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 Bad luck is coming feat. Alysse

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(#)Sujet: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Sam 2 Mai - 4:15
Bad Luck is coming. feat. Alysse
Alysse & Lucky Man


Ce soir j'étais d'humeur... Joueuse. Je venais d'abattre un homme, et même si cela avait été trop rapide, j'étais satisfait. Néanmoins, mon crime m'avait mis de bonne humeur et j'avais envie d'enchaîner sur un autre méfait. D'un signe de tête, j'ordonnais à mes hommes de mains de sortir de l'ombre. " Faites moi un peu de nettoyage. " les informai-je en leur désignant le corps qui traînait à mes pieds, dans un sourire qu'ils me rendirent. Mes serviteurs appréciaient de me voir ainsi, ils avaient moins de risques de souffrir de mes sévices. Ce qui ne serait pas le cas de la jeune femme que je venais de voir marcher au loin.

Des talons qui claquent sur le bitume avec autant de force, une robe aussi courte et volante, une chevelure détaché et une allure autant sexy que déterminée... Dans un quartier chaud de Miami, la nuit, c'est un appel au viol, clairement. Je vais lui montrer comme je sais satisfaire les demandes non-dites des femmes dans ce genre de cas. Un sourire vil orna mes lèvres, tendis que mon regard retrouvait de la joie. " Laissez le moteur de la limo tourner, j'arrive dans dix minutes. " intimais-je à mes singes en essuyant mes doigts ensanglantés soigneusement d'une serviette en tissue que je mettais dans la pochette de me veste. Tout en faisant attention en traversant la route, je rejoignais le trottoir sur lequel ma jeune victime se trouvait. Mon regard étudiait ses courbes, son cul surtout. Mon sourire devenait de plus en plus pervers tendis que je la rattrapais. Avant qu'elle ne m'échappe, je l'attrapais par ses cheveux blonds en la tirant pour la jeter violemment au sol. " Mais tu croyais aller où comme ça ? " la questionnais-je avec autant de douceur dans le sourire que de diabolisme dans le regard. Sans ménagement, je lui donnais un coup de pied dans les cotes qui la fit rouler bien plus loin sur le dos et manger un peu la terre du cimetière dans lequel je venais de la faire pénétrer. D'un pas tranquille, j'entrais à mon tour dans la maison des morts. Je m'agenouillais près d'elle en relevant durement son menton de ma main pour qu'elle croise mon regard " T'as mal ? " demandais-je dans une fausse considération en croisant son regard. " Parce que je compte te faire encore bien plus mal. " soufflais-je de façon si articulé et si peu audible à la fois que le sadisme en ressortait dans chaque syllable à son oreille.

" Allez lève toi salope. " ordonnais-je d'une voix forte, avec autorité, en la relevant. Toujours en la tenant sévèrement par les cheveux, je la faisais marcher jusqu'à un caveau. La poussant à l'intérieur de celui-ci, elle rata les marches et tomba lourdement au sol, deux mètres plus bas. Un rictus m'échappa. Tel un maestro, je descendais avec élégance les marches une à une en sortant mon flingue de l'intérieur de ma veste. Sans quitter ma jeune proix de mon regard, je commençais à défaire ma ceinture d'une main adroite, un sourire vil aux lèvres. Je la plaquais contre un mur, l'emprisonnant de mon emprise, mes lèvres trouvèrent son oreille " tu vas faire tout ce que je te dis, satisfaire le moindre de mes caprices, comprit ?  " la questionnais-je dans une voix aussi doucereuse que mon regard qui croisa le sien tout en ajustant durement mon revolver aussi dure que froid sous son menton. " Tu peux crier, personne ne t'entendra... " ajoutais-je dans un pure sourire jouissif. J'adorai cette sensation de contrôle et de destruction.
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Sam 2 Mai - 12:43
Rafael
Alysse



Cela avait été un bonne soirée. Alysse se trouvait encore sur le palier de la porte d'un de ses couples d'amis. Jane et Stanislas étaient ces seuls amis normaux.. enfin, dans le sens où ils avaient une vie saine. A un tel point que Jane était enceinte de plusieurs mois déjà, son ventre se faisant de plus en plus gros et de plus en plus rond. Alysse ne les connaissaient pas de puis longtemps. Ce fut d'ailleurs ce petit ventre rond qui avait aider à entamer la discutions entre ces deux jeunes femmes. Alysse aimait beaucoup Jane, et elle l'enviait tellement. Peut-être l'appréciait-elle autant parce qu'elle avait la vie que la blonde avait toujours rêvé d'avoir. Lorsqu'elle descendit dans l’ascenseur, elle soupira doucement en songeant à quel point leur vie était idyllique. Tournant la tête, elle put voir un miroir et passa sa main dans ses cheveux détachés. Elle avait mit ses rajouts ce soir là, ce qui lui donnait de beau cheveux long en dégradés, de son blond clair doré. Elle portait une robe simple, qu'elle mettait lorsqu'elle savait qu'elle n'allait pas boire. La jeune femme ne voulait pas prendre le risque de la déchirer ou la tâcher.. elle l'avait payée assez cher comme cela. C'était une robe bustier en mousseline de couleur crème, très confortable et parfaitement coupé avec quelque couture volontairement apparente qui mettait la silhouette de la belle blonde en avant. Elle avait beau ne pas avoir une poitrine énorme, elle faisait tout pour mettre ses atouts en avant, aimant son corps et s'acceptant telle qu'elle était. Une jolie ceinture noir en maille venait souligner la courbure de ses hanches pour terminé légèrement en évaser, dans une texture un peu plus fluide. Elle lui allait comme un gant et lui donnait un air distingué tout en gardant ce côté sexy qu'elle arborait grâce à une paire d'escarpin bordeaux, pour l'indice de couleur et sa chevelure coiffée décoiffée. Elle ne portait que très peu de maquillage, restant dans le simple et le nude, n'aimant pas paraître vulgaire. Bref... si elle avait les diplômes nécessaire, Alysse aurait beaucoup aimer travailler dans l'univers de la mode, mais elle avait un mode de vie trop chaotique pour aller avec un mode de vie trop rangé..

