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 Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.

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Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  Empty
(#)Sujet: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 0:07
Once you have perceived that life is very cruel, the only response is to live with as much humanity, humour and freedom as you can.
Nom ▬ Santos. Prénoms ▬ Léna.Age ▬ 26 ansNationalité et origines ▬ Espagnole/Américaine  Activité ▬ Danseuse Situation ▬ Mariée (actuellement, en procédure de divorce) toujours amoureuse de Ryan. Orientation ▬ Hétérosexuelle.Groupe ▬ F.R.I.E.N.D.S.
Douce, il m'arrive de l'être. Drôle avec une pointe de sarcasme, me moquer des autres c'est presque inné chez moi. Je suis une fille libre, qui veut le rester à tout prix. Très joueuse et pleines de surprise. Pétillante, ça manque parfois de couleurs et j'y apporte ma touche personnel. Charmeuse experte, avec ma beauté envoûtante et mes yeux verts j'obtiens un peu tout ce que je veux. Ma plus grosse qualité est la générosité, surtout envers ceux que j'aime et qui en ont besoin. Humble, ouverte d'esprit et naturelle. Je suis digne de confiance, loyale et juste. Franche, attendrissante, casse cou. Audacieuse et intelligente. Malgré mes qualités, je trouve ça normale d'être impulsive et de mal réagir face à des cons. Excessive au possible, toujours et encore dans l'excès. Mauvaise perdante et râleuse internationale, parfois également jalouse. Je suis hostile en amour, parfois même inaccessible, surtout par rapport au relations sérieuses. Je ne vais pas vous mentir, j'ai un caractère catastrophique. Une vrai tête brûlée, du genre a n'en faire qu'à ma tête, bien que je reste lucide. Fille très mystérieuse, c'est ça les femmes modernes de ce monde. Extrêmement têtue, j'écoute très peu et change rarement d'avis. Je ne m'attache pas facilement aux gens, mais dans la vie on ne sait jamais. Et dernière chose, mais qui fait son importance : très rancunière, bordélique, grande gueule, violente, sans gène.
Léna
Santos
Once you have perceived that life is very cruel, the only response is to live with as much humanity, humour and freedom as you can.
PART I : PROLOGUE.


    « Le vent est à l'est, la brume se lève. Quelque chose se prépare, et arrivera, tôt ou tard. Je ne saurais dire, ce qui nous attends. Mais, ce qui va se produire, est arriver, avant... »



CHAPTER I - ONCE UPON A TIME : PILOT.

« VOUS PENSEZ CONNAITRE L'HISTOIRE, MAIS, VOUS N'EN SAVEZ QUE LA FIN. POUR EN ATTEINDRE LE COEUR... IL FAUT LA REPRENDRE, AU DÉBUT. »


MADRID

Assise sur les marches du grand escalier, tu jouais, sagement, aux barbies. A côté de la maison parfaite, que tu leurs à faite, un dossier avec inscrit, tout simplement "Papa". Dans ce dossier des dessins, tous assemblés là, depuis trois ans, représentant toute la petite famille que vous étiez... Petite ? Tel n'est point le mot qui conviendrait, c'est juste que tu ne te rends guère compte, de l'ampleur que tout cela a. Tu te mis à sourire, telle une idiote balafrée - un doux et mignon petit rictus, qui s'agrandit, quand tu vis, enfin, arriver ce que tu  attends depuis ce matin... « PAPA! » Ton petit rire d'enfant, emplie le hall. Tout le monde se tourne vers toi, tandis que tu essaies de courir vers lui, et ce malgré le volume formé, par toutes les couches de robes et de jupons, que tu as sur ta frêle silhouette. Tes petits cheveux, retombant tout le long de ton dos, en cascade. Ton père, et tous ses amis te regardent faire, quand tu arrives, enfin, vers lui. Il te serre contre lui, avant de te murmurer une phrase que tu entends, continuellement. « Léna, pas maintenant... » Cette phrase que tu détestes, que tu entends tout le temps, et auquel tu ne vois jamais d'issue. Tu regardes ton père, les yeux embués de larmes, et laisse tomber par terre tes dessins, avant même, de courir en pleurant, dans ta chambre. Ce fut le départ, ta famille préparait les cartons pour une nouvelle vie à Miami. Toi, la petite enfant, qui n'avait rien demandé à personne... Alors, que tu étais toujours allongée sur ta petite couchette, bien douillette, ta sœurette arriva doucement, et s'allongea à côté de toi, te caressant les cheveux, dans une tendresse, une douceur infinie. C'est un rituel que vous aviez entre vous deux. Quand tu étais, encore toute petite, tu n'arrivais, point, à t'endormir, sans que la jeune femme ne vient à tes côtés, te caressant la joue, délicatement, en prononçant le nom des couleurs. Et là, alors que tu te sentais mal, que les larmes coulaient à flots, sur tes joues nacrées, celle-ci faisait la même chose - elle faisait la seule chose, qu'elle savait capable de te calmer. Elle sait combien il est dur pour toi, de ne pas partager autant de temps que tu le voudrais, avec votre père, mais ce que tu ne comprenais pas, dans ton jeune âge, c'est qu'il avait énormément de boulot.  « Ne t'en fais pas. Un jour, ça s'arrangera, LeLe. Je te le promets. » Avoua Lucia, en continuant de te caresser les cheveux. Tu t'endormis, alors, dans ses bras, espérant qu'elle aurait raison. Que vous auriez, enfin, l'occasion de profiter de votre paternel.



CHAPTER II - TOI & MOI CONTRE LE MONDE .

« TOUT COMME IL EXISTE DES COUPS DE FOUDRE EN AMOUR, IL Y A, QUELQUE FOIS, DES COUP DE FOUDRE EN AMITIE. »


