(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive | Ven 24 Juil - 11:31
∞ When we like it is necessary to know how to forgive ∞
Bellamy. Frobisher . f t . Hannah. Mills.
Comment je pouvais devenir maman à vingt ans alors que j’apprenais tout doucement à devenir une femme. Je ne connaissais rien au monde des enfants, je n'avais jamais eu de petit-cousin ou de petite-cousine je n'avais jamais eu encore d'amie qui était tombé enceinte, j'étais donc dans l'ignorance la plus totale. Si ma mère avait été encore présente elle aurait pu tout m'apprendre tout m'expliquer et surtout me rassurer et me dire que tout allait bien se passer car même si Bellamy me le répétait encore et encore je n'étais pas dû rassurer, je n'avais jamais eu autant la trouille de toute ma vie et j'allais devoir affronter cela que je le veuille ou non. Un enfant en général il était préférable de le faire à deux et pour me part je me retrouvais seul car le père ne voulait pas en entendre parler du moins il espérait que cela ne sois pas vrai et je crois que dans le fond je l’espérais aussi pour moi et surtout parce que cette enfant aurait mérité une maman et un papa qui voulait véritablement de lui et pour nous ce n'était absolument pas le cas. On avait fait une erreur, une simple et maintenant on allait sans doute devoir en payer les conséquences pour le reste de notre vie.Je m'en voulais de penser comme cela, certaines femmes attendent toute leur vie pour avoir un enfant car elles sont dans incapacité d'en avoir un et moi je plains d’être peut-être enceinte alors que je ne l'avais absolument pas voulu une seule seconde. J'avais toujours été très prudente et la seule fois ou j'avais eu un seul moment d’inattention. Bellamy voulait m'aider il voulait être présent dans chaque moment de tout cela. Je crois qu'il s'en voulait de ne pas pouvoir être auprès de sa fille car je savais qu'elle lui manquait énormément et qu'il en souffrait. Lui aussi avait rejeté la faute sur la mère de sa fille quand elle lui avait annoncé qu'elle attendait un bébé, mais il avait réussi à surmonter sa colère et il l'aidait à présent et j’espérais que si j'attendais vraiment un bébé Wayne réagisse comme lui. Je ne voulais pas que cette enfant qui n'était déjà pas désirée se sente rejeter par un de ses parents, je voulais pouvoir lui offrir toute la stabilité que j'avais eue dans mon enfance. Mes parents avaient été les meilleurs parents du monde. Il m'avait chacun apporter tous les deux quelque chose , malgré leur difficile enfance je n'avais jamais manqué de rien et surtout pas d'amour et c'était une chose dont j'avais peur, oui j'avais peur de ne pas aimer mon bébé comme une mère était censée aimer son enfant. C'était un monde tout nouveau pour moi et j'allais y entrer malgré moi " Tu arrives toujours à trouver les mots pour me calmer et me rassurer sans toi je serais totalement perdu " dit je en lui souriant . Cet homme savait toujours trouver les mots pour me rassurer et me faire comprendre que tout allait bien se passer, et pour le coup je me sentais plus sereine. Il parlait à cœur ouvert, m'expliquant que je devais pas avoir peur qu'il me quitte et pour me part j'avais qu'il sache ce que je pensais de lui et que j'avais besoin de sa présence auprès de moi. J'avais besoin de savoir qu'on allait surmonter tout cela, je savais que pour lui c'était dur de savoir que sa petite copine allait avoir un enfant avec un autre homme et je m'en voulais tellement de lui faire du mal " Tu as raison notre histoire nous appartient je sais qu'on peut tout surmonter parce qu'on s'aime le reste ne devrais avoir aucune importance je suis d'accord avec toi " lui dit je en souriant alors qu'il me prenait dans ses bras.Le meilleur endroit du monde. On se mit par la suite en route pour rentrer chez moi, je le laissais conduire mais regrettais très vite mon choix je n'aimais pas du tout sa conduite " Je vais t’inscrire au permis de conduire tu vas finir par nous tuer un jour " dit je en plaisantant. En arrivant chez moi je me rendais de suite dans la cuisine pour commander une pizza, je n'avais pas envie de faire la cuisine et je n'avais pas grand appétit depuis quelques jours mais Bellamy devait sans doute avoir faim. Quelque seconde après je le retrouvais