Who's the boss? (Geane&Sebastian)

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Who's the boss?

Geane & Sebastian

Je ne sais pas pourquoi mais attendre la réponse de Geane me tuait vraiment. Je ne savais vraiment pas ce qu'elle pensait de tout ça et je pense que ça me faisait un peu peur au final. En même temps je venais de lui dire calmement que j'avais tué un mec. Je ne l'avais pas tué tout seul et je ne l'avais pas non plus tabassé! Hayden avait presque tout fait! Mais ça... Elle ne le saura jamais.

- Donc tu serais prêt à tuer quelqu’un d’autre.. ? Écoute Seb.. Le prend surtout pas mal mais je crois que.. Tu devrais te faire soigner.. Tu as un sérieux problème.. Je l’avais regardé en faisant une petite moue inquiète. Je n’avais pas tourné autour du pot, comme d’habitude j’avais été direct et après réflexion, je me disais que j’aurai peut-être pu m’exprimer autrement. Je serai là Seb, je t’aiderai mais il faut vraiment que tu fasses quelques choses.

Outch! Sa réponse venait de me foudroyer. J'avais donc reculé et je m'étais diriger vers la fenêtre pour regarder à l'extérieur. Normalement, sa réponse aurait dû me mettre en colère, mais le fait qu'elle ait un peu raison faisait en sorte que je n'haussa pas la voix.

- Si tu me dis ça c'est que tu ne me comprends vraiment pas! Je n'ai pas dit que j'allais tuer quelqu'un d'autre, j'ai dis que si je retournais dans le passé, je ne changerai pas ce que j'ai fait! Si tu penses que je dois me faire soigner... D'accord! Mais je n'irai pas me faire soigner! Je ne suis pas malade!

Après tout c'était sûrement vrai qu'il me manquait quelque chose au cerveau. Je ne contrôlais pas mes excès de colère et j'avais tendance à jouer les sans cœur. Ce n'était pas étonnant qu'elle pense que j'étais cinglé. Je continuai à regarder la pluie tomber quand je me décidai d'aller chercher mon téléphone dans ma poche... Seulement, j'avais dû le laisser trainer dans ma voiture. Il n'y était pas. Partir était mieux, elle ne voudrait pas rester avec moi si elle avait peur de ce que j'étais capable de faire.

- Je vais réveiller Antoine pour qu'il vienne me chercher! Donne-moi ton téléphone!

Je lui avais ordonné parce que de toute façon, ça ne me donnait à rien de rester là... J'aurais dû suivre ma première idée et repartir dans la direction opposée. La réalité c'est que j'étais vexé! En fait, je n'avais jamais été bien pour elle, il fallait juste que je l'accepte. Je m'étais alors avancé vers Geane pour qu'elle me donne son téléphone sans la regarder en face. Je n'avais dit aucun mot sur le fait qu'elle eut l'audace de me blesser avec cette bouteille l'autre jour et je n'allais pas le faire non plus parce que ça, j'étais capable de comprendre!

- Juste une dernière question! Pour ton frère, s'il lui arrivait sensiblement la même chose... Qu'est-ce que tu aurais fait?

Parce qu'elle m'avait attaqué sans savoir si j'avais vraiment tué son frère et j'imaginais mal voir Geane rester calme face à un fils de pute qui s'en prend à lui. Qu'elle me dise pas comme connerie qu'elle aurait attendu que la police s'occupe de lui. NON! C'était trop facile. Cette question, je tenais à ce qu'elle y réponde et je voulais qu'elle dise la vérité. Mon regard rejoint le sien et je vis ses sourcils se soulever de surprise... Parce que c'était trop facile de me juger sans comprendre!!!! Pourtant, j'aurais cru qu'elle aurait été la première à comprendre.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

