmes. ▷ Carmen elle sait rien faire à manger et lui parlez même pas de ménage. ▷ Carmen elle aime faire la fête, elle vit pour la détente. ▷ Carmen sa devise c'est "vivre de vodka & de malboro light" f*ck l'amour et l'eau c'est pour les faibles. ▷ Carmen elle a une petite taille, mais une grande gueule. ▷ Carmen c'est une princesse du ghetto. ▷ Carmen elle a tendance à s'exprimer en italien quand elle s'énerve. ▷ Carmen elle a un gosse de quatre ans. ▷ Carmen elle a un ex chiant qui lui colle aux basq'. ▷ Carmen elle a une mère qui pleure à chaque fois qu'elle se fout en l'air. ▷ Carmen elle n'aime pas penser, elle préfère agir. ▷ Carmen elle a le don d'être attirée par les gens qu'il ne faut pas. ▷ Carmen elle se met toujours dans des situations problématiques, mais elle s'en sort parce qu'elle se fout de tout. ▷ Carmen elle n'a pas de sentiment, ou peu. L'amour est pour elle une incitation à la douleur.

a little bit about the real you
Pseudo : Gangsta Paradise
Prénom : Pétunia
Âge : La vingtaine
Pays : France
Fréquence de connexion : Dés que possible
Inventé ou scénario : Inventé
Comment as-tu connu le forum? : Mon ami le top site
Commentaires :  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 3368824662
©️ GASMASK
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Sam 28 Mai - 21:31
VOTRE HISTOIRE.
TOME I  Rupture, abandon, fuite, courage. Des mots si parfaitement choisis qu'ils décriraient à la perfection le début de mon existence. Les mettre les uns aux bouts des autres n'avait aucun sens, sauf si on connaît toute l'histoire. tout commençait en été il y a vingt-deux ans de cela ici même en Floride. Antonia Sorrentino, fraîchement débarquée de sa Sicile natale était en échange scolaire dans la mondialement connue ville de Miami aux USA. La famille était plutôt sympathique. ils avaient de l'argent, beaucoup d'argent et ne s'en cachaient absolument pas entre les femmes de chambres, cuisiniers, majordomes. ils faisaient partie intégrante de ce qu'on appelle souvent "les riches du sud", ce qui voulait dire bonnes manières exigées. La jeune Italienne n'avait jamais été aussi bien traitée. Les O'Hara avaient un fils, Nicholas, dont elle tombait éperdument amoureuse dès le premier regard. Son accent, son côté gentleman, tout la faisait littéralement fondre chez lui. Il était âgé de deux ans de plus, mais elle ne s'en souciait guère. Fort heureusement les sentiments étaient réciproques et même sans l'accord de sa famille qui s'entêtait à vouloir le fiancer à une quelconque duchesse, Nick assumait pleinement d'être lui aussi tomber sous le charme d'Antonia. Leur relation ne fût pas des plus simples et dû surpasser beaucoup d'épreuves, comme le fait qu'Antonia ne passerait que trois mois en Amérique et que la famille de Nick' était totalement contre cette idylle avec une jeune Européenne qui sortait complètement de leur rang social. Malheureusement pour eux ils s'aimaient comme des fous et voulaient passer le reste de leur vie à deux. Lui prévoyait de partir s'installer en Sicille après l'obtention de son diplôme pour vivre avec elle. Quelques jours avant son départ, la jeune femme apprit qu'elle portais un enfant. Folle de joie malgré son jeune âge elle allait l'annoncer à son petit ami quand elle fût interceptée par la mère de ce dernier qui lui fit bien comprendre qu'elle n'était plus la bienvenue dans sa maison, et surtout dans le coeur de son fils. Elle lui remettait une lettre, soi-disant écrite par Nicholas qui rompait officiellement avec elle. Le coeur brisé, enceinte et déboussolée Antonia quittait le pays le soir même pour rentrer chez elle. Cette histoire, digne d'une comédie romantique, c'est celle de mes parents. Du moins de ma mère, celle de ma conception. Non, il n'est pas venu la chercher sur son île, non ils ne se sont pas retrouver une nuit pluvieuse et n'ont pas échangé un baiser langoureux sous la pluie, tout le monde, même s'ils le méritent n'a pas forcément le droit aux fins heureuses. A l'âge de 4 ans ma mère m'a ramener en amérique pour tenter de me présenter à mon père, c'est là qu'elle a appris sa mort un an plus tôt. Elle a décider de rester en Floride malgré tout.

