All I WANT IS YOU! (Alexie&Sebastian)

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All I WANT IS YOUR LIPS ON MY DICK

Au Miami Beach Night Club, rien n’est fait à moitié! Tout y est pour plaire à tout le monde et qui sait chercher plus loin obtient également dans l’illégalité. Ça faisait quelques nuits que je n’étais pas allé à mon bar, mais je ne m’en faisais jamais avec ça.. Disons que je vivais à 100 000 à l’heure. J’avais traité avec la mafia la semaine dernière donc la réserve de cocaïne était pleine, donc les clients allaient être heureux. Je faisais affaire avec les mêmes personnes, il était rare de voir d’autres types débarquer de nulle part de toute façon, je faisais en sorte de bien cacher mon jeu. Après que mes clients soient passés me voir dans mon bureau, j’étais sorti pour aller au bar pour me prendre à boire. J’avais fait que lever le doigt qu’on savait déjà ce que je voulais et on ne perdait jamais de temps pour me servir. Je m’installai au tabouret pour discuter avec Lwis mon barman quand je vis plus loin une jolie rousse assise au bar dans une robe verte lui allant à ravir. Il n’y a pas à dire, elle semblait être convoitée, mais ne semblait pas être accompagnée. J’aimais les défis, j’aimais avoir les plus belles filles! J’avais une mauvaise réputation, mais je savais toujours comment m’y prendre pour plaire et pour attirer l’attention. Quand on a de l’argent, il n’y a pas de limite et j’ai toujours ce que je veux. Je fis signe à Lwis de me préparer un plateau de shooters… Je l’avais regardé pendant un instant et j’avais bien remarqué quel type de femme s’était… Pas de haute couture, de toute façon sa chevelure compensait amplement, ses lèvres me faisaient déjà rêvé elle ne buvait pas d’alcool bien sophistiqué. Quand mon plateau fut rempli, Je me déplaçai vers celle-ci tout en prenant soin de me frayer un passage à ses côtés pour faire même déguerpir le type à ses côtés.

- Bonsoir! Gracieuseté de la maison! Tu prends ce que tu veux ma belle!

Le type à côté vint pour prendre un shooter et je le repoussai aussitôt en faisant signe aux gars de la sécurité de le faire sortir. Non, mais il pouvait avoir des sangsues ici ce n’était pas croyable. La sécurité eut l’effet escompté et les types autour de la belle rouquines disparurent aussitôt. Je m’installai alors à ses côtés tout en prenant moi aussi un de ces shooters et j’allai trouver son verre pour le cogner et pour le boire d’une traite. Il n’y a pas à dire, cette fille était un vrai trésor à découvrir. Je pouvais voir la couleur de ses yeux, ses traits fins du visage et surtout ses lèvres…. Non mais c’était impossible d’en avoir des plus sensuelles. Je déposai ensuite mon verre sur le comptoir avant de me tourner vers elle de nouveau et de me présenter.

- Sebastian McKay! Et toi?

Je prenais toujours un gros risque en dévoilant mon nom de la sorte, mais je m’assumais à 100%. Même avec la réputation que j’avais, j’étais bien capable de me ramasser des filles. Elles étaient bien curieuses de découvrir ce que j’avais à leur offrir. Et puis, tout le monde aimait les bad boys!

- Tu recherches de la compagnie pour finir la soirée?

Je ne voulais pas non plus tourner autour du pot! Je voulais baiser et c’est elle que je ne voulais pas personne d’autre! Je lui proposais en même temps de se prendre un nouveau shooter, ils étaient là pour elle de toute façon. C’était ma façon de l’amadouer…. Bon… plutôt, ça avait été ma façon de l’aborder. Je regardai la jolie rousse en espérant qu’elle veule bien réaliser mon fantasme du moment.

