Situation d’urgence, j’avais besoin de quelqu’un de proche de Liséa pour me filer un coup de main. La question qui me trotter dans la tête était : est-ce que je fais une chambre pour le bébé et comment je la place. Cela me faisait chier depuis des jours alors j’avais trouvé la solution Aloy. Elle seule pouvait me venir en aide et je savais où la trouver.

J’avais pris la moto et me diriger vers le centre-ville je devais me dépêcher afin de pouvoir prendre ce que j’avais besoin sans que Liséa me pose des questions, car elle sait quand je lui cache des choses alors dire que je m’éclipse c’est assez difficile. Pour dire la vérité je sécher mes cours de violence afin de pouvoir préparer la maison, mais ça elle le saura que quand on vivre dedans. Elle me tuera deux fois plus, mais au moins elle saura que je ne faisais pas le con. Les feux faisaient chier, mais horriblement je devais trouver Aloy chez elle sinon j’étais dans la merde. Je ne pouvais pas l’appeler, car il se peut qu’elle soit avec Liséa et elle soupçonnerait des choses la connaissant ma peste d’amour. J’arrive non loin de chez elle et gare la moto. Je me dirige jusqu’à son loft, je me demande si sa coloc sera là, je n’espère pas, car ça la concerne pas de savoir l’aménagement de la chambre de mon bébé enfin si elle est là tant pis, ça fera un avis féminin en plus après tout. J’arrive à la porte et sonne, pitié qu’elle soit là sans Liséa. Vu que je savais où trainé ma peste d’amour. J’attendis qu’elle ouvre « Salut Aloy, j’espère que je te dérange, j’aurais besoin de te parler… » Je la regarde dans les yeux et vu que notre lien s’est rapproché avec l’idée de la maison, elle me laisse entrer : « y a rien de grave t’en fais pas, mais j’ai besoin d’un avis pour quelque chose, car je n’arrive pas à me décider. » Je fais quelque pas dans son entrée et la suivit : « En fait je ne sais pas comment je dois faire la chambre du bébé, je veux qu’elle lui plaise, mais je dois y mettre quoi dedans, quel peinture, quel type de meuble. L’avantage c’est que la chambre et relié à la nôtre donc on a juste à franchir une entrée et on y a accés. »

Je suis venu voir Aloy afin qu’elle puisse m’éclaircir sur une décision que je trouvais capital. Je ne voulais pas en parler avec Liséa, car au départ je voulais lui faire une surprise et je savais qui aller voir afin de pouvoir régler le problème. J’étais venu la voir en espérant qu’elle était seule. Et surtout je savais qu’elle me dirait ce qui allait être le mieux par rapport à Liséa. Elles se connaissent par cœur alors elle saura franche et direct avec moi pour ce qui me tracasse. Quand j’arrivai chez elle semblait un peu inquiéte de ma présence, mais je la rassure quand même, par contre elle ne semblait pas trop en forme. J’allais lui exposer mon soucie et après on s’occupera du sien.

Je lui expliquai donc que je voulais faire la chambre du bébé, ayant sa chambre collé à la nôtre et j’en avais fait exprès justement. Je n’arrivais pas à me décider de comment la faire précisément. Puis Aloy me sorti un truc auquel je n’avais pas pensé alors qu’elle s’assoit sur son canapé et m’y invite. Elle avait raison, je n’essayais pas de me mettre à la place de Liséa et voulait tout décider tout seul. Je fais l’égoïste en quelque sorte, elle m’expliqua sa façon de penser sur la question et je savais qu’elle avait raison : « tu as raison, Liséa voudrait pas que je fasse la chambre, elle voudrait qu’on la fasse ensemble comme des parents le feraient. » Je baisse la tête « c’est parce que je ne sais pas ce que sont des parents que j’agis comme ça, j’ai jamais connu ma mère et mon père j’en parle même pas. Merci Aloy d’avoir remis mes idées en place. Tu voudrais voir comment est la maison quand tu auras du temps libre ? J’espère ne pas avoir fait la même erreur pour la cuisine… » Je mets mes mains contre mon visage. Puis je la regarde « il t’ai arrivé quelque chose au genou dernièrement ? J’ai vu que tu avais du mal a poser le pied par terre. » On allait passer à elle maintenant, c’est bien beau de m’aider, mais elle doit en avoir marre de moi à force.

Je savais qu’Aloy serait une bonne conseillère par rapport à Liséa, elle la connait par cœur et depuis la grossesse nous nous sommes pas mal rapproché ce qui est une bonne chose en soi vu que Liséa est souvent avec elle. Alors je sais qu’elle la surveille par rapport à tout ça. Elle m’avait bien reçu comme souvent en ce moment afin de l’apport de l’aide qu’elle réalise envers moi. Je savais que cela devait beaucoup l’enquiquiner que je fasse appel à elle régulièrement par rapport à la maison. Sauf que je voulais que cela marche vraiment et qu’elle plaise à Liséa, alors la question de la chambre du bébé, il me fallait son avis alors elle était le bon personne. Elle a était franche direct en me disant que cela serait adorable, mais que cela pourrait blesser Liséa, car les femmes aiment faire la chambre à leurs manière. Je lui propose alors de venir la voir, après tout elle m’avait tant apporté, mais l’idée d’être un bon père était venu sur le tapis alors elle me reprit directement : « Oui je la connais trop bien à présent pour sa manie du contrôle, elle arrive même à obtenir ce qu’elle veut venant de moi. Des fois cela en est effrayant, pour le fait d’être un bon père on verra ça quand j’aurais ma chipie dans les bras. Elle propose d’y aller maintenant afin de voir, mais je remarque par rapport à sa jambe qu’elle semblait un peu boiteuse, elle m’explique qu’elle avait repris le patin, je ne savais pas ce côtés de sa vie et Liséa ne me parle pas vraiment de ses amis surtout de Aloy, je la découvre moi-même. Du coup je me lève et l’attrape par les épaule pour la ramener au niveau de son canapé « dans ce cas non, tu restes tranquille ici, repose ton genoux » Je la regarde « dis-moi plutôt où se trouve ta poche de glace afin d’en mettre sur ton genoux, il doit avoir besoin de ça pour que t’ai moins mal » Je me relève et me dirige vers sa cuisine afin de regarde dans le congélateur afin de trouver la glace et essaie de voir pour un sac congélation.