Elle était venu du centre ville à pied, étant arrivé au milieu de l'après midi, elle en oubliait à chaque fois qu'elle devait traversé la ville à pied dans le noir pour rentrer. Tant pis, elle ferait attention. Arrivant dehors, elle vérifia dans son sac si elle avait bien son couteau ranger dans une doublure. Oui, il était là. Elle inspira profondément et avança alors dans l'obscurité, sentant l'air doux quoique légèrement frais lui caresser les épaules. Elle devait passer par le cimetière, ce qu'elle n'appréciait pas vraiment. Souvent pour ne pas y penser, elle prenait son portable pour jouer à un jeu tout en marchant devant celui-ci. Lorsqu'elle arriva à ce cimetière, elle chercha alors dans son sac, ses talons résonnant dans le calme de la nuit. Elle crut entendre quelques bruits mais elle avait l'habitude que des animaux traîne dans le coin, attiré par les gaz émanant des cadavres, inodore pour l'Homme. Mais... ce qui arriva ensuite fut totalement hors de tout ce qu'elle aurait pu imaginer. Tandis qu'elle fouillait dans son sac à main, elle sentit un main agripper ses cheveux et la tirer fortement en arrière. Elle poussa un cris de surprise et de douleur tout en grimaçant et en se sentant tomber sur le sol, égratignant son coude sous le coup de la chut. En relevant les yeux, elle n'eut pas le temps de voir son agresseur qui lui assena un coup de pied violent dans les côtes. Elle hoqueta, en toussant un peu et entendit celui-ci parler : « Mais tu croyais aller où comme ça ? ». Merde... le cœur de la jeune femme acceléra.. un racketteur ? Faites que ce ne soit qu'un racketteur. Elle se trouvait dans le cimetière, sentant le sable froid de celui-ci contre elle. Elle tentait de réfléchir, mais ce coup dans les côtes la troubla un peu, l'empêchant un instant d'avoir les idées clair. Un homme s'agenouilla devant elle attrapa son menton. C'est alors qu'elle vit son visage... il était grand, mince, brun et avec une agressivité et un folie dans le regard qui faisait froid dans le dos.. « T'as mal ? Parce que je compte te faire encore bien plus mal » souffla-t-il de façon ignoble. La jeune femme le regarda avec une haine et un dégoût sans égal ne rétorqua rien, préférant attendre le bon moment. Elle sentait toujours son sac contre elle.. et le couteau qui était à l'intérieur appuyant sur ses hanches au sol.

Il lui ordonna de se lever, mais il le fit de lui même en la tirant de nouveau par les cheveux. Grimaçant et retenant ses propres cheveux tout en se levant, Alysse serra les dents pour ne pas crier, sachant pertinemment que cela ferait trop plaisir à son agresseur. Elle sentait mal les choses... soit il allait la violer.. soit il allait la tuer.. ou les deux. Elle se mordit la lèvre arriva en tombant dans un caveau, toussant contre la poussière et s'écorchant le genoux au passage, tout en se tordant un peu la cheville à cause de ses talons. Le salop... pensa-t-elle. Le regard de la jeune femme se tourna vers lui, celui-ci plein de haine et de fury. Elle avait dans le regard ce côté félin qu'on lui reconnaissait toujours lorsqu'elle voulait déglinguer quelqu'un. Elle s'appuya à un mur, se relevant sans difficulté malgré la douleur dans son ventre. Elle ne voulait pas lui faire le plaisir qu'il la voit souffrir. Elle avait ses cheveux qui lui tombait devant les yeux, et son corps en alerte, montrait qu'elle était prête à se défendre... mais pas encore, il était bien trop loin. Il arriva comme une bombe, et la plaqua violemment au mur, se collant à elle comme un pervers et son flingue à la main..Elle n'avait pas revu de flingue.. depuis la mort de William. Mort dont elle était la cause principale évidemment, puisque c'était elle qui avait tiré. Elle sentit son souffle chaud contre son oreille, lui provoquant un frisson.. mon dieu, cet homme lui rappelait soudainement William... en pire. Ce même dangereux, cette violence dans ces gestes.. elle déglutit, son visage revenant en sa mémoire. Non, elle ne pouvait l'accepter. Un être aussi abject qui s'apprêtait à la violer ne pouvait en rien lui rappeler son premier amant. Serrant les dents, cela ne lui donna qu'encore plus envie de le tuer. « tu vas faire tout ce que je te dis, satisfaire le moindre de mes caprices, comprit ? » elle ne répondit pas, trop concentré par son sac, et le couteau qui s'y trouvait. Elle plongea la main dedans, saisissant le couteau, et attendit le bon moment. Il posa le revolver sous son menton, faisant perdre un battement de cœur à la jeune femme, et elle n'hésita plus. Le poussant violemment, elle sortit son couteau en même temps et lui entailla le bras qui tenait le revolver en le poussant violemment avec son pied ensuite :

-Ne me touche pas espèce d'enfoirée !!! Je préfère encore que tu me flingues plutôt que sentir ne serrait que tes sales pattes sur moi !!

Elle le foudroya du regard, le menaçant de son couteau, tremblante, sans aucune crédibilité, le regard humide, mais les yeux plein de hargne et déterminé à ne pas se laisser faire :

-Si tu crois que je vais me laisser faire tu peux rêver connard ! Sale lâche qui n'est même pas capable de se démerder sans son flingue ! Qu'est-ce que t'attend vas-y tire !! Tocard !

Son cœur battait à tout rompre, elle était tétanisé. Mais elle avait jurer que plus aucun homme ne lèverait la main sur elle sans qu'elle ne se batte jusqu'à la mort. Elle put le regarder, quoique sa conscience ne fonctionnait pas. Et une pensée furtive apparu rapidement à son esprit : comment un homme aussi beau et sexy pouvait être aussi dénué d'humanité... ? Elle serra les dents, sa robe sale, son genoux et son coude écorché et ses cheveux en pagaille devant son visage lui donnait l'allure d'une tigresse prête à mordre et à combattre.. malgré qu'à l'intérieur, la jeune femme hurlait et pleurait au désespoire.
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Dim 3 Mai - 15:28
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Alysse & Lucky Man
 



Cette femme avait quelque chose de terriblement excitant, mon plaisir de violeur commençait à monter tendis que mon arme froide jouait sous son menton. Elle sembla frissonner. Et dire que ce n'était que le début. Un sourire pervers, froid, abject, se dessina sur mes lèvres. Dans ma tête, j'imaginais bien toutes les choses tordues que j'allais lui faire. J'aime jouer avec la nourriture. Cependant, sans m'y attendre elle sortit un couteau. Non, mais ... un couteau... Encore ? Je m'étais déjà prit un coup de couteau dans le ventre la semaine dernière... Mais cette fois-ci c'était le bras que j'avais porté devant mon visage pour me protéger qui avait prit. Elle me repoussa ensuite d'un coup de pied. A croire qu'elle s'était cru dans Jackie Chan. Sous l'impact, et sa force, ne nions rien, je reculais de quelques pas en encaissant le coup en serrant les dents. Sans le savoir, elle avait tapé dans ma plaie qui commençait doucement à cicatriser. Mon visage déjà dure, se ferma d'autant plus sous la douleur tout en vrillant mon regard noir dans le sien. Elle allait définitivement passer un salle quart d'heure.


Elle me lança alors qu'elle préférait encore que je la flingue plutôt que je la touche. Elle était seulement effrayée dans le fond, cela se ressentait malgré son regard foudroyant et déterminé. Mon ton se fit dure, malgré mon sourire. Mais elle devait savoir que ce sourire n'avait rien de quelque chose de bon. " Parce que tu pensais avoir le choix ? " la questionnais-je d'un ton froid et sévère en me redressant enfin de toute ma hauteur. J'avais juste envie de la frapper assez fort pour qu'elle sache à qui elle avait à faire. Elle restait une femme, elle n'avait pas son mot à dire. Elle poursuivit sur sa lancée en me traitant de lâche, je mordais ma lèvre inférieur imperceptiblement, mais violemment. Elle jouait avec le feu, j'avais une tolérance zéro pour le manque de respect. Combien d'hommes s'était prit une balle de ma part pour moins que cela ? Néanmoins, à la fin de sa phrase, un éclat de rire bref m'échappa. Mais vous savez ce n'était pas quelque chose de joyeux, c'était gras, vil, ignoble, presque autant que mon regard qui se greffa dans le sien. Je préférai ne rien ajouter pour le moment, me laissant le temps de réfléchir à ce que je devais faire. Des plans tordu se construisaient machinalement dans mon esprit. Elle semblait ne plus bougé, était-elle tétanisée ? Ce sera d'autant plus facile pour que mon corps maltraite brutalement le sien. Par provocation, ou en réagissant la sienne peut-être, je vidais le chargeur sous ses yeux, les cartouches retombait au sol dans un bruit significatif. Mon léger sourire ne présageait rien de bon. " Quel flingue ? " lui demandai-je avec ironie, en finissant par laisser mon arme tomber à terre, mon humour grinçant toujours bien en place. En sachant ce que j'allais lui faire, vider mon chargeur était vraiment minime. Néanmoins, elle avait toujours son stupide couteau. Il fallait que je lui enlève de la main si je voulais vraiment m'amuser.


