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 Flames so red like bludfire. | Sebastian.

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(#)Sujet: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Mer 1 Jan - 20:46

Sebastian & Paisley


Cap ou pas Cap Warren?Il est la, avec son sourire de con, à la toiser depuis plusieurs minutes.Paisley Warren.Tu changeras jamais.Et il avait raison, c'est ça le pire. Elle grimace, tourne la tête à l'opposé de la sienne. Ça lui faisait chier de l'avouer mais il avait entièrement raison sur ce sujet la. Pourtant, oui pourtant, elle avait essayé d'être une bonne personne, elle le lui avait promit, à lui. Lui qui se retrouve à l'hôpital, presque entre la vie et la mort. Qu'à t-elle donc fait au bon dieu pour mériter une chose pareille? Alexander Roberts. Un policier. Un homme qui a toujours tout fait pour lui sauver les miches et ce dès l'instant ou il posait les yeux sur elle. Comme un ange gardien, il veillait sur ses mauvais jours, ceux ou elle était en cavale, ou elle avait faillit finir derrière les barreaux. Et elle? Ou était-elle quand il avait eu besoin d'elle? A l'autre bout du monde, à s'amuser comme une véritable petite folle. Espèce d'idiote. Bien sûr, elle avait cherché à le voir, mais au final, elle n'avait pas sût pénétrer dans sa chambre. Sa main s'était posée sur la clenche de la porte avant de glisser faiblement et revenir le long de son corps. Même de ça elle n'était pas capable. Capable de le soutenir dans sa douleur, dans sa peine. Peut-être parce qu'elle avait honte, qu'elle se sentait bête. Peut-être parce qu'elle avait peur de défaillir, de s'effondrer comme elle l'avait fait le jour ou elle avait enterré ses deux parents.

Elle n'avait pas eu le courage de rendre visite à Alexander, refusant d'affronter la réalité qui lui faisait face. A la place, elle avait préféré fréquenter une nouvelle fois, dernière fois?, cette bande d'amis qui avaient l'habitude de l'enrôler dans leurs sales affaires. Cette fois, il s'agissait d'un vol de voiture, mais pas n'importe qu'elle voiture. Une magnifique et flambante neuve Lamborghini noire. Une voiture hors de prix que peu de gens peuvent se permettre d'avoir et certainement pas elle et son misérable revenu de serveuse. C'est parti. Elle n'en est pas à son premier vol de voiture et ça ne sera peut-être malheureusement pas le dernier. Elle a la rage au ventre, l'adrénaline dans le sang. Elle veut prouver au monde qu'elle ne changera pas, elle a besoin de cette sensation pour se sentir bien vivante, pour recoller les morceaux de son coeur en miette. Elle enfile avec une extrême douceur ses gants noires et s'élance, matériel en main, vers l'inconnu, en faisait bien attention que les lieux restent désert. Elle sait que n'importe qui peut lui mettre la main dessus, à elle et sa clique. Ils sont comme des fous, Teddy et les autres, elle, un peu moins mais elle y va quand même, question de ne pas être pointée du doigt comme la froussarde du groupe.

Cette Lamborghini lui fait de l’œil, elle rêve de pouvoir y grimper, de la voir rugir et foncer à travers la ville. Elle rêve de pouvoir sentir une nouvelle fois la sensation du vent sur son visage, de ses cheveux virevoltant par la vitesse de l'engin qui ne s'arrêtera sûrement qu'au petit matin. Elle se met à rêver Paisley, se perd dans ses songes, une, deux, plusieurs minutes. Elle n'a pas le temps de réaliser que ses soit disant amis s'en sont allés pour la laisser dans sa merde.Elle est dans la merde, à l'instant même ou une main se pose sur son épaule. Une putain de main masculine qui la fige sur place alors que les siennes de mains sont posées sur le bolide qu'elle s'apprêtait à "emprunter" le temps d'un soir.

@Sebastian McKay


 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Jeu 2 Jan - 4:01

Sebastian & Paisley


Le nouvel an avait causé bien des maux de têtes à des milliers d'habitants de Miami. Le feu avait ravagé une partie de la ville, mais heureusement que les quartiers où se situaient le Night Club n'avait pas été touché. Par contre, je pouvais dire que la circulation était rendue vraiment merdique dans le coin. Même si nous étions rendu le 3 janvier, c'était encore le chaos, mais ça ne voulait pas dire que les gens ne voulaient pas continuer à s'amuser. Le Night Club était bien rempli ce soir et ça faisait la queue pour pouvoir rentrer. Je m'étais envoyé plusieurs verres de whisky sans oublier que j'avais consommé de la cocaïne. Un petit mélange bien à moi juste pour me tenir éveiller et surtout bien en forme pour faire la nuit entière. Ça faisait au moins trois jours que je m'étais perdu un peu dans l'ivresse et l'amusement, je ne sais pas trop quand cela allait arrêter, mais pour l'instant je m'en moquais bien. Les affaires allaient bien et j'allais continuer à faire du fric comme jamais. L'idée de me griller une clope me vint vite à l'esprit... mais ayant oublié mon paquet dans ma voiture, je décidai d'y aller sans plus tarder. J'eus du mal à m'y rendre tellement j'avais abusé des bonnes choses. Je réussis à prendre le paquet de cigarettes qui était tombé dans le fond de ma caisse. Cigarette à la bouche, je pris mon briquet dans ma poche de mon pantalon pour m'allumer et je m'éloignai doucement de ma voiture tout en prenant soin de la verrouiller.

