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 can't keep my hands to myself / paisley

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(#)Sujet: can't keep my hands to myself / paisley  |   Ven 20 Déc - 23:28

“can't keep my hands to myself ” & Arlo ne travaillait plus au Seven Devil’s Bar depuis longtemps, il était même pas mal occupé avec le casino. Pourquoi était-il donc toujours prêt à dépanner son ancien patron quand un de ses hommes manquait à l’appel? Easy, Paisley. Cette fille, il l’avait justement rencontré quelques semaines plutôt dans ce même bar. Un hasard qui lui avait bien plus. Faut dire qu’elle est le genre de fille qui prend toute la place dans une salle. Qu’elle le veuille ou non, les regards se retournent toujours vers elle. En tout cas, ce soir-là même si le boulot de Arlo c’était de s’assurer de la sécurité des clients, il ne pouvait que la regarder elle.
La soirée s’était très bien terminée si on peut dire ça ainsi. Ils s’étaient même revu. Souvent au bar, mais le hasard avait bien fait les choses pour ses deux. Il aurait sûrement dû mentionner la demoiselle à son meilleur ami. Puisqu’il ne rentrait pas tous les soirs dans leur appartement. Il ne savait simplement toujours pas que cette Paisley avait un lien familiale avec son Léo et encore moins que le sang les reliait d’une certaine façon.
Le patron de Paisley n’avait pas besoin de renfort ce soir. Arlo savait pourtant très bien qu’elle travaillerait. Le vendredi soir c’est très payant pour les serveuses dans les bars. Il devrait surement être au casino à cette heure. Lui aussi, il bossait dans un domaine payant les soirées de week end. Il avait une bonne équipe. La soirée tirait aussi à sa fin. Tout était tout contrôle, Léo l'appellerait au besoin.
C’est d’un simple jeans foncé et d’un t-shirt blanc qu’il était vêtu quand il avait fait son entrée dans son ancien lieu de travail qu’il connaît trop bien. Saluant et discutant avec plusieurs personne puisqu’ils sont tous comme des amis après tout ce temps. Pourtant, il avait qu’une personne en tête. Qu’un désir brûlant. Il commençait à se faire tard. Ou plutôt il était très tôt, le matin allait bientôt s’installer dans quelques heures.  Il avait attendu le plus loin dans la soirée possible pour réussir à avoir du temps en sa compagnie. Avant deux heure du matin, l’endroit aurait été plein à craqué et Paisley aurait couru partout. Ce job est pas aussi simple qu’on le croit.
Comme d'habitude Deux mots qu'il lui dit quand il fit enfin installé au bar et qu'elle vint à sa rencontre. Il commandait toujours une bière, n'importe qu'elle lui allait. Il venait surtout pour prendre de ses nouvelles. Grosse soirée? Elle était toujours aussi belle que les dernières fois qu'ils s'étaient vu, mais vu l'heure, c'était normal d'assumer qu'elle avait hâte de rentrer elle aussi.


 
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Sam 21 Déc - 10:35

“can't keep my hands to myself ” & Encore une de ses foutues soirées qu'elle passe à courir à droite et à gauche. Ce plateau dans ses mains, elle le connait par cœur, elle a apprit à le manipuler, à le tenir droit dans la paume de sa main, en équilibre et ce peu importe le nombre de verres dessus. Le monde autour d'elle tourne beaucoup trop vite pour qu'elle distingue parmi la foule une silhouette reconnaissable. Elle ne capte pas les regards qui se posent sur elle, les sourires qui lui sont adressés, elle se contente de servir, de sortir toujours les mêmes phrases machinalement, d'encaisser l'argent comme elle a si bien l'habitude de le faire. Rapidement, elle relève sa chevelure en queue haute pour éviter que ses fins cheveux ne lui collent à la nuque. Elle s'active encore et toujours et ce jusqu'au bout de la nuit, et ce sans sourciller. Elle semble professionnelle, elle semble si fragile, si belle de loin, que jamais personne ne songerait qu'elle est en réalité une vraie furie, une vraie bombe à retardement prête à exploser n'importe quand. Finalement, elle gratifie quelques clients d'un sourire, pour les pourboires qu'ils ont déposés pour elle. Elle se contente uniquement de sourire, et ce quand même certains lui lancent des clins d’œils, qu'ils cherchent à lui faire comprendre certaines choses.

Son service durera une bonne partie de la soirée, de la nuit avant que la foule finisse par se dissiper, disparaître. Elle ne déambule plus à travers la clientèle, elle a préféré se réfugier derrière le comptoir, muni d'un torchon pour frotter quelques verres propres. Ici, elle peut enfin souffler, prendre un bon bol d'oxygène sans avoir à courir. Elle sait de toute manière que son service touche à sa fin et que très bientôt, elle allait pouvoir rentrer chez elle, se laisser tomber, bras écartés, sur son matelas pour fermer les yeux après avoir méditer sur sa misérable existence. Concentrée sur ce verre qu'elle tint entre deux doigts, une voix finit par la sortir de ses pensées. Une voix masculine, presque sensuelle qu'elle semble reconnaître. Sa voix à lui. Arlo. Sans un mot, elle s'agite à nouveau pour lui préparer ce qu'il est venu chercher. Elle a l'habitude maintenant de le servir, c'est presque devenu un rituel au final. Rapidement, elle lui dépose entre les deux coudes sa boisson, le fixe toujours silencieusement. Il lui arrache un discret sourire, qu'elle veut garder pour elle même. Il lui parle, il s'intéresse à cette soirée et au fait que, comme d'habitude, il y avait eu foule. Mais elle, ce n'est pas ça qui l'intéresse.«Qu'est-ce que tu fous la?» qu'elle ose lui dire, une main sur la hanche, sans le quitter un seul instant du regard.