Je m'approchais d'elle doucement, rien que cela, c'était pas un bon signe. " Je ne voulais pas te faire de mal. " menti-je en m'approchant de sa personne tout en levant les mains en l'air, un air profondément innocent sur le visage. Puis une fois assez proche d'elle, je lui décochait un violent coup de coude dans le nez avant de lui donner un nouveau coup de pied dans le ventre par surprise qui la projeta à terre. Profitant de la diversion, j'attrapais son couteau solidement dans ma main. Me plaçant alors à califourchon sur elle, sans lui laisser le choix, je plaçais le couteau sous sa gorge. Je le pressais tellement contre sa peau d'albatre qu'une légère entaille apparu. " Parle... Et tu meurs. " sussurrai-je dans un sourire glacial, le regard malsein dans le sien. j'entamais un léger va et vient, frottant ainsi durement son entrejambe de la proéminence apparente que formait mon chibre sous mon jean, pour la désespérer, pour qu'elle sache que rien ne pourrait la sauver. C'était salvateur comme sensation. Je jetai alors le couteau à deux mètres de distance pour ne pas qu'elle puisse l'attraper et pour ainsi disposer de mes deux mains de libres. J'allais enfin pouvoir profiter. Un sourire diabolique orna mes lèvres tendis que je croisais son regard. 


Puis je baissais mon pantalon à mes genoux, de même que mon boxer. L'érection était bien là. Comme toujours. Tout en collant mon corps au sien, je remontai mes lèvres à son oreille " Tu vas voir ce qu'il te fait le lâche. " murmurais-je d'un ton glacial, violent. Ma main passa sur sa gorge que j'étranglais sévèrement. Néanmoins, ce n'était pas pour la tuer, juste pour lui faire peur et ainsi alimenter mon plaisir sexuel. De plus, je n'aime pas qu'on me sous-estime. Je relevais alors sa robe jusqu'à son ventre. Ma queue était aux porte de son entre, seule sa culotte nous séparait. J'entamai un léger va et vient tout en profondeur, en la regardant avec sadisme. Une main toujours sur sa gorge, je me servais de l'autre pour la frapper au visage. J'aime voir le regard de mes victimes quand je les viole et les brutalise. Je ne les embrassais pas, cela n'apportait rien à mon plaisir. Mes coups de butoir étaient  expréssément abruptes, rudes et sans humanités. J'écoutais mon corps, pas le sien. Elle avait de la chance, elle avait son sous-vêtement qui la protégeait de mon entré véritable. Peut-être pensait-elle que j'allais me satisfaire de cela ? Mais non, c'était juste pour lui donner un faux espoir et la confronter à la désillusion et au dégoût. Je faisais cela avec toutes mes victimes. C'était juste pour qu'elle pense pouvoir s'en sortir sans se faire " vraiment " violer...


D'une main adroite, je glissais une main sous sa culotte. Avec perversité, je frottais durement l'intérieur de son intimité dans un mouvement de va et vient. " T'aimes ça salope... HEIN ? " sussurai-je à son oreille avec perversion. Puis j'accentuais mes mouvements dans leur lenteur et leur profondeur. Cela ravivait mon sourire abject de tordu sexuel. J'aimais tellement faire du mal. Je fis glisser sa culotte suffisamment sur ses cuisse pour que mon sexe bien dure puisse commencer à l'effleurer doucement. Simplement quelque chose me fit changer d'avis. J'avais une meilleure idée. Après tout pourquoi ne pas profiter un peu de mon jouet pour la soirée ? 


Je me relevais tout en attrapant, avec autorité, ses cheveux blond à la racine. J'aimais tellement leur regard quand je faisais cela. " Suce moi. " ordonnais-je froidement, en guidant durement sa tête face à ma queue dressée devant sa bouche. Je n'avais plus d'arme pour la menacer. Cependant, je pouvais toujours la frapper pour qu'elle m'obéisse. 
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Dim 3 Mai - 17:43
Rafael
Alysse



Le cœur de la jeune femme battait violemment dans sa poitrine à en défaire sa cage thoracique. Sa respiration était plus rapidement, plus difficile à contrôler en vue de son stress et sa peur montante. Elle n'arrivait pas à bouger, le couteau tendu devant elle avec ses deux mains. Ses lèvres devenaient sèches, ses jambes tremblaient et manquait de flancher sous son poids. Mais ses yeux ne quittaient pas son agresseur, avec cette détermination et cette animosité sans faille, quelques mèches de cheveux passant devant son visage. Elle s'humecta les lèvres de sa langue, les sourcils froncé. Il avait un regard perturbant, intimidant, effrayant et elle devait faire un effort monstre pour ne pas détourner le regard. Il se redressa de toute sa hauteur, l'obligeant à lever les yeux... c'était dans des moments comme ça qu'elle se félicitait de porter des talons.. elle était plutôt petite et lui... si grand..Elle déglutit en se rendant compte de sa taille et sa carrure.. il était grand, mince, élancé avec un corps apparemment athlétique.. il était plus fort qu'elle cela ne faisait aucun doute. Il était beau, ça c'était sur... mais une beauté effrayante et une allure qui faisait froid dans le dos... si elle avait su, elle aurait prit son revolver. Mais après tout qui pouvait savoir ce qu'il allait se passer ? Elle commençait à trembler de partout, comme une idiote.. sa crédibilité en guise de menace laissait vraiment à désirer. En même temps, elle avait toujours le dessus, mais ce mec était vraiment un taré fini. Elle l'observa attentivement vidé son chargeur... au moins, elle ne prendrait pas de balle. Elle ne savait pourquoi cette idée la rassurait.. « Quel flingue ? » Son âme produisit un son sourd en tombant lourdement sur le sol. Il commença alors à s'approcher d'elle.. celle-ci serra davantage son couteau en sursautant et en reculant d'un pas, le regard rempli d'effroi. Il dit alors qu'il ne voulait pas me faire de mal, en levant les mains en l'air en signe de bonne foie, mais bien entendu elle n'en cru pas un mot. Cependant, perdant le fil juste une seconde en baissant sa garde, Alysse ne vit pas le coup venir, trop surprise de voir son visage prendre une expression innocente. Elle se prit un coup de coude violent dans le nez, provoquant un saignement qui coula le long de sa bouche et elle se prit à la suite un coup dans le ventre, ce qui lui coupa la respiration. Elle tomba par terre en grimaçant et toussant en se tenant le ventre et en reprenant sa respiration avec difficulté, se retenant de hurler plus que tout. Elle ne lui ferait pas ce plaisir. Alors qu'elle allait l'insulter, il se retrouva à califourchon sur elle, s'appuyant de tout son poids, son couteau dans la main et le plaça sous sa gorge, provoquant une légère entaille. Elle grimaça, gémissant légèrement de douleur en serrant les dents et se mordit la lèvre inférieure, sentant son propre sang dans sa bouche. Cet enfoirée allait la violer.. Elle le sentit commencer des va et vient contre elle, se frottant à elle comme un animal, tandis que le couteau se trouvait toujours contre sa gorge. Elle ne le quitta pas des yeux, celui-ci haineux, plein de dégoût et commençant à devenir humide de larme de rage et de douleur qu'elle ne criait pas. Mon dieu, comment sortir de se cauchemar !? Elle ne produisait aucun son, se retenant de toute ses forces de ne pas crier ou pleurer. Il croyait avoir le pouvoir, mais il avait son corps, pas son âme.