Ayant du mal à tenir debout, je m'accotai au mur de béton à 50 pieds plus loin tout en fixant le large. Il ne faisait jamais froid le soir, c'était toujours sympa la température même l'hiver. Pendant un instant mes yeux se fermèrent comme si j'étais sur le point de m'endormir, mais aussitôt j'eus un spasme qui me fit prendre conscience que j'avais toujours la clope au bec. Je me permis de tirer à nouveau sur ma cigarette pour  souffler la fumée plus loin... Puis, je remarquai au loin que quelqu'un venait de s'aventurer à ma voiture. Je le voyais petit et accroupie tout en utilisant un objet pour pouvoir entre dans ma voiture... Non, mais j'hallucine? On était vraiment en train de me voler dans ma face? Je tirai ma clope au sol tout en prenant soin de ne pas faire trop de bruit. Tel un taureau qui voit rouge, je ne lâchai pas des yeux cette proie. Je posai ma main sur son collet et je remontai cette personne à ma hauteur.

- Tiens donc... Une poufiasse qui veut me voler!

Je me suis mis à rire, elle faisait quoi 120 lbs bien mouillée? J'ouvris alors ma portière pour l'envoyer valser à l'intérieur et je me glissai derrière le volant. Bien entendu je sentis la panique s'en prendre à elle. Je verrouillai la porte du côté passager. J'avais l'intention de lui faire bien peur pour lui faire comprendre que je n'étais pas celui qu'on devait volé. D'ailleurs Emma l'avait fait à plusieurs reprises, mais bon, là je dirais que ça me faisait vraiment chier. On me prenait pour qui ici?

- Tu voulais faire une balade, je vais t'en donner une moi balade! Surtout ne boucle pas ta ceinture tu vas trouver l'expérience bien vivifiante!

Je démarrai le moteur et le fit vrombir très fort pour que tout le monde autour m'entende partir. Je fis crisser les pneus au décollage et j'étais bien partit pour jouer à Need for Speed dans les rues de Miami. Si l'ivresse s'était emparé de moi il n'y a pas longtemps, je me sentais totalement sous le contrôle de la situation. Tout ce que je voulais c'était voir la peur dans ses yeux. Si ce n'était pas assez, je savais quoi faire de plus d'elle.



 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Jeu 2 Jan - 6:47

Sebastian & Paisley


Ils t'ont mis dans la merde. Eux, ils cavalent déjà bien loin comme ci ils avaient senti la merde arriver à plein nez. Elle a pas le temps de réaliser quoi que ce soit qu'elle marche en plein dedans, qu'elle se rend compte trop tard qu'elle serait prise dans un engrenage, un foutu engrenage qui,encore une fois, lui causerait bien des soucis. Ses dix doigts se détachent finalement de l'engin quand une main masculine se pose sur elle. Tout se passe très vite, trop vite pour qu'elle n'ait le temps de rétorquer, de se défendre. Son corps est projeté à l'intérieur de l'engin alors que le seul son pour l'instant audible de sa bouche reste un léger, petit cri non pas de douleur mais bien de surprise.T'es morte Warren. Le mec l'insulte de pouffiasse mais il en oublie tout les petits noms d'oiseaux qu'elle a déjà entendu par le passé. Pétasse. Garce. Salope Ils sont nombreux, bien trop nombreux pour que cela l'atteigne en plein cœur.

Le mec est complètement fou et ne semble pas dans son état normal. Par instinct de survie, elle pose sa main sur la porte dans l'espoir d'échapper à ce traquenard, il la verrouille judicieusement. Il prendra soin qu'elle ne s'en sort pas totalement indemne de cette balade, voir de cette soirée. L'année commence bien..«Ouvre cette putain de porte!.» qu'elle crie l'air mauvais sur le visage. La merde s'intensifie quand le moteur, jusqu'à présent endormi, s'éveille finalement. Il démarre au quart de tour, l'engin fait un bruit presque assourdissant, le genre de bruit dont personne ne passe à côté. Jouissif. Ses dix doigts s'agrippent cette fois au siège, ses ongles se plantent dans le cuir, ses yeux se ferment, le bolide démarre finalement. Il démarre en trombe, elle en a mal au cœur, le sent bondir dans sa cage thoracique, se fracasser contre ses côtes douloureusement. Elle était en manque d'adrénaline? Elle ne serait pas déçue du voyage. «T'es un grand malade..» qu'elle grogne comme une belle enragée, les dents serrés. Si il continue à cette allure, ils pourraient très bien avoir un accident tout les deux, et elle autant que lui pourrait en perdre la vie.