TOME II « Prête pour ce soir ma belle ? » « J'sait pas trop, ma mère va sérieusement piqués une crise si elle apprends que je suis sortie. » « Oh, je t'en prie, Cam' ! Tu peux pas me laisser tomber. Je suis ton meilleur ami et c'est genre un cas de forces majeur ! Tu sais cette fille, Crystal ? Et bah devine qui passe à l'attaque ce soir ? C'est bibi ! » Un rire étouffé s'échappait de mes lèvres alors que je me laissais retomber en arrière sur mon matelas. Bon ok, en tant que meilleure amie je me devais d'être présente quand il se prendrait un énième râteau avec sa cher et tendre Crystal. Je ne pouvais et ne devais rater ça pour rien au monde ! Bon, bien sûr j'avais promis à ma mère d'arrêter mes conneries et de continuer mes études sérieusement.. « On est déjà beaucoup sorti cette semaine... » Je tentais discrètement de le faire changer d'avis, quand c'est au final lui qui changeait le mien en une seule phrase. « Devine qui d'autre sera là ? » Ca y est, sa voix mystérieuse attirait ma curiosité, je pouvais presque l'entendre sourire à travers le téléphone quand je m'empressais de rétorquer les sourcils froncés : « Qui ça !? » Il lâchait un petit rire, certainement moqueur puis prit son temps avant de me torturer davantage. « Et si je te dis beau gosse, métisse, regard de ouf, playboy de ses dames son prénom commence par un "k" et fini par un "l" ... tu me dis ? » Je faillis tomber de mon lit à la vitesse à laquelle je me redressais. « Non t'es pas sérieux ! » Nouveaux éclats de rires. « Et si, il paraît même que ce soir monsieur n'a pas de copine officielle, c'est juste ce soir ou jamais brunette. » J'hésitais, -mais pas longtemps- je me mordillais la lèvre. Kenaël ? Je craquais sur lui depuis l'école primaire, c'est pour dire ! Bon d'accord, à cet âge c'était qu'une amourette de gamins, seulement à 17 ans c'est un peu plus ... Dérangeant. Il était comme inaccessible ce gars, je me demandais même s'il lui était déjà arrivé de me considérer autrement qu'un de ses potes. Il faut dire aussi que j'avais toujours eu un faible pour les rebelles dans son genre. « Cam ? Tu te décides ? Ca fait cool d'arriver en retard, mais ça fait naze d'arriver quand tout le monde est partis. » J'immergeais de mes pensées et fis rapidement disparaître le visage de Ken' de ma tête. « Ouais, ouais ! Je viens. laisse-moi le temps d'enfiler un truc potable ! » « Génial ! Je passe au coin de la rue dans disons ... 15 minutes ? » « Parfait ! à toute' ! » Mon portable à peine raccroché, une fraction de seconde plus tard je sautais déjà hors de mon lit, envoyais valsé mon pyjama et dévalisait ma garde-robe. « Seigneur ! Qu'est-ce que je vais bien pouvoir mettre ! » Songeais-je à moi-même. Finalement, une petite robe de soirée arrivant au-dessus des genoux et des escarpins et le tour était joué ! Je pris rapidement une douche, puis séchais et coiffais mes cheveux que je remontais en une simple queue de cheval ... Que je retirais ensuite devant le miroir en grimaçant. J'essayais une dizaine de lipsticks différents, avant de finalement opté pour un maquillage simple, et des cheveux lâchés. -l'adolescence & un gars ça donne un stresse de fifou.- 20 minutes plus tard, -oui parce que 15, faut pas trop m'en demander- j'atterrissais dans la décapotable de mon ami direction la fête de l'année ! Ou du moins, de la semaine.