A ma plus grande surprise, il ne s’était pas énervé, il avait même gardé son calme bien qu’on sentait tout de même une pointe d’amertume dans sa voix lorsqu’il me répondit. « Si tu me dis ça c'est que tu ne me comprends vraiment pas! Je n'ai pas dit que j'allais tuer quelqu'un d'autre, j'ai dis que si je retournais dans le passé, je ne changerai pas ce que j'ai fait! Si tu penses que je dois me faire soigner... D'accord! Mais je n'irai pas me faire soigner! Je ne suis pas malade! » Il avait rejoint la fenêtre pour regarder la pluie tombée tandis que j’étais restée à ma place, plutôt embarrassée. Non Seb écoute, je ne fais pas allusion qu’à ça. Souviens toi dans quel état tu as mis Madison alors qu’elle ne t’avait rien demandé.. Toutes ces fois où mon cou est passé entre tes mains.. Et je suis certaine que je ne sais pas tout. Tu sais aussi bien que moi que ça ne peut pas durer.. Un jour tu perdras totalement le contrôle de la situation et c’est moi qui finira dans un boisé. Seb.. Si je te dis ça c’est pour toi ! Je ne veux pas que tu ais de soucis à cause de tout ça. Je m’étais levée, prête à le rejoindre vers la fenêtre quand il fit demi-tour en tapotant ses poches. Il se retrouva alors face à moi et ordonna. « Je vais réveiller Antoine pour qu'il vienne me chercher! Donne-moi ton téléphone! » J’avais alors secoué la tête négativement, ce dernier évitait maintenant mon regard et je dirais que je n’aimais pas ça. Non, j’ai encore des choses à te dire. Ce dernier tourna enfin son visage vers moi et me questionna. « Juste une dernière question! Pour ton frère, s'il lui arrivait sensiblement la même chose... Qu'est-ce que tu aurais fait? » Je l’avais regardé d’une manière plutôt surprise, je savais qu’il faisait allusion au jour de mon retour, quand nous avions finis chez lui et que Nightmare m’avait raconté que Sebastian avait tué mon frère. Je m’étais littéralement jeté sur lui et je dois dire que si le jeune homme n’avait pas réussit à prendre le dessus, il n’y aurait certainement plus de Sebastian McKay en ville. Mes yeux s’étaient baissés, c’était vraiment dur de le regarder alors qu’il venait de toucher un point sensible, cependant, je ne me dégonflai pas et dirigeai mon regard vers le sien, c’était le moment ou jamais. Bon ok.. Écoute-moi bien parce que je ne te le répéterai pas deux fois. Je suis désolée.. Je suis désolée d’avoir cru que tu avais tué mon frère et de ne pas t’avoir cru lorsque que tu m’as affirmé que tu n’avais rien fais, je suis désolée de m’en être prise physiquement à toi et je suis surtout désolée d’avoir parlé de ta mère. C’était bas et lâche, je le sais. Et puis.. Je te remercie de me l’avoir ramener.. Peu importe que tu l’ais fais pour ton intérêt ou pour mon propre plaisir, je m’en fou et je ne veux pas le savoir. Je te remercie, c’est tout. Contrairement à d’habitude, nous avions su garder notre calme, nos voix ne s’étaient pas élevées même si les mots restaient tout de même blessants. Je m’étais donc rapproché du jeune homme pour glisser l’une de mes mains à sa joue pour la caresser sans le quitter des yeux. L’air mystérieux qu’il se donnait m’avait terriblement manqué et le fait d’être proche de lui aussi.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

Le fait de me faire traiter de malade mental par Geane montrait à quel point elle en avait rien a foutre de moi. C'est pourquoi je voulais partir au plus vite d'ici. Je n'avais pas l'intention de me faire soigner parce que je n'étais pas malade! J'allais très bien et le type que j'avais tué le méritait tout simplement.

Non Seb écoute, je ne fais pas allusion qu’à ça. Souviens toi dans quel état tu as mis Madison alors qu’elle ne t’avait rien demandé.. Toutes ces fois où mon cou est passé entre tes mains.. Et je suis certaine que je ne sais pas tout. Tu sais aussi bien que moi que ça ne peut pas durer.. Un jour tu perdras totalement le contrôle de la situation et c’est moi qui finira dans un boisé. Seb.. Si je te dis ça c’est pour toi ! Je ne veux pas que tu ais de soucis à cause de tout ça.

J'avais étiré mes lèvres un instant avant d'analyser vraiment ce qu'elle venait de me dire. Je devais avouer que pour Madison, j'avais dépasser toutes les limites, mais je croyais qu'elle avait tenté de me tuer. Pour mes mains autour de son cou... Je n'avais jamais été si brutal non?

- Tu crois que tu finiras dans un boisé... À cause de moi?