Elle n'avait pas signé pour ça Paisley. Elle avait voulu emprunter un autre chemin que le sien l'histoire de quelques minutes, quelques heures, puis, style de rien, revenir sur ce chemin fait de lumière que bien du monde voulait qu'elle emprunte. Elle n'en aurait peut-être plus le temps, ni l'occasion d'ailleurs.«Fils de ... » Elle vient abattre sa tête sur l'appuie tête derrière elle, garde les yeux fermés au maximum pour ne pas en avoir la nausée, pour ne pas hurler dès qu'ils se retrouveraient face à un mur. Plus il roule, plus son palpitant s'agite à l'intérieur. Sa respiration devient vive, l'air lui manquerait presque. L'adrénaline avait laissée place à la peur, une peur naissante qu'elle tentait pourtant de camoufler secrètement. «Arrête toi merde!» C'était plus fort qu'elle, sa main gauche partit en direction de l'inconnu pour lui offrir une première claque sur l'épaule. Elle sait qu'elle pourrait l'énerver d'avantage, mais elle s'en fou, parce qu'elle est comme ça Paisley. Impulsive, intrépide, sauvage, telle est sa véritable nature. Elle n'a rien d'un petit oiseau blessé enfermé dans une cage dorée, au fond d'elle sommeille une véritable lionne prête à sortir les crocs pour s'en sortir dans ce foutu monde de pourris. Elle s'était déjà défendue une fois par le passé et elle n'hésiterait certainement pas à le refaire, à moins que cet homme, ce même homme réveille en elle ses vieux démons du passé, ceux qui font mal, ceux qui lui ont fait du mal.
@Sebastian McKay


 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Ven 3 Jan - 18:04

Sebastian & Paisley


La voiture roule à vive allure, l'adrénaline dans le tapis et la femme à mes côtés qui crie que je suis un grand malade. Je dirais que lui entendre dire, ça m'incite juste à continuer. Je crois qu'elle allait comprendre la leçon avec ce que je faisais pour lui montrer que Sebastian McKay n'était pas un mec à se faire voler. Je roulai sans m'arrêter, brûlant les feux rouges sur mon passage et ne faisant fi de rien. Je me surpris lui jeter des coups d'oeil voyant que ma petite balade faisait bien effet. Elle me traita ensuite de fils de pute... puis m'ordonna de m'arrêter à tout moment. Elle criait tandis que je ne l'écoutai pas. Je reçu sur l'épaule une tape qui me fit à nouveau rire. La voleuse manquait carrément de sérieux. Je tournai un coin de rue la faisant se tourner avec la voiture. Les claques n'étaient sans doute pas une bonne idée. Du moins, pour elle. Je roulai jusqu'à ma résidence où les barrières s'ouvrirent sans hésiter. Je me stationnai dans mon garage et je la fis sortir de la voiture en bon gentlman que j'étais.

- Allez, sors!

Elle devait tellement se demander pourquoi je la conduisais ici. Peu importe, elle était réticente de me suivre, après tout, je l'avais pris en flagrant délit. Elle finit par sortir de là et j'étais tous sourire pour lui montrer par où elle devait aller. Je dois bien l'avouer, elle était pas mal canon pour une voleuse. Petite, peut-être pas maligne, mais bon, elle était séduisante.

- Je te sers à boire quelque chose?

Elle avait du cran, je ne sais pas trop si elle allait rester pour me tenir compagnie, mais quoi qu'il en soit, je n'avais pas l'intention de finir la soirée tout seul. Elle ne semblait plus effrayée, elle était en train de se demander si c'était une farce que je lui faisais. Je n'étais pas si mauvais que ça... Elle avait quand même une chance de rattraper son erreur. Elle n'avait pas terminé avec ma caisse, c'était au moins ça, je pouvais être clément envers elle.

- C'est quoi ton nom?

Peut-être qu'elle n'allait pas me dire son vrai nom, mais je m'en moquais. Je voulais juste savoir c'était quoi son trip de voler et savoir son but dans la vie. Elle pourrait se faire beaucoup de fric en faisant partie de mon agence, je pense que je pouvais toujours essayer de lui proposer.