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Je devais rejoindre des filles avec qui j’avais été à l’école dans cette boite de nuit. Je devais les attendre depuis une bonne dizaine de minute, seule au bar. On se disait souvent une heure mais c’était rarement respecté. Je ne leur en voulais pas. Ça me permettait de pouvoir prendre un verre tranquillement au bar. Du moins, tranquillement… c’était un grand mot puisqu’on vint m’aborder à quelques reprises. Après tout, une fille seule dans un club était comparable à un morceau de viande dans une enclot à lion. Je discutai avec quelques-uns qui me semblaient plus intéressant. Je me sentais comme un super marché. J’avais le choix et je me permettais. Je réalisais de plus en plus le pouvoir que je pouvais avoir sur les hommes et ça m’amusais bien dans un sens. Autrefois, j’avais été beaucoup trop centré pour avoir l’attention que d’un seul… et ça s’était avéré être un échec monumental. Ce n’était pas à refaire. Alors que je sirotais mon verre en bonne compagnie, un autre homme s’approcha de nous et boom, comme par magie… tout le monde disparu en un claquement de doigt. Il faut dire que la sécurité devait être pour quelque chose. Je regardai le nouvel arrivant de la tête aux pieds. Sa belle? Mais je n’étais pas sa belle mais il tenait de l’alcool gratuite avec lui, je n’allais pas refuser. Je ne pensais pas du tout au fait qu’il aurait pu y avoir une drogue quelconque à l’intérieur. Sebastian McKay était-il donc.

« Pas intéressée » étais-je à mon tour.

Je savais bien qu’il voulait connaitre mon prénom mais il allait devoir le mériter. Je repris mon verre dans mes mains et ma nouvelle compagnie décida de me poser une question. J’avais alors haussé les sourcils, ça avait le don d’être clair en tout cas.

« Peut-être bien, mais plusieurs viennent de quitter assez rapidement. C’est beaucoup se permettre que de les avoir tous fait déguerpir ainsi. Maintenant tu as toute mon attention… j’espère que tu sauras être en mesure de la garder. »

Je fronçai les sourcils en soutenant le regard de l’homme qui venait de se joindre à moi. Il avait beau ne pas être du tout mon genre, il m’avait intrigué et je devais bien admettre qu’il avait eu un culot monumental que d’avoir imposé sa présence ainsi auprès des autres hommes. Il ne semblait pas être le plus intéressant en plus, je ne voyais pas où il pouvait bien aller chercher toute cette confiance et son petit air supérieur. Je supposais que ça avait le don d’en émouvoir plus d’une. Pas moi en tout cas. Je pris un autre shooter que j’apportai à mes lèvres pour l’avaler d’un coup, grimaçant au passage.

« On saoule les femmes et on leur propose subtilement un semblant de réconfort, c’est ça? » Je tendis ma main en sa direction. « Moi c’est Alex… »

Pour ne pas dire mon prénom et mon nom complet, ce n’était pas nécessaire de toute façon.

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La jeune fille à la chevelure rousse était intéressante dans tous les sens du terme, en plus d'être sexy à souhait, elle avait une de ses façons de me répondre qui me plaisait vraiment. Elle faisait la fille indépendante, la fille non-intéressée par ma drague et pourtant, j'avais fait partir tous les mecs autour d'elle, c'était moi l'abeille qui voulait planter mon dard dans cette jolie fleur d'été. Elle voulait que je l'impressionne, elle allait être gâtée la petite. Le plateau de shooters semblait plus intéressant que moi, mais c'était pour l'instant parce que lorsque je lui demanda si elle cherchait de la compagnie pour finir la soirée, elle s'était soudainement présenter sous le nom d'Alex... Guère féminin comme prénom... Aucun rapport avec cette beauté sur pattes. Peu importe, cela me décrocha un petit sourire en coin, hoo que oui je voulais la prendre dans toutes les positions possible, lui faire mal et la faire crier de jouissance.

- Enchanté Alex! Et si je te disais que tu aimerais que je te donne toute l'attention possible si tu te retrouvais chez moi?

Je me permis de mettre ma main sur la sienne pour la flatter doucement tout en lui lançant mon regard plein d'envie. Je voulais la baiser, je voulais m'enfoncer en elle aussi profondément que possible!!! Déjà juste à y penser j'avais des sensations sous la ceinture. Je ne me faisais jamais autant insistant... bien que non, il m'arrivait de faire mon impatient comme je le faisais maintenant. J'avais le goût de sexe!!! J'avais le goût de me changer les idées, de ressentir quelque chose de puissant et j'y arrivais qu'en baisant. C'était tout ce que je faisais ces derniers temps. Je n'avais plus vraiment de défis, c'était toujours pareil, j'obtenais ce que je voulais peu importe les moyens. Je m'étais tapé des prostituées, des escort girls et j'en passe. Alex était ma cible principale et je n'allais pas en démordre. Bien entendu, elle semblait plus intéressée par mon alcool que par une partie de jambe en l'air.

