(#)Sujet: Smells like teen spirit. feat. Bambi | Sam 2 Mai - 21:04
Smells like teen spirit.
Bambi & Rafael
Ce soir l'hôtel Woolloo Moon avait prêté ses locaux pour une soirée extrêmement prestigieuse. Costar pour les hommes et robes de soirées pour les femmes. L'argent suintaient jusque dans les tenues sophistiqués des serveurs et les décorations travaillées de la salle. De grands lustres ornaient les plafonds, éclairant ainsi la grande salle. On se serait cru dans la galerie des glaces, à Versailles. On trouvait de nombreuses oeuvres d'art mise en valeur, sur des podium, pour que de potentiels aquerreurs dépensent leur argent qui sera ensuite reverser dans une association caritative. Un léger rire m'échappa à cette pensée. Que les gens sont con. L'argent, cela ne se gaspille pas et eux ils le jette par les fenêtres, tout content.
Toujours dans le hall d'entrée, je donnais ma veste à un employé. Celui-ci me donna un tiquet avec un nom dessus. Je fronçais les sourcils. " C'est pour le jeu. " me coupa-t-il avant que je ne puisse prononcer le moindre mot. Il me donna alors un masque qu'on aurait cru voir venir directement de Venise tellement il cadrait dans le style de cette ville si renommée de mon pays natal. Je ne le remerciais pas, j'en avais marre de leur jeu à la con. Néanmoins, j'attrapais tout de même l'objet qu'il me tendait avant de vraiment pouvoir m'imprégner des lieux et les observer dans toutes leur démesure. Les femmes avec leur peau de castor sur les épaules allaient et venaient en grandes discussions entres les travaux des artistes. Ceux-ci était habillés différemment des autres, ils étaient des origaux après tout. Les hommes semblaient tous sortir de chez un grand couturier, avec une chevalière au doigt. Une soirée de bienfaisance dans toute son hypocrisie. Enfin bref, même si j'étais un homme fortuné et que j'étais habillé comme il se devait, je n'étais pas là pour soutenir une quelconque compagne. J'étais là pour affaire. Un début de sourire s'esquissa sur mes lèvres à cette pensée.
Mes hommes avaient fabriqué des contre-façons que nous échangerons subtilement au cours de la soirée. Etant un maniaque du contrôle, j'aimais surveiller les opérations de près. Quatre de mes hommes se trouvaient dans la salle, prêt à agir. Une oreillette se trouvait à sa place la plus efficace pour me tenir informer de tout ce qu'il se passait.
Un des organisateur de la soirée s'avança sur une estrade, un micro l'attendant sagement sur un habitacle rectangulaire qui lui arrivait au niveau des épaules. " Bonsoir et merci à tous de votre présence. Je serai votre hôte pour la soirée. Avant toute chose, je vous laisse prendre vos marques et observer les magnifiques oeuvres de nos artistes. Je reviendrai à vous pour vous informer quand le jeu de la soirée commencera. " il prenait un air mystérieux en parlant, ce qui faisait son effet chez la gent féminine. Sur un homme d'une soixantaine d'année, chauve et dégarni, c'était assez amusant. C'est donc avec un fin sourire que mon regard balaya la salle quand mon regard tomba sur elle.
Une femme sublime, sur lequel ne pas poser les yeux relèveraient presque d'un défis. Par conséquent, mon regard ne pu s'empêcher de s'attarder dans le sien. Néanmoins, je restais moi, un homme qu'il vaut mieux ne jamais rencontrer. Je lui fis un sourire qui en fait frissonner de peur plus d'un, quand les lumières s'éteignirent... Non mais là... J'étais blasé... Il venait de niquer ce que j'avais commencé à faire... Enfin... cela voulait aussi dire que mes hommes allaient entrer en action. Le spectacle de cracheur de feu commençait, on ne voyait de long jets de flammes. Eclairant par moment certains visages. Cela donnait un côté assez mystique à l'ambiance. Pendant ce temps, mes hommes subtilisaient la première oeuvre contre une autre. Tout le monde applaudissaient, couvrant le bruit qu'ils auraient pu faire. Normalement les caméras étaient prise en charge par un hacker que j'avais engagé il y a deux mois de cela et qui désespérait de faire ses preuves. Enfin, dans mon oreille, un homme m'affirma que l'opération s'était bien passé. Un sourire s'esquissa sur mes lèvres. Mes plans fonctionnent toujours.