 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Sam 4 Jan - 2:39

Sebastian & Paisley


La nouvelle année ne commence pas très bien pour Mademoiselle Warren. Mademoiselle Warren n'a pas le cœur à continuer à se battre, pas quand l'homme qu'elle apprécie le plus à Miami est entre la vie et la mort. Elle se remet en tête la jolie carte de vœu qu'il lui avait offert, celle ou il était précisément écrit qu'il serait toujours la pour elle, à veiller sur elle comme le ferait un ange gardien, un grand frère, un ami, précieux ami avec lequel pourtant elle avait couché. Lorsqu'elle avait apprit ce tragique accident, son monde entier s'était écroulé, brusquement, douloureusement, emportant avec elle ses rêves les plus fous et ses efforts pour être cette femme courageuse, cette battante qui irait jusqu'au bout et ce peu importe les obstacles qui se dresseraient devant elle. Aujourd'hui, Paisley a littéralement baissé les bras.Si Alexander serait debout, bien éveillé, il l'aurait certainement sermonnée, comme il avait l'habitude de le faire depuis qu'ils sont tout les deux en colocation, mais Alexander n'était pas la, il ne serait plus la pendant un bon moment.

Alors elle avait recommencée, ses conneries du passé. La misère? Elle ne la connaissait que trop bien pour l'avoir longtemps côtoyée. Elle avait apprit à vivre avec ce n'était pas cela qui l'effrayait. Non. Ce qui lui faisait peur c'était cette inconscience, cette innocence qui s'emparait d'elle en ce début d'année 2020. Elle qui commençait tout juste à distinguer le bien du mal venait de perdre l'équilibre et de basculer une nouvelle fois vers le côté sombre, celui de la délinquance, des traquenards, des sales affaires. Ah les bons vieux souvenirs. Elle se rappelle de ses premiers délits, de ses premières cavales, de la première fois ou elle s'était sentie vivante, ou elle avait pût en rire, adossée contre un mur, un joli pactole entre ses doigts. Elle se rappelle de tout, comme ci c'était hier. Aujourd'hui, elle s'en était prit à plus fort qu'elle, à un homme, un fou à lier qui, à défaut de se contenter de la sermonner pour son geste, l'avait retenue captive au sein même du véhicule qu'elle s'apprêtait à subtiliser tranquillement quelques secondes plus tôt.

Il roulait beaucoup trop vite sans même se soucier de ses cris. Elle voulait sortir d'ici, le plus vite possible pour soulager son cœur malade, douloureux. Elle en avait la nausée, la peur s'était emparée de ses tripes et faisait remuer le tout à l'intérieur d'elle et ce n'est certainement pas le rire du garçon qui l'aiderait à se calmer, à s'apaiser. Finalement, le véhicule termina sa course au sein d'une résidence. La vitesse diminuée la fit ouvrir un premier puis un deuxième œil. L'endroit lui était totalement inconnu.Bordel, ou diable a t-elle pût attérir? La voix grave de l'homme la fit quitter précipitamment le véhicule. Son instinct de survie, juste au cas ou cela s'avère nécessaire, la fit analyser avec une certaine précision, minutie du détail, l'endroit ou elle se trouvait.

La moindre petite information était utile, au cas ou elle disparaîtrait soudainement de la surface de Miami, mais une nouvelle fois, la voix de l'homme la sortit de ses songes, de son exploration visuelle. Il osait clairement lui proposer à boire et elle haussait un sourcil à cette proposition. Non plus sérieusement c'est une blague de mauvais goût ou bien? «Pardon?..» Un petit rictus léger glissa de sa bouche. Elle nageait en plein rêve c'est pas possible autrement. Ce mec venait clairement de lui foutre la peur de sa vie, c'est à peine si elle s'imaginait déjà au fond du ravin, et maintenant il lui proposait semblant de rien quelque chose à boire, comme ci les péripéties d'il y a quelques minutes n'avaient pas eu lieu. «C'est une blague? Non parce que si ça l'est, elle est de très mauvais goût. En revanche, si ce n'est pas le cas, je veux bien un verre de whisky pour me réveiller de ce mauvais rêve. » La puissance de l'alcool l'aiderait certainement à cela alors qu'elle faisait face à l'individu qui s'était amusé à faire palpiter dangereusement son cœur plus tôt.