- J'ai aussi de l'alcool chez moi si tu désires continuer à boire? J'ai même plus que ça à t'offrir et crois-moi tu n'auras jamais connu ça!

Je me faisais plus insistant, mais encore une fois, elle était têtue et semblait plutôt vouloir passer sa soirée avec une bouteille. BORDEL DU SEXE, c'était bien meilleur que de l'alcool. Je n'aimais pas me sentir comme ça, j'étais contrarié et elle avait commencé à m'énerver, c'est pourquoi j'y allais droit au but tout en me penchant vers son oreille.

- Je t'offre 1000 dollars si t'acceptes mon offre de me suivre jusqu'à chez moi pour qu'on s'amuse un peu!

Elle n'était pas une pute certes, mais bon, je la voyais comme ça! Toutes les femmes étaient des salopes! Aucune ne faisait exception!!! Elles n'étaient là que pour me satisfaire et c'est ce que je voulais qu'Alex fasse. Je voulais la baiser peu importe ce qu'elle en pense. Et si elle pensait qu'on allait s'amuser un peu, elle se trompait, j'allais prendre mon temps et j'allais prendre mon pied aussi. Si ellle me suivait, je n'hésiterais pas à monter le prix.

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« Et si je te dis que j’en ai rien à foutre de ton attention, tu réponds quoi? »

Parce que c’était bien la vérité. D’un autre côté, je trouvais qu’il dégageait quelque chose de fascinant. En dépit du nœud papillon, il avait un je-ne-sais-quoi de badboy… un truc dangereux qui m’attirait un peu mais non, il était pas du tout mon genre et il n’allait pas réussir à me ramener chez lui comme il voulait tant le faire. J’apportai un autre shooter à mes lèvres pour me changer les idées du fait qu’il me touchait la main. D’ailleurs, je retirai rapidement cette dernière. Son semblant d’affection n’allait pas me faire changer d’avis.

« Ouais c’est ça. T’es probablement comme les autres : un grand parleur et un petit faiseur »

Je lui fis un clin d’œil. J’étais pas du tout impressionné et j’avais juste beaucoup trop de mal à me sortir quelqu’un de la tête pour penser coucher avec n’importe qui comme ça. D’un autre côté, j’avais eu deux mecs depuis l’homme en question mais ce n’était pas pareil. Là… ce Sebastian me dégoutait plus qu’il ne m’attirait, encore plus avec la proposition indécente qu’il me fit à l’oreille. Je le regardai, choquée.

« J’ai l’air d’une pute peut-être? Non mais franchement! C’est quoi ça? Bonne soirée Sebastian. »

Non mais c’était n’importe quoi. J’avais tourné mon tabouret question de lui faire dos, encore bien insultée par son offre. Cet homme n’était clairement pas normal! Voir qu’il osait faire ce genre de proposition. J’apportai mon verre à mes lèvres en repensant à son montant. Bordel, avec l’argent qu’il me proposait, j’étais en mesure de payer d’un coup le loyer de l’appartement. Nous avions du retard dans les paiements et je recevais continuellement des appels de la banque. J’avais continuellement peur qu’on le saisisse. J’avais beaucoup de mal à m’imaginer cracher sur une telle somme d’argent. Je terminai mon verre d’un coup. Quand il disait qu’on allait s’amuser… il parlait peut-être de jeux de société? Ok, ce n’était clairement pas ça mais ça ne devait pas être si pire que ça non? Je n’avais pas couché avec des tonnes d’hommes mais un de plus, ça n’allait pas changer grand-chose, encore moins pour l’argent qu’il me proposait. Un débat éthique s’était dressé dans ma tête mais je chassais le tout bien loin pour me lever rapidement en attrapant mon sac à main. Je pouvais voir Sebastian marcher plus loin et je m’empressai pour aller à sa rencontre, le retenant par le bras pour qu’il se tourne vers moi. Je croisai son regard aussitôt et je fronçai alors les sourcils.