" Et bien, ces cracheurs de feu on mit l'ambiance ce soir ! A présent, que le jeu des masques commencent, trouvez votre partenaire dont le nom se trouve sur le papier que l'on vous a donné en premier et vous recevrez un cadeau qui dépasse TOUTES vos espérances. " son sourire était toujours aussi mystérieux et son regard bienveillant. Quelques femmes gloussèrent dans l'assistance. Les lumières se tamisèrent considérablement, mais les podium avec les oeuvres étaient illuminés. Dans le courant de la soirée la lumière changeraient. Donc je ne m'en souciais pas plus que cela. J'avais bien plus intéressant à faire pour l'instant. Le chasseur que j'étais désirait sa proix. J'enfilais mon masque avant de m'avancer vers elle.
Malgré les lumières et le masque, je la retrouvais assez rapidement. Sur le chemin qui menait à sa personne, j'attrapais une coupe de champagne sur le plateau d'un serveur qui passait à proximité. Dans son dos, j'approchais doucement d'elle. A vrai dire j'étais si près qu'il ne serait même pas étonnant qu'elle ai senti ma présence. Avec une certaine sensualité teinté de douceur, ( oui c'est étonnant, je sais, nous reviendrons là-dessus plus tard ) j'effleurai dans une caresse son bras du revers de ma main. Afin qu'elle sente véritablement ma présence. Mes lèvres s'approchèrent de son oreille, non sans trop l'envahir. " Qu'est-ce qu'une aussi jolie jeune femme telle que toi fait dans une soirée aussi ennuyante ? " murmurai-je de ma voix grave si séduisante avec cet accent italien, avant de me retrouver face à elle. Laissant mon regard croisé le sien. Tout en continuant de la considérer dans les yeux, je bu doucement dans ma coupe de champagne. J'étais bien trop près d'elle pour une conversation dite classique. Mais ainsi, je pouvais bien observer la marchandise, son regard bleu, son nez aquilin et ses lèvres à l'aspect simplement délicieux. Elle était véritablement à ma convenance. Sans avancer d'un pas, je déposais mon verre sur le buffet qui se trouvait derrière elle. Mon regard ne quittait pas le sien. Pour je ne sais quelle raison, je la trouvais vraiment désirable. A tel point qu'à cet instant, j'avais tout simplement terriblement envie de l'embrasser sauvagement. Et de lui faire des choses qu'on ne confesserait même pas devant le prêtre. Néanmoins, je n'étais pas le genre d'homme à craindre ce qu'on pourrait penser de moi. " Je veux te baiser. " elle pouvait le lire dans mes yeux, pas besoin de le prononcer à l'oral. D'autant plus que mon sourire si particulier ornait mes lèvres. J'attendais toute fois ce qu'elle allait dire.
electric bird.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: Smells like teen spirit. feat. Bambi | Mar 5 Mai - 22:36
Smells like teen spirit.
Bambi & Rafael
Cette soirée s'annonçait plutôt originale, j'étais invitée à une réception des plus prestigieuses au sein de l’hôtel de la ville. Ayant reçue une lettre soignée annonçant l’événement quelques jours plus tôt, j'avais gardé cette invitation dans un coin de ma tête. Je venais de passer une journée particulièrement éprouvante alors rien ne me ferait plus de bien que d'aller me détendre à une soirée où l'on attendrait rien de moi ou de mes compétences. Un ami était supposé venir me chercher et m'accompagner pour toute la soirée mais il avait annulé la veille. Néanmoins, j'avais décidé de m'y rendre tout de même, n'ayant rien d'autre de prévu, je n'avais rien à perdre. C'était peut être l'occasion de passer une soirée agréable et d'y faire quelques rencontres, professionnelles ou non.
Une fois au lieu de rendez vous, je découvrais les lieux. La salle était spacieuse, la décoration grandiose. Les organisateurs de cette soirée avaient vu les choses en grand. Il y avait déjà pas mal de monde lorsque je me présentais à l'entrée. Un jeune homme me propose de retirer ma veste, je la retire et lui tend, laissant mes épaules nues. Pour l'occasion, j'avais choisi de porter une robe sublime, noire, incontournable certes mais à la fois sexy et élégante. Le garçon me tend un masque noir et m'explique qu'il s'agit d'un jeu se déroulant au cours de la soirée. Je ne pose pas de question, le remercie et m'aventure un peu plus loin. Une fois au cœur de la salle, j'étais surprise de trouver une multitude d’œuvres d'art, exposées de part et d'autres de la salle. Toutes mises en valeur par quelques spots afin d'attirer pleinement notre attention. J'observe alors les personnes autour de moi, j'avais presque l'impression de me trouver dans un autre monde, un autre univers. Ils semblaient tous pleins aux as et snob au possible. J’espérais ne pas regretter d'être venue ici. Si seulement j'étais, au moins, venue accompagnée, j'aurais pu avoir la certitude de ne pas m'ennuyer.