J'étais vraiment surpris. Je n'avais aucunement envie de blesser Geane même si je l'avais laissé présager plus tôt. C'est pourquoi il fallait que je sorte rapidement d'ici. Finalement, Geane n'était pas comme je le pensais. Elle me croyait fou et prêt à la tuer! Finalement, elle n'était sans doute pas en sécurité avec moi. C'est pourquoi je lui demanda de me donner son téléphone, mais elle refusa aussitôt parce qu'elle avait des choses à me dire. J'avais soupiré parce qu'elle jouait sans doute avec le feu en me gardant encore plus longtemps ici. Cependant, je lui posai la question inverse, si ça avait été son frère qui avait été presque tué, comment elle aurait réagit... Je vis alors que j'avais marqué un point, parce qu'elle me croyait peut-être fou, mais je l'avais été pour ma soeur... Et j'étais prêt à gager tout ce que j'avais qu'elle aurait fait la même chose pour Kenneth.

Bon ok.. Écoute-moi bien parce que je ne te le répéterai pas deux fois. Je suis désolée.. Je suis désolée d’avoir cru que tu avais tué mon frère et de ne pas t’avoir cru lorsque que tu m’as affirmé que tu n’avais rien fais, je suis désolée de m’en être prise physiquement à toi et je suis surtout désolée d’avoir parlé de ta mère. C’était bas et lâche, je le sais. Et puis.. Je te remercie de me l’avoir ramener.. Peu importe que tu l’ais fais pour ton intérêt ou pour mon propre plaisir, je m’en fou et je ne veux pas le savoir. Je te remercie, c’est tout.

- Enfin!

Geane s'était rapprochée pour me toucher la joue et je mis ma main aussitôt sur la sienne tout en fermant les yeux sur ce geste si simple mais si évocateur. Ce qu'elle venait de dire était libérateur et apaisant pour mes pensées. J'émis un petit sourire en coin, elle venait de dire ce que je voulais entendre depuis un bon moment. Elle n'avait peut-être pas répondu à ma question, mais je m'en foutais bien. Mes lèvres se posèrent aussitôt sur les siennes provocant instantanément un fort désir. Je savais qu'aller chercher son frère l'avait touché, je savais que j'avais raison de le faire... Si je l'avais fait c'était pour Geane pour qu'elle se trompait sur moi. Mes mains se tenaient sur chacune de ses joues et je l’embrassais de plus en plus fort. Puis, elles allèrent trouver son corps sous son t-shirt et nous reculâmes vers son lit tout en continuant cet échange de baisers enflammés.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

« Tu crois que tu finiras dans un boisé... À cause de moi? » M’avait-il demandé alors que je lui avais fais comprendre que son problème était important. J’en sais rien, tout peut arriver.. Soufflais-je avant qu’il ne se retourne pour me demander mon téléphone. J’avais refusé, je ne voulais pas qu’il parte, pas maintenant. Il voulait fuir, mais je savais que si je l’en empêchais, il resterait. Il était donc resté debout face à moi, et il m’avait questionné par rapport à mon frère, savoir ce que j’aurai fais si j’avais été à sa place et à vrai dire, ça avait déjà été le cas puisque je n’avais pas réfléchie une minute pour me jeter sur l’auteur présumé. C’est pourquoi, au lieu de répondre à sa question, je m’étais tout simplement excusée pour tout ce qui s’était passé. Je ne voulais pas débattre quinze ans là-dessus. Je voulais simplement qu’il les accepte et qu’on arrête d’en parler puisqu’évidement je n’étais pas vraiment fière de ce qui s’était passée. « Enfin ! » Lança-t-il comme s’il était soulagé que je me sois enfin excusée. J’avais alors fais un petit sourire avant de glisser ma main sur sa joue. Ce dernier avait fermé les yeux avant de poser sa main sur la mienne comme s’il profitait de l’instant. Et il avait même souris, ce qui me fit chaud au cœur. J’aimais le voir sourire et davantage quand j’en étais la cause. Puis lorsqu’il posa ses lèvres sur les miennes, ce fut immédiat, cette sensation de bien-être m’envahissait. Ses mains avaient prit place sur mes joues et il rendait le baiser plus intense au fur et à mesure du temps. Mes yeux étaient désormais clos et je glissai doucement ma langue sur ses lèvres comme pour lui demandé l’autorisation d’accédé à la sienne pour se lancer dans une danse endiablée. Ses mains étaient ensuite passées sous mon t-shirt alors que les miennes se promenaient déjà sur son torse nu. Il ne portait que son boxer pour mon grand plaisir et je savais déjà que je l’excitais en sentant son sexe durcir tout doucement contre mon bas ventre. J’avais descendu ma main sur son sexe afin de l’inciter à gonfler un peu plus et ce dernier profita de cet instant pour me retirer mon haut, laissant alors ma poitrine se dévoiler entièrement. Il prit le temps de m’observer plusieurs instants avant de me pousser sur le lit. Un frisson s’empara de moi, j’étais déjà excitée, j’attendais ce moment depuis plusieurs mois maintenant, et j’étais sûre de vivre l’extase dans quelques instants. Puis il me rejoignit sur le lit et se pencha sur moi pour m’embrasser. Je m’étais alors redresser afin de pouvoir l’attraper par la nuque et ainsi l’embrasser langoureusement. Il s’était installé entre mes jambes afin de pouvoir avoir accès à mes lèvres plus facilement et j’avais légèrement tourné la tête pour avoir accès à son oreille et lui susurrer quelques mots. Tu sais.. Soufflai-je en sentant ses lèvres dans mon cou. Ce n’est pas parce que je n’approuve pas tes choix.. Que je ne tiens pas à toi.. Assurai-je en attrapant son lobe d’oreille entre mes lèvres et ainsi lui décrocher un petit grognement. Je profitai de cet instant pour lui faire cette confidence, sachant très bien que je pourrais utiliser l’excuse de la baise au cas où il oserait en reparler un jour. Mes lèvres reprirent leur position initiale sur celle du jeune homme avant de finalement donner un coup de bassin assez puissant pour me retrouver sur lui à mon tour. Je lui avais pris les mains afin d’entremêler ses doigts aux miens et les coincer sur les côtés de son visage tandis que je me déhanchais de manière affreusement lente contre son sexe. Alors.. Demandai-je en me penchant pour déposer quelques baisers au niveau de son sternum. Qui domine aujourd’hui ? J’avais dis ça de manière mi-sadique, mi-maligne. Un léger sourire coquin s’était dessiné au coin de mes lèvres et j’étais impatiente de voir la suite.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