« 1200$ et je te suis. »

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Alex ne semblait pas ravie d’avoir ma compagnie, en effet, les shooters sur mon plateau l’intéressait, mais pour ce qui était l’homme et le sexe que j’étais prêt à lui offrir, non. Elle avait été curieuse pendant une fraction de seconde en me voyant, mais j’imagine que baiser n’était pas dans ses plans… Et je n’étais pas un petit faiseur… Si tu savais… J’avais pris le ton le plus sûr de moi pour faire en sorte qu'elle me suive et pourtant, elle n’avait pas cédé. C’était elle que je voulais pour la soirée… Je voulais mordre son joli petit cul. J’avais alors avancé mes lèvres de son oreille pour lui murmurer que j’étais prêt à lui offrir de l’argent et un assez gros montant. Elle avait aussitôt refuser en disant qu'elle n'était pas une pute! Elle était offusquée même de ma demande! Bon, j'aurais essayé.

- Tu ne sais pas ce que tu manques!

J’avais levé les mains en l’air parce que je ne voulais pas me faire trop insistant pour elle, de toute façon, j’allais me trouver une minette dans son genre et je n’allais pas avoir besoin de payer. Espèce de pute! Je l’avais délaissé et je lui avais quand même laissé le plateau de shooters. Je commençai à marcher parmi la foule, elle m’avait bien aiguisé les sens la vilaine. J’avais fait plusieurs pas dans mon bar quand je sentis quelqu’un me toucher, alors je m’étais retourné aussitôt. Tiens donc, aurait-elle changé d’avis? Elle négocia le prix à 1200$ Et je lui tendis alors le bras pour qu’elle me suive. C'était marché conclut! Je n'avais même pas hésité une seule seconde.

- Pas une pute hein?

Elle s’y était accroché en hésitant légèrement. Elle voulait du fric, alors j’allais lui en donner, mais elle allait devoir faire gros pour moi… Plus gros qu’une fille qui ne paie pas. Ho ma belle, tu ne sais pas ce qui t’attends parce que je vais faire plus que te baiser! Elle allait faire tout ce que j’allais lui demander parce que j’avais envie de jouer ce soir, j’avais envie d’y aller plus hard. Tout ceci venait de m’arracher un sourire, tout s’achète avec de l’argent. Je quittai donc le Club pour me rendre au stationnement et je montrai ma bagnole à Alex. Peu importe son indifférence de toute à l’heure, elle ne pouvait pas l’être devant une Lamborghini. Quoiqu’il en soit elle grimpa du côté passager et je m’installai derrière le volant. Elle était bien silencieuse la petite depuis qu’elle avait accepté. Avait-elle des regrets? Elle n’avait pas l’air d’une fille qui accepte de l’argent pour coucher et pourtant elle l’avait fait. J’imagine qu’elle avait des soucis financiers, la voilà la raison!!! Sinon, je ne voyais pas trop pourquoi elle aurait changé d’avis.

- J’ai très envie de toi!

Je m’imaginais déjà en train de la baiser, de la fouetter de lui donner des ordres, ça allait être jouissif. Nous roulâmes un bon moment avant d’arriver chez moi où la clôture s’ouvrit et j’allai mettre ma voiture au garage. Une fois chez moi je la fis entrer en premier pour qu’elle observe mon loft et je me dirigeai vers le bar pour me servir à boire et pour sortir ma cocaïne de mes poches pour en déposer sur mon petit plateau-miroir.

- T’as des limites? Je veux dire des trucs que tu ne veux pas faire?

Parce que j’étais prêt à augmenter le montant pour qu’elle cède à ce qu’elle n’avait pas envie de faire. Je voulais lui écarter les cuisses, la prendre comme je le voulais et je voulais aussi qu'elle prenne son pied bien que mon plaisir passait avant tout. Je ne sais pas quelles expériences sexuelles elle avait déjà eu, mais elle allait vivre sans doute une nouvelle aventure.