Cela faisait près d'une demi heure que je me trouvais ici, finalement l'ambiance était bien moins amusante que je l'avais imaginé, pour pas dire ennuyeuse ! Seulement quelques personnes étaient venu me saluer et échanger quelques banalités, toutefois aucun visage ne me semblait familier. Je m'apprêtais à aller me consoler en m'approchant du buffet, qui était chargé d’innombrables gourmandises s'avérant délicieuses, lorsqu'un serveur tenant un plateau passait à mes côtés. Je lui fis mon plus beau sourire pour qu'il ne me dise et rien. J'attrapais une coupe de champagne au passage, avec un peu d'alcool je trouvais peut-être cette soirée un peu plus dynamique.
Alors que je me retournais vers le reste de la salle, je sentie une présence dans mon dos. Avant que je n'eu le temps de réagir, je sentie une légère caresse sur mon bras, tandis qu'une voix sensuelle murmurais à mon oreille. Un sourire se dessinait sur mes lèvres, c'était mystérieux. L'homme apparaît face à moi, il semble très séduisant, même avec ce masque. « Je ne vous l'fait pas dire... ». Il bu une gorgée de son champagne avant de s'approcher, pour se retrouver à quelques centimètres de mon visage. C'était troublant. Je pouvais lire le désir brûlant dans ses yeux. Il ne fallait pas être savant pour se rendre compte de ce qu'il avait derrière la tête. J'affichais un petit sourire amusé. Son air mystérieux m'intriguait, je voulais en savoir plus, j'en voulais plus. Rien que cette voix, ce regard ardent réussissait à m'arracher un frisson qui parcourait tout mon corps. « Et, je vous retourne la question charmant jeune homme », répondis-je malicieuse. Cet homme me faisait de l'effet rien que par sa présence. C'était incroyable. Allez savoir pourquoi, j'aurais été prête à le suivre, n'importe ou, n'importe quand. Maintenant. Je regardais autour de nous, personne ne prêtait réellement attention à notre présence, si nous devions nous éclipser au cours de la soirée, c'était certainement le meilleur moment.
electric bird.
Invité
Invité
(#)Sujet: Re: Smells like teen spirit. feat. Bambi | Sam 16 Mai - 0:42
Smells like teen spirit.
Bambi & Rafael
J'avais chaud, très chaud. Mon regard observait le sien qui ne quittait le mien, c'était ensorcelant et magnétique. Nous conversions simplement, les convives ne prêtaient guère attention à nous, se souciant simplement de leur petites affaires. En temps normal, j'aurai fait de même. Mon réseaux est la seule chose qui donne un réel sens à ma vie et me la rend agréable. Enfin, mon réseau et la souffrance bien entendu. Cependant, maintenant que je me trouvais près de cette femme, d'autres préoccupations accaparaient mon esprit. Mes hommes tentaient de me joindre via l'oreillette, mais je l'éteignis. Dans un léger agacement, je le reconnais. La jeune femme parlait, me répondait. Il y avait quelque chose, une alchimie étrange, inconnue et intrigante. Je ne pouvais la laisser s'échapper. " Suit moi et je montrerai ce que je fais dans ce genre de soirée. " déclarai-je en haussant un léger sourcil énigmatique, un sourire aux lèvres.
C'est vrai, tout cela ce n'est qu'une conversation stérile, ce qui ne le serait pas, se serait les actes qui en découleront. Puis sans vraiment résister à mes pulsions, je la plaquais avec force contre une colonne en marbre et glaciale de l'hôtel qui se trouvait à deux mètres de nous. Elle allait se sentir comme la femme désirée qu'elle était. Mes lèvres se réfugiant avec une expertise ardente dans sa nuque chaude pour l'embrasser avec une rage folle tendis que mes mains expertes remontaient sous ses cuisses que je soulevais solidement autour de ma taille tout en emboîtant au bon endroit mon corps au sien pour ne pas qu'elle tombe, en partie. Elle devait clairement sentir mon érection entre ses jambes qui remontait dans mon dos, mes lèvres trouvèrent son oreille " Je te désire tellement... " murmurai-je de ma voix suave et rauque, en la serrant davantage contre cette colonne bien dure tout en croisant son regard du mien devenu noir de désir et de violence entre-mêlé. Je n'aimais pas sentir la perte de contrôle que certaines personnes avaient sur moi, ce qui me rendaient d'autant plus violent. Comme pour contrebalancer cette ravageuse impuissance.