Ce garçon, elle le connait bien, par cœur presque. «T'es venu t'assurer que j'étais encore vivante? C'est trop mignon ça.» qu'elle ajouta avec humour avant de reprendre ses verres humides pour les frotter à l'aide du torchon qu'elle tenait toujours d'une main. Arlo. Sacré Arlo. Comment peut-elle oublier un type pareil? Non, elle ne peut pas. Il était un peu comme son "adorable" cousin Léo, les deux se ressemblaient assez sur certains points, chose qui était plutôt drôle d'ailleurs. Eb parlant de Léo, il ne lui semble pas l'avoir vu ce soir au Seven. Il devait certainement être trop occupé ailleurs pour se préoccuper de l'état de sa cousine chérie. Au final, ce n'était pas plus mal, au moins elle ne l'aurait pas sur le dos pour une fois, il ne chercherait pas à savoir si quelqu'un à chercher à lui nuire ce soir, et au pire, même si il s'était trouvé dans la foule, elle pourrait toujours lui mentir, elle était plutôt douée pour ça d'ailleurs. En attendant, ce soir, aucun homme n'avait cherché à l'aborder, à l'affronter, face à face mis à part Arlo le courageux, celui qui ne semblait pas la craindre, cette sacrée furie, cette sauvageonne avide de liberté.


 
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Jeu 26 Déc - 17:28

“can't keep my hands to myself ” & Entre Arlo et Pais’ c’était magnétique. Ils ne se connaissaient que très peu encore. Leur discussions n’avaient jamais été très longue, mais leur corps se connaissait déjà très bien. Trop bien. Has if it wasn’t they weren’t strangers since they one. Alors qu’ils venaient de se rencontrer. C’était quelque chose que Arlo ne pouvait décrire puisque c’était une toute première pour lui. Il n’avait pas l’habitude de vouloir revoir une fille.
Tout était éphémère pour lui. Habitué de devoir s’adapter au changement, pour lui chaque aventure était futile. Un moment de plaisir échangé pour se distraire mutuellement. Il ne comprenait pas pourquoi, Paisley parvenait à hanter ses pensées même quand ils n’étaient pas ensemble. Il revenait pourtant parce qu’il en voulait toujours un peu plus. Un rire échappa sa bouche quand elle lui demanda ce qu’il faisait au bar, puisque en réalité, il ne savait pas trop ce qu’il venait chercher.
Il avait vu son meilleur pote tombé en amour follement pour des demoiselles qui semblaient toujours finir par le détruire. Il avait perdu des amis qui changeaient complètement en s’accrochant à une nana. Il s’était juré jeune qu’il ne ferait pas la même erreur. Qu’il ne s’attacherait à rien n’y personne. Ayant grandi dans le système, il n’a jamais eu de sentiment d’appartenance. La famille s’était pour les autres. Il s’était promis qu’il ne serait toujours seul. Un contre tous. Sauf qu’il avait fini par trouver Léo. Sans lien de sang, ils étaient devenu bien plus que des potes. Ils étaient frères. Des vrais frère toujours là l’un pour l’autre. À se dire ce qui fait mal à entendre, à ramener l’autre sur terre quand il le faut. Arlo pourrait prendre une balle pour son idiot de frère qu’il l’avait déjà fait pour une fille qui ne le mérite pas. Tout ça pour dire que Arlo avait brisé sa promesse avec Léo puisque maintenant, il ne serait jamais plus seul contre le reste du monde. Et il la brisait doucement une seconde fois à laissé la belle brune le hanter même dans ses rêves.
Mignon? Moi, jamais. Souriant après s’être lancé des fleurs, une partie de lui se trouvait bidon de venir la voir alors qu’elle finissait bientôt de travailler et l’autre espérait rentrer avec elle. Comment vas-tu? Elle n’avait pas vraiment répondu à sa dernière question et peut-être que les autres clients du bar se fichait complètement de la réponse, mais pas lui.
Commençant à boire sa boisson, il ne pouvait pas s’empêcher de la regarder. Essayant de lire son langage physique. Sans savoir pourquoi, il pouvait comprendre qu’elle avait une carapace peut-être aussi épaisse que la sienne. C’était peut-être ce qui l’attirait. Tu veux un peu d’aide? Ça te permettrait peut-être de rentrer plus tôt. C’était une question, mais Arlo n’avait pas besoin de réponse pour traverser le bar. Ami avec le propriétaire, ancien employé qui aidait souvent, this was kinda like his second home, Arlo ne dérangerait personne. Le last call avait été annoncé, bientôt, il n’y aurait que les employés dans l’immeuble vaut mieux être de leur côté du bar pour rester près de Paisley.
Volant le torchon des mains de Paisley, il pouvait nettoyer des verres et la taquiner un peu la ferait bien rire. On va partager ton pourboire par contre, je travaille pas gratuitement moi. Arlo plaisantait et son timbre de voix le démontre clairement.
I miss snow. Tu viens du coin? T’as déjà eu un Noël blanc? C’est le seul jour de l’année que j’échangerais la mer contre le froid. Sans famille, il avait trouvé toujours ce temps-ci de l’année difficile. Venant du Nord du pays, au moins peu importe il était dans quelle famille d'accueil ou s’y était dans un centre, il avait cette poudreuse blanche pour le mettre dans l’esprit des fêtes. Depuis qu’il est à Miami, même s’il a Léo, le temps des fêtes lui rappelle que la solitude le protège peut-être de bien des déception, mais qu’elle reste décevante par moment elle aussi.