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Je n’étais pas une pute. Du moins, ce n’était pas comme ça je voulais me décrire. C’était bien la première fois que je faisais ça. Je ne répondis rien à son commentaire, préférant lui agripper finalement le bras pour sortir du club en même temps que lui. Je découvris à ce moment sa voiture hautement impressionnante. Je n’aimais pas une pro des voitures mais celle-ci était belle et semblait bien performante. J’entrai en même temps que le propriétaire du club dans cette dernière, bouclant ma ceinture en premier temps puis me tournai pour le regarder suite à ce qu’il m’avait lancé. Il avait envie de moi? On me l'avait déjà sortit... mais là c'était différent.

« C’est supposé m’émoustiller? »

Oui, j’étais arrogante mais c’était plus fort que moi. J’étais bien silencieuse dans la voiture pour la simple et bonne raison que je n’avais rien à lui dire. Je n’étais pas à l’aise et je continuais à me dire à moi-même que j’étais dégeulasse de faire ça. Que je n’avais plus de respect pour moi-même. Elle était où la petite fille sage qui avait attendu si longtemps avant d’avoir sa première fois? L’été dernier, je me faisais diverger et voilà que j’acceptais de l’argent pour me faire baiser par un parfait inconnu. À cette pensée, je fermai les yeux mais les ouvris bien rapidement en constatant que nous étions arrivés à destination. Je fus la première à mettre les pieds chez lui. C’était beau, il n’y avait pas à dire, très moderne aussi. Mon regard balayait l’endroit avant de regarder Sébastian qui sortait de la drogue de ses poches dans le but d’en consommer, bien évidement. Sa question eu le don de me surprenant, car je savais très clairement qu’il parlait de sexe. J’avais écarquillai les yeux sur le coup puis, fis mine de penser à des trucs totalement extrême que je ne voulais pas vivre. D’ailleurs, pourquoi est-ce qu’il me posait une telle question? Il comptait faire quoi de moi exactement? Ça me fichait un peu la trouille pour la peine et je me demandais encore plus ce que je pouvais bien foutre ici. Je devais me concentrer sur l’argent, sur rien d’autre. Je me répétais à moi-même ce que je ne serais pas prête de faire avec lui ce soir. Bien des choses, en commençant par coucher avec lui mais là… ça ne fonctionnait pas comme ça.

« Je veux rien dans les fesses. » Il haussa les sourcils et je secouai la tête. « C’est catégorique, non négociable. Je ne veux pas me faire sodomiser. Sinon, je ne veux pas qu’on m’étouffe non plus…»

Mais quelle conversation étrange mon dieu! Je le regardai se pencher vers son miroir, un billet d’argent maintenant roulé pour inspirer d’un coup la petite poudre blanche sur le miroir. J’avais souvent vu faire dans les films mais c’était la première fois que je voyais ça de mes propres yeux. Sébastian se redressa en se frottant le nez puis me tendit l’argent roulé, comme pour me proposer d’en faire. J’hésitai, puis m’approchai pour lui prendre des mains. Tant qu’à devoir vivre la pire nuit de ma vie, aussi bien ne pas être totalement moi. Je le regardai faire des lignes puis, je m’exécutai. Mes yeux se mirent à couler automatiquement et mon nez me démanger. Je lui redonnai son billet, ne sachant pas trop si je devais le remercier. Je n’ajoutai rien à tout ça, c’était probablement préférable.

« Je veux voir l’argent avant. »

Car je ne voulais pas me faire avoir. Je le regardai bien sérieusement puis, l’homme devant moi se leva pour me faire signe d’attendre. Il revint après quelques minutes à peine en me tendant une enveloppe que j’ouvris pour y voir des tonnes de billets. Mon dieu, je n’avais jamais posséder autant d’argent comptant. Je me penchai pour mettre dans l’enveloppe dans mon sac à main et lorsque je me redressai, Sébastian s’approcha de moi. Je compris que je ne pouvais plus reculer, qu’il avait déjà bien des idées derrière la tête pour nous deux.

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Toute personne avait ses limites dans le sexe et je ne voulais pas qu'Alex se sente menacée. Bien que ça m'excitait vraiment qu'elle ait peur. Elle avait fit mine de réfléchir quelques instants. Bordel, elle ne semblait pas avoir beaucoup d'expériences dans le domaine juste à la voir hésiter comme ça. Elle avait l'air de ne pas vraiment apprécier tout ça... La nouveauté fait peur, mais je suis sûre qu'elle allait y prendre goût... si elle coopérait. Je n'avais pas envie de me faire une minette qui allait me parler comme elle l'avait fait plus tôt.