Alors que d'habitude, je n'aime pas embrasser, là quand je voyais ses lèvres tentatrices, j'en avais terriblement envie. C'était incompréhensible, et irrésistiblement captivant. Sans retirer son masque, mes lèvres s'emparèrent alors des siennes que j'embrassais en un baiser ardent, brûlant, presque passionné, autant que mon corps qui se mouvait tout en se frottant savoureusement contre le sien. Je comptais bien lui donner chaud. Je croisais alors son regard du mien, celui-ci était empli de tant de noirceur... Je croisais ensuite le regard de certains clients qui nous regardaient avec un certaine choque. Bien que cela ne me dérange pas de baiser dans un lieux publique, je pensais bien qu'il serait mieux de monter à l'étage. On ne serait pas déranger. C'est pourquoi, je la relâchais avant d'attraper sa main et en l'entraînant dans l'escalier en colimaçon qui menait aux chambres de l'hôtel.
Avec mon oreillette, je joignis mon hacker." Ouvre moi la 412. " ordonnais-je froidement, impassible, tendis que nous grimpions quelques marches. Au passage, je repérai un chariot blanc et luxueux fourni d'une bouteille de champagne baignant dans un seau de glaçon et d'autres choses aux étages inférieur. Ne me contentant pas uniquement de la bouteille, je dérobais carrément le chariot. De toute façon le couloir était désert. Et puis, le client est roi n'est-ce pas ? Un léger sourire m'échappa à cette pensée. Nous arrivions, quelques mètres plus loin, devant la chambre que j'avais demandé. J'ouvris sans même à avoir à passer une carte. Un sourire satisfait prit place sur mes lèvres. Je refermais alors la porte, en la claquant fermement, derrière nous. Je poussais le chariot avec assez de force pour qu'il vienne se déposer dans la chambre, à une dizaine de mètre. Mon regard sombre de pervers – en harmonie totale avec mon sourire - retrouva le sien de même que que mon corps bestial rejoignit de nouveau celui de la jeune inconnue qui se retrouva plaqué vigoureusement contre la porte dure. Chacun de mes mouvements était parfaitement dosé pour répondre et attaquer le sien avec une ardeur démentielle. Mes mains fourragèrent dans son abondante chevelure brune, jusqu'à la racine, que j'avais violemment envie de tirer en arrière. Mon regard dure croisa le sien. Cette femme me donnait envie de lui faire mal, c'était incontrôlable. Cependant, je me domptais. Mes dents vinrent jouer sur sa nuque que je mordais plus que je ne l'embrassais. J'avais tellement de désir pour elle.
Descendant mes mains brûlantes sur les coutures de son décolleté, je lui arrachais sa robe noire dans toute sa longueur. Mon regard était d'une dureté sans failles dans le sien... Cette chambre n'était pas n'importe laquelle... C'était celle dans laquelle j'avais installé tous mes jouets de dépravé sexuel... Je sentais que j'allais bien m'amuser... Un sourire m'échappa à cette pensée. J'entraînais alors la délicieuse inconnue dans la chambre. La ramenant vers moi pour mieux la pousser violemment contre la baie vitrée glacé par la nuit. Sans la quitter de mon regard j'enlevais mes chaussure, l'une après l'autre, puis je me défaisais de ma chemise lentement que je jetais sur une chaise tout en m'approchant d'elle, j'attrapais alors son visage solidement de mes mains. J'avais tant envie de la cogner contre la vitre. Contrôlant ses pulsions violentes sous du désir ardent lorsque mes lèvres capturaient les siennes tel un fauve sur sa proix, mon corps se faisait demandeur contre le sien. Mon coeur battait à tout rompre. Mes mains emprisonnant les siennes au-dessus de sa tête tendis que mon regard ne dérivait pas du sien. Je respirai difficilement et je savais pourquoi. Je voulais lui faire tant de chose dégradantes et pourtant je restais dans la retenue. Cela n'était pas bon. Lorsque j'allais laisser apparaître qui j'étais, tout serait décuplé. Un meuble IKEA à proximité, je tirai un des tiroirs pour en sortir un baillon. Je retournais alors la jeune femme face à la baie vitrée. Lui attachant solidement le baillon dans la bouche pour l'empêcher de hurler. Ou du moins qu'on l'entende hurler. " Est-ce qu'il te sert assez ? Hoche la tête pour répondre. " la questionnais-je avant de la retourner vers moi, vivement. Elle portait toujours son masque. Bien que je trouve cela excitant, ce n'était pas pratique, c'est donc pourquoi je lui enlevais alors - bien qu'elle, ne puisse toujours pas voir l'intégralité de mes traits - et je découvris son visage.