Il voulait son nom. Un nom. N'importe lequel. Son côté fier lui aurait bien dit de lui donner sa véritable identité, alors que, à l'inverse, son côté méfiant et prudent lui, l'incitait à donner une fausse identité. Sait-on jamais.«Paisley.» Bien. Son choix fût rapidement fait. Autant ne pas tourner autour du pot et de jouer carte sur table, elle à une sainte horreur du mensonge. Ce n'est pas la un manque d'intelligence de sa part ni quoi que ce soit d'autre. Un simple prénom ne donne pas l'identité d'une personne, c'est juste une manière pour les autres d'être appelée par l'entourage, le monde autour. Elle s'abstiendrait de lui donner son nom réel, de lui révéler une partie de sa vie, parce que de toute manière, cela ne le regardait pas, cela ne semblait pas l'intéresser et qu'en plus elle n'en avait jamais parlé à quiconque pas même à son colocataire présentement à l'hôpital.«Qu'en est-il du fou furieux qui a tenté de me tuer quelques minutes plus tôt?» Charmante façon de lui demander son prénom. Cette manière la fit doucement sourire alors qu'elle croisait ses bras contre sa poitrine, le regard plein de malice. Cette fille est totalement folle. Elle était la, juste avant à l'insulter de tout les noms, à le supplier presque de la laisser sortir, et voilà que maintenant, elle jouait. Elle jouait comme elle l'a toujours fait à l'époque, alors qu'elle dépouillait sans aucun scrupule tous ceux qui cherchaient à lui nuire.
@Sebastian McKay


 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Sam 4 Jan - 21:57

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Je voyais la jeune femme être un peu étourdis de cette balade nocturne inattendue. Je n'étais pas vraiment sensé conduire non plus, mais bon, puisqu'on était près de ma demeure, je m'y étais arrêté et je voulais voir quelle sorte de personne s'en prenait à ma bagnole. Pas la première fois et sans doute pas la dernière non plus. Sur le coup, elle crut à une blague, mais me regardant méfiante tout de même elle y alla avec un whisky... Comme moi alors, c'était plutôt inattendu comme choix aussi je dirais. J'en préparai donc deux verres de whisky et je lui servis le sien assez rapidement. Je la voyais scruter les alentours. Nous étions seuls dans ma demeure mal éclairée. C'était pour garder de l'ambiance quand même. Je restai debout à la regarder un instant tout en me disant qu'elle allait peut-être essayer de s'enfuir au bout du compte. Quoiqu'il en soit, elle semblait vouloir boire son verre. Je lui demandai alors son prénom et j'obtenu celui de Paisley.

- Je m'attendais à mieux.... Je suis Sebastian... Je ne sais pas si vous voliez au hasard ou bien si c'était ciblé? Vous avez besoin de fric peut-être?

Tout le monde a besoin de fric à Miami... Pas étonnant que celle-ci essaye de voler pour obtenir du fric, ils essayent tous de survivre. Si ce n'est pas la drogue qui dirige ici c'est autre chose comme le sexe.

- Allez, t'as l'air quand même brillante et t'es carrément canon comme fille, mais ça faudrait que je vois plus en profondeur, tu vois.... Tu as besoin de combien d'argent?


Je lui sortis mon portefeuille et je commençai à sortir le fric qu'elle voudrait bien obtenir de moi. Bien entendu ma caisse valait une vraie fortune, ça ne pourrait pas s'égaler, mais quand même si elle voulait participer à mon agence d'escorte, elle allait toucher gros. Je terminai mon verre de whisky et je m'en resservit un verre. Paisley avait également fini le sien, alors je ne tardai pas de lui en remplir un autre.

- Bon... Tu vois, c'est que tu peux bien avoir ce que tu veux, mais ça te coûte aussi un prix. Tu vois? Combien pour une nuit avec toi?

Je m'avançai pour soulever une mèche de ses cheveux, ce que je pouvais dire, c'est que j'avais carrément envie de la baiser cette fille-là. J'avais des idées plein la tête pour elle. Quand même, elle devait bien m'être redevable, j'aurais pu juste aller porter plainte à la police pour la dénoncer et je l'avais pas fait. Elle devait donc me donner quelque chose en échange et je comptais bien l'obtenir d'une quelconque façon. Peut-être qu'elle allait sortir d'ici ébranlée, mais je m'en moquais, quand on était une voleuse, on était prête à tout non? Je regardai intensément mon invitée, elle devait se rendre compte qu'elle venait de tomber dans la gueule du loup.


 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Lun 6 Jan - 9:50

Sebastian & Paisley


Littéralement jeter dans la gueule du loup. Elle était loin de se douter de ce dont il était capable, ce dont il pouvait lui faire faire, ou lui faire dire, ou même encore lui faire à elle. Un brin méfiante, elle s'était mise à observer l'habitat, comme un pauvre petit oiseau découvrant sa cage restant pourtant sur ses gardes au cas ou la bête s'en prendrait à elle une fois qu'elle aurait le dos tourné. Il lui proposa à boire, elle pensa une farce au départ. Elle avait du mal à véritablement le cerner, à le comprendre, lui qui, juste avant avait cherché à lui faire la plus grosse peur de sa vie. Il aurait pût clairement être un de ses tarés qui en a marre de vivre et qui se serait donné la mort à bord de sa jolie Lamborghini, en prenant soin d'emporter avec lui, dans son délire, la demoiselle. Mais non, il avait finalement prit le chemin jusqu'à une demeure, la sienne, pour lui proposer aussi simple que bonjour une boisson. Un sourire à la fois amusé et nerveux vint étirer ses lèvres à ce moment la, alors qu'elle l'affronte de face et lui offre sur un plateau d'argent son prénom. Je suis Sebastian. Les présentations sont faîtes autour d'un verre de whisky. Elle n'est pas très porté sur ce genre d'alcool en règle général mais ce soir, elle avait grandement besoin de la puissance du liquide pour réaliser ce qu'elle venait de vivre et ce qu'elle s'apprêtait à vivre par la suite après cette rencontre.