- Pas de sodomie... Pas d'étouffement.... compris! Je tâcherai de m'en souvenir!

J'avais préparer ma cocaïne sur mon plateau pour ensuite en proposer à ma belle de la soirée. Elle n'avait pas refusé et avait tout pris dans le nez. Très bien ma jolie... maintenant je vais te baiser! Je me servis à nouveau pour ressentir cette sensation de bien-être... Une fois que cela fut fait, elle me demanda immédiatement pour l'argent.. J'avais donc sorti mon fric qu'il y avait derrière le bar et en détacha 1200$ dollars. ELle les fourra dans son sac et un sourire apparut sur mon visage... Cette pute était à moi et j'allais bien en profiter. Je bus mon whisky en entier pour ensuite lui demander de me suivre. Nous n'allions pas faire ça dans le salon quand même, non... j'avais une pièce dessinée entièrement pour me combler sexuellement. Nous arrivâmes dans une pièce de taille moyenne qui semblait vide. J'actionnai alors ma télécommande pour faire fermer la porte et ensuite je fis apparaître un lit et les mur s'ouvrir pour dévoiler des trésors pour faire jouir. J'allai m'installer sur le lit pour observer mon invitée sous cette belle lumière tamisée. Je me mordis la lèvre inférieure pour montrer mon intérêt à la voir se dénuder.

- Alors, on va faire simple ma belle... Tu ne m'appelleras pas Sebastian, ce sera Monsieur ou Maître. Tu vas faire exactement ce que je vais te demander de faire sans négociation ou sans protestation. Je te veux soumise et prête à réaliser tous mes désirs. Je paye, donc tu donnes pour le montant que je t'ai offert!

Elle me regarda d'un air de dégoût et je savais alors qu'elle ne s'était jamais imaginer que ça se passerait comme ça. Hé bien ma belle, voici le tordu que je suis.

- Je te veux vraie... sans cinéma ou bien si tu n'apprécies pas tu as sans doute un bon taux de tolérance alors avant de dire que tu ne veux pas, tu essayes. Je ne te mettrai pas dans les fesses et je ne t'étoufferai pas comme tu me l'as demandé. Si tu as quelque chose à ajouter à la liste des limites tu le fais maintenant! Sinon, je veux tout de suite que tu te déshabilles!

Juste à y penser ma queue tressaillait de joie. J'allais la baiser de bien des manières différentes et elle allait finir par apprécié peu importe ce que nous allions faire. Je m'étais alors relever pour aller chercher une cravache que j'avais bel et bien l'intention d'utiliser. Je me réinstallai sur le lit pour l'observer se déshabiller ou bien pour me dicter ces dernières limites à ne pas franchir. Je ne voulais pas son avis sur la chose, elle avait accepté mon fric, elle devait assumée et si elle le voulait vraiment, elle devait faire ce que je voulais et quand je le voulais, c'était moi le maître!

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« C’est compris. »

J’avais compris ce qu’il m’avait dit, mais je ne saisissais pas toujours sur quel espérant d’énergumène j’étais tombée. Il voulait que je l’appelle Maître ou Monsieur? C’était du grand n’importe quoi. J’avais limite l’impression de me retrouver dans 50 shades of Grey. En fait, je n’avais pas limite l’impression, j’avais tout à fait cette impression, surtout dans la pièce dans laquelle je me trouvais. Sauf que là… je n’avais pas le beau et séduisant PDG d’une compagnie de télécommunication. Et bien que j’aie lu les lèvres, le sado masochisme n’avait jamais été quelque chose qui m’intéressait vraiment. J’avais déjà utilisé des accessoires avec Nate, mais jamais rien d’aussi intense que ce que je voyais autour de moi. Je ne pouvais cacher mon dégout, ou ma peur… va savoir quelle émotion s’était emparée de mon visage. Sébastian me dicta ses dernières cosignes, je devais me pousser à bout, même si je n’aimais pas ça. Je n’aimais pas ça… mais j’avais l’argent et je ne voulais et pouvais plus reculer. Je n’ajoutai rien, le regardant plutôt tourner les talons pour revenir avec une cravache dans les mains et s’installer sur le lit. Mon dieu… qu’est-ce qu’il allait me faire? Ce dernier me regarda, comme dans l’attente que je lui répondre quelque chose.