Il jeta le couteau à deux mètres d'eux, de manière à ce qu'elle ne puisse le ramasser. Elle jeta un regard vers celui-ci avant de recroiser le regard de son agresseur, qui avait à présent un sourire plein d'horrible intention sur le visage. Elle déglutit, les yeux à présent plein de larme et le regard toujours aussi haineux. Il baissa tout d'un coup son pantalon et son boxer, laissant apparaître une érection énorme bien présente. Elle détourna les yeux, gémissant de fureur, voulant le tuer. Comment pouvait-il être ainsi excité par une telle sensation. Il arriva vers son oreille où elle put sentir son souffle chou lui murmurer d'une voix glacial : « tu vas voir ce qu'il te fait le lâche ». Elle voulut hurler, pleurer, s'enfuir en courant ou encore mourir en imaginant ce qu'elle allait vivre.. elle n'arrivait plus à réfléchir en se rendant soudainement compte qu'elle allait se faire violer. Son regard tombant dans le vide un court instant. Elle allait le frapper lorsqu'il l'a saisit à la gorge violemment. Elle avait du mal à respirer. Elle saisit sa main qui le maintenant de ses deux mains en toussant et respirant difficilement,, des larmes coulants sur ses joues. Il remonta tout d'un coup sa robe jusqu'à son ventre, et la peur envahit alors Alysse qui se mit à remuer soudainement dans tout les sens. Non ! Non !!! Elle ne hurlait et pleurant cependant toujours pas, se mordant la lèvre à sang pour ne pas lui faire ce plaisir, son regard toujours planté dans le sien pour bien lui faire comprendre qu'il ne gagnait pas totalement. Il se frotta de nouveau à elle, sa simple culotte en dentelle les séparants. Elle leva les yeux, ne voulant plus supporter cette scène. Elle ferma ensuite les yeux. Elle voulait mourir... : « S... Salop... » réussit-elle à articulé malgré le souffle qui lui manquait. Elle gigotait toujours dans tout les sens, mais il était bien plus fort et plus lourd qu'elle que seule ses jambes arrivait à se mouvoir. Il la frappa au visage, lui provoquant une grimace. Elle toussa de nouveau et inspira profondément, retenant un hurlement de douleur, ses larmes coulant toujours silencieusement sur son visage. Cela devenait insupportable. Qu'il s'arrête pensa-t-elle !! Elle bougeait dans tout les sens pour échapper à son étreinte. Tout d'un coup il passa une main sous sa culotte... une main glaciale et abrupte. Elle écarquilla les yeux subitement et se tendit lorsqu'elle ses doigts en elle la pénétrer violemment. Elle grimaça, serrant les dents, ses joue rempli de larme, sa vue trouble, l'air manquant et la respiration haletante. « t'aime ça salope... HEIN ?... » elle ne répondrait pas... Non, elle ne lui ferait pas ce plaisir, jamais... elle préférait encore mourir. Lorsqu'il dit ces mots, elle tourna son regard vers le sien, lui faisant bien comprendre qu'elle ne céderait pas.

Lorsqu'elle sentit sa culotte descendre sur ses cuisses et son sexe l'effleurer, elle savait que c'était fini. Mais soudainement, elle fut de nouveau saisit par les cheveux, violemment, et poussa un léger cri par douleur avant de le ravaler : « suce moi » ordonna-t-il en la poussant face à son sexe hautement dresser devant elle. Elle vit ce sexe en face d'elle.. et ouvrit alors la bouche, tremblante.. s'approchant lentement, sentant son regard poser sur elle comme un rapace guettant sa proie...Elle le regarda, et releva les yeux, le jonchant, le regard plein de haine... puis soudainement, elle sourit... puis se mit à rire, les cheveux en vrac, les yeux rouge, le nez en sang et sa robe déchiré. Puis, elle ne put se retenir de rire avant de violemment venir abattre ses deux mains jointes s'abattre contre ses couilles. Elle le vit se tordre de douleur, le souffle sûrement coupé et le poussa difficilement de ses deux mains.. Elle se releva difficilement, se tenant au mur et arriva à la sortie en toussant et gémissant, le ventre endolorie et sa culotte laisser à l'abandon par terre.

-Avant de vouloir violer une femme... vérifie qu'elle n'est pas les mains libre.. Connard.

C'était plus fort qu'elle, elle devait toujours sortir une phrase de provocation. Elle ne perdit plus une seconde avant que la douleur à son entre jambe s'en aille et partie en courant dans le grand cimetière de Miami, se forçant à courir malgré sa peur, ses douleurs et laissa d'ailleurs ses talons dans le caveau.. qui étaient déjà tomber depuis longtemps. Elle courrait difficilement, la respiration courte et entendit alors qu'il venait de se remettre sur pied. Elle ne réfléchit pas.. et se cacha derrière une pierre tombale, assise par terre et mit ses mains sur sa bouche, en larme et retenant sa respiration. Le cimetière de Miami était immense.. personne n'allait venir la secourir.. elle allait crever ici. Mais un infime espoir la retenait à sa liberté. Elle regarda autour d'elle, entendant des bruits de pas s'approcher.. elle espérait que l'obscurité la cacherait suffisamment. Il y avait une sortie à chaque côté du cimetière... est.. sud... nord... ouest.. elle devait être plus proche de la sortie sud. Elle regarda derrière son épaule discrètement.. Personne. Elle avança alors doucement à quatre pattes, dans le noir. Et fini par se relever, se mettant à courir plus vite que possible lorsqu'elle aperçu enfin une sortie
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Mar 5 Mai - 19:18
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Alysse & Lucky Man




