Là où tu n'existes pas, je n'existe plus. + James

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

« A partir de ce jour, j'étais foutue, j'étais accro. Dépendre de quelqu'un d'autre que de moi-même,m'affaiblir, me torturer, c'était tout ce que je redoutais. »

« Hmm. Je comprends, mais qu'est-ce que tu veux faire alors. Saches, que peu importe ce que tu choisis, je te soutiendrais, toujours. » Je lui souris, dans un sens j’en voulais à mes parents et dans l’autre j’étais reconnaissante car il ne faut pas se voiler la face, percer dans le monde de la scène était une chose bien difficile à faire. « C'est difficile de vivre de sa passion de nos jours… C'est beau de penser à tes parents, de faire passer les envies de ta famille avant, mais il faut que tu penses un peu à toi, et que tu penses à réaliser tes rêves, parce que j'ai peur qu'un jour tu te demandes si tu n'as pas raté ta vie, je ne veux pas que tu aies des regrets. » « Tu as raison, mais le chant, tu as une chance sur deux de réussir, je veux dire soit je prends le risque et je réussi soit je prends le risque et je me loupe et finalement je me retrouve sans rien, sans rien du moins qui pourrait me permettre de vivre correctement. » J’attrape mon verre de soda pour en boire une gorgée. Le repas m’avait semblé délicieux, encore plus en compagnie de James. « Puis bon le métier de la scène c’est un peu se jeter dans l’inconnu, on ne sait pas ce qu’il y a au bout. On ne sait pas dire à l’avance et c’est bien quelque chose que je déteste. J’aime savoir où je vais. Je me vois bien, dans plusieurs années, mariée, avec des enfants, un chien et une grande maison. Le rêve de toutes les familles tu vas me dire … Alors finalement, est ce que le chant peut m’amènera cette sécurité ? Je ne pense pas. » Dis-je en soupirant, je devais me faire une raison de toute manière.

WILDBIRD

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"Est ce qu'on peut dire... Sortie Familiale ?"

James && Joy

Confidences pour confidences, nous étions en train d'apprendre à nous connaître. C'est mieux avant de passer aux choses sérieuse, savoir s'il l'on peut s'entendre avec la personne.

Elle m'avait confier que la musique était sa passion et que la médecine ne l'intéressait pas, qu'elle faisait ça pour faire plaisir à ses parents. C'était très touchant de voir a quel point elle aimait ces parents. Mais il fallait qu'elle pense un peu à faire sa vie et faire ce dont elle voulait, je lui avais fait part de mes pensées.
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J'étais d'accord sur le fond, c'est vrai qu'il faut pouvoir vivre correctement. " Si tu ne tente pas, jamais tu sauras..." Lui dis. avant de refermer le carton de la pizza, j'avais largement assé manger. " C'est vrai qu'elles étaient très bonnes, très bon choix princesse. " Dis-je en lui souriant.

<< Puis, bon, le métier de la scène c'est un peu se jeter dans l'inconnu, on ne sait pas ce qu'il y a au bout. On ne sait pas dire à l'avance et c'est quelque chose que je déteste. J'aime savoir où je vais. je me vois bien, dans plusieurs années, mariée, avec des enfants, un chien et une grande maison. Le rêve de toutes les familles tu vas me dire... Alors finalement, est ce que le chant m'amènera cette sécurité ? Je ne pense pas. >>

" Je suis tout à fait d'accord, mais prévoir tout à l'avance, c'est un peu dommage, ca ne fait pas de mal de ne pas prévoir parfois, un peu de folie, c'est sympa. D'ailleurs, tu peux prévoir pleins de choses, tout peut basculer en une seconde... Alors a quoi bon prévoir ? " Dis-je en buvant une gorgée du fanta qu'elle avait prit rien que pour moi.

" Après, je ne souhaite de réaliser tous tes rêves, professionnels et personnels, tu feras de beaux enfants, j'en suis sûre. Moi je ne me vois pas avec des enfants toute suite, j'aimerais finir mes études, et vivre comme un jeune de mon âge." Avouais-je a la jeune femme.