Le fait que Geane reconnaisse qu'elle avait tort me faisait sourire, parce que c'est tout ce que j'attendais d'elle. Elle s'excusa de façon honnête et je savais que ça avait été difficile de me l'avouer. Je savais qu'elle regrettait le tout, qu'elle avait perdu le contrôle en ayant un message disant que j'avais tué son frère. Il suffisait qu'elle me dise tout ça pour que j'ose un contact physique! Je ne voulais plus partir... non... j'avais autre chose en tête. Mes mains soulevèrent son t-shirt pour le faire passer par-dessus sa tête pendant que ma bouche trouvait la sienne à maintes reprises... sentant ce désir extrême de la tête aux pieds. C'était comme une libération après tant de mois passés loin d'elle. Je me permis de la regarder un instant... elle était si parfaite! Elle avait le don de m'exciter. Sa main trouva mon sexe déjà bien réveillé pour faire grimpé mon envie d'elle. Mon rythme cardiaque s'était accéléré, le sentant cogner dans ma poitrine comme jamais. Je la poussai sur le lit pour la rejoindre rapidement, comme si je ne pouvais pas me défaire de son emprise. Elle m'empoigna la nuque pour parfaire ses baisers légers en les transformant en de vrais baisers brûlants. Une de mes mains tenait sa hanche tandis que l'autre me servait d'appoint. Il n'y a pas à dire on savait très bien comment tout ça allait se terminer.

Tu sais.. souffla-t-elle à mon oreille tandis que je l'embrassai dans le ou. Ce n’est pas parce que je n’approuve pas tes choix.. Que je ne tiens pas à toi..

Je pouvais sentir sa bouche enrober mon lobe d'oreille ce qui me fit frissonner immédiatement. Je pouvais sentir me le suçoter et je dois dire que ça me faisait perdre totalement le contrôle. C'est lorsque ses baisers retournèrent vers mon cou et mon torse que je lui répondis.

- Je suis un grand garçon, ne t'inquiète pas pour moi!

J'étais capable de me sortir de bien des situations et si elle pensait que j'étais malade, j'allais peut-être faire un effort pour trouver quelque chose... mais pour l'instant, je n'étais pas en mesure de réfléchir à tout ça. Ma bouche parcouru son corps avant de m'attaquer à son short et à sa petite culotte pour les faire disparaître. J'en profitai pour enlever mon boxer par la même occasion sentant chaque parcelle de la peau de Geane contre la mienne. Mon sexe frôlait doucement le sien avant qu'elle ne me prenne par surprise et me fasse renversé sur le dos. C'était elle à présent qui trônait sur moi. Ce que ça pouvait m'exciter cette façon d'être qu'elle avait.