Il faut dire que son regard fou de rage dans le mien, les larmes salées au fond de ses yeux clairs, et cette sensibilité impuissante et si haineuse qu'on pouvait lire au fond de ses prunelles ne faisait qu'accroître mon plaisir et mon excitation.  Mon sexe s'enflamma d'autant plus. Sans perdre davantage de temps, mon sexe s'inséra violemment en elle, la perforant durement, à lui en faire mal. Mes mains avaient élu domicile sur sa gorge que j'enserrai... Non... que j'étranglai... solidement. Une force sombre m'habitait. Elle ne pouvait plus rien faire contre moi, et j'en éprouvais un plaisir sadique que je ne dissimulais pas dans la noirceur de mon regard démoniaque. Un début de sourire machiavélique s'esquissa sur mes lèvres tendis que j'accélérai mes vas et viens inlassables et décharnés en elle. Elle se mit à gesticuler, luttant contre ma domination. Cependant, c'était voué à l'échec. Et il était vain de croire qu'elle pourrait me surpasser. Seule ses jambes parvenaient à bouger. Elle était coincée. " T'es bloquée, ça ne sert à rien de gesticuler dans tous les sens. " soufflais-je dans une voix basse, à son oreille, dans un sourire où on sentait une pointe de sadisme et plaisir vicieux à cette situation. Ma langue vint laper sa joue sur laquelle se trouvait du sang et des larmes entre-mêlées. C'était tellement délicieux. Mes mouvements s'accélèrent naturellement. Elle me traita de salop, le mot était faible. Elle pouvait trouver pire, bien plus adéquate et plus cruel. Je lui donnais un coup plus violent que les autres, tout en lui donnant une claque " Salop ? " reprise-je avec autorité, un sourire vint s'esquisser sur mes lèvres " Allons tu n'aime pas quand je te prend comme ça ? Salement ? Comme UNE CHIENNE ! " la questionnais-je en haussant le temps tout en la brutalisant de nouveaux d'une claque sur la joue encore plus violente, le regard noir. Sous l'énervement, mes vas et vient devenaient d'une brutalité électrique, exacerbant l'aspect jouissif de ce qui je lui faisais. Un sourire toujours autant sorti tout droit de l'enfer se dessina sur mes lèvres. Je voulais la sentir pleinement, pas avec ce sous-vêtement qui peinait à mon entrée complète en elle. C'est pourquoi je lui enlevai ce dernier obstacle. Néanmoins, j'avais envie de jouer d'abord, changeant d'avis.

La prenant par ses cheveux blonds complètement défait sous mes multiples agissement, j'amenais sa bouche sûrement bien chaude à ma verge dressée. Elle se mit à rire, on aurait dit qu'elle était possédée par le démon. Oui c'était de la démence satanique qui imprégnait son regard. J'en étais frappé tellement je trouvais cela sublime et excitant à la fois. Ma verge s'en trouva d'autant plus imposante et dressée. Etrangement, ce comportement, cette lueur folle dans ses yeux m'excitait encore plus que de la violer. C'est pourquoi, étourdi, je ne vis pas son coup venir, une grimace m'échappa quand elle me frappa violemment les couilles. Putain la salope ! Je vais la niquer ! Voilà les mots qui ne franchissaient pas la barrière de mes lèvres tellement je me tordais de douleur à l'intérieur, même si je m'étais simplement un peu recourbé pour que mes mains puissent venir en aide à mes couilles en les compressant pour essayer de réprimer la douleur intense. Néanmoins, toute la fureur, toute la rage que j'avais sur le coup se réfugièrent dans mon regard pour mieux se jeter avec une violence folle dans le sien. " Cours, COURS VITE ! " énonçai-je en desserrant à peine les dents. Néanmoins, je  contrôlais plus la force de ma voix à son encontre tendis qu'elle s'échappait de la prison, qu'était le caveau, dans laquelle je l'avais mise. Mon regard tomba sur le sac qu'elle avait laissé dans cette habitacle de pierre. Un sourire luciferien orna mes lèvres. Abruptement, je fouillais dedans, je trouvais rapidement ses papiers : Alysse Purple. Mon regard continua de balayer sa carte d'identité. Mon sourire se fit complètement déjanté. J'aurai presque rit de sa malchance si je n'avais pas été pressé par le temps. Je rangeais prestement ses papiers dans la poche arrière de mon jean que j'avais remonté sur ma taille. Puisque je ne la baisais pas sur l'instant, autant m'habiller.


Le caveau donnait sur le cabanon du jardinier qui s'occupait du cimetière. En entrant dans la nécropole, j'avais repéré qu'ils étaient entrain de refaire les jardins, les arbres principalement ... Une lueur sombrement pétillante se mit à luire dans mon regard empli d'un sadisme fou. Il était certains qu'ils avaient ce dont j'avais besoin dans cette habitacle de bois... mes pas s'y dirigèrent, le pénétrèrent. Rapidement, je trouvais ce que je cherchais. Mon sourire était reffréné, mais bien présent sur mes lèvres.

Puis sortant du cabanon, je débouchais directement dans la grande allée du cimetière. La blondinette ne devait pas être loin, un grand sourire sadique avait prit place sur mes lèvres tendis que j'enclenchais la tronçonneuse en la brandissant hautement : " AAAAAAAALYSSE ! Vient voir Papa ! " lançais-je alors d'une voix forte tout en marchant, le pas déterminé, en cherchant des yeux sa petite frimousse blonde. Le cimetière était tellement gigantesque, c'était un vrai labyrinthe avec les pierres tombales. Néanmoins, nous n'étions que deux, au moindre bruit, au moindre mouvement, je saurai que ce serait elle. Mon regard dégageait tellement de détermination et de rage entremêlé que je savais que je ne pourrais pas la louper. Malgré la nuit, certains lampadaires éclairaient les grandes allées du cimetière. En voyant quelques gouttes de sang sur le sol, Je su qu'elle était passé sur ce même chemin. Je fis ronronner la tronçonneuse pour la faire sortir de sa cachette. " Je sais que t'es là Alysse! Sort de ta cachette ! On va passer un bon moment tous les deux ! " mentis-je avec un sourire autant magnifique qu'horrible, mais surtout absolument révélateur de ce que je pensais vraiment. Elle allait mourir. Clairement.


Mon regard balaya les alentours, je pouvais voir les sorties, passant près de celle qui se trouvait à l'est, je vis un grand compteur électrique. Mon regard le jaugea rapidement. Le jeu pourrait devenir d'autant plus drôle et intéressant dans le noir complet. Baissant le levier, assez difficilement par ailleurs, j'éteignis complètement le cimetière. Puis, je jetais la tronçonneuse au sol, dans l'herbe mal taillée, sur le côté d'un chemin de pierre. Habitué à vivre dans le monde de la nuit, mes yeux s'habituèrent extremement rapidement à l'obscurité. Je distinguais les formes des pierres tombales, les chemins qui semblaient dessiné à la crais, puis... Bien rapidement... Une jeune femme à quatre pattes au loin. Enfin elle était dans ma diagonale, à une trentaine de mètres, tout au plus. Elle ne semblait pas m'avoir vu. Alors, je n'hésitais pas. Je coupais. Sautant par dessus certaines tombes, slalomant entre les fosses de terres nombreuses et les pots de fleurs, c'était clairement très sportif. Néanmoins, etant assez athlétiques, ce fut rapide. Mon regard ne la quittait pas de vue, de même que sa destination évidente. Elle se dirigeait vers la sortie sud. Elle allait l'atteindre. J'accelérai la cadence, sprintant comme jamais. Même pour poursuivre des enculés qui voulaient me la mettre à l'envers, je ne me donnais pas autant de mal.


Puis alors qu'elle était à quelques mètres des deux grandes grilles ouvertes, autrement dit la sortie, je la plaquais au sol en lui sautant dessus. Bien evidemment, on s'étala tous les deux sous la force de mon corps et de la projection violente. Un peu derrière elle, je l'attrapais par la cheville pour la tirer vers ma personne. Mon corps retrouva bien rapidement les courbes du sien. Je lui collait une claque, encore. N'allait-elle jamais apprendre ? On ne se débat face à un homme, on se soumet devant lui. " Alors Alysse, vous comptiez m'échapper ? " la questionnais-je dans un ton froid, mais néanmoins avec un sourire au coin des lèvres des plus satanique, mais non sans un certain charme. Humour grinçant quand tu nous tient.  Quelques mèches folles et ébourriffés retombèrent sur mon regard sombre que je plantais dans le sien dont je ne percevais pas la couleur à cause de l'obscurité. Néanmoins, c'était un détail, ce qui comptait, c'était que j'allais la baiser. Enfin.