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

« A partir de ce jour, j'étais foutue, j'étais accro. Dépendre de quelqu'un d'autre que de moi-même,m'affaiblir, me torturer, c'était tout ce que je redoutais. »

Je hausse les épaules après tout il avait raison. Mais j’étais si proche de la fin, encore une année et j’avais mon diplôme alors à quoi bon tout jeter par la fenêtre et arrêter en si bon chemin ? Autant avoir une sécurité derrière.

« Après, je ne souhaite de réaliser tous tes rêves, professionnels et personnels, tu feras de beaux enfants, j'en suis sûre. Moi je ne me vois pas avec des enfants toute suite, j'aimerais finir mes études, et vivre comme un jeune de mon âge. »
« Moi non plus, j’aimerai avoir une situation financière stable pour pouvoir offrir à mon enfant le meilleur mais je dois t’avouer que si cela m’arriverait … Je ne pourrais pas avorter, je veux dire je suis contre ça. Ca serai mon sang, ma chair, et puis c’est un petit être avec un cœur et … »
Je fais un geste de la main, paume vers le haut, pour signaler que pour moi c’était normal de ne pas avorter, une évidence et c’était mes valeurs et mes principes.
« Enfin bon je ne suis pas encore là. »
Ajoutais-je avec un petit sourire. Je prends les deux cartons et les dépose sur le plan de travail de la cuisine. Je bois une gorgée de mon soda.
« Tu veux regarder un film ou … ? Je ne sais pas si je vais savoir me concentrer car généralement quand tu es à côté de moi c’est chose difficile. »
Dis-je avec un léger rire, puis j’avais envie de reprendre ou nous nous étions arrêté un peu plus tôt …

WILDBIRD

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"Est ce qu'on peut dire... Sortie Familiale ?"

James && Joy

<< Je ne pourrais pas avorter, je veux dire que je suis contre ça. Ca serai mon sang, ma chair, et puis c'est un petit être avec un coeur.>> C'est vrai, je ne suis pas pour effectivement, mais moi, je n'étais pas près donc avoir un enfant ça n'était pas possible, surtout avec mes études, je n'aurais rien pour le nourrir. " Je suis contre aussi en général, mais avoir faut étudier la situation, si ça arrive alors qu'il n'y a pas de quoi l'élever, a quoi bon le rendre malheureux... " Dis-je accompagner d'une grimace..

<< Enfin bon, je ne suis pas encore là. >> Je me mis a rire doucement. " Oui certes, mais ça arrive tellement vite parfois. "

<< Tu veux regarder un film ou ... ? Je ne sais pas si je vais savoir me concentrer car généralement quand tu es à côté de moi, c'est chose difficile. >> C'est vrai que pour moi aussi. Je me levais et lui tendis la main afin qu'elle se lève face à moi.

Je décalais l'une de ces mèche qui gênait son visage. " Et si on s'occupait a autre chose? " Dis-je en approchant mon visage du sien. " On pourraient trouver quelque chose de plus intéressant qu'un film..." Dis-je avec un sourire au coin des lèvres, en avançant un peu lui mon visage du sien, sans lâcher ces yeux du regard.

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

« A partir de ce jour, j'étais foutue, j'étais accro. Dépendre de quelqu'un d'autre que de moi-même,m'affaiblir, me torturer, c'était tout ce que je redoutais. »