Alors.. Qui domine aujourd’hui ?

Elle maintenait mes mains de chaque côté de mon visage et je ne pu qu'émettre un petit sourire parce que cette situation me plaisait et elle savait bien. Je n'avais pas l'intention de ma la jouer durement aujourd'hui, je voulais que vivre ce moment.

- Me voilà bien à ta merci! Disons que pour cette fois-ci tu as le dessus, mais ne que ça ne te surprenne pas que ton règne s'achève...

Elle agitait son bassin pour frôler mon sexe et je dois dire qu'elle me donna vite envie de réagir... de poser mes mains sur ses hanches pour qu'elle se glisse sur mon membre bien dur, mais elle m'avait pris mes mains. Peu importe, j'aimais le fait qu'elle trouve plaisant de me dominer de la sorte.

- Et si tu arrêtais d'être cruelle...

Parce que je fermais les yeux pour savourer chaque frôlement et je savais que je pouvais avoir droit à plus. Et je le voulais ce plus! Geane me lâcha les mains et s'installa sur ma verge pour mieux me chevaucher. C'était fou comme la sensation était bonne à chaque fois... mais là, je l'avais attendu longtemps. Je savourais chaque descente ou remontée de sa parte et je ne pouvais que participer en lui offrant les meilleurs coups de bassins. C'était bon de se retrouver de la sorte, en parfaite symbiose. Geane se redressa pour soulever sa chevelure, ce qui me permis de lui tenir les hanches tout en observant son corps. Il manquait un peu de profondeur, c'est pourquoi, je profitai de cet instant pour la soulever et la prendre par derrière pouvant ainsi serrer ses fesses à ma guise. Je pouvais à présent entendre gémir ma compagne et je dirais que ça me plaisait énormément. Puis, je la retournai sur le dos pour qu'elle me soit soumise à nouveau. J'haussai les sourcils bien que je ne suis pas sûr qu'elle pouvait me voir dans cette obscurité. Je pris alors ses mains pour les mettre aux dessus de sa tête...

- Alors... qui domine qui?

Ma main avait rejoint son intimité le temps que je reprenne du service parce que je n'allais pas bien tenir longtemps.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