 
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Jeu 26 Déc - 21:02

“can't keep my hands to myself ” & L'amour c'est éphémère et puis ça fait souffrir de toute façon. On croit que c'est éternel, que rien ni personne ne peut nous le dérober jusqu'au jour ou cette foutue vie décide de s'en charger à la place des autres. C'est ce qu'on appelle: "Le destin". Il est impitoyable. Il s'abat sur tout le monde un jour ou l'autre, parce que l'être humain a était fait pour souffrir, parce que c'est une obligation. On a tous déjà au moins pleurer de colère, de tristesse, de rage même, alors que tout semblait tourner rond dans nôtre misérable petite vie. Au final, nous ne sommes que des pions dans ce grand échiquier qu'est la vie. Il faut l'accepter, l'assumer, peu importe les conséquences, peu importe ce qu'il est capable de faire, ce foutu destin. ce qui était fait, était fait. Elle ne regrettait rien Pais', elle n'a jamais rien regretté de toute façon. Que ses faits et gestes soient bons comme mauvais, elle avait tendance à tout assumer, jusqu'à l'os. Arlo avait un beau minois, il avait du tempérament et c'était bien ça qui lui plaisait. «Naa'. T'as raison en fait.» qu'elle rétorquait quand il disait ne jamais être mignon. C'était sa façon bien à elle de le taquiner, parce que de toute façon elle aimait ça, rire sans se prendre la tête. Les susceptibles ne sont pas ses amis, ils ne l'ont jamais été. Elle était comme elle que ça plaise ou non.

Arlo, il s'intéressait à elle. Il voulait savoir comment elle allait, comment son esprit déglingué se portait. Elle haussait les épaules. Sans plus. A quatre jours des fêtes de fin d'années, on ne peut pas dire qu'elle soit au meilleur de sa forme. Ce jour lui rappelle sans arrêt qu'elle ne reverrait jamais sa famille biologique, que Londres lui manquait quelque part. Elle a des souvenirs pleins la tête Paisley et ça déborde tellement que ça risque de lui faire exploser littéralement le crâne. Les souvenirs sont la, douloureux, ceux de cette petite fille un poil trop naïve qui pense qu'ont peut changer le monde à coup de baguette magique. Mais c'est pas ça la vie petite Paisley. La vie est beaucoup complexe que ça, la fourbe. «Ça passe..» qu'elle lui répondait finalement tout en continuant à frotter ses verres. Et que ça brille Cendrillon. Elle n'avait pas capté qu'il avait figé son regard sur elle, qu'il l'observait avec beaucoup d'attention, s'intéressant de près à sa gestuelle, à sa façon d'être, de se tenir, comme s'il analysait la moindre de ses postures pour les interpréter, pour les comprendre comme il savait si bien le faire le petit Arlo. Ce n'est que lorsqu'il s'était levé pour s'avancer vers elle qu'elle leva les yeux à son tour. Trop tard, il était déjà beaucoup trop près d'elle et de son torchon.  

Aussi vif et rapide que l'éclair, il le lui subtilisait pour frotter les derniers verres restants, histoire qu'elle puisse finir plus tôt le travail, histoire qu'elle quitte rapidement le Devil. La condition étant qu'elle partage ses pourboires avec. Un sourire amusé étira ses lèvres alors qu'elle attrapait un second torchon pour continuer son petit nettoyage.  «Alors la. Je ne te permet pas. Pas touche à mon fric.» qu'elle rétorqua avant de retrousser légèrement les lèvres lorsqu'il s'intéressa au temps qu'il faisait à l'extérieur. Ça la rendait nostalgique et ce malgré les années qui s'étaient écoulées depuis. Elle avait eu le temps de s'habituer au climat de Miami même si Londres restait chère à son cœur. «Chez moi.. il fait froid, un peu gris et y'a pas mal de pluie.. and you know what? I miss it.» qu'elle répondait un poil trop tristement. Il faut dire que cela fait maintenant très longtemps qu'elle n'est pas retournée à Londres. Elle aurait dû y aller, pendant les fêtes de fin d'années, histoire d'aller déposer quelques fleurs sur la tombe de ses parents, de leur parler comme une pauvre conne en attendant une réponse de leur part qui ne viendra jamais, mais cette année encore, elle ne pourrait pas se rendre la bas. Elle n'en avait pas encore suffisamment la force.«J'aurais envie de dire que c'est pas plus mal qu'il neige pas, ça évite de donner de sales idées aux gamins qui traînent les rues.» Comme par exemple de balancer de vrais boulets de canon blanc sur les pare brises des voitures ou ailleurs d'ailleurs. Et puis, pas de neige, pas de verglas, une bonne chose aussi pour une maladroite comme elle. «Allez. Rend moi ça. Ça te va pas de jouer aux ménagères.» qu'elle finit par dire en levant sa main à hauteur du torchon tenu par Arlo. Son but était bien de le récupérer pour qu'il cesse de faire les sales besognes à sa part. Il n'était pas venu la pour ça après tout. Lui aussi avait le droit de profiter d'un petit verre tranquillement sans penser au travail, sans penser à rien, l'esprit complètement vide.