Comme un enfant qui déballerait un jouet un matin de noël, j'arrachais sa robe, la déchirant dans toutes ses coutures si finement travaillée. Ma victime du soir était à présent presque entièrement dévêtue face à moi, à mon regard impassible et perçant, dans cette chaude soirée de fin de primtemps. Recouverte que de son soutient-gorge. Je l'observais, me rendant compte, malgré l'obscurité qui nous entourait, qu'elle était vraiment bien foutu... Ce serait d'autant meilleur. Mon sourire si particulier et si malsein revint prendre place sur mes lèvres. A présent que je l'avais bloqué sous mon corps, elle ne pourrait plus se libérer, je pouvais pleinement profiter et abuser de son corps qui avait tout ce qu'il fallait pour me satisfaire. Néanmoins, j'étais un homme qui aimait prendre son temps... A croire que son esquive de tout à l'heure ne m'avait pas suffit. En fait, je crois surtout que je voulais lui faire payer son insolence de tout à l'heure. Avec un sourire satanique agrémenté d'un regard ardent de violence, je réalisais à quel point je voulais la torturer. Avec dextérité, j'attrappais un cailloux bien limé à proximité. Je le passais alors sur son bas ventre effleurant doucement sa peau si tendre... allais-je descendre ? Allais-je monter ? J'étais sadique. Je lui donnais alors un grand coup de cailloux qui lui entailla le ventre, de quoi laisser des marque durant des semaines. Un rire mutin m'échappa et je jetais alors mon outil de torture. Je descendais légèrement sur son corps pour lécher, de toute sa longueur, la plaie béante et bien saignante. Avant de venir mordre ses seins en les empoignant solidement de mes mains adroites et connaisseuses. Ils étaient si ferme, si rond, je les malaxais, les pétrissais avec sadisme, durement, jouant avec avec ses tétons du bout de mes dents venu à leur rencontre...

Mes va et vient commencèrent à s'entamer sur son intimité sans que je m'en rende compte. J'arrachais alors son soutient-gorge que je balançais au loin pour mieux m'occuper de cette poitrine absolument surprenante et attirante. Plus les mouvements de ma langue s'accéleraient sur ses tétons plus mes mouvements à l'étages inférieur s'accéleraient au point que mon membre érigé finis par entrer en elle, la pénétrant avec vigueur. C'est seulement quand son entre chaude entoura pleinement ma queue dressé que je m'en rendis compte.  A ce moment-là, mes coups se firent habile, précis, mais bestial dans leur précision. Je tapais là où elle ne s'y attendait pas. Là où elle pourrait pleinement le sentir passer. Et quand je sentais que j'avais touché le bon endroit, par sadisme, j'y allais encore plus fort, encore plus brutalement. Laissant parfois des grognement animales m'échapper. A force de frotter ma queue sévèrement en elle, avec une ardeur folle, le point culminant finit par être atteint. Quelques insultes m'échappèrent avant de laisser un grand râle terminer l'assaut que je lui avais infligé. Mon corps retombait sur le sien. Je freinais ma chute en plaçant mes coudes autour de sa tête. Non pas que cela me dérange de lui faire mal, mais c'était simplement ma personne que je ne voulais pas abîmer. Mon regard satanique s'était planté de le sien. "  Alors ça te fait quoi d'avoir perdu ta dignité ? "  la questionnais-je avec une lueur profondément vil dans le regard, un sourire du même accabit aux lèvres. Même si je pouvais observer sur son visage tout ce que lui avais fait, c'est dans son regard que je trouvais un plaisir sans faille et jouissif du mal que j'avais accompli.  Encore une vie que j'avais réussi à boulverser, peut-être brisée avec de la chance. Un sourire satisfait se dessina sur mes lèvres. Je me relevais alors en me rhabillant. Prêt à m'en aller.
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Jeu 7 Mai - 14:55
Alysse ∞ Rafael
There's nothing that I'd take back, but it's hard to say there's nothing I regret. Cause when I sing, you shout, I breathe out loud, you bleed, we crawl like animals, but when it's over, I'm still awake. A thousand silhouettes dancing on my chest, no matter where I sleep, you are haunting me

La jeune femme, toujours cachée derrière la stèle, tremblait de peur. Tous ses muscles étaient crispés et commençaient à lui faire terriblement mal. Mais la douleur n'était rien comparée à la peur qu'elle ressentait en cet instant.. la transpiration sur son corps témoignait des battements si rapide et puissant de son cœur qui envoyait le sang à une vitesse folle dans son organisme. L'adrénaline était la seule chose qui la maintenant encore debout. La silence était présent dans le cimetière éclairé par ses lumières... L'homme était sûrement encore dans le caveau à se tordre de douleur par le coup aux testicules qu'elle lui avait fortement infligé. Elle retenait sa respiration, de peur d'être découvert, laissant ses larmes couler sur son visage, essayant de ne pas faire de bruit, mais la peur et les pleurs étaient presque impossible à arrêter. Elle se mordait les lèvres, la tête appuyée contre la stèle qui lui servait de cachette. Lorsque tout d'un coup et la faisant sursauté, un bruit puissant et horrible vint rompre le silence qui l'entourait. Le cœur de la jeune femme rata un battement lorsqu'elle reconnu ce son lorsqu'elle avait regardé ce film d'horreur.. Une tronçonneuse. La femme croyait ne pas pouvoir être encore plus effrayée... apparemment si. Elle entendit soudainement son prénom ! Elle écarquilla les yeux, ses mains se serrant dans le sable du cimetière et un frisson parcouru sa colonne vertébrale.. cette même sensation lorsqu'un homme allait la prendre sauvagement et qu'elle s'imaginait les pires des scénarios obscènes.. mais cette fois, c'était bien pire. L'adrénaline, la peur, la douleur était une sensation horrible, au point que sa tête lui tournait. Elle devait s'enfuir... elle devait partir d'ici au plus vite, échapper à ce psychopathe, à ce malade qui allait la détruire et la tuer peut-être.. Elle devait bouger... mais comment faire maintenant qu'il se baladait dans les alentours.. elle allait se faire repérer.