« Je ne crois pas qu’il y ait d’autre chose à ajouter. »

Vite comme ça, je ne savais pas. Mais cet homme ne semblait pas être très bien dans sa tête donc il devait bien avoir en tête des idées assez intenses qui ne me ferait pas spécialement plaisir. J’osais espérer qu’il arrêterait si je lui demandais. Une partie de moi me disait que ça n’allait pas être le cas. Bref, je chassais mes tracas plus loin, il voulait que je me déshabille et c’est ce que j’allais faire. Plus vite on s’y mettait, plus vite ça serait terminer et je pourrais renter chez moi, non? Je regardai Sébastian s’installer sur le lit devant moi. Je pris une grande respiration en laissant l’air s’échapper bien graduellement entre mes lèvres. La drogue que j’avais prise plus tôt commençait à faire son effet et je commençais à prendre une confiance en moi que je n’aurais pas eu autrement. Je ramenai mes cheveux sur le côté en commençant à descendre la fermeture éclair sur le côté droit de ma robe. Je fis glisser les bretelles doucement le long de mes bras et fit tomber mon vêtement au sol, me retrouvant bien rapidement en sous-vêtement sous le regard bien alerte de Sébastian devant moi. Mes mains se posèrent dans mon dos et je répétai le même manège qu’avec ma robe, lui dévoilant ainsi ma poitrine et me retrouvant qu’en simple petite culotte. Je préférais largement quand j’avais de l’aide de l’autre pour retirer mes vêtements. Ça montrait une envie, un désir. Ça donnait moins l’impression d’être qu’un objet, bien que c’était ce que j’étais aux yeux de l’homme devant moi. Toujours en silence, je pris du bout de mes doigts l’élastique de ma petite culotte que je fis glisser le long de mes cuisses. J’étais maintenant nue, voilà. Pourquoi est-ce qu’il ne faisait pas la même chose? Je le voyais toujours bien assit en tenant sa cravache dans les mains. Je commençai à avancer quelque peu vers le lit.

« Vous allez me fouettez, monsieur? »

C’était une question, mais je connaissais bien la réponse.

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Je regardai la belle Alex se dévêtir peu à peu... Ce que je pouvais aimer ce moment! Je pouvais aisément voir son malaise de le faire sans aide. J'aimais voir la vulnérabilité des gens... elle avait peur et je dirais que ça me faisait bien plaisir! Je le voyais vraiment qu'elle n'était pas une habituée du sexe ou bien elle était complexée par son corps.

- Allez, t'as vraiment pas de quoi complexer!

Elle enleva sa petite culotte me dévoilant son corps dans toute sa splendeur. Humm, ce que j'avais envie de la baiser! Je ne sais pas pourquoi, mais entendre l'appeler monsieur était bandant. Sans doute parce que ça sortait de sa bouche sexy qu'elle avait. Jusqu'à maintenant je n'avais pas bougé du lit et maintenant elle voulait savoir si j'allais la fouetter. C'est à cet instant que je me leva pour faire le tour d'Alex pour contempler tout ça de plus près. Je m'étais mis face à elle pour la regarder dans les yeux. Je la voyais tremblante et je dirais que ça me plaisait encore plus. On aurait dit une petite vierge. Je posai ma cravache sur son épaule pour la faire tomber vers un de ses seins, puis son ventre... Je crois qu'elle avait vraiment peur que je frappe.

- Intéressant... Je vais te fouetter si j'ai envie oui!

Et c'est ce que j'allais le faire parce que j'en avais très envie de voir cette petite peau blanche rosir. Je ne frappai pas et je me déplaça derrière elle en faisant glisser ma cravache vers son dos puis vers ses fesses... Humm... de belles petites fesses bien rebondies. Je me mordis légèrement la lèvre avant de lui donner un bon coup sur les fesses la faisant ainsi tressauter. Jouissif! Carrément jouissif! Je glissai ensuite vers l'autre fesse pour en donner également un autre petit coup. Je la vis se raidir comme si ça lui avait fait vraiment mal... mais ça ne devait pas faire si mal.. je n'y avais pas été avec grande force. C'était plutôt surprenant à mon avis. Je me défis de ma chemise et de mon noeud papillon pour ensuite défaire mon pantalon et me retrouver en boxer. Ça allait être beaucoup mieux ainsi.