L'homme poursuivit son dialogue et ce qu'il vint lui dire la fit éclater d'un rire mauvais. Si elle avait besoin de fric? Comme tout le monde ici. Est-ce qu'elle avait besoin de son fric à lui? Pas sûr. Il était la, à la regarder, à la désirer comme une putain, prêt à donner une somme, sacrée somme pour obtenir ses faveurs. Ce mec est complètement barge. «T'es vraiment un malade en fait..» qu'elle répondait dans un premier temps en le toisant, les yeux plissés. «Garde le ton sale fric. J'en veux pas.» Il s'était permit de la resservir alors qu'elle n'avait rien demandé. Typique du mec qui veut enivrée une demoiselle pour peut-être, qui sait, abuser d'elle dans le plus grand des calmes. C'était mal la connaître. Très mal. Elle avait déjà eu affaire à ce genre de type par le passé. Le mec qui prend les femmes pour des objets, pour des pulsions, des envies purement sexuelles. Ce genre de mec qui juge par les yeux, qui ne cherche pas plus loin que le bout de leur queue. Ce genre de mec la qui lui donnait presque envie de vomir. Son regard se posait sur le portefeuille qu'il avait prit soin de sortir en même temps que le fric contenu à l'intérieur. Oh. Alors il était vraiment sérieux, il voulait la payer pour obtenir ses faveurs?

Pire encore, il s'était rapproché, dangereusement pour toucher une seule mèche de ses cheveux. Par réflexe elle eut un mouvement de recul sans le quitter un seul instant des yeux. Elle n'avait plus envie de jouer, ni même de rire et cela commençait même à l'agacer d'être considérée comme une malpropre. Voleuse elle l'était, ancienne délinquante aussi, meurtrière? Peut-être bientôt.«Me touche pas. J'suis pas ta putain.» qu'elle grognait en le foudroyant littéralement du regard. N'importe qu'elle femme pourtant aurait certainement succombé dans d'autres circonstances, elle la première. Ce mec est plutôt sympa à regarder, pour ne pas dire en fait qu'il est véritablement canon, un poil excitant, mais autant dire que ses manières, elles, sont tous sauf excitantes. Il avait cette petite lueur dans le regard, malsaine et perverse, et c'est à peine si il ne la déshabillait pas clairement des yeux. C'était déroutant, perturbant, gênant.«Je te dois rien en fait.. Ta caisse, elle est encore la, j'ai aucun compte à te rendre, pas même un centime.» Elle n'avait surtout pas eu le temps de la subtiliser, de l'emprunter pour quelques heures,elle aurait aimé pourtant même si un tour, elle en avait fait un avec lui, même qu'elle avait manquait de perdre la vie et qu'il était parvenu en effet à faire naître en elle un véritable sentiment de peur. Mais de ça, elle s'abstiendrait de le lui dire, de peur que sa petite fierté n'enfle d'avantage.

@Sebastian McKay


 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Mar 7 Jan - 22:50

Sebastian & Paisley


Comme je le pensais, Paisley ne fut pas du tout intéressée par mon argent que j'étais prêt à lui laisser. Je la regardai un instant tout en arrêtant mon geste pour compter l'argent qu'elle vaudrait en fait. Je voulais juste qu'elle remarque que j'étais plein aux as et que je pouvais pas mal acheter tout le monde que je voulais. Elle ne pouvait pas faire exception... C'est certain! Bien entendu, je jouais un jeu et elle venait d'y mettre les deux pieds dedans... Je l'observais de plus en plus et je savais qu'au final ce genre de fille était toujours paumés... Prête à cacher la vériter ou tout simplement en manque de fric. Elle ne voudrait sans doute pas l'avouer, mais si on volait une caisse comme la mienne ce n'était pas pour faire une balade, mais la vendre...

- Tu travailles pour quelqu'un peut-être? Il t'offre combien, je peux t'offrir le double!

Elle avait encore peur, ça se voyait, elle me trouvait malade et ce à quoi j'avais envie de répliquer "Tu n'as pas idée à quel point je suis un malade!" Fallait se le dire, ça ne tournait pas dans ma tête te je prenais un méchant plaisir à contrôler tout ce qui m'entourait. Ce que je voulais, je l'avais. La jeune femme m'interdit à nouveau de la toucher, c'est ce qu'elle faisait sa farouche maintenant.