Tout d'un coup, les lumières s'éteignirent autour d'elle. Ce fut le noir complet.. elle déglutit, sûrement un coup de son agresseur. Ses yeux mit quelques secondes avant de s'habituer à l'obscurité. Lorsqu'elle fut parfaitement capable de voir elle prit une profonde inspiration et un soulagement se sentit en elle lorsqu'elle n'entendit plus la tronçonneuse.. Ouf, il ne l'avait sûrement plus. Il voulait lui faire encore plus.. comme si cela n'avait pas été suffisant jusque là. La torture était insupportable.. était-il loin d'elle ? Elle l'ignorait, n'entendant absolument rien.. ce con était discret ! Tout d'un coup, sentant un bruit derrière elle, elle se leva, prit d'un élan de dingue et se mit à courir plus vite que possible en direction de la sortie Sud. Les dents serré et les larmes aux yeux, elle était pied nu, sans culotte... sa robe déchirée comme seul habit, mais son instinct de survie prenait le dessus sur tout. Elle était presque arrivé, quelques mètres encore et la liberté s'offrait à elle... Mais soudainement, il lui sauta dessus, l'ayant rattrapé et la fit tomber avec lui à terre, provoquant chez elle un hurlement de peur et de désespoir.. ce cris elle ne put le retenir, tant ses chances de s'en sortir s'étaient trouvées si près et qu'elle avait échouer. Son cœur s'emballa, lui faisant mal et son dos fut griffer par le sables et les pierres au sol. Elle grimaça en pleurant et gémissant de désespoir, essayant de le pousser avec ses pieds étant donné qu'il se trouvait un peu derrière elle, tendant le bras vers les grilles qu'elle pouvait apercevoir. Mais celles-ci s'éloignèrent quand elle fut tirer par la cheville, les pierres lui griffant davantage le dos et sa robe se déchirant davantage. Elle poussa un cri, se débattant de toutes ses forces, elle n'en pouvait plus, elle était à bout de force. Il se retrouva alors de nouveau au dessus d'elle, comme un fauve, un animal sans pitié face à sa proie.

-Dégage !! Enfoirée, sale connard !! Lâche moi !!! Je vais te tuer enfoirée !!! Lâche moi !!!! NOnn!!!!

Elle lui hurla dessus, se débattant avec ses poings, mais lorsqu'il planta son regard dans le sien, ce regard plein de vice, de perversion.. celle-ci se retrouva comme tétaniser.. il était impressionnant, intimidant et surtout, il était plus fort qu'elle.. elle allait y passé. Elle sentit ses larmes couler de nouveau sur ses joues et grimaça lorsqu'il arracha sa robe, la laissant alors presque nue, contre le sable froid et la douceur de la nuit. Les gens chez eux, au loin, dans leur habitat, en sécurité, ne pouvait se douté que non loin de chez eux.. une jeune femme se faisait violé dans le cimetière. Elle avait beau essayer de le pousser, avec ses petites mains et ses petits bras posé sur ses épaules, elle n'y arrivait pas, la force lui manquant et la tête lui tournant. Il l'observa alors, regardant son corps presque nu et ses formes... Il semblait la trouver à son goût.. ce qui l'a mettait dans une rage folle.. Mais elle n'arrivait plus à bouger. Ses bras retombèrent contre le sol du cimetière, le regard faible et les larmes coulant contre ses joues.. elle était démunie et ne savait plus quoi faire. Il allait la violé, il allait la violé et elle ne savait pas comment s'en sortir. Il n'y avait pas d'issu. Le regard de la jeune femme se perdit alors qu'il l'a dévisageait, comme si elle n'était rien d'autre qu'un objet, un jouet. Mais tout d'un coup, une douleur horrible s'empara de son ventre, la faisant hurler... C'était horrible. Elle vit, un caillou à la main, lui taillader le ventre avec un sourire démoniaque sur les lèvres. Elle cambra la tête en hurlant, ses dents serrer et ne pouvant rien faire. Elle écarquilla les yeux lorsqu'elle sentit la langue de son agresseur lécher sa plaie au ventre. Elle serra les dents, ça piquait horriblement et elle pouvait sentir la langue chaude de l'homme glisser contre le plaie... c'était horrible.. elle se sentait si sale !

Il remonta tout d'un coup et mordit alors un de ses seins, provoquant un hoquet de surprise a Alysse, suivit d'un gémissement déplaisant de la jeune femme, qui pleurait toujours. Il s'amusait avec elle, il jouait avec ses limites. Elle se mordit la lèvre en fermant les yeux pour essayer de faire abstraction mais il mordilla ses tétons tendu et dur à cause du froid. Elle se cambra... la douleur était insoutenable, mais cette douleur n'était rien en comparaison de son corps qui.. malgré elle, répondait à ce qu'il faisait. Les terminaisons nerveuse à la pointe de ses seins transmettait à son cerveau la mauvaise information et la jeune femme se haïssait de pouvoir ressentir de plaisir à ce qui se passait. Non... elle serra les poings, et recommença alors à se débattre, gigotant de toute ses forces. Elle ne pouvait pas aimer cela.. non pas de cet homme, pas d'un violeur qui la considérait simplement comme un bout de viande à consommer sans modération !! Il recommença à frotter son érection contre son intimité brûlante, et la jeune femme se mordit davantage les lèvres, retenant ses gémissements de douleur.. mais pas seulement. Des larmes coulaient sur ses joues, mais des larmes qui voulait dire plus que l'homme ne pouvait penser. Il ne se rendait pas compte qu'il faisait à cette femme bien pire que la violer. Elle commençait à se détester elle même. Soudainement, et violemment, il la pénétra entièrement, au point que la jeune femme en eut le souffle coupé, écarquillant les yeux, ses ongles pénétrant dans la terre du cimetière. Elle avait du mal à respirer, hurlant soudainement, et le sang qui coulait de ses lèvres, témoignait de la force avec laquelle elle les avait mordu.

L'homme semblait se rendre compte en même temps qu'elle qu'il l'avait pénétrer... il sourit alors sadiquement, son regard planté dans le sien. La jeune femme, les yeux grand ouvert, le regarda avec une sorte d'étonnement et semblait désespérer.. mais alors, il commença des mouvements qu'elle n'imaginait pas aussi calculé aussi habile et aussi abrupte. Elle commença à hurler, gémir tant ces coups était dur et horriblement violent. Mais il avait l'air de savoir exactement où taper pour qu'elle soit le plus torturer. Mélanger à cette douleur horrible, la jeune femme sentait son corps réagir, son bas ventre se tendant, tout les muscles frissonnant en faisant remonter cette sensation jusque dans sa colonne vertébrale... Non ! Non il ne pouvait décemment pas être aussi horrible. Il savait exactement où se trouvait le poing G... et s'amusait à le frapper de toute la force de ses reins.. la jeune femme se mordait les lèvres, fermant fortement les paupières, sa respiration se faisant haletante.. Non non non !!! Elle ne voulait pas aimer!Hors de question !! Mais comment faire le poids avec le point G. Ses larmes coulait toujours contre sa joue, tandis qu'elle sentait un tourbillon de sensation monté en elle. Douleur, haine, plaisir, fatigue, désespoir... elle finit par tomber en même temps que lui, hurlant une dernière fois de rage en sentant le liquide de son agresseur se déverser en elle. Elle laissa sa tête tomber sur le sol, le regard vers le ciel, perdu et se sentant totalement abattu, tandis qu'il se laissa tomber contre elle, essouflé et apparemment satisfait. Il posa alors ses coudes autour de sa tête, la fixant d'horriblement, près. Elle était essoufflée, fatiguée et surtout.. elle se haïssait peut-être autant qu'elle voulait le tuer : « Alors ça te fait quoi d'avoir perdu ta dignité ? » Le regard de la jeune femme croisa le sien. On pouvait y lire tout ce qu'elle ressentait.. la haine.. la peur... la tristesse et... le trouble.. Cet homme... comment avait-il fait ça ??... elle renifla en détournant le regard, serrant les dents et ses bras croisé devant sa poitrine cachant sa honte.