J’étais content de m’être autant rapproché d’Aly, étant la meilleure amie de Liséa cela faisait un plus j’ai envie de dire. je ne voulais pas connaitre son cercle d’amie, mais néanmoins connaitre Aly était un bonus. Ça me permettait d’avoir des conseils vis-à-vis de Liséa, mais aussi un point de vue féminin sur les choses dont je ne comprenais pas. Elle me taquina sur le fait que la femme portais la culottes, cela me fit sourire, car je savais qu’elle en plaisantait : « Je suis plus intéressé par les strings que les culottes, c’est plus sexy. Autrement, tu la connais alors des fois je cède sauf pour certaines choses. » Je me mets à sourire quand on parla de mon rôle de père, cela me faisait peur vu le connard que j’avais enfin selon Liséa et maintenant Aly, toutes deux croyaient en moi comme un bon père, mais nous verrons cela : « Oula oui ça risque de se produire, un papa gâteaux je risque d’être. Sans doute Liséa sera pire que moi et je serais le méchant qui cédera aux yeux de biche de ma chérie. Puis tu l’a pas vue quand on fait les magasins tous les deux. Elle achèterait tout si je l’écoutais… »

Elle voulut venir voir comment était là maison, depuis l’achat elle n’y avait pas mis les pieds et cela m’aurais plu qu’elle m’en donne son avis. Elle connaissait les gout de Liséa beaucoup mieux que moi, mais je remarqua sa difficulté a marcher. Du coup hors de question, je la fis rassoir tout en allant ensuite cherche de la glace pour son genou « Je compte faire ça la semaine prochaine, la cuisine est déjà aménagé et le reste aussi. je suis déjà en train de voir pour vendre le manoir et Alfred sera moins présent que ce qu’il ne l’était, mais il tient à rester à nos côtés, en fait je pense qu’il a hâte de la petite aussi… » Je m’approche d’elle et viens poser la glace sur son genoux, je m’assois non loin d’elle : « y a un autre truc que j’aimerais te demande… Liséa t’as déjà parlé de mariage par rapport a nous ? Je sais qu’elle n’est pas prête encore, mais… » je m’affale sur son canapé « je voudrais la demander en mariage sauf que la connaissant elle refusera par peur et crainte que je fasse ça a cause du bébé… »

Depuis un certain moment c’était agréable d’être aux côtés d’Aly, nous nous étions rapprochés et je n’hésitais pas à avoir son avis au sujet de Liséa. J’avoue que des fois je n’agissais pas vraiment comme un petit-ami ou alors je ne savais absolument pas quoi faire afin de pouvoir satisfaire Liséa. C’est dans ces moment-là que je me dis que maintenant je pouvais venir voir Aly et je savais qu’elle m’aiderait. J’avais réussi à l’empêcher de quitter l’appartement. J’avais bien remarqué qu’elle boité et que son genoux devait la faire souffrir alors hors de question de partir de l’appart.

J’avais posé de la glace sur son genoux alors que je m’assois sur le canapé avec elle. La maison était presque prête il manquait seulement des légers détails. Elle aussi semblait impatiente de voir la futur Campbell enfin peut-être que Liséa voudra y ajouter son nom. En parlant de nom je voulais l’avis d’Aly par rapport au mariage, car je savais que Liséa butera pour se décidé au vue de son passé et de la raison qu’elle pensera par rapport à ma demande. Aly me réconforta et finalement elle me dit de foncer que je ne devrais pas hésiter étant donné qu’on s’aime. Oui on est fou l’un de l’autres, le bébé n’était pas encore prévu aussi bien que le mariage, mais j’aimerais qu’elle porte le nom de sa fille et non pas qu’il y ait une sorte de différence. Je regarde Aly alors qu’elle était persuadé que cela se déroulerait bien enfin j’hésitais beaucoup aussi : « Tu crois que ça marcherait après ce qu’elle vécut… qu’elle serait prête à me dire oui qu’elle a franchi le pas pour Tyler ? Il est toujours présent dans son cœur, cela ne me dérange pas car, je sais qu’elle m’aime. J’hésite beaucoup et cela me ronge chaque jour de me dire qu’elle pourrait ne pas être prête de nouveau à porter le nom d’un autre. » Je me redresse sur le canapé et la regarde « je devrais attendre que la petite naisse sans doute afin qu’elle se rende compte que tout ceci n’est pas en lien avec l’arrivé du bébé mais, parce que l’on s’aime d’un amour puissant. »