- Tu n'as pas à avoir peur avec moi, je ne vais pas te violer...

Même si ce n'était pas l'envie qui manquait... Quoiqu'il en soit, si elle voulait quitter ma demeure, il allait falloir qu'elle me donne quelque chose en retour. Elle ne voulait pas accepter mon argent, mais elle n'aurait pas vraiment le choix d'accepter ce que j'allais lui proposer. Je la regardais toujours avec un demi-sourire juste pour montrer que j'étais vraiment en train de m'amuser. Une jeune femme comme elle apprendrait ensuite sa leçon... du moins, si elle n'était pas complètement dans l'ombre. Pour ma part, c'était perdu d'avance, j'étais trop enfoncé dans les ténèbres pour revenir vers la lumière. Paisley ne représentait pas vraiment la naïveté... Elle en avait bavé et elle en bavait toujours. Elle représentait plutôt la survie... Elle s'adapte pour survivre à son environnement. Quoiqu'il en en soit, je terminai mon verre et cette fois-ci je le laissai vide. Valait mieux passer à la dernière étape tout de suite avec elle.

- Bon alors, je vais te dire ce qui va se passer parce que tu ne sembles pas cruche alors tu comprendras que c'est la meilleure option qu'il te reste. On baise tous les deux, on se donne à fond et je ne vais pas te dénoncer à la police. Comme ça, tout le monde est heureux!


J'avais sorti mon téléphone de ma poche et j'étais prêt à signaler le numéro de la police que j'avais une sale voleuse devant moi. Je regardai alors la jeune femme ne pas vraiment être ravie des deux choix qu'elle avait. C'était ça ma belle le jeu... Quand on joue avec Sebastian McKay c'est comme jouer avec le feu. On finit par se brûler.


 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Mer 8 Jan - 15:46

Sebastian & Paisley


L'argent ne fait pas tout dans la vie. Il pense pouvoir l'acheter, ou du moins acheter son corps, mais si Paisley a un passé plutôt lourd de conséquences jamais elle ne vendrait une seule parcelle de sa chair contre des billets. Ce mec la, pourtant face à elle était prêt à débourser une coquette somme d'argent pour obtenir ce qu'il voulait d'elle. Une nuit en sa compagnie, un soir de folie ou il pourrait sentir entre ses mains la douceur de sa peau halée, son souffle sur son visage, rapide, chaud comme l'ambiance régnant dans la pièce. Malheureusement pour lui, elle n'était pas à vendre, et mis à part le patron du Devil's qui l'avait engagée ne temps que simple serveuse, elle ne travaillait pour personne d'autre, ou du moins pas à sa connaissance. C'est que Monsieur à de l'humour en plus de cela, il ne cesse de la faire rire, nerveusement. «Fou moi la paix avec ton fric bordel. J'en veux pas.Il faut te le dire en qu'elle langue?» qu'elle avait finit par lui cracher au visage avant que ce dernier ne s'amuse à rompre un peu plus la distance instaurée entre eux.

Il s'amusait d'elle, de sa peur profonde. Il jouait et semblait prendre un malin plaisir à le faire. Il touchait une simple mèche de ses cheveux, elle reculait la tête rapidement, en abordant presque au visage un air plutôt dégoûté. Me touche pas. Il n'en avait nullement la permission aussi séduisant pouvait-il être physiquement parlant. Tu n'as pas à avoir peur avec moi, je ne vais pas te violer. Parlons-y tiens du viol. En soit et quel qui soit, tout s'apparente à un viol quand la partenaire en question n'est pas consentante. Il lui affirmait qu'il n'était pas ce genre d'homme, celui qui touche sans permission, et de ça curieusement elle s'était mise à en douter. Ce mec, elle cherche tant bien que mal à le percer à jour, à savoir ses véritables ambitions, ce dont il était capable en réalité et elle ne tarderait malheureusement pas à le savoir. Sans le quitter des yeux, ni lui, ni ses agissements, elle entreprit d'ouvrir bien grandes ses deux oreilles pour analyser ce qu'il lui proposa. A moins qu'elle n'en aurait pas vraiment le temps.