Le parc était, sans nul doute, le plus bel endroit de Miami. Des journées entières, durant, tu flânais entre les allées boisées, courant derrière les écureuils en riant, saluant les passants souriants. Tu adorais cet endroit. Cette contrée verdoyante. Cet immense espace, où tu avais appris à aimer. Et, sans doute, que tu retrouvais, en ces promenades quotidiennes, un quelconque réconfort. Bien que ton père n'avait point, énormément, de temps à te consacrer, certains jours, cependant, tu venais te promener avec lui, main dans la main, aux côtés de ta grande-sœur. Votre paternel te laisser jouer en toute liberté, en ces lieux. Tant que tu ne t'éloignais, guère trop... Parfois, tu t'autorisais à t'asseoir sur un banc et regarder les autres enfants jouer, ensemble. Glisser sur les toboggans colorés, se balancer jusqu'à toucher le soleil, et caresser les nuages duveteux, sur les balançoires. Une fois, tu avais voulu tester. Etre comme tous ces enfants, insouciants et innocents, et tu ne t'étais fait prier plus longtemps, pour venir t'installer, confortablement, sur une des balançoires. Voulant t'envoler vers les cieux, bougeant rapidement les jambes, pour aller toujours plus haut. Tes cheveux voletaient, furibond, derrière ton tracé, et cette vision accaparait l'attention d'une petite fille, qui se trouvait au loin. Peut-être, était-ce pourquoi, lorsque, tu chutais lourdement, sur le sol, elle avait accouru, sortant un carré de tissu de sa poche, pour venir l'appliquer sur ton genou, d'où perlait l'essence écarlate, à l'amer odeur de rouille. Tu laissais s'échapper larmes de douleur, de tes orbes caramélisées, et elle s'enquit de ton état. Cependant, la douleur n'arrivait à passer... Tu vis, alors, la fillette se pinçait les lèvres de frustration, et soudain, une idée - elle se pencha légèrement, et aussi doucement que possible, posant ainsi sa bouche, contre ta plaie encore saignante, pour y déposer un furtif baiser, qui vraisemblablement, faisait disparaître toute douleur, instantanément. Tu séchais rapidement tes larmes de crocodiles, en lui exprimant ta gratitude, dans un mignon petit rictus. « C'est ce que ma tata fait, quand je me fais mal. Un bisou magique et hop, on se sent beaucoup mieux! » Tu l'observais, désormais, avec un regard intrigué. Voir, comme si tu venais de croiser un revenant, cependant que vous vous releviez, doucement. Un bisou magique ? Voilà bien une chose, qui ne t'était guère familière. Tu ne te fis prier plus longtemps, pour le lui montrer, par ailleurs, mais, la jeune fille te rassura, immédiatement, en t'expliquant que sa tante le lui avait fait connaître, assez tôt. « Ah... Je m'appelle Lena et toi ? » - « Lena  ? River... Genre... Comme la Lune  ? Il est bizarre ton nom! Moi, c'est Avery. » Se moqua-elle, gentiment, à l'entente de ton nom. Pour toute réponse, tu lui tirais la langue, dans une moue adorable et naïve de petite fille, et croiser les bras sur ta poitrine, dans un semblant d'air contrarié. Elle se serait presque excusé de t'avoir offensée, si tu n'avais pas ajoutée, aussitôt. « Tu peux parler, toi! Je n'ai jamais entendu quelqu'un s'appelait, ainsi. Et puis... Tu t'es pris pour une héroïne, en me secourant, comme ça! » Vos rires éclatèrent et résonnèrent alors, à l'unisson, dans le parc. « Et bien, si tu veux, tu seras ma Lena. Et moi, je... Je serais ton héroïne, comme ça. » Te confia-t-elle, dans un murmure sérieux, se penchant, alors, sur ton oreille. Tu te mis dont, à rigoler et t'approchais d'elle , te hissant sur tes pieds, pour atteindre sa joue, où tu y déposais tes lèvres, doucement. Avery, surprise, se recula légèrement, cependant qu'un sourire idiot tirait les coins de sa bouche. « Pourquoi ce bisou magique ? » - « Bah, au cas-où tu aurais mal quelque part! » On dit qu'il existe des coups de foudre en amour. Mais, ce jour-là, vous aviez connu plus beau, plus fort et plus intense encore que cela : un coup de foudre amical.



CHAPTER III - L'APPEL DE L'ANGE.

« LE VOYAGE NE S'ACHEVE PAS ICI. LA MORT N'EST QU'UN AUTRE CHEMIN, QU'IL NOUS FAUT TOUS PRENDRE. LE RIDEAU DE PLUIE GRISATRE, DE CE MONDE, S'OUVRIRA, ET TOUT SERA BRILLANT, COMME L'ARGENT. ALORS, VOUS LES VERREZ... LES RIVAGES BLANCS. ET, AU DELA, LA LOINTAINE CONTREE VERDOYANTE, SOUS UN FUGACE LEVER DE SOLEIL. »