Après avoir retiré mon haut et m’avoir observé un instant, Sebastian m’avait poussé sur le lit sans pour autant me lâcher. Ses lèvres étaient comme scellées aux miennes et je n’avais aucune envie de m’en détacher. Son corps contre le mien ne faisait qu’augmenter le désir que je pouvais avoir pour lui et d’après ce que je pouvais sentir, il en était de même de son côté. Lorsque je glissai mes lèvres à son oreille pour lui murmurer que je tenais à lui, ce dernier se contenta de me répondre qu’il ne fallait pas que je m’inquiète. Je ne savais pas comment je devais interpréter sa réponse mais je ne préférai pas m’y attarder afin de ne pas me changer les idées. Là je voulais simplement profiter de l’instant avec lui, chose que je n’avais pas fais depuis longtemps. Ma bouche avait attrapé le lobe de son oreille avant de le suçoter. Ce dernier en profita pour retirer mon short et ma petite culotte pour les lancer plus loin avant de finalement envoyé son boxer valser également. Sa peau contre la mienne me rendait littéralement dingue et ses lèvres ne suffisait plus, je voulais plus, beaucoup plus. C’est donc grâce à un coup de bassin que je m’étais retrouvé sur lui. Je lui avais pris ses mains pour les emprisonner dans les miennes et je faisais en sorte que nos sexes se frôlent. Je sentais les muscles du jeune homme se raidirent sous mon action, il voulait prendre le contrôle, faire en sorte qu’on arrive rapidement à ses fins. Mais il était hors de question et je l’avais nargué en lui montrant qui dominait à cet instant. « Me voilà bien à ta merci! Disons que pour cette fois-ci tu as le dessus, mais ne que ça ne te surprenne pas que ton règne s'achève... » Avait-il déclaré en me regardant. J’avais laissé échapper un rire, cependant voilà qu’il me supplia presque d’arrêter ce que je faisais. « Et si tu arrêtais d’être cruelle… » Mon sourire sadique prit le dessus, c’était plus fort que moi. Hm.. Pour ça, il faudra me supplier.. Lançai-je malicieusement tout en attrapant sa lèvre entre mes dents le temps de quelques secondes. Alors… ? Soufflai-je doucement en frôlant à peine ses lèvres. Ce dernier s’était avancé pour m’embrasser ou me mordre qui sait ? Mais je m’étais reculé. Il subirait ses effleurements tant qu’il n’aurait pas imploré mon bon vouloir. C’est après plusieurs minutes qu’il céda, j’avais lâché ses mains pour me placer sur son sexe et entamer quelques vas et viens. Sebastian participa également à la tâche tant bien que mal en donnant des coups de bassin au même rythme que les miens. C’était bon et c’était chaud, tout était parfait, nous ne formions plus qu’un. Il profita du fait que je replace mes cheveux dans mon dos pour empoigner mes hanches et changer de position en passant par derrière. Il en profita d’ailleurs pour m’attraper les fesses et les serrer dans ses mains. Quant à moi, je profitais un max, les sensations se ressentaient davantage dans cette position et je trouvais ça génial. Mes gémissements étaient de plus en plus forts bien que j’essayais de les étouffer dans mon oreiller afin d’éviter de réveiller Lily. Puis sans prévenir il me retourna une fois de plus afin de reprendre la position initiale, cette position de soumission qui ne plaisait pas tant au vu de mon placement mais qui m’étais tout de même très agréable. « Alors... qui domine qui? » Me demanda-t-il en serrant mes mains dans l’une des siennes au dessus de ma tête tandis que la seconde s’occupait de mon intimité. Seeeb ! C’est injuste ! T’as pas le droit ! M’écriais-je presque entre quelques gémissements. Noon.. Ce n’est pas du jeu ! Repris-je en me cambrant tout en essayant de me défaire de son emprise. Arrête je vais craquer ! Avais-je dis tout en contractant tous les membres de mon corps pour ne pas lâcher maintenant, mes dents mordaient violemment ma lèvre et mes yeux étaient fermés. Je voulais qu’il profite de l’instant de la même manière que moi, et surtout, je ne voulais pas craquer avant lui, c’était une question de fierté. J’avais donc enroulé mes jambes autour de ses hanches pour le rapprocher de moi un maximum et ce dernier n’eut pas d’autre choix que d’abandonner sa main et d’utiliser une nouvelle fois son sexe. Ca allait être rapide désormais, je n’allais plus tenir longtemps.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

Il y au moins une chose où l'on pouvait bien s'entendre, c'était se retrouver dans le même lit. Il y avait une telle chimie que tout semblait si facile et si fort. Le fait de reprendre le dessus à ce moment là me plaisait bien parce que dominer Geane c'était tout simplement jouissif. Le fait qu'elle me dise d'arrêter, qu'elle allait craquer était encore plus excitant. Une de mes mains en avait profiter pour se faufiler vers son entre-jambe pour lui procurer du plaisir tandis que l'autre lui tenait ses deux mains au dessus de sa tête. Elle était à ma merci! Puis, elle avait enroulé ses jambes autour de moi et je dirais que l'envie était trop forte, c'est pourquoi je lâchai les mains de Geane pour la pénétrer à nouveau de façon plus féroce. Les gémissements de Geane s'intensifièrent bien malgré elle tandis que je ne pu éviter qu'en émettre aussi. Le lit cogna quelque peu dans le mur et c'est dans cette lancé que nous pûmes atteindre l'orgasme en perdant complètement le contrôle de moi-même. Je me vidai en elle dans un râle intense de plaisir. Tous mes muscles s'étaient contractés d'un coup pour savourer ce moment de plaisir. Je m'étais ensuite retiré pour embrasser Geane de nouveau sur les lèvres et poser mon bras contre sa poitrine pour la serrer contre moi. Je pouv-ais sentir son coeur battre fort et surtout avoir chaud. Il fallait reprendre notre souffle après cette partie de jambes en l'air fort satisfaisante.

- C'est pour ça qu'il faut faire ça plus souvent!

J'étais peut-être pas son idéal d'homme parce que j'étais du genre impulsif et violent, mais pour ce qui était du sexe, je suis sûr que c'était ce qu'elle recherchait. Ma bouche glissa le long de son cou et termina sa route vers son épaule nue pour la serrer encore plus contre moi. Elle m'avait manqué plus que je ne pensais. Je pouvais sentir son parfum, il était tellement réconfortant. Je savais que la journée allait être bien difficile à passer vu l'heure qu'il était, mais je m'en moquais parce que là, c'était comme si le temps s'était arrêté et que plus rien autour n'existait.