De près, elle était bien plus désirable. Elle avait un visage terriblement innocent. Ce qui la rendait d'autant plus séduisante et attirante. Je retenais mon envie de la gifler. Je détestais cela. Cette puissance qu'elle avait sur moi. Mon corps était comme soumis au gré sien. Par un de ses regard, mon excitation pouvait monter ou descendre. C'était intolérable. Comme pour me venger, je portais la jeune femme sur le meuble en bois brute, brutalement. Attirant ses jambes solidement autour de ma taille, embrassant sa nuque pour la distraire. J'allais me la jouer grand sadique, tester ses limites. J'attrapais alors la bouteille de champagne dans le seaux plein de glaçons qui reposait sur le chariot. Regardant avec une certaines perversion - qu'on retrouvait dans mon sourire - la belle inconnue, je m'écartais un instant pour casser violemment la bouteille de champagne contre le meuble, juste entre ses jambes à vrai dire. Elle pouvait toujours se reculer le plus possible pour éviter l'impact des éclats de verre, mais de toute façon, sa culotte protégeait son intimité ... Enfin, espérons le... Ce qui était sur, c'est que ses cuisses, elles, n'étaient pas protégées. Mon regard se fit d'une noirceur jouissive dans le sien, tendis que je déversais, en de grands jets, le champagne sur sa poitrine et son visage, sans oublier ses cuisses... Tout le monde sait combien l'alcool sur une plaie fait du bien... Un sourire sadique s'était dessiné sur mes lèvres alors que je balançais la bouteille derrière moi et que mon regard pénétrait toujours le sien. Je me sentais bien mieux ainsi, je respirais parfaitement. Prit d'une ardeur nouvelle, j'embrassais sa poitrine que je massais aussi de mes mains. Puis je descendais le long de son corps alcoolisé que je trouvais diablement savoureux. Mes mains, dans son dos, avaient détaché son soutient-gorge que je lançais sur une chaise à proximité.
A genoux devant elle, ma langue, attentionnée, remonta lentement sur ses cuisses ensanglantées, me délectant de cette incomparable saveur. Je sentais mon excitation monter. Prit par cette envie en puissance qui se manifestait, je desserai son bâillon, le laissant retomber autour de son cou, sans la quitter de mon regard. Je portais mes mains à son visage pour mêler sa langue à la mienne dans un baiser d'une profondeur intense et salvatrice pour qu'elle puisse goûter son propre sang, c'était complètement tordu et pourtant, il n'y avait rien de plus intense. Je plaquais son corps contre le mien le temps assez long de l'échange. Comme quoi, je sais me montrer partageur. Alors que je mis fin au baiser, je remarquais qu' elle avait du sang sur ces lèvres... et pour moi, c'était ce qui rendait une femme profondément attirante. " Allons, tu en met partout. " énonçais-je sur un ton de reproche, avec un sourire certainement pas venu du Paradis et un regard toujours aussi noir dans le sien. Malgré le jeu qu'on y lisait. Je relevais brutalement son menton de ma main, pour mieux approcher mes lèvres de son oreille. " Il va falloir vous punir. " affirmais-je dans un murmure dure, froid avant de me placer bien face à elle et d' arracher sa culotte, d'un coup sec et d'une main adroite surtout, prêt à passer aux choses sérieuses. Mon sourire si sombre ne quittait plus mes lèvres. Elle était dans la maison du fauve, une cage dont elle ne sortirait peut-être pas vivante. Et elle ne le savait même pas. De plus, nous étions dans une chambre de torture. Elle pouvait observer les fouets, les cravaches, les sangles en cuire, les cordes, les chaînes... qui trainaient sur les murs. Peut-être tenterait-elle une esquive ? Ce n'est pas tout le monde qui aime ce genre de jeux.
electric bird.
Contenu sponsorisé
(#)Sujet: Re: Smells like teen spirit. feat. Bambi |