Et sans que je ne m'en rends compte je me retrouvais au beau milieu du salon, la musique battait son plein, les gens dansaient, fumaient et buvaient dans tous les coins, seulement dans tout ce brouha, -et alors que mon pseudo meilleur ami m'avait lâchement abandonné- je me retrouvais seule. Complètement seule. Pour commencer la soirée, je me dirigeais vers une table où étaient disposées plusieurs bouteilles, et m'apprêtait à me servir un verre de l'une d'entre elles quand une voix me stoppait : « Si j'étais toi j'éviterais celle-ci ma belle. Mes potes ont mis n'importe quoi dedans. » Cette voix. Bien sûr, je la reconnaissais immédiatement et sans même me retourner. Pourtant, je m'inclinais légèrement sur le côté pour m'assurer de sa présence, une cigarette dans la bouche, il servait un verre de bière avant de me le tendre, un sourire charmeur sur le visage. Ce n'est qu'à l'instant où nos regards se sont croisés qu'il a réalisé qui j'étais. Il écarquillait les yeux, puis s'exclamait : « Carmen ! Wouah, tu t'es métamorphosé ! » Et ouais, aux oubliettes les jean's et les convers. -enfin, pour ce soir du moins, parce que dès la fin de cette soirée je retire ses talons qui me torturent littéralement. mais, légèrement intimidée, je replaçais une mèche rebelle derrière mon oreille et souriais légèrement avant de répondre : « C'est censé être un compliment ou ...? » j'attrapais finalement le verre qu'il me tendait, et en bue une gorgée. « J'aime bien tes jean's troués, mais ça ... ça te va super bien aussi. » répondait-il, se pinçant la lèvre inférieure comme il avait l'habitude de le faire, et comme cela me faisait toujours fondre. Je souris de nouveau, bien que mes joues devaient sans doutes rougir comme des tomates. Et c'est lors d'une conversation aussi anodine soit-il, que tout a dérapé. Une heure plus tard on se retrouvait dans un lit, à perpétuer le mélange banal de l'adolescent moyen alcool, drogue, sexe. La nuit avait été comme je me l'avais imaginée, et même bien mieux ! L'erreur au tableau, ce fut plutôt le lendemain, et le sûr lendemain ... Quand je réalisais que je n'avais été qu'une nuit pour lui, alors que pour moi il signifiait un peu plus. Il disparut complètement de la circulation, je n'eus plus vraiment de nouvelles. Ah les premières peines de coeur d'ados, horribles moments à passer. pour moi, pour mon meilleur ami qui était forcé de me tenir compagnie durant mes longues soirées de déprimes, pour les paquets de chocolats et certainement aussi pour mes fringues, qui au bout d'une ou deux semaines de régime de "presque rupture" rétrécissaient de jour en jour.

TOME III Deux petites barres bleues. Tout ce qui suffit pour remettre à zéro tous mes plans d'avenirs, tous mes projets, les études d'art avancés à londres, les voyages entre amis pendant les prochaines vacances. Ma vie complètement basculée et chamboulée par un simple et tout petit bâtonnet blanc avec deux barres bleues. Pas le premier d'ailleurs, quatre précédents avaient affiché le même résultat. Pourtant, même si j'avais peur, même si je flippais et que je ne rêvais que d'une chose, m'enfuir en courant jusqu'à l'autre bout de la planète, je ne pouvais m'empêcher de pensée qu'un petit être grandissait en moi ... Que si je le gardais, dans quelques mois un petit homme ou une petite fille se mettrait à bouger dans mon ventre. J'avais toujours trouvé la grossesse, les femmes enceintes magnifiques, mais je n'avais jamais réalisé que moi j'étais capable de me retrouver dans leur situation. du moins, pas si tôt. J'étais si jeune, je n'avais encore rien accompli dans ma vie. Mon quotidien se résumait au lycée, aux sorties, aux garçons et aux copines. Comment j'étais censée élevée un enfant ? Assise sur la cuvette des toilettes, je restais songeuse. l'avortement était tout simplement hors de question, je ne me sentais pas capable de tuer cet enfant avant même qu'il ne vienne au monde. et puis à quatre mois, il était déjà trop tard. L'adoption ? C'était certainement ce qu'il y aurait de mieux pour lui ou elle ... Il/elle aurait droit à une vraie famille, à de vrais parents. Pas a une adolescente complètement pommée dont le gars qui l'a foutue enceinte ne lui a plus donné de nouvelles. -certes, il n'était pas censé le deviner, mais tout de même.-En parlant de lui, devais-je lui dire ? devais-je chercher à le joindre ? Lui demander son avis ? « Mais pourquoi moi ...? »