- T'as pas idée l'effet que tu me fais!

Et à chaque fois c'était pareil. Je fermai les yeux contre elle, à vrai dire, j'étais épuisé.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

Sebastian avait abandonné son sexe pour jouer de la main, à mon plus grand désarroi. Il est vrai qu’il savait y faire aussi bien avec l’un qu’avec l’autre, mais le fait qu’il utilise ses doigts pour me faire du bien était un moyen pour lui de se reposer et de faire durer le plaisir de son côté. Sachant très bien que j’allais finir par craquer, j’avais enroulé mes jambes autour de lui pour l’inciter à reprendre l’utilisation de son sexe. Il avait donc retiré sa main et m’avait pénétré plus sauvagement, ce qui eu pour effet de m’extirper un long gémissement. J’étais libérer de son emprise, me permettant alors de me couvrir plus ou moins la bouche pour estomper les divers bruits que je pouvais faire. Cependant, même si les miens étaient étouffés, ceux de Sebastian mais également les cognements du lit eux, n’étaient pas vraiment discrets. Au bout de plusieurs minutes, nous atteignirent l’orgasme et c’est en sentant sa semence ce déverser en moi que l’épisode de l’hôpital me revint en mémoire. Seb.. Dis moi que t’as pas d’IST.. Lui soufflais-je, à bout de souffle, afin de me rassurer. Le jeune homme venait d’épuiser le peu d’énergie qu’il me restait, et je n’avais plus qu’une envie, dormir. Le beau brun se détacha de moi puis m’embrassa avant de s’installer à mes côtés, tandis que j’étais restait immobile, sur le dos, incapable de bouger. Puis je senti son bras se placer sur ma poitrine et finalement me tirer vers lui afin de m’enlacer. Mon cœur battait la chamade et je mourrais littéralement de chaud. J’étais maintenant face à lui, et nous nous regardions jusqu'à ce qu’il prenne la parole. « C'est pour ça qu'il faut faire ça plus souvent! » J’avais fais un petit sourire et lorsque le jeune homme glissa ses lèvres le long de mon cou jusqu’à mon épaule, je ne pu m’empêcher de sourire davantage en fermant les yeux. Mon bras vint enlacer sa taille tandis que ce dernier me serra encore plus contre lui. Nos fronts étaient collés tout comme nos corps et à vrai dire, je me sentais réellement bien. Il était ma définition du mot réconfort et bien plus encore. Je n’avais aucune envie qu’il quitte se lit, ou qu’il me quitte moi. Je voulais simplement que cet instant dur encore et toujours, que le temps s’arrête pour que je puisse profiter de ce moment de calme et de sérénité dans ses bras. « T'as pas idée l'effet que tu me fais! » Déclara-t-il en fermant les yeux doucement. Ah oui.. ? Et quel effet je te fais alors.. ? Demandai-je à moitié ensommeillée alors que mes doigts continuaient tout doucement à caresser le dos du jeune homme.

Emi Burton

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Geane & Sebastian

Après l'orgasme, Geane s'était empressé de me demander si je n'avais pas d'IST, c'était à la fois normal qu'elle me pose cette question, mais elle savait très bien que j'avais été soigné la dernière fois. Et j'avais fait attention par la suite avec les filles que j'avais ramené.

- T'en fais pas pour ça! dis-je le souffle court.

Je ne sais pas si je l'avais convaincue, mais peu importe, je ne pouvais pas lui dire autre chose de plus que la vérité. Je dois dire que cette baise que nous venions de vivre avait été énorme et là je dirais que j'étais complètement vider d'énergie. J'avais chaud, j'avais soif et pourtant, je ne voulais pas bouger d'un pouce de ce lit. Je préférais rester avec Geane, collés l'un contre l'autre et profiter de ce moment. Ça faisait longtemps que j'attendais ce moment et il était enfin arrivé, alors je n'allais pas m'éclipser en deux minutes.

. Ah oui.. ? Et quel effet je te fais alors.. ?

- Attends encore 1 minute et tu le sentiras bien vite!