Cela faisait un moment, déjà, que tu patientais, dans le plus grand silence. Tu regardais le sol d'un air vide, totalement absent. Les secondes semblaient durer des heures... Ton pied tapotait nerveusement le carrelage, qui était d'un blanc immaculé. Quelques fois, tu t'autorisais à porter ton attention, sur cette horloge, qui était sagement accolée au mur. Comme si cela allait faire quelque chose... Tu laissais s'échapper de tes lèvres rosées, un soupir, aussi léger qu'une brise, cependant que, tu sentais le regard de cet homme, braquer sur toi - cet homme, que tu ne connaissais guère, mais, qui pourtant, venait de sauver la vie de ton père. Il l'avait menée, jusqu'ici, dans cet hôpital, alors que cette dernière, lui avait recommandée de t'appeler, pendant qu'on s'occuperait d'eux. Tu avais, alors, accouru, aussitôt. Tu avais couru, jusqu'à en perdre haleine, et c'est là, que tu le vis. Au détour de ce couloir... Il aurait très bien pu la laisser là, toute seule. Sans nul doute, que tu n'aurais jamais été mis au courant, a moins qu'un médecin n'appelle directement, sur ton cellulaire, pour t'annoncer une terrible nouvelle, mais au lieu de quoi... Ce medecin avait suivi ses recommandations, bien sagement. Et, tu savais, sans nul doute, que tu ne serais jamais assez reconnaissante, pour ce qu'il a fait. Tu étais réellement touchée, par son geste, même si, en cet instant, tu te faisais du mouron, pour ta famille. « Est-ce que... Je peux faire quelque chose ? Vous offrir une boisson. Un petit truc à grignoter, peut-être ? » Te demandait ton sauveur, d'un timbre, qui se voulait doux et rassurant. Restant sagement assis, à tes côtés. Tu te raclais la gorge, afin de te faire entendre, et croiser son doux regard envoûtant, pénétrant. « Merci. J'apprécie ce que vous faites. Vraiment. Probablement que, je ne pourrais jamais, assez, vous exprimer ma gratitude, mais... Vous en avez déjà assez fait, pour moi. Je... Je ne voudrais surtout pas vous importuner. » Après tout, il était libre de partir, si ce dernier le voulait... Il ne te devait rien. Absolument rien. Ou, disons, que c'était plutôt toi, qui te sentait redevable. Qui plus est, cela t'embarrassée... Qui sait... Sa femme, ses enfants devaient sans doute l'attendre, chez lui. Ils devaient, quelque peu, s'inquiétaient, alors que tu le retenais. Même si, ce n'était guère ce que tu voulais, dans le fond... «  Mais, qui a dit que vous m'importunez ? Et puis... Est-ce une façon de me remercier ? » Te rétorquai-t'il, d'une voix délicieusement mélodieuse, suave. Soulignant, au passage, la faveur, que tu lui devais. Essayant, certainement, de détendre l'atmosphère, qui plus est... T'adressant, ainsi, un mignon petit rictus. Tu le lui rendis, alors, toujours aussi embarrasser... Tu te sentais ridicule. Affreusement ridicule... Il était là, à attendre, une quelconque réaction de ta part, avec son regard d'ange, son sourire à faire fondre sur place. Son doux visage pénétrant. S'en était presque déstabilisant... Durant quelques instants durant, tu t'attardais sur ses fins traits de visage. Sur ses opales, au tintement caramélisées, chocolatées, dont tu te noyais considérablement et irrévocablement. Tu visualisais sa carrure joliment sculptée, élancée et gracieuse, qui était sagement accoutrée de sombre tissu. Il avait l'air d'être sorti de nulle part. Un peu, comme si un ange venait de tomber du ciel. Tu ne voyais que lui. Tu n'entendais, ne prêter plus la moindre attention à ce qui t'entourait. Cela te semblait abstrait, indigne de ton intérêt. Seul lui t'importait, désormais. Cela en devenait presque irréel. Il était bien trop beau pour être vrai. Sûrement que ton imagination, te jouait quelques vilains tours... Tu vis ses fines lèvres, méticuleusement, douces et pulpeuses, s'entrouvrirent, néanmoins, que tu tentais de reprendre tes esprits. Qu'avait-il dit ? Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension, adressant au médecin un regard navré. L'obligeant, à se répéter. «  Je m'appelle Graham, et vous ? » Répéta-t'il, avec courtoisie, bien que tu perçue une pointe d'amusement, dans le son, de sa voix, délicieusement, mélodieuse. Tu ne put t'empêcher de rougir, tel un pivoine. Hochant, alors, la tête, comme une pauvre demeurée. « Je suis enchantée de faire votre connaissance, Graham. Bien que... J'aurais souhaitais vous rencontrer dans de meilleures conditions... Et, je m'appelle Léna. Mais, tout le monde m'appelle lele ou, tout simplement, Léna. » Tu étais vraiment stupide... Jamais tu n'aurais l'ombre d'une chance de lui attirer plus d'attention que cela. Tu n'étais rien, et encore moins, quand tu te trouvais face à un bel homme, comme lui. Il te troublait, te décontenancer. Te déconcerter. Il se leva, dont, avant même de pivoter, et de te tendre la main, pour t'aider à te relever. Tu le remerciais, en te levant plus ou moins facilement, grâce à l'appui qu'il t'offrait. C'est ainsi, que vous vous dirigiez vers la cafétéria, a pas léger, feutrés... Ce fut, malgré tout, un agréable moment. Vous appreniez à vous connaître, un peu plus, que de coutume, que de raison. A vous trouver des points communs, des centres d'intérêts. Bien, que, dans le fond, tu ne parlais guère, beaucoup de toi. De ton trouble et douloureux passé. C'était mieux, ainsi... Cependant, vous décidiez de ne point vous attarder, trop longtemps. Juste en cas de nécessité. Si un chirurgien en venait à passer, durant ce temps... Et, cela ne manqua guère, puisqu'une fois de retour, il se dirigea vers vous deux, en te présentant toutes ses condoléances. Ton père avait eu un terrible accident de voiture, le médecin l'avait mis d'urgence aux soins intensifs, mais c'était inutile. Il est décédé. Mais le plus triste, c'est que ta propre mère n'était même pas avec toi. Tu restais, là, durant quelques longues minutes. Tu étais aussi droite qu'un piquet. Aussi raide qu'une planche de bois. Tu tentais de retenir tes larmes. En vain... Tu peinais à reprendre ton souffle hacher. Tu tentais de t'asseoir. De faire un mouvement, mais rien n'y faisait. Tu étais bloquée, paralysée. Tu sentais tes jambes devenir coton, et c'est sans crier gare, que tu t'effondrais, sous les regards attristés des deux hommes.« Laissez, je m'en occupe. » Entendais-tu, entre deux sanglots, alors que Graham, te prenait, tout entière, dans ses bras, pour t'amener dehors. A l'air frais. Tu voulais bouger. Te débattre. Dire au bel apollon que tu pouvais te débrouiller, toute seule, mais tu te sentais aussi inerte, vider qu'un poisson. Rapidement, vous arriviez jusqu'à la voiture de ce dernier, qui tenta de te calmer, tant bien que mal. Te demandant, alors, ton adresse. Et, bien que, tu avais du mal à lui répondre, que tu avais toutes les raisons de te méfier, tu t'en moquais, cependant. Plus rien n'avait d'importance, désormais... Tu pouvais très bien te faire kidnapper. On pouvait te vouloir du mal. Te torturer, que ça ne serait rien, en comparaison de ce que tu ressentais. Tu venais de perdre ton père. Le seul être, que tu chérissais. Que tu aimais, sans nul doute, le plus, en ce bas monde, dans cette vie terrestre... Le trajet se passait, dont, dans le silence le plus total. Le plus complet - un silence, à en retourner n'importe quel spectre, dans sa pierre tombale. Dans sa propre sépulture. Sans faire de mauvais jeux de mots, bien sûr... Tu essayais de garder les yeux ouverts, mais tu te sentais totalement partir. Tu tentais de t'emmitoufler dans ton manteau. De te recroqueviller. Sentant le froid t'envahir, te parcourir l'échine, cependant que le beau brun voyait ton état. Il monta alors, le chauffage, et se risqua à te parler. Tentant de te réconforter, comme il pouvait... Et, puis... Vous arriviez, enfin, devant cette lugubre bicoque, qu'était ta demeure. Qui donnait un air affreusement froid et glauque. Tout comme ta misérable petite vie, le devenait. Tu aurais très bien pu remercier ce bel homme, qui t'avait ramené. Lui certifier, que ça irait. Que tu pouvais rentrer, sans problème, mais, dans le fond, il sentait que tu n'en étais, point, capable. Sans nul doute, avait-il peur que, tu commets une bêtise. Un acte tout aussi délibéré, qu'il en deviendrait stupide et barbant, sur le moment présent. Alors, il appela ta grande sœur, qui venait aussi d'apprendre la mauvaise nouvelle, ainsi que ta mère effondrée dans sa chambre.



CHAPTER IV - LA PROPOSITION.