« Alors vous êtes sûr de vous ? C'est ce que vous voulez vraiment ? » Silencieuse, assis au fond d'un fauteuil de burreau, je caressais machinalement mon ventre arrondi de sept mois. « Vous savez, plus vite vous nous donnerez votre accord plus vite nous pourrons commencer à chercher une famille à ce petit ange. les nouveau-nés sont les enfants les plus rapidement adoptés. Et puis ... Je suis sûre que vous êtes consciente que c'est ce qu'il y a de mieux pour lui, n'est-ce pas ? » Lui. Oui, malgré ma promesse de ne pas connaître le sexe de cet enfant pour ne pas commencer à m'attacher à lui j'avais cédé. C'était un petit garçon. Un petit garçon qui serait sûrement aussi magnifique que son papa. Je sais, je sais ce que vous voulez me dire et ce que vous pensez de moi avec votre regard, là. "T'attend quoi, Carmen ? Tu aurais dû remplir ses papiers pour l'accouchement sous x depuis des mois !" Oui, oui, je sais. Seulement je n'ai jamais eu le courage d'aller jusqu'au bout. C'était quand même un bébé. On n'abandonne pas un bébé sans remords, sans doutes, n'est-ce pas ? On ne le laisse pas aux bras d'inconnus sans hésiter une seconde. C'était mon bébé ... Il grandissait en moi depuis sept mois déjà, il cognait mon ventre et me donnait des nausées horribles, on avait traversé beaucoup de choses ensemble. Et puis ... m*rde ! « Mademoiselle ? » « Oh, donnez- moi ça ! » J'arrachais presque le stylo et les papiers des mains de la femme assise devant moi, les signait rapidement, puis me laissait de nouveau tombée dans mon fauteuil, cette fois les bras croisés au-dessus de mon ventre. Je ne devais pas y penser, pas y réfléchir. Laisser cet enfant à un couple prêt à s'occuper convenablement de lui était la meilleure des choses à faire.

« Très bien ... » Constatait-elle, relisant soigneusement les documents. « Il ne manque plus que la signature du père et se sera parfait. » Je faillis m'étouffer avec ma propre salive en reposant rapidement mon regard sur elle. « Quoi ? » « Oui, dans le cas d'une adoption il nous faut l'accord des deux parents biologiques, donc du père de l'enfant. » « Mais euh ... il ... il n'a pas de père. » bégayais-je. Je levais finalement les yeux au ciel face à son expression. « Oui bon, forcément il a un père ! Seulement ... il euh ... premièrement il n'est pas au courant et ensuite ... ensuite je n'ai plus de contacts avec lui. Je ne pourrais même pas vous dire où il est en ce moment. » avouais-je, franchement. « Je vois ... eh bien, on tentera de faire sans ! » J'hochais la tête, pas vraiment détressée.