Si ce n'était pas déjà le cas. Je souris parce que j'imagine qu'elle aurait voulu que je m'exprime autrement, mais je ne l'avais pas fait. Je souris tout en embrassant Geane à nouveau et je savais que maintenant nous allions sombrer dans le sommeil parce que je dirais que je n'avais plus de force pour rester les yeux ouverts. Nous étions déjà le matin et nous n'avions pas fermé l'oeil de la nuit. Nous nous endormîmes bien vite dans cette position. Ce n'est que vers 14h00 que je sentis Geane bouger, je dois dire que j'étais en train de crever de chaud c'est pourquoi je me décollai aussitôt pour me passer la main dans les cheveux et essayer de me remémorer la veille. Je savais que j'avais bu pas mal, qu'il avait plu, mais je ne me souvenais pas très bien comment Geane et moi avions pu couché ensemble vu l'animosité que nous avions l'un envers l'autre. Puis, elle se tourna pour ensuite ouvrir les yeux sur moi.

- Hey!

Je restai là où j'étais et j'en profitai pour m'étirer. On aurait dit qu'un camion m'était passé sur le corps. Puis, je me souviens alors de notre conversation et qu'elle me dise qu'elle était désolée pour ce qu'elle m'avait dit sur ma mère. C'est ce que j'attendais et je savais qu'après je m'étais empressé de l'embrasser pour finir au lit. Ça me fit sourire un instant de penser à tout ça, mais je ne savais pas trop à quoi ça rimait. J'avais eu ce que je voulais alors pourquoi je ne voulais pas partir.

- Tu vas me faire des crêpes?

Je m'empressai alors de me coller à elle pour la toucher à nouveau. C'était impossible que je ne lui touche pas à nouveau. J'étais constamment attiré vers elle, c'était incroyable.

Emi Burton

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Who's the boss?

Geane & Sebastian

J’étais désormais dans les bras du jeune homme, nous venions de terminer une baise enflammée et maintenant nous étions bien trop crevés pour faire quoi que ce soit. Il m’avait juste embrassé dans le cou en me spécifiant que je lui faisais de l’effet, et lorsque je lui demandai quel genre d’effet, ce dernier se contenta de me répondre. « Attends encore 1 minute et tu le sentiras bien vite! » J’avais fais une petite moue tandis que Sebastian avait approché son visage du mien pour m’embrasser une nouvelle fois. Mh.. T’es nul.. Soufflais-je en le regardant d’un air boudeur. Ce n’est pas du tout ce que j’attendais, je voulais simplement qu’il parle et qu’il m’explique quel effet je lui faisait quand il me voyait mais ils préféraient nettement les actes, rien de plus facile.. Je m’étais alors pencher à mon tour sur lui pour lui voler un baiser et finalement m’endormir dans ses bras comme un bébé, sans demander mon reste. Ce n’est que le lendemain dans les alentours de 14h que je commençai à me réveiller. Nous n’avions pas fermé les volets ce qui eu alors le don de m’éblouir lorsque j’ouvris les yeux, je m’étais alors immédiatement retourné en lâchant le jeune homme pour pouvoir émerger sans avoir le soleil en pleine face et lorsque ma vue fut plutôt accommodée à la lumière, je me retournai une secondes fois pour faire face au jeune homme. Hey.. Lâchais-je en le voyant entrain de s’étirer. « Hey ! » Me répondit-il en souriant. Bien dormis ? Demandai-je en le regardant, toujours allongée sur le ventre. Le jeune homme acquiesça puis se rapprocha de moi une nouvelle fois pour me prendre dans ses bras. « Tu vas me faire des crêpes? » me demanda-t-il en glissant ses mains sur moi. Seulement si tu les fais avec moi.. Lançai-je en posant ma tête sur son torse tandis que ce dernier restait allongé sur le dos. Il resta septique plusieurs secondes avant de finir par accepter sans pour autant me lâcher. Par contre.. Si tu veux manger, il va falloir me lâcher ! Déclarai-je d’un air amusé. Je me mis doucement à rire, avant de finalement l’embrasser furtivement et me lever pour enfiler le grand t-shirt gris que Sebastian avait vulgairement laissé tomber la veille. Il me va bien non ? Le questionnai-je d’un air malin avant d’enfiler une culotte. Sebastian n’avait toujours pas bougé, ce qui me fit soupirer. Je m’étais donc rapproché de lui pour lui tendre mes deux mains et le tirer pour qu’il se lève à son tour. Aller viens grand fou ! Lançais-je de manière amusée. Ce dernier se leva et enfila son boxer avant de me suivre dans la cuisine. Tu sais faire des crêpes ? Le questionnai-je tout à fait sérieuse. Ce mec avait tellement l’habitude de se faire servir que le fait qu’il ne sache pas cuisiner ne m’étonnerait pas.

Emi Burton

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