Il se releva alors, attrapant son pantalon pour commencer à se rhabiller, dos à elle. C'était comme si elle n'était même plus là, comme si elle n'existait déjà plus. Elle s'assit alors, difficilement, sentant alors les grains de sable et les petits caillou collé dans son dos par le sang que les griffures lui avaient infligés. Les genoux pliés, les bras croisés et le regard dans le vide, elle regardait le sol, sentant alors le fluide chaud du sperme de son agresseur coulant sur le sol et contre ses cuisses. Ses larmes avaient cesser de couler tant elle était encore sous le choque.. Une part d'elle... son corps... avait réagit et aimer ce qu'il lui avait fait.. du moins, sa pénétration.. Elle vit alors la chemise de son agresseur.. qu'elle saisit, son regard se faisant soudainement plus noir, plus sadique, plus assassin.. elle allait lui faire payer... elle devait se défendre. Sa respiration s’accéléra et l'adrénaline monta tandis qu'elle boutonnait la chemise qui lui arrivait mi-cuisse. Lorsqu'elle eut fini, son regard plein de haine remonta vers l'homme qui finissait de boutonner son jean. Elle tendit la mains sur le côté et saisit un gros caillou, puis sans prendre le temps de réfléchir, elle se leva, prit d'un élan de folie et le frappa à la tête, en le faisant tomber avec elle. Elle se retrouva à califourchon sur lui, et hurlant, une lueur de folie dans le regard, elle le frappa avec la pierre d'une main et avec son poing de l'autre, étant alors prit d'une force de dernière minute, prit d'une rage sans nom. Il commença à saigner du nez et à d'autres endroits puis sembla alors comme inconscient.. peut-être faisait-il exprès pour mieux la piéger, mais alors qu'elle resta la main tenant le caillou en l'air et l'autre main posé sur son torse, elle l'observa quelques secondes pour être sur qu'il ne bouge plus et lâcha enfin la pierre en se levant, la chemise comme seule habit et trouva son portable dans la poche de son agresseur. Arrivant à la grille en reculant, elle déclara, même si elle ne savait pas s'il entendra :

-Va te faire foutre en enfer, j'aurais ta peau salop !

Et elle disparu en courant dans l'obscurité de la nuit, en larme et se dirigeant à pas de course chez ses amis, la chemise de son violeur sur le dos et son portable a la main, sentant encore le sperme couler le long de ses cuisses..., près à appeler Liséa, sa meilleure amie. Alysse.. à partir de ce soir... ne serait plus jamais la même.


code by Silver Lungs


HORS RP : si tu veux écrire une clôture pour ton perso vas y Razz on va pouvoir entamer la suite Razz dis moi par mp ce que tu penses de ma rep :aaa:
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Jeu 14 Mai - 2:13
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Alysse & Lucky Man
 


Faire mal était tout ce que j'aimais. La souffrance était comme une seconde nature. Alors maltraiter cette femme, Alysse, était quelque chose de purement jouissif pour ma personne. Sentir son corps se cambrer sous la force du mien, sentir sa peur sous mon plaisir sale, son désespoir si virulent sous ma jouissance montante. Sans le savoir, elle nourrissait cette flamme malseine qui me rendait vivant. Elle aura des cauchemars de cette nuit qui marqueront toute sa vie. Elle aura toujours ce souvenir, ce traumatisme, dont j'étais le seul responsable. Un sourire satisfait et maléfique avait donc étiré mes lèvres. Puis, je m'étais relevé pour commencer à enfiler mes affaires pour m'en aller. 


Alors que je terminais de boutonner mon pantalon, je sentis quelqun - ALYSSE OUI ! - se jeter sur moi, telle une furie, m'assainnant d'un coup effroyable à la tête avec une grosse pierre. Je mordais la poussière, je le reconnais. Elle avait réussi à me projeter au sol autant qu'à m'énerver. Me retournant, elle prit place sur ma taille pour m'enchaîner de coups avec cette même grosse pierre. Alors que je parais les coups, je remarquais cette démence dans son regard. J'en étais paralysé, j'étais complètement subjugué par cette brutalité qui luisait dans la nuit. Cette fureur folle. Elle semblait tellement haineuse, tellement à bout, les larmes tapie au fond de son regard désespéré et fou. Elle était terrible. Terriblement magnifique. Un frisson me parcourru l'échine, ce qui était... Exceptionnel. Cela n'arrivait pour ainsi dire... jamais... Je m'énervais alors d'autant plus. J'étais littéralement prit d'une colère extrême. Je ne voulais pas la laisser me fasciner. Cela me donnait envie de vomir. Une haine s'éleva dans les tours froides de mon âme. Répondant à ses coups et ses hurlements.  " Mais frappe putain, frappe moi autant que tu me haïs ! PLUS FORT ALYSSE ! " énonçais-je en hurlant à son encontre tout en vrillant mon regard de sadique, de fou dans le sien. Mes mains s'emparèrent durement de ses poignets à lui en faire lâcher sa pierre, je la regardais alors comme jamais. Avec une violence que je ne lui avais pas encore montré. Je la renversais au sol avec une violence inouïe en l'enserrant à la gorge avec la même violence qui caractérisait mon regard d'une noirceur sans nom dans le sien. " Je vais te tuer... " murmurai-je, le coeur plein de haine, en articulant difficilement armé d'un regard terriblement intense et noir ancré dans le sien.


Elle avait cette lueur folle, assassine, dans le regard... De nouveau, j'en frissonnai. AAAAAHHH !!! J'avais envie de hurler. Je ne ressentais jamais d'attirance aussi forte pour mes victimes. Pourquoi est-ce que cela me plaisait ? Pourquoi est-ce que je trouvais cette combativité, cette rage de vivre, si attirante et désirable... ? C'était comme tout à l'heure dans le caveau... Elle était démentielle... J'en étais juste... Il n'y avait pas de mot, et cela me foutait les nerfs. Oui, j'avais la haine. Je la frappais violemment au visage, comme pour la punir d'une chose dont elle n'avait pas conscience. Elle était bonne pour un deuxième round. Cependant, elle avait tellement de rage, tellement de puissance venant de son adrénaline qu'elle reprit le dessus et me frappa de nouveau, d'une façon aussi folle, voir plus qu'auparavant. Une angoisse montait dans mon corps, je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Elle me frappait, je n'arrivais pas à contre-attaquer. Elle avait le dessus. Ce qui était fou, improbable. Défiant toutes les statistiques. Et pourtant, j'essayais de l'arrêter... Elle finit par m'envoyer dans les vapes. Je sentais sa main sur mon torse... Puis soudainement ce fut comme si on m'enlevait un poids du corps... Au loin, je n'entendis qu'un léger murmure inaudible. Cependant, ce que je savais, c'était que ce ne serait pas la dernière fois que j'aurai à faire à cette femme. Elle avait éveillé quelque chose en moi, une chose que je ne supportais pas de ressentir : la perte de contrôle. Ce que mes victimes ne font jamais. Ou qui que ce soit d'autre. Alors que je sombrai complètement dans l'inconscience, un sourire sadique se dessina sur mes lèvres. Je la retrouverai, je la tuerai... Oui, je tuerai Alysse Purple...
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |   Ven 15 Mai - 15:39
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(#)Sujet: Re: Bad luck is coming feat. Alysse  |  
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