DEUX MOIS PLUS TARD

« Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! P*tain de bordel de M***** ! » « Cam ! Calme toi ! Ca va aller, je suis là ! CAM ! Tu m'écrabouilles la main, là ! » « Mais je souffre ok ?! Donc je t'écrase la main si j'en ai envie ! Je déteste les gars ! » « Bon, docteur. Vous n'avez rien pour la soulager ? Ou quelque chose pour au moins la faire taire ? » A cette dernière phrase, je serrais encore plus fort la main de mon meilleur ami qui se tordait à son tour de douleur. Allongée sur un brancard au milieu du couloir de l'hôpital je n'avais jamais autant souffert de toute ma vie. C'était atroce, horrible, indescriptible. « Je suis sérieux, donnez-lui quelque chose ! » « C'est trop tard, le travail à commencer on a plus le temps. » Eh bien ce que je peux retenir c'est qu'il disait vrai, ils n'avaient plus le temps. à peine les portes de la salle d'accouchement refermées que je mettais mon fils au monde. -dans d'horribles cris de douleur d'accord, mais quand même- heureusement, cela fût plus rapide que ce à quoi je m'attendais. Je reprenais doucement mon souffle, tandis que mon ami qui était resté à mes côtés à me soutenir tout du long retiraient les quelques cheveux rebelles de mon front. « Vous voulez le porter ? » Une infirmière s'approchait de moi, une petite couverture bleue dans les bras et un sourire sur les lèvres. Déboussolée, je jetais un coup d'oeil à mon ami qui lui déjà admirait l'enfant avec ce même sourire sur le visage. « Je... je peux ? » Sans me donner de réponse orale, celle-ci plaçait la petite couverture sur mon ventre qui avait soit dit en passant considérablement dégonfler. Soudain, mon regard croisait le sien. Mon coeur loupait un battement, comment une chose aussi merveilleuse pouvait-elle exister ? Il était parfait. Ses grands yeux noirs, ses quelques cheveux, son petit nez et sa petite bouche, je n'avais jamais vu quelque chose d'aussi magnifique. C'était définitivement un ange tombé du ciel. « Comment est-ce qu'il s'appelle ? » Demandait la sage-femme. Comment ? Je n'en avais aucune idée ! Un prénom ... Un prénom ... « Je croyais qu'il n'était pas nécessaire de donner un prénom pour un accouchement sous x ? » Mon meilleur ami  venait de m'interrompre dans mes pensées. Mes yeux se détachèrent difficilement du joli bébé pour se poser sur lui. Pendant une fraction de seconde, j'en avais oubliée que ce n'était pas mon bébé ... En une nouvelle fraction de seconde je prenais une décision qui changeait le reste de ma vie. « Luca. Il s'appelle Luca. » Lâchais-je instinctivement, attrapant l'une de ses petites mains entre mes doigts, posant de nouveau mon regard sur lui et ajoutais : « Et je le garde. »