Il me tend sa main que je prends pour me lever. Face à lui, il décale une mèche de mon visage, un geste que j’ai toujours aimé lors de nos rencontres, un geste attentionné.
« Et si on s’occupait à autre chose ? On pourrait trouver quelque chose de plus intéressant qu’un film … » Dit-il en s’approchant un peu son visage du mien, sourire au coin, sans me lâcher du regard, je sens son souffle. Mon estomac se tord de nouveau, courant électrique passe dans mon corps, l’excitation d’avoir enfin ce que je désire le plus au monde. Je pose ma main sur sa joue, mon pouce caresse ses lèvres. Je m’approche, baiser. Fougueux hors que je l’aurais pensé plus tendre. Mais j’en avais tant envie et j’avais tant attendu. Je pourrais manger ses lèvres, profité de ce moment, gardé en ma mémoire le goût de sa bouche, la douceur de sa langue. Mon cœur va sortir de ma poitrine, je le sens, je le sais, c’est de l’amour, je ressens de l’amour pour cet homme et je n’ai qu’une envie, lui montrer, lui prouver. Je me détache de lui, toujours ma main sur sa joue, je me mords la lèvre, reste à quelques centimètres de son visage. Je ne le regarde pas dans les yeux, je suis gênée mais en aucun cas je ne regrette mon geste. Explosion, feu d’artifice, je ne sais plus où donner de la tête.

WILDBIRD

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013

Je ne voulais pas la brusquer, la forcer ou ni même lui mettre la pression, mais, j'en avais énormément envie, c'était important le premier baisé, faire ça correctement.
J'étais proche de ses lèvres, on ne peut pas faire plus près. Elle me regardait dans les yeux, comme une enfant, mes yeux se ferment doucement quand mes lèvres se posent sur les siennes. C'était dans un premier temps un baisé très tendre.

Je sentais un frisson parcourir mon corps. C'était comme une première fois pour moi. Du moins j'avais oublié toutes ces filles. Je pris sa tête entre mes mains. Je caressais l'une de ces joues avec mon pouce.

Elle s'éloigne doucement de mes lèvres les lâchent. Je sens sa respiration contre mon visage. Je la regarde tendrement, et je redépose mes lèvres sur les siennes. Cette fois ci, un baisé plus langoureux, plus fougueux.

Nos bouches toujours l'uns sur l'autre ou l'une dans l'autre. Je passe mes bras autour de ses hanches, afin de la serre contre moi. Je caressais le bas de son dos doucement.

Je séparaient nos lèvres, et la regardais dans les yeux. " Ca va ? " Demandais-je doucement, alors que nos fronts étaient collés.

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

« A partir de ce jour, j'étais foutue, j'étais accro. Dépendre de quelqu'un d'autre que de moi-même,m'affaiblir, me torturer, c'était tout ce que je redoutais. »

Deuxième baisers, plus langoureux, plus fougueux. Je ne savais pas où donner de la tête, je ne savais plus où j’habitais. J’ai attendu ce moment depuis que mon regard s’est posé sur lui, j’ai tant attendu et l’envie grandissait de jour en jour. Tellement, que je me demandais si ce moment est réel ou non. Je profite de l’instant, je mets mes peurs de côtés, mes angoisses. On a jamais vraiment parlé de nos histoires d’amours mais je savais, de bouche à oreille, que il aimait bien les filles, même un peu trop. Ma plus grande peur était que je suis comme elles finalement, une de ces filles sans importance. Il se détache, doucement, mon front contre le sien.
« Ca va ? »
« Je crois que je n’ai jamais été aussi bien. »
Dis-je en fermant quelques instants les yeux. Et même si j’étais comme toutes ses filles, je n’aurais aucun regret car ce que je vis en ce moment en vaut la peine. Je ne me suis jamais attachée à un homme, vraiment. Ici, j’ai l’impression que c’est devenu un pilier, une obsession. Même si jusqu’ici nous n’étions pas ensemble, son avis, son soutient, ses paroles valaient toutes celles du monde entier réunit.
« Et toi, comment tu te sens ? »
Dis-je en murmurant, toujours dans ses bras.