- Tu vas te retourner face à moi... Je veux te baiser la bouche!

Je voulais qu'elle se retourne et se mette à genoux pour me faire une fellation. Elle se retourna face à moi et se mit d'abord sur un genou, puis deux.

- Allez, prend le dans ta bouche, montre moi ce que tu sais faire! Si tu le fais mal, tu auras un autre coup.

Je gardai la cravache en main pour lui montrer que c'était moi qui menait. Je me demandais alors si j'allais la laisser jouir, de toute façon, c'est de mon propre plaisir qu'on parlait en ce moment et je voulais m'amuser au maximum.

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Mon dieu, comme cet homme était inapte à excité une femme, pas surprenant qu’il devait les payer pour avoir un semblant de vie sexuelle. Bon, j’ignorais tout de lui mais je ne pouvais pas croire que des femmes le désiraient réellement. C’était un monstre, ce n’était pas un homme. Il faisait peur… il fallait clairement être pas bien dans sa tête. Bon, je n’étais pas mieux à accepter de son argent. Sébastian m’informa qu’il allait me fouetter s’il le voulait et il m’en fit la démonstration bien assez rapidement sur mes deux fesses. Je m’étais raidi car je n’étais clairement pas habitué à ce genre de chose. J’allais clairement avoir des marques s’il continuait à faire ça encore longtemps. Puis, il se mit à se déshabiller, il n’avait rien de très sexy, il n’était mon genre de d’homme et je n’étais pas du tout mouillée à l’idée d’entrevoir une relation sexuelle avec lui. J’allais pas avoir besoin de lubrification pour le moment puisque ce dernier m’informa que c’était de ma bouche qu’il voulait.

« Dit comme ça en plus, ça donne tellement envie. »

Il me prit d’un coup les cheveux pour les tirer afin que je le regarde. Mon visage s’était crispé alors que je relevai le regard vers lu, les sourcils toujours froncés. Il s’arrangeait très certainement pour que je lui mordre la queue!!!!!! Je ne pouvais pas faire ça sinon j’allais devoir faire un X sur la grosse somme d’argent que j’avais maintenant dans mon sac à main. Il voulait donc je m’exécute en m’avertissant très clairement que si je le faisais mal, j’allais avoir le droit à un coup. Je posai donc mes mains à l’élastique de son boxer que je fis descendre jusqu’à ses cheville. Son sexe rebondit aussitôt devant mes yeux. Je pris donc une grande respiration avant de prendre sa vrilité dans ma main. Je pouvais bien constater qu’il était de grosseur normale, rien de très imposant, pas de quoi faire trop peur. Du moins, niveau proportion car restait à voir de la manière dont il allait s’en servir. Je commençai quelques va-et-vient avant de l’apporter jusqu’à ma bouche pour le faire glisser entre mes lèvres. Après quelques mouvements de tête, j’enfonçai son membre bien au fond de ma gorge avant de m’occuper de son gland avec ma langue et répéter le même manège. J’avais relevé les yeux pour voir son visage et il semblait bien aimer. Je ne recevais pas de coup pour le moment donc c’était bon signe. Je faisais glisser ma main autour de son sexe en venant toujours m’occuper de lui avec ma bouche. Ce n’était pas si terrible pour le moment. Du moins, jusqu’à ce qu’il me demande de m’arrêter pour simplement entrouvert quelque peu ma bouche et qu’il prit ma tête à deux mains pour commencer prendre le contrôle de la fellation en donnant de coups de bassin. J’avais envie d’être malade mais heureusement, ça ne dura pas très longtemps. Je vins alors pour me relever mais on me donna un coup de fouet aussitôt sur les fesses. Je fermai les yeux en poussant un petit grognement.

« C’est bon… ça va. »

Je me remis sur mes genoux en attendant la suite.

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