TOME IV « S'il te plaît bébé, dort ... » Je le suppliais presque, mais rien à faire. Il ne voulait pas dormir, ni manger, rien ne pouvait l'empêcher de hurler et de verser des larmes. J'avais tout fait, je lui avais fait prendre un bain, ne l'avait nourri mais rien, il refusait de fermer l'oeil. Il n'était pas malade, il avait tout pour bien aller et pourtant. Je n'avais pas dormi une nuit entière depuis ... Depuis des semaines, je mourrais littéralement de fatigue et tous ses cris de bébés m'étaient devenus insupportables. Alors je sais que c'est ça être maman, que c'est ce que j'avais choisie et que c'est horrible de dire des choses pareilles, mais je n'en pouvais plus ... J'étais à bout. J'avais cru en être capable mais soyons honnêtes, je n'étais pas à la hauteur. Il ne cessait de pleurer, et ça me fendait le coeur. d'ailleurs, je terminais même en larmes à mon tour sur le parquet de l'appartement de ma mère qui était au boulot, la tête entre les mains. « S'il te plaît ... » Répétais-je en vins. Le lendemain, tout était calme. Le petit c'était finalement endormi aux alentours de 5 heures. Quant à moi je n'avais pas réussi à trouver le sommeil, ma tête avait beaucoup trop cogitée pour cela. Qu'est-ce que je foutais de ma vie, sérieusement ? j'étais jeune, et à l'âge où logiquement je ne devrais me soucier que de la robe que je vais porter ce week-end ou de mes diplômes de fin d'année moi je devais marchander entre les couches et les biberons. Je pris une douche, histoire de me remettre les idées en place, mais une seule pensée hantais mon esprit : Je ne pouvais plus. Je n'y arrivais plus. Vivre de cette manière n'avait plus aucun sens. Mes amis m'avaient abandonné les uns après les autres, pré-textants que je n'avais plus de temps à leur accorder, ce qui n'était absolument pas faux. ma famille ne se constituais que de ma mère qui se démenait pour nous faire vivre. Je n'avais jamais eu de nouvelles de Kenaël. J'étais seule. et je ne profitais plus de rien. J'avais un bébé s sur les bras, et j'étais persuadée que même lui n'était pas heureux de cette vie. J'avais besoin de respirer car j'avais l'impression de suffoquer. C'est alors que je me suis mise à sortir de nouveau, comme avant. A boire, à reprendre de la drogue, comme avant. Ma mère s'occupait du petit en majeur partie pendant que je m'occupait à "ruiner ma vie" comme elle le disait si bien. Et ça a continuer, aujourd'hui encore tout ce que je fait c'est enchaîner les petits boulots et faire la fête dés que j'en ai l'occasion. Parfois je donne mon corps contre de l'argent, mais jamais plus mon coeur. Kena est revenue dans ma vie il y a quelques semaines, mais il est tout aussi défoncer que moi. J'ai évoluer, ma vie est foutue de toutes façons alors je ne voit pas pourquoi je ferait des efforts pour m'en sortir.
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Sam 28 Mai - 21:43
Bienvenue et bon courage pour ta fiche :)
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Sam 28 Mai - 21:56
Bienvenue  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 776115001
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Sam 28 Mai - 21:58
Bienvenu :)
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Sam 28 Mai - 22:14
Bienvenue chez toi! Bon courage pour ta fiche.  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 3355466223
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Sam 28 Mai - 22:59
Merci  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 852875916
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Dim 29 Mai - 1:07
“ Tu es validé(e) ”

bienvenue à toi Carmen Sorrentino.

Sacré petit bout de femme qu'on a là!  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 3877631104 J'espère que tu te plairas parmi nous.  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 776115001

Alors bienvenue officiellement dans la superbe famille de Love Me Like You Do. Là où il y a des tonnes de fous-rires, de la complicité à l’état pur, des tas de rebondissements et juste assez d’inceste pour être encore socialement acceptable  Sans blague, c’est une joie de pouvoir te compter parmi-nous et nous espérons sincèrement que tu sauras trouver ton petit bonheur ici car nous t’aimons déjà beaucoup.

Maintenant, tu es apte à faire tes demandes mais aussi que tes liens et  tes topics. Si ce n’est pas déjà fait, il serait bien d’aller jeter un petit coup d’œil aux règles du forum afin que tout soit bien compris. Je te conseille également d’aller t’inscrire ICI pour que la très aimable (oupas) Nightmare puisse intervenir dans tes RP ou t’envoyer des petits mots d’amour *tousse* par SMS et/ou autre.

N’hésites pas non plus à participer à l'évènement ou bien aux RPs d’intégrations. Il nous fera plaisir de te compter parmi nous et de pouvoir s’amuser avec toi. Nous avons également la chatbox et pleins de jeux super amusants!

Si tu as des questions, n’hésites pas communiquer avec le staff, ils sont souvent là… presque 24/24. ( L’avantage d’avoir des Français ET des Québecois, héhé! )  

Alors voilà, c’est tout. Viens faire chauffer ton clavier en notre compagnie maintenant.
. .

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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Dim 29 Mai - 10:11
Merci bien monsieur des Hunger Games !  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 586984710  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 2031913027
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |   Dim 29 Mai - 11:14
Bienvenuuue ma beellle  (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman. 2577391662
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(#)Sujet: Re: (cam) something 'bout you makes me feel like a dangerous woman.  |  
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