dans les salons, devant mon mur de photo. Ce mur représentait presque toute une vie. Je m'approchais de lui et lui confiais la gêne que je pouvais avoir, j'aurais dû en décrocher certaine depuis un long moment " On l'était " dit je simplement. Je mentirai jamais à Bellamy, je mettais un point d'honneur à toujours être honnête avec lui " Oui bb tu es mille fois plus beau " dit je en riant, il était important de toujours flatter l’ego d'un mec. Il s'approchait doucement de moi et me pris dans ses bras, notre dispute était derrière nous et cette soirée promettait d’être parfaite " Je n'est jamais aimé quelqu'un comme je t'aime Bellamy " dit je en déposant un long et tendre baiser sur ses lèvres, je ne pourrais jamais oublier ce qu'il venait de me dire et se représentais beaucoup pour moi. Quelques minutes après on sonnait à la porte, je payais le livreur et rapportais la pizza dans les salons et la déposais sur la petite table " J'ai une idée et si on prenait une douche tous les deux et ensuite on pourrait manger et regarder un film " dit je avec un grand sourire. Mon programme avait l'air de lui plaire, je lui prenais la main et me rendais avec lui dans la salle de bain qui se trouvait dans ma chambre. Je me retourne et ouvre le robinet de la douche. Sans réfléchir , je traverse la pièce et attrape son visage entre mes deux mains et je l'attire à moi. Nos bouches se pressent l'une contre l'autre. Ses mains s'enfoncent dans mes cheveux. Je l'embrasse plus fort, j'ai tellement besoin de le sentir contre moi. Plus rien n'existe autour de nous.
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(#)Sujet: Re: When we like it is necessary to know how to forgive | Mar 28 Juil - 1:11
hannah + bellamy
when we like, it's necessary to know how to forgive
Hannah me surprenait toujours. Cela faisait près de six mois que l'on se fréquentait et nous étions assez rapidement devenus inséparables. Au début, j'avais pensé qu'elle ferait partie de ce nombre incalculable de filles qui passent dans mon lit et repartent aussitôt, sans réussir une seule fois à pousser la porte de mon coeur. Je m'étais trompé. On s'était rapidement revus. Une fois, puis deux, et trois, et ainsi de suite… Je me disais que je voulais toujours la revoir parce que c'était un bon plan, mais j'avais vite du me rendre compte à l'évidence que c'était plus que ça. Que je l'aimais vraiment bien, et pas en tant qu'amie. De toute façon, ça n'a jamais été trop mon genre de faire copain-copain avec une fille. Cassidy doit être la seule. J'ai un peu trop tendance à coucher avec mes amies, en fait. Bref, nous nous étions beaucoup rapprochés au fil du temps. Forcément, au début, j'avais essayé de refouler tout ce que je pouvais ressentir à son égard. Je me disais que c'était des conneries, que je devais me reprendre, que c'était tout simplement pas possible. Et puis il s'est avéré qu'elle était dans la même situation que moi… Finalement, les choses se sont bien passées, même si ce fut compliqué et que d'ailleurs, ça l'était toujours un peu. Mais malgré tout ce temps passé ensemble et le fait que je commence à bien connaître Hannah, elle me surprenait toujours. Nous venions de passer au lac un super moment alors que nous y étions arrivés fâchés. Elle avait réussi à me pardonner mon comportement déplacé de la dernière fois et à me calmer, ce qui franchement était dur à faire. Je n'éprouvais plus une once de colère envers elle, à présent. Comment aurais-je pu ? J'étais dingue d'elle, je devais bien l'avouer désormais. Je crois bien que j'aurais tout pu lui pardonner, avec du temps. J'avais été franchement énervé par son comportement, car soyons honnête, même si j'avais dépassé les bornes, elle m'avait un peu cherché. Mais je n'y pensais plus. Tout ce qui comptait, à présent, c'était nous, et la façon dont elle allait gérer le bébé. J'allais être là pour elle. C'était certain. J'étais un garçon très entier et j'aurais fait n'importe quoi pour mes proches ou pour une personne que j'estimais digne de cela. J'aurais donné ma vie pour mes sœurs, pour ma mère, mais pour Hannah j'aurais fait bien plus encore. Je voulais juste qu'elle soit heureuse. J'avais envie qu'elle le soit à mes côtés. C'était la meilleure chose que je pouvais souhaiter.