 
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Dim 29 Déc - 2:26

“can't keep my hands to myself ” & Paisley n’était pas de Miami, son mignon accent éclairait Arlo en plus des indices qu’elle lui donnait en mentionnant le temps gris qui régnait toujours là-bas. Il voulait en savoir plus, apprendre où elle a grandit. Ce qui l’a fait quitter son pays pour s’installer là où il fait toujours chaud. On en apprend beaucoup sur une personne en écoutant son histoire. Le passé nous fait grandir, mais fait aussi de nous qui nous somme. Sauf qu’il ne voulait pas la brusquer, il pouvait sentir qu’elle n’était pas le genre de fille qui parle pour s’écouter parler. S’ouvrir prendrait plus que lui acheter une bière durant ses heures de boulot. Paisley et Arlo avaient beau avoir déjà terminé dans le même lit, ni l’un ni l’autre semblait habitué de parler de leur vie respective.
I miss the cold too. Somehow, it use to make me feel alive in a way the ocean will never do. Arlo adorait Miami quand même. Le surf, la plongé sous marine était particulier. Deux activités qui le faisait se sentir si près de la nature. Un peu comme le froid de la neige qui tombait sur sa peau dans le nord du pays. Ça restait différent, mais ça lui donnait une raison d’être en vie tous les jours. Arlo est un grand sportif, un garçon qui a de la difficulté à rester assis à rien faire pour relaxer. Et son goût pour de nouvelles aventures en était la preuve. Ce soir, il ne savait pas laquelle l’attendait, mais il savait qu’il voulait la vivre avec Paisley.
D’ailleurs, ç ne dérangeait pas du tout Arlo d’aider son amie. Plus vite ils nettoyait ses verres, plus vite la liste des tâches qui restaient à Paisley s'épuisait et plus rapidement ils quitteraient ce bar. L’endroit était sympa, mais quand tu y travailles, c’est toujours agréable de le laisser derrière soi après un chiffre de travail toujours trop long.
Laisses-moi jouer à Cendrillon, si je suis chanceux des souris vont chanter avec moi plus tard. Faisant référence à un film de Disney qu’il n’avait pas vu depuis au moins une décennie et demi. Il l’avait fait tellement de fois et le faisait encore souvent au casino. Assez pour qu’il puisse le faire les yeux fermés. Se rappelant où sont ranger les torchons il en attrapa un second puisque Paisley refusait de lui donner. Il avait essayé de lui voler, mais elle était rapide et l'esquive trop bien.
I won’t touch your money, but you’ll come have fun with me afterward? Souriant avec tout son charme, le plaisir pourrait être bien des choses et il n’avait toujours pas choisi ce qu’il lui ferait faire, mais il savait que ça devait être aussi intense que le feu dans ses yeux.
Il avait une idée entourant une île pas très loin de Miami, populaire avec les touristes de jour, mais vide la nuit. Ils auraient besoin d’un bateau. Mais… S’ils le ramène avant le matin, ce n’est pas du vol, mais un emprunt, pas vrai?
Continuant d’aider la belle brune malgré son mécontentement, ses yeux continuaient de se perdre sur sa belle silhouette. Les bancs étaient tous sur les tables maintenant qu’il était le dernier client. Il restait à laver le plancher avant de partir. Arlo vivait un peu un flashback puisqu’il aidait toujours les serveuses durant son temps en tant qu’employé ici. Il ne restait plus qu’eux. Il pouvait enfin donner des pistes sur son idée. Il espérait piquer sa curiosité puisqu’il ne voulait pas repartir seul. T’as le mal de mer? Si le froid, la pluie et la neige ne pouvait pas réveiller en eux un sentiment d'appartenance qu'ils avaient qu'à la maison, peut-être que les vagues et l'adrénalines les aideraient un peu.
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Lun 30 Déc - 14:48