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013

Nous venions de nous embrasser pour la première fois depuis notre rencontre. Elle avait l'air d'être une filles avec des principes, alors j'avais attendu pour l'embrasser. Elle n'était pas comme toutes ces filles, elle comptait vraiment. Je devais lui dire, car j'avais une réputation de coureur de jupons au lycée. C'était important qu'elle ne se considère pas comme l'une fille sans importance.
Après les baisés, je lui demandais comme elle se sentait. << Je crois que je n'ai jamais été aussi bien. >>

Me dit elle en fermant ces yeux. Je souris a mon tour, avant de déposer un baisé sur son front.
<< Et toi, comment tu te sens ? >> Moi j'allais bien, j'étais bien avec elle. J'avais l'impression de vivre quelques chose de nouveau. Une vraie histoire.

" Je vais très bien, je suis bien avec toi, tu sais." Dis-je en souriant. " Vraiment, je ressens quelque chose de spécial, un truc en plus. C'est de l'amour tu crois ?" Demandais-je en riant doucement.

" Non, je sais, en faite, effectivement, je crois que je suis amoureux de toi." Dis-je en prenant une grande respiration, je ne l'avais jamais dis a d'autres femme appart ma mère et ma sœur. C'est pas des choses qu'on dit a n'importe qui, ni a tout le monde. C'est pas facile d'avouer ces sentiments.
" Je crois que je t'aime Joy. " Lui dis-je sincèrement avec un petit sourire, j'avais peur qu'elle prenne peur, j'appréhendais sa réaction.

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James&Joy
Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

« A partir de ce jour, j'étais foutue, j'étais accro. Dépendre de quelqu'un d'autre que de moi-même,m'affaiblir, me torturer, c'était tout ce que je redoutais. »

« Je vais très bien, je suis bien avec toi, tu sais. Vraiment, je ressens quelque chose de spécial, un truc en plus. C'est de l'amour tu crois ? Non, je sais, en faite, effectivement, je crois que je suis amoureux de toi." J’ouvre les yeux et l’observe. J’observe son comportement, je regarde les traits de son visage, je scrute, si il est sincère ou non. J’avais entendu beaucoup de chose à son sujet mais mon instinct me disait toujours de ne pas écouter les ragots et de me faire ma propre idée. Il prit une grande respiration, j’étais curieuse de savoir ce qu’il allait me di… « Je crois que je t'aime Joy. » Je reste abasourdie. Je ne sais pas si je suis choquée car c’est la première personne qui me le dit ou bien si je ne m’y attendais pas, de sa part. Quelques secondes s’écoula, je devais retrouver ma voix, lui répondre. J’avais peur qu’il croit que j’allais le remballer, lui demander de partir ou autre chose encore. En guise de réponse, je lui fais un petit sourire.

« Je crois que je t’aime James. »

Dis-je en murmurant, c’était très important pour moi car c’était non seulement la première fois que je l’entendais mais aussi la première fois que je le disais à un garçon autre que mon père. Je ne voulais pas briser ce moment, ce moment qui allait être graver en ma mémoire à jamais, la création d’un souvenir fabuleux en sa compagnie. Le premier je t’aime et la première, vraie, déclaration d’amour.

WILDBIRD

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Là où tu n'existes pas, je n'existe plus

Joy && James

CANADA Juin2013

Nous venions de partager notre premier vrai baisé, c'était vraiment bien. Comme on dit, plus c'est long plus c'est bon. Nous avions attendu assez longtemps.

Je lui avais fais une déclaration d'amour par la suite, chose très rare, car je déteste montrer mes sentiments, je suis pas quelqu'un qui ouvre son cœur facilement. J'avais peur de sa réaction. Allait-elle croire que j'étais trop rapide et donc que je disais des salades. Ou alors que je disais ça a toutes les filles pour les mettre dans mon lit.

J'aurais pu, mais ça n'étais pas mon intention, pas du tout, surtout avec elle.
<< Je crois que je t'aime James >> J'étais touché par ces paroles. Elle avait l'air sincère, en tout cas je le voyais dans ces yeux.
" Maintenant que j'ai dis ce que j'avais sur le cœur, on peut regarder un film." Dis-je en riant. J'aimais regarder des films avec Joy dans mes bras. C'était si bien, si tendre.

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