Nous étions chez elle depuis un petit moment maintenant et nous étions plantés devant son mur de photo. La situation était assez cocasse. J'étais avec ma copine en train de regarder des photos d'elle et de son ex. Bizarrement, je n'éprouvais aucune colère. Rien. Ces photos venaient d'une époque passée et révolue. Hannah avait clairement était très heureuse avec Eliam. J'étais si différent de lui ! Il avait l'air gentil, doux, presque naïf. Physiquement, en tout cas, j'étais son opposé. Et j'imaginais que c'était pareil mentalement. Hannah m'en avait parlé, puisqu'il avait été son premier amour. Eliam avait tout gâché, et elle en avait beaucoup souffert. Comme on dit, la force d'un premier amour c'est d'ignorer qu'il puisse finir un jour... Le retour à la réalité fut dur pour Hannah. Elle n'aurait pas cru pouvoir aimer de nouveau après ce qu'il lui avait fait, et pourtant... ! Hannah et moi étions une combinaison improbable, deux êtres que personne n'aurait jamais mis ensemble. Je ne suis pas sûr, d'ailleurs, que ses parents aient approuvé notre relation s'ils étaient encore en vie. Nous n'étions pas du mal milieu social et puis, autant le dire, je n'avais rien d'un gendre idéal. Mais le fait était que nous nous aimions, et que rien ne pourrait changer cela, même si nous étions mal assortis. Je remarquais qu'elle et Eliam avaient l'air très heureux, et elle me le confirma. Cela se voyait. Ces photos étaient une petite dose de bonheur et je comprenais pourquoi elle ne voulait pas les jeter. Peut-être avait-elle peur de ne plus jamais retrouver cela avec quelqu'un d'autre. Je pris ensuite Hannah dans ma bras et lui avoua à quel point j'étais content d'être avec elle. Je n'étais pas romantique pour un sou et ça n'était vraiment pas mon genre de dire ce genre de choses. Mais je le pensais sincèrement et j'avais envie de lui dire. J'avais parfois peur qu'Hannah pense que je ne l'aimais pas autant qu'elle ne m'aimait. Je n'étais pas franchement expressif comme garçon. Je voyais que mes paroles la touchèrent. " Je n'est jamais aimé quelqu'un comme je t'aime Bellamy " Me dit-elle avant de m'embrasser. Je me demandais brièvement si elle n'avait pas déjà dit cela à Eliam ou si seulement c'était vrai, mais en tout cas, ses paroles me rendirent très heureux. Ça fait du bien, parfois, un peu de chaleur humaine dans ce monde d'abrutis.
Le livreur arriva ensuite, rompant ce joli moment. Hannah alla payer puis déposa les pizzas sur la table du salon. Elle eut ensuite une idée qui, ma foi, me semblait prometteuse. " J'ai une idée et si on prenait une douche tous les deux et ensuite on pourrait manger et regarder un film " Pensait-elle que je puisse dire non à une telle proposition ? « Je ne saurais dire non à une si belle demoiselle » plaisantai-je. Elle me prit la main et me guida jusqu'à la salle de bain. Entre temps, nous traversâmes une multitude de couloir et de pièces. Je croyais n'avoir jamais vu une aussi grande demeure. Vivre là-dedans devait être quelque chose d'incroyable. Peut-être qu'Hannah ne s'en rendait pas compte vu qu'elle avait grandi ici, mais moi qui n'avait connu que des bicoques ridiculement petites et surpeuplées, j'avais l'impression d'être dans un palais. Nous étions à peine rentré dans la salle de bain et j'étais encore en train de me demander combien mesurait ce gigantesque miroir (qui avait du couter un bras, sans aucun doute) quand Hannah m'attira vers elle et m'embrassa. Ce baiser n'avait rien à voir avec tous ceux que nous avions échangé précédemment. Il était beaucoup plus bestial, sauvage, et je dois dire, beaucoup plus sensuel. Était-ce le début des hostilités ou était-ce juste sa façon de me dire qu'elle m'aimait ? Aucune idée, mais ça me plaisait bien. Nous nous embrassâmes plus fort, nos lèvres dansant de plus en plus rapidement à chaque baiser. Il n'y a plus qu'elle. Mes mains descendent lentement le long de son dos, et je m'arrêtais à la cambrure de ses reins. Elles remontèrent ensuite, passèrent sous son tee-shirt. Je lui caressais désormais le dos. Je ne savais pas quelle serait sa réaction ; après tout elle était enceinte et parfois, les hormones donnent des réactions imprévisibles. Je lui ôtais son tee-shirt. Je ne regardais même pas la forme de son ventre. Je m'en fichais. Elle était belle de toute façon.
Emi Burton
When we like it is necessary to know how to forgive