« C'EST LA COMBUSTION DE MON AME, QUE TU AS CAUSE. AME QUI SE LIE A LA TIENNE, SANS QUE JE N'EUSSE SIGNER UN PACTE D'APPARTENANCE, SUR LEQUEL NOS SANG SE SONT MELES. TU HANTES MES PENSEES, VOILE CARMIN, OU SE DESSINENT TES IRIS CARAMELISEES. ET, JE NE CESSE DE PRIER - PRIER, POUR QUE TU ME REVIENNES, INCONSCIEMMENT, TANDIS QUE MA RAISON ME POUSSE A TE TOURNER LE DOS, EBAHIT DE LA VIOLENCE, DE SENTIMENTS INAVOUES. »


Tu saisis, nerveusement, la poignée de porte, et l'ouvrais, finalement. Tu inspirais une grande goulée d'air frais, qui te libérée, aussitôt, de cette douce ambiance chaleureuse, que tu trouvais, un tant soit peu, animée, étouffante. Trop agitée, oppressante. Festive, écrasante, et dont le chauffage te monter aux tempes. L'excuse de trouver ton amoureux : Ricardo Santos. Un homme, qui a su te redonner le sourire, après le décès de ton père, il fallait bien un homme pour combler les travaux. Ricardo a été cet homme et de la est née un semblant de relation. Ce soir était la bonne occasion de le dire à ta famille. Quelques semaines durant, tu n'avais put t'empêcher de voir la porte de sortie. De te jeter à corps perdu, cependant. Tu avais voulu te  démêler, de cette foule insensée. De cette fête, pleine de cotillons, de chandeliers et de décoration colorée et luxuriante, sur la table posée, dont tu ne te sentais à ta place constante. Tu avais fait en sorte de faire plaisir à Rick, en invitant toute sa grande famille. Tu avais cuisiné durant des heures entières, tout préparer avec amour, avec passion. Tu avais tout fait, dans les règles de l'art, tout en chanson. Tu avais tout fait, pour eux, soigneusement. Tu les aimais tous, qui plus est, mais tu te sentais un peu trop à l'étroite. Encombrante. Un peu trop effacée, banale. Bancale, dans cet environnement. Dans ce monde de chimère, de misère, que tu voulais oublier et purger de ta peine. Du lourd fardeau, que tu portais. Mais, rien n'y faisait... Tu fermais, délicatement, la porte d'entrée. Ne voulant laisser entrer l'air glacé, à l'intérieur, qui tirerait, dès lors, quelques railleries. Brailleries de tes convives, et t'engouffrais, dans cette vaste contrée verdoyante. Cet espace, qui donnait sur un grand et majestueux jardin, dont tout le monde jalouserait, sans précédent. Tu t'emmitouflais dans ta grande veste grisâtre, bien que la température, ne te gêner guère plus que cela, et te dirigeais, tranquillement, sur le chemin de gravier, qui t'acceuillait à bras ouvert. Te menant vers un escalier de bois, d'un blanc immaculé. Tu découvrais, alors, ta mère, que tu recherchais, activement. S'accoudant, se tenant sur la rampe, de ce gazebo, où tu avais pris pour habitude de prendre le thé, en compagnie de ta moitié, durant les beaux jours. Les douces lumières, qu'avait installé l'élu de ton cœur, autour de ce petit bâtiment découvert, donner un air épuré, bien qu'élégant. Rappelant à quiconque, qui s'aventurait ici, au demeurant, que la période de Noël pouvait se trouver magique, émouvante... Tu fermais, dont, les paupières sur tes orbes ténébreuses, prenant, une fois de plus, une grande bouffée d'air frais. Une respiration lente et régulière, que tu voulais contrôler. Absolument maitrisée, et te décidais, finalement, à les rouvrir, avant même, de monter les quelques marches, de ta démarche gracieusement dansante, alors, que dans le fond, tu semblais indécise. Alors, que tu savais parfaitement, que depuis le décès de ton père, être à ses côtés  ,était à tes risques et périls. Tu fus tellement discrète, que ta mère n'eut l'air de remarquer ta présence... Tu avalais ta salive, avec une certaine difficulté. Alors, qu'elle peinait à descendre, dans le fin fond de ta trachée, à mesure que, tu redoutais l'instant présent. Mieux aurait fallu que tu fasse demi-tour. Que tu rebrousse chemin. Néanmoins, tu te surpris à vouloir jouer l'indifférente, face à la déférence qui t'imcombe, et, te raclais la gorge, pour qu'elle cesse de te tourner le dos, et croise, enfin, ton doux visage.« Léna, Ça fait longtemps que tu es là ? » Te questionna-t'elle, cependant qu'un sourire idiot tirait les coins de sa bouche. Visiblement heureuse de te voir, néanmoins que tu remarquais, qu'elle tenait, du bout de ses doigts calleux, un mégot de cigarette - remarque qui signifiait, en général, qu'elle était nerveuse ou stressée, dans ces moments précis. « Non, juste depuis quelques instants. Je voulais simplement t'informer, que le dessert va bientôt être servi, et qu'on attends plus que toi. » Lui avouais-tu, d'une voix calme, sereine. Haussant, dont, les épaules, à mesure que tu voyais la jeune femme piétiner le restant de sa cigarette, comme de coutume. Faisant attention, de ne point laisser de drainée de poudre noir, sur le parquet, de couleur chair, claire.«Pourquoi tu es vraiment là Léna ? C'est ton précieux amoureux qui t'envoie ? » tu en était choquée de ces paroles, encore des reproches. Lui faire savoir, que tu venais de saisir son message, à l'instar, que tu tournais les talons. Te préparant à redescendre du gazebo. A retourner à l'intérieur, dans l'atmosphère lourde, chaude et pesante, suivi de ta mère, qui, pourtant, ne t'emboîter, guère le pas. Restant aussi droite qu'un piquet. Aussi raide qu'une simple planche de bois. « Au fait, je voulais te remercier... De m'avoir invité. » Te retourna-t'elle, gentiment. Vraisemblablement, sincère et toucher de l'intention, à mesure que tu laissais échapper un soupir las, aussi léger qu'une brise. N'étant d'humeur à vouloir t'éterniser, de sa présence. A échanger quelques politesses futiles et délicates. Tu te retournais, dont, et lui adresser un petit rictus, sans joie. Prête à dégainée, à lui montrer le fin fond de ta pensée. « C'est plutôt envers Ricardo, que tu devrais exprimer ta gratitude. » A ces mots, qui se vouait acerbes, amers, fronçais les sourcils, au-dessus de ses grands yeux opaques. Ne comprenant guère, quelle mouche te piquer, soudainement. Pourtant, tu n'avais nul doute, concernant ta médisance, à son grand étonnement. Tu ne savais plus ignorer la connivence, que tu avais, désormais, à son égard. Elle avait rompu, brisé le lien que vous aviez. Elle l'avait  fissurée, dans une fine poudre de diamant, pour s'être décidé, a t'accuser de lui avoir voler son propre mari. T'accusant d'avoir tuer ton regrettable père. Mais, qui avait été de trop, pour toi... Tu la détestais, pour cela. D'avoir tout détruit, tout envoyer valser, d'un simple geste. D'un simple revers de main, d'un simple regard. Tu t'étais, alors, réduit, au silence. Tu avais pris tes distances, même, durant un certain temps, pour contrôler tes émotions, ton chagrin douloureux et passager. Dans tous les cas, tu voulais lui faire comprendre l'affront, qu'elle avait causé. Lui faire payer son détournement, sa fourberie. La trahison du serpent. La faire tombait avec toi, alors que tu avais, dors et déjà, précéder à ta chute déferlante. Que tu avais glissé, dans ce trou noir et béant, sous ton regard médusé, impuissant. Alors que le sol s'écrouler, derrière ton tracé, sous tes pas. « Il pensait me faire plaisir. » - « Et... J'imagine, que ce n'est pas le cas ? » A cette question, que tu trouvais futile. Stupide, tu t'étonnais, à laisser échapper de tes lèvres rouges écarlates, cramoisies, un léger rire sarcastique. Badin, moqueur, de surcroît. Tu trouvais fort déplacer qu'elle est répondue à l'invitation, alors, que dans le fond, tu n'avais voulu la revoir. En particulier, en cette période de fête. Mais, tu avais omis de divulguer ce qui s'était passé, envers ton bien aimé. Tu avais, malgré tout, garder le secret. Quand bien même, cela te pesait sur la conscience... Tu devais faire preuve, malgré tout, de bien aisance, et tu étais bien décidé, à ne point la laisser tout chambouler, tout éclater. Tout démonter, dans ton joli conte de fées. « J'ai pas de temps à perdre avec toi. » Lui révéla-tu, sans le moindre état d'âme. Avec une certaine vivacité. Levant les bras en l'air. Mais, semblait se moquer de cela. Une ébauche de sourire vint peindre ses douces lèvres, pulpeuses à souhaits, à mesure, que tu restais ébahis, étonnée de sa réaction. « Oh, mais que dirais-ton père s'il te voyait ? Tu n'as pas honte ! » cria-t-elle, mais Ricardo arriva sauver sa princesse. Ne parlez pas à Lena sur ce ton ! Partez on ne veut pas de vous ici ! Elle s'en alla sur le champs, bousculant sa propre fille. « Merci chéri. Allez, viens allons rejoindre nos invités.... » Tentais-tu, de lui faire savoir, d'une voix ferme. Implacable, alors que dans le fond, tu tremblais comme une feuille. N'aimant point l'idée de causer une quelconque peine, un grand désarroi, envers tes proches. En particulier, envers ton amoureux. Néanmoins, ce dernier ne semblait guère vouloir rejoindre les autres. Ricardo retient ta main, mettant un pied à terre, il ne t'a pas fallu six mois pour comprendre. « Léna, attend ... ça fait trop longtemps que j'attends, Léna Sanchez voudrais-tu me faire l'immense honneur en devenant ma femme ? » Tu n'y croyais pas tes oreilles. « Oh OUI ! » Achevais-tu, finalement. Ton souffle saccadé, se couper, alors. Les mots te manquaient. Ils restaient coincés, dans le fin fond de ta trachée. « Je suis très heureux pour vous. » c'était Carlos, le pere de Ricardo. Tu tentais, à ton tour, de te montrer heureuse, joyeuse. De conserver une belle image, de toi-même, voulant à tout prix, mettre le reste de côté. Tu les rangeais, soigneusement, dans un tiroir, de ton esprit torturé, esseulé. Te jurant, que tu prendrais du recul. Que tu réfléchirais, à tout cela, un peu plus tard, dans la soirée. Ou dès que tu aurais un moment de liberté.