“can't keep my hands to myself ” & Londres lui manque. La gamine qu'elle fut un temps lui manque également parfois. Cette pauvre gamine esseulée, complètement coupée du monde, rêveuse et amoureuse de la vie, de ce que cette dernière peut lui apporter. Elle était naïve à l'époque, encore aujourd'hui elle l'est, secrètement. Elle espère que le monde soit un peu plus attrayant, qu'il lui apporte l'amour et l'affection qu'elle n'a plus eu depuis des années mais cela ne risque pas d'arriver de sitôt, pas tant qu'elle continuera d'agir de la sortes. Londres lui manque, c'est une vérité, même le temps et les températures fraîches lui manques. Elle a besoin parfois de sentir cette petite pluie fine sur ses épaules, qui s'écrase sur son visage, qui lui caresse les joues, chatouille son cou et elle n'est pas la seule à la désirer plus que tout. Arlo aussi semble nostalgique, lui aussi. Rêvant de troquer l'éternel chaleur et douceur de Miami pour un temps plus frais, pour un peu de neige, un brin d'hiver. Sur ce point la, ils sont d'accord. En revanche, en ce qui concerne les tâches ménagères et dans ce cas la, le nettoyage de verres, les points de vue semblent diverger. Il veut aider, il lui vole son matériel pour s'atteler à la tache. Elle est à deux doigts de faire la moue, de croiser les bras contre sa poitrine et de capituler mais c'est plus fort qu'elle, elle continue d'insister, cherche à lui subtiliser le torchon.

Le rouquin est téméraire, un poil trop têtu pour elle, il lui ressemble beaucoup trop à ce niveau la, et cela la gêne, profondément. Quoi qu'elle en dises, quoi qu'elle fasse, il continuerait à nettoyer ses foutus verres, tant qu'elle passe un peu de temps en sa compagnie par la suite. Elle hausse les épaules et souffle un simple «maybe..» tant qu'il ne touche pas à ses pourboires, tant qu'il garde ses mains droites dans ses poches alors pourquoi pas. Ce n'est pas comme ci elle avait quelque chose d'important à faire ce soir. Ce soir ressemblait à tout les autres soirs, il était presque un peu trop banal pour elle, un peu trop ennuyeux même. La compagnie d'Arlo risquait certainement d'ajouter un peu de piquant à son existence, à la rendre un peu plus sulfureuse et elle s'était mise à imaginer déjà les milles et une choses qu'ils pourraient faire ensemble. Mais avant cela, ils étaient la, tout les deux, encore au Devil, à frotter leurs verres, à débarrasser les tables, à voir la clientèle s'en aller. Il ne lui manquait plus qu'à laver à terre pour être entièrement libérée de son poste. Ce fût chose faite assez rapidement. L'endroit semblait beaucoup plus sympathique propre et silencieux que plus tôt. Ils pouvaient être fiers d'eux, ensemble, ils avaient fait du bon boulot. Au final, elle avait plutôt appréciée l'aide d'Arlo, au moins cela lui permettait de finir encore plus vite son service et de passer encore plus vite à l'étape suivante. Une sortie rien que tout les deux.

T'as le mal de mer? Elle relevait les yeux, les posaient sur les siens, espiègles. Lui,il avait certainement une petite derrière la tête et cela ne manqua pas de la faire sourire. Elle ignore le comment du pourquoi il lui pose pareille question mais elle finirait par le savoir. «Ça dépend du pilote..» qu'elle s'était contenté de lui répondre après avoir rangé le tout proprement et d'avoir récupéré sa veste.  «toi, t'as une idée derrière la tête.» qu'elle finit par lui dire en agrandissant son sourire d'avantage. Elle était curieuse et mourrait d'impatience de connaître la raison pour laquelle il venait de lui demander cela. C'était plus fort qu'elle, il fallait qu'elle saches. Alors elle s'était approché de lui, sans se défaire de son sourire. «Crache le morceau. Tu me dois bien ça.» qu'elle lui avait dit finalement. Pour l'avoir aidé à tout ranger alors qu'elle ne lui avait rien demandé il lui devait bien cela, lui avouer ce que sa petite tête rousse lui avait soufflé comme idée. Une idée qui lui plairait certainement bien plus qu'elle ne l'imaginait.


 
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Jeu 9 Jan - 3:23

“can't keep my hands to myself ” & Out of this bar. The world was theirs now. At least it felt like it. Arlo essayait de vivre simplement et pleinement. N’importe quel pourrait être son dernier alors un peu de folie était toujours amusant et en la compagnie de la belle Paisley encore mieux. Elle n’était pas qu’intéressante à regarder. Elle avait une histoire, un regard qui avait du vécu. Il ne connaissait rien de celui-ci. Peut-être qu’elle l’attirait autant puisque certains bouts de leur histoire se ressemblaient. Ils se ressemblaient plus qu’il ne pouvait le dire. Peut-être que c’était ce qui le ramenait toujours vers elle. C’était peut-être aussi autre chose, mais ce soir, ils allaient vivre un peu.
Je promets d’être sage. Il n’était pas le meilleur pilot, mais il avait vogué sur l’eau quelques fois. Il espérait que la mer serait calme ce soir. Que les vagues seraient avec eux et qu’ils pourraient se rendre à destination sans la rendre malade.
Arlo finit par cracher le morceau qu’à l’extérieur, personne ne devait entendre leur folies. On s’en va sur une île. Miami était à proximité de plusieurs îles. Certaines beaucoup plus touristique que d’autres. Peu importe celle qu’ils croisent ce soir, à cette heure, ils seraient seul.
L’esprit de Paisley semblait fugueuse parfois, peut-être que c’était qu’au boulot. Peut-être qu’elle cherchait à chasser la nostalgie mentionnée plutôt de ses pensées. Arlo ne poserait jamais de question, mais s’il pouvait changer le brouillard dans ses yeux pour un peu de lumière, il le ferait même si ça implique emprunter un bateau.
Des gens riches qui vivent près de la mère laisse toujours leur petit engin à moteur. C’est fou comment les gens plein d’argent ne font pas attention à leur bien. Sans faire un bruit, il l’avait fait sauter dans le petit bateau avant de le pousser dans l’eau jusqu’à ses genoux avant d’y embarquer et partir le moteur rapidement. Crois le ou non, ce n’est pas la première fois que je l'emprunte. Toujours de retour avant que le soleil ne les rendent, il allait sur la mer pour observer la nature, les étoiles et pour calmer ses pensées quand tout tournait trop vite. Il n’avait pas l’habitude de trainer qui que ce soit, mais le temps des fêtes arrivait et il sentait qu’elle aussi en avait besoin.
C’est étrange non, comment la mer est si clair le jour et si effrayante la nuit? La noirceur du ciel qui reflétait dans l’eau. Arlo avait toujours été un peu étourdi devant la noirceur de l’eau quand le soir tombe et c’est pour cette raison qu’il avait fini par décider de l’explorer.
We’re there! Finalement a destination. Comme il pensait, il n’y avait plus vraiment de vie à cette heure sur l’île. Des stands de nourritures fermées puisque le jour, les habitants de Miami vivent du tourisme, quelques maisons souvent loué par des touristes. Dès plages privées. Ce qui avait toujours été absurde au yeux du rouquins puisque la mer ne devrait appartenir à personne, ni même ses rives. L’aidant à débarquer arriver à la rive. Tu devrais revenir dans le jour, il y a quelque chose d’amusant à observer les touristes. Arlo a grandi dans les familles d'accueilles. Il s’était toujours senti de trop. Et ils observait toujours longtemps les gens qui le prenaient chez lui avant de s’ouvrir. Peut-être que c’est ce qu’il faisait avec les touristes. Les regarder s’émerveiller devant des choses qui deviennent banales quand Miami est ta maison lui rappelait qu’après toute la route qu’il a fait, il était chanceux d’être ici. Même quand la neige lui manquait.
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Mar 14 Jan - 15:18

“can't keep my hands to myself ” & Partir. S'enfuir. Sévader. Prendre le large le temps d'une soirée.  C'était tous ce qu'elle désirait et pourvu que la companie soit bonne. Elle le serait, aux côtés d'Arlo. La jolie brûne quittait finalement le bar à ses côtés, désireuse d'en apprendre d'avantage sur le programme de la soirée. Elle ne serait pas déçue du voyage. Ils prendraient la mer ce soir, rien que tout les deux. Il lui promit d'être sage, elle s'était permise d'en douter mais s'abstiendrait de lui en faire part, préférant le suivre presque un peu trop aveuglement jusqu'à leur future destination. Ce soir, ils partiraient sur une île, ce soir ils seraient libres de faire ce bon leur semble sans personne pour leur dire quoi que ce soit, sans personne pour les contredire, les en empêcher. Ils iraient sur une île et elle semblait déjà impatiente de s'y rendre.

Elle avait l'esprit ailleurs ses derniers temps. Elle était avide de rêves, voulait partir loin et ne plus revenir  et ce même l'espace de quelques heures. Quitter Miami, quitter le Devil's, tout quitter, tout claquer comme elle avait pût le demander à Léo quand ils étaient gamins. Peu importe les sacrifices, peu importe les folies, leurs folies tant qu'ils puissent profiter de cette soirée ensemble. Arlo le ferait, il irait même jusqu'à voler un bateau pour l'emmener au bout du monde, pour faire pétiller ses beaux yeux. Avec prudence, elle grimpa dans l'un d'eux, jeta un œil à droite et à gauche avant d'être rejointe par le rouquin qui prendrait aussitôt le chemin jusqu'à cette petite île.«Ce n'est pas la première fois que tu l'emprunte? Emprunter n'est pas le mot juste j'ai comme l'impression non?»Perspicace en plus de cela. Il venait clairement de voler un de ses engins et à défaut de trouver cela inapproprié, elle avait rit à ses gestes en sentant son cœur se soulever lorsque le bateau avait bougé pour la première fois. Elle prit place finalement, les deux mains derrière son dos, le visage levé vers le ciel, les yeux fermés. Elle laissa le vent lui fouetter le visage, faire virevolter plusieurs mèches de ses cheveux et elle aimait tant cette sensation nouvelle. Rien de tel après une journée pareille que de profiter d'un peu d'air de la mer, de profiter de la mer elle même. Il fait toujours plus frais de ce côté la de Miami qu'ailleurs, et même si cela ne lui rappelait pas Londres, la sensation de fraîcheur sur sa peau lui fit énormément de bien.

Immobile, elle ne vint ouvrir les yeux que lorsque le jeune homme avait reprit la parole. Il parlait de la mer, de sa couleur, de son aspect la nuit et le jour. La mer, elle n'aimait pas spécialement cela, elle lui faisait même peur parfois, et d'avantage le soir. Elle était comme un gouffre, un néant capable de la tuer en la noyant.«Plus effrayant encore que les ténèbres.»commença t-elle en mettant sa tête droite pour fixer l'horizon à perte de vue.«On est tous un peu comme elle dans le fond. Un peu trop gentil, terriblement méchant. On cache tous une double facette.. moi la première.» avoua t-elle sans un sourire avant que leur destination ne se montre finalement à eux. Grâce à la précieuse aide d'Arlo elle pût de nouveau toucher le sol pour apprécier ce calme mais aussi la vue qui s'offrait à elle. L'île semblait mystérieusement plongé dans le silence, à croire qu'ils étaient seuls au monde.  C'est calme.. qu'elle s'était permise de dire en avançant de quelques pas, venant rapidement se retourner pour faire face au rouquin.«Pourquoi tu m'as emmenée ici précisément?  C'est quoi ton but exactement?  Non parce que je connais pas beaucoup de mecs qui volent des bateaux pour ramener une nana sur une île entre nous.»Il aurait très bien pût l'emmener boire un verre quelques part, ou encore manger un morceau, ou encore simplement l'inviter chez lui. Il aurait pût faire tellement de choses pour au final choisir cette île, cet endroit précis pour passer du temps en sa compagnie.«Tu sais que je pourrais facilement être une de ses cinglées qui tuent des mecs après avoir couché avec eux par simple envie? Puis en plus ici, on peut pas dire que y'a beaucoup de témoins, et y'a pas mal d'endroits ou je pourrais cacher ton corps..»Elle s'inventait une histoire juste comme ça, juste pour rire un peu de la situation, parce qu'avec Arlo elle pouvait le faire,elle se sentait capable de le faire, quand avec certains elle restait dans la réserve de peur de trop choquée, de trop paraître folle. La sa folie s'exprimait, la elle riait, de tout et de rien, elle pouvait tout dire, tout faire, elle se sentait libre de le faire, grâce à lui, grâce à sa présence.


 
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Mar 21 Jan - 1:19

“can't keep my hands to myself ” & Out of this bar. The world was theirs now. At least it felt like it. Paisley avait raison, on était tous un peu comme l’océan. Peut-être que c’était pour cette raison que certaines personnes sont fascinés parce qu’elle nous cache. Ainsi, ils en apprendront plus sur eux-même. Et ceux qui la craignent trop sont peut-être simplement pas prêt à faire face à leur propre secret. Je doute que tu puisses être terriblement méchante. Personne n’était parfait et Arlo ne s’imaginait pas Paisley différente sur ce point, mais il y avait quelque chose dans son regard d’incompris peut-être, mais rien de méchant. Rien qui effrayait Arlo comme la profondeur du bleu à perte de vue qu’ils observe sur la rive de cette île.
Ce n’était pas la première fois que Arlo empruntait ce bâteau. C’était à ce demander si ses propriétaires n’étaient pas que vraiment généreux et le laissait-là pour que les gens moins fortunés en profite aussi. Peu importe le pourquoi ils laissent toujours leur engin si facile d’accès pour n’importe qui. Arlo en profitait et le ramenait toujours en un morceau. Et il planifiait ramener sa compagne pour la soirée intacte aussi. Mais elle, comptait peut-être le couper en morceau. Sur l’île, il riait avec elle de ce commentaire. S’il te plaît, si tu me tues, ne me jette pas à l’eau j’ai toujours eu peur de finir manger par un requin.
Arlo devait répondre à la question précédemment demander par Paisley. Il plaisantait peut-être pour gagner du temps puisqu’il ne savait pas trop pourquoi il avait choisi de la kidnapper ce soir et l’amener ici. J’ai besoin d’une raison? Haussant les épaules, son regard se baladait entre le ciel étoilé qui reflétait sur l’eau et la magnifique serveuse qu’il aimait distraire. You looked like you needed to escape something. And this place does the trick for me. C’était vrai que cette endroit permettait à Arlo d’oublier ses problèmes quand la boxe n’était pas suffisante.
Il appréciait beaucoup la compagnie de Paisley. C’était facile. Aucune de questions malaisantentes. Il ne se sentait pas jugé en sa présence et il espérait qu’elle aussi puisque son passé et ses erreurs ne l’intimidait pas. L’erreur est humaine et tant qu’on essaie de devenir meilleur, on est dans la bonne direction.
Arlo s’installa dans le sable après avoir offert sa veste à Paisley qui sentait le vent de la mer la refroidir un peu. L’invitant à s’asseoir avec lui. Tell me something I don’t know about you. Il ne la regardait même pas dans les yeux, assis côte à côte, ils n’y avaient pas de pression. Il était juste curieux d’apprendre qui était la personne derrière la serveuse qu’il avait appris à connaître derrière un bar. Ils se connaissaient bien physiquement à ce point et Arlo profita de la proximité pour mettre sa main sur une de ses cuisses en caressant sa douce peau caramelle.
Il sentait qu’il devrait commencer le bal, alors après avoir avaler sa salive durement puisqu’il n’aimait pas vraiment ce sujet, il mentionna sa mère maternelle. J’ai été abandonné à la naissance, à dix-huit ans, j’ai finis par la retracer. Elle est décédée quelques années avant. Arlo avant de la retrouvé avait toujours été remplie de questions et maintenant que les réponses resteront toujours flous, il s’en veut par moment d’avoir chercher. L’inconnu est rassurant parfois. Comme la mer qui nous apaise avec chaque son de vague, mais qui nous effraie quand une tempête ou la nuit l’envahi.
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(#)Sujet: Re: can't keep my hands to myself / paisley  |   Mer 29 Jan - 11:36

“can't keep my hands to myself ” & Je doute que tu puisses être terriblement méchante. Il ne la connaissait pas. Au fond, Paisley était un véritable poison pour bien des gens. Elle n'était pas ce genre de femme douce, candide, innocente. Elle était venue à Miami avec un sacré bagage sur le dos mais Arlo l'ignorait, il ignorait encore tellement de choses d'elle. «Ne dis pas ça ou tu risque d'être surpris.» qu'elle avait simplement ajouté un sourire narquois sur les lèvres avant de débarquer finalement sur l'île ou il avait prit soin de l'emmener pour la soirée. Une île, presque déserte, en plein milieu de la nuit. Elle ignorait la raison qui avait poussé le rouquin à l'emmener ici, mais elle comptait bien le savoir. Elle s'était même permise d'en rire en imaginant un scénario macabre dans lequel elle démembrait le jeune homme pour jeter par la suite sa carcasse quelque part, à l'abri des regards indiscrets. Elle n'avait pas pensé à la mer, à sa noirceur, aux ténèbres qu'elle représentait ou encore aux requins, qui se feraient une joie de déguster chaque morceau flottant d'Arlo. «Bon d'accord, je le ferais pas. Juste parce que t'as une belle gueule et que t'es mignon.» Elle gardait pour elle ce petit sourire au coin des lèvres en jetant un œil amusé à son compagnon d'infortune ce soir.

Sur cette île ils pourraient discuter ensemble, parler de tout et de rien, se confier l'un à l'autre qui sait. Elle s'installait sur le sable avant de s'égarer sur l'horizon lointaine. Il pensait que l'air de la mer lui ferait du bien, qu'elle avait besoin de s'isoler un peu loin de l'agitation qui régnait en ville. Il pensait pour elle parce qu'il l'avait lu dans son regard que quelque chose n'allait pas. Arlo faisait parti de ses gens pour lesquels les mots étaient inutiles, que les regards suffisaient, il avait suffit qu'il pose les yeux sur les siens pour comprendre qu'elle avait besoin de prendre le large. Comme un parfait gentleman, il lui avait offert sa veste qu'il déposait sur ses épaules, elle le remerciait en un murmure sans jamais quitter l'horizon et ce vaste étendu d'eau face à eux.

Tell me something I don’t know about you. Quelque chose qu'il ne connaissait pas d'elle. Il y en avait tellement qu'une soirée ne serait pas suffisante pour tout lui dire. Elle s'était mise à réfléchir à quelque chose, à une information capitale sur elle qu'elle pourrait lui offrir sur un plateau d'argent, mais Arlo la devança. Il s'était mis à lui parler de sa mère, cette brave génitrice qui l'avait mit au monde puis abandonné. Il avait eu le courage de la chercher, de tenter de la retrouver et quand il avait enfin senti la nouvelle venir, elle était morte.«J'suis désolé.» qu'elle se contenta de dire bêtement. Elle n'était pas forte pour réconforter les autres, elle tenta tant bien que mal pourtant d'offrir au rouquin un regard plein de compassion face à ses révélations. Elle savait que son tour arriverait, qu'elle allait devoir parler et de ce fait, elle dû prendre une grande inspiration pour cela, son regard s'était tourné à nouveau vers la mer alors qu'elle repensait à tout ce qui faisait de Paisley, "Paisley". .«J'ai moi même était orpheline à un moment de ma vie..»  qu'elle commençait sérieusement, la gorge presque nouée.

Non, elle ne pleurait pas, elle avait assez pleuré à l'époque et depuis son arrivée à miami..«Mes parents sont morts quand j'avais dix ans..» les souvenirs de tragique événement lui revint en tête, les hurlements de sa sœur, les sanglots de son frère et elle, livide, sans expression, telle une poupée de porcelaine, figée. «J'ai rien pus faire pour empêcher leur départ, et pas un jour ne passe sans que je regrette de ne pas avoir été avec eux, dans cet avion.» Elle ne serait plus la à ce jour si ça avait été le cas, mais elle serait certainement mieux auprès de ceux pour qui elle a toujours compté qu'ici, à Miami. «Enfin, je supposes que c'est ce qu'ont appelle "Le destin" et que je peux rien faire face à ça.» Le destin est cruel, monstrueux mais il est la pour rappeler aux êtres humains qu'ils ne sont pas maîtres de leur existence et que tout est décidé d'avance. Comment serait sa vie? Elle aurait aimé être une voyageuse du temps pour le savoir. Se projeter dans le futur histoire de se voir, heureuse ou malheureuse, mais se voir, est tenté qui sait, de changer les choses à sa manière pour les embellir, les rendre meilleures.  


 
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