Ce qu'il disait ressemblé cruellement à du chantage. Rien de plus. Du chantage pur et simple. Il la voulait et il l'aurait quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle puisse en dire.  Une nuit à ses côtés, une nuit ou leurs deux corps s'apprivoisent, s'enlacent, s'unissent l'un à l'autre et peu importe l'intensité des ébats. Une nuit avec elle contre son silence à lui.«Tu ferais pas ça..» Il sortait son téléphone portable, prêt à composer le numéro si elle refusait son offre. «Fais pas ça!» Sa main partait instinctivement vers la sienne pour lui subtiliser le fameux téléphone portable afin qu'il cesse son petit chantage avec elle et surtout qu'il ne s'amuse pas à composer un quelconque numéro. La police, elle ne voulait surtout pas avoir affaire avec eux, non seulement parce que son colocataire travaillait pour eux, mais en plus de ça, au vu de son lourd passé de délinquance, il est fort à parier qu'elle risque très cher si ils viennent à lui mettre la main dessus. Elle aurait beau lui prendre son téléphone qu'elle n'était pas franchement avantagée dans cette demeure plongée quasi dans l'obscurité, qui puis est, son geste de lui voler cette fois son téléphone portable risquerait lui aussi de pousser les nerfs du brunet à vif mais elle s'en foutait, royalement, parce qu'il était hors de question qu'un seul flic ne se pointe ici pour lui passer les menottes, ça il en était hors de question. «T'as pas le droit..» Qu'elle soufflait cette fois en reculant de quelques pas. Elle aurait très bien pût se tirer en moins de deux, mais qui sait, avec ce genre de types vaut mieux jouer la carte de la prudence, un seul faux pas peut parfois être fatal, et faire basculer littéralement une existence. Elle ne le connaissait ni d'Adam,ni d'Eve et n'était pas suffisamment en mesure de savoir ce qu'il serait capable de lui faire si cette dernière chercherait à le fuir. Et puis même si elle venait à partir, le temps qu'elle cherche un moyen de contourner les barrière de sa résidence et il aurait le temps de la rattraper. Quoi qu'elle fasse de toute façon l'oiseau finirait bien par être retenu captif dans sa jolie cage dorée.
@Sebastian McKay


 

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(#)Sujet: Re: Flames so red like bludfire. | Sebastian.  |   Dim 12 Jan - 14:41

Sebastian & Paisley


Elle était maintenant agressive envers moi lorsque je lui proposai à nouveau l'argent. Je serrai alors mon cash parce que sinon ça allait vraiment dégringoler. Tant pis pour elle, j'étais prêt à lui remettre ce qu'elle voulait et elle n'en voulait même pas. Elle avait sans doute peur de moi... mais de là à refuser de l'argent, c'était un peu incompréhensible. Tout le monde a un prix, j'allais surement le connaître bien vite. Sa peur grandit un peu plus quand je m'occupa d'une mèche de cheveux... Humm... Elle était apeurée maintenant... Je lui dis alors que je n'étais pas un violeur, j'ai de mauvaises intentions, mais elle n'aurait finalement pas le choix de coucher avec moi. Elle s'était emmêler dans la toile, elle allait y rester jusqu'au bout. Elle s'était mise dans la merde jusqu'au coup. Tant pis pour elle. Je n'avais pas de pitié pour les voleuses, elle allait avoir ce qu'elle mérite et j'allais avoir ce que je mérite aussi. Toutes les pensées perverses me passèrent par la tête, j'étais déjà bien excité de la toucher, de sentir son corps contre le mien. Elle allait devoir jouer et ça allait vraiment bien me plaire.

Je lui proposai alors d'aller la balancer aux flics si elle ne couchait pas avec moi. Tout de suite, je vis la peur grandir en elle et je dirais que je me réjouissais de l'emprise que j'avais sur elle. Elle me supplia de ne pas faire ça, appeler les flics, j'avais toujours le téléphone bien en main et la jeune femme recula jusqu'au mur.... Si elle tentait de fuir, j'allais la rattraper... Elle était piégée, elle était ma prisonnière. Je fis des pas vers sa direction...

- Siii je vais le faire, c'est comme tu veux... Tu peux essayer de fuir, je te rattraperai de toute façon... Allez, on va aller se détendre un peu si tu veux bien! Allez, je ne suis pas du genre patient, pour tout te dire!

Je lui indiquai le chemin à prendre. Après tout, j'avais une belle chambre qui nous attendait. Le genre de chambre qui donnait froid dans le dos ou bien qui donnait tous les plaisirs qui soit. La jeune femme n'eut pas le droit de faire autrement que de venir avec moi. Elle touchait les murs comme pour savoir se guider, ou je ne sais pas trop quoi. Une fois arrivé dans la chambre, je me fis craquer le cou avant de lui demander de se déshabiller.

- Allez, je veux que tu te déshabilles, montre-moi tout ça!

Elle me haïssait, ça se voyait clairement dans ses yeux. Elle ne voulait pas le faire, elle regrettait ce qu'elle avait fait. J'imagine qu'elle avait eu sa leçon, mais je voulais m'amuser encore avec elle. La pousser jusqu'au bout. Lui montrer que c'est moi qui contrôle et non pas elle. Je prenais plaisir à l'humilier, il y avait surement quelque chose qui clochait chez moi, je le savais bien, mais pour l'instant, je faisais fi de tout ça et je ne voulais qu'assouvir mes envies. Tout ce que je voulais c'était qu'elle obéisse, qu'elle se voit contrainte de faire ce que je lui demande.


 

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