CHAPTER V - LIAISONS DANGEREUSES.

« AU DEBUT, J'AVAIS JUSTE BESOIN DE QUELQU'UN, QUI PASSE ME VOIR, LE VENDREDI SOIR. D'UNE PERSONNE, QUI ME PRETE SON EPAULE, POUR PLEURER, QUAND TOUT VA DE TRAVERS, ET QUI SACHE, AUSSI, ME FAIRE RIRE, AFIN QUE, JE ME SENTE MOINS SEULE ET MOINS TRISTE. MAIS, C'EST DEVENU BIEN PLUS QUE CA... SANS QUE JE NE CONTROLE QUOI QUE CE SOIT, JE ME SUIS FAITE EMPORTEE PAR L'AMOUR. UN PEU, COMME A L'OCEAN, QUAND UNE VAGUE, VOUS PREND PAR SURPRISE, ET VOUS ENTRAINE, SANS QUE VOUS N'AYEZ LE TEMPS, DE VOUS EN RENDRE COMPTE... »


Tes pas martelaient le sol, suivant ton tracé. Tu laissais s'échapper un léger soupir, cependant que tu te rendais chez Ryan. Le neveu de ton mari, un homme qui est devenu ton amant. Cela faisait des jours, des semaines entières, que tu n'avais fait que l'éviter. Que tu n'avais pris la peine de converser avec lui, sur cette relation. A dire vrai, cela valait mieux que ça reste ainsi. Même s'il te manquait terriblement, il fallait l'admettre. Néanmoins, tu n'avais guère envie de tout envoyer valser, de détruire les rêves. Les objectifs que tu t'étais fixés, durant toute ton existence. Et, bien que, cela te causait une certaine peine, tu préférais, tout de même rester dans les limites. A quoi bon prendre des risques, si c'est pour se brûler les ailes, automatiquement ? Si c'est pour avoir le coeur brisé ? Tu pensais, sans nul doute, que tu avais déjà assez souffert, par le passé. Et, tu n'avais, point, un goût spécialement prononcer, pour réduire tous tes efforts, en état de cendres. Ca serait trop, pour toi... Tu t'aventurais, sur un sentier étroit, de graviers. Tu avais voulu jouer, à ce petit jeu de séduction. Les liaisons dangereuses, que le monde tout entier, nommer, à travers les âges. Les vastes horizons... Mais, tu savais, que, d'une certaine part, ce n'était point entièrement de ta faute. Après tout, tu ignorais totalement l'idée, qu'un jour où l'autre, vous tomberiez dans les bras, l'un de l'autre. Tu baissais la tête, le temps de quelques instants. Contemplant le sol d'un air vide, absent. Essayant de chasser le trop plein de pensées embrouillées, qui se percutaient dans ton esprit. Lorsque soudainement, tu sentais une pression se faire, au niveau de ton bras, qui t'entraînait. Tu tentais de calmer les battements de ton coeur, qui ne cessait de cogner dans ta poitrine. Cherchant ton souffle perdue, ainsi que ton équilibre. Tu t'apprêtais à sermonner celui qui avait osé te faire une telle frayeur, sans raison particulière, te retournant brusquement. Tu sentais les frissons t'envahir, te parcourir l'échine, à mesure que, tu restais ici, dans le noir. Tu étais pratiquement à deux petits doigts de prendre tes jambes à ton cou. De partir en hurlant, les bras en l'air, telle une possédée. Voilà ce que c'est, quand on se regarde trop de films... Tu avançais, avec une certaine gêne en sa direction. Mais, après plusieurs minutes de silence, tu le vis se rapprochait, systématiquement, vers toi, laissant découvrir son doux regard envoûtant, pénétrant, qui était bercé par la blancheur irréelle de la lumière, à travers les fenêtres tintées. Tu voulais lui demander ce qui se passait. Pourquoi il te retenait prisonnière, mais, avant même, que, tu n'eus le temps de faire quoi que ce soit, ce dernier plaqua ses mains sur tes joues. En coupe, et t'embrassa. Dans un premier temps, ce fut tendre, langoureux. Puis, son baiser devint plus intense. Sauvage. Tu sentais tes jambes devenir coton. Tu te sentais défaillir. Ton coeur palpitant, tambouriner, inlassablement, dans ta poitrine. Tu n'aurais voulu que cela, ne s'arrête. Le temps semblait se figer. S'arrêter, cependant que tu étais à ses côtés. Ton monde retrouvait de sa saveur. De sa splendeur, de son éclat. Tu te sentais tout simplement revivre. Tu glissais tes mains sur son torse, prolongeant son baiser. Bien que Ryan recula légèrement son visage du tiens, afin de reprendre son souffle haletant, qui se mêlait au tiens, après plusieurs minutes, durant. « Tu es là... » Ajouta-t'il aussitôt, d'un ton doux et mélodieux. Presque dans un murmure, en te caressant la joue, avec délicatesse. Un mignon petit rictus tiraient les coins de ta bouche, cependant que tu frissonnais, une fois de plus. Cette phrase... C'était celle qu'il t'avait révélée, une fois que, vous vous étiez retrouvés, tous les deux, dans son appartement. Cet événement dramatique, qui vous avait rapprochés, plus que l'anormal. Juste le temps de cette soirée... « Je suis là. » Lui retournais-tu, en prenant sa main, avec douceur. Tu posais ton regard sur le sien, cependant que tu jouais fébrilement avec ses doigts. Les entrelaçant, parfois. Bien que les siens te quittèrent, après quelques longues minutes, glissant doucement sur tes hanches. Son visage se rapprochait de nouveau. Il s'apprêtait à te voler, une seconde fois, un baiser, mais... Tout à coup, tu l'arrêtais en plein débat, te rappelant douloureusement, que, vous ne pouviez vous  permettre cela. Que tu ne pouvais point te laisser aller ainsi, une fois de plus. Tu en avais envie, bien sûr, mais tu ne pouvais guère, tout gâcher, pour ça. A cause de toi. Tu reculais dont, à ton plus grand désespoir, cependant que tu vis la mine stupéfaite du beau blond. Tu remarquais ses lèvres s'ouvrirent. Sûrement pour placer quelques paroles censées, mais tu le devançais. « Je suis navrée, mais... On... Je ne peux me permettre ce genre de choses. » - « Pourquoi cela ? » Te retourna-t'il, directement. Bien que, Ryan restait très calme, cependant, en te sondant de son regard bienveillant. Tu levais les yeux au ciel, te demandant si, sur le coup, il ne le faisait point exprès. « Je crois que, tu connais déjà la raison... » C'est vrai, après tout! Tu étais le neveu de Ricardo. Tout ça, c'était des choses qui ne faisaient pas bon ménage, tu pouvais le lui certifier. Et puis, il y avait tellement mieux que toi. Il méritait de trouver la perle rare. Vraiment, c'est ce que tu souhaitais, de tout coeur, pour ce dernier. Seulement, il n'avait l'air de l'entendre de cette oreille... Tu l'entendais, dont, soupirer, doucement, à mesure, que, tu croisais les bras. Te sentant, quelque peu, dans l'embarras. Fuir, c'est ce que tu aurais voulu faire, tellement tu appréhendais sa réaction. Il restait là, aussi raide qu'un piquet. Qu'une planche de bois, et pour toi, ce n'était pas bon. Pas bon du tout. « Ne t'en fais pas, je comprends, tout à fait. Tu n'as pas envie de nous causer des ennuis. De nous mettre dans la panade, mais... On pourrait essayer... » Il n'eut le temps de terminer, que tu le coupais net dans son élan, en ricanant nerveusement. Ainsi dont, il était prêt à se cacher au demeurant, pour profiter de ces quelques heures, timidement volées ? De mentir, au détriment de cette liaison ? Et, tout ça pour quoi ? C'est contraire à tout. A tout ce que tu crois... Tu ne demandais guère cela. Tu avais besoin d'une relation stable, sérieuse. Réelle, qui t'aiderait à te sentir bien. Heureuse et épanouie. Qui t'aiderait à y voir clair. Tu était tombée amoureuse de Ryan, mais faire du mal à Ricardo n'était pas ton but. Et, il le savait. Il se doutait pertinemment, depuis le tout premier jour, où vous vous êtes rencontrés, que ce genre de choses, n'aboutirait à rien. Vous en seriez tous les deux peiné, dans le cas contraire. Et, tu savais de quoi tu parlais. « Essayer quoi ? De se cacher, de mentir aux autres, pour quelques heures simplement échangés ? Tu... Non, je suis désolée, mais je ne suis pas comme ça. Je ne suis pas le genre de fille qui veut foutre la merde. Je n'ai jamais demandée ça... » Tu le vis, dont, se rapprocher, dans une ultime tentative de raisonnement - tu t'écartais pourtant, fuyant son regard. Fuyant son contact. « Ca m'est égale, je prends le risque. » Lança-t'il, l'air de rien, d'un ton indubitable. Guettant, alors, ta réaction. Ton regard se posa sur ses opales, au tintement chocolatées. Caramélisées, alors, que tu grinçais des dents, dans un semblant d'amertume. Tu n'en revenais guère... S'était-il, seulement, entendu ? Tu sentais tes poings se serrer, se contracter, alors que tu tentais de retrouver un semblant de raison. De quoi te raccrocher. Tu essayais de te calmer, de faire redescendre la pression, mais en vain... Tu ne savais, ce qui te retenait, de te jeter sur lui, pour le ruer de coups. « T'entends-tu, seulement, parler ? Tu plaisantes, j'espère ? Tu vas me dire que tu serais capable de faire tout cela, parce que... » - « Parce que je suis fou de toi Léna, tu va oser me dire le contraire ?. » Il avait raison. — « Ryan.... moi aussi tu sais.. » Tu le vit s'approcher de toi, il était bien à tes côtés.  « Je t'aime » Il le savait ...La mort de ton père était encore trop récente, trop douloureuse. Dans le fond, même si tu ne le montrais guère - hormis a lui, tu te sentais vulnérable... Tu baissais le regard, laissant s'échapper un soupir exaspéré, de tes lèvres rosées. Tu sentais ton coeur tambouriner dans ta poitrine, à mesure, que, tu te tournais vers lui. Tu le toisais dans le plus grand silence, durant quelques longues minutes. Sur le moment, tu aurais voulu courir dans ses bras, et l'embrasser tendrement, mais... Ryan le faisait lui-même.




CHAPTER VI - LE TEMPS DES CHOIX .

« SI PARFOIS, ON NE CROIT, CE QUE L'ON VOIT, IL Y A D'AUTRES FOIS, OU LES CHOSES LES PLUS IMPORTANTES, AU MONDE, SONT CELLES QUE L'ON NE VOIT PAS. »


Tu errais. Laissant ton esprit voguait, se laisser emporter vers de vastes rivages. De vastes horizons. Tu songeais, douloureusement, à ton futur. C'était inévitable, c'était auprès de Ryan, que tu voulais les vivre. Il était à tes côtés, te racontant des choses et d'autres sur la vie. Tu le toisais, alors qu'il te faisait face. Voulant absolument rester, dans ton champ de vision. Tu lui adressais, dont, un regard navré, à mesure que tu comprenais, que tu n'avais guère écouté, ce qu'il venait de te révéler... Il s'enquit de ton état, sentant une certaine quiétude, pour toi, néanmoins, que tu lui adressais un doux et mignon petit rictus. Tu n'en pouvait plus de cette mascarade surtout si c'était pour continuer ainsi. j'en peux plus de tout ça...je vais quitter Ricardo. Tu t'échappais de justesse et prenant soin d'être assez loin de lui. Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Ne comprenant. Tu avais compris, Ryan ne pourra jamais sacrifier son oncle, il l'aimait beaucoup trop pour ça. En rentrant chez toi, il n'y avait plus qu'une seule chose à faire : accepter de t'en aller avec Ricardo et quitter Ryan. Tu attendit jusqu'à tard le soir avant de pouvoir rentrer chez lui, cet appartement où il t'attendait.  «  Je m'en vais, Ricardo ma proposer de le suivre en Espagne et j'ai accepter. » Tu penchais la tête légèrement de côté. Ne voulant pas le quitter, mais sen était beaucoup trop pour toi. «  Oh.... je crois que c'est mieux comme ça. » Se justifia-t'elle, d'une voix douce, suave.  «  Tu ne perdra pas Ricardo, mais moi oui. J'espère que cela valait le coup. » Tu n'eut guère le temps de dire quoi que ce soit avant que ton téléphone vibra, signe qu'on attendait plus que toi. Quelques semaines se sont vite écoulé, en découvrant une nouvelle, un heureux événement, mais le hic c'est qu'au fond de toi tu savais — il n'était pas de ton mari. «  Mon amour, tu est prête a y aller ? Tu n'a rien oublier ? » tu entendais, dont, ton mari, échapper un soupir, aussi léger qu'une brise.
«  Oh... oui... j'ai tout ce qu'il me faut. » touchant mon ventre en m'en allant, fermant la porte. Tu avait mal un trou immense se brise dans ta poitrine. Tu allait t'en aller ,mais ton coeur était kidnapper par Ryan. Tu ne pourras jamais l'oublier, il est ancré dans tes veines. Tu comptes les étoiles mais bien vite tu perds le fil des nombres. Une perle nacrée roule le long de ta joue porcelaine. Brisée tu es, meurtrie ton coeur se fait, perdue tu ressens le sentiment de dégoût et d’abandon, de trahison et de colère. C’est un couteau planté au centre de ton âme, une massue qui s’abat sur ton être frêle et fragile. Tu te sens minable, une impression s’égrainant dans ton être tout entier. Tu n’es rien, rien du plus qu’un misérable grain de poussière que le vent emportera avec lui lorsqu’il soufflera. Transparente, invisible aux yeux du monde, cruel et infâme, écrasant et sadique. Qu’as-tu au fond des yeux qui fait que ton âme se reflète à l’intérieur ? Tel bleu azur, l’océan s’agite, l’océan se réveille. Au fond de tes yeux, rien ne va plus. Parce que c’est un océan de larmes qui déferle. Pourquoi pleures-tu ? As-tu si mal que ça au coeur pour vouloir verser toutes ces perles cristallines pour quelqu’un qui ne le mérite même pas ? L’amour ? Ah l’amour, quel sentiment jouissif et douloureux à la fois. L’amour tu es passion quand vient l’aube et tu déchires les passions quand vient le crépuscule. Simplement tu rends malheureux, tu rends triste parce que tu sais comment briser les coeurs. Pauvre amour, solitaire et délaissé. Mais l’amour peut parfois rendre véritablement heureux. L’amour n’est pas que trahison et mensonge, l’amour est parfois fragile mais sincère. L’amour c’est un cri dans la nuit noire lorsque le silence est d’or. Il suffit de se rappeler, le premier amour, le véritable, celui qui n’est que magie et beauté. Le premier amour qui construit une vie après tout. C'était Ryan pour toi, ça le sera pour l'éternité.




CHAPTER VII - UN NOUVEAU DÉPART .

« CAR, ILS ETAIENT UNIS PAR UN FIL, QUI NE POUVAIT EXISTER, QU'ENTRE DEUX INDIVIDUS DE LEUR ESPECE. DEUX INDIVIDUS, QUI AVAIENT RECONNU LEUR SOLITUDE, DANS CELLE DE L'AUTRE. »


Cela faisait déjà plusieurs semaines, que tu était de retour à Miami, la ville de ton cœur. Tu avais décider de quitter ton mari, lui avouant que tu ne l'aimais plus, que tu devais partir. Mais tu reviens pas toute seule, avec ta fille, ton bébé, celui de Ryan. Une chose que même l'intéressé n'était même pas au courant. Tu savais à quel point cela jouait beaucoup, aujourd'hui. Mais ta relation avec Ricardo n'aurait pu jamais marcher  Voir, pire... Pourtant, même si tu n'osais te l'avouer. Même si, tu agissais comme tel, il était évident, que tu tombais, un peu plus, sous le charme de Ryan, à chaque minute, chaque instant, qui s'écoulaient, à travers ce sablier, qui marque notre temps. Après tout, tu n'avais jamais été très heureuse. Très chanceuse, question sentiments. Et puis, tu te considérais comme un être, totalement banal, effacé. Voir, insignifiant... Parce que, dans le fond, tu ne voulais pas faire du mal à Ricardo,  étant donné, que, ton âme esseulée, appartenait, secrètement, à un autre. Que, la supercherie de tes sentiments, demeurer enfouis. Dissimuler, à jamais... C'est d'ailleurs, pour ça, que tu ne pouvais plus être avec ton mari, c'était au-dessus de tes forces. Oui, il fallait se rendre à l'évidence : Ricardo était bien trop beau, trop gentil. Trop romantique, attentionné. Bien trop parfait, pour toi. L'homme idéal, tu le voyais en lui. Mais, tu te savais, parfaitement, qu'ill pouvait avoir n'importe quelle femme, alors... Pourquoi diable, continuer à te tourmenter ? Ce n'était qu'une ombre. Une simple pensée, que celui-ci croyait aimé. Tu ne pouvais lui donner ce qu'il recherchait. Tu ne saurais répondre à ses attentes, à ses prières. Alors, que tu chassais toutes ces pensées embrouillaient, de ton esprit torturé. Que tu rentrais, tranquillement, dans cet ascenseur, tu appuyais, instinctivement. Machinalement, sur le bouton, pour monter. Tu baissais le regard, en laissant s'échapper de tes lèvres rosées, un soupir, aussi léger qu'une brise, cependant que les portes commençaient à se refermer, doucement. Tu t'étais installer, avec ta fille, dans un grand appartement qui répondait à vos attentes. Tu aurais voulue appeler Ryan, mais tout lui avouer par telephone était cher à ton goût. Tu avais décider d'aller lui rendre visite, c'était beaucoup mieux un face à face pour ce genre de révélation. Tu te rends chez lui, en laissant ta fille auprès de ta meilleure amie, qui était tres heureuse de ton retour. En toquant à sa porte, tu commençais à avoir peur, peur qu'il le prenne assez mal. Après quelques longs instants, tu croisais enfin, son doux regard envoûtant. Pénétrant. Arf... Qu'est-ce qu'il était beau ! Tu sentais une boule se former, dans le creux de ton ventre. Ta gorge se serrer, systématiquement, alors que ton rythme cardiaque accélérait, sensiblement. Tu ne savais que dire. Tu étais totalement paralysée. Pourtant, tu n'avais envie que d'une chose : te retrouver dans ses bras. Une requête, qui t'était, quelque peu, refusée, pour l'instant... Ce dernier se retourna, pour te faire face, alors que tu le vis aussi surpris que toi. Tu ouvrais, dont, ta bouche, pour placer quelques paroles censées. Lui demander comment il allait. « Qu'est-ce que tu fais ici ? Je te croyais en Espagne... avec mon oncle. » Te demanda-t'il, directement, bien que, cela n'avait point l'air d'être un reproche. Tu posais tes iris bleutées, sur les siennes, soupirant de lassitude. « Je suis partie, j'en pouvais plus de jouer ce rôle, je l'ai quitter ...on devait s'en aller. » Lui retournais-tu, d'une petite voix calme. Sereine, en haussant les épaules. Tu le vis, dont, te toiser, dans le plus grand silence, bien que, ce dernier se rapprocher, dangereusement, de toi. « Comment ça "on" ? De quoi tu parle ? » il était temps de tout lui dire. « Quand j'ai décider de m'en aller pour l'Espagne, je ne savais pas je te jure ... je suis tombé enceinte et je vais pas te faire un dessin, cest toi le père. Il en revenait pas, impossible pour lui de réagir de façon normale. « Pardon ?!!! Donc tu est partie du pays sachant que tu portais mon enfant ???? C'est ça que tu veux dire ! Donc tout cela n'était qu'un jeux pour toi ? » Tu soupirais, une fois de plus, détournant, alors, le regard. Te sentant, quelque peu, blessée. Froissée. Néanmoins, tu t'apprêtais à placer quelques paroles, mais ce dernier, te devança, une fois de plus. « Tu ferais mieux de t'en aller, avant que je dise quelque chose que je pourrais regretter ! Tu veux que je te dise ? Si tu est venue pour moi, tu peux retourner en Espagne, parce que je veux clairement plus de toi ! » Un long silence s'abattit dans l'habitacle. Un silence oppressant, qui ferait retourner n'importe quel spectre, dans sa sépulture, cependant que tu restais là, aussi droite qu'un piquet. Aussi raide, qu'une simple planche de bois. Tu n'aimais guère la tournure, que prenait ces événements. Tu avais même, la vague impression d'avoir affaire au Chapelier fou, dans Alice. A force, tu ne savais plus sur quel pied danser, avec ses sautes d'humeur, constantes... « Non, je... Ce n'est pas du tout ce que tu crois. Laisse moi t'expliquer s'il te plaît, Sans toi, mon monde n'est qu'un océan rempli de ténèbres. Je... Je ne veux pas, que... » Tu soupirais alors, dans un semblant de mélancolie. De profond désarroi. « Je suis désolée de t'avoir blessé, si tel est le cas. Crois-moi, ce n'en était pas du tout mon intention. Au contraire... Seulement, Je ne pouvais pas te le dire, tu avais peur de l'engagement, tu avais peur que notre relation soit vue ...Tu es quelqu'un d'extraordinaire. De merveilleux. Tu es doux, gentil. Drôle. Agréable a regardé... Tu es tout simplement parfait. Et, je... Je me disais, qu'en agissant ainsi, tu finirais par m'oublier, par passé à autres choses. Parce qu'il faut se rendre à l'évidence, tu mérites vraiment d'être heureux. De trouver mieux. Et... Je n'ai jamais été très douée, question sentiments. Et puis, je ne voulais pas que tu sois obligé de choisir ... entre ta famille et moi. Parce que... Parce que, si c'est le cas, je m'en voudrais, que trop... Mais... » Tu te rapprochais, à ton tour, en posant ta main, délicatement, sur la douce joue nacrée du beau blond. Reprenant ton souffle perdu, doucement, à mesure, que, tu te noyais dans ses yeux, d'un brun translucide. Des orbes caramélisées, aux couleurs chatoyantes. « Je t'aime, Ryan. » Lui avouais-tu, finalement. Presque dans un murmure, en lui caressant le visage, avec tendresse. « Moi, ça fait bien longtemps que je ne t'aime plus...et je me demande comment j'ai pu t'aimer. » Bien que cette petite pointe d'amusement s'afficha sur son visage pénétrant.  « Je veux que tu t'en aille maintenant.
»
Et, pour la toute première fois, de ta vie, tu te sentais, réellement, mal.

* * * * * * * *




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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 0:32
Oh que tu vas faire un heureux, c'est certain Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  776115001 Bienvenue ici Léna et bonne chance pour ta fiche! Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3355466223
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 0:41
Bienvenue parmi nous Bella! Bon courage pour ta fiche. Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3355466223
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 11:26
J'en connais un qui va être ravi! Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  776115001
Bon courage pour ta fiche et bienvenue ici Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  2933984248
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Eleanore B. Dickens
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 11:52
Bienvenue :) !!
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 16:39
lyndsyyyyy Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3706949885 tu m'as filé une envie de me binge-watch Nikita Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3914656141 Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3480222922
bienvenue Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3465334165
bon courage pour ta fiche Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  209979186
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 18:38
Encore une fois je suis trop content que tu sois là  Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3355466223  Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  882729332  Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3445642916  Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3365305062 , si tu as le moindre soucis tu sais où me trouver Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  776115001
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 20:47
Bienvenue parmi nous et très bon choix Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  776115001 Bonne chance pour ta fiche Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  3355466223
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 21:43
Bienvenue chez toi miss ! :)
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(#)Sujet: Re: Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.   |   Mar 1 Aoû - 22:23
Bienvenue sur le forum ! Bon courage pour ta fiche Léna ~ Le sentiment amoureux se mesure à l'ampleur du manque, à l'etat fiévreux dans lequel l'absence de l'autre nous plonge.  1710062546
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» Sassy ♦ Dans la vie, on nous donne rien, c’est à nous de prendre ! « Non serviam ».
» Dans le fond, savons nous vraiment qui nous sommes?
»  Dans la vie, on nous donne rien, c’est à nous de prendre ! « Non serviam ».
» Teddie ♫ Les relations sont surement le miroir dans lequel on